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De l’Université d’Alger 1
N° 27/ Tome I
Juillet 2015
Son premier numéro en 1986
PRESIDENT D’HONNEUR:
Pr.HAMID BEN CHENITI,
Recteur de l’Université d’Alger 1
BEN YOUCEF BEN KHADDA
*************
DIRECTEUR DE LA REVUE/
RESPONSABLE DE LA
PUBLICATION :
Pr. MOHAMED LAMINE BEN ZINE
Vice – Recteur de la formation
Supérieure, de la Post-Graduation, de
l’Habilitation Universitaire et de la
Recherche scientifique
**************
Directeur de la rédaction :
Dr.RAHMANI SAID
P.A.O
Service de la Publication
**************
VICE-RECTORAT DE LA
FORMATION SUPERIEUR, DE LA
POST-GRADUATION, DE
L’HABILITATION UNIVERSITAIRE
ET DE LA RECHERCHE
SCIENTIFIQUE
ADRESSE : 02, Rue DIDOUCHE
MOURAD, ALGER 16000, ALGERIE
TEL/FAX : 021.69.77.27
EMAIL : hawliyatalger@yahoo.fr
SOMMAIRE
Dr Nadia OUCHENE
L’ecoefficacite dans une perspective de marketing integre……………. 5 53
Mohammed KECHEROUD
Régime et modes de détermination de la pension de retraite en Algérie.... 67
Le partenariat public-privé: vers un
nouveau dirigisme du secteur public ?
Docteur Ghassane HADJAR
Institut d’Administration des entreprises (IAE)Université de Nice
Sophia-Antipolis
5
Malgré cette riche différence, les critères ne sont pas nécessairement
contradictoires, c’est-à-dire que chaque personne en tant qu’acteur ou chercheur
se base certainement sur des axes de définition correspondant à ses propres
intérêts et selon ce qu’il considère et perçoit comme important dans un cadre de
partenariat. Dans ce sens, les partenariats peuvent prendre diverses formes selon
leurs utilisations et objectifs. En pratique, un PPP ne présente pas un modèle de
collaboration structurellement fixe entre le partenaire public et le partenaire
privé, mais une forme d’organisation basée sur des principes, des arrangements
culturels-cognitifs, juridiques, stratégiques et structurels (Hafsi, T. 2009) ainsi
que sur des objectifs définis dans un projet commun par deux ou plusieurs
partenaires dans un contrat à durée déterminée.
Malgré ce caractère complexe, le PPP trouve sa source au sein de
plusieurs courants de pensées tels que la Nouvelle Economie Institutionnelle, la
théorie du New Management Public (NMP) ou encore la théorie des Ressources
et Compétences, etc. Son ancrage théorique dans l’organisation publique
devient donc incontournable et impose une réflexion plus approfondie sur ce
concept, notamment sur les fondements théoriques de ces partenariats.
1. Concept et fondements théoriques des partenariats public-privé:
Les coopérations et particulièrement les partenariats entre les secteurs
public et privé représentent une nécessité dans le contexte actuel car, depuis
2008, plusieurs pays ont été touchés par une crise financière mondiale sans
précédent qui a accru la compétition entre les Etats et leurs entreprises. Le
besoin de financement des services publics et la nécessité de satisfaire les
populations auxquelles ils sont destinés se font plus fortement sentir. C’est
pourquoi, depuis plusieurs décennies, on assiste à l’émergence d’un nouveau
concept de partenariat au sein des Etats et principalement entre le secteur public
et les entreprises privées. Son développement, fréquent dans la littérature,
relève d’une réalité variée et s’entoure de manifestations diverses, tant chez les
responsables et les acteurs qu’au sein de la communauté des chercheurs. Ce
rapprochement entre les secteurs public-privé est principalement employé pour
qualifier les relations aussi diverses que la sous-traitance, les accords entre les
entreprises et les collectivités locales ou les entreprises publiques, et entre les
entreprises privées et les organismes publics... Cependant, la réalité de ces PPP,
demeure difficile à cerner de manière précise devant les choix qu’ils offrent au
secteur public et devant la complexité des montages contractuels. Sans pour
autant oublier le manque de consensus juridique sur la définition du partenariat
6 Les annales N°27-T 01/2015
public-privé au niveau des Etats. C’est pour ces raisons que nous nous
proposons de retracer les réalités de ce concept en commençant par une
proposition de définition d’un PPP et en soulignant son ampleur.
2. Le PPP entre l'ampleur du concept et son utilisation:
Principales
sources de Secteur public Secteur privé
divergence
Marty, F., & Voisin, A., (2006a), Les partenariats public-privé dans les pays en
développement : Déterminants, Risques et Difficultés d’exécution, 2ème journées du
développement du GRES.
Marty, F., & Voisin, A., (2006b), Le contrat de partenariat constitue-t-il une Private
Finance Initiative à la française, Revue International du Droit Economique, pp. 131-
150.
Marty, F., Trosa, S., & Voisin., A., (2006), Les Partenariats Public-Privé, Paris,
Editions, La Découverte.
8- Une autorité publique peut être : un ministère, une administration publique, une
collectivité territoriale, ou locale, une entreprise publique étatique…
9- Des entités du secteur privé et/ou associatif. Les OBNL (organismes à but non
lucratif) peuvent aussi rentrer dans le cadre des PPP, etc.
10- Ces facteurs de succès cités par Giauque, D. (2008 : 393) sont inspirés des travaux
de Carol, J. & Sang-Ok, S. (2008).
Farid OUABRI
Introduction
Pour ce qui est de l’Algérie, il est très difficile de fixer le point de départ
de l’apparition de ce dispositif. On peut seulement avancer l’idée selon laquelle,
son implantation fut au départ dans les établissements publics, les
18 Les annales N°27-T 01/2015
représentations diplomatiques ou encore dans les établissements bancaires, puis
dans la sphère privée par des individus soucieux de préserver leur sécurité
personnelle. Toutefois, si l’on croit certains médias, le dispositif fait son
apparition au milieu des années 19909. Sur l’espace public, cette même
technologie fut utilisée pour la première fois par les services de police le 22
juillet 200410, lorsque la Direction générale de la sûreté nationale (DGSN)
octroyait à la sûreté de la wilaya d’Alger 16 caméras à titre d’expérimentation11.
Le dispositif visait à assurer la surveillance du trajet menant de la cité Concorde
de Bir Mourad Raïs à la Place Mohamed Nouri12. Peu après cette première
initiative, d’autres caméras de surveillance furent également installées dans les
endroits « sensibles » de la capitale. Aujourd’hui, il est impossible de recenser
le nombre exact de caméras de surveillance installées dans l’espace public ou
dans les espaces privés ouverts ou non ouverts au public.
Ainsi, à travers tous ces rôles, on voit bien que la vidéosurveillance peut
jouer un rôle polyvalent selon les objectifs qu’on lui assigne. Elle est donc
tantôt un outil de prévention, tantôt de répression. Elle sert tout autant à
renseigner, qu’à intervenir. Elle peut être visible, et c’est le principe, que
cachée. Lorsque l’on cherche à exposer délibérément les délinquants potentiels
à être vus s’ils passent à l’acte, on leur fait signaler par des affiches ou une
forme quelconque de publicité la présence de caméras. En revanche, si le but
recherché par les professionnels de sécurité est celui de filtrer une organisation
criminelle, de découvrir les projets et les agissements d’un suspect, on recourt
volontiers à des caméras de surveillance cachées. Toutefois, malgré tout ce
potentiel technologique, la vidéosurveillance ne peut être considérée comme la
solution miracle pour résoudre les problèmes de délinquance. Comme nous le
montrent les évaluations scientifiques sur son impact sur la délinquance, elle
n’en est qu’une partie de La solution et non pas Toute la solution.
Enfin, il n’est pas inutile de rappeler que même si elle réussit à faire
diminuer les vols liés à l’automobile commis dans les parcs de stationnements
et réduire le phénomène de cambriolage dans les maisons et les lieux fermés, la
vidéosurveillance reste impuissante face à la délinquance liée à la drogue et aux
délits de voie publique et des espaces ouverts. Ce dernier type de délits lui
échappe précisément à cause de son caractère opportuniste, furtif et difficile à
détecter par les opérateurs vidéo, caractère accru par l’ingéniosité des
délinquants et leur capacité à repérer facilement l’emplacement des caméras36.
Dr MOULAY Asma
- Les étudiants
- Le personnel académique et administratif.
- Des représentants du monde socio professionnel et les
utilisateurs de l’université.
I / Etat des lieux :
Quoi :
Les étudiants et les doctorants évaluent les enseignements et donnent
leur avis sur l’université, leur composante et leur département ou laboratoire de
rattachement ; les diplômés évaluent leur insertion et leur compétence
professionnelle, ainsi que la contribution de l’institution à celle-ci ;
Comment:
Cela permettrait de conserver les liens avec eux, et également une manière de
leur montrer que l’université dont ils sont issus se soucie d’eux, même après
leurs études.
48 Les annales N°27-T 01/2015
- Représenter les anciens élèves au conseil d’administration (université
facultés).
- S’assurer de la présence dans les organes de gouvernance des personnes
qualifiées et compétentes pour de meilleures performances (cadre
pédagogique- cadre administratif-étudiants)
- Exploiter la position des anciens diplômés pour faciliter l’insertion de
nouveaux diplômés sortis de leurs établissements d’enseignements
supérieurs d’origine.
- Faire participer les étudiants dans le choix du type et du nombre de
cours ; par des propositions aux instances concernés ;
- Le personnel académique et administratif doit être impliqué dans la
concrétisation des missions de l’université et la mise en œuvre de sa
stratégie a travers une représentation plus forte et plus adaptée a la prise
de décision au niveau du conseil d’administration.
- Pour la plupart des établissements les fonds privés des partenariats avec
le monde des entreprises (industrie/ secteur privé) sont un aspect
important de l’élargissement des possibilités de financement, ces
partenariats s’avèrent extrêmement précieux pour le transfert et la
commercialisation des résultats de la recherche scientifique
universitaire.
()
communication faite a l’occasion de la conférence régionale de la banque
mondiale tenue a Beyrouth le 14-16 avril 2015 sur la gouvernance a
l’université.
Dr Nadia OUCHENE
Il n’est pas évident bien sûr que la pratique d’un pareil système se
voit confronté à des obstacles de grande envergure-même, tels que les
répercussions des enjeux sociaux sur l’activité économique : en effet, la
satisfaction des besoins n’en est pas au même niveau, tant chez les pays
développés que chez les pays en voie de développement (de même pour
l’emploi !).
53
Deux types d’entreprise s’avèrent plus fragiles que d’autre via les risques
sociaux et environnementaux issus de la politique de développement durable :(4)
- Celles qui emploient un personnel nombreux et peu qualifié (menace de suppression
d’emploi le plus souvent devant la forte concurrence) ;
Le dernier enjeu que nous sus- citons revendique que l’entreprise réalise son
but primordial à savoir sa pérennité tout en assurant son efficacité économique.
56 Les annales N°27-T 01/2015
Cette performance ne peut avoir lieu sans l’entretien de la consommation à
savoir que celle- ci passe de son statut classique à celui de la consommation durable.
« Une consommation durable se définit comme responsable et raisonnable » (13)
Parmi les enjeux sociaux de l’activité économique, on compte donc :
- L’efficacité du produit/service et de là, sa durabilité,
- L’innovation conduisant l’entreprise à la création d’avantages concurrentiels et
donc à la réussite de la compétitivité.
La question de l’efficacité du marketing se voit alors reformuler dans la mesure
où la consommation durable impose un certain nombre d’innovations sociales et
techniques.
Plusieurs changements viennent alors imposer l’intégration de l’entreprise, à
savoir que par rapport :
- A la production : il s’agit de limiter les impacts sur l’environnement avec la
politique des produits intégrés (PIP) lancée par la commission européenne. Ceci,
grâce à la mesure de l’impact environnemental des produits en gardant en vue la
perspective du cycle de vie des produits ;
- A la consommation : il s’agit de procéder par la réforme des schémas de
consommation incluant ainsi les acteurs, les infrastructures, les techniques et les
systèmes réglementaires.
La consommation durable sous- entend alors la nécessité d’un changement
radical des modes de consommation et s’oppose à le surconsommation laquelle
implique la multiplication de l’usage des ressources naturelles.(14)
Il s’agit en consommation durable de concilier les valeurs des citoyens et leur
mode de consommation à la fois.
Le marketing pour sa part (étant un lien entre la production et la
consommation) joue son plein rôle de levier important dans la mesure où il confronte
l’offre à la demande et considère de ce fait aussi bien les préoccupations en matière
d’évolution sociale, de compétitivité que celles d’anticipations réglementaires.
Le marketing étant défini par l’institut de marketing anglais comme :
« processus de management responsable de la mise en adéquation des ressources et des
opportunités, permettant de réaliser un profit, en identifiant, en anticipant, en
influençant et en satisfaisant la demande du consommateur (15)
Une pareille définition suppose que le consommateur est responsable et est
rationnel et se base sur l’information et sur le prix dans son processus décisionnel.
Toutefois, plusieurs menaces éloignent le consommateur du producteur.
A cet effet, il s’avère indispensable en parlant de marketing dans un contexte
de développement durable de réfléchir à un certain nombre de questions, à savoir(16) :
57 Les annales N°27-T 01/2015
Le marketing étant une composante de l’économie relève de la dimension du marché
et de la production en économie classique ; celle-ci s’axe sur trois champs essentiels :
le champs naturel, le champs de la production et le champs humain ; or que le
marketing ne s’est axé que sur la production, on lui reproche alors que
« malheureusement, l’homme devient instrument et l’économie finalité et non
l’inverse »(17).
Exemple2 : BMW, Peugeot & Renault fabriquent des véhicules qui peuvent être
totalement désossés en fin de vie.
(Idem pour les bouteilles d’Evian, pour les micros Apple, pour les produits Tetrapack
etc.).
D’autre part, il est possible d’intégrer l’environnement dans l’innovation au
travers de l’analyse de la valeur et de l’analyse fonctionnelle du produit. Ceci est
d’autant plus facilité par l’optimisation des coûts, par le choix des critères
environnementaux poussés par le respect des normes ou la mise en cohérence avec le
positionnement de l’entreprise.
Dans ce cas, une entreprise qui se veut efficiente concilie à la fois (grâce à la
fabrication des produits dits ciblés) entre un produit stratégique, la réduction des coûts,
l’intégration des critères environnementaux de l’ADEM et les besoins bien identifiés
de la clientèle. (23)
Exemple 1 :
Pour un travailleur âgé de 60 ans, ayant à sa charge son conjoint et
ayant à son actif 32 ans d’activité avec un salaire de référence mensuel de
21 000 DA, et à sa charge deux (02) épouses, le taux de sa pension de retraite
sera de : 32 * 2,5 % = 80 % et le décompte de sa pension se présentera comme
suit:
Avantage principal: 21 000 *80 % = 16 800 DA
Retenue sécurité sociale: 16 800 *2 % = 336 DA
Revenu imposable: 16 800 – 336 = 16 464 DA
Retenue IRG: 0 DA (salaire imposable inférieur à 20 000
Majoration pour conjoint à charge: DA 2 500 DA (une seule majoration pour
Total mensuel de la pension: conjoint à charge est prise en compte)
18 964 DA
Exemple 2 :
Pour un travailleur âgé de 60 ans, célibataire ayant à son actif 26 ans d’activité
avec un salaire de référence mensuel de 70 000 DA , le taux de sa pension de
retraite sera de : 26 * 2,5 % = 65 % et le décompte de sa pension sera comme
suit :
Exemple 4 :
Pour un travailleur âgé de 60 ans, célibataire ayant à son actif 32 ans
d’activité avec un salaire de référence mensuel de 15 900 DA , le taux de sa
pension de retraite sera de : 32 * 2,5 % = 80 %. Le décompte de sa pension sera
comme suit
Avantage principal : 15 900 *80 % = 12 720 DA
Retenue sécurité sociale : 0 DA (exonéré Avantage principal ≤ 15 000 DA)
Retenue IRG : 0 DA (salaire imposable inférieur à 20 000 DA)
Majoration pour conjoint à charge : 0 DA
2 280 DA (complément pour atteindre 15 000 DA)
Complément différentiel :
15 000 DA (le minimum)
Total mensuel de la pension :
73 Les annales N°27-T 01/2015
Rappel sommaire de Quelques dispositions :
- Le moudjahid
Revalorisation de la retraire
La revalorisation des pensions de retraite est consacrée par l’article 43
de la Loi n° 83-12 du 02 Juillet 1983 relative à la retraite, modifiée et
complétée.
S’agissant de la revalorisation de l’année 2015, l’arrêté n° 080 du 28
avril, de Monsieur le Ministre du Travail, de l’Emploi et de la Sécurité Sociale,
fixe le taux à 5%. L’article 2 de cet arrêté précise que le taux de 5 % s’applique
au montant mensuel de la pension et allocation de retraite découlant des droits
contributifs.
L’application prend effet à compter du mois de mai 2015.
Exemple concret
En reprenant les données de l’exemple 2, pour une pension mensuelle nette
d’un retraité célibataire qui est égale à 37 713 dinars, l’augmentation
relative à la revalorisation 2015 au taux de 5%, ne va pas s’appliquer
directement à ce montant mais à l’avantage principal 45 500 dinars:
Avant Après
Intitulé
revalorisation revalorisation
Dispositions à venir :
- Projet de régime de la retraite complémentaire
Le régime de la retraite complémentaire sera bientôt intégré dans le
système algérien de la sécurité sociale. La souscription d'un contrat "retraite
complémentaire" n'est pas obligatoire. C'est un contrat de prévoyance. Il s’agit
d’une «nouvelle option» qui sera mise à la disposition des salariés après sa
finalisation et l'approbation de toutes les mesures relatives à son application,
79 Les annales N°27-T 01/2015
dans le cadre d’un accord entre la Caisse nationale de l’assurance sociale
(CNAS) et les Caisses de mutualité, et sera alors soumis au gouvernement. Il
va ainsi permettre aux assurés sociaux de bénéficier d’une couverture à 100 %.
Fait nouveau, le texte offre la possibilité pour les assures sociaux d'adhérer
à la retraite complémentaire de plusieurs mutuelles sociales, à l'effet
d'augmenter leurs revenus à leur départ à la retraite.
- Facilitations pour les retraités:
A partir du mois de juillet 2015, un nouveau mode de versement des
pensions sera officialisé ; ils pourront percevoir leur dû au niveau des banques.
Aussi, Ils peuvent opter pour deux options : maintenir le versement de
leur pension et des allocations de retraie sur les comptes postaux CCP, ou par
le biais des banques publiques et privés.
Références juridiques:
- Loi n° 83-16 du 02 Juillet 1983 relative à la retraite.
- Ordonnance n° 95-01 du 21 janvier 1995 fixant l'assiette des cotisations
et des prestations de sécurité sociale.
- Ordonnance n°96-18 du 06 Juillet 1996 modifiant et complétant la loi
n°83-12 du 02 Juillet 1983 relative à la retraite.
- Ordonnance n°97-13 du 31 Mai 1997 modifiant et complétant la loi
n°83-12 du 202 Juillet 1983 relative à la retraite.
- Ordonnance n°99-03 du 22 Mars 1999 modifiant et complétant la loi
n°83-12 du 02 Juillet 1983 relative à la retraite.
- Ordonnance n°06-04 du 15 juillet 2006 portant loi de finances
complémentaire pour 2006.
- Ordonnance n°08-02 du 24 juillet 2008 portant loi de finances
complémentaire pour 2008.
- Décret législatif n°94-05 du 11 Avril 1994 modifiant la loi n°83-12 du
02 Juillet 1983 relative à la retraite.
- Décret législatif n°94-10 26 mai 1994 instituant la retraite anticipée.