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Psychologie Générale 14-09-2017

I) La question de La Vérité
1) La question :

Qu'est ce que La Vérité ? dans quelles conditions elle se pose, et que signifie poser cette
question.

Ce ne peut être une véritable question que si l'on assume d'être philosophe = suppose un
certain nombre d'implication de l'ordre de l'existence.

Comment La Vérité devient-elle une question ?


Toute question philosophique met en cause La Vérité.
Le questionnement/la mise en doute éclaire La Vérité par la mise en suspend de l'affirmation qui
nous fais passer de la certitude à l'incertitude.
Par la philosophie, on va développer un raisonnement complexe à partir d'une idée simple.

Parler de « La Vérité » suppose qu'il y a une relation entre un sujet et la Vérité.

Cette relation est particulière, de par la particularité de la position du sujet, ou plutôt par la
position que l'on prend pour traiter du sujet : La position de l'incertitude, du doute.
De la même façon, et par opposition, on peut dire que l'on prend une certaine position pour traiter
un sujet par la croyance : Celle de la certitude.

La réflexion philosophique va engendrer des paradoxes qu'il faudra résoudre pour


s'approcher de La Vérité.
La croyance empêche l'interrogation, et n'engendre donc pas de réflexion philosophique.
L'affirmation : « Le mur est », ou « n'est pas blanc », pourrait être appelée « une vérité ». Mais ce
n'est pas La Vérité.
Nous appellerons « une vérité » tel que « le mur est blanc » un Fait, ou une « vérité de fait », par
opposition à la « vérité de raison ».

Une vérité de fait est « Non contingente », non anticipable, dans le sens ou le contraire serait
possible.
Alors que la vérité de raison est « Nécessaire », c'est à dire qu'il n'y à pas de contraire possible.
Toutes les sciences feront appel à la fois à des vérités de fait et à des vérités de raison.

Par exemple si l'on doit rendre justice à quelqu'un qui est soupçonné d’homicide, il
conviendra d'enquêter sur sa responsabilité, et sur les circonstances de l'acte, mais une fois que ces
vérités de fait sont établies, ce sera à la raison de trancher sur la peine qu'il mérite.
Et en imaginant qu'il y aurait une centaines de cas (d'homicide dans cet exemple) assez similaires,
les peines que la raison infligerait seraient similaires (si l'on présuppose que la pensée du juge n'est
pas influencée par autre chose que la raison)

Une vérité de fait sera le résultat d'une enquête, aussi dit expérience. Et une vérité de raison,
celui d'une quête ou démonstration, ou recherche.
On parle alors de s'enquérir de la vérité de quelque chose lorsqu'on cherche la chose en elle même,
Ou de Quérir La Vérité de quelque chose, lorsqu'on recherche la vérité de cette chose.

L'enquête se termine lorsqu'on arrive à son résultat.


La quête est infinie car l'objet de sa recherche, La Vérité, n'est apparemment jamais atteinte, on ne
pourrait donc que s'en rapprocher.
La question de ce qu'est La Vérité, dirige toute question philosophique : il en découle la
manière avec laquelle on va douter du sujet en question, la façon avec laquelle on va l'appréhender.
==> La question de la vérité implique un sujet, et donc un rapport entre ce sujet et la vérité.

2) La Vérité toute entière/totale :

La Quête porte sur le tout entier=/= universel.


Toute question/proposition portant sur des vérités de raison n'est pas universelle, et inversement.
La vérité ne sera pas totale quand on saura tout sur tout, mais quand
la question ne porte pas sur la connaissance, ni sur la science, mais sur
On appelera science l'ensemble des propositions vraies, vérifiables universellement =/= La Vérité,
mais fais parti de La Vérité.

Platon, La République :
à partir du Livre 6-7
Il explique ce qu'est la philosophie :
La philosophie (trad : aimer la sagesse) c'est la recherche de la vérité, mais pas de l'ensemble des
réponses vraies.
Chercher les Vérités apodictique( => raison) : fondés sur une certitude indubitable car appuyé sur la
démonstration, mais ce n'est pas seulement ce que vise le philosophe. Ce qu'il cherche est au delà du
savoir.

Histoire de platon raconte une histoire sur un schemas : une ligne, un segment.
La question est de savoir comment le diviser.
C'est le segment des objets de la penser. Tout ce à quoi l'on peu penser.
Il est diviser en deux : le visible, et l'intelligible (ce qui est saisi par l'esprit)
d'après platon, le visible n'est que l'image de l'intelligible.
Pour lui, ce qui est visible est en devenir, et les idées sont éternelles.
L'intellect saisi l'intelligible par l'intellection.

L'intelligible a 2 niveaux :
le niveau de ce qui est connaissable par la science la plus parfaite : Le savoir (mathema)

La procédure dialectique : celle qui est proprement philosophique. L'échange entre deux personne
pour établir un synthèse de leur pensées. Cela n’aboutis pas à la vérité, mais elle y réponds plus
(d'après lui) que les mathématiques. Car le désir de la vérité de recherche pas LA Vérité.
Elle cherche l'exercice de la parole en direction de la Vérité.

Qu'est est l'enjeu de cette différence entre la dialectique et le mathema ?


La dialectique serait au niveau pratique
Platon dit que vivre en philosophe ce n'est pas une vie de plaisir, de pouvoir, d'honneur mais c'est la
seule vie qui mérite d'être vécue.
C'est une question de position par rapport à l'existence.

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