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Introduction :

Écrivez un message...
Durant ces dernières années, la question du système éducatif et de l’enseignement général et
de l’enseignement supérieur a occupé le devant de la scène politique.

L’enseignement est le secteur clef de tout progrès économique et social. Il concerne toutes
les couches sociales, toutes les composantes de la nation, tous les intervenants (Etat, secteur
public et privé, partis politiques, parents, enseignants…).

Pour être honnête, nous devons distinguer entre les problèmes de l’enseignement général et
les problèmes de l’enseignement supérieur. les failles de notre système n’est que le résultat
des problèmes du premier type d’enseignement. Les conséquences de ces derniers impactent
le système d’enseignement supérieur. Pour pouvoir redresser le supérieur, nous devons
résoudre les problématiques posées par l’enseignement général.

Problèmes d’enseignement générale :


Le choix des différentes stratégies politiques de l’enseignement adoptées depuis
l’indépendance n’était pas efficace, Ces stratégies n’ont jamais correspondu ni aux
problématiques posées ni à la réalité du monde avec lequel nous vivons

 L’un de ces stratégies prises par notre pays c'est Le double système pédagogique adopté
par le Maroc dans les années 70 est basé sur la séparation entre l’enseignement général
allant du primaire jusqu’au lycée et l’enseignement supérieur. La connaissance est
véhiculée dans le premier type d’enseignement par la langue arabe alors que le second
continuera de fonctionner avec le français.et c’est l’un des problèmes majeurs. Plusieurs
distorsions ont été observées en particulier l’impossibilité de suivre l’enseignement du
supérieur par les bacheliers, sauf pour une petite catégorie d’entre eux ou ceux qui ont
fait des écoles privées.

 Le système d’évaluation adopté intègre les notes du contrôle continu dans la moyenne
du baccalauréat. La conséquence de ce système est que la plus grande partie de ceux
qui réussissent au bac ont des notes quatre fois moins que la note du contrôle continu
effectivement, avoir des notes élevées par n’importe quel moyen, par la triche, par la
corruption etc. La conséquence de ce système est que la plus grande partie de ceux qui
réussissent au bac ont des notes quatre fois moins que la note du contrôle continu.
Quel serait alors leur niveau à la faculté ?
 L’une des problèmes du système d’enseignement au Maroc, « les programmes et
contenus » qui sont dépassés et qui ne correspondent plus aux nécessités du monde
moderne dans lequel nous vivons et auquel nous sommes attachés économiquement et
avec qui beaucoup d’intérêts sont en jeu

 Une autre défaillance de notre système éducatif est l'évaluation et l'orientation.

 La cinquième problématique est encore plus complexe que les quatre premières. Elle
concerne la question des ressources humaines. Deux catégories de personnes peuvent
réussir ou échouer un système d’enseignement : les enseignants et les administrateurs
des différentes structures éducatives. Les deux catégories sont aussi importantes l’une
que l’autre. Aucune ne peut prévaloir être supérieure à l’autre, la défaillance de l’une
entraine automatiquement la défaillance de l’autre. Malheureusement, aujourd’hui, le
Maroc ne dispose pas de ces catégories pour le remplacement de celles qui existent.
Disposer d’enseignants ayant les compétences requises pour pouvoir diffuser la
connaissance et éduquer les futures générations.

Problèmes d’enseignement supérieure :


Nous pouvons relever, mais seulement à titre indicatif, quelques failles du système
d’enseignement supérieur :

 Comme dans l’enseignement général et malgré l’adoption du système L.M.D, les


programmes enseignés sont restés trop classiques avec les mêmes contenus des
années 80, à part quelques disciplines et spécialités nouvelles. On enseigne dans les
facultés des matières qui ne servent à rien dans la préparation des futurs cadre

 Le système pédagogique adopté dans nos universités (L.M.D) est parmi les meilleurs
systèmes pédagogiques du monde mais les conditions de travail (des groupes de 100
à 300 étudiants) ne permettent pas d’assurer les résultats escomptés.

 Un autre problème Comme vous nous avez dites ……..98% de l’enseignement surtout
le supérieur établi sur la peine et la quantité au lieu de la qualité et la confortabilité.
Les solutions :

Les enseignants qui doivent prendre en charge la formation et l’éducation de nos enfants
doivent être sélectionnés selon leurs compétences, selon leur moralité, selon leur éducation
et selon leur motivation et amour au métier d’enseignant. Ils doivent être formés dans des
centres de formation par des spécialités confirmés dans les méthodologies les plus
performantes. Ces enseignants doivent continuellement en formation continues pour
pouvoir suivre les nouveautés du monde de l’éducation.
Les programmes doivent être conçus pour répondre aux besoins du tissu économique, ils
doivent être orientés vers les nouvelles technologies et surtout ils ne doivent pas être rigides
pour pouvoir les adapter à l’évolution de notre monde.
Si on arrive à régler le problème des facultés à accès ouvert, le problème des amphis pleins
ne se posera plus et on aura rétabli les conditions favorables pour assurer un bon
enseignement orienté vers l’excellence.
Depuis le départ volontaire de la plus grande partie des anciens professeurs qui ont acquis
de l’expérience, le jeune corps professoral n’a pas suffisamment de compétences
pédagogiques pour dominer les spécialités enseignées. Ceci est dû au court parcours
doctoral
Le ministère de l’enseignement supérieur doit revoir sa vision et sa philosophie vis-à-vis du
secteur privé et le considérant comme partenaire et non comme Un secteur privé qui
fonctionne bien ne peut être qu’un atout pour le pays. Les structures du privé qui ne
respectent pas la déontologie et les réglementations en vigueur doivent être sanctionnées.
La coopération entre privé et public est vivement souhaitée.
et finalement Avec de bons professeurs, de bons chercheurs, l’université retrouvera sa place
dans les rangs des meilleures structures universitaires mondiales. Une université sans
recherche ne mérite pas ce nom.

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