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03 AVANT-PROPOS

06 ACTIVITÉS ET RÉALISATIONS

06 Activités et réalisations

13 STRATÉGIE, STRUCTURE ET FONCTIONNEMENT

14 La FEB, porte-parole des entreprises 28 Assemblée générale 52 Organismes dans lesquels la FEB
en Belgique 30 Conseil d'administration est représentée au niveau européen
16 Who's who à la FEB 32 Comité de direction et international
22 L'affiliation à la FEB, l'accès à un savoir- 34 Les Commissions et plates-formes 54 Publications FEB : l'expertise au
faire et à un réseau de relations uniques de la FEB service des chefs d'entreprise et
24 L'affiliation à la FEB, c'est aussi l'ac- 38 Organisations patronales régionales decision makers
cès à l'expertise de toute une série 40 Organismes dans lesquels la FEB est 60 FEB – Centre de conférences
de partenaires représentée au niveau national

63 FÉDÉRATIONS

64 Membres effectifs 83 Energie – entreprises électriques 100 Transport et logistique

64 Alimentation et gazières 101 Verre
66 Armateurs 84 Energie – gestionnaires de réseaux
67 Assurances – courtiers d'assurances d'électricité et gaz en Belgique 102 Membres adhérents
68 Assurances – entreprises d'assurances 85 Energie – pétrole 102 Activités diverses
69 Automobile et cycle 86 Fibres – ciment 102 Agences de paris
70 Banques, bourse, crédit et placements 87 Gestion de l'environnement 103 Attractions touristiques
71 Béton 88 Habillement et confection 103 Auteurs, compositeurs et éditeurs
72 Brique 89 Industrie graphique 104 Banques d'épargne
73 Bureaux d'ingénierie et 90 Industrie technologique 104 Bois
de consultance 91 Nettoyage 105 Cuir
74 Chaux, calcaires, dolomies 92 Papiers – fabricants 105 Dispositifs médicaux
et produits connexes 93 Papiers – industries transformatrices 106 Gestion des emballages industriels
76 Chimie et sciences de la vie 94 Ports 106 Industries céramiques
78 Ciment 95 Sablières 107 Industrie de la chaussure
79 Commerce 96 Services RH 107 Industries diamantaires
81 Compagnies aériennes 97 Sidérurgie 108 Institutions de pension
82 Construction 98 Textile, bois et ameublement 108 Médias audiovisuels

109 INFO

110 Chambres de commerce belges

112 Chambres de commerce étrangères & comités mixtes en Belgique
114 Chambres de commerce belges à l’étranger
116 Plan d’accès

FEB GUIDE 2010-2011

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ACTIVITÉS ET RÉALISATIONS

Redoubler d’efforts pour faire entendre

la voix des entreprises
ACTIVITÉS ET RÉALISATIONS

L’économie belge a connu en 2009 sa pire récession depuis la fin de la Seconde Guerre mon-
diale. Sur l’ensemble de l’année, le produit intérieur brut a en effet reculé de 3% ! Dans ce
contexte économique particulièrement difficile, la Fédération des entreprises de Belgique a
redoublé d’efforts pour faire entendre la voix des entreprises sur les plans tant fédéral qu'eu-
ropéen et international. Depuis septembre 2009, la FEB a ainsi pris une multitude d’initia-
tives concrètes, destinées à soutenir les entreprises dans cette période difficile, tout en
continuant à stimuler l’esprit d’entreprise, la croissance, les créations d’emplois et les inno-
vations technologiques. Celle qui restera dans les mémoires est sans nul doute l’appel sans
précédent lancé, début 2010, par la FEB et une dizaine d’autres organisations d’employeurs
du pays : «Laissez-nous entreprendre !». Mais bien d’autres actions ont été menées au cours
6 des douze derniers mois dans les domaines social, juridique, énergétique, environnemental,
de l’innovation, de la R&D, autant de défis à long terme, … En voici une brève évocation.

DES REMÈDES POUR RESTAURER NOTRE

COMPÉTITIVITÉ
Un pays qui innove, mais néglige sa compéti- par la FEB, si la Belgique ramenait son han-

1tivité au niveau des coûts commence par

mettre en jeu ses entreprises, puis leurs cen-
tres d’innovation et leurs laboratoires. Selon
le World Economic Forum (WEF), si l’on veut
éviter que notre pays reperde quelques
places dans les rankings interna-
dicap salarial à 0% durant la prochaine
législature, 60.000 à 73.000 emplois supplé-
mentaires pourraient être créés. La FEB est

“Si nous voulons effectivement

résorber le taux de chômage
tionaux dans les années qui vien-
élevé que connaît le pays, la
nent, il est grand temps de mettre
en œuvre les réformes néces-
modération salariale est une
saires pour sauvegarder notre nécessité absolue”
compétitivité. Ce n’est donc pas
un hasard si la FEB a inscrit ce d’avis que les partenaires sociaux doivent
point dans son mémorandum pu- tenter de concrétiser cet objectif avant la fin
blié avant les élections fédérales de l’année.
de juin dernier. Concrètement, la
FEB a plaidé pour que le gouvernement et La campagne de communication d’enver-
les partenaires sociaux fassent preuve de la gure «Laissez-nous entreprendre !» visait
discipline nécessaire pour continuer à résor- elle aussi à souligner haut et fort le véritable
ber le handicap salarial. Si ce n’est pas le cas, parcours d’obstacles auquel se heurtent les
le gouvernement devra prendre des mesures
contraignantes, comme le prévoit la loi de
1996 sur la norme salariale. Car l’expérience
antérieure à 1996 montre que les coûts sa-
lariaux belges dérapent facilement en l’ab-
sence d’un tel cadre.

La FEB pense aussi que si nous voulons

© Dann

effectivement résorber le taux de chômage 1

élevé que connaît le pays, la modération
salariale est une nécessité absolue. Selon entrepreneurs : un coût salarial 11% plus
une étude de la KU Leuven commanditée élevé que dans les pays voisins, une facture

FEB GUIDE 2010-2011

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énergétique qui risque d’encore augmen-
ter, un montant record de charges sur les
moyens et hauts salaires. Et la liste n’est pas
exhaustive… Face à cette situation, il im-
porte tout d’abord d’établir un pro-
gramme en faveur de la compétitivité. La
pétition qui accompagnait cette campagne
POUR UN MARCHÉ DU TRAVAIL DURABLE
2
Le manque de travailleurs qualifiés et la dis-
cordance entre l’offre et la demande sur le
marché du travail entravent la relance éco-
nomique et la croissance des entreprises.
Dans son 7e Livret statistique, publié en juin,
la FEB a objectivé les défis socio-écono-
miques pour l’automne 2010. Avec sa sécu-
rité sociale et sa fiscalité fortement «re-
distributrices», la Belgique fait mieux que la
moyenne européenne en ce qui concerne la
lutte contre la pauvreté, mais elle obtient un
moins bon score en matière d’emploi (67,1%
2
TENDRE À L’EFFICIENCE DES POUVOIRS PUBLICS
Des plans de relance d’envergure ont été
3
mis en place par les différents gouverne-
ments afin de faire face à la crise. Ils ont cer-
tes permis d’enrayer la chute de l’activité et
d’amorcer la reprise de l’économie, mais ils
se sont, dans le même temps, accompagnés
d'une dégradation spectaculaire des fi-
nances publiques des pays européens. Un
retour discipliné pour les pays de la zone
LÉGENDES
1 Le Premier ministre sortant Yves Leterme et Didier Reynders, vice-Premier ministre et ministre des Finances démissionnaire, reçoivent des mains de Thomas Leysen, prési-
dent de la FEB, la pétition soutenue par 25.000 signataires.
2 Le projet Business Route 2018 for Metropolitan Brussels, soutenu par la FEB, l’UWE, le VOKA et BECI, vise notamment la création d’emploi dans la zone métropolitaine
couvrant la Région bruxelloise, Halle-Vilvorde et une partie du brabant wallon. Il a été mis en avant dans le cadre du salon immobilier REALTY en mai dernier, et a, par ex-
emple, permis l’organisation d’un « Job Day » à échelle de la zone métropolitaine.
a recueilli un franc succès : plus de 25.000
signatures en deux semaines.
Par ailleurs, la FEB a été invitée en mars à
participer à des auditions à la Chambre sur
les intérêts notionnels. Elle y a rappelé les
fondements de cette mesure, notamment la
en 2009, contre 69,1% dans l’UE-27). Pour
améliorer sa performance et arriver à un
“Pour arriver à un marché du
travail durable, il faut mettre
un frein à la prolifération des
systèmes de congé et suppri-
mer progressivement les
régimes de départ anticipé”
marché du travail durable, elle devra adopter
de nombreuses réformes structurelles. S’agis-
sant du suivi des chômeurs, la FEB a pré-
senté en avril dernier sa position au
Parlement. Chiffres et faits à l’appui, elle a dé-
montré que le suivi du comportement de re-
cherche d’emploi des chômeurs porte ses
fruits, engendre une diminution du chômage
de longue durée, même en temps de crise, et
qu’il ne s’agit pas d’un mécanisme de sanc-
euro – et donc la Belgique – vers des fi-
nances publiques structurellement saines
n’est plus une option.
Ce plaidoyer figure également dans le Mé-
morandum publié avant les élections fédé-
rales de juin. Le message est clair : des
pouvoirs publics plus efficients et mieux or-
ganisés à tous les niveaux sont une des clés
ACTIVITÉS ET RÉALISATIONS
restauration de notre compétitivité, et a
plaidé pour un signal politique ferme et dé-
finitif de sa confirmation, afin de mettre un
terme à l’insécurité politique permanente
qui l’entoure et porte préjudice à notre at-
tractivité à l’étranger. 
ACTIVITÉS ET RÉALISATIONS
tion, mais d'une mesure d’accompagnement.
C’est pourquoi elle a plaidé pour que ce suivi
soit renforcé et étendu à toutes les catégo-
ries d’âge.
Pour arriver à un marché du travail durable, 7
il faut également mettre un frein à la proli-
fération des systèmes de congé, supprimer
progressivement les régimes de départ an-
ticipé, que la rigidité de notre droit du
travail soit gommée et que des efforts ad-
ditionnels soient consentis pour améliorer
l’employabilité des jeunes. Sur ce dernier
point, les quotas d’embauche, tels que l’obli-
gation de premier emploi, doivent d’urgence
être remplacés par des mesures stimulantes.
La FEB est aussi d’avis qu’il faut dynamiser
le marché de l’emploi, en instaurant, par
exemple, des allocations de chômage plus
dégressives (8% de réduction sur 5 ans
pour les chefs de famille au chômage, contre
30% dans la zone euro). 
“Des pouvoirs publics plus
efficients sont une des clés
indispensables pour rebondir
après ces temps difficiles”
indispensables pour rebondir après ces
temps difficiles et pour préparer les défis de
demain. Pour la FEB, réforme de l’Etat et 
FEB GUIDE 2010-2011
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ACTIVITÉS ET RÉALISATIONS
 fonctionnement plus efficace des pouvoirs
publics sont étroitement liés. Les chiffres
publiés par la FEB dans son Focus Effi-
cience des pouvoirs publics y font écho :
il en ressort que pas moins de 5 milliards
d’économies pourraient être réalisées si
ACTIVITÉS ET RÉALISATIONS
nos pouvoirs publics étaient aussi efficients
que ceux de nos trois pays voisins directs.
© Dann
L’emploi dans l’administration publique re-
UNE SOLIDARITÉ INDISPENSABLE ENTRE LES GÉNÉRATIONS
La FEB est préoccupée par la capacité de fi-
8
4
nancement de notre sécurité sociale et par
le coût énorme du vieillissement qui appro-
che à grands pas. Si rien n’est fait, cela aurait
comme conséquence d’accroître la pression
sur le marché du travail et donc sur le coût
du travail. Les défis qui se présentent à notre
économie rendent indispensable le lance-
ment de réformes structurelles, car la pros-
4
périté de nos enfants se joue maintenant. Si
l’on veut préserver une sécurité sociale qui
reste payable pour nos enfants et petits-en-
DES DÉFIS ÉNERGÉTIQUES ET CLIMATIQUES PRIS À BRAS LE CORPS
5
L’étude de l’économiste britannique Nicho-
las Stern (ancien chef économiste de la
Banque mondiale), publiée en 2006, sur l’im-
pact des changements climatiques sur l’éco-
nomie mondiale («The Economics of
Climate Change») met en évidence que des
mesures drastiques s'imposent à très court
terme pour éviter des dommages irrépara-
bles. Le Livret sur le climat 2010, publié peu
avant la Conférence internationale sur le cli-
mat de Copenhague – à laquelle la FEB a pris
part au sein de la délégation belge – esquisse
la voie à suivre et définit les critères auxquels
doit satisfaire une politique climatique inter-
FEB GUIDE 2010-2011
3 partant à la retraite.
fants, on ne peut pas à la fois vivre plus long-
temps et travailler moins longtemps.
En septembre 2009, la FEB a organisé un
colloque sur la nécessité d’un 2e Pacte de
solidarité entre les générations, qui a réuni
plus de 200 participants. Herman Van Rom-
puy, alors Premier ministre, y a pris la pa-
role, de même que des spécialistes exté-
rieurs à la FEB. L’objectif était de faire une
première évaluation du Pacte après 4 ans
d’application. Il a permis de mettre en évi-
dence plusieurs conclusions, comme le fait
que le Pacte ne va pas assez loin, que des
mesures complémentaires s’imposent pour
préserver notre bien-être et qu’à l’image de
ce qui s’est fait dans d’autres pays euro-
péens, la Belgique doit avoir le courage de
mener des réformes radicales concernant
l’âge de la pension ou les départs anticipés.
Pourquoi la Belgique ne relèverait-elle pas,
comme l'ont fait les Pays-Bas, le Danemark,
nationale de qualité. La FEB est convaincue
qu’un plan climatique avisé et équilibré per-
“Les charges de l’industrie
européenne doivent être com-
parables à celles de l’industrie
dans le reste du monde”
mettra d’inverser la tendance de façon éco-
logique et de créer de nouveaux emplois, de
nouveaux produits, de nouveaux processus
et de nouveaux marchés. Une condition sine
qua non est que les charges de l’industrie
présente 4 personnes pour 100 habitants,
alors que la moyenne pondérée des pays
limitrophes est de 3,3. Ce qui représente
un écart d’environ 70.000 agents. La FEB
préconise de lancer un pacte national plu-
riannuel au plus vite à tous les niveaux de
pouvoir, qui devrait notamment prévoir un
remplacement partiel des fonctionnaires

l'Allemagne ou la Suède, l’âge de la pension
à 67 ans ?
“La Belgique doit avoir le
courage de mener des
réformes radicales concer-
nant l’âge de la pension”
Une autre mesure concrète proposée par
la FEB est la création d’une pension com-
plémentaire libre des travailleurs salariés,
à savoir un nouveau système en vertu du-
quel un travailleur peut convertir une aug-
mentation salariale ou une prime en une
fraction de pension complémentaire plutôt
que de la faire verser sur son compte. Par
ailleurs, l’introduction, sous l’une ou l’autre
forme, d’un coefficient d’espérance de vie
dans le calcul de la pension serait justifiée et
équitable. 
européenne soient comparables à celles de
l’industrie dans le reste du monde, autre-
ment dit qu’un «level playing field» soit créé,
sous peine de mettre en péril la compétiti-
vité des sociétés européennes.
Par ailleurs, nos entreprises ont un rôle clé
à jouer sur les marchés en expansion des
technologies vertes, vu qu’elles disposent du
savoir-faire requis en matière d’efficacité
énergétique, de réduction des émissions de
CO2 et d’énergies renouvelables. Dans ce
cadre, la FEB a appelé à un plan ambitieux
pour que tous les acteurs unissent leurs ef-
forts en vue d’une utilisation optimale de
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ACTIVITÉS ET RÉALISATIONS

notre potentiel en matière d’efficacité DES CLÉS POUR LA R&D ET L’INNOVATION

énergétique. Lors de son Forum «Less

6
energy, more efficiency», d’avril 2009, la FEB Booster la R&D et l’innovation est un préa-
avait identifié un potentiel d’économies lable incontournable pour assurer l’avenir
théorique total (bâtiments, industrie, trans- de notre économie et de notre prospérité.
port routier,...) de près de 5,2 milliards d’eu- En 2008, les investissements en R&D en
ner vie au forum sur l’innovation, de ma-
nière à favoriser une approche coordon-
née de la politique de R&D.

ros par an d’ici 2030. Pour exploiter ce
potentiel, la FEB avait formulé plusieurs
pistes, dont la mise sur pied d’une «Green
Bank» qui offrirait des prêts subordonnés
à un taux avantageux en vue de financer
des projets visant à améliorer l’efficacité
énergétique dans l’industrie.
Lors d’un déjeuner débat consacré à l’effica-
ACTIVITÉS ET RÉALISATIONS
Belgique ont atteint 1,92% du PIB, ce qui
place notre pays dans la moyenne europé-
enne (1,9%). La FEB plaide pour que la Bel-
gique se hisse à la tête du peloton eu-
ropéen en R&D. Dans son 'Mémorandum
Elections fédérales 2010', elle a adressé,
dans ce sens, une série de pistes d’action
concrètes aux futurs élus. En tête de ses

cité énergétique avec le ministre fédéral de
l’Energie, Paul Magnette, la FEB a mis en
avant que des accords volontaires pour les
entreprises doivent être une des pierres an-
gulaires de la stratégie belge. La FEB soutient
également l’idée d’une politique d’achats
plus durables des pouvoirs publics, car ces
derniers doivent jouer un rôle d’exemple. Il
s’agit par cette démarche de stimuler la ca-
pacité d’innovation et le souci du dévelop-
pement durable dans les sociétés belges.
© Dann
propositions, le renforcement à court
terme de la dispense de versement du
précompte professionnel et un élargisse-
ment de la déduction pour brevets. Mais il
faut aussi combler le fossé avec la France,
où un crédit d’impôt de 30% sur les dé-
“Il faut, à court terme, une
dispense de versement du
précompte professionnel
et un élargissement de la
déduction pour brevets”
penses de R&D est d’application. Ratifier
rapidement le Protocole de Londres, qui
prévoit une importante simplification du
régime linguistique des brevets, et redon-
6
En octobre 2010, le 7e Programme-cadre
de Recherche et Développement sera 9
pour la première fois évalué. Pour la FEB, il
est essentiel de se concentrer davantage
encore sur les grands défis économiques
et sur l’acquisition d’un leadership dans les
nouvelles technologies. Il ne suffit toute-
fois pas d’intensifier les investissements en
R&D, il faut parallèlement intensifier les col-
laborations entre universités, accorder plus
d'attention à la commercialisation des in-
novations, ou encore protéger efficace-
ment les droits de propriété intellectuelle.
La Belgique devrait ainsi se munir de tri-
bunaux spécialisés dans les litiges relatifs
à la propriété intellectuelle. 

L’actualité a également été marquée par le

débat autour de l’introduction d’une taxe
carbone en Belgique. La FEB a fait entendre
sa voie au sein du Conseil central de l’éco-
nomie à la suite d'une demande d’avis du mi-
nistre Magnette. Il semble peu opportun de
n’introduire ce genre de taxe qu'en Belgique
vu le caractère très ouvert de notre écono-
mie. De plus, l’introduction d’une telle taxe
7enne figure sans conteste parmi les faits
ne pourrait être bénéfique sur les plans éco-
nomique, environnemental et social que si
l’on neutralise son impact sur l’index.  ses pour le Trio des présidences Espagne-
POUR UNE EUROPE AMBITIEUSE
La présidence belge de l’Union europé-
marquants des douze derniers mois. La
préparation de la présidence a débuté dès
2008, avec la communication d’un premier
inventaire des priorités de la FEB. A cela
s’ajoute la publication «Hand in hand», fin
2009, des priorités des milieux d’entrepri-
Belgique-Hongrie – élaborées conjointe-
ment avec ses fédérations sœurs espagno-
le (CEOE) et hongroise (MGYOSZ). Les
trois fédérations ont ainsi mis l’accent sur
l’importance d’un cadre législatif clair, sta-
ble et prévisible, ainsi que sur la nécessité
d’accroître la compétitivité de l’Europe
grâce à des réformes structurelles.
Dans son Focus Europe de juin, la FEB a 

LÉGENDES
3 Les propositions et les demandes concrètes adressées au monde politique ont servi de
fil rouge lors du débat électoral national organisé par la FEB, en collaboration avec Canal Z, et
qui a réuni 10 poids lourds des partis et plus de 300 dirigeants d’entreprise, entrepreneurs et
représentants des fédérations sectorielles affiliées à la FEB.
4 Pieter Timmermans, administrateur-directeur général de la FEB, et Herman Van Rompuy,
alors Premier ministre, lors du colloque sur le Pacte de solidarité entre générations, organisé
à la FEB.
5 Philippe Maystadt, président de la Banque européenne d’investissement (BEI), s’est
montré fort intéressé par le concept de Green Bank lors de sa visite à la FEB.
6 Guy Quaden, gouverneur de la Banque nationale, est reçu par la FEB et ICC Belgique
(Chambre de commerce international). Son exposé insiste sur la nécessité de renforcer les
efforts en matière de R&D, afin de mettre sur le marché des produits moins standardisés – pour
lesquels le facteur ‘coût’ intervient moins – et de développer de nouveaux marchés – où la
demande est plus forte.

FEB GUIDE 2010-2011

Guide FEB 2010 26/08/10 11:26 Page 10
ACTIVITÉS ET RÉALISATIONS
 mis l’accent sur les défis majeurs pour l’UE
pendant la présidence belge. Il en ressort
tout d’abord 4 grandes orientations : 1) pour
la zone euro, une gouvernance économique
et une coordination renforcée des politiques
économiques, 2) un marché européen du
ACTIVITÉS ET RÉALISATIONS
travail flexible et efficace, 3) l'achèvement du
marché intérieur et 4) la lutte
contre les changements cli-
matiques. A cela s’ajoutent 4
actions spécifiques pour la
présidence belge. La FEB ré-
clame une adoption rapide du
projet de brevet de l’Union
européenne et la mise en place, à brève
échéance, d’une juridiction européenne des
brevets. S’agissant des actions de groupe
10 («class action»), la FEB affirme que le modèle
“Le modèle américain de ‘class
action’ n’est pas une solution,
la priorité doit être accordée
à l’application effective de la
législation existante”
américain n’est pas une solution et que la
priorité doit être accordée à l’application ef-
fective de la législation existante, à l’informa-
tion du consommateur et à la promotion des
modes alternatifs de règlement des litiges
(ADR). L’Europe doit par ailleurs, développer
DÉVELOPPER ET SOUTENIR L’ESPRIT D’ENTREPRENDRE
8
Développer et soutenir l’esprit d’entrepren-
dre sont deux missions fondamentales de la
FEB, car elles sont à la base de notre pros-
périté. Malheureusement, trop de candidats
désireux de se lancer dans le monde des af-
faires sont refroidis par une multitude de dé-
marches administratives. Aussi l’objectif de
réduction de 25% des charges administra-
tives en Belgique d’ici à 2012 doit faire l’ob-
jet d’un suivi rigoureux. De plus, un effort
de simplification coordonné entre les diffé-
rents niveaux de pouvoir doit viser les en-
treprises de façon prioritaire.
Mais les entrepreneurs peuvent être con-
frontés à la dure réalité de la crise écono-
mique. La FEB a dès lors largement plaidé
en faveur d’adaptations à la prime de crise,
afin de modérer l’impact inéquitable pour
les employeurs. Ces adaptations sont au-
jourd'hui entrées en vigueur.
FEB GUIDE 2010-2011
une politique industrielle en matière de
cleantech afin de conforter sa position de
leader sur le marché mondial. Enfin, la FEB
préconise une migration rapide vers une Eu-
© jj De Neyer / triptyque
rope numérique, qui passe, entre autres, par
une bonne transposition de la directive TVA
garantissant l’égalité de traitement entre fac-
turation électronique et facture sur papier.
La 8e édition de l’European Business Sum-
mit (EBS), sous le titre «Remettre l’Europe
sur les rails», a été organisée concomitam-
ment au lancement de la présidence belge.
L’EBS a rassemblé plus de 2.500 participants
et plus d’une centaine d’orateurs de premier
plan (Premiers ministres, commissaires eu-
ropéens, CEO), venus débattre de sujets tels
que la reprise macroéconomique, le chan-
gement climatique et les technologies vertes,
la politique en faveur des PME, le commerce
mondial, l’énergie, les compétences et les in-
dustries numériques basées sur les connais-
sances. La FEB y a publié les résultats d’une
étude paneuropéenne, réalisée à sa de-
mande par Accenture et Insead auprès de
250 CEO européens, pour connaître leur vi-
sion d'une nouvelle dynamique pour le
Vieux Continent (cf. www.ebsummit.eu).
D’autres événements prestigieux seront
également mis sur pieds par la FEB lors de
la présidence belge de l’UE, tels que l’EU-
Par ailleurs, la loi du 31 janvier 2009 sur la
continuité des entreprises, portée par la
FEB, a fait l’objet d’un premier bilan. Les ré-
sultats publiés en octobre, six mois après
l’entrée en vigueur de la loi, étaient pour le
moins encourageants : 316 procédures en
réorganisation judiciaire avaient alors été ac-
cordées en six mois, soit quatre fois plus que
le nombre de concordats judiciaires accor-
dés au cours de toute l’année 2008. La FEB
émet cependant une petite réserve en sou-
lignant qu’il pourrait être fait davantage
8 actualisé, afin de constituer une plate-forme
7
Asia Business Summit, l’EU-China Business
Summit et l’EU-India Business Summit. La
FEB aura également l’honneur d’organiser à
Bruxelles la réunion semestrielle des prési-
dents des fédérations d’employeurs mem-
bres de BUSINESSEUROPE. Un site inter-
net (http://eupresidency.vbo-feb.be/) a éga-
lement été lancé dans le but de fournir, du-
rant toute la présidence, un status quaes-
tionis des dossiers socio-économiques eu-
ropéens d’actualité.
Sous la coordination de la Commission des
normes comptables, la FEB a également col-
laboré activement à l’élaboration d’une po-
sition belge concernant l’opportunité d’éta-
blir les comptes annuels des PME conformé-
ment aux normes IFRS (International Finan-
cial Reporting Standards). Elle estime qu’une
simplification des directives comptables exis-
tantes serait plus favorable aux PME. 
appel aux instruments tels que le médiateur
d’entreprise ou l’accord amiable.
“L’objectif de réduction de 25%
des charges administratives en
Belgique d’ici à 2012 doit faire
l’objet d’un suivi rigoureux”
L’esprit d’entreprendre s’acquiert dès le
plus jeune âge. Dans le cadre du projet
«DREAM Day», qui se veut une passerelle
entre l’école et le monde professionnel, une
vingtaine d’étudiants de dernière année de
secondaire ont découvert la FEB, sa mission,
ses départements. Ils ont également été fa-
miliarisés au portail d’information en ligne
«Ta propre entreprise» (www.tapropreen-
treprise.be), lancé en 2007 et régulièrement

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PUBLIREPORTAGE

Ethias, plus que jamais le partenaire privilégié des entreprises

et du courtage spécialisé
Capitalisant sur sa solide expertise d’assureur du secteur public, Ethias fait désormais
figure de partenaire privilégié des entreprises, plus spécifiquement dans le segment des
accidents du travail. Reconnue pour son efficacité et sa souplesse en matière de gestion
des sinistres, Ethias met avant tout l’accent sur la prévention, une démarche très appré-
ciée des sociétés de toutes tailles. Philippe Lallemand (Membre du Comité de direction
en charge des Collectivités) et Daniel Pirotte (Directeur IARD Collectivités et Entreprises) dé-
taillent la stratégie d’Ethias. 4

En mai 2010, la Commission
européenne a marqué son ac-
cord sur le plan de redéploie-
ment stratégique d’Ethias.
Fidèle à son ancrage mutualiste
et renforcée dans son business
model, Ethias entend à présent
développer sa position sur le
marché des entreprises.
Philippe Lallemand : "2010 a en
effet été une année décisive
pour Ethias. Depuis près de
deux ans, Ethias réalise avec
succès les objectifs d’un plan de
redéploiement stratégique sou-
tenant la croissance rentable de
ses activités. Ce plan straté-
gique, accepté par la Commis-
sion européenne, renforce
durablement la rentabilité et la
solvabilité du groupe. Le recen-
trage d’Ethias sur ses métiers
d’assureur des collectivités et
entreprises – rôle qui n’a cessé
de contribuer au succès d’Ethias
depuis sa création – constitue le
point essentiel du plan de redé-
ploiement. Pour mener à bien
les objectifs de ce plan, Ethias
a en outre pris la décision de
réévaluer certaines de ses pré-
cédentes orientations, à titre
d’exemple la vente de son pôle
bancaire dans un avenir proche,
et la cessation progressive de
ses activités en Vie Particuliers
d’ici à 2013."
Cette décision de la Commis-
sion européenne n’a aucun im-
pact sur les relations qu’Ethias
entretient avec les entreprises
et leurs partenaires de réfé-
rence, les courtiers spécialisés.
Ph. L. : "Ces décisions n’impac-
tent en rien notre position sur le
marché corporate. Bien au con-
traire, les entreprises privées
constituent une piste essentielle
de consolidation et de dévelop-
pement pour nos activités d’as-
surance Vie et Non-Vie, en étroi-
te collaboration avec le courta-
ge spécialisé. Nos collectivités
et entreprises seront bien en-
tendu les premiers bénéficiaires
En plus d’apporter une réponse
immédiate et efficace aux besoins
de ses assurés en matière de cou-
verture des risques, le principal
objectif d’Ethias est de gérer
chaque sinistre de manière rapide
et efficace.
de ces changements. Nos va-
leurs mutualistes historiques
d’engagement et de proximité
demeurent la charpente de
notre relation avec les assurés.
C’est en s’appuyant sur ces va-
leurs que nous continuerons de
développer une entreprise per-
formante, attachée à son indé-
pendance et à son caractère
belge. Le maintien de notre po-
sition de leader en assurances
accidents du travail témoigne
de ce dynamisme de l’entre-
prise au service de ses assurés."
Daniel Pirotte : "Forts de notre
expérience dans le secteur pu-
blic, nous avons développé des
produits innovants à destination
du secteur privé. Pour répondre
efficacement aux besoins des
entreprises, nous avons déve-
loppé un partenariat privilégié
avec les grands courtiers natio-
naux établis dans les trois ré-
gions du pays, ainsi qu’avec
plusieurs courtiers régionaux.
Dans notre pays, plus de 9 en-
treprises sur 10 font en effet
appel au réseau des courtiers.
Ces derniers ont une connais-
sance très pointue des risques
liés aux activités de leurs clients
et possèdent un savoir-faire
technique incontestable, qui se
combine idéalement au nôtre.
Une stratégie de distribution
qui porte réellement ses fruits :
nos volumes de primes sont en
croissance régulière dans ce
créneau du marché, et nous en-
registrons une croissance de
6,6% en Non-Vie sur 2009.
En 2009, les services d’Ethias
ont géré 57.989 sinistres surve-
nus au sein des collectivités et
des entreprises dans le cadre
d’accidents du travail. En plus
d’apporter une réponse immé-
diate et efficace aux besoins de
nos assurés en matière de cou-
verture des risques, notre princi-
pal objectif est de gérer chaque
sinistre de manière rapide et ef-
ficace."
Les services innovants que
vous proposez aux entreprises
en matière de sécurité et de
gestion des risques reflètent la
valeur de proximité que vous
privilégiez.
D. P. : "Tant pour Ethias que
pour ses clients, le meilleur si-
nistre est celui qui ne se produit
pas. Nous disposons donc d’une
cellule prévention, composée
de conseillers brevetés « niveau
1 » en matière de sécurité, qui
épaule nos assurés sur le ter-
rain. Nous dispensons des for-
mations à la sécurité, sur
mesure et gratuites, à la de-
mande des entreprises clientes.
Nous avons également mis en
place une cellule d’aide aux vic-
times et proposons un suivi psy-
chologique en cas de
traumatisme grave. Tout est mis
en œuvre à notre niveau pour
que l’entreprise économise un
temps
précieux en cas d’accident :
gestion intégrée des interve-
nants (médecins, avocats…),
contrôle systématique des inca-
pacités temporaires via notre
réseau de médecins-conseils,
module performant de gestion
du paiement des frais, etc. Nous
mettons particulièrement l’ac-
cent sur une gestion informati-
sée des contrats et des sinistres.
Grâce au logiciel Acceval, cha-
que affilié peut suivre on-line,
dans un espace sécurisé, ses
propres statistiques en matière
d’accidents de travail et adapter
en conséquence sa politique de
prévention. Cet outil, qui garan-
tit à la fois un gain de producti-
vité et une efficacité accrue,
est très apprécié par les entre-
prises." 
Vous trouverez plus d’infos
sur www.ethias.be
entreprises@ethias.be
Guide FEB 2010 26/08/10 11:26 Page 12
ACTIVITÉS ET RÉALISATIONS
 d’information de référence pour tout can-
didat entrepreneur.
La FEB soutient, dans la même optique,
l’organisation de concours tels que «En-
terprize». Enterprize offre aux partici-
pants, candidats entrepreneurs, l’oppor-
ACTIVITÉS ET RÉALISATIONS
tunité de faire évaluer en toute confiden-
tialité leur plan d’affaires par des experts
reconnus. A l’issue de la sélection, le meil-
leur plan d’affaires permet à son titulaire
de décrocher le prestigieux titre de «Jeune
Entrepreneur de l'Année».  concrétisent cet objectif avant la fin de l’année. La FEB veillera ce que la compétitivité
12
PROMOUVOIR NOTRE PAYS À L’ÉTRANGER
Aujourd’hui, plus que jamais, il est indispensable
9
que le potentiel de nos entreprises soit valorisé
à travers le monde. C’est pourquoi la direction
de la FEB n’a pas manqué ces douze derniers
mois de vanter les qualités de nos sociétés, no-
tamment lors des différentes missions écono-
miques emmenées par SAR le Prince Philippe.
“Des pays émergents comme la
Chine, l’Inde ou encore le Brésil
constituent de réelles opportunités
pour les entrepreneurs belges”
Des pays émergents comme la Chine, l’Inde ou
encore le Brésil constituent de réelles opportu-
nités pour les entrepreneurs belges et ce n’est
donc pas un hasard si la FEB a multiplié les prises
de contact avec les autorités et les chefs d’entre-
prise de ces pays. A l’occasion de la visite en Bel-
gique du président brésilien Luiz Inácio Lula da
Silva en octobre dernier, la FEB a ainsi organisé
un Forum économique Belgique-Brésil. Le pré-
sident Lula y a appelé les Belges à intensifier leur
présence et leurs activités au Brésil. Quelques
mois plus tard, ce fut au tour de la FEB de parti-
ciper, à Brasília, à la mission commerciale prési-
dée par SAR le Prince Philippe.
Le Belgium China Economic and Trade Forum
également organisé par la FEB en octobre a per-
mis de renforcer les liens économiques bilatéraux
entre les deux pays, en présence du Vice-prési-
dent chinois et de SAR le prince Philippe notam-
FEB GUIDE 2010-2011
Des défis et des opportunités
Les douze derniers mois ont été l’occasion pour la FEB de défendre les intérêts des
entreprises de Belgique avec de nombreux succès à la clé. Malgré ce bilan positif, la
FEB est consciente qu’il faut continuer à œuvrer à une économie compétitive, à un
marché du travail durable, à des pouvoirs publics efficients, à la solidarité entre les gé-
nérations, aux défis climatiques, à l’innovation, aux dossiers européens ainsi qu’à la
promotion de l’esprit d’entreprendre et de l’image des entreprises en Belgique et à
l’étranger. Les exemples ne manquent pas. Ainsi, pour arriver à créer des emplois, le
handicap salarial doit être ramené à 0% et il faut donc que les partenaires sociaux
et le maintien de l’emploi constituent la priorité du nouveau gouvernement fédéral et
du nouveau cycle de négociations interprofessionnelles. Par ailleurs, en matière de R&D,
la FEB juge essentiel de se concentrer davantage encore sur les grands défis écono-
miques et sur l’acquisition d’un leadership dans les nouvelles technologies. Au niveau
européen et international, la présidence de l’UE et les sommets Europe-Asie, Europe-
Chine, et Europe-Inde, constitueront une opportunité de contribuer à l’image de notre
pays à l’étranger et d’intensifier nos échanges commerciaux avec les pays émergents.
LÉGENDES
7 La séance plénière
ment. Par ailleurs, la FEB a participé, fin octobre, d'ouverture de l'European
Business Summit. De g. à dr.
à la mission princière en Arabie Saoudite et, fin Rudi Thomaes, administra-
novembre, au Maroc à la mission princière réu- teur délégué de la FEB ;
Vincent Van Quickenborne,
nissant plus de 270 hommes d’affaires, soit l’une ministre démissionnaire de
des plus importantes jamais organisées. L’ASBL l'Économie et des réformes ;
Kristalina Georgieva, com-
Health Care Belgium, créée à l’initiative de la FEB, missaire européen à la
a également été fort active dans la promotion à Coopération internationale ;
l’étranger du savoir-faire de nos hôpitaux et en- Edward Davey, ministre
britannique de l'Emploi, de
treprises dans l’offre de soins et appareillages mé- la Consommation et des
dicaux. Services postaux, et Philippe
de Buck, directeur général
La FEB a édité plusieurs brochures visant à pro- de BUSINESSEUROPE.
mouvoir, à l’étranger, différents secteurs innovants
8 Lors de la rencontre an-
de son économie. La brochure «Belgian eco-so- nuelle FEB-Eurodéputés
lutions leading the way» offre un aperçu de la belges, la FEB a plaidé en
faveur d’une gouvernance
économique de la zone
euro, d’une concrétisation
rapide du Rapport Monti sur
le marché intérieur, d’un
marché européen du travail
flexible et de l’introduction
rapide du brevet de l'Union
européenne ou encore de la
facturation électronique.
© Dann
9 Thomas Leysen à la tri-
9 bune avec, de g. à dr. : le
vice-ministre du Commerce
Zhong Shan, de l’ambas-
large gamme de produits et service offerts par sadeur de Chine en Belgique
les entreprises belges actives dans les solutions Zhang Yuanyuan, du vice-
président chinois Xi Jinping,
vertes. «Equipped for the future» fait le point sur de SAR le Prince Philippe
les programmes en anglais proposés par nos uni- et de Yves Leterme, alors
ministre des Affaires étran-
versités et hautes écoles, et vise à contribuer à gères.
attirer dans notre pays des étudiants et cher-
cheurs du monde entier (voir aussi, dans ce
Guide, la rubrique 'Publications FEB').