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Arbre Co uplage/Réducteur
moteur
Réseau
A limentation M oteur K Charge
Pa ηm Pu K= Ω r /Ω m Pc
Tm Ωc J
ηr
Ωm Tc
Pa : Puissance absorbée par le moteur en W ou kW
ηm : Rendement du moteur (ηm= Pu / Pa)
Pu : Puissance utile fournie par le moteur sur l’arbre en W ou kW (Pu = Tm Ωm)
Tm : Couple utile sur l’arbre moteur ou couple résistant opposé par la charge en Nm
Ωm : Vitesse de rotation de l’arbre moteur en rad/s
K : Rapport de réduction du réducteur (K = Ωr / Ωm )
ηr : Rendement du réducteur (ηr = Pc/ Pu )
Pc : Puissance demandée par la charge en W ou kW
Ωc : Vitesse de rotation de la charge en rad/s
Tc : Couple résistant de la charge en Nm
J : Moment d’inertie de la charge en kg/m2
I.1.1 Alimentation :
protection : Protéger le démarreur et les câbles contre les courts-circuits, les faibles
surintensités en plus de certaines protections spécifiques supplémentaires
Commande : mettre en marche et arrêter le moteur éventuellement mise en vitesse
progressive voire régulation de la vitesse.
Isolement ou sectionnement : isoler le circuit en vue d'opérations de maintenance sur le
départ-moteur.
L'alimentation des moteurs électriques dépend, bien évidemment, du type du moteur et des
objectifs recherchés.
Dans ce cas le rhéostat est utilisé principalement pour limiter le courant de démarrage, mais il
peut être aussi utilisé pour la variation de vitesse. Le rôle du rhéostat est de dissiper une partie de
la puissance débitée par la source et ainsi limiter la puissance absorbée par le moteur.
L'alimentation électronique des moteurs est basée sur les convertisseurs électroniques d'énergie.
Le choix du type du convertisseur dépend de l'énergie disponible à la source (continue ou
alternative) et les caractéristiques de commande qu'on cherche à obtenir.
Les schémas d'alimentations classiques des moteurs à courant alternatifs sont représentés ci-
dessus, on y retrouve principalement, en plus de l'alimentation direct, alimentation étoile triangle
qui permet d'alimenter le moteur avec une tension simple ou une tension composée, alimentation
par des résistances statoriques ou rotoriques, alimentation par autotransformateur. Toutes ces
alimentations ont pour rôle d'agir sur la valeur de la tension ou du courant du moteur dans le but
soit du métriser les courants d'appel ou obtenir des vitesses de rotations différentes.
Les alimentations par gradateur ou par un onduleur associé à un redresseur sont aussi appelées
alimentations électroniques. Le premier est utilisé comme démarreur progressif ou variateur de
vitesse pour les moteurs de très grandes puissances, il agit sur la tension efficace d'alimentation
alors que le deuxième, l'onduleur, agit sur la fréquence et l'amplitude de la tension qui alimente
le moteur. Avec les différentes techniques de commande on peut contrôler la vitesse, le couple
ou la position du moteur.
I.1.2.1 définition :
D'une manière générale, on définit une machine électrique comme étant un dispositif de
conversion entres deux types d'énergies, l'une d'entres elle est électrique.
Quand la conversion est Electrique => Mécanique notre machine est un moteurs, mais quant
conversion est Mécanique => Electriques la machine est une génératrice.
MOTEUR
GENERATRICE
On trouve principalement des moteurs électriques à courant continu et des machines à courant
alternatif.
Selon les différents montages possibles entre les enroulements rotoriques et statoriques on
obtient les différents types existants, on trouve donc :
Se sont des machines qui se constituent d'un rotor et d'un stator. Le stator est alimenté par un
courant alternatif, qui produit un champ magnétique statorique tournant qui est à la base de leur
principe de fonctionnement.
Il existe deux types de machine à courant alternatives : Les machines synchrones et les machines
asynchrones.
Le Rotor est constitué d’un enroulement créant un champ magnétique 2p polaire. Il possède donc
p paires de pôles. Le champ magnétique rotorique est soit crée par alimentation en courant
continu par l’intermédiaire de bagues et de balais du circuit rotorique soit par des aimants
permanents.
Stator est la partie fixe du moteur. Il comporte trois bobinages (ou enroulements) qui peuvent
être couplés en étoile Y ou en triangle ∆ selon le réseau d’alimentation. Les enroulements du
stator sont le siège de courants alternatifs monophasés ou triphasés. Ils possèdent le même
nombre de paires p de pôles que le rotor. Le champ magnétique statorique créé tourne à la
pulsation ΩS qui correspond à la fréquence de des courants alternatifs alimentant le stator.
Le champ tournant du stator accroche le champ inducteur solidaire du rotor. Le rotor ne peut
donc tourner qu’à la vitesse de synchronisme ΩS.
Le moteur asynchrone triphasé, qui est le moteur le plus utilisé dans les installations
industrielles.
Comme pour la machine synchrone, le stator du moteur asynchrone constitue la partie fixe du
moteur. Il comporte trois enroulements qui peuvent être couplés en étoile ou en triangle.
La partie tournante du moteur, cylindrique, est le rotor, il porte soit un bobinage soit accessible
par trois bagues et trois balais, soit une cage d’écureuil non accessible, à base de barres
conductrices en aluminium. Dans les deux cas, le circuit rotorique est mis en court-circuit en
étoile ou en triangle (par des anneaux ou un rhéostat)
On dispose sur le stator de trois bobines identiques, Ces trois bobines alimentées par un système
de tension triphasé produisent un champ magnétique tournant, champ inducteur, le rotor se
trouvant au centre de ce champ. Tant que le rotor à une fréquence de rotation différente que celle
du champ inducteur, chaque point de rotor voit une variation de champ. A cause de cette
variation, les conducteurs rotoriques produisent donc une f.é.m qui, dans le circuit fermé, va
donner naissance à des courants induits. La présence de ces courants induits et du champ
inducteur fera apparaître une force mécanique qui fera tourner le rotor.
Le rotor ne pourra jamais tourner à la même vitesse que le stator.
Cette catégorie de transmission de puissance est aussi appelée accouplement. C'est une liaison
établie entre deux organes d'un système, généralement deux arbres, de telle manière que la
rotation de l'un entraîne celle de l'autre. C’est aussi le nom donné au dispositif permettant cette
liaison.
A la même vitesse en faisant appel à des accouplements qui peuvent être soit rigides,
semi-élastiques, élastiques ou articulés.
Avec changement de vitesse à axes parallèles en faisant appel à des roues de friction, à
des engrenages, poulies courroies
A travers des systèmes de transformation de mouvement comme le système vis et écrous
trapézoïdaux (ou vis mère), Pignon crémaillères, Cames-suiveurs ou Bielle manivelle
a. Couplage sans changement de vitesse de rotation :
Accouplements rigides :
Ce type de liaison consiste à lier de façon rigide les deux arbres d’un système. Généralement,
une pièce intermédiaire crée la liaison. Il existe de nombreux montages: vis de pression, serrage
par mâchoires, clavetage …
Ils permettent de rattraper de petits défauts d’alignement (typiquement les défauts d’usinage).
Ces accouplements sont généralement constitués de deux parties rigides solidaires des arbres et
d’une partie légèrement flexible qui rattrape les défauts d’alignement.
Il existe une multitude d’accouplements de ce type. Les critères devant être pris en ompte lors du
choix sont : le prix, l’encombrement, la vitesse de rotation maximum, le désalignement
angulaire, le désalignement axial et radial et la durée de vie. Ces accouplements présentent
généralement d’excellentes propriétés homocinétiques. C'est-à-dire que le mouvement de l’arbre
de sortie est fidèle au mouvement de l’arbre moteur.
Accouplements élastiques
Basés sur le même principe que les accouplements semi-élastiques, ceux-ci supportent des
désalignements plus importants mais ne conservent pas les propriétés homocinétiques. Sur
l’exemple ci-dessous, on devine facilement un retard entre le mouvement des deux arbres. Ce
retard est dû à la torsion de la partie flexible.
Courroie : lien flexible destiné à assurer une transmission de puissance entre un arbre moteur et
un arbre récepteur dont les axes peuvent occuper diverses positions relatives.
Polie 1 Polie 2
Sur la Figure ci-dessus, la relation liant les couples et les vitesses de rotation est :
௪మ ௗ
௪భ
= భ = ௗభ Avec :
మ మ
Roues de friction
D1 D2
ܦଵ
ݓଶ = .ݓ
ܦଶ ଵ
Rapport de transmission est le coefficient k sans unité qui lie les vitesses d’entrée et de sortie. Il
భ
est défini par la relation suivante : ݇ =
మ
Le rapport couple de sortie sur couple d’entrée est inversement proportionnel au rapport des
మ
vitesses : = మ
భ భ
Le rapport de transmission est aussi appelé rapport de réduction. Il est fréquemment présenté
sous la forme : 20:1 (prononcer 20 par 1), ce qui signifie que 20 tours de l’arbre d’entrée
ଵ
équivalent à 1 tour de l’arbre de sortie : ݇ =
ଶ
Il un important de connaitre les charges entrainées, leur géométrie et leur masses, cela permet de
déterminer un entrainement correct pour atteindre les performances attendues.
L’inertie : Elle est d’autant plus importante que la masse de la charge est grande et s’oppose à la
mise en mouvement. Elle est caractérisée par le moment d’inertie J, qui s’exprime en kg/m.
Chaque type de mécanique peut être classé suivant sa caractéristique couple/vitesse : couple
constant, couple linéaire, couple quadratique…
Le couple de décollage et les couples transitoires sont des paramètres à identifier pour le
dimensionnement correct de l’entraînement.
La vitesse : C’est la qualification du mouvement d’une charge présentant une certaine inertie et
soumis à un couple. Pour les moteurs électriques, elle s’exprime en tours par minute (Tr/mn).
1
=ܬ ܴ(ܯଶ + ݎଶ )
2
Exemple d'application :
ܬଶ ܬ
ܬ = ்ܬெ + ܬଵ + +
݇ଵଶ (݇ଵ . ݇ଶ )ଶ
Calculant ்ܬd'un tapie roulant qui est un système constitué de : moteur électrique + réducteur,
deux (02) roues et une masse transportée.
Quadrant I seul : la machine ne tourne que dans un seul sens de rotation, le couple est positif
ou nul (accélérations contrôlées et décélération non contrôlées)
Quadrants (I et II) : la machine ne tourne que dans un seul sens de rotation, le couple est
positif ou négatif (accélérations et décélération contrôlées)
Quadrants (I et IV) : la machine tourne dans les deux sens de rotation (pour le sens inverse
la charge est nécessairement entraînante), le couple est toujours positif (accélérations
contrôlées et décélération non contrôlées)
Quadrants (I à IV) : la machine tourne dans les deux sens de rotation quelque soit la charge
entraînée le couple est positif ou négatif (accélérations et décélération contrôlées)
I.3 Les caractéristiques mécaniques des machines entrainées et des moteurs électriques
I.3.1 Les caractéristiques mécaniques des machines entrainées
Définit les besoins de la machine entraînée. Lorsque cette caractéristique n’est pas connue, elle
est assimilée à l’une des trois caractéristiques ci dessous.
- Levage.
La caractéristique du couple résistant des
Caractéristique de ventilation 2 : différents types de charges en fonction de la
vitesse
Le couple résistant Tr est assez faible au décollage. Il
croit avec la vitesse selon une loi donnée : Tr = k '.Ω 2
MET 303 -2013/2014 11
Cours Entrainement Electrique Master Electrotechnique industrielle
Exemples :
− Pompe centrifuge,
− Ventilateur.
Caractéristique concasseur 3 :
Le couple résistant Tr est important au décollage, il décroît avec la vitesse.
k ''
Tr =
Ω
Exemple : Concasseur.
Tous les moteurs électriques présentent une fonction de vitesse de rotation décroissante avec
l'augmentation du couple charge. La nature de la variation permet de classer ces caractéristiques
en trois catégories :
Vitesse
Couple
Vitesse Caractéristique
mécanique du moteur
Caractéristique mécanique
de la charge
Le point de fonctionnement
Couple
De nombreux systèmes industriels entraînés par des moteurs électriques utilisent la variation de
vitesse pour optimiser leur fonctionnement.