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’argent de la certification en Algérie

Depuis le lancement en 2000 du programme d’accompagnement des entreprises pour la


certification, 178 entreprises publiques et privées ont réussi à se conformer aux exigences du
système de management de la qualité et de l’environnement.

M.Djaballah Belkacem, directeur de la normalisation et de la protection industrielle (DNPI) au


ministère de l’Industrie, déclarait à l’APS que six grandes opérations ont permis à 167
entreprises d’obtenir la certification ISO (International Standardization Organization) 9001
version 2000.

Autrement dit ayant satisfait aux exigences d’un audit de niveau international. Plus
simplement, elles ont réussi l’examen qui leur permet désormais de faire valoir le label
d’entreprises en mesure de respecter leurs engagements pris avec leurs clients en termes de
qualité, prix et délais.

Selon le même responsable du ministère de l’Industrie, six autres entreprises ont été certifiées
ISO 14001 version 1996 alors que 5 entreprises sont en voie de certification ISO 22000,
autrement dit le référentiel HACCP (analyse des risques et la maîtrise des points critiques).

Il y a lieu de préciser que ISO 22000 est la norme internationale relative à la sécurité des
produits alimentaires. Le directeur de la normalisation et de la protection industrielle soulignait
qu’une aide financière d’un montant de 50 milliards de centimes a été accordée pour
l’application du programme de développement d’un système national de normalisation mis en
place par le ministère de l’Industrie et approuvé par le gouvernement en mars 2000, dans son
volet relatif à la mise en place de la démarche qualité et environnement en entreprises.

Il faudra savoir à ce propos qu’une entreprise nationale publique ou privée, quelle que soit sa
dimension, peut prétendre à une certification.

Toutefois, il y a lieu de signaler à ce propos le recours impératif à un bureau d’études


spécialisé pour accompagner cette entreprise dans la mise en place du système de
management de qualité. Autrement dit la hisser aux exigences de la norme internationale dans
la gestion documentaire, des ressources humaines, matérielles et financières. Cependant, cet
accompagnement a un coût.

En effet, s’assurer les services d’un bureau d’études spécialisé revient pour une entreprise à
débourser un montant qui va de 300 à 500 millions de centimes. Une fois la mise en place du
système de management de la qualité opérée, l’entreprise peut solliciter alors un organisme
international habilité à donner la certification ISO. Mais elle doit encore débourser pour l’audit
un montant qui tourne généralement autour de 100 millions de centimes avec une partie payée
en devise.

Reste à dire que la certification n’est valable que pour une durée de trois années. Pendant
cette durée, l’organisme certificateur en contrepartie d’un montant de 25 millions de centimes
environ opère chaque année un audit de suivi pour vérifier si l’entreprise en question respecte
toujours les normes à partir desquelles elle a obtenu la certification. S’il s’avère qu’une
entreprise lors d’un audit de contrôle n’a pas respecté les normes édictées, elle perd
automatiquement la certification.

Ce même organisme peut opérer un contrôle sur plainte d’un client d’une entreprise qui estime
que cette dernière n’a pas été à la hauteur de sa certification. Relevons qu’au bout de trois
années cette même entreprise est obligée de solliciter pour une nouvelle certification un audit
et doit obligatoirement débourser pour ce faire le montant de 100 millions de centimes.

Il arrive même pour une entreprise de solliciter le concours d’un bureau d’études pour cette
nouvelle certification si elle a connu des changements importants. Ce qui fait que nombre
d’entreprises qui veulent se hisser à la norme ISO 9001 version 2000 sollicitent l’aide financière
du ministère de l’Industrie.

Ce dernier lui propose alors une fois le dossier réceptionné une liste de bureaux d’études
agréés. Une fois le chois fixé, elle doit satisfaire à un cahier de charges pour prétendre à un
remboursement. Sauf que le ministère ne rembourse finalement que 50% des montants
engagés par l’entreprise avec un plafonnement de 150 millions de centimes.

Autrement dit si l’entreprise ayant obtenu la certification débourse par exemple 500 millions de
centimes, elle ne sera remboursée qu’à hauteur de 150 millions.

Au total, selon Belkacemi, 28 entreprises ont été effectivement remboursées pour avoir réussi
à obtenir leur certification alors que 49 dossiers d’autres entreprises sont engagés pour
remboursement. Actuellement, dira ce responsable, le seul organisme habilité à délivrer les
accréditations en Algérie est ALGERAC, créé par une loi de juin 2004 mais n’a pas encore
commencé à activer.

Une fois opérationnel, ALGERAC sera affilié aux deux grands organismes reconnus
internationalement en la matière, à savoir ILAC (International Laboratory Accreditation) et IAF
(International Accreditation Forum).

Par Mohamed Salah Boureni - Quotidien Oran

http://www.algeria.com/forums/business-affaires/23216-du-nouveau-pour-la-certification-des-
entreprises.html

En l’absence d’organismes certificateurs accrédités :


Les exportateurs algériens font appel à des experts étrangers

Mardi 22 Avril 2008 -- L’absence d’organismes certificateurs locaux pénalise énormément


les entreprises exportatrices algériennes. Pour écouler leurs marchandises sur le marché
international, de nombreux opérateurs se trouvent dans l’obligation de recourir à des
organismes internationaux pour certifier leurs produits. De telles démarches coûtent
énormément cher et handicapent les exportateurs nationaux par rapport à leurs
concurrents étrangers, selon le directeur de Biodattes Algérie, M. Fayçal Khebizat.

«Contrairement au Maroc et à la Tunisie, qui disposent de leur propres normes en


matière de produits agroalimentaires bio, l’Algérie n’en a aucune. Ce qui nous oblige en
tant qu’exportateur de faire appel à des experts français, allemands ou tunisiens pour
certifier nos produits», a-t-il expliqué hier au forum El Moudjahid, lors d’une conférence-
débat sur la certification et les normes de qualité.

Cet opérateur spécialisé dans la distribution et l’exportation de dattes et autres produits


agroalimentaires, tels l’huile d’olive, les agrumes, les amandes et les cultures
maraîchères, affirme que la même opération réalisée au Maroc, en Tunisie ou au Sénégal
coûterait 10 fois moins chère du moment que ces pays disposent de leurs propres
normes. «Le fait que nous ne disposons pas d’une législation spécifique aux produits bio
et aux notions de qualité, nous discrédite sur le marché national, alors que des
concurrents tunisiens, pakistanais ou israéliens se positionnent à notre détriment», a-t-il
encore regretté.

En réponse aux préoccupations des exportateurs de l’agroalimentaire, le directeur


d’Algerac (organisme algérien d’accréditation), M. Nouredine Boudissa, a affirmé que son
organisme a été saisi par le ministère de l’Agriculture pour mettre en place un arsenal
juridique relatif aux produits bio et que l’opération devrait s’étendre également aux
produits industriels. Le directeur d’Algerac a toutefois reconnu que l’absence flagrante
d’organismes certifiés est une conséquence logique de l’inexistence d’organismes
certificateurs au niveau national. «Sur les 2 000 laboratoires exerçant sur le territoire
national, il n’y a que deux laboratoires certifiés», a-t-il révélé.

Précisant la mission de son organisme, il a expliqué qu’Algerac accrédite les organismes


certificateurs. «Algerac dispose actuellement d’une vingtaine de demandes
d’accréditation qui font l’objet d’étude», a-t-il indiqué. Il s’agit de laboratoires spécialisés
dans la santé et l’agroalimentaire et d’organismes certificateurs, ainsi que ceux
d’inspection dans l’agréage et les hydrocarbures. «Ainsi, pour la première fois, un
organisme algérien va délivrer les premières accréditations à des organismes
certificateurs locaux», s’est-il félicité.

Du nouveau pour la certification des entreprises

Jeudi 15 Octobre 2009 -- Le ministère de l'Industrie et de la Promotion des


investissements lance un programme qui permettra aux entreprises (publiques et
privées) qui emploient plus de 20 personnes de pouvoir être certifiées aux normes
internationales, notamment ISO 9001, ISO 22 000, ISO 14 000, etc. C'est ce qu'a fait
savoir hier M. Belkacem, chef de division chargé de la qualité et de la sécurité
industrielles au sein du département de Temmar, en marge d'une rencontre organisée à
l'hôtel Hilton d'Alger par l'Institut algérien de normalisation (IANOR). Le responsable
soulignera que l'Etat financera à hauteur de 80% la certification de l'entreprise, à
condition que le montant ne dépasse pas les deux millions de DA. M. Belkacem, qui
rappellera que l'apport de l'Etat ne dépassait pas 50% dans le passé (2002), a soutenu
que ce programme décidé par le MIPI permettra à de nombreuses entreprises d'être
certifiées et de jouir d'un système intégré (O HSAS), en matière de respect de la qualité,
du management et de l'environnement notamment. À ce sujet, le directeur général de
l'IANOR Mohamed Chaieb Aïssaoui a affirmé qu'il existe environ un millier d'entreprises
qui sont certifiées en Algérie. Il faut savoir que l'ISO compte plus de 500 normes
internationales directement liées aux thématiques environnementales et beaucoup
d'autres normes qui peuvent aider à réduire les impacts environnementaux. Ces normes
qui offrent aux entreprises, aux gouvernements et à la société dans son ensemble une
panoplie complète d'outils pratiques pour aborder les défis environnementaux, couvrent
un large éventail de sujets allant des méthodes d'échantillonnage, d'essai et d'analyse à
de nouveaux domaines tels que le recyclage des navires en passant par le management
environnemental et les aspects environnementaux de la conception de produits. Dans
une conférence de presse organisée à l'occasion de la célébration de la «journée
mondiale de la normalisation» M. Aïssaoui a annoncé que l'IANOR deviendra dès l'année
prochaine un organisme qui pourra délivrer les certifications. «L'entreprise ne peut pas
ignorer les normes», a-t-il indiqué en soulignant que cela y va de sa survie. Placée cette
année sous le thème «Agir sur les changements climatiques par les normes», la journée
mondiale de la normalisation intervient dans des circonstances particulières. Le
responsable de l'IANOR dira que les déclarations des scientifiques et des spécialistes font
réellement peur concernant les risques encourus du fait des changements climatiques. Il
soulignera que notre pays, qui est signataire de la convention cadre des Nations unies
sur les changements climatiques et le protocole de Kyoto, s'attelle depuis plusieurs
années déjà à mettre sur place des axes stratégiques pour lutter contre le réchauffement
climatique. L'utilisation d'énergies renouvelables et l'utilisation de nouvelles normes
techniques dans notre industrie pétrochimique notamment constituent l'un des
instruments essentiels pour appuyer la mise en oeuvre de cette stratégie, a ajouté M.
Aïssaoui qui note que la protection de l'environnement est un travail de longue haleine.

http://www.mdipi.gov.dz/IMG/pdf/convention_francais_corrigee_1_-10.pdf

LA CONVENTION

L’organisme :

1:

http://sociad-algerie.com/qualite/

2:

http://www.cei-halfaoui.com/presentation-du-cei-halfaoui/

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