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2016–2017
Travaux pratiques
Traitement du signal
HLEE501
Sommaire :
Consignes 1
TP7 Analyse spectrale 3
TP8 Détection synchrone numérique 13
TP9 Réponse impulsionnelle 19
TP10 Mesure de bruit électronique 25
TP HLEE501 2015–2016 Consignes
Consignes
Merci de respecter les consignes suivantes lors de la préparation des travaux pratiques (TP),
lors des travaux eux-mêmes, et lors de vos comptes-rendus.
1. Préparation
2. Séances de TPs
3. Comptes-rendus
−1−
TP HLEE501 2015–2016 TP7 : Analyse spectrale
TP7
Analyse spectrale
___________________________________________________________________________
A. Partie théorique 4
1. Fonction d'un analyseur de spectre 4
3. Rappel 6
B. Partie pratique 7
1. Prise en main de l'appareil 7
2. Manipulation préliminaire 8
5. Modulation d’amplitude 10
−3−
TP HLEE501 2015–2016 TP7 : Analyse spectrale
A. Partie théorique
Un signal quelconque peut toujours être considéré comme étant la superposition d'un nombre
plus ou moins grand de composantes sinusoïdales, de fréquence et de phases différentes. Un
analyseur de spectre est capable de donner la répartition spectrale d'un tel signal, i.e., la
courbe donnant l'amplitude des composantes du signal en fonction de leur fréquence.
Un analyseur de spectre idéal serait un filtre passe-bande très sélectif dont la fréquence
centrale pourrait être modifiée de façon continue dans le temps afin d’effectuer une analyse
spectrale telle que montrée Figure 1. Alors que la fréquence du filtre est balayée
temporellement, l’analyseur de spectre électrique affiche le spectre électrique du signal.
−4−
TP HLEE501 2015–2016 TP7 : Analyse spectrale
Hélas, on ne sait pas réaliser de tels filtres en électronique, aussi les analyseurs de spectre
utilisent la technique du changement de fréquence. Ceci permet d'obtenir une fréquence
centrale fo variable. Par exemple, soit un signal de fréquence f, amplitude maximale a, phase
φ, offset de 1 ; et un signal de fréquence fo, amplitude maximale ao. Effectuons le produit p
de ces deux signaux à l'aide d'un multiplieur de coefficient k, nous obtenons :
soit,
Le signal de sortie p comporte trois signaux sinusoïdaux de fréquences : fo, f − fo, f + fo.
On élimine deux de ces fréquences à l'aide d'un filtre passe-bande sélectif accordé sur la
fréquence If − foI. De telles opérations sont illustrées Figure 2 pour un signal quelconque.
−5−
TP HLEE501 2015–2016 TP7 : Analyse spectrale
On en déduit facilement le schéma général d’un analyseur de spectre tel que représenté Figure
3.
3. Rappel
• Théorème de Parseval :
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TP HLEE501 2015–2016 TP7 : Analyse spectrale
B. Partie pratique
• SPAN / Full permet de visualiser toute la bande passante de l'analyseur, soit la gamme
[100 kHz – 3 GHz]. La fréquence centrale est alors réglée sur 1,5 GHz.
• Pour changer la fréquence centrale : FREQ / Centre
• Pour changer la fréquence de début et de fin : FREQ / Début ou Fin
• Pour un confort de visualisation de l'amplitude, on change la référence qui se trouve en
haut de l'écran de visualisation: AMPL / Niveau de réf. / chiffre + unité
• Pour changer les unités : AMPL / Unité
• Pour faire une mesure plus précise vous pouvez régler la bande passante vidéo (VBW)
et la bande passante de résolution (RBW) dans le menu BANDW.
Remarquez que la valeur de l'impédance d'entrée de l'analyseur est inscrite au dessous des
connecteurs. Les tensions mesurées le sont donc aux bornes de 50 Ω .
Attention :
• L’analyseur n’affiche pas la raie correspondant au signal continu.
• L’analyseur affiche les composantes An de la décomposition en série de Fourier.
• L’analyseur mesure des valeurs efficaces.
• Pour la puissance, les mesures s’effectuent en valeur efficace sur 50 Ω.
Rappel :
• Mesure de puissance [dBm] = 10 log ( [ (Veff)2 / 50 ] / 1 mW )
• Mesure de tension [dBµV] = 20 log ( Veff / 1 µV )
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TP HLEE501 2015–2016 TP7 : Analyse spectrale
2. Manipulation préliminaire
Soit un signal sinusoïdal d'amplitude A : s(t) = A sin(ω t). Nous rappelons que la
décomposition en série de Fourier d'un signal sinusoïdal est dans la base exponentielle
−8−
TP HLEE501 2015–2016 TP7 : Analyse spectrale
• Calculer la valeur des 5 premiers pics (A0 à A4) en mV, on prendra A = 100 mV et
−9−
TP HLEE501 2015–2016 TP7 : Analyse spectrale
5. Modulation d’amplitude
− 10 −
TP HLEE501 2015–2016 TP7 : Analyse spectrale
Soit fm(t) = Am cos(ωm t + Φm) le signal modulant BF, et fp(t) = Ap cos(ωp t + Φp) le signal
porteur HF. Dans le cas où Φm = Φp =0 le signal modulé a pour expression :
c) Idem avec le taux de modulation maximum délivré par le générateur soit 120%.
− 11 −
TP HLEE501 2015–2016 TP7 : Analyse spectrale
Générez un signal sinusoïdal de fréquence porteuse 1 MHz avec une modulation de fréquence
à la fréquence de 1 kHz et une extension de fréquence de l’ordre de 100 Hz.
Décrivez le spectre en puissance de ce signal et commentez l’influence des différents
paramètres de modulation sachant que le signal modulé s(t) peut être décrit comme suit :
( )
s(t) = A cos ω p t + β sin(ω m t) = A ∑ J (β) cos(ω
n p )
t + n ωm t .
n
7. Spectre
€
de la bande radio FM
Vous devriez pouvoir écouter la radio à ce stade, comment expliquez-vous que la qualité
sonore est dégradée si la bande passante est trop grande ou trop faible ?
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TP8
Détection synchrone
numérique
___________________________________________________________________________
Introduction 14
A. Travaux préliminaires 14
1. Analyse temporelle 15
2. Analyse spectrale 15
3. Bilan 15
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TP HLEE501 2015–2016 TP8 : Détection synchrone
Introduction
Vous allez utiliser vos compétences en traitement du signal pour simuler sous Matlab le
principe de fonctionnement d’une détection synchrone, et ainsi montrer son utilité, à savoir la
possibilité de détecter un signal dont l’amplitude peut être inférieure à celle du bruit, ce tant
que ces derniers ont des caractéristiques spectrales différentes, et que la fréquence du signal
est connue. De plus, vous montrerez que vous êtes sensibles à la phase du signal.
A. Travaux préliminaires
Considérons un signal monochromatique de fréquence connue fS et d’amplitude inconnue AS :
,
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TP HLEE501 2015–2016 TP8 : Détection synchrone
1. Analyse temporelle
3. Bilan
− 15 −
TP HLEE501 2015–2016 TP8 : Détection synchrone
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TP HLEE501 2015–2016 TP8 : Détection synchrone
Nous allons maintenant ajouter du bruit à ce signal afin de montrer que la détection synchrone
permet de mesurer l’amplitude d’un signal noyé dans le bruit. La source de bruit est crée à
l’aide d’une fonctionnalité du générateur de signaux.
a) Réglez une amplitude de 100 mV pour le bruit, déduisez-en le rapport signal sur bruit
pour un signal d’entrée d’amplitude 10 mV (comme précédemment).
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TP HLEE501 2015–2016 TP8 : Détection synchrone
b) Combinez signal et bruit à l’aide d’un Té placé sur l’oscilloscope, et observez le signal
bruité sur l’oscilloscope. Pouvez-vous mesurer l’amplitude du signal ? Le justifier à
l’aide du rapport signal sur bruit attendu.
c) Effectuez une acquisition du signal bruité sur l’ordinateur. Vous utiliserez la fréquence
précédemment relevée pour le signal de référence utilisez pour le mélange.
d) Observez et décrivez le spectre de bruit, est-ce un bruit blanc ? Qu’en déduisez-vous
quant au choix de la fréquence de référence ?
Complément
Vous trouverez ci-dessous la photographie d’une détection synchrone, retrouvez-vous les
différents paramètres utilisez dans ces travaux pratiques (entrée du signal modulé, fréquence
de référence, bande passante du filtre passe-bas, mesure en sortie, sensibilité à la phase) ?
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TP HLEE501 2015–2016 TP9 : Réponse impulsionnelle
TP9
Réponse impulsionnelle
___________________________________________________________________________
A. Préparation 21
1. Fréquences de coupure et de résonance 21
2. Fonctions de transferts 21
B. Circuit RC 21
1. Rappel théorique 21
2. Trace du Diagramme de Bode en amplitude 21
3. Réponse impulsionnelle 22
C. Circuit RLC 23
1. Rappel théorique 23
2. Diagramme de Bode 23
3. Réponse impulsionnelle : sortie sur la capacité 23
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TP HLEE501 2015–2016 TP9 : Réponse impulsionnelle
La réponse impulsionnelle d'un circuit correspond à sa réponse lorsqu'il est excité par une
impulsion de Dirac ou du moins ce qui s'en rapproche dans le domaine physique. Elle
représente la fonction du transfert du circuit. La représentation la plus classique de la fonction
de transfert est le diagramme de Bode (en module et phase). Dans ce TP, on se contentera
d'étudier le diagramme de Bode en module. L’amplitude de la fonction de transfert est alors
exprimée en dB et l’axe des fréquences est logarithmique.
Le but de ce TP est d'étudier la réponse impulsionnelle de deux circuits passe-bas : les circuits
RC et RLC.
A. Préparation
Les expressions des fonctions de transfert théoriques des circuits RC et RLC que vous
étudierez dans ce TP sont données ci-après (voir les sections B et C), de même que les valeurs
des résistances, capacités et le cas échéant de l’inductance. Déterminez la valeur de la
fréquence de coupure du circuit RC ainsi que la valeur de la fréquence de résonance du circuit
RLC :
Circuit RC : f0 = Circuit RLC : f0 =
2. Fonctions de transferts
En utilisant Matlab (de préférence, utilisez un tableur sinon), tracez la réponse théorique d’un
circuit RC et d’un circuit RLC entre 10 Hz et 100 kHz. Vous utiliserez une échelle
logarithmique pour les abscisses seulement, et vous tracez l’ordonnée en unités
logarithmiques (dB) mais sur une échelle linéaire. Venez avec votre fichier en TP !
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TP HLEE501 2015–2016 TP9 : Réponse impulsionnelle
B. Circuit RC
1. Rappel théorique
avec la
est .
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TP HLEE501 2015–2016 TP9 : Réponse impulsionnelle
3. Réponse impulsionnelle
1
La FFT, Fast Fourier Transform, est un algorithme efficace permettant le calcul de la transformée de Fourier.
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TP HLEE501 2015–2016 TP9 : Réponse impulsionnelle
D. Circuit RLC
1. Rappel théorique
est .
fréquence de résonance .
Les valeurs des composants du circuit RLC à étudier sont L = 4,7 mH, R = 60 Ω (résistance
de l'inductance) et C = 68 nF.
2. Diagramme de Bode
Calculer la fréquence de résonance théorique puis, en utilisant la même méthode que pour le
circuit RC, tracer le diagramme de Bode en module du circuit RLC.
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TP10
Mesure de bruit électronique
___________________________________________________________________________
A. Partie théorique 26
1. Notion de bruit de fond 26
2. Le bruit thermique 26
3. Densité spectrale de puissance 27
4. Valeur efficace du bruit ou valeur RMS 28
5. Schéma équivalent d’un amplificateur de tension bruyant 29
B. Partie pratique 30
1. Introduction 30
2. Questions théoriques 32
3. Bruit et « captage » (compatibilité électromagnétique) 32
4. Mesure du bruit de l’amplificateur 32
5. Mesure de la constante de Boltzmann 33
TP HLEE501 2015–2016 TP10 : Mesure de bruit électronique
A. Partie théorique
Le bruit de fond est un signal parasite inévitable qui se superpose au signal désiré. Le bruit
trouve son origine dans la physique même des composants électroniques, c’est pourquoi tout
signal, à la sortie d’un circuit électronique, est entaché d’une part de bruit tel qu’illustré
Figure 1.
Il existe des bruits trouvant des origines de toutes sortes et présentant des caractéristiques de
toutes sortes, mais le type de bruit le plus rencontré est « le bruit blanc ». Un bruit est dit
« blanc » si la décomposition de sa puissance dans l’espace des fréquences donne une
amplitude constante quelle que soit la fréquence, et ce sur des plages de fréquences qui
peuvent être très larges (~1 THz = 1 000 GHz). Ainsi, si nous reprenons nos deux signaux ci-
dessus dans l’espace de Fourier, nous pouvons représenter leurs spectres Figure 2.
2. Le bruit thermique
Le « bruit thermique » est un bruit blanc qui trouve son origine dans le mouvement aléatoire
des électrons à cause de la température dans un matériau donné, tel que représenté Figure 3.
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TP HLEE501 2015–2016 TP10 : Mesure de bruit électronique
Si un tel mouvement existe, il est bien entendu à l’origine d’une certaine puissance. On peut
l’observer en mesurant par exemple la tension aux bornes d’une résistance. En moyenne, cette
tension est nulle. En revanche, en valeur RMS elle n’est pas nulle bien que très faible en
général, et un voltmètre « classique » n’est normalement pas en mesure de la détecter. Une
résistance réelle, même si aucun courant ne la traverse, a donc le schéma équivalent présenté
Figure 4.
Une source de bruit ne peut pas être décrite par une équation. On ne peut parler que de sa
puissance, ou mieux, de sa densité spectrale de puissance (abrégé en « DSP » dans ce TP).
La Densité Spectrale de Puissance est en réalité le spectre qui représente la contribution de
chaque fréquence à la puissance du bruit. Pour un bruit blanc, ce spectre est identiquement
plat sur toute la gamme de fréquences. Dans le cas du bruit thermique généré par une
résistance, la densité spectrale de puissance vaut : ,
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TP HLEE501 2015–2016 TP10 : Mesure de bruit électronique
Comme le bruit thermique est un signal utilisant une très large bande spectrale (~1 THz, donc
bien plus grande que celle des amplificateurs électroniques disponibles), on comprend bien
que la valeur RMS (ou efficace) du bruit va forcément dépendre de la bande passante
électronique. En effet, plus la bande passante est grande, et plus la puissance (liée à l’aire sous
la courbe) est grande, tel qu’illustré Figure 6.
La tension efficace est donc facilement reliée à la densité spectrale de puissance par la
formule suivante :
,
où Δf est la bande passante du système à travers lequel passe le bruit. Si le système à travers
lequel passe le bruit n’a pas un diagramme de Bode aussi simple, on peut utiliser l’expression
ci-dessous, plus générale :
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TP HLEE501 2015–2016 TP10 : Mesure de bruit électronique
Il s’agit, de façon très simplifiée, d’un amplificateur de tension « sans bruit » (qui ne peut pas
exister) auquel on aurait ajouté une source de tension vn représentant son bruit. On voit donc
bien, sur ce schéma équivalent, que la source de tension de bruit vn participe à la tension de
sortie.
Selon ce modèle simple (et usuel), on considère donc que le bruit de l’amplificateur
provient de l’entrée et que c’est ce bruit amplifié par le gain G que l’on observe en sortie.
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TP HLEE501 2015–2016 TP10 : Mesure de bruit électronique
B. Partie pratique
Nous allons étudier et mesurer dans ce TP le bruit dû à des résistances.
1. Introduction
a) Matériel à utiliser :
• Amplificateur de tension de très grande sensibilité (car son gain est très élevé) :
gain de 53 400, bande passante de quelques kHz. Note Importante : le connecteur
Jack à l’entrée de l’amplificateur met automatiquement l’amplificateur en court-
circuit lorsque aucune résistance n’est connectée à son entrée.
• Un ordinateur servant d’analyseur de spectre. Ce système utilise la carte son du PC qui
est ni plus ni moins qu’un échantillonneur 16 bit avec une bande passante de 22 kHz.
Le logiciel « FFTScope » (sur le bureau de l’ordinateur) fait le calcul de la
transformée de Fourier en temps réel. Un circuit électronique placé en amont permet
de protéger la carte son de tensions trop élevées qui la détruiraient.
• Des résistances et impédances à étudier.
• Une « cage en aluminium » pour éviter que les résistances ne « captent » les ondes
alentour.
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TP HLEE501 2015–2016 TP10 : Mesure de bruit électronique
Une fois que vous avez validé, vérifiez que le gain est bien à 0dB,
et la balance centrée, comme indiqué sur la figure ci-contre.
Vous pouvez commencer par modifier l’échelle verticale dans la partie temporelle pour mieux
observer le signal de bruit.
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TP HLEE501 2015–2016 TP10 : Mesure de bruit électronique
Paramétrez ensuite FFTScope pour passer le nombre de moyennes à 100 (menu « Fichier »
puis « Préférences »), et vérifiez que « fenêtre d’apodisation » est bien positionné sur
« rectangulaire ». Ensuite, dans la fenêtre principale, remplacez « spectre du signal » par
« Densité Spectrale de Puissance » et cliquez sur « Moyennes ». Vous pouvez modifier les
échelles pour observer le spectre en log-log dans la partie « Espace des fréquences ».
2. Questions théoriques
c) Etant donné la relation qui relie la Densité Spectrale à la tension efficace (RMS),
comment relier la DSP de bruit mesurée à la sortie de l’amplificateur à la DSP de bruit vue à
l’entrée de l’amplificateur ?
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TP HLEE501 2015–2016 TP10 : Mesure de bruit électronique
Le spectre que vous observez n’est pas « très propre » (il est très fluctuant). On améliore
grandement la précision sur le résultat en calculant des moyennes de spectres. Cliquez pour
cela sur la case « Moyennes » et patientez jusqu’à ce que le logiciel s’arrête de lui-même.
Attention entre chaque mesure vous devez désactiver la case "Moyennes" et la réactiver.
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TP HLEE501 2015–2016 TP10 : Mesure de bruit électronique
c) Déterminez la pente de cette droite, ainsi que l’ordonnée à l’origine. Vous pouvez
utiliser la fonction diff sous matlab. Vous pouvez aussi effectuer une régression linéaire à
l’aide de la fonction polyfit pour plus de précision.
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