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République
En 1958, la crise algérienne dure depuis presque 4 ans (déclenché en nov 54),
l’opinion publique est divisée et finalement, son rôle de catalyseur dans l’évolution
des institutions française intervient au mois de mai 1958 et plus
particulièrement lors de la crise du 13 mai 1958 : des généraux de l’armée
française, soutenus par des français établis en Algérie, décident de mettre en
place une insurrection qui avait pour but de maintenir l’Algérie dans la république
française. Le gouvernement général d’Alger est prit d’assaut et des comités de
salut public sont crées. Cette initiative des généraux n’a pas le soutien national
de la métropole.
Comme il l’avait demandé, la chambre lui accorde les pleins pouvoirs le 2 juin
1958 et il est en même temps investi de la mission de révision de la constitution
le 3 juin. Cela correspond à l’adoption de 3 lois :
- une loi qui concerne la possibilité de gouverner par ordonnance pendant 6 mois,
de prendre les dispositions nécessaires à la vie de la nation
A)L’apport du GDG
Cet apport, les idées qu’il a fait passé, on peut les retrouver dans son discours
fondateur et structurant qui est le discours de Bayeux du 16 juin 1946.
Le discours d’Epinal du 29 septembre 1946. Il trouve que la 4e rep n’a pas été à
la auteur des enjeux auxquels elle a été confronté, elle n’a pas donné les outils
nécessaires à la résolution des crises. Il veut donc doter la France d’institutions
efficaces et efficientes notamment pour que le pays soit en mesure de faire face
à l’intensification des relations internationales et aux décisions qui doivent
s’enchainer rapidement, qui requièrent la réactivité des états. Il convient de
renforcer l’état et ce renforcement passe pour lui par le renforcement du
pouvoir exécutif et plus particulièrement par le rehaussement du rôle du
président de la rep. Logiquement, pour accomplir cette fonction de direction du
président de la rep, ce dernier doit bénéficier de compétences importantes et
significatives jusqu’à considérer qu’en période de crise, il puisse détenir des
pouvoirs renforcés. Pour lui, dans les circonstances exceptionnelles, le président
doit être seul dirigeant pour protéger les institutions et garantir l’indépendance
nationale.
Et pour que le président bénéficie de la légitimité nécessaire à l’exercice des
nombreuses prérogatives qui lui sont confiées, il doit être élu par un collège
élargi qui dépasse la seule enceinte du parlement. C’est un moyen pour DG
d’émanciper le président par rapport au parlement pour qu’il bénéficie d’une plus
grande légitimité et d’une légitimité qui lui est propre. Le but est de mettre en
place un chef de l’état qui soit fort. Pour DG, de la force de l’état va dépendre la
puissance nationale. Il en découle une prééminence du président par rapport au
chef du gouvernement. En effet, le chef du gouvernement doit être le choix du
président. Par ailleurs, la perspective d’un président fort pour DG est
indissociable d’une véritable SDP pour que l’exécutif ne se retrouve pas dans une
situation de dépendance vis à vis du parlement comme cela avait pu être le cas
sous la 3e et 4e rep. En ce qui concerne le pouvoir législatif, l’une des
En 1958, Debré est garde des sceaux et son apport peut se résumer aux
différents mécanismes que l’on va appeler le parlementarisme rationalisé. Ce
mécanisme était destiné à encadrer le pouvoir législatif et aussi garantir la
stabilité du gouvernement. Cela permet aussi de parvenir à une restauration de
l’autorité de l’état et de l’autorité du président. D’autres personnalités ont aussi
apporté leur pierre à l’édifice comme Guy MOLLET, Pierre PFIMLIN. Cette
rationalisation correspond pour Debré à l’organisation du travail parlementaire
sous l’autorité du gouvernement. Cela renvoie à la fixation de l’ordre du jour de
l’assemblée par le gouvernement, à l’encadrement du pouvoir d’amendement, à
l’encadrement du pouvoir de dissolution etc.
Au niveau gouvernemental, un avant projet va être rédigé dès le mois de juin par
un groupe de hauts fonctionnaires et présidé par Michel Debré. Le texte a été
examiné par un conseil interministériel. Le projet adopté va être soumis à
l’approbation du conseil des ministres et publié le 29 juillet 1958. Par ailleurs, un
comité consultatif constitutionnel prévu dans la loi constitutionnelle de juin 1958
composé à 2/3 de parlementaires devait ensuite examiné le projet
gouvernemental. L’idée derrière ce comité était d’associer un minimum de
parlementaire à l’élaboration du nouveau texte constitutionnel. Les propositions
de modifications sont légères. La procédure prévoit ensuite que le texte ainsi
élaboré soit visé par le conseil d’état pour vérifier si les constituants avaient
bien respecter les termes de la loi constitutionnelle de juin 1958. Le texte est
définitivement adopté par le conseil des ministres le 3 sept 58.
Dans le cadre des institutions de 58, c’est une dyarchie qui bénéfice du président
de la rep : il y a un représentant désigné (président) alors que son agent (chef du
gouv) traduit les grandes orientations décidées par le président, à l’aide du gouv,
de d’administration et de la majorité parlementaire. Le régime pousse le
président à intervenir, à donner l’impulsion. Cette dyarchie fait qu’on est plus
dans une dyarchie simple (concurrence) mais dans une dyarchie hiérarchisée.
Certains premiers ministres ont pu résister au président, ponctuellement, mais
ces résistances ont été fatales au premier ministre. Pendant les périodes de
cohabitation, le premier ministre est soutenu par une majorité, donc le rapport
s’inverse. En règle générale, la lecture de la constitution est plutôt
présidentialiste. Dans la période 58-62, il y a une divergence de point de vue
entre Michel Debré et GDG mais Debré s’incline par fidélité au GDG. La
personnalité du premier ministre compte : de 65 à 68 : Pompidou avait affirmer
sont autorité de premier ministre et l’exercice de la fonction était plus à
Matignon qu’à l’Elysée. Les membres du gouv se tournent vers le PM : mai 68 :
GDG dépassé par les évènements, c’est le PM qui a gérer.
C’est lui qui est à l’origine. Chaban Delmas se comporte plus en compétiteur qu’en
collaborateur du président, ce qui conduit à sa révocation. Il avait tenté de
résister au président en s’appuyant sur l’assemblée à travers une question de
confiance le 23 mai 72. Son idée était de remettre en question la vision
gaullienne du premier ministre qui était une positon de sacrifice. Divergence
d’opinion entre Chirac et Giscard d’Estaing. La majorité des premiers ministres
ont oeuvré de concert avec le président comme de véritables collaborateurs et
ont illustré la répartition au sein de l’exécutif telle qu’elle avait envisagée par le
GDG, celle qui correspond à un régime présidentialiste. En cas de cohabitation,
sans majorité partisane, les attributions du chef de l’état se trouvent limitées :
il conserve des prérogatives mais il va devoir composer avec un gouvernement qui
a le soutient d’une majorité parlementaire différente donc c’est une situation qui
permet au premier ministre de conduire une politique gouvernementale qui lui est
propre et qui n’st pas celle du président, et donc de s’affirmer à côté du chef de
l’état. Il ne s’agit plus d’une dyarchie inégalitaire. Cette situation de cohabitation
a moins de chance de se reproduire depuis 2000 qui a rapproché les élections
présidentielles et les élections législatives. C’est encore possible en cas de
démission du président par exemple.
Il dirige l’action du gouv (art 21) ainsi que la procédure législative (art 39 et
suivants). Néanmoins, le premier ministre ne conçoit son action que sous la
responsabilité du président de la république, ce qui constitue un véritable
leitmotiv et de cela découle une collaboration subordonnée entre les deux
hommes (relations hiérarchisées). La répartition des tâches se fait en fonction
du tempérament des personnes.
Cela insiste sur le fait que la division du travail entre les deux responsables de
l’exécutif ne reste pas inchangée. Au delà de ses pouvoirs propres, le président
bénéficie d’un pouvoir d’évocation générale, cela signifie qu’il dispose d’un pouvoir
qui l’autorise à tout moment à dessaisir le premier ministre d’un dossier pour le
traiter directement à son niveau avec ses propres conseillers. De cette façon là
va s’ajuster leurs deux domaines d’action respectifs. Globalement, la pratique
inaugurée par le GDG a été maintenue par ses successeurs. A. Les éléments
d’incertitude.
L’aménagement du pouvoir exécutif sous la 5e rep comporte une première ligne
et une seconde ligne et à cet égard, le premier ministre qui est pourtant celui qui
a le moins de pouvoir, se troue en première ligne, notamment et principalement
par rapport au parlement mais aussi au niveau de l’administration ou des forces
syndicales (négociations à Matignon) mais également souvent vis à vis de l’opinion
publique. Alors que le président de la rep détient l’essentiel des pouvoirs, il est
plutôt en position de réserve, à moins qu’il ne décide lui-même (souvent GDG) de
saisir un dossier. Sa position du président lui impose de durer et donc par
conséquent d’éviter les risques inutiles en s’engageant de façon trop fréquente
et trop prématurée. C’est le lot du premier ministre d’endurer afin de préserver
le chef de l’état et à travers le chef de l’état, à préserver le régime. La fonction
de PM revet un aspect autant utilitaire que nécessaire.
D’une certaine façon, on peut penser que le premier ministre est l’homme lige du
président (expression de Jean Giquel, homme totalement dévoué, sorte de
bouclier). Cela n’empêche pas la contestation dont le premier ministre est
nécessairement la victime. Il y a distance entre président et le premier ministre
mais cela entretient la permanence du président et ainsi la stabilité du régime.
L’élément d’incertitude est donc le va-et-vient du président ou du premier
ministre entre la première ligne et la seconde ligne. Parfois, le président se
comporte comme un chef de gouvernement en plus d’être un chef de l’état mais
le système exige une entente entre les deux hommes : « une unité de dessein et
de conception » (Guizot). Cela renvoie à une soumission du collaborateur à l’égard
de l’inspirateur de la politique nationale. En effet, une certaine sagesse politique
enseigne qu’on ne peut pas mettre deux têtes sous un même bonnet. Il peut y
avoir des résistance : le premier ministre peut être révoqué mais il peut aussi se
désinvestir de lui-même.
A cet égard, comme en 1958 (grave crise sociale), la crise a prit sa source dans
une inattention de la conditions sociale des travailleurs qui n’aurait pas échapper
à un chef d’exécutif qui agit seul. L’autre effet se manifeste en matière de
responsabilité : dans les régimes occidentaux, on sait que l’exercice du pouvoir
doit entrainer des responsabilité corrélatives. On remarque que les
responsabilités existent bien mais on peut considérer qu’elles sont agencée de
manière incertaine et particulière. En effet, sous la 5e rep, n’est responsable
politiquement que celui qui se porte en première ligne. On remarque que le
premier ministre est bien responsable devant l’assemblée mais que cette
assemblée hésiterait à mettre en cause l’existence du gouvernement dans la
mesure où elle estime que ce gouv n’est que le porte parole du chef de l’état.
L’application du fait majoritaire veut que l’assemblée ne remette pas en cause la
responsabilité du PM qui appartient à sa même majorité. Pour sa part, le
président de la rep bénéficie d’une condition avantageuse, il est investit du
pouvoir décisionnel mais il n’est pas appelé à répondre, en principe, de ses actes
en dehors d’un manquement à ses devoirs manifestement incompatibles avec
l’exercice de son mandat (ex-haute trahison). C’est ce que le doyen Georges
Vedel appelait le paradoxe de la constitutionnalité. Le président n’est pas
responsable et globalement, dans la 5e : relâchement du lien entre ex du pouvoir
et resp politique.
SECTION 3 : L’ENCADREMENT DU PARLEMENT
§1 : La rationalisation du parlementarisme
C’est un élément très important pour les constituants de 58 : l’idée est de faire
disparaitre les traces d’un gouv d’assemblée.
Le texte qui a été élaboré en 1958 par le président CDG, est un compromis sur la
base de la nature parlementaire du régime, cette nature de régime d’attente
ressort très clairement du vote de la loi constitutionnelle du 3 juin 58.
Les débats qui ont lieu en 1958 se sont tenus au sein du comité consultatif. Au
cours de ces débats, l’instauration d’un régime parlementaire avait été
hautement revendiquées. Au Comité consultatif constitutionnel, Michel Debré va
déclarer : « comme il se doit, le président d’un régime parlementaire n’a d’autre
pouvoir que celui de solliciter un autre pouvoir ».
D’ailleurs, le GDG ira dans le même sens : il déclarera qu’il existe au dessus des
luttes politiques un arbitre. Il existe un gouvernement fait pour gouverner et à
qui on laisse le temps et la possibilité, et il existe un Parlement destiné à
représenter la volonté politique de la nation. C’est un volonté de rassurer pour le
GDG. Le 1er ministre sera responsable devant le Parlement et on laisse entendre
qu’il ne le serait pas nécessairement devant le président. Le GDG répond
d’ailleurs non à la responsabilité du premier ministre devant le président. On voit
se dessiner à un premier ministre qui occuperait une place prépondérante au sein
de l’exécutif. Michel Debré tente de préciser que l’objectif recherché par cette
constitution était un équilibre et un dialogue entre les deux pouvoirs.
Cette légitimité est usée dans ce nouvel mode de désignation par les français.
Le GDG n’avait pas besoin d’une telle réforme. Il pensait à ses successeurs.
Comme il est très important quand on bénéficie de pouvoir constitutionnels, de
bénéfices de légitimité nécessaire pour les exercer et les conserver, il était donc
très important de pouvoir asseoir pour ses successeurs l’exercice des ses
pouvoirs importants. Michel debré parlait de « clé de voute ». Seul le souverain
populaire pouvait conférer cette légitimité au successeur du GDG. Cette
légitimité que le président va retirer de son mode d’élection favorise une
pratique du régime qui concentrera davantage les pouvoirs vers le président et
va consacrer le président comme véritable chef de l’exécutif.
En effet, le fait majoritaire peut ne pas fonctionner de façon aussi efficace qu’il
le ferait dans une situation où la majorité repose sur uniquement le parti du
président. En effet, il peut être plus difficile pour le président de tenir sa
majorité et le parlement peut se trouver moins dévoué à son chef. Dans ce cas, le
président va devoir davantage convaincre sa majorité. Dans cette hypothèse, il
se peut que le président aie plus de difficultés à affirmer sa prééminence à
l’égard du Parlement.
A) Procédure de l’article 11
En 1962, l’utilisation de l’article 11, projet de loi portant sur l’organisation des
pouvoirs publics.
Cette opposition s’est manifestée par le vote d’une motion de censure qui sera
adoptée par l’AN à l’encontre du gouvernement Pompidou. Le general de Gaulle va
répliqué par la dissolution de l’AN, référendum prononcé et le 28 octobre, les
français prononcent oui la réforme du régime présidentiel.
- une proposition de loi référendaire doit être déposée par au moins un cinquième
des membres du Parlement
I. LE DÉROULEMENT DE LA PROCÉDURE
On remarquera qu’il aura fallu attendre 42 ans, pour que la première ratification
par voie de référendum intervienne en ce qui concerne l’article 89 c'est-à-dire
en 2000 en matière de quinquennat. Sous la Vème, les PR sont devenus très
méfiant contre réf et ils préfèrent se référer aux représentants dans le cadre
de congrès et ce fut le cas pour la révision de 2008. Pour qu’ils votent à une
majorité de 3/5ème des suffrages exprimés pour ratifier le projet de
référendum ; et s’il y a réf, il revient au conseil constitutionnel de proclamer
résultat (article ).
On peut placer ces limites, en deux grandes catégories : limites justifiées par les
circonstances. Il convient d’éviter que les révisions constitutionnelles soit faite
sous la pression d’occupant, conflit etc. Il est alors interdit d’engager procédure
de révision.
Le contrôle est limité par le conseil d’État au respect qui veille au respect. Pour
ce qui est du contenu de la révision, le conseil retient son contrôle, il ne procède
pas au contrôle. De nombreux débat doctrinale sont intervenus, notamment Rials
ou Ardan et finalement on peut se dire que cette distinction peut poser la
question de la supra constitutionnalité de certaines normes contenues dans la
constitution qui s’imposeraient aux constituants même.
La révision de 1er mars 2005 qui a instauré cette réf, organisant modalité
d’adhésion des traités à l’UE. Cette révision engagée dans le contexte d’un débat
sur les limites de l’élargissement de l’UE et la crainte de voir s’étendre et à tout
ce que cela impliquerait.
L’article 88-5 prévoyait que tout projet de loi prévoyant adhésion est soumis au
réf par le PR. Finalement l’adhésion d’un nouveau pays devait nécessiter une
consultation populaire. Mais le texte ne va pas rester en État et on va mettre en
place une possibilité de contourner la consultation pop.
B- Le référendum local
Le conseil, d’une façon concomitante va procéder d’un contrôle de même type sur
des projets de décrets notamment à propos d’un décret qui porte sur l’org des
opérations de vote et un deuxième décret qui régit la campagne électorale. Ce
que l’on peut dire sur la nature de contrôle c’est qu’à l’instar des élections
présidentielles, en matière référendaire le contrôle est effectué à priori.
A cet égard, il peut être saisi par toute personne mais aussi des délégués sur
place (par téléphone ou écrit). Il va se prononcer très rapidement (3 jours) et au
terme du travail qu’il aura effectué, on observe que le conseil n’hésite pas
d’annuler des résultats éventuellement si pb comme fermeture avant l’heure
prévu des bureaux ou dans un bureau lorsque les délégués ont observé certaines
irrégularités ou un bureau sans isoloir ; ou manque de contrôle d’identité.
Ensuite, la proclamation relève de la compétence exclusive du conseil qui va
prendre forme de décision de conseil constitutionnel.
On retrouve également dans l’article 11 que cette proposition de loi ne doit pas
avoir pour objet l’abrogation d’une disposition législative promulguée depuis
moins d’un an. De même, le conseil va vérifier si dans l’hypothèse que les voies
positives ne l’emportaient pas qu’un autre ne portait pas sur le même sujet que
précédent, dans un délai de deux ans. Enfin, le premier alinéa de l’article 61, le
conseil vérifie toutes les conditions.
C’est à cette formation que va devenir examiner les réclamations que tout
électeurs peut présenter ou pdt recueil des Par ailleurs, la personne qui conteste
va pouvoir contester la décision de cette formation devant le conseil dans un
délais de 10 jours après qu’il est pris sa décision. Le conseil peut alors être saisi
par tt électeur devant la formation. S’il y a constatation d’une irrégularité du
processus du référendum d’initiative partagé, il appartient au conseil d’apprécier
si il y a lieu ou non de maintenir ls opération et si ce n’est pas le cas il peut
prononcer leur annulation totale ou partielle.
La loi organique précise qu’un dixième des électeurs inscrit ne vise que les
citoyens FR détenteur de Droit de vote et inscrit sur liste électorale. Par
exemple, cela signifie que les ressortissants de l’UE inscrit sur les listes pour
élection municipale et euro ne peuvent pas faire partie des soutiens.