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RANGER Hélène TP n°1 biologie cellulaire

DUMARGNE Émilien le 25 septembre 2009

COMPTAGES ET ÉCHANGES CELLULAIRES


1. Introduction
Le TP n°1 fait le 25 septembre a pour but de nous initier à l’usage d’une cellule de Malassez ou de Thoma
mais aussi nous habituer a travailler en milieu stérile grâce à trois expériences différentes :

• Le comptage de levures Saccaromyces cerevisae

• La mise en évidence des échanges d’eau :

o entre les cellules d’épiderme d’oignon rouge et le milieu extérieur

o entre les cellules de pomme de terre et le milieu extérieur

L’intérêt de ces différentes expérimentations est de comprendre le phénomène d’osmose entre les
cellules végétales et les milieux extérieurs.

Nous savons que les cellules végétales sont perméables à l’eau. Dans un milieu isotonique les échanges
entre le milieu extra et intracellulaire se faire équitablement. Cependant comme nous allons tenter de le
montrer dans l’expérience suivante, en milieu hypertonique les cellules vont subir une plasmolyse.

2. Comptage des cellules sur Malassez


Matériel et méthode

Le nombre de cellules a été mesuré en utilisant une grille de Malassez en prélevant à l'aide d'une pipette
Pasteur quelques mL de solution contenant des levures, puis par capillarité entre la grille et la lamelle, la
solution a étudiée c'est retrouvée entre lame de Malassez et lamelle pour observation au microscope
photonique.

Résultats

Cette opération a été répétée à 3 reprises noté sur le tableau suivant, répétitions 1,2 et 3. Il a été compté
toutes les cellules sur chaque colonne 5 et 7 de chaque grille de Malassez ce qui fait que 10% du volume
total de la grille. Pour avoir la valeur réelle, les 3 dénombrement de cellule ont été traduit en moyenne
puis celle ci a été multipliée par 10 pour avoir une valeur approximative du nombre total de levures
présentes sur la grille, c'est à dire 100%.

D'après le tableau, la moyenne géométrique et arithmétique étant proches on peut dire que les valeurs ne
sont pas « éloignées l'une de l'autre » mais au contraire il y a quelques unités de différence. Cela est
prouvé par l'écart type qui n'est que de 1,53, l'écart type géométrique de 1,24 et l'écart moyen de 1,11.
Ces valeurs faibles et proches montre qu'il n'y a pas une grande variabilité entre les 3 résultats du
dénombrement de levure et valide les résultats.

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Le Volume de chloroplastes/mL et l'Estimation du nombre de chloroplastes/mL montrent concrètement si


en solution il y a beaucoup ou peu de levure, ici le nombre est relativement faible (rien qu'en comparant
avec les groupes qui ont fait avec la solution A déjà).

L'incertitude est de 0,67% ce qui est faible et inférieur au seuil de 5%, celui ci a été fait non pas par
rapport à la valeur théorique (car elle n'a pas été donnée) mais par la moyenne des résultats de tout le
groupe C6. A partir de cela on peut déduire que nous sommes proches des autres et que nous avons peu
de chance de nous être trompé dans le comptage.

On peut comparer nos résultats a ceux des autres groupes par le biais du tableau ci-dessous qui reprends
toutes les valeurs du groupe C6. Nous sommes le groupe 4 et nous avons pris la solution B. Nos valeurs
issues du comptage son très proches de celles du groupe 6 et plus éloigné du groupe 2.

Tableau des résultats du comptage des levures sur 3 échantillons (X1, X2 et X3) des groupes ayant prélever la solution A ou B de levure lors
du TP
Groupes Solution X1 X2 X3 Nb moyen %
1 A 390 169 148 2356,67 10
2 B 80 74 75 381,67 5
3 A 285 350 220 1425 5
4 B 30 31 28 296,67 10
5 A 580 740 700 3366,67 5
6 B 32 31 28 303,33 10
7 A 55 56 60 570 10

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Graphique des résultats du nombre de cellules comptées des groupes étudiés la solution B de levure

Groupe solution B
450

400

350
Nombre de cellules

300

X1
250
X2
X3
200
Nb moyen

150

100

50

Groupes 2/4/6

Le graphique ci-dessus appuie ce qui a été dit précédemment, c'est à dire que nous sommes (groupe 4)
proche du groupe 6 et 2 qui ont les même solution avec la même concentration de levure. Néanmoins, le
nombre moyen du groupe 2 par rapport à notre groupe ou celui du groupe 6 est assez éloigné. La valeur la
plus probable du nombre moyen de levure est proche de 300, si on veut faire une moyenne il serait à
cause du groupe 2 élevé à 326 ce qui est proche.

La grille de Malassez permet un comptage de l'espèce à étudier plus ou moins fiable, si la solution est très
concentré en levure par exemple (comme dans la solution A), le comptage est plus approximatif qu'une
solution moins concentré (solution B). C'est en faisant la moyenne du nombre de levures sur toute la grille
puis en calculant le volume qu'il contient de solution, que l'on peut définir la concentration en levure de la
solution.

3. Mise en évidence des échanges d’eau avec l’épiderme externe d'oignon


rouge
Matériel et méthode

Pour l’illustrer, nous avons réalisé plusieurs dilutions pour arriver à 11 solutions de concentration en
saccharose allant de 0 à 1 M. Chaque tube à essai contient un volume total de 10ml. Pour effectuer celles-
ci, nous avons utilisé une pipette graduée de 10ml. Pour homogénéiser la solution nous avons agité
mécaniquement grâce au vortex.

Ensuite il a fallu prélever grâce a une pipette pasteur une petite quantité de chaque solution dans des
verres de montre, pour y déposer une fine couche d’épiderme interne d’oignon rouge que l’on à détacher
grâce au scalpel. Nous les avons trempées durant 15min en pensant à les immerger complètement pour

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ne pas fausser le résultat. Il a fallu répéter 11 fois la même procédure dans un intervalle de 5min pour
avoir le temps d’observer au microscope optiques les réactions.

Résultats

En regroupant les résultats de tout le groupe nous obtenons le tableau et le graphique ci-dessous :

Tableau des résultats des 7 groupes du TP sur le comptage de cellule en plasmolyse d'épiderme d'oignon
externe

groupe/Concentration en saccharose [0] [0,1] [0,2] [0,3] [0,4] [0,5] [0,6] [0,7] [0,8] [0,9] [1]
1 0 0 0 1 2 11 17 28 29 30 30
2 0 0 0 0 5 16 24 24 28 29 30
3 / / / / / / / / / / /
4 0 0 0 4 9 13 15 18 19 23 30
5 0 0 0 5 10 18 20 28 29 30 30
6 / / / / / / / / / / /
7 0 0 0 2 2 8 18 22 28 29 30

Nous constatons d’après ce graphique que la majorité des résultats sont globalement similaires. Le
nombre de cellules ayant subi une plasmolyse augmente progressivement et cela pour tous les groupes.
Nos résultats (groupe 4) sont légèrement différents des autres. Nous expliquons cette différence par une
erreur de manipulation lors de la mise en place de l’oignon dans le verre de montre. Nous supposons que
l’oignons n’a pas dût être assez immergé dans la solution. Les cellules n’auraient donc pas toutes été en
contact avec la solution.

Nous constatons donc que plus la concentration en saccharose du milieu extracellulaire est élevé plus il y
a de cellule ayant subi une plasmolyse. Donc cette expérience montre bien qu’une cellule végétale est
constituée d’une grande quantité d’eau, et lorsque le milieu extracellulaire est hypertonique la vacuole de
la cellule se vide de son eau pour équilibrer les concentrations entre les deux milieux. C’est se que l’on
appel le phénomène d’osmose. Nous avons pu observer se phénomène grâce a la coloration des cellules.
Les cellules d’épiderme d’oignon rouge on la caractéristique d’avoir une coloration rouge visible dans la

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vacuole. Donc comme la vacuole c’est vidée lors de la plasmolyse nous avons pu constater au microscope
une perte de couleur.

4. Mise en évidence des échanges d’eau avec la pomme de terre


Pour confirmer nos hypothèses précédentes, nous effectuons une deuxième expérience avec des pommes
de terre. Nous conservons les solutions utilisées précédemment placées dans les tubes à essai.

Matériel et méthode

Pour réaliser cette expérience il a fallu découper des carottes de pomme de terre de taille égale grâce a un
emporte pièce en faisant attention de ne pas placer les carottes de pomme de terre sur du papier
absorbant car cela pourrait fausser les résultats. Nous avons ensuite placé une carotte dans chaque tube a
essai et laisser agir pendant 1h.

Résultats

Voici les résultats trouvé par chacun des binômes du groupe C6 sous forme de tableau et de graphique :

Tableau des résultats des 7 groupes du TP sur la variation de la taille des morceaux de pomme de terre

groupe longueur de départ [0] [0,1] [0,2] [0,3] [0,4] [0,5] [0,6] [0,7] [0,8] [0,9] [1]
1 6,0 6,0 6,0 6,0 6,0 6,0 5,8 5,8 5,8 5,6 5,5 5,4
2 5,3 5,3 5,3 5,3 5,3 5,3 5,2 5,2 5,1 5,1 5,5 4,9
3 5,4 5,4 5,4 5,5 5,5 5,5 5,4 5,3 5,4 5,4 5,4 5,2
4 5,5 5,5 5,5 5,5 5,2 5,0 5,0 5,2 5,3 5,0 5,1 5,0
5 6,2 6,2 6,3 6,5 6,3 6,2 6,1 6,2 6,3 6,5 6,6 6,7
6 / / / / / / / / / / / /
7 6,5 6,5 6,5 6,5 6,5 6,4 6,3 6,3 6,2 6,2 6,1 6,0

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Nous remarquons qu’à certaines concentrations les carottes de pomme de terre flottent. Nous constatons
ce fait dans les concentrations à 0,8 ; 0,9 et 1M de saccharose. Nous pouvons l’expliquer car les cellules de
la pomme de terre dans des concentrations importante de saccharose on subi une plasmolyse donc leur
densité a diminué. C’est aussi grâce à ce phénomène que nous expliquons le fait que les carottes de
pomme de terre se sont rétractées. Grâce aux courbes ci-dessus nous constatons que la majorité des
groupes affirme cela par une baisse progressive de la taille des carottes.

Cependant nos résultats (groupe 4) divergent légèrement par rapport aux résultats espérés. La taille des
carottes diminue dans l’ensemble mais des données tels que celle du 0,8 ne sont pas cohérente. Nous
expliquons cela par un défaut de précision lors de la mesure soit de départ soit après l’expérience de la
carotte de pomme de terre faite à l’aide d’un double décimètre.

Tableau récapitulatifs de la variation de la taille du morceau de pomme de terre, du nombre de cellules


d'oignon rouge plasmolysées et de leur pourcentage de gain ou de perte

pomme
550 550 550 520 500 500 520 530 500 510 500
de terre (mm)
% de perte par
rapport à la 0% 0% 0% 5,50% 9,00% 9,00% 5,50% 3,50% 9,00% 7,25% 9,00%
valeur initiale
oignon rouge
(plasmolysées/30 0 0 0 4 9 13 15 18 19 23 30
cellules)
% de gain par
rapport à la 0% 0% 0% 13% 30% 43% 50% 61% 63% 76% 100%
valeur initiale
pression osmotique 1x1x0,08206x(22+273,15)=24,22atm

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Grâce au tableau et au graphique si dessus nous pouvons clairement observer la perte de taille des
carottes de pomme de terre. Ce qui confirme nos hypothèses précédentes.

5. Mise en évidence des échanges d’eau avec l’épiderme interne d'oignon


rouge
Matériel et méthode

Nous avons prélevez un échantillon de l'épiderme interne d'oignon rouge de quelques millimètres, pas la
suite au contact de rouge neutre pendant 5 minutes nous avons monté sous lame et lamelle pour étude
au microscope.

Résultats

Les cellules de l'épiderme interne sont toutes colorées en rouge car les vacuoles ont absorbées les
pigments dans la solution, celle-ci ne sont pas en plasmolyse. Après ajout de saccharose à 1 mol.L -1 par
capillarité entre lame et lamelle, toujours sur le microscope, les cellules se plasmolyses peu à peu et sont
de moins en moins rouge (la vacuole rétrécie).

Les cellules de l'épiderme d'oignon rouge absorbent les colorants tel que le rouge neutre quand ils sont en
contact, de cette manière les pigments colorés (ici rouge) rentre dans la vacuole et colore donc tout
l'épiderme (du point de vue macroscopique) en rouge. De la même manière si les cellules sont en contact
avec une solution permettant sa plasmolyse (ici saccharose) alors que la vacuole possède des pigments
alors, la cellule va éjecter ces pigments qui sont en solution dans le liquide de la vacuole (avec l'eau). Donc
les pigments sont une fois rentrés dans la cellule et placés dans la vacuole sont mis en solution dans l'eau
qu'elle contient et peuvent en ressortir quand la cellule est en plasmolyse.

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6. Conclusion
Grâce a l’expérience n°1 nous avons pu constater que les concentrations en levures entre la solution A et
B étaient très différentes. La concentration en levure de la solution A est plus importante même après
dilution. Nous avons pu le remarquer lors du prélèvement de l’échantillon car la solution A était beaucoup
plus trouble que la solution B.

D’après l’expérience n°2 et n°3 nous avons pu observer le phénomène d’osmose lors du contage des
cellules plasmolysées. Plus le milieu extérieurs est hypertonique plus le nombre de cellule ayant subi une
plasmolyse est important. L’expérimentation n°3 a confirmé ce phénomène car la taille des carottes de
pomme de terre diminué quand la concentration en saccharose augmentée. Ce qui signifie que les cellules
végétales sont constitué d’une paroi permettant les échanges entre le milieu externe et interne.

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