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Stratégie
d’entreprise
M. TAGHZOUTI Master CCA 2017/18
Introduction
Cadrage définitionnel
. ?
• . La Mondiale
Les modèles
La stratégie d’entreprise
d’organisation
Séminaire autour du changement
organisationnel
M. TAGHZOUTI
1
.
• . La Mondiale
La stratégie d’entreprise concerne :
•La survie et la continuité des organisations
•Le long terme
•Des environnements futurs et incertains
•Des investissements peu réversibles
Les modèles
La stratégie d’entreprise
d’organisation
Est l’ensemble des décisions et des actions
Séminaire
Relatives des ressources
autour du changement
à l’articulation
organisationnel
Et au choix des moyens
En vue d’atteindre
26-27 septembre objectif
un 2002
M. TAGHZOUTI
2
Pour Johnson et Scholes (2008):
Avantage
Stratégie
Concurrentiel
durable
6
3
Conditions de
l’environnement
Construite
A noter:
4
Pourquoi parle-t-on de stratégie d’entreprise?
Compétitivité
De l’entreprise
Construction d’un
Avantage
concurrentiel 9
Objectif Quantification (si possible) ou intention Perdre 5 Kilos d’ici au premier novembre et
plus précise courir le marathon dès l’an prochain
5
Trois Niveaux
11
Stratégie
émergente
Stratégie Délibérée
Stratégie
Stratégie
Désirée
Réalisée
Stratégie
non
Stratégie
réalisé
émergente
12
6
Stratégie délibérée et stratégie émergente
(Mintzberg: Métaphore du Potier)
Compétitivité Sécurité
7
STRATEGIE et Parties Prenantes
16
8
Introduction
(suite)
L’objectif stratégique ?
Créer de la valeur
3 d’entreprise
De la chaîne de valeur financière (shareholders)…
à la chaîne de valeur stratégique (stakeholders)
4
le personnel, les clients, les
fournisseurs, les partenaires, les
pouvoirs publics, etc.
18
9
I. Les modèles stratégiques
— Compétitivité et création de valeur —
Des compétences, des facteurs-clés de succès et un
avantage concurrentiel
19
.
• . La Mondiale
Développer ou détenir un avantage
concurrentiel consiste dans un premier
temps à mettre
Lesenmodèlescorrespondance des
compétencesd’organisation
stratégiques (validées par
un succès de marché)
organisationnelet des facteurs
Séminaire autour du changement
clés
26-27de succès
septembre 2002
M. TAGHZOUTI
20
10
Faire correspondre les compétences et les
FCS
Les compétences :
Développer des compétences
distinctives et des compétences clés
21
11
Développer des compétences distinctives
Objectifs :
M. TAGHZOUTI 23
Des facteurs
L
Des attentes du
d’environnement marché
O
Des attentes
C
Des attentes
S
diversifiées selon
les secteurs évolutives
d’activité
24
12
A.C
L’avantage concurrentiel
L’acquérir, le consolider et le
perpétuer
25
13
L’avantage concurrentiel
Il est structurel ou fonctionnel
Un avantage concurrentiel fonctionnel …
… comprend 3 conditions
La règles des « trois D » 27
14
Les approches de l’avantage concurrentiel
Deux approches
complémentaires
4. Limites
30
15
1.Les travaux fondateurs
Edith Penrose (1959): « Theory of the Growth of
the Firm»
Ensemble de ressources
Firme? humaines et matérielles Services
productives.
31
16
Edith Penrose (suite)
33
A retenir
1) Hétérogénéité,
2) Excédent de capacités ,
3) et aspect systémique des ressources
34
17
1.Les travaux fondateurs
Wernerfelt (1984) et Barney (1986,
1991, 2002)
Ensemble unique de ressources
tangibles et intangibles ou comme un
Firme? portefeuille de compétences et de
ressources distinctes
36
18
1.Les travaux fondateurs
ouvrage classique : Stratégie Ansoff(1965)
37
Installations et équipements
Personnel
38
19
2.La thématique centrale
Source de l’avantage concurrentiel durable (
ACD)
Question
Comment les entreprises ont un
ACD?
39
A retenir
Analyse ou vision externe de la concurrence ( ACD)
40
20
Deuxième explication de la RBV (cf. Arrègle,
RFG, 2006/1, n°160 ; Brulhart et al./Prévot et al. RFG 2010/5, n°204)
41
42
21
3.Thématiques connexes
Pourquoi les entreprises existent?
L’entreprise n’existe pas parce que le marché est
défaillant ( suite à une stratégie de minimisation des
coûts: TCT)
L’entreprise existe parce qu’elle est la seule qui est
capable de créer certaines choses que le marché en
serait incapable .
L’entreprise est la seule à pouvoir développer des
connaissances cognitives: seule la Firme est capable de
développer des connaissances spécifiques à travers un
processus stratégique. 43
44
22
Les compétences se définissent comme le mode de
coordination des ressources. Elles permettent
d’accumuler et de développer les ressources et d’en
créer de nouvelles (Arrègle, 1995, 2006) [thème connexe:
Approche des compétences]
…
45
3.Limites
La théorie des ressources en management stratégique
a reçu de critiques acerbes, comme en confirment par
exemple l’argument fondé sur le principe de
tautologie développé par Porter (1991) ou la «
conversation » entre Priem et Butler (2001) et Barney
(2001). Pourtant, un rapprochement est possible entre
la théorie des ressources et les positionnements de
certains de ses détracteurs (Saïas, Métais, 2001)
46
23
3.Limites ( suite)
On relève en particulier:
-l’approche par les connaissances (KBV) développée dans
le numéro spécial du SMJ coordonné par Spender et Grant
(1996),
-l’approche par les capacités dynamiques (Dynamic
Capabilities) dont les éléments fondamentaux sont actualisés
par l’article de Teece (2007), et l’approche par les
compétences (CBM) qui s’appuie sur l’article de Prahalad et
Hamel (1990), et qui a été diffusée en France par Quélin et
Arrègle (2000), et qui commence à être proposée comme
théorie indépendante de la théorie des ressources (Freiling
et al., 2008).
Ce foisonnement ne doit pas apparaître comme source de
confusion mais plutôt comme une richesse.
47
3.Limites ( suite)
-Comme limite aussi on peut relever la difficulté à
saisir les paramètres « intangibles » ( problématique
d’opérationalisation),
48
24
II Une approche en terme de positionnement
La chaîne de valeur
Valoriser les maillons créateurs de
valeur et en mesurer les résultats
49
Le Prix et la Valeur
PRIX = VALEUR ?
Direct Costing :
Prix = coût + marge
Valeur :
Prix que le client est prêt à payer en
fonction de la valeur perçue qu’il retire
M. TAGHZOUTI 50
25
La chaîne de valeur
Valoriser l’avantage concurrentiel, c’est
réorganiser l’entreprise autour de ses
maillons créateurs de valeur…
Activité soutien 1 Infrastructure de la firme
M. TAGHZOUTI
…et leurs interactions
51
26
La création de valeur : les outils de mesure
L’E.V.A (Economic Value Added)
1 L'EVA (Economic Value Added) mesure
la performance d'une
organisation en terme de création de valeur.
2
prévisionnelle à long terme suppose le calcul de la NPV (Net Present Value) qui
donne une idée de la MVA. Elle permet aux actionnaires de considérer qu'ils
peuvent demeurer actionnaires malgré une destruction de valeur à court terme
ou une destruction de valeur sur une année donnée. On actualise les EVA à une
année n. Ce qui permet de projeter la trajectoire de création de valeur de
l'entreprise sur le long terme. (Révéler des évolutions tendancielles ou exceptionnelles)
53
2
pour un projet à travers son cycle de vie
Elle correspond à la projection de la création de
valeur actualisée à une année N.
Elle permet d’évaluer la MVA
54
27
La formule de création de valeur
EVA = EBIT (1-∂) - K (AIN + BFR)
28
EVA - NPV
Solution I
-Données en milliers d'euros 2004 2005 2006
-Fonds propres 2025 2116 5970
-Dettes à long terme 6809 6951 7718
-Capitaux Permanents (a) 8834 9067 13688
-Actif Immobilisé net (b) 3829 3883 3311
-Fonds de Roulement (a) - (b) 5005 5184 10377
-Actif circulant (1) 13741 19447 26577
-Passif circulant(2) 4351 8030 11475
-Besoin en Fonds de Roulement (1) - (2) 9390 11417 15102
-Coût du capital (10%) (AIN+BFR) 1322 1530 1841
-EBE (x) 2772 4214 3887
-Dotations aux Amortissements (y) 383 388 331
-Résultat d'exploitation (EBIT) (x) -(y) 2389 3826 3556
-Impôts (33.33%) 796 1275 1185
-Résultat net 1593 2551 2371
EVA - NPV
Solution II
-Données en milliers d'euros 2004 2005 2006
-Fonds propres 2025 2116 5970
-Dettes à long terme 6809 6951 7718
-Capitaux Permanents (a) 8834 9067 13688
-Actif Immobilisé net (b) 3829 3883 3311
-Fonds de Roulement (a) - (b) 5005 5184 10377
-Actif circulant (1) 13741 19447 26577
-Passif circulant(2) 4351 8030 11475
-Besoin en Fonds de Roulement (1) - (2) 9390 11417 15102
-Coût du capital (10%) (AIN+BFR) 1322 1530 1841
-EBE (x) 2772 4214 3887
-Dotations aux Amortissements (y) 383 388 331
-Résultat d'exploitation (EBIT) (x) -(y) 2389 3826 3556
-Impôts (33.33%) 796 1275 1185
-Résultat net 1593 2551 2371
-NPV / /
271 + (1021 (1,1)1 )+(530 (1,1)2) : 1199 1637
58
29
EVA - NPV
Solution III
Degré de satisfaction de l’actionnaire ?
Plan stratégique et EVA prévisionnelle
-Données en milliers d'euros 2004 2005 2006
-Fonds propres 2025 2116 5970
60
30
L’analyse de portefeuille
d’activités
Optimiser l’allocation des ressources
61
62
31
2. La segmentation stratégique
Comment ?
M. TAGHZOUTI 63
M. TAGHZOUTI 64
32
Les outils principaux
PIMS
Profit Impact of Market
Strategy
M. TAGHZOUTI 66
33
BCG : cash in flow et cash out flow
Les variables retenues
(à croiser)
Le BCG
20% Activités Activités
Vedettes Dilemmes
Taux Courbe de cycle de
de
crois vie et courbe
sance
d’expérience
Activités Activités
Vaches à lait Poids mort
0%
4 3 2 1 0.5 0
Coefficient de part de marché relative 68
34
ADL : cycle de vie et position concurrentielle
Les variables retenues
(à croiser)
La position concurrentielle
Position coût – prix
Position qualité – innovation – performance
Part de marché – croissance de l’activité
Performance financière
Image de marque
Degré de vulnérabilité concurrentielle
69
ADL
Position
concurren
tielle
20
Dominante
Forte
Position
Développement naturel
Favorable
concurrentielle
Développement sélectif
Défavorable
et cycle de vie
Réorientation
Marginale
0 des activités Abandon
35
Mc Kinsey : attrait et position concurrentielle
Les variables retenues
(à croiser)
Attrait de l’industrie
Taille du marché – Taux de croissance annuel
Pressions concurrentielles –sensibilité aux prix
Rentabilité du secteur – barrières à l’entrée
Degré de maturité du secteur
Mc Kinsey
Forte
20 Zone d’investissement
Profitabilité
et de croissance
Atout Zone de
concurrentiel
Position développement
concurren
tielle sélectif
et attrait du
Dilemmes Zone de désinvestissement
Faible
0
secteur et décroissance
20 0
Attrait du secteur 72
36
Matrice de création de valeur
Les variables retenues
(à croiser)
Potentiel (Attrait de l’industrie et atouts de l’activité)
attrait
Taille du marché – Taux de croissance annuel
Pressions concurrentielles –sensibilité aux prix
Rentabilité du secteur – barrières à l’entrée
Degré de maturité du secteur
atouts
Position coût – prix
Position qualité – innovation – performance
Part de marché – croissance de l’activité
Performance financière
37
Matrice d’analyse de portefeuille d’activités
Exercice
Activités de l’entreprise P1 P2 P3 P4
% Chiffres d’affaires 10% 40% 20% 30%
Note innovation 18 12 16 06
Moyenne attrait du secteur 18 12 16 06
Degré de maturité L M C D
Cash-flow disponibles -50 +300 +100 +50 75
Corrigé : BCG
20 Activités Activités
Vedettes Dilemmes
Taux
de
crois
sance
Activités Activités
Vaches à lait Poids mort
0
4 3 2 1 0.5 0
Coefficient de part de marché relative 76
38
Corrigé : ADL
Position
concurren
tielle
Dominante
Favorable
Développement sélectif
Défavorable Réorientation
Marginale Abandon
Corrigé : Mc Kinsey
Forte
Zone d’investissement
et de croissance
Position Zone de
concurren
développement
tielle
sélectif
Zone de désinvestissement
Faible et décroissance
+ -
Attrait du secteur 78
39
Matrice de création de valeur
+ Activités Activités
À financer « Phares »
Poten
tiel
Potentiel et cash
de flow disponible
l’acti-
vité Activités Activités
À abandonner excédentaires
-
-300 -200 -100 0 +100 +200 +300
Cash-flow disponible 79
L’analyse sectorielle
Mieux comprendre la
concurrence
80
40
L’analyse de la concurrence
…L’analyse de la concurrence suppose
une étude relativement fine des pressions
exercées sur les actions stratégiques des
entreprises et les comportements types
qu’elles doivent anticiper dans leur secteur
Les entrants
potentiels
Pouvoir de Pouvoir de
La
négociation concurrence négociation
des intra-sectorielle
des clients
fournisseurs
Les produits de
substitution
M. TAGHZOUTI82
41
Pharmacie
Industrie du luxe
Les configurations concurrentielles (BCG 2)
Artisanat Electronique
HG
Activités Informatique
traditionnelles HG
volume
Sidérurgie
BG
différen- Produits
ciation Papier - carton
de masse
« Impasse Secteur
Faibles concurrentielle » « volume »
Faible Fort
Avantage concurrentiel lié au volume 83
42
Les forces concurrentielles (M. Porter)
Pouvoir Pouvoir
important des Concurrence
croissante en important
fournisseurs raison des marges
(produits frais – des GMS
qualité liée)
Parasitisme au
sein des gammes
85
Faible Fort
Avantage concurrentiel lié au volume 86
43
III. Les options stratégiques
87
Les stratégies
génériques
Différencier ou rationaliser 88
44
Les stratégies génériques
Les stratégies de domination globale par les coûts
1
2 La différenciation
3 La focalisation
4 La stratégie de retrait
M. TAGHZOUTI 89
Domination
Large
globale par Différenciation
Stratégies
les coûts de
spécialisation
Marché
Focalisation
Segmenté Coûts compétitifs Différenciation sur
sur un segment un segment
45
1 La domination par les coûts
…La stratégie de domination globale par
les coûts consiste pour une entreprise à
rationaliser ses coûts complets (au sens
du plan comptable) pour distancer ses
concurrents
M. TAGHZOUTI
92
46
Domination par les coûts
4 facteurs de contexte
M. TAGHZOUTI 93
2 La différenciation
47
Cas de Différenciation
La différenciation peut concerner…
La qualité
L’image
M. TAGHZOUTI
95
Qualité totale
96
48
Différenciation : La qualité totale
La qualité s’adresse à chaque acteur en tant
1
que producteur ou consommateur. Déjà selon
Pareto, le gestionnaire recherche les causes de
dysfonctionnement dans le processus de
production et en élimine le maximum.
M. TAGHZOUTI
2
qui concerne tout employé. Ishikawa crée les « cercles de
qualité » qui ont pour but d’éduquer le personnel à la
gestion de la qualité. Deming est l’initiateur du cycle PDCA
(Plan, Do, Check & Act) : préparation du changement, mise
en œuvre à petite échelle, vérification des effets du changement
et réaction face aux observations peu convaincantes. 97
La qualité totale
.
Il ne faut jamais être satisfait de la
3
qualité. Au contraire, la qualité est un
concept à parfaire au fil du temps et au
gré de l’environnement
M. TAGHZOUTI
49
La qualité totale
La qualité devient une politique d’amélioration
7
La performance liée à la qualité totale est
plurielle du fait de la diversité des gains au
sein et en dehors de l’organisation. 99
Différenciation par
Les stratégies de
marque 100
50
La différenciation par la marque
Les fonctions différenciatrices de la marque
.
• . La Mondiale
La stratégie de différenciation par l’image
s’inscrit dans le cadre d’un choix générique qui
consiste pour l’entreprise à développer des
Les modèles
actions de signalisation et de communication qui
lui permettentd’organisation
d’atteindre un objectif stratégique
de création de valeur
Séminaire etdude
autour consolidation de
changement
organisationnel
pouvoir de marché
26-27 septembre 2002
M. TAGHZOUTI
102
51
.
La Mondiale
La marque est un signe matériel qui permet à une
•personne
. de distinguer son produit ou l’objet de son
commerce de ceux des autres. La renommée du savoir-
Les modèles
faire de l’artisan ou du commerçant suffisait autrefois.
Cependant, avec le développement d’une économie de
d’organisation
l’offre et la complexité des produits, la notoriété de
Séminaire autour du changement
l’homme de l’art est remplacée peu à peu par la marque
organisationnel
M. TAGHZOUTI 103
.
• . La Mondiale
Le phénomène de marque est né avec les
échanges commerciaux.
La prise en considération de la valeur des
Lesprogressivement,
marques s’est faite modèles notamment
d’organisation
par le secteur financier à l’occasion des
multiples opérations de fusions,
Séminaire autour acquisitions de
du changement
organisationnel
grandes sociétés à marques notoires
26-27 septembre 2002
M. TAGHZOUTI104
52
.
• . La Mondiale
A partir des années 1980, les opérations de
fusion-acquisition donnent lieu à une hausse des
multiples (ou Price-Earnings Ratio) dès lors que
Lesdétient
l’entreprise cible modèles
des marques notoires
d’organisation
Une meilleure évaluation des marques et des
actifs immatériels fait
Séminaire passer
autour ces PER de 5 en
du changement
organisationnel
moyenne avant 1980 à plus de 25 après 1980.
26-27 septembre 2002
M. TAGHZOUTI105
M. TAGHZOUTI 106
53
La différenciation par la marque
L’identité de la marque : 6 facettes
Relation Client-produit/service
La marque produit
La marque ligne
La marque gamme
La marque ombrelle
La marque caution
La marque source
La marque enseigne
M. TAGHZOUTI 108
54
La différenciation par la marque
Qu’évoquent ces marques ?
Seb Calor Philips Moulinex
Produits liés à la
cuisine ? NON NON OUI
109
M. TAGHZOUTI : Etude de marché 1994
caloR SeB
Ne déploie pas de Ne déploie pas de produits
produits liés à la cuisine liés à l’entretien de la
(friteuse, cafetière, robot maison ou au soin de la
Concepts
ménager,…) personne (rasoir, sèche
cheveux, fer à repasser,…)
catégoriels
PHILIPS
moulinex
Déploie des produits Déploie des produits liés
liés au soin de la à la cuisine et à
personne l’entretien de la maison
110
55
Concept de marque
Produit et communication
Concept de
marque
M. TAGHZOUTI 111
3 La focalisation
…La focalisation est une stratégie de
segmentation par laquelle l’entreprise
cherche à dominer un créneau (une niche)
par le biais d’une rationalisation des coûts
ou d’une démarche de différenciation
56
4 La stratégie de retrait
…La stratégie de retrait consiste pour
l’entreprise à se dégager d’un secteur
pour lequel elle n’aurait plus d’opportunité
à se maintenir.
Se retirer du marché ?
4 phases : 4 raisons
Stratégie de retrait
M. TAGHZOUTI114
57
2
Les stratégies spécifiques
(Les stratégies inter-industries)
Etendre les réseaux de
compétences de l’entreprise 115
1 L’intégration verticale
2 La diversification
M. TAGHZOUTI
116
58
Les stratégies à l’international
Développer les marchés de
l’entreprise
117
L’internationalisation progressive
1 L’exportation
2 L’internationalisation
3 La multinationalisation
4 La transnationalisation
5 La globalisation
M. TAGHZOUTI 118
59
Mondialisation et globalisation
2 Déréglementation, décloisonnement et
désintermédiation financière (les 3 D)
M. TAGHZOUTI 119
60