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Conçu pour l’Institut National de la Poste, des Technologies de l’Information et de la Communication

(INPTIC). Année académique 2017 - 2018

Cours 1 : Rappelle

I- Qu’est-ce qu’une base de données ?

---> Demander à chaque étudiant de définir une base de données.

Définition collective : Il n’y a pas de définition normalisé au terme base de


données. Il en va un peu de la compréhension de chacun. Dans le cadre d
notre cours, nous dirons qu’une base de données est un ensemble
d’informations structurés1, sécurisés et accessible.

-----> Question pour les étudiants : Pourquoi les bases de données ?

Les quelques questions en-dessous ont conduit les concepteurs


informatiques à produire les bases de données que nous avons aujourd’hui :

 Comment être plusieurs à accéder aux mêmes données ?


 Comment stocker des dizaines de milliers d’informations ?
 Comment accéder simplement et rapidement à ces mêmes
informations ? Et comment faire des statistiques dessus ? Par
exemple, obtenir la liste de tous les clients que l’on a facturé cette
année.
 Comment faire des relations entre des « objets informatiques » ? Par
exemple définir qu’un contact appartient à une entreprise cliente.
 Comment sauvegarder les données informatiques même si des
personnes travaillent dessus ?
 Comment ne pas enregistrer 2 fois la même information ?
 Comment définir des droits aux utilisateurs ? Par exemple dire que
Julien a le droit de créer un contact mais n’a pas le droit de modifier
l’entreprise cliente dont dépend le contact.

L'intérêt d'une base de données est donc de regrouper les données


communes à une application dans le but :

 d'éviter les redondances et les incohérences qu'entraînerait


fatalement une approche où les données seraient réparties dans
différents fichiers sans connexions entre eux ;

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Organisation et description de données

Rédigé par Ariace MIANSSODILA BOUSSOUNGOU 2018-04-15


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 de partager les données entre plusieurs utilisateurs ;


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 de contrôler l'intégrité, la sécurité et la confidentialité des données ;
 d'assurer l'indépendance entre les données et les traitements.

-------> Quels types de base de données connaissez-vous ?

1 – Les bases de données hiérarchiques

Les tous premiers programmes de bases de données permettaient de


structurer l’information de façon hiérarchique.

Chaque enregistrement dépendait d’un seul enregistrement. Présenté sous


forme d’arbre avec ses ramifications.

Figure 1 : Exemple de structure de base de données hiérarchique

Mais rapidement, les contraintes trop fortes de dépendance (un seul


enregistrement parent) ont amené au deuxième type de base de données.

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2 – Les bases de données réseau


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Comment dire qu’un objet peut avoir plusieurs objets parents et plusieurs
objets enfants ? Là où les bases de données hiérarchiques déclarent forfait,
les bases de données réseau prennent le relais de façon très satisfaisante.
En permettant les relations n-n (plusieurs parents / plusieurs enfants), les
bases de données font un vrai bond en avant et permettent de mimer plus
fidèlement le monde réel. D’une structure en arbre, les bases de données
deviennent des graphes.

Pour retrouver une donnée dans une telle modélisation, il faut connaître le
chemin d'accès (les liens), ceci rend encore les programmes dépendants de
la structure de données.

Figure 2 : Exemple de base de données réseau

3 – Les bases de données relationnelles

C’est le type de bases que l’on connaît et que l’on pratique aujourd’hui. Ce
type de base de données permet de modéliser facilement et sans grosse
contraintes les systèmes du monde réel et de créer des bases de données
simples à maintenir, à faire évoluer et indépendantes de leur support.

Dans ce type de bases de données, les données sont organisées en tables.


C’est la technologie majeure en bases de données depuis les années 1980.

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Exemple : Inscription dans les collèges locaux, 2005


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Type établissement
Collège Nouveaux étudiants Étudiants du
deuxième cycle
Université d’Oyem 110 103

Collège de l’Amour 223 214

Académie de Mitzic 197 120

Collège des samaritains 134 121

Institut de Makokou 202 210

Université de Medouneu 24 20

Collège de Moanda 43 53

Académie de Makana 3 11

Collège des Oliviers 9 4

Institut de Franceville 53 52

Source : Données fictives fournies à des fins d’illustration uniquement

4 – Les bases de données objet

Dans ce type de base donnée, les données sont décrites comme des classes
et représentées sous forme d’objet possédant des attributs et des
méthodes.

II- Qu’est-ce qu’un SGBD ?

SGBD pour Système de Gestion des Base de Données est un logiciel


qui prend en charge la structuration, le stockage, la mise à jour et la
maintenance d'une base de données. C’est (Il est l'unique) l’interface
entre les informaticiens et les données (définition des schémas,
programmation des applications), ainsi qu'entre les utilisateurs et les
données (consultation et mise à jour).

-----> Citez quelques SBGD que vous connaissez

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Exemples de SGBD
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Oracle est un SGBD relationnel et relationnel-objet très utilisé pour


les applications professionnelles.
PostgreSQL est un SGBD relationnel puissant qui offre une
alternative libre (licence BSD) aux solutions commerciales comme Oracle
ou IBM.
Access est un SGBD relationnel Microsoft, qui offre une interface
graphique permettant de concevoir rapidement des applications de
petite envergure ou de réaliser des prototypes.
MongoDb est un SGBD non-relationnel libre (licence Apache)
orienté document. Il permet de gérer facilement de très grandes
quantités de données - dans un format arborescent JSON - réparties sur
de nombreux ordinateurs.

1- Composition d’un SGBD

Le SGBD est composé de trois couches successives :

- Le système de gestion de fichiers.


Il gère le stockage physique de l'information. Il est dépendant du matériel
utilisé (type de support, facteur de blocage, etc ...).

- Le SGBD interne.
Il s'occupe du placement et de l'assemblage des données, gestion des
liens et gestion de l'accès rapide.
Il décrit donc l’organisation des données en mémoire (sur disque) et la
façon d’y accéder.

L'organisation choisie doit permettre :

 d'accéder le plus rapidement possible à un ensemble de données


vérifiant certaines conditions ;
 de créer, modifier ou supprimer des données avec une réorganisation
minimale et une utilisation optimale de la place disponible.

Rédigé par Ariace MIANSSODILA BOUSSOUNGOU 2018-04-15


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- Le SGBD externe.
Il s'occupe de la présentation et de la manipulation des données aux
concepteurs et utilisateurs. Il s'occupe de la gestion de langages de
requêtes élaborées et des outils de présentation (états, formes, etc...)

Un schéma externe représente la façon dont un utilisateur final ou un


programme d'application voit la partie de la BD qui le concerne. Il existe en
général plusieurs modèles externes pour une même BD.

Le schéma conceptuel d'une BD peut être complexe : les schémas externes


donnent aux utilisateurs une vision plus simple de ce schéma.

Les schémas externes permettent aussi de protéger la BD contre des


manipulations incorrectes ou non autorisées, en cachant certaines données
à certains utilisateurs.

2- Objectifs des SGBD

- Faciliter la représentation et la description de données. Plus besoin


de travailler directement sur les fichiers physiques (tels qu’ils sont
enregistrés sur disque).
Un SGBD nous permet de décrire les données et les liens entre elles
d’une façon logique sans se soucier du comment cela va se faire
physiquement dans les fichiers. On parle alors d’image logique de la
base de données, (ou aussi description logique ou conceptuelle ou
encore de schéma logique). Ce schéma est décrit dans un modèle de
données par exemple le modèle de tables, appelé le modèle
relationnel.

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Image physique

Image logique

- Faciliter la manipulation en travaillant directement sur le schéma


logique. On peut insérer, supprimer, modifier des données
directement sur l’image logique. Le SGBD va s’occuper de faire le
travail sur les fichiers physiques.

- Permettre l’ajout des contraintes permettant d’avoir à tout instant des


données cohérentes par exemple l’âge d’une personne supérieur à
zéro, salaire supérieur à zéro, etc. Dès que l’on essaie de saisir une
valeur qui ne respecte pas cette contrainte, le SGBD le refuse.

- Efficacité des accès (Temps de réponse & débit global)

3- Fonction d’un SGBD

- Description des données : codification structuration, grâce Langage


de Description de Données (LDD)

- Manipulation et restitution des données (insertion, mise à jour,


interrogation)

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 mise en œuvre à l’aide d’un Langage de Manipulation de Donné


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(LMD)
 SQL (Structured Query Language) : Langage standard

- Contrôle (partage, intégrité, confidentialité, sécurité)

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