DOSSIER DE PRESSE

“LA FLEURUSIENNE” CHANGE DE LOOK !

SOVIET BLOEM - POINT PRESSE DU 26/04/17
2 | “LA FLEURUSIENNE” CHANGE DE LOOK !

“La Fleurusienne”
change de look!
Ce mercredi 26 avril 2017, “La Fleurusienne”, bière déjà réputée auprès des
connaisseurs, dévoile ses nouvelles robes signées de la griffe “Soviet Bloem”.
Plus jeunes et davantage colorées, ces étiquettes permettront une identification
plus aisée des différentes variétés.

“La Fleurusienne” se décline en
Brun’ dans le plus pur style des
bières belges d’abbaye, titrant 9%
de volume d’alcool, en Blond’ plus
légère et rafraichissante, en Tripl’
avec ses arômes de houblon et
son amertume prononcée et enfin
en “Grande cuvée des Bernar-
dins” dotée d’une fraîcheur et
d’un bouquet incomparables. Pas
étonnant que les “Soviet Bloem”
s’inclinent devant ce breuvage,
au point qu’il ne se passe pas un
événement organisé par le Collectif
sans que “La Fleurusienne” ne s’y
invite.
Ce rapprochement s’ajoutant à
l’inscription de la culture de la bière
belge au patrimoine immatériel de
l’UNESCO, en novembre 2016, a
très vite motivé les membres de
“Soviet Bloem” à donner un coup
de projecteur sur notre patrimoine
brassicole. Bien au-delà du plaisir de
partager les belles “Fleurusiennes”
lors d’événements, le Collectif a donc
choisi une action pour concrétiser
l’envie exprimée par la famille
Leclercq de donner une identité
visuelle aux produits que Christian
(époux et père) avait initiés il y a
quatre ans déjà.
designer, enseignant et artiste à part
entière mais encore président de
“Soviet Bloem”, a créé une nouvelle
étiquette – et ses dérivées – qui
sont dévoilées ce 26 avril 2017,
dans les murs du magasin “Les
Plaisirs du 604”, qui nous accueille
avec l’appréciable collaboration de
la boucherie Ganty.
Créée par Christian Leclercq
C’est à un homme bien connu de
l’entité que “La Fleurusienne” doit sa
naissance. Plongé dès son enfance
dans la fabrication de bouchons au
cœur même de la ville, Christian
Leclercq a imaginé d’offrir à Fleurus
sa propre bière. « C’est notamment
suite à un échange avec Jean-Luc
Borremans, Bourgmestre de Fleurus,
à propos du bicentenaire de la
dernière victoire de Napoléon que
l’institution publique se préparait
à commémorer, que Christian a
enclenché la vitesse supérieure »,
se souvient Françoise, sa veuve.
Ainsi est née “La Fleurusienne”, pour
celui qui a été artisan bouchonnier
depuis toujours et qui, par la même
occasion, a remis à l’honneur une
valeur de notre région dès ce fameux
marché de Noël 2013.
Cette année-là, Christian crée la
surprise en proposant les toutes
premières Fleurusiennes déclinées
en blonde et en brune.

Pour matérialiser la mise en évidence

de “La Fleurusienne “, Dom Verrassel,

Brassées à Warsage et Bovigny
Désormais, grâce au nouvel habil-
lage, il sera plus aisé d’identifier
la gamme de “Fleurusienne(s)”.
Au total, quatre produits sont
proposés : la brun’, la blond’ et
la tripl’ sont brassées à Warsage,
où Dominique Denis développe
sa science d’ingénieur brasseur
(option après un socle en biologie)
au sein d’une brasserie qu’il fait
fonctionner seul.
En effet, au-delà d’assumer des
travaux de consultance pour de
grandes brasseries, Dominique
s’est révélé dans son art depuis
de nombreuses années, c’est donc
avec lui que Christian Leclercq a
mis au point les brun’, blond’ et tripl’.
Soucieux de proposer une gamme
complète de “belles et goulues”,
Christian a étudié ensuite le concept
d’une “Grande cuvée des Bernar-
dins”. C’est à Bovigny – brasserie
“Les 3 Fourquets”, Lupulus – que
notre artisan bouchonnier a partagé
son attente, son expérience et son
savoir pour créer sa quatrième
bière “à façon”.
La blond’ et la brun’ sont disponibles
dès ce jour. La tripl’ et la “Grande
cuvée des Bernardins” seront mises
en vente à la mi-mai.
La Bouchonnerie Leclercq
Christian a été la 4e génération de
la famille Leclercq à faire tourner la
bouchonnerie, aujourd’hui ses fils
Cédric et Damien – 5e génération
– gèrent un outil moderne, construit
en 2007/2008.
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EN BREF
La bouchonnerie Leclercq est depuis
sa création une entreprise familiale,
coulée en société anonyme depuis
le 1er octobre 1996.
Les opérations de l’entreprise
consistent au traitement et la
finition du bouchon, qui arrive donc
pré-formaté. La production annuelle
est à quelques milliers près de
100 millions d’unités. L’entreprise
est donc définie comme centre de
finition du bouchon en liège, le seul
encore en fonction en Belgique.
La production se vend au sein du
Bénélux et en France, elle répond
aux producteurs de vins, efferves-
cents et bières.
Cela ne s’invente pas : pour construire
la bouchonnerie, les aïeux (Louis
Bodart et Joseph Leclercq) ont
racheté rue Vandervelde la brasserie
(à vapeur) Bivort-Soupart* – qui
brassait une bière blonde baptisée
“La Wallonne” jusqu’en 1931 –,
à l’endroit où la bouchonnerie a
tourné jusqu’en 2007/2008.
Les nouvelles installations (1.600 m2)
érigées dans le zoning de Fleurus/
Farciennes (Vieux-Campinaire)
représentent un investissement
de 1,25 millions d’euros.
La société compte huit emplois.
La société dispose d’un magasin
où vous pouvez aussi acquérir
tout le matériel nécessaire pour la
fabrication du vin, cidre, bière, mais
encore confiture et choucroute.
(*) Pour l’anecdote, sachez que
Fleurus a aussi connu une bière
supérieure extra “La Diva”, produite
par la brasserie Dubois (installée
au Bon Dieu de Pitié) qui a fermé
ses portes avant la seconde guerre
mondiale.
© Bouchonnerie Leclercq
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Dans les pas du biérologue

Biérologue ou zythologue ? C’est selon, mais gardons zythologue d’autant plus
que celui qui offre ses services au “604” est fameux. Cependant, à chacun son
palais, son nez, donc vous apprécierez vous-même les brun’, blond’, tripl’ et
“Grande cuvée des Bernardins”, mais un bref fil conducteur mérite une minute
de réflexion.

>> Pour goûtez une bière, il y a des étapes incontournables :

1 D’abord l’apparence. Le verre à la main, laissez votre regard décrypter la couleur, la clarté, voire le côté
trouble, la mousse. Et puis le nez : respirez, agitez, respirez.

2 La saveur : ingurgitez (méticuleusement) 2 ou 3 gorgées, est-elle amère? Sucrée? A-t-elle du corps?

Est-elle ronde? Sèche?

3 Laissez vos neurones combiner toutes ces caractéristiques, et appréciez ce divin breuvage.

>> Qu’en dit le zythologue?

La brun’ : bière brassée avec un mélange de malt d’orge

et de malt caramélisé, c’est une bière brune forte dans le
plus pur style des bières belges d’abbaye, titrant 9% de
volume d’alcool.

La blond’ : bière brassée avec un mélange de malt d’orge

et de malt de froment, c’est une bière spéciale légère non
filtrée, titrant 6,5% de volume d’alcool. Elle est vive et
rafraîchissante.

La tripl’ est brassée avec du malt pâle. C’est une vraie triple,
blonde forte et amère, titrant 8,5% de volume d’alcool et qui
se caractérise par des arômes de houblon et une amertume
prononcée.

La « Grande cuvée des Bernardins » est une bière blonde

de 8,5% d’alcool, refermentée en bouteilles champenoises
et en fûts. La volonté de ne pas filtrer ni de pasteuriser
cette bière assure la préservation de toutes ses qualités
aromatiques et de goût. L’utilisation de houblon en quantité
importante donne à cet or liquide une fraîcheur ainsi qu’un
bouquet incomparables.
© Soviet Bloem
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OÙ TROUVER LA FLEURUSIENNE ?

Bouchonnerie Leclercq
Avenue de l’Espérance 31 – 6220 Fleurus

071/81.10.56 – info@bouchonsleclercq.be

www.bouchonsleclercq.be

Les Plaisirs du 604

Chaussée de Charleroi 604 – 6220 Fleurus

071/81.96.32 – info@plaisirsdu604.be

www.plaisirsdu604.be

Ouvert le 21 juin 2014, ce magasin offre de vrais services aux amateurs

de boissons houblonnées et alcoolisées. Au fil de repas et de dégustations
(sur rendez-vous, voire à domicile), les promoteurs – Xavier Dery et Pascal
Brasseur – font étalage de leur science, il est vrai qu’ils ont choisi de travailler
des produits de qualité, rares parfois, belges ou étrangers. Outre la capacité de
prêter une oreille attentive aux producteurs et artisans brasseurs spécialisés,
ils écoutent les consommateurs et leur apportent le conseil juste, sachant
que la modération est un art subtil.

Boucherie Ganty
Rue de la Station 30 – 6220 Fleurus

071/81.12.63 – boucherieganty@hotmail.com

Facebook : Boucherie Ganty

Boucherie fleurusienne existant depuis 1956, gerée par Pauline Pelgrims et

Fabrice Reumont.

Et épisodiquement dans les magasins “Match”

Pour les associations et/ou les évènements, une pompe et des verres appropriés peuvent être mis
à disposition. “La Fleurusienne” est mise en bouteille de 75 cl mais aussi en fût (20 litres) pour sa
version “Grande cuvée”.
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Dom, le “sale gamin”

derrière l’étiquette
Président de “Soviet Bloem”, prof à ses heures et designer bourré de talent, Dom
(ne l’appelez pas Dominique), entremetteur devant l’éternel, a permis le mariage
entre “La Fleurusienne” et le Collectif “Soviet Bloem”. C’est à lui en effet que
l’on doit les quatre nouvelles robes de “La Fleurusienne” qui, avouons-le, lui
offre une cure de jouvence à coups d’oblique! Rencontre avec ce “sale gamin”
tatoué, fan de bidoche et de culture pop.

“La Fleurusienne” doit être

la bière des Fleurusiens,
celle qui nous rassemble
tout au long de l’année
et qui devient une évidence
quand on doit trinquer.
Elle est à l’honneur de
chacun de nos événements. 

© Thomas Vanden Driessche


>> Qu’est-ce qui t’a poussé à “dire
oui” ?  ment de nombreuses discussions
J’ai toujours une frustration à boire
une bière qui n’a pas l’étiquette qu’elle
mérite et, de fait, je trouvais que
“La Fleurusienne” se devait d’avoir
une étiquette dont elle pourrait être
fière. Moi, “petsouille de la capitale”,
je ne me voyais pas débarquer et
dire « votre étiquette, ça va pas du
tout, laissez-moi faire… ». J’ai donc
attendu l’opportunité, et quand l’idée
d’un mariage entre “La Fleurusienne”
et “Soviet Bloem” s’est présentée, j’ai
sauté sur l’occasion. J’ai tendance
à travailler sur ce genre de projet
que si j’ai carte blanche...  de considérer mon travail comme
>> Et ça se voit… Les nouvelles étiquettes
tranchent radicalement avec les
anciennes. Elles répondent à certains
choix graphiques, notamment au
niveau des obliques. Qu’est-ce qui
a motivé ta démarche ?
Je suis parti sur le rectangle d’origine,
l’idée graphique d’avoir une oblique
était là mais ne prenait pas assez
d’envergure à mon sens. Je suis
donc passé au format carré qui
m’offrait d’être un peu plus radical
dans la mise en place du nom, et
de rendre “La Fleurusienne” plus
dynamique. Est venu par la suite
le placement du “volatile” qui, posé
sur un médaillon doré, semblait
être à contre-jour presque façon
“Fantomas” et graphisme du début
du XXème siècle, ça ce sont mes
influences “culture populaire”. Mais
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ma réflexion est nourrie égale-
arrosées que nous avons au sein
de “Soviet”.
>> Comment tu décrirais la “Dom
touch” ?
Mon approche se résume à beaucoup
de techniques mais avec un côté
“sale gamin”. Même si je mets
beaucoup de rigueur dans mon
travail, je ne peux m’empêcher de
rajouter un petit côté de “traviole”,
un défaut voulu, une coquetterie qui
ne fait rire parfois que moi. Du fait
un métier d’artisanat, j’essaie
d’éviter la pose de l’artiste, ainsi
mes influences plutôt “pop culture”
et “sous-cultures” plutôt qu’à un art
avec un grand A, me poussent à
accorder énormément d’importance
au geste technique définitif.
Evidemment, du fait d’avoir fait
des études d’arts et de travailler
dans le design depuis 20 ans, je
ne peux nier que je suis continuel-
lement influencé. Historiquement,
je suis passé de Peter Saville à
Aaron James Draplin en passant
par House Industries et Rockin’
Jelly Bean… pour revenir à Saville.
>> Pourquoi designer et pas footbal-
leur ou pompier ?
 N’étant pas bon en sport, l’art était
l’autre moyen d’emballer les filles.
BIO EXPRESS
De taille moyenne, les bras tatoués
– influence populaire du début du
XXème siècle et le côté “sale gamin”
-, ayant la coquetterie de porter un
petit chapeau – « un accessoire
bien trop classieux que pour être
abandonné aux musiciens de rock
festif ou aux joueurs de djembé » –,
Dom Verrassel aime Russ Meyer,
« la bidoche sous toutes ses formes :
la bière, le bourbon, le gras, le frit
et le piquant ».
Pour ce créatif – « Mon boulot
m’oblige à être curieux tout le temps,
cela me permet de faire passer
mes hobbies au premier plan et
de n’avoir jamais l’impression de
travailler vraiment » –, la séduc-
tion est définitivement un jeu, et
la musique un exutoire (de Burt
Bacharach à Body Count, via
Mötley Crüe, Ben Folds ou encore
John Barry).
Cela dit, son quotidien c’est aussi
l’enseignement. Même si lors des
récentes portes ouvertes organi-
sées au sein d’ Arts2 (Mons), Dom
a notamment développé avec
ses élèves un projet d’habillage
d’une Aston Martin de rallye, il
reste néanmoins fan de vieilles
“mopeds”. Si vous vous séparez
d’un modèle pré-1980 pour pas
cher, il est preneur.
CONTACTS PRESSE
LAURIE LECLERCQ
0479 / 680 325