Les rapports étroits de la métaphysique d'Àristote avec sa
physique ont amené tout naturellement W. Jaeger à soulever maint
problème d'ordre plutôt cosmologique, — problèmes tant littéraires que doctrinaux, — à propos de l'évolution des idées du Stagirite en philosophie première. Les réponses données à ces questions incidentes ont été .signalées et même brièvement discutées, quand il y avait lieu, au paragraphe précédent. Reste à voir comment il y a lieu de se représenter la succession et la genèse des traités physiques, qui forment dans le Corpus aristotelicum une série fort importante et, en apparence du moins, assez bien enchaînée. A ces problèmes d'ordre général W. J. a consacré des études bien moins détaillées qu'aux problèmes analogues soulevés par la Métaphysique ou même par les Ethiques ou la Politique. On peut les comparer, à des fouilles pratiquées d'une manière rapide et sporadique, sous l'oeil exercé d'un explorateur qui prétend reconnaître seulement les grandes lignes d'édifices ensevelis sous des décombres, sachant bien que pour reconstituer avec certitude l'ensemble et les détails de la construction, il faudrait pousser les travaux encore beaucoup plus avant. Voici le résumé des résultats — provisoires sans doute — obtenus par W. J. dans ce domaine immense et en somme peu exploré jusqu'ici ; ils font l'objet d'un assez court chapitre de son livre (pp. 308-527). Les rapports étroits de la métaphysique d'Àristote avec sa physique ont amené tout naturellement W. Jaeger à soulever maint problème d'ordre plutôt cosmologique, — problèmes tant littéraires que doctrinaux, — à propos de l'évolution des idées du Stagirite en philosophie première. Les réponses données à ces questions incidentes ont été .signalées et même brièvement discutées, quand il y avait lieu, au paragraphe précédent. Reste à voir comment il y a lieu de se représenter la succession et la genèse des traités physiques, qui forment dans le Corpus aristotelicum une série fort importante et, en apparence du moins, assez bien enchaînée. A ces problèmes d'ordre général W. J. a consacré des études bien moins détaillées qu'aux problèmes analogues soulevés par la Métaphysique ou même par les Ethiques ou la Politique. On peut les comparer, à des fouilles pratiquées d'une manière rapide et sporadique, sous l'oeil exercé d'un explorateur qui prétend reconnaître seulement les grandes lignes d'édifices ensevelis sous des décombres, sachant bien que pour reconstituer avec certitude l'ensemble et les détails de la construction, il faudrait pousser les travaux encore beaucoup plus avant. Voici le résumé des résultats — provisoires sans doute — obtenus par W. J. dans ce domaine immense et en somme peu exploré jusqu'ici ; ils font l'objet d'un assez court chapitre de son livre (pp. 308-527). Les rapports étroits de la métaphysique d'Àristote avec sa physique ont amené tout naturellement W. Jaeger à soulever maint problème d'ordre plutôt cosmologique, — problèmes tant littéraires que doctrinaux, — à propos de l'évolution des idées du Stagirite en philosophie première. Les réponses données à ces questions incidentes ont été .signalées et même brièvement discutées, quand il y avait lieu, au paragraphe précédent. Reste à voir comment il y a lieu de se représenter la succession et la genèse des traités physiques, qui forment dans le Corpus aristotelicum une série fort importante et, en apparence du moins, assez bien enchaînée. A ces problèmes d'ordre général W. J. a consacré des études bien moins détaillées qu'aux problèmes analogues soulevés par la Métaphysique ou même par les Ethiques ou la Politique. On peut les comparer, à des fouilles pratiquées d'une manière rapide et sporadique, sous l'oeil exercé d'un explorateur qui prétend reconnaître seulement les grandes lignes d'édifices ensevelis sous des décombres, sachant bien que pour reconstituer avec certitude l'ensemble et les détails de la construction, il faudrait pousser les travaux encore beaucoup plus avant. Voici le résumé des résultats — provisoires sans doute — obtenus par W. J. dans ce domaine immense et en somme peu exploré jusqu'ici ; ils font l'objet d'un assez court chapitre de son livre (pp. 308-527). Les rapports étroits de la métaphysique d'Àristote avec sa physique ont amené tout naturellement W. Jaeger à soulever maint problème d'ordre plutôt cosmologique, — problèmes tant littéraires que doctrinaux, — à propos de l'évolution des idées du Stagirite en philosophie première. Les réponses données à ces questions incidentes ont été .signalées et même brièvement discutées, quand il y avait lieu, au paragraphe précédent. Reste à voir comment il y a lieu de se représenter la succession et la genèse des traités physiques, qui forment dans le Corpus aristotelicum une série fort importante et, en apparence du moins, assez bien enchaînée. A ces problèmes d'ordre général W. J. a consacré des études bien moins détaillées qu'aux problèmes analogues soulevés par la Métaphysique ou même par les Ethiques ou la Politique. On peut les comparer, à des fouilles pratiquées d'une manière rapide et sporadique, sous l'oeil exercé d'un explorateur qui prétend reconnaître seulement les grandes lignes d'édifices ensevelis sous des décombres, sachant bien que pour reconstituer avec certitude l'ensemble et les détails de la construction, il faudrait pousser les travaux encore beaucoup plus avant. Voici le résumé des résultats — provisoires sans doute — obtenus par W. J. dans ce domaine immense et en somme peu exploré jusqu'ici ; ils font l'objet d'un assez court chapitre de son livre (pp. 308-527). Les rapports étroits de la métaphysique d'Àristote avec sa physique ont amené tout naturellement W. Jaeger à soulever maint problème d'ordre plutôt cosmologique, — problèmes tant littéraires que doctrinaux, — à propos de l'évolution des idées du Stagirite en philosophie première. Les réponses données à ces questions incidentes ont été .signalées et même brièvement discutées, quand il y avait lieu, au paragraphe précédent. Reste à voir comment il y a lieu de se représenter la succession et la genèse des traités physiques, qui forment dans le Corpus aristotelicum une série fort importante et, en apparence du moins, assez bien enchaînée. A ces problèmes d'ordre général W. J. a consacré des études bien moins détaillées qu'aux problèmes analogues soulevés par la Métaphysique ou même par les Ethiques ou la Politique. On peut les comparer, à des fouilles pratiquées d'une manière rapide et sporadique, sous l'oeil exercé d'un explorateur qui prétend reconnaître seulement les grandes lignes d'édifices ensevelis sous des décombres, sachant bien que pour reconstituer avec certitude l'ensemble et les détails de la construction, il faudrait pousser les travaux encore beaucoup plus avant. Voici le résumé des résultats — provisoires sans doute — obtenus par W. J. dans ce domaine immense et en somme peu exploré jusqu'ici ; ils font l'objet d'un assez court chapitre de son livre (pp. 308-527). Les rapports étroits de la métaphysique d'Àristote avec sa physique ont amené tout naturellement W. Jaeger à soulever maint problème d'ordre plutôt cosmologique, — problèmes tant littéraires que doctrinaux, — à propos de l'évolution des idées du Stagirite en philosophie première. Les réponses données à ces questions incidentes ont été .signalées et même brièvement discutées, quand il y avait lieu, au paragraphe précédent. Reste à voir comment il y a lieu de se représenter la succession et la genèse des traités physiques, qui forment dans le Corpus aristotelicum une série fort importante et, en apparence du moins, assez bien enchaînée. A ces problèmes d'ordre général W. J. a consacré des études bien moins détaillées qu'aux problèmes analogues soulevés par la Métaphysique ou même par les Ethiques ou la Politique. On peut les comparer, à des fouilles pratiquées d'une manière rapide et sporadique, sous l'oeil exercé d'un explorateur qui prétend reconnaître seulement les grandes lignes d'édifices ensevelis sous des décombres, sachant bien que pour reconstituer avec certitude l'ensemble et les détails de la construction, il faudrait pousser les travaux encore beaucoup plus avant. Voici le résumé des résultats — provisoires sans doute — obtenus par W. J. dans ce domaine immense et en somme peu exploré jusqu'ici ; ils font l'objet d'un assez court chapitre de son livre (pp. 308-527). Les rapports étroits de la métaphysique d'Àristote avec sa physique ont amené tout naturellement W. Jaeger à soulever maint problème d'ordre plutôt cosmologique, — problèmes tant littéraires que doctrinaux, — à propos de l'évolution des idées du Stagirite en philosophie première. Les réponses données à ces questions incidentes ont été .signalées et même brièvement discutées, quand il y avait lieu, au paragraphe précédent. Reste à voir comment il y a lieu de se représenter la succession et la genèse des traités physiques, qui forment dans le Corpus aristotelicum une série fort importante et, en apparence du moins, assez bien enchaînée. A ces problèmes d'ordre général W. J. a consacré des études bien moins détaillées qu'aux problèmes analogues soulevés par la Métaphysique ou même par les Ethiques ou la Politique. On peut les comparer, à des fouilles pratiquées d'une manière rapide et sporadique, sous l'oeil exercé d'un explorateur qui prétend reconnaître seulement les grandes lignes d'édifices ensevelis sous des décombres, sachant bien que pour reconstituer avec certitude l'ensemble et les détails de la construction, il faudrait pousser les travaux encore beaucoup plus avant. Voici le résumé des résultats — provisoires sans doute — obtenus par W. J. dans ce domaine immense et en somme peu exploré jusqu'ici ; ils font l'objet d'un assez court chapitre de son livre (pp. 308-527).