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VT - UT - RT – PT – MT
Introduction/
Depuis des années l’industrie continue de se develloper au cours de la quelle différentes
techniques pour faciliter le travail sont inventées .Parmi les techniques d’assemblages il y a
Le soudage dont son évolution et utilisation surtout dans l’industrie est primordial. Mais
l’utilisation de cette technique demande beaucoup de précaution à cause des produits qui
traversent ces installations soudées
Alors pour ce rassurer de cette technique il faut un contrôle bien défini de manière précise
C’est pour ce la qu’il y a une formation d’inspecteur en soudage.
Avant l’inspection/
Avant de procéder au contrôle l’inspecteur doit être muni de certaines informations et un
savoir sur le domaine qu’il doit inspecter .parmi ces informations.
Notions en métallurgie
La métallurgie c’est la science qui étudie le métal cependant que la sidérurgie c’est la
métallurgie du fer.
Le fer et ces alliages sont les métaux les plus utilisés dans l’industrie et surtout pour la
technique de soudage cependant il est évident de savoir comment est obtenue cette matière
pour savoir son choix pour la technique.
a-Elaboration :
Laminage
Il est évident que l’inspecteur doit savoir toutes les phases du fer avec le carbone et son
influence sur les caractéristiques mécaniques et physiques de la matière c’est pour celas qu’on
doit étudie le diagramme fer carbone
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Diagramme fer carbone
Les phases :
-Ferrite fer alpha C<0.02% ductile.
-Austénite fer gamma elle est peu dure et relativement malléable.
-cémentite, carbure de fer très dure mais fragile.
- perlite 12%ferrite +88% cémentite elle est dure et ductile.
- Lédèburite : cémentite + austénite au point 4.3%C
- martensite : structure austénitique due à un refroidissement brute très dure et très fragile .
-bainite : presque dure que la martensite mais moins fragile .
- la troostite et la sorbite structure plus fine que la perlite obtenue par traitement thermique de
la martensite.
Les différents points de transformations des aciers :
L’influence des éléments chimiques et éléments d’alliage sur le fer et ces alliages :
Carbone : %C augmente, la dureté augmente =plus fragile.
Si et Mn : deux éléments désoxydant d’un acier Si<et égale 0.4% la limite élastique
Mn<et égale à 0.8% dans l’acier la résistance.
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N, O2 : inclusion non métallique se concentre au joint de grain augmente la fragilité et diminue
la résistance à la rupture .
S, P :S<0.0035% dans l’acier les inclusions de soufre modifie les caractéristiques mécaniques
d’un acier , augmente la fragilité et diminue la soudabilité.
P<0.0045% dans l’acier perturbe fortement le réseau cristallin, augmente la limite élastique et
diminue la plasticité et la ductilité.
H : très nocif pour l’acier donne la fragilité.
Cr : formation de carbure FeCr augmente la résistance à la corrosion.
Ni : augmente la résilience, augmente la résistance à la corrosion.
Mo :augmente la résistance à la traction et diminue la forgeabilité .
Les éléments gammagéne/ Ni et Mn il résulte extension de domaine austénitique
Les éléments alphagéne / Cr, Mo, W, V, Al, Si il ya une extension du domaine ferritique.
Se sont des opérations un chauffage – un maintien – un refroidissement ont pour but de donner
à une pièce métallique les propriétés les plus convenables pour son emploi ou sa mise en
forme .ce traitement modifie la constitution (forme allotropique), la structure (taille de
grain),état des contraintes internes soit elles augmentent ou diminuant.
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d- La soudabilité :
c’est l’aptitude du métal à être souder par un procéder de soudage parmi les facteur qui influent
sur la soudabilité :
- la nuance de l’acier
- les caractéristiques dimensionnelles.
- le mode opératoire de soudage
- le traitement thermique de soudage.
Remarque/ 1- les aciers non alliés et les aciers faiblement alliés sont généralement des aciers
ferritiques, dont ils sont sensible à la trempe , fragile au dessous de certaines température,
magnétique.
2- les aciers fortement alliés sont des aciers austenetiques, dont pas sensible à la
trempe, ductile , non magnétique .
On a trois types des aciers inoxydables
Acier inox martensitique : Mo=0-1.5% -- Ni=0% -- Cr=11.5-17%
Acier inox ferritique : Mo=0-4.5% -- Cr=10.5-30%
Acier inox austénitique : Mo= 0-7% --Ni= 6-26% -- Cr= 16-21%
Fissuration à chaud :c’est une fissure qui se devellope quand la soudure se refroidit , toujours
en plein centre du cordon soudure .elle affecte les aciers inoxydables austénitique dans la zat et
zf ;ce phénomène est lié avec l’action de retrait pendant la solidification.
Fissuration à froid /
lorsque on chauffe un acier ferritique au dessus de la température d’austénitisation acier ferritique
prend une sensibilité à la trempe .la fissuration à froid se produit dans la zat et la zf.
Deféctologie :
Etudes des défauts dans le métal qui sont provoqué soit pendant :
2- traitement
Thermique (trempe, revenu, recuit)
exp : tapure de trempe(microfissure)
Mécanique (laminage, tournage, forgeage, soudage)
exp : dé doublure (laminage), replis (forgeage)
il y a trois catégories
Note :
le taux dilution est le mélange de métal d’apport avec le ou les métaux de base. Il est exprimé
en %
le taux dilution = M1+M2/M1+A+M2
Selon le procédé de soudage qui sera choisi, le taux de dilution sera différent.
- Pour le procédé Arc électrode enrobée (111) : On adopte un taux de dilution compris entre
10 à 35%
- Pour le procédé MIG/MAG (131/135) : On adopte un taux de dilution compris entre 20 à
40%
- Pour le procédé TIG (141) : On adopte un taux de dilution compris entre 15 à 30%
- Pour le procédé Sous Flux en poudre (121) : On adopte un taux de dilution compris entre 60
à 80%
Le taux de dilution permet d'aider à prévoir les risques métallurgiques dans certaines situation.
TECHNOLOGIE DE SOUDAGE
Types de soudures :
Hétérogène (autogène) caractéristiques mécaniques et physiques et composition chimique
différente
Température de fusion identique.
Homogène : caractéristique mécanique physique et composition chimiques identiques.
L'amorçage d'un arc électrique est la création dans la veine d'air d'un arc électrique entre
l'électrode (ou baguette) et la pièce à souder. Pour amorcer, il suffit de gratter la tôle. Il faut
éviter de taper les électrodes. Parfois, lorsque l'on débute surtout, ou que les électrodes sont
humides, ou que les intensités sont faibles, les électrodes collent à la pièce.
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La stabilité de l'arc électrique dépend de la facilité qu'a le soudeur à maintenir l'arc aussi
régulier que possible. Pour réussir une soudure de qualité, la stabilité de l'arc est essentielle.
Elle est influencée par la qualité du générateur de soudage utilisé, mais aussi par :
- les caractéristiques du courant (nature, polarité, intensité, fréquence)
- la conductivité du milieu (selon la nature de l'enrobage)
- la longueur d'arc (le plus court possible)
1-e) L’ELECTRODE :
L’électrode est fusible, elle constitue le métal d’apport.
Diamètre de l'électrode
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Nota:
Ce laitier (péllicule superficielle) a pour rôle d’isoler la soudure de toute oxydation
avec l’oxygène contenu dans l’air.
Les diamètres courants d’électrodes sont :
DIAMETRE DIAMETRE
Pour le choix du diamètre de l’électrode (tableau 1), choisir une case blanche et si
possible avec une croix. 10
2-Définition du procédé FCAW 114-136,MCAW :
Le soudage à l'arc avec fil fourré consiste à établir un arc électrique entre une électrode
continue (le métal d'apport) et le matériau de base, afin de provoquer entre eux la coalescence
recherchée.
Le procédé peut s'utiliser avec ou sans protection gazeuse. Dans le cas d'un fil fourré sous
protection gazeuse, des agents de protection supplémentaires sont transportés par le flux
contenu dans l'électrode tubulaire. Un gaz provenant d'une source externe vient enrichir les
éléments de base de l'électrode afin d'empêcher la contamination du métal d'apport fondu par
l'air ambiant.
Quand on utilise un gaz de protection, l'équipement est à peu près identique à celui qu'exige le
soudage à l’arc sous gaz actif avec fil électrode fusible (procédé GMAW).
Des dévidoirs à capteur de tension spéciaux permettent d'effectuer un soudage avec fil fourré
de qualité, car le courant électrique qui traverse les baguettes est bien constant. Le procédé
FCA W s'utilise avant tout avec l'acier ordinaire, l'acier inoxydable et les aciers faiblement
alliés. L'une ou l'autre polarité, soit positive soit négative peut être employée, et toutes les
positions de soudage sont possibles, à condition que le métal d'apport soit choisi en fonction de
la composition du flux.
2-b-Soudage à l’arc sous protection gazeuse avec fill électrode fusible (procédé GMAW ou
MIG)131-135
Le procédé GMAW sert à souder tous les métaux d'usage courant sur le plan commercial,
notamment l'acier, l'aluminium, le cuivre et l'acier inoxydable.
Le métal d'apport doit avoir une composition chimique parfaitement adaptée au matériau de
base à souder. Le soudage peut se faire dans toutes les positions, par exemple à plat, dans le
plan vertical ou horizontal, ou encore au plafond. On recommande généralement la polarité
DCEP (courant continu-électrode positive). Dans ce type de soudage à l'arc, l'électrode, fusible
et continue, est fournie automatiquement, protégée par un gaz provenant d'une source externe.
Comme l'équipement commande automatiquement l'arc, en mode semi-automatique le soudeur
n'a à s'occuper que de la mise en place du pistolet, de son guidage et de sa vitesse
d'avancement. C'est pourquoi on se familiarise généralement plus vite avec cette méthode
qu'avec d'autres procédés de soudage.
»Il permet de souder des métaux très divers et d'épaisseurs très variables;
»Le taux d'efficacité des électrodes est relativement élevé, ainsi que le facteur de marche;
»La profondeur de pénétration est excellente, ce qui simplifie la conception des joints;
»Par rapport au procédé GMAW, la technique tolère mieux la contamination de la tôle de base, aussi
exige-t-elle moins de nettoyage préalable;
»Le taux de dépôt est jusqu'à quatre fois plus élevé que dans le cas du procédé SMAW;
»L'emploi d'électrodes auto protégées permet d'éviter la manipulation du flux ou d'utiliser un appareil à
gaz; à l'extérieur, le procédé tolère mieux le vent que le soudage sous protection gazeuse.
»-Le procédé FCAW est actuellement restreint aux métaux ferreux et aux alliages de nickel;
»-À poids égal, le fil électrode pour soudage FCAW est plus cher que les fils électrodes pleins, sauf
pour certains aciers fortement alliés;
»-L'équipement est plus coûteux et plus complexe que dans le cas du procédé SMAW; toutefois, cela
est généralement compensé par les gains de productivité;
»-En général, le procédé dégage plus de fumées que la technique GMAW.
» L'équipement est plus complexe, plus coûteux et moins facile à transporter que
dans le cas du soudage à la baguette (soudage à l'arc avec électrode enrobée);
» La tête de soudage requise complique l'accès aux endroits exigus, et celle-ci ne
doit pas être trop éloignée du poste de soudure à cause du gaz protecteur;
» L'arc de soudage et son gaz protecteur doivent être protégés des courants d'air,
qui pourraient souffler ce gaz. Cela limite l'utilisation du procédé à l'extérieur, à
moins que des écrans ne soient placés autour de la zone de travail;
» À cause du dégagement relativement intense de chaleur et de lumière, le soudeur
peut ressentir un certain inconfort et éprouver des réticences à l'égard du
procédé;
» Des trous apparaissent couramment lorsqu'on soude des matériaux très fins
(moins de 1/16 po, ou 1,6 mm);
» Lorsque le transfert est de type classique et que le soudage n'est pas effectué dans
la position normale, le taux de dépôt du métal d'apport est inférieur à celui que le
procédé FCAW permet d'obtenir;
» Les résultats deviennent mauvais lorsque le métal de base est contaminé. Il doit
être propre et exempt de rouille;
» Des défauts produits par manque de fusion peuvent apparaître lorsque les
paramètres du procédé sont mal choisis. Cela est particulièrement grave lorsque
l'épaisseur du métal de base dépasse 1/4 po (6 mm).
Soudage à l’arc avec électrode de tungstène sous atmosphère gazeuse (procédé
GTAW)141
Le soudage à l’arc avec électrode de tungstène (GTAW ou TIG) consiste à établir un arc
électrique entre une électrode de tungstène infusible et la pièce à souder, afin de provoquer
entre elles la coalescence recherchée. La protection qui donne son nom au procédé est obtenue
par un jet de gaz que fournit une source externe. Les pièces peuvent être ou non soumises à
une pression, et on peut ou non utiliser un métal d'apport. Ce type de soudage est
communément appelé soudage TIG ou encore soudage Heliarc.
L'utilisation d'une électrode de tungstène infusible et de gaz protecteurs inertes explique la très
grande qualité de soudage obtenue quand on se sert d'un arc à l'air libre, quel que soit le
procédé choisi. Les soudures sont brillantes, on n'observe ni laitier ni projections, et les pièces
n'ont pratiquement pas à être nettoyées après soudage. Le procédé GTAW s'utilise facilement
dans toutes les positions et permet un excellent contrôle du bain de fusion, en particulier avec
les pièces minces ou aux formes complexes. Il est très répandu dans l'industrie aéronautique et
aérospatiale, mais aussi dans le secteur de la production d'électricité, dans l'industrie chimique
et dans l'industrie pétrolière.
Bien que considéré habituellement comme un procédé manuel, le soudage sous gaz inerte avec
électrode de tungstène est parfois mécanisé pour la production de masse, avec utilisation ou
non de fil d'apport. En 1969, Praxair a proposé une variante dite du fil chaud. Le fil d'apport est
préchauffé indépendamment jusqu'à sa fusion au moment où on doit le faire pénétrer dans le
bain de fusion. La chaleur de l'arc est ainsi entièrement transmise à la pièce à souder, et non au
fil d'apport. En augmentant le taux de dépôt et la vitesse d'avance, le procédé du fil chaud
augmente les possibilités du soudage GTAW mécanisé. Il rend également possible le soudage
de matériaux de base plus épais (jusqu'à 1/4 po ou 3,2 mm).
» Il permet de souder presque tous les métaux et d'obtenir une grande qualité de
soudage, généralement sans défauts;
» Il permet d'éviter les projections propres aux autres procédés de soudage à l'arc;
» Il peut être utilisé avec ou sans métal d'apport, selon les besoins;
» Il permet une excellente maîtrise de la profondeur de pénétration de la soudure
d'amorçage;
» Pour un prix modique, il permet de faire des soudures autogènes (par fusion)
suffisamment profondes;
» Il permet de contrôler séparément la source de chaleur et l'alimentation en métal
d'apport.
les défauts du procédé
Le soudage à l'arc submergé consiste à provoquer la coalescence des pièces métalliques en les
chauffant au moyen d’un arc enfoui entre une électrode nue et la pièce à souder. L'arc et le
métal en fusion sont « submergés » dans une couche de flux granulé fusible répandu sur la
pièce. En anglais, on désigne fréquemment ce procédé par le terme abrégé Sub-Arc.
La méthode fait le plus souvent appel à un fil-électrode plein, nu, consommable et continu que
le flux isole. Le flux stabilise l'arc au cours du soudage, isolant le bain de fusion de
l'atmosphère. En outre, le flux recouvre et protège le métal d'apport pendant qu'il se refroidit, et
peut agir sur sa composition et ses caractéristiques. Ces dernières varient avec le type de flux et
de fil consommable choisi. L'utilisateur doit donc veiller à suivre les recommandations du
fabricant lors de sa sélection. La composition chimique du métal d'apport dépend du flux et du
fil consommable employés. Les deux doivent être parfaitement assortis au matériau de base à
souder.
Deux types de flux de base sont disponibles sur le marché : l'un est appelé « aggloméré »,
l'autre « fondu ». Le premier convient quand on recherche de bonnes propriétés de résistance à
basse température. On choisira le flux fondu si les impératifs sont plutôt la résistance à
l'absorption d'humidité et les possibilités de réutilisation avec traitement réduit. Dans les deux
cas, le flux doit convenir à la composition chimique du fil-électrode, conformément aux
recommandations du fabricant.
Le procédé est le plus souvent automatisé, mais on trouve également des systèmes semi-
automatiques sur le marché. Le courant électrique peut être alternatif ou continu; l'électrode
peut être simple ou composée de multiples fils pleins ou tubulaires, ou encore de bandes. Le
procédé de soudage à l’arc submergé permet d'obtenir un taux de dépôt élevé et de souder des
pièces très épaisses. Par contre, le soudage ne peut se faire qu'à plat, puisqu'il faut utiliser un
flux granulé (en poudre) et que le bain de fusion est fluide.
LE CONTROLE SOUDAGE
Pour effectuer un contrôle sur une pièce ou plusieurs pièces soudées on doit suivre les étapes
suivantes :
Contrôle pendant le soudage: il a surtout pour but de vérifier que les conditions d’exécution
sont bien respectées, ainsi que les règles de l’art du soudage.
Ne pas stocker les électrodes dans un milieu qui peut nuire à leur enrobage
La température entre les passes de soudage
La qualité de l’élimination du laitier
Différents contrôles visuels
Contrôle destructif: utilisé surtout pour des productions en séries, donc assez peu pour nos
métiers. Il consiste à prélever certaines pièces sur un lot de pièces soudées, sur lesquelles
seront prélevées des éprouvettes qui seront testées:
Macrographies
Micrographies
Essais de dureté
Essais de traction
Essai de pliage
Essais de résilience
Contrôle semi destructif: il se pratique en perçant ou en fraisant localement le joint soudé en
vue d’examiner les parois assemblées. La forme de l’entaille doit naturellement être telle que
sa réparation soit aisée. Cette méthode permet d’apprécier :
La pénétration de la soudure
La liaison des bords
Les défauts physiques du joint au droit de la cavité
Contrôle par ultrasons: on émet des ultrasons sous un certain angle par rapport à la
pièce, perméable aux ultrasons, et on recueille l’onde réfléchie. Si la pièce n’a aucun
défaut les ultrasons vont se réfléchir à la face inférieure de cette dernière. Sinon ils vont
se réfléchir sur le défaut en question et on recueillera deux ondes réfléchies: l’une sur le
défaut, l’autre sur la face inférieure de la pièce. L’analyse de ces signaux permettra de
situer les défauts. Cette technique permet de déceler les fissures et les défauts de
collage.