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Le chrétien et le monde

Quand quelqu'un devient chrétien il entre dans une nouvelle


relation avec Dieu. Ses péchés sont pardonnés, il est en
communion avec Dieu et il est passé des ténèbres à la lumière.
Cependant, il vit toujours dans le monde, toujours attiré et
tenté par le monde et ses fascinations. La bataille existe
toujours pour le chrétien et le champ de bataille est le monde.

Lisons 1 Jean 2:15-17

N'aimez point le monde


Jean nous dit "n'aimez point le monde, ni les choses qui sont
dans le monde". Notre compréhension de ce passage repose sur
notre compréhension de deux mots "aimez" et "monde".

Premièrement, qu'est que c'est que « aimez » ? De temps en temps


nous mangeons tous ensemble à l'église, pour parler de ceci nous
utilisons le mot "agape", comme "Nous allons faire une agape…"
En fait c'est le mot grec pour amour. Agapao, le verbe, veut
dire "aimer, être content avec, trouver son plaisir dans…"

Nous pouvons voir maintenant pourquoi nous appelons un tel repas


ensemble "une agape" : nous nous aimons les uns les autres, nous
sommes contents d'être ensemble et nous trouvons du plaisir dans
la communion fraternelle autour de la table… et la soupe est
toujours bonne.

Dans 1 Jean nous trouvons que nous devions aimer Dieu et que
nous devions aimer nos frères et sœurs en Christ. Mais il ne
faut pas aimer le monde, l'instruction de Jean est plutôt
négative. Il est possible d'aimer quelque chose mais que l'amour
ne soit pas ce qu'il faut. Pour Jean, comme nous allons trouver,
si l'amour est bon ou non dépend, pour finir, de notre attitude
envers l'objet de notre amour. L'amour peut être sain ou il peut
être malsain. Nous pouvons aimer pour des bonnes raisons ou pour
les mauvaises raisons. Il faut dire ici, en plus, que l'amour
est beaucoup plus que juste un sentiment, c'est notre volonté en
action, une décision que nous prenons. C'est pour cette raison
que Jean aborde le sujet de l'amour du monde. Jean enseigne de
la doctrine mais c'est toujours la doctrine mis en pratique.
C'est-à-dire, ce que nous faisons coule de ce que nous croyons.
Par rapport à l'amour, nous aimons ce qui est, en notre avis,
digne d'être aimé.

Deuxièmement, qu'est-ce que c'est que « le monde » ? Ce mot peut


parler simplement de la terre, notre planète que nous habitons

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- tout ce que nous voyons autour de nous, les choses physiques
: arbres, fleurs, étoiles, etc. Nous savons bien que la création
de Dieu est bonne, il l'a dit lui-même dans Genèse après avoir
tout créé : "Dieu vit tout ce qu'il avait fait et voici, cela
était très bon". Et nous apprécions ce qu'il a créé.

Le monde peut aussi être tous ceux qui habitent sur cette
planète. Nous connaissons bien les paroles de Jean dans son
évangile : "Dieu a tant aimé le monde qu'il a donné son Fils
unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse point, mais
qu'il ait la vie éternelle." Ici "monde" nous comprend tous et
par amour pour nous Dieu nous a envoyé son fils mourir à la
croix. Il faut dire aussi que dans ce verset l'amour du monde
est quelque chose de positif.

Il est évident donc que Jean pense à quelque chose d'autre que
ces deux possibilités quand il parle de l'amour du monde. Pour
Jean, quand il parle ici le monde est tout ce qui est contre
Dieu, tout ce qui s'oppose à Dieu. C'est ce monde qu'il ne faut
pas aimer.

Dans ce passage nous voyons qu'aimer le monde veut dire être


content avec et trouver son plaisir dans tout ce qui est opposé
à Dieu - ouvertement ou en cachette. Mais, le chrétien
n'appartient pas au monde, il ne fait pas partie de tout ce qui
s'oppose à Dieu, néanmoins, il doit vivre dans le monde. Il est
appelé à aimer les gens qui habitent autour de lui mais de
rejeter les valeurs et les systèmes qui sont contre les voies de
Dieu.

Un fait que Jean confirme quand il dit "si quelqu'un aime le


monde, l'amour du Père n'est point en lui." Soit on aime le
monde, soit on aime Dieu. Il n'est pas possible d'aimer deux
choses qui sont opposées. Cela crée de la tension mais il semble
que nous sommes parfois, même souvent, contents de vivre avec
cette tension. De l'autre côté nous pouvons dire que quelqu'un
qui aime le monde montre que l'amour de Dieu n'est pas en lui -
c'est-à-dire qu'il y a deux sens à ce que Jean dit ici.

Si Jean a dû dire "N'aimez pas le monde" c'était parce qu'il y


en avait certains qui aimaient le monde ou commençaient à tomber
amoureux du monde. Le monde est séduisant. Par la suite Jean
nous parle de trois dangers qui peuvent nous détourner de notre
amour pour Dieu.

La convoitise de la chair. La convoitise des yeux. L'orgueil de


la vie. Un des commentateurs sur ce passage a dit quelque chose
que je trouvais très intéressant. Il dit de ces trois dangers
qu'ils sont "une déclaration que l'humanité dans son péché a
suivi le mal plutôt que le bien et il a loué les choses créées
plutôt que le créateur. Le problème n'est pas que Dieu a créé

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des choses matérielles. Le problème c'est que nous avons fait
d'eux des idoles. Les trois choses dans ce verset sont les
chemins par lesquels l'humanité est inclinée à pervertir la bonté
de la création de Dieu."

Trois dangers
La convoitise de la chair

Encore une fois nous tombons sur un mot qu'il faut définir pour
comprendre ce que Jean veut dire. "La chair". Bien sûr que la
chair parle de notre corps physique. C'est ce que nous sommes
ici-bas. Mais il y a plus encore ; la bible définit la chair
comme notre personnalité et notre nature sans la présence de
Dieu. La chair est le désir naturel de faire ce qu'on veut. La
convoitise de la chair est la tentation de satisfaire nos
pulsions, ce que nous voulons faire, sans regarder à Dieu. La
chair dit toujours "si cela vous semble bon, faites-le". Si nous
la laissons faire, "la chair" nous tirera par le bout du nez
dans ce qui est contre la volonté de Dieu.

Avant de devenir chrétien la bible dit que "nous vivions


autrefois selon les convoitises de notre chair, accomplissant
les volontés de la chair et de nos pensées." (Ephésiens 2:3)
Quand nous sommes devenus chrétiens, nous avons, en Christ,
"crucifié la chair avec ses passions et ses désirs." (Galates 5
:24) Mais la chair ne veut pas rester crucifiée. Elle veut
ressusciter et elle veut dominer.

Par exemple : Galates 5 :19 nous dit qu'une des œuvres "de la
chair" est la jalousie. Imaginez un instant que vous êtes au
boulot. Vous parlez avec une collègue. Vous venez de recevoir
une augmentation de traitement. Vous découvrez pendant la
conversation avec votre collègue, qui fait le même travail que
vous, qu'elle a reçu une plus grande augmentation que vous… et
vous croyez que vous faites mieux votre travail qu'elle… Tout de
suite le petit monstre aux yeux verts, se lève et dit "Ce n'est
pas juste…" La chair essaye de dominer…

La convoitise de la chair est illustrée dans les deux autres


phrases, la convoitise des yeux et l'orgueil de la vie. Nous
pouvons les résumer ainsi : l'un est un désir impur pour ce que
l'on n'a pas et l'autre une fierté impure de ce que l'on a.
Regardons-les.

La convoitise des yeux

Une femme témoignait de sa conversion pendant une réunion. Elle


disait "J'étais idiote et vaniteuse. Les plaisirs du monde et
surtout 'être à la mode' étaient mes seules pensées. J'aimais

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beaucoup les soieries, les rubans et la dentelle. Mais, mes amis,
quand je voyais qu'ils m'amenaient à la perdition je les ai tous
donnés à ma sœur."

La convoitise des yeux, c'est la tentation de courir après ce


que l'on voit. Il y a même une industrie consacrée à la
convoitise des yeux - la publicité. Celle-ci existe seulement
pour vous dire que vous n'avez pas assez et que vous méritez
plus. Pour nous, en Europe occidentale, un des plus grands
dangers pour la vie chrétienne n'est pas la persécution mais la
(sur)consommation.

Le chanteur Jean-Jacques Goldman a écrit un chant qui s'appelle


"Les Choses" qui nous explique bien la convoitise des yeux : "je
prie les choses et les choses m'ont pris, elles me posent, elles
me donnent un prix, je prie les choses, elles comblent ma vie,
c'est plus 'je pense' mais 'j'ai donc je suis'". Et comme il
comprend bien que "les choses" sont une illusion, il chante "sans
trône ou sceptre je me déteste roi nu, je ne vaux rien." ('Les
Choses' - J-J. G) Elles semblent combler la vie mais elles font
l'opposé - elles nous détournent de Dieu. Si la chair nous tente
de l'intérieur, la convoitise des yeux c'est ce qui nous tente
de l'extérieur, toutes les choses qui sont tout autour de nous
qui peuvent attirer notre attention.

L'orgueil de la vie

L'orgueil de la vie est la troisième des dangers qui peuvent


nous détourner de Dieu. Tout simplement, c'est l'attitude qui
dit que je n'ai pas besoin de Dieu parce que je me confie en moi
et je me confie en tout ce que je possède. Nos possessions
deviennent la source de notre sécurité de servent à nous
valoriser. Je crois que nous connaissons tous cette attitude.
Nous la voyons chez beaucoup d'autres et même de temps en temps
chez nous.

Il ne faut pas se tromper, Dieu nous donne des bonnes choses, il


nous donne des bonnes choses que nous pouvons utiliser et
apprécier, il n'est pas radin. Mais, ce qu'il nous donne reste
toujours le sien et nous ne sommes que des gérants et des
gérantes qui gèrent les ressources du maître. Nous n'osons pas
se vanter de ce que nous possédons parce que, pour finir, nos
possessions ne nous appartiennent pas. Encore une citation d'un
des commentateurs que j'ai pu lire sur ce passage. Il dit de
ceux et celles qui souffre de l'orgueil de la vie que "Ils ne
laissent jamais l'occasion passer dans une conversation de
trouver un moyen de se faire exalter et faire baisser leurs

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auditeurs. Mais les chrétiens ne peuvent pas vivre ainsi. C'est
caractéristique du monde et le monde ne peut pas nous
satisfaire".

Dans l'évangile de Luc 12:16-21 nous trouvons, dans une


parabole de Jésus, un très bon exemple de ce dont nous parlons.
Lisons la parabole en toute vitesse.

Pourquoi ne pas aimer le monde ?


Jean dans ce passage parle aussi de pourquoi il ne faut pas aimer
le monde. Il y a deux raisons : il y a, premièrement, une
incompatibilité fondamentale entre le chrétien et le monde et,
deuxièmement, le monde est transitoire mais notre destin c'est
l'éternité.

Une incompatibilité fondamentale

Le monde est attirant, ses plaisirs sont subtils. Le monde promet


beaucoup mais donne très peu. Mais si nous tombons amoureux du
monde, notre amour pour Dieu va refroidir. Nous avons déjà dit
qu'il est impossible d'aimer deux choses sans réserve. Jésus a
dit la même chose dans Mathieu 6 :24 - "Nul ne peut servir deux
maîtres. Car, ou il haïra l'un, et aimera l’autre ; ou il
s'attachera à l'un, et méprisera l'autre. Vous ne pouvez servir
Dieu et Mammon."

Jacques est encore plus clair : "ne savez-vous pas que l'amour
du monde est inimitié contre Dieu ? Celui donc qui veut être ami
du monde se rend ennemi de Dieu." L'amour pour Dieu et l'amour
pour le monde sont incompatibles.

Dans l'évangile de Jean, au chapitre 15, Jésus dit "Si le monde


vous hait, sachez qu'il m'a haï avant vous.
Si vous étiez du monde, le monde aimerait ce qui est à lui ;
mais parce que vous n'êtes pas du monde, et que je vous ai
choisis du milieu du monde, à cause de cela le monde vous hait."
L'incompatibilité est profonde au point que le monde déteste
même ceux qui se disent chrétien et qui vivent la vie chrétienne.

Le monde est transitoire

Un jour, un homme est allé voir un rabin. Le rabbin habitait


dans un appartement très modeste qui n'avait qu'une seule
pièce. Dans la pièce il n'y avait presque rien - une chaise,
une table et des livres.
L'homme demanda "Où sont vos meubles?"
Le rabbin répondit "Où sont les vôtres?"
L'homme à son tour répondit "Mais, moi, je ne suis que

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visiteur…"
Le rabbin dit "moi aussi…"

Un jour, tout ce que nous voyons ici autour de nous se terminera.


Il n'y aura plus de monde comme celui-ci. Les plaisirs de ce
monde ne satisfont pas, et en plus ils ne dureront pas
éternellement. Ce monde va passer. A cause de tout ce que Dieu
a mis en mouvement par la venue de Jésus, ce monde à une date
limitée. Nous ne sommes que ceux et celles qui séjournent dans
ce monde parce que notre destin est le ciel. Est-ce que nous
allons nous laisser prendre par un monde qui passe et dans lequel
les plaisirs et "les choses" ne sont que transitoires ?

Jean nous appelle à regarder plus loin. A voir ce monde à la


lumière de l'éternité. "Celui qui fait la volonté de Dieu demeure
éternellement." Il sera là quand le monde passera. Il sera près
de Dieu pour toujours. Jean nous appelle donc aussi à décider
comment nous allons vivre.

"Celui qui fait la volonté de Dieu." Puisque Jean parle tant de


l'amour nous aurions pu nous attendre à ce qu'il dit "Celui qui
aime Dieu". Mais non, tout ce qu'il dit comprend une dimension
éthique. Il faut croire et il faut faire. Il est certain que le
chrétien obéissant aime Dieu, là-dessus il n'y a aucun doute.

Mais obéissant veut dire qu'il se détourne du péché, il veut


dire aimer nos frères et sœurs non pas seulement avec nos
paroles, il veut dire rejeter les tentations de ce monde pour
suivre Jésus sur le chemin étroit, et parfois difficile, de la
foi. Un tel chrétien a vraiment gagné déjà la richesse de la vie
éternelle même si dans ce monde il connait la pauvreté et la
difficulté. Comme dit l'Apôtre Paul dans 2 Corinthiens 4:18 :
"les choses visibles sont passagères, et les invisibles sont
éternelles".

Comment vivre alors ?


A ce point nous nous attendons à ce que Jean nous donne une liste
de ce qu'on doit faire. Qu'est-ce qu'il faut éviter ? Quelles
sont les choses qu'il faut faire ? Mais il n'y a pas de liste.
Jean ne nous donne pas un tas de conseils pratiques pour comment
vivre dans le monde tout en n'étant pas de ce monde. Bien sûr
nous pouvons trouver des conseils ailleurs dans la bible. Dieu
ne nous laisse pas sans lumière en ce qui concerne comment vivre.
Mais il me semble que Jean veut mettre le doigt, premièrement
sur notre attitude, et puis, par la suite sur nos actions.

Il y a deux questions simples que je veux nous poser alors, je


me compte là-dedans!

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Aimez-vous Dieu plus que vous n'aimez le monde? Etes-vous prêts
à changer votre façon de vivre pour démontrer votre amour ?

Chacun et chacune va avoir une réponse différente à ces


questions. Ce sont des questions qui touchent le fond de notre
vie. Nous nous accrochons parfois aux possessions, aux plaisirs
du monde aussi bien qu'aux attitudes enracinées dans notre passé.
Nous les aimons et nous ne pouvons pas imaginer notre vie sans
ces choses et ces attitudes. Mais sont-elles compatibles avec
notre amour pour Dieu ?

Il faut admettre que ce sont des questions difficiles à entendre.


Pour moi c'est un sujet sur lequel je n'aime pas trop réfléchir
parce que mes proclamations d'amour pour Dieu sont parfois des
discours creux à la lumière de ma façon de vivre.

Cependant, le fait que je sois inconfortable ne veut pas dire


que je peux pratiquer la politique de l'autruche et enterrer ma
tête dans le sable en espérant que le problème va disparaitre.

Est-ce que j'aime Dieu plus que j'aime le monde ? Même si je


peux dire "oui" il y a une autre question qui arrive toute de
suite derrière la première… Est-ce que je flirte avec le monde,
est-ce que je lui fais des yeux ? Une question un peu plus
gênante à laquelle la réponse n'est pas aussi facile.

Après avoir donné notre réponse à ces questions sur nos attitudes
il y a encore d'autres à poser sur notre pratique. Est-ce que je
suis prêt à changer ma façon de vivre pour démontrer mon amour
? Est-ce que je suis prêt à abandonner mon amour pour le monde
d'une manière pratique ? Oui… mais j'ai parfois peur que changer
va laisser un vide quelque part, que changer sera trop difficile,
que changer va être trop coûteux. Que faisons-nous ? Je n’ai pas
de réponse toute faite mais je peux témoigner de comment Dieu a
appliqué ces choses dans ma vie, et avec ce témoignage je vais
terminer.

Avant de devenir jouer de guitare acoustique je jouais la guitare


basse. Vous me voyez avec une basse de temps en temps ici à
l'église. J'ai commencé à jouer quand j'avais 17 ans - il y a
très longtemps ! Au début je passais 4 heures chaque jour dans
la répétition, je rêvais des guitares et des amplis. Après
quelques mois d'études intenses je suis devenu membre du groupe
de louange à notre église. Et c'est là que mes problèmes ont
commencés. J'aimais qu'on me regarde, j'aimais que les gens
disent que j'étais un bon bassiste. Je suis devenu orgueilleux
même si je ne le reconnaissais pas du tout. La guitare et la
performance est devenu plus importante pour moi que Dieu et la
louange. Et puis je commençais à avoir des grosses douleurs dans
mes mains. Je crois, en regardant en arrière que Dieu essayait
de tirer mon attention, mais je n'écoutais pas trop. Pour finir

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j'ai dû arrêter de jouer, je n'en pouvais plus et pendant ce
moment difficile Dieu m'a dit de laisser tout tomber, d'être
prêt a ne plus jamais jouer la guitare basse.

Nous avons lutté sur ce sujet, moi et Dieu mais Dieu a gagné et
je me suis soumis à ce que je croyais qu'il me disait. J'étais
prêt à ne plus jamais jouer une guitare basse si cela était le
plan de Dieu pour ma vie. Je ne jouais pas pendant longtemps et
cela me manquait énormément mais, pour finir je me suis habitué,
je suis redevenu adorateur plutôt qu'artiste.

C'est seulement après des mois et des mois, de ce que je m'en


souviens que j'avais l'impression que je pouvais, de nouveau,
rejouer la guitare basse. Et j'ai recommencé avec une certaine
hésitation. La différence en moi ? Ce n'étais plus la guitare
qui dominé et je pouvais remercier Dieu de ce qu'il me permettait
de lui servir en jouant ma guitare.

Quand nous sommes arrivés en Belgique il y a dix ans et un petit


peu je n'avais pas besoin de jouer la guitare basse parce qu'il
n'y avait pas de place pour un tel instrument, mais à cause de
ce que Dieu a déjà fait en moi cela n'était pas un problème, et
pour moi c'est maintenant une joie de pouvoir jouer de nouveau
la guitare basse, de temps en temps, avec les musiciens
formidables que Dieu nous a donné dans cette église.

Est-ce que Dieu va agir de la même manière dans votre vie ? Je


n'en sais rien, mais soyons à son écoute et cherchons à l'aimer
au-dessus de toutes autres choses.

Que vous soyez sans reproche et purs, des enfants de Dieu irréprochables, au milieu d’une
génération tortue et perverse, parmi laquelle vous reluisez comme des luminaires dans le
monde. Philippiens 2:15

« N’aimez pas le monde, ni les choses qui sont dans le monde : si quelqu’un aime le monde,
l’amour du Père n’est pas en lui » 1 Jean 2:15.

« Ne savez-vous pas que l’amitié du monde est inimitié contre Dieu ? Quiconque donc voudra
être ami du monde, se constitue ennemi de Dieu » Jacques 4:4.

Qu’est-ce que le monde ? — Telle est la question de toute importance qui s’impose à
l’examen attentif du chrétien sérieux et réfléchi. Qu’est-ce que ce monde, dont il est appelé à
se conserver pur ? Jacques 1:27.

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