Stratégie à adopter pour le

passage à la télévision
numérique terrestre (TNT)
(EXTRAIT)

Etude réalisée par :

M. ONDOUA ELLA Godfroid, Ingénieur Principal des Travaux des
Télécommunications hors échelle.

Yaoundé, février 2015.

Stratégie à adopter pour le passage à la TNT. Par M. Ondoua Ella G., IPTT Hors Echelle. Page 1/199
 Table des matières
A. Radiodiffusion Télévisuelle Terrestre (TNT) 8
I. Etat des lieux 8
II. Problème à résoudre 8
III. Modèle de Transition préconisé 18
IV. Equipement des populations en matériels de réception appropriés 18
V. Implantation des centres de diffusion à travers le territoire 20
VI. Comment assurer une transition souple et peu coûteuse 21
VII. Type de compression (Codage source) préconisé 27
VIII. Standard de diffusion préconisé (Codage canal) 28
IX. Format de télévision préconisé 28
X. Configuration de Planification de Référence (CPR) 28
XI. Réseau de Référence (RR) 29
XII. Choix des antennes 42
XII.1. Antennes de la TNT 42
XII.2. Antenne de la station terrienne de la CRTV à Mballa II 48
XII.3. Antennes de réception par satellite des centres de diffusion de la TNT 48
XII.4. Antennes de radiodiffusion sonore 48
XII.5. Power Splitters 58
XII.6. Autres composantes du système d’antennes 61
XIII. Choix des Guides d’ondes, de leurs accessoires, des kits de fixation et de 68
protection
XIV. Choix du dispositif de Pressurisation 76
XV. Garantie des Rapports de protection 77
XVI. Compression, Multiplexage, Transport, et Diffusion 80
XVI.1. Tête de réseau 81
XVI.2. Equipement des centres de diffusion 83
XVI.3. Dispositif de distribution du multiplex sur l’ensemble du réseau TNT 84
XVI.4. Contributions à partir des centres de diffusion 84
XVI.5. Aperçu des spécifications techniques de quelques-uns des équipements 89
pressentis
XVI.6. Datacenter 102
XVI.7. Quelques sources potentielles de revenus additionnels 105
XVII. Spécifications techniques des émetteurs analogiques et TNT 114
XVIII. Spécifications techniques des installations d’énergie, de la climatisation et de 120
l’éclairage
XVIII.1. Installation d’énergie 120
XVIII.2. Froid et climatisation 126
XVIII.3. Eclairage et balisage 126
XIX. Audit, Réhabilitation, Rallonge, Reconstruction et/ou Construction des pylônes 126
XIX.1. Caractéristiques des pylônes 130
XIX.1.1. Considérations matérielles 132
XIX.1.1.1. Structure des pylônes 132
XIX.1.1.2. Les haubans 134
XIX.1.1.3. Les isolateurs 134
XIX.1.1.4. Fournitures et montage 134
XIX.1.1.5. Conditionnement et transport 135

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 XIX.1.2. Les finitions 135
XIX.1.2.1. Protection anticorrosion 135
XIX.1.2.2. Balisage diurne 135
XIX.1.3. Les Dispositifs d’accès 136
XIX.1.3.1. Echelle à crinoline 136
XIX.1.3.2. Support de guides d’ondes 136
XIX.1.3.3. Plateformes de repos et de travail 137
XIX.1.4. Les dispositifs électriques 137
XIX.1.4.1. Balisage nocturne 137
XIX.1.4.2. Prises de courant 138
XIX.1.4.3. Prises de terre 138
XIX.1.4.4. Paratonnerre 138
XIX.1.4.5. Système anti-intrusion (norme NF EN 85.012) 138
XIX.1.5. Reconstruction, redéploiement et rallonge de pylônes 138
XIX.1.6. Conception et érection des pylônes 139
XIX.1.7. Contrôles de conformité 140
XIX.1.7.1. Les produits 140
XIX.1.7.2. Aciers 140
XIX.1.7.3. Haubans 140
XIX.1.7.4. Bétons 140
XIX.1.7.5. Peintures 141
XIX.1.7.6. Fouilles 141
XIX.1.7.7. Résistances des mises à la terre 141
XIX.1.7.8. Verticalité des pylônes 141
XIX.1.7.9. Qualité des soudures 141
XIX.1.8. Sécurité sur le chantier 141
XIX.1.9. Procédures d’inspection, d’entretien et de maintenance des pylônes 142
XIX.1.10. Documentation à fournir 145
XX. Réhabilitation et/ou construction de bâtiments, clôtures et voies d’accès 145
XXI. Laboratoire central de dépannage 145
XXII. Infrastructures de production et post production 146
XXIII. Infrastructures destinées à la formation au niveau local 149
XXIV. Cars de reportage 149
XXV. Faisceaux Hertziens Mobiles de Vidéo Reportage 149
XXVI. Appareils de mesure 151
XXVII. Véhicules et matériels de travail 157
XXVIII. Coordination des travaux et garantie de leur conformité aux règles de l’art 157
XXIX. Constitution du stock de pièces de rechange 157
XXX. Acquisition des Licences 157
B. Radiodiffusion Sonore 158
XXXI. Spécifications techniques des émetteurs analogiques et TNT 165
XXXII. Aménagement des studios de radiodiffusion sonore et de télévision 172
C. Financement du Projet 173
D. Garantie de transparence du processus d’attribution et d’exécution du projet 174
E. Conclusion 174
Glossaire des termes et des abréviations les plus fréquemment utilisés 176
Sites web recommandés pour obtenir plus d'informations 181
Rapports, présentations, brochures et publications 181

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De la déclaration de Yaoundé ayant sanctionné les travaux de la 7ème Assemblée générale de l’Union
Africaine de Radiodiffusion (UAR) qui s’est tenue du 27 au 29 janvier 2014, il ressort que les patrons des
organes de radiodiffusion du continent sollicitent de l’Union Internationale des Télécommunications (UIT),
le report de la date du 17 juin 2015 fixée pour le passage à la télévision numérique terrestre (TNT) et ce,
pour la bonne raison que nombre de pays africains, et en particulier le Cameroun, ne seront
vraisemblablement pas prêts à cette date.

A notre humble avis, une telle situation est de nature à contribuer à conforter davantage le reste du monde
dans l’impression qu’il a de notre continent, à savoir que les africains ne sont pas à même de trouver des
solutions en vue de la résolution de nombre de problèmes, y compris ceux des problèmes pour lesquels,
en faisant confiance à l’expertise locale, des solutions, par ailleurs déjà contenues dans les
recommandations de l’UIT, pourraient facilement être trouvées.

Les recommandations ci-dessous présupposent que toutes les étapes nécessaires pour assurer la mise
en place d’un cadre législatif et réglementaire régissant le domaine de la radiodiffusion numérique sonore
et télévisuelle terrestres – un cadre législatif prenant soin de préserver la souveraineté de l’Etat, et
non un cadre législatif suggéré par on ne sait quel organisme – ont déjà été bouclées, et qu’il reste
tout simplement à déterminer la procédure à suivre, en vue de réaliser une transition aussi souple et peu
onéreuse que possible de la radiodiffusion analogique vers la radiodiffusion numérique terrestre.

Il importe en effet d’avoir à l’esprit, tout au long de ce processus, qu’il est absolument vital pour notre
pays de :

1. Sauvegarder sa souveraineté, une chose étant de se conformer aux Recommandations de l’UIT

sur le passage à la TNT, s’agissant de la libération de la bande de fréquence UHF (694 – 862
MHz), et une autre de se mettre à copier machinalement, dans une sorte de « Copier/Coller »,
ce que l’on a fait ailleurs, au risque de finalement devenir le jouet des occidentaux dans cette
affaire ;
2. Prévenir tout risque d’aliénation culturelle. Dans ce passage au numérique, aucun des pays
développés n’a autorisé les chaînes de télévision étrangères à venir envahir son réseau TNT. On
ne peut par exemple pas trouver des chaînes de télévision telles que CNN, C-SPAN,
ALJAZEERA, CCTV, NHK, CBS, etc., sur le réseau TNT de la France. En même temps, en
livrant carrément le réseau TNT aux télévisions étrangères, c’est la porte qui est ainsi ouverte,
de la manière la plus officielle qui soit, pour leur permettre de véhiculer toutes sortes de messages
subliminaux, réduisant par la même occasion et ce, de manière totalement irréversible, nos
populations à de simples aliénés culturels, voire de simples aliénés moraux ;
3. Prévenir la disparition virtuelle des chaînes nationales, et en particulier de la CRTV qui, quels
que soient les moyens que l’Etat pourrait mettre à sa disposition, ne sera jamais totalement à
mesure de concurrencer les grosses écuries étrangères. La disparition des chaînes nationales,
qui seraient ainsi submergées par l’offre étrangère, engendrerait une destruction des emplois
dans la profession, entre autres dommages collatéraux ;
4. Ne pas perdre de vue que les dépenses engagées dans ce processus vont avoir un impact
significatif sur la trésorerie de l’Etat, et prendre toutes les précautions de mise pour les minimiser,
autant que faire se peut. C’est en effet le contribuable qui va payer la facture relative à ladite
transition et, à ce titre, toute solution susceptible de multiplier, sans raison valable, les coûts
à l’infini, est rigoureusement à proscrire ;
5. S’assurer de la viabilité du projet, tout comme de la pérennité du réseau TNT en question. Il ne
faudrait pas perdre de vue que, tout en remplissant une mission de service public, la
radiodiffusion n’en est pas moins une activité à but lucratif, et qu’à ce titre, non seulement elle
devrait générer suffisamment de recettes pour supporter une bonne partie de ses charges

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 d’exploitation, mais en outre elle devrait, en tout état de cause s’assurer, dans le processus de
mise en œuvre de son réseau, qu’elle ne va pas se transformer en un véritable tonneau des
danaïdes pour l’Etat, au risque de finir par contraindre ce dernier à se retrouver dans l’incapacité
de s’acquitter honorablement de ses obligations régaliennes en matière de mise en œuvre du
service universel de la radiodiffusion, faute de moyens financiers suffisants ;
6. S’assurer de la préservation de l’emploi à la CRTV, et même dans les autres chaînes nationales.
En effet, la CRTV s’occupe déjà, depuis des dizaines d’années, de la maintenance et de
l’exploitation de quelques trente-cinq (35) centres de diffusion. Elle devrait pouvoir
s’occuper, logiquement, de celles de quelques centres de diffusion supplémentaires, et ce
d’autant plus que, une fois le basculement définitif effectif, les charges d’exploitation du réseau
de diffusion de la radiodiffusion devraient inévitablement s’amoindrir, entre autres parce que la
puissance d’émission des émetteurs TNT étant de loin moins importante que celle des émetteurs
analogiques, ce qui va par exemple minimiser en outre les besoins en matière de climatisation,
la consommation d’énergie du réseau de radiodiffusion devrait significativement être
revue à la baisse.

Par ailleurs, son personnel en poste chargé de la maintenance et de l’exploitation est en

principe un personnel aguerri, qui aurait tout juste besoin d’une formation
complémentaire sur les nouveaux équipements, et à qui on pourrait tout simplement
associer quelques recrues supplémentaires.

Une solution qui confierait le réseau de diffusion de la TNT à la CRTV, d’une manière
toutefois rigoureusement encadrée sur le double plan législatif et réglementaire, histoire
de s’assurer de l’égalité de traitement de toutes les parties-prenantes, serait, de loin, plus
indiquée, et même plus viable, que celle qui consisterait à créer une structure privée
distincte de diffusion de la TNT et ce, uniquement parce que c’est ce que suggère quelque
organisme international aux Etats, une suggestion d’ailleurs qui, est-il besoin de le
souligner, ne constitue en rien une obligation.

Il en est d’ailleurs de cette suggestion, comme de bien d’autres dans ce processus, dont
la neutralité et la sincérité sont fortement sujettes à caution, tel que nous le verrons par la
suite.

7. S’assurer de la minimisation de la proportion des ménages qui se verront obligés de recourir à

l’antenne « râteau » pour recevoir le multiplex incorporant les chaînes de la CRTV, ce qui aura
pour effet bénéfique, entre autres, une minimisation des subventions que l’Etat sera obligé de
consentir en ce qui concerne l’équipement des ménages en antennes « râteaux » ;
8. Etc.

Comme on peut aisément le remarquer, à la lumière de ce qui précède, il n’est pas certain qu’il soit dans
l’intérêt de notre pays de laisser la concurrence étrangère s’emparer de son réseau TNT.

Il est donc évident, comme le disait Georges Brassens, que le Cameroun « ne ferait de tort à personne,
en suivant les chemins qui ne mènent pas à Rome ». Cela reste d’ailleurs valable pour l’ensemble des
Etats africains.

La présente contribution – à laquelle nous avons ajouté un volet relatif à la radiodiffusion sonore,
afin de prendre en compte la réhabilitation technique de la CRTV –, conçue pour traiter
spécifiquement du cas particulier du Cameroun, et applicable à la plupart des pays africains, a pour
ambition de soumettre aux décideurs une stratégie à adopter, en vue d’un passage aussi souple et peu

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coûteux que possible à la transition vers la télévision numérique terrestre, étant entendu que des détails
supplémentaires destinés aux personnels techniques sont disponibles dans le document intitulé
Finalisation de la transition de la télévision Analogique vers le numérique dans les Etats membres de la
CEEAC.

Les deux documents en question devraient permettre au Comité National de Supervision de la migration
de la radiodiffusion analogique au numérique (CAM-DTV), de disposer d’une boussole lui montrant
clairement la voie à suivre pour assurer, à moindre coût, et dans les délais impartis, la réalisation pratique
de cette transition.

Ainsi, une fois que ce Comité se sera approprié la substance des documents susvisés, il suffirait alors au
Cameroun, en cas de nécessité, de faire tout simplement appel à la Coopération Française, qui a déjà
officiellement fait état de sa totale disponibilité à apporter son soutien opérationnel aux autorités
compétentes qui le souhaiteraient : assistance technique, assistance réglementaire, assistance
financière, assistance industrielle, formations, contenus, ce qui devrait, en passant, lui permettre,
entre autres, de minimiser les dépenses.

La présente contribution s’articule sur plusieurs points essentiels, à savoir :

A. Radiodiffusion Télévisuelle Terrestre (TNT)

I. Etat des lieux
II. Problème à résoudre
III. Modèle de Transition préconisé
IV. Equipement des populations en matériels de réception appropriés
V. Implantation des centres de diffusion à travers le territoire
VI. Comment assurer une transition souple et peu coûteuse
VII. Type de compression (Codage source) préconisé
VIII. Standard de diffusion préconisé (Codage canal)
IX. Format de télévision préconisé
X. Configuration de Planification de Référence (CPR)
XI. Réseau de Référence (RR)
XII. Choix des antennes
XII.1. Antennes de la TNT
XII.2. Antenne de la station terrienne de la CRTV à Mballa II
XII.3. Antennes de réception par satellite des centres de diffusion de la TNT
XII.4. Antennes de radiodiffusion sonore
XII.5. Power Splitters
XII.6. Autres composantes du système d’antennes
XIII. Choix des Guides d’ondes, de leurs accessoires, des kits de fixation et de
protection
XIV. Choix du dispositif de Pressurisation
XV. Garantie des Rapports de protection
XVI. Compression, Multiplexage, Transport, et Diffusion
XVI.1. Tête de réseau
XVI.2. Equipement des centres de diffusion
XVI.3. Dispositif de distribution du multiplex sur l’ensemble du réseau TNT
XVI.4. Contributions à partir des centres de diffusion
XVI.5. Aperçu des spécifications techniques de quelques-uns des équipements
pressentis
XVI.6. Datacenter

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 XVI.7. Quelques sources potentielles de revenus additionnels
XVII. Spécifications techniques des émetteurs analogiques et TNT
XVIII. Spécifications techniques des installations d’énergie, de la climatisation et de
l’éclairage
XVIII.1. Installation d’énergie
XVIII.2. Froid et climatisation
XVIII.3. Eclairage et balisage
XIX. Audit, Réhabilitation, Rallonge, Reconstruction et/ou Construction des pylônes
XIX.1. Caractéristiques des pylônes
XIX.1.1. Considérations matérielles
XIX.1.1.1. Structure des pylônes
XIX.1.1.2. Les haubans
XIX.1.1.3. Les isolateurs
XIX.1.1.4. Fournitures et montage
XIX.1.1.5. Conditionnement et transport
XIX.1.2. Les finitions
XIX.1.2.1. Protection anticorrosion
XIX.1.2.2. Balisage diurne
XIX.1.3. Les Dispositifs d’accès
XIX.1.3.1. Echelle à crinoline
XIX.1.3.2. Support de guides d’ondes
XIX.1.3.3. Plateformes de repos et de travail
XIX.1.4. Les dispositifs électriques
XIX.1.4.1. Balisage nocturne
XIX.1.4.2. Prises de courant
XIX.1.4.3. Prises de terre
XIX.1.4.4. Paratonnerre
XIX.1.4.5. Système anti-intrusion (norme NF EN 85.012)
XIX.1.5. Reconstruction, redéploiement et rallonge de pylônes
XIX.1.6. Conception et érection des pylônes
XIX.1.7. Contrôles de conformité
XIX.1.7.1. Les produits
XIX.1.7.2. Aciers
XIX.1.7.3. Haubans
XIX.1.7.4. Bétons
XIX.1.7.5. Peintures
XIX.1.7.6. Fouilles
XIX.1.7.7. Résistances des mises à la terre
XIX.1.7.8. Verticalité des pylônes
XIX.1.7.9. Qualité des soudures
XIX.1.8. Sécurité sur le chantier
XIX.1.9. Procédures d’inspection, d’entretien et de maintenance des pylônes
XIX.1.10. Documentation à fournir
XX. Réhabilitation et/ou construction de bâtiments, clôtures et voies d’accès
XXI. Laboratoire central de dépannage
XXII. Infrastructures de production et postproduction
XXIII. Infrastructures destinées à la formation au niveau local
XXIV. Cars de reportage
XXV. Faisceaux Hertziens Mobiles de Vidéo Reportage
XXVI. Appareils de mesure

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 XXVII. Véhicules et matériels de travail
XXVIII. Coordination des travaux et garantie de leur conformité aux règles de l’art
XXIX. Constitution du stock de pièces de rechange
XXX. Acquisition des Licences
B. Radiodiffusion Sonore
XXXI. Spécifications techniques des émetteurs analogiques et TNT
XXXII. Aménagement des studios de radiodiffusion sonore et de télévision
C. Financement du Projet
D. Garantie de transparence du processus d’attribution et d’exécution du projet
E. Conclusion

A. Radiodiffusion Télévisuelle Terrestre (TNT)

I. Etat des lieux

1. La (ou les) chaîne(s) de télévision publique(s), et éventuellement quelques chaînes privées,

émet(tent) dans la bande VHFIII de l’Accord GE06 (174 – 230 MHz) ;
2. Des chaînes privées émettent dans les bandes UHF IV (470 – 582 MHz) et/ou UHF V (582 – 862
MHz).

II. Problème à résoudre

1. Libérer, d’ici le 17/06/2015, la partie de la bande UHF V (582 - 862 MHz) appelée à être dédiée
aux IMT, à savoir la bande UHF (694 –862 MHz) ;
2. Parachever, d’ici le 17/06/2020, la transition vers le numérique des chaines analogiques émettant
dans la bande VHF (174 – 230 MHz).

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