Sunteți pe pagina 1din 260

Sommaire

 ANXIETE ANGOISSE
 CONFIANCE EN SOI
 MAIGRIR
 EMOTIONS
 GERER LE PASSE
 EJACULATION PRECOSE
 TIMIDITE
 JOIE DE VIVRE
 ATTIRER L’ABONDANCE
 DESIR SEXUEL
 INTUITION
 LACHER PRISE
 STRESS
 MAL DE DOS
 BOOSTER SA MEMOIRE
 AUGMENTER VOS PERFORMANCES
 ARRETER DE FUMER
 CONVERGENCE INSTANTANNEE
 ANTI INSOMNIE
 CHARISME
 MANUPILATION
 DEFENSE IMMUNITAIRES
 SOMMEIL
 DOULEUR CHRONIQUE
 EXAMEN

****************************************************************

Anxiété angoisse

Les sites de référence :


http://laurezanellacoaching.fr/
http://www.doctissimo.fr/
https://sante-medecine.journaldesfemmes.fr

https://academiehypnose.com/
Recherche 1 > Origine de lanxiete angoisse
Recherche 2 > Symptomes anxiete
Recherche 3 > Therapie anxiete

 http://laurezanellacoaching.fr/dou-viennent-nos-angoisses-et-comment-
sen-liberer/

D’où viennent nos angoisses et comment s’en libérer

D’après ce que nous dit Christel Petitcollin dans son livre « Emotions, mode d’emploi », nos
angoisses sont le résultat de toutes les émotions que nous avons refoulées.
Elle nous explique que toutes ces émotions que nous avons enfouies en nous sont stockées
dans une sorte de grand chaudron mental sur lequel vient se poser un gros couvercle qui évite à
ces émotions refoulées de sortir.

Le couvercle en question s’appelle l’angoisse. Christel Petitcollin nous dit alors qu’à chaque fois
que quelqu’un fait une crise d’angoisse, c’est tout simplement parce que l’une des émotions que
cette personne a appris à refouler est en train de remonter et menace de sortir de son
« chaudron » mental.

En partant de là, voyons ce qui nous pousse à refouler nos émotions.

La base de départ : l’enfance !


Tous les mécanismes qui composent la base de notre mode de fonctionnement ont été adoptés
durant l’enfance.

En tant qu’adultes, nous devenons capables de faire nos propres choix et de sortir de certains
automatismes destructeurs ou en tout cas pesants, mais tant que nous n’avons pas pris
conscience de ce qui se passe en nous, nous ne pouvons que réagir en fonction de ce que nous
avons appris.
Et qu’avons-nous appris justement pendant nos jeunes années ?

Depuis notre plus tendre enfance, on nous a dit (que ce soit de façon directe à travers la parole
ou de façon beaucoup plus subtile) que certaines émotions étaient autorisées et d’autres non.
Globalement, il y a d’ailleurs une ligne de démarcation très nette qui se dessine entre ce qui est
autorisé ou non aux petits garçons, et ce qui est permis ou pas aux petites filles.

Du côté des émotions de base que sont la joie, la colère, la tristesse et la peur, les deux
premières ont tendance à être autorisées aux garçons, alors que les deux dernières sont plutôt
réservées aux filles.
C’est quelque chose qui est profondément imprégné dans l’inconscient collectif et qui peut
surprendre quand on met le doigt dessus, pourtant, il suffit d’examiner quelque peu la chose pour
se rendre compte à quel point la séparation est marquée.
Par exemple, quand une femme se met en colère, on aura tendance à la taxer d’hystérique, à lui
dire que c’est une emm…, à se demander si c’est la pleine lune ou à faire porter le chapeau à
ses hormones, parce que cette colère est en général perçue comme déplacée.

Il en va exactement de même en ce qui concerne les hommes et la tristesse. Combien d’hommes


peuvent s’autoriser à laisser couler leurs larmes sans ressentir de la gêne, de la honte ou
recevoir des remarques désagréables de leur entourage. Ces larmes sont tout juste tolérées lors
d’une cérémonie d’enterrement, mais s’il s’agit d’un fait plus « anodin », soit ces messieurs
devront aller se cacher pour pouvoir pleurer en paix, ou alors on leur collera une étiquette
négative sur le dos.

Des mécanismes tout à fait naturels


La colère autant que la tristesse sont pourtant des mécanismes naturels qui ont un rôle bien
précis pour maintenir l’équilibre dans le mental et le corps.
La colère sert à poser ses limites et à « chasser les intrus » lorsque notre territoire personnel
est envahi, que ce soit notre territoire physique ou psychologique.
La tristesse quant à elle permet de se rendre disponible pour aborder une nouvelle étape sur
son chemin. Elle sert à faire un deuil, à fermer une porte pour qu’une autre puisse ensuite
s’ouvrir.
Il ne s’agit nullement d’émotions déplacées ou injustifiées, et pourtant, depuis l’enfance, des tas
d’adultes autour de nous n’ont eu de cesse de nous pousser à refouler nos émotions, même si
dans bien des cas cela s’est fait inconsciemment, sans aucune intention de nuire.

La chasse aux sorcières


Il existe pour ça ce que Christel Petitcollin appelle des « techniques anti-émotion ».

– La honte : On signifie à l’enfant qu’il est ridicule de vivre telle émotion, qu’il devrait avoir honte
de pleurer / d’être en colère / d’avoir peur, etc., et on lui en met une bonne couche pour qu’il
enferme au plus vite cette émotion dérangeante pour l’adulte qui se trouve en face de lui.
– Le déni : On dit cette fois à l’enfant d’arrêter de faire la comédie ou encore qu’il n’a aucune
raison d’avoir peur ou d’être triste. Au lieu d’entendre et de reconnaître le malaise de l’enfant, on
interprète la situation de son point de vue d’adulte et on considère que puisque la situation n’a
rien de problématique pour nous, c’est que l’enfant est en train de faire semblant… C’est une
façon de voir les choses qui peut coûter cher !
– La culpabilisation : L’adulte dit cette fois à l’enfant que ça le rend malade de le voir se mettre
dans tel état, ou alors il lui sort l’éternelle rengaine : « Avec tout ce que j’ai fait pour toi, tu es un
ingrat de te dire malheureux ». L’enfant n’a donc pas le droit d’être malheureux ici et maintenant
par rapport à une situation particulière parce que l’adulte a si bien veillé sur lui par le passé.
– La peur : Ce sont cette fois les menaces qui pleuvent pour couper net l’émotion de l’enfant
dans son élan. « Si tu continues à pleurer, tu seras puni ! » « Tu as intérêt à arrêter sinon je vais
me fâcher »
– Le pansement : « Si tu te calmes, je vais t’acheter telle chose », par exemple. On cherche un
dérivatif qui pourra distraire l’enfant de sa peur, de sa colère ou autre pour l’empêcher de vivre
son émotion.
– Le recadrage : On cherche à donner un sens autre que le sens réel à l’émotion qui est là. « S’il
pleure, c’est parce qu’il doit être fatigué ». Christel Petitcollin nous explique à ce sujet qu’une fois
devenu adulte, un enfant qui aura vécu à répétition ce type de scénario aura tendance à
connaître de brusques baisses d’énergie lorsque l’émotion interdite sera sur le point d’émerger.
S’il vous arrive fréquemment d’avoir des coups de barre que vous ne comprenez pas au courant

de votre journée, cherchez peut-être de ce côté-là


Voilà donc tout un tas de façons d’apprendre à refouler ses émotions. À force d’obtenir ce type
de réactions à chaque fois qu’une émotion intervient, nous finissons par adopter certains
mécanismes qui deviennent des automatismes. Tout ceci est valable lorsqu’une émotion
négative se manifeste, mais également en ce qui concerne la joie. Combien d’entre nous ont
entendu étant enfants qu’ils devaient se calmer lorsqu’ils sautillaient dans tous les sens et
laissaient déborder leur joie naturelle, parce que les adultes autour d’eux étaient fatigués ou
n’avaient pas la tête à ça par exemple ?

Renversons la vapeur
Heureusement, tout ce qui a été fait peut être défait, et la répétition de nouveaux mécanismes
finira par créer de nouveaux automatismes plus sains.
Comment donc sortir de ce piège et vider le contenu de notre « chaudron » mental?

Le premier pas est de prendre conscience de la façon dont on nous a appris à refouler nos
émotions . Si vous vous rendez compte que la façon dont vous gérez vos émotions aujourd’hui
n’est pas quelque chose d’inné, mais plutôt quelque chose pour laquelle vous avez
été conditionnédès votre plus jeune âge, vous vous rendrez compte aussi que tout ce qu’on a
pu vous laisser entendre au sujet des émotions n’était pas nécessairement vrai.
Commencez par identifier toutes les émotions avec lesquelles vous éprouvez des difficultés,
celles qui génèrent un malaise en vous, de la gêne ou de la honte, et demandez-vous quelles
sont vosidées préconçues au sujet de ces émotions. Voyez de quelle façon on vous a présenté
ces émotions durant votre enfance, et voyez de quelle façon votre entourage familial gère lui-
même ces émotions. Ça vous en dira beaucoup sur la source de vos difficultés.
Encore une fois, il ne s’agit pas d’accuser qui que ce soit, car chacun fait de son mieux en
fonction de ce qu’il a lui-même appris, mais dès lors qu’on perçoit clairement le chemin qui a été
fait pour en arriver là, on peut d’autant plus facilement commencer à démonter les croyances
limitantes en place.
Ensuite, il sera important de commencer à vous autoriser à ressentir ce que vous ressentez, car
oui, il est tout à fait naturel de ressentir de la tristesse, de la colère, de la peur, et bien sûr de la
joie, que vous soyez un homme ou une femme.

Redonnez-vous les permissions qui vous


reviennent de droit
Ces émotions n’ont rien d’anormal et si elles sont présentes, c’est parce que votre corps et votre
mental réagissent face à certaines circonstances extérieures pour maintenir un équilibre en
vous.
Plus vous luttez contre une émotion, plus vous vous sentez mal. Prenez l’habitude d’écouter ce
qui se passe en vous, et autorisez-vous à ressentir ce qui est là, en comprenant aussi que vous
n’avez nulle obligation de garder ces émotions en vous.
Vous pouvez simplement les reconnaître, accepter leur existence, et choisir de les laisser aller.
Le fait de vous confronter à vos émotions et de les accueillir, quelles qu’elles soient, vous
permettra de ne plus les accumuler dans votre « chaudron » mental et vous évitera ainsi de
ressentir de l’angoisse lorsque l’une de ces émotions cherchera à remonter à la surface.
Plus vite vous réagissez en acceptant votre émotion, plus vite vous pourrez aller de l’avant et
mieux vous vous sentirez.

Toutes les habitudes néfastes que nous avons pu adopter sans le vouloir peuvent être
démontées et remplacées.

À vous de jouer !
 http://www.doctissimo.fr/html/sante/encyclopedie/sa_781_anxiete.htm

Sommaire

Les troubles anxieux sont fréquents, ils affecteraient environ chaque année 2 à 8 %
de la population adulte et seraient plus fréquents chez les femmes. L'âge moyen de
survenue des premiers symptômes se situe entre 20 et 30 ans.

Les signes de l'anxiété

L'anxiété peut être normale, voire nécessaire à la vie par sa fonction adaptative, ou au
contraire pathologique et invalidante. Les limites entre la réaction anxieuse normale
qui mobilise le sujet pour affronter une situation difficile et l'anxiété pathologique est
floue.

On considère en général que l'anxiété est normale lorsqu'elle est bien tolérée par le
sujet, qu'il peut la contrôler, qu'il ne la perçoit pas comme une souffrance excessive,
qu'elle n'a pas de retentissement sur sa vie quotidienne et qu'elle est peu somatisée.
L'anxiété normale est l'expérience que chacun de nous a vécue : peur avant un
examen, inquiétude pour la santé d'un parent, réactions anxieuses lors d'accidents, de
catastrophes... L'anxiété est ainsi une émotion utile. C'est une réaction psychologique
au stress. C'est un état qui fait partie de nos réactions d'adaptation aux stimulations
extérieures en nous permettant de mobiliser notre attention, d'élever notre vigilance
dans des situations de nouveauté, de choix, de crise ou de conflit.
L'anxiété est anormale quand :

 Elle n'est plus liée à des événements de la vie et qu'elle survient sans raison ;
 Elle devient un état permanent ;
 Elle perd sa fonction d'aide aux changements de la vie et elle favorise davantage la répétition
ou la limitation des comportements que les possibilités d'adaptation du sujet ;
 Elle est une souffrance aboutissant à une demande de soins ;
 Elle s'intercale entre des attaques de panique ou elle s'associe à des états névrotiques,
psychotiques ou hypocondriaques ;
 Elle se complique d'états dépressifs ou de phénomènes de dépendance
(pharmacologique, alcoolique, toxicomaniaque, relationnelle).
Causes et facteurs de risque de l'anxiété

A côté des troubles névrotiques (anxiété généralisée et trouble panique) dont la cause
réelle est inconnue et fait l'objet de différentes théories, il existe des causes faciles à
reconnaître.
L'anxiété est toujours présente dans les états névrotiques et elle est même l'élément
constitutif de la névrose d'angoisse .
Dans la névrose hypocondriaque, l'anxiété se fixe sur le corps. Ces symptômes
structurés permettent de diminuer la sensation d'angoisse.
Dans la névrose hystérique , l'angoisse est convertie en symptômes physiques
n'ayant pas de support organique. Mais cette conversion est souvent incomplète et
une certaine anxiété persiste en général.
Dans la névrose phobique , l'anxiété est fixée sur des situations précises (foule,
espace fermé ou très largement ouvert, animaux...), et l'angoisse ne se manifeste que
devant ces situations et disparaît en même temps qu'elles.
Dans la névrose obsessionnelle enfin, le sujet lutte contre les pensées qui
l'envahissent et l'anxiété est toujours présente.
L'état de stress post-traumatique ( névrose post-traumatique ) est consécutif à un
événement hors du commun qui provoquerait des symptômes évidents de détresse
chez la plupart des individus. L'événement est perpétuellement revécu sous forme de
souvenirs, de rêves, d'impression qu'il va se reproduire... Le sujet s'efforce d'éviter tout
ce qui lui rappelle l'événement et souffre d'une hypertonie neurovégétative (irritabilité,
hypervigilance, hyperréactivité au stress, difficultés d'endormissement...).
L'anxiété peut aussi être l'un des éléments constitutifs de nombreuses affections :

 Maladies psychiatriques : l'anxiété des psychoses est fréquente, souvent majeure et parfois
masquée :schizophrénie, dépression...
 Atteintes du système nerveux central : maladie vasculaire ou dégénérative
( Parkinson), épilepsie...
 Maladies endocriniennes ou métaboliques : hyper ou hypothyroïdie, hyper
ou hypoparathyroïdie, hypercorticisme, hypoglycémie, phéochromocytome...
 Maladies organiques : asthme, angine de poitrine...
 Intoxications : corticoïdes, alcool...
 Syndromes de sevrage : barbituriques, alcool...
 Ménopause ...
Enfin l'anxiété peut être un trait de personnalité simple (personne anxieuse) et donc
soit une disposition permanente, soit un état transitoire survenant dans certaines
circonstances.

LES SIGNES DE L'ANXIÉTÉ GÉNÉRALISÉE


L'anxiété généralisée se manifeste par un sentiment d'insécurité permanente avec
ruminations sur le passé et craintes diverses concernant l'avenir. L'anxieux chronique
a beaucoup de mal à prendre une décision ou de choisir, étant soumis au doute
perpétuel. Il est hyperémotif, instable, et réagit vivement aux stimuli extérieurs.
Phobies et dépression sont habituelles.

L'attente anxieuse est le symptôme le plus constant. Les soucis quotidiens sont
démesurément grossis. L'anxieux appréhende le pire pour lui et ses proches. Très
dépendant de son entourage, il supporte mal les séparations.

Dans l'intervalle des épisodes d'anxiété aiguë, la plupart des patients ne présentent
aucun trouble. D'autres continuent à ressentir une asthénie, des céphalées ou d'autres
manifestations d'anxiété.
Dans la névrose d'angoisse, l'anxiété est flottante et isolée, pure. Sur ce fond
d'angoisse permanent peuvent survenir des crises aiguës paroxystiques sans cause
déclenchante évidente.

Il existe souvent des facteurs prédisposants constitutionnels ou conséquences d'un


environnement défavorable. Des états anxieux similaires sont parfois retrouvés chez
les parents.

EVOLUTION DE L'ANXIÉTÉ GÉNÉRALISÉE


L'évolution se fait par des phases de rémission et d'exacerbation des symptômes.
Certaines décompensations sont possibles : dépression, suicides, toxicomanies,
alcoolisme... Le patient peut évoluer vers une organisation névrotique phobique,
hystérique ou hypocondriaque.
TRAITEMENT DE L'ANXIÉTÉ GÉNÉRALISÉE
Le traitement de fond repose sur la psychothérapie et la relaxation. Les tranquillisants
ou anxiolytiques ( benzodiazépines notamment) sont utilisés par périodes de courte
durée pour éviter une dépendance.
Le traitement de la crise d'angoisse aiguë repose sur l'attitude du médecin qui doit être
calme et compréhensive, l'isolement, les anxiolytiques en injectable pour une action
rapide et puissante.

Sommaire

Le thermalisme apporte également une aide précieuse à travers des cures


spécialisées, qui permettent de réduire le sentiment d'anxiété mais aussi la
consommation de psychotropes.
Le trouble panique

QU'EST-CE QUE LE TROUBLE PANIQUE ?


Le trouble panique se caractérise par la survenue d'attaques d'angoisse ou crises
d'angoisse aiguë. Par définition, pour parler de trouble panique, il faut que le patient
fasse au moins quatre attaques de panique en quatre semaines (ou au moins une si
elle est suivie de la peur persistante d'avoir une nouvelle attaque). Ces attaques de
panique sont imprévisibles et non déclenchées par des situations particulières (trac)
ou des facteurs organiques.

Enfin, une attaque de panique comporte par définition au moins quatre symptômes
anxieux parmi une liste de treize :

 Sensations de souffle coupé ou sensation d'étouffement ;


 Etourdissements, sensations d'instabilité ou impression d'évanouisement ;
 Palpitations, tachycardie ;
 Tremblements ou secousses musculaires ;
 Transpiration ;
 Sensation d'étranglement ;
 Nausée, gêne abdominale ;
 Dépersonnalisation ou déréalisation ;
 Sensations d'engourdissement ou de picotements (paresthésies) ;
 Bouffées de chaleur ou frissons ;
 Douleur ou gêne thoracique ;
 Peur de mourir ;
 Peur de devenir fou ou de commettre un acte non contrôlé.
LES SIGNES DU TROUBLE PANIQUE
Le trouble panique (crise aiguë d'angoisse) est de début brutal. Le patient éprouve un
sentiment de danger imminent, violent, imprécis (peur d'une mort imminente, de
devenir fou, de ne plus contrôler ses pensées ou ses actes, d'une catastrophe
prochaine...), sentiment d'impuissance, de détresse, de peur intense, sans objet.

Le patient est pâle, couvert de sueurs, agité ou prostré, crispé, tendu, couvert de
sueurs, animé de tremblements. Il peut être figé par l'angoisse ou en proie à une
agitation fébrile. La respiration est rapide, irrégulière. Nausées, vomissements,
diarrhée, douleurs diverses, palpitations, tremblements, impressions de vertiges,
brouillard visuel, réflexes vifs sont fréquents. Le coeur est rapide et les pupilles peuvent
être dilatées.

La crise dure de quelques minutes à quelques heures. Elle cède brusquement avec
une forte envie d'uriner.

Le syndrome d' hyperventilation associe polypnée, respiration superficielle,


paresthésies autour de la bouche, fourmillements et engourdissements des extrémités
; il est à rapprocher de la tétanie (spasmophilie).
Les équivalents somatiques sont très fréquents :

 Cardiovasculaires : palpitations, lipothymies, pseudo-angor...


 Respiratoires : dyspnée, toux...
 Digestifs : spasmes, coliques...
Le trouble panique peut être simple ou associé à une agoraphobie et son intensité est
graduée en légère, moyenne, sévère ou en rémission partielle ou totale.

NE PAS CONFONDRE AVEC...


La crise aiguë d'angoisse peut simuler certains diagnostics viscéraux : embolie
pulmonaire, infarctus du myocarde, affection chirurgicale...
La fréquence et la sévérité des épisodes aigus varient beaucoup d'un sujet à l'autre.
Ils cèdent en général spontanément.

TRAITEMENT DU TROUBLE PANIQUE


Dans les formes légères d'anxiété, on prescrit des anxiolytiques comme
des benzodiazépines à faibles doses.
Lorsque l'anxiété prend la forme de crises d'angoisse, physiquement et psychiquement
douloureuses :
 Une benzodiazépine à dose plus élevée ;
 Les autres familles de tranquillisants.
Dans les attaques de panique, les tranquillisants sont parfois insuffisants et
les antidépresseurs sont alors les seuls produits actifs. Ils sont également utilisés en
prévention.
La psychothérapie est intéressante quand le patient recherche le dialogue. Elle est
d'autant plus efficace que l'anxiété est liée à un problème psychologique, surtout si le
patient est isolé, sans grande aide de l'entourage. La relaxation donne de bons
résultats dans l'anxiété généralisée.

Dans les phobies spécifiques (agoraphobie, peur de la conduite, de l'avion, des


magasins, des ascenseurs, etc.), les techniques comportementales donnent
d'excellents résultats lorsque les patients adhèrent complètement au programme de
désensibilisation et aux tâches quotidiennes à faire à domicile. L'adhésion au
traitement est une condition indispensable au succès de ce type de prise en charge.

La psychanalyse est souvent décevante.

 https://sante-medecine.journaldesfemmes.fr/contents/708-psychotherapie-de-l-anxiete

traitement des anxiétés


Deux formes de psychothérapies sont particulièrement adaptées au traitement des anxiétés et
des phobies : la thérapie cognitive et la thérapie comportementale. Elles peuvent être associées,
et l'on parle alors de thérapies cognitives-comportementales (TCC).

Thérapie cognitive

Principes

Les thérapies cognitives sont fondées sur la notion de schéma cognitif. Ce sont nos habitudes
mentales, imprimées par l'expérience, inscrites dans la mémoire à long terme du cerveau. Elles
font appel à la mémoire, aux émotions et à l'attention.

Les schémas cognitifs sont automatiques (inconscients) ou contrôlés (concients). Ils influent sur
notre comportement et notre capacité (ou incapacité) d'adaptation individuelle. Un trouble est
fondé sur le déséquilibre du schéma cognitif.
Traitement

Les thérapies durent plusieurs semaines à plusieurs mois. Il y a échange entre le thérapeute et le
patient, à partir de la définition du problème (une anxiété généralisée ou une phobiespécifique).
Un programme ou plan de progrès est fixé, qui permet de voir l'évolution étape par étape.

Cette thérapie est remboursée dans certaines conditions (choix du thérapeute et du centre agréé
par la Sécurité sociale).

Thérapie comportementale

Principes
Les thérapies comportementales sont fondées sur le principe du conditionnement, la réponse
automatique à un stimulus. Le conditionnement peut être répondant (pavlovien) ou opérant
(skinnerien), il aboutit à un renforcement de certaines actions dans certaines situations.

La thérapie joue sur le phénomène de sensibilisation-habituation : identification du phénomène


auquel le patient est excessivement sensible, habituation progressive à ce phénomène avec
contrôle de la réponse automatique.

Sommaire

Traitement

Les thérapies durent plusieurs semaines à plusieurs mois. En raison du processus d'habituation,
les séances sont assez longues (plus de 45 minutes, temps nécessaire d'exposition). Une fois le
problème identifié (une anxiété généralisée ou une phobie spécifique), un programme ou plan de
progrès est fixé, qui permet de voir l'évolution étape par étape. Le patient sera progressivement
exposé à la situation qui provoque angoisse ou panique. Cette thérapie est remboursée dans
certaines conditions (choix du thérapeute et du centre agréé par la Sécurité sociale).

Un exemple : l'arachnophobie
Un patient souffre d'arachnophobie (peur panique des araignées) et désireux de dépasser cette
anxiété spécifique. Que se passe-t-il dans une TCC ?

Le thérapeute commence par s'informer du trouble exact : son apparition, son intensité, les
comportements associés.

Concernant les schémas cognitifs, le patient est informé sur les araignées, la toxicité ou la
douleur réelle de leur piqûre, etc. Il est également renseigné sur la capacité à modifier ses
représentations mentales, donc les comportements associés.

Concernant les schémas comportementaux, le patient est progressivement mis en présence et


habitué à l'objet de sa phobie (araignées, d'abord en photo ou vidéo, puis réelles). Il apprend à
contrôler ses réactions impulsives, très progressivement si nécessaire (araignées petite ou
grande, enfermée ou libre, touchée avec un crayon ou avec la main, etc.).

 https://academiehypnose.com/anxiete-angoisse-quand-tu-nous-tiens/

ANXIÉTÉ, ANGOISSE QUAND TU NOUS TIENS!


Par Ginette Plante
Qu’est-ce que l’anxiété ?
Il est de la nature humaine d’avoir des préoccupations et des émotions :

 Est-ce que j’ai trop pris de dossiers?


 Mon enfant a des difficultés scolaires, va-t-il réussir?
 Ma santé se détériore. Est-ce grave?
 Je ne ressens plus la passion dans mon couple. Est-ce la fin de notre amour?

Beaucoup d’événements de la vie suscitent des préoccupations et amènent à ressentir des


émotions : colère, peine, jalousie, peur, etc. Ces préoccupations et ces émotions sont des
indicateurs de problèmes à régler dans notre vie (et la vie apporte une multitude de problèmes à
régler…). Il demeure important que nous réglions nos problèmes pour vivre une vie satisfaisante.
Si nous ne faisons pas face à cette réalité, que nous la fuyons plutôt que la régler, alors notre
organisme va réagir à cette insatisfaction par ce qu’on appelle l’anxiété. L’anxiété est signal que
quelque chose nous dérange, nous tracasse. Elle est liée à une idée fixe qui nous porte à
surestimer le danger et à sous-estimer notre capacité à y faire face. L’imagination joue un rôle
primordial dans ces cas. L’individu imagine souvent tout événement sous forme de catastrophe et
ses réactions sont alors amplifiées tout comme si cela était réalité. Si nous ne faisons pas face à
la peur qui est sous-jacente, un état d’urgence apparaîtra d’où la naissance de l’angoisse. Quand
nous ignorons les choses qui nous affectent, que nous les négligeons, elles se transforment en
inquiétudes sourdes qui à leur tour deviennent des insécurités. La peur étant toujours présente,
notre jugement se trouve altéré, et la réalité peut être amplifiée.
Dans l’insécurité nous sommes confrontés à la perte du contrôle de soi. L’amplificateur étant à «
ON », on passe au mode ANXIÉTÉ tant que nous ne prenons pas un temps d’arrêt; en effet, si l’on
ne prend pas un temps de recul pour découvrir le problème à la source, la montée d’anxiété se
poursuivra. À cela s’ajoute bien souvent des pensées irréalistes telles que :

 Mon fils ne pourra réussir sa vie, car il n’aime pas l’école.


 Mon mari travaille tard, il a sûrement trouvé une maîtresse.
 Mon patron a rencontré quelqu’un dans son bureau aujourd’hui, il songe sûrement à me
remplacer ou à me congédier.
 Etc.

La peur de perdre le contrôle s’intensifie.


L’angoisse se pointe doublée de pensées anticipatoires :

 Mon fils va devenir délinquant.


 Mon conjoint va me laisser.
 Oh! Je vais étouffer, je vais faire un arrêt cardiaque.
 Etc.
L’organisme envoie ces messages nous invitant à autoréguler, à équilibrer nos pensées et nos
sentiments.
Il y a une raison qui justifie l’angoisse constante : c’est que l’individu ignore souvent les événements
qui l’affectent et fuit ses émotions.
L’organisme, par ces manifestations d’inquiétude, d’anxiété, d’angoisse, envoie un signal répétitif
informant du danger que l’individu encoure s’il persiste à nier ou négliger certains domaines de sa
vie qui sont affectés. Il est donc continuellement sollicité par cette angoisse tant et aussi longtemps
qu’il ne fera pas face et qu’il ne prendra pas en charge le poids de ses préoccupations.
L’anxiété et l’angoisse croissent au fur et à mesure que s’ajoutent d’autres préoccupations. Les
problèmes non réglés en engendrent d’autres; voilà un cycle perpétuel sans fin. Cela devient
étouffant; l’individu peut avoir de la difficulté à respirer. Cela devient pathologique, car l’anxiété et
l’angoisse sont sources de grandes souffrances psychiques : elles nuisent aux performances et se
manifestent par un dérèglement au niveau du sommeil et de la qualité de vie. Elles peuvent amener
jusqu’à la crise de panique qui se manifeste par des crises aiguës d’angoisse, de terreur soudaine,
d’un sentiment de perte de contrôle. L’angoisse est une expérience émotive plus intense que
l’anxiété, mais n’est pas une émotion, à proprement parler.
SYMPTÔMES
L’ANXIÉTÉ se manifeste par :

 des nœuds ou papillons dans l’estomac;


 des serrements ou une compression au thorax;
 l’impression d’avoir l’estomac tordu;
 une contraction ou pression pouvant aller de la région du plexus solaire à la gorge;
 des battements de cœur accélérés;
 de la sudation (épaississement des sécrétions);
 des étourdissements (hyperventilation);
 des pensées liées à une impression de danger imminent;
 de la difficulté à respirer;
 la vision brouillée;
 l’ouïe perturbée;
 des spasmes.

L’angoisse possède les mêmes caractéristiques que l’anxiété. Mais, tandis que l’anxiété se
manifeste de façon sporadique, l’angoisse, elle, s’inscrit de manière permanente chez l’individu.
TRUCS EXPRESS POUR DIMINUER SON ANXIÉTÉ
1. Observer vos pensées et vos images internes.
2. Vérifier si ces pensées ou images sont conformes à la réalité en semant le doute dans vos
pensées.
3. Transformer ces pensées-catastrophes en hypothèses et non en réalités.
4. Prendre conscience qu’une situation vous dérange.
5. Garder l’ouverture à d’autres possibilités. Prendre contact avec vos ressources intérieures et
extérieures.
6. Cerner ce qui crée cette angoisse et la libérer.
7. Affronter vos problèmes une étape à la fois.
8. Prenez le temps d’examiner les solutions possibles.
9. Abaisser votre « amplificateur interne ».
10. Croire en votre capacité de réagir avant de dépasser le 6/10 sur votre échelle de tolérance.
CERTAINS FACTEURS CONTRIBUENT À L’APPARITION DE L’ANGOISSE

CONFIANCE EN SOI

Les sites de référence :


https://www.prendreconfiance.com
https://www.prendreconfiance.com/
https://www.psy-coach.fr

Recherche 1 > Qu'est-ce que la confiance en soi ?

Recherche 2 > les symptômes et les conséquences du manque de


confiance en soi

Recherche 3 > Les 6 clés de la confiance en soi

Recherche 4 >

Sommaire

 https://www.prendreconfiance.com/confiance-en-soi-definition-
mecanismes/

Qu'est-ce que la confiance en soi ?

Voici une question à laquelle beaucoup aimerait répondre. Et sans doute vous.
Chacun y va de sa petite idée, de son expérience, de son vécu. La confiance
en soi semble être vécue comme un ressenti, un ensemble d’émotions et de
sentiments. Mais elle se traduit concrètement, au quotidien, par nos actions et
nos attitudes.

Mais peut-on réellement définir la confiance en soi ? Comment se manifeste-t-


elle ? A quoi reconnaît-on une personne qui n’a pas ou plus confiance en elle
?

Autant de questions auxquelles je vais répondre dans les lignes suivantes ...

Définition de la confiance en
soi
Il est difficile de définir précisément ce qu’est la confiance en soi. Il s'agit avant
tout d'une perception que chacun peut ressentir face aux défis et aux imprévus
de son quotidien.

La confiance en soi, c’est avoir confiance en sa capacité de penser et


d’apprendre, de prendre des décisions et de faire des choix, d'agir, de réagir et
de s’adapter aux changements qui s’offrent à soi.
C’est aussi savoir que l’on mérite d’être heureux.

Si l’on pouvait résumer, la confiance en soi est un véritable acte d’éveil


suivi d’une pratique régulière qui consiste à savoir qui l’on est et qui l’on
n’est pas.
La confiance en soi est un acte d’éveil suivi d’une pratique régulière qui
consiste à savoir qui on est et qui on n’est pas
Partagez sur Twitter !
Et le manque de confiance en soi
?
Le manque de confiance en soi, au contraire, est tout de suite reconnaissable.
Il existe des symptômes, des attitudes, des comportements qui témoignent
d’un véritable mal-être, d’une incapacité de faire face à ce que la vie propose
comme défis et projets à relever.

Il y a cette peur constante du regard et du jugement des autres. Une peur


d’être considéré négativement qui pousse chacun à se replier sur soi et à ne
plus oser s’ouvrir vers l’extérieur.

C’est un mal auquel de nombreuses personnes sont confrontées chaque jour,


que ce soit dans leur épanouissement personnel ou professionnel.

Les origines de la confiance


en soi
Les origines du manque de confiance en soi sont multiples : une petite
remarque désobligeante, une éducation trop permissive ou trop stricte, la peur
d’échouer ou de mal faire, un manque d’encouragement, la peur des on-dit, ...
Et leur accumulation, bien entendu.

Mais alors ... C’est quoi, avoir confiance en soi ? En fait, ses origines sont
directement liées à celles du manque de confiance.

Exprimer son manque de confiance en soi est en quelque sorte un cri


intérieur qui révèle que quelque chose ne va pas dans sa relation à soi-même
ou avec les autres.
Exprimer son manque de confiance en soi est un cri intérieur révélant un
problème dans sa relation à soi ou avec les autres
Partagez sur Twitter !
Plusieurs origines sont possibles pour expliquer cette confiance en soi ou
cette carence de croyance en ses capacités :

 Des parents qui projettent leurs espoirs et leurs rêves sur leurs
enfants : possibles inhibitions car le poids des souhaits des parents est trop
important, trop lourd.
 Des parents qui refusent de voir que leur enfant a des difficultés : cela
risque de le déstabiliser et de le fragiliser. Il faut être attentif aux signes
d’inhibition. Jouer la politique de l’autruche ne les aide pas.
 La surprotection : ne pas confronter une personne à la réalité de la vie
pour ne pas qu’il souffre ou qu’il soit déçu, c’est transformer une anxiété en
une peur d’affronter les autres, entraînant une impossibilité à vivre au
quotidien.
 L’absence de transmission d’un idéal : si vous n’avez jamais été
encouragé à croire que vous pouviez mener une vie conforme à vos
espérances, vous allez devenir pessimiste et votre confiance en vous va
littéralement chuter.
 La dévalorisation et la survalorisation : elles fragilisent car elles ne
permettent pas d’avoir une conscience objective de ses potentialités réelles.
Bien sur, tout ne se joue pas nécessairement dès l’enfance. Et il est possible
que des enfants élevés dans de "bonnes conditions" deviennent des adultes
mal dans leur peau. Et inversement. Néanmoins, l'enfance est très souvent la
source d'un manque de confiance.

Outre les parents, vos proches, vos amis et votre entourage influencent aussi
largement votre confiance de soi en fonction de l’importance que vous leur
accordez.

Mais tout ne s’explique par l'enfance ou des intervenants extérieurs …


Comme dans d’autres domaines, nous ne sommes pas tous égaux. Certains
ont une confiance innée en eux. D’autres non. De même, nous n’interprétons
et n’intégrons pas tous de la même façon nos expériences et nos échecs.
Certains rebondissent après chaque erreur ou échec, voire même apprennent
de ces expériences. D’autres non.

Mécanismes de la confiance
en soi
Chacun est différent. C’est pourquoi il importe, pour s’assurer que l’on a
confiance en soi, de faire quelques exercices, de faire des expériences, de
découvrir quelles sont ses limites, ses faiblesses, ses atouts pour reconstruire
un regard sain sur soi.

Confiance en soi et estime de soi


La confiance en soi découle de l’estime de soi.

Nous nous accordons tous une certaine valeur en fonction de notre capacité à
réussir ou non dans certains domaines de la vie.

L’estime de soi connaît nécessairement des hauts et des bas selon que l’on
parvienne ou pas à atteindre nos objectifs.

Cette recherche constante de l’estime de soi est une quête périlleuse. Elle se
fonde non seulement de nos échecs ou de nos succès, mais aussi sur les
jugements et les critiques de ceux qui nous entourent et nous sont chers.

Confiance en soi et peur


Le manque de confiance en soi amène inévitablement à la peur. Qui elle-
même entretient le manque de confiance en soi. Un véritable cercle vicieux
que vous contribuez à maintenir …
1. Absence ou manque de confiance en soi. Plusieurs facteurs expliquent un
manque de confiance initial. Il peut aussi simplement s'agir d'une banale
crainte.Mais si vous êtes victime de ces facteurs et que vous ne faites rien
pour vous les dépasser, vous nourrissez alors votre manque de confiance. Et
l’élément clé de ce processus est la peur.
2. Peur de l’échec, peur du rejet ... Peur d’agir. La peur est à la fois une cause
du manque de confiance en soi et un facteur de son accroissement. Quel que
soit le domaine (relations, projets d’entreprises, emploi, etc.), se sentir
incapable d’atteindre un objectif ou de faire face à une situation implique une
certaine peur. Le souci, c'est lorsque cette peur amène à l’inaction.

3. L’inaction. La peur de passer à l’action débouche souvent sur le choix simple


de ... ne pas agir. L’inaction, ou la fuite, est le premier choix. Les
conséquences de cette inaction sont la déception, la honte et la culpabilité.
4. Honte et culpabilité. Cet état émotionnel de honte et de culpabilité implique
une nouvelle dévalorisation de soi, une baisse de son estime de soi, et
contribue énormément à accroître le manque de confiance en soi.
Le remède ? Agir. Malgré la peur.

Sommaire

Confiance en soi et enfance


Au milieu des années 60, une étude américaine dirigée par le professeur
Stanley Coopersmith a démontré que l’estime que se portent les parents entre
eux est le meilleur modèle pour développer une forte estime de soi chez
l’enfant.
En vivant dans un environnement aimant et respectueux, les parents et les
enfants peuvent mettre en place des règles pour communiquer.
Il n’y a alors aucune humiliation, aucune contradiction, aucun ridicule. Et
chacun fait preuve de confiance en ses compétences et en sa bonne volonté.

Les attitudes des personnes


qui n’ont pas confiance en
elles
Les personnes qui manquent de confiance en elles sont reconnaissables.
Elles ont des attitudes, des mots, des comportements significatifs.

Les sentiments les plus communs d’un manque de confiance en soi sont :

 Le sentiment d’infériorité : le seuil de tolérance de chacun face aux


épreuves n’est pas le même. Lorsque ce seuil est dépassé, la fragilité
s’installe et s'amplifie. Et des symptômes apparaissent.

 Le sentiment de découragement : la personne se juge négativement, elle


pense que toute action de sa part est vouée à l’échec, incapable de faire la
part des choses et une tendance çà exagérer les difficultés.

 Les symptômes courants sont le bégaiement, le rougissement, la pâleur, le


tremblement des jambes ou des mains, l’incapacité de choisir, la peur de
tout engagement affectif ou professionnel mais aussi la capacité à se
montrer arrogant ou vaniteux pour montrer un masque.

A chacun de s’interroger et de déceler ses failles mais aussi ses forces qui,
lorsqu’elles ne sont pas prises en compte, guident nos vies dans un sens
parfois favorable et parfois défavorable.
Conclusion
Plusieurs points important ont été abordés. Ils seront repris et détaillés dans
de prochains articles.

L’essentiel est que cet article vous dresse un tableau global de la confiance en
soi : une définition, son importance, ses mécanismes, ses effets, …

Avec cela, vous pouvez déjà savoir si vous manquez de confiance en vous,
dans quels domaines de votre vie ou certaines situations, imaginer comment
en sortir et créer un premier électrochoc !

Sommaire

 https://www.prendreconfiance.com/consequences-manque-confiance-
comment-eviter/

Quelles sont les symptômes et les conséquences du


manque de confiance en soi ?

Si la confiance en soi est un sujet qui revient régulièrement, c'est qu'il s'agit
d'un point fondamental de la vie de chacun. En effet, le manque de confiance
en soi a de graves conséquences. Et aussi des symptômes permettant de le
reconnaître. Découvrons tout cela pour mieux comprendre l'importance de
lutter contre son manque de confiance en soi.

Le manque de confiance en soi ne serait pas autant connoté négatif et nuisible


s'il n'avait pas d’énormes conséquences ... négatives.
Voyons dans un premier temps les symptômes du manque de confiance en
soi puis, dans un second temps, ses conséquences.
Vous comprendrez alors un peu mieux l'importance de retrouver confiance en
soi.

Les symptômes du manque


de confiance en soi
Les personnes qui manquent de confiance en soi ont des symptômes
singuliers. La plupart de ces symptômes sont facilement reconnaissables.
Certains sont cependant plus discrets mais tout aussi significatifs.

Chaque symptôme peut, et doit, être repéré et identifié afin d'être certain de
souffrir d'une carence de confiance de soi.

Découvrez dès à présent les principaux symptômes.

Vous cherchez toujours à


expliquer vos actes
Alors que tout va bien, un événement imprévu vient perturber vos habitudes
ou votre tranquillité habituelle.

Prenons un exemple bête et simple. Et pourtant vécu ...

Vous êtes à une soirée avec un groupe d’amis. Et votre verre tombe par terre
et se brise.

Sans que personne ne vous demande pourquoi, vous vous mettez à partir à la
recherche d’explications ou à vous justifier avec des phrases du genre « oh je
suis si fatigué en ce moment ! », « je n’arrive pas à me concentrer ces temps-
ci », « mais le verre était juste sur le bord de la table ! ».
Alors qu'un simple « J'ai deux mains gauches ou quoi ?! » aurait suffi,
dédramatisé la situation et fait sourire l'assistance.

Les personnes confiantes ne se justifient pas à tort ou à raison. Vous êtes un


être humain et l’erreur est humaine. Surtout, cela ne va pas changer qui vous
êtes.

Vous ne vivez pas pleinement


votre vie
Quand vous n’avez pas confiance en vous, vous cherchez à vous protéger
notamment du regard ou du jugement des autres.

Vous prenez de la distance avec les autres et du coup, vous vous retrouvez
aussi privé de leur amour ou de leur soutien.

Vous perdez un temps précieux que vous pourriez passer auprès de ceux que
vous aimez et qui vous aiment.

Vous manquez des opportunités alors que la vie vous propose de nombreuses
expériences enrichissantes.

Vous n’êtes à l’aise avec le


succès
Comme vous vous dépréciez constamment, vous estimez que vous ne méritez
pas de réussir ou d’être reconnu pour votre talent ou vos capacités.

Dès que quelque chose va mal ou ne convient pas à l’image que vous vous
faites, vous commencez par vous blâmer.

C’est une sorte de plaisir sadique que de dire autour de vous que les choses
vont mal dans votre vie.
Vous vous rabaissez
constamment
Voici un signe de manque de confiance en soi évident.

Si vous voulez faire quelque chose, vous vous répétez que vous n’êtes pas
assez doué pour cela, que tout est voué à l’échec.

Vous emmagasinez continuellement des ondes négatives qui deviennent, petit


à petit, des croyances.

Sommaire

Vous n’êtes jamais satisfait de


vous-même
Vous avez beau faire du mieux que vous pouvez, vous passez votre temps à
vous plaindre.

Dès qu’une situation se présente à vous, vous ne voyez jamais le verre à


moitié plein. Vous ne voyez que le négatif de la situation. Et vous imaginez ce
qui peut éventuellement survenir. De pire bien sur.

A la longue, ce cynisme ronge votre propre estime de vous-même et érode


votre confiance en vous.
Vous ne vivez pas au présent
Un autre signe du manque de confiance en soi : votre incapacité à vivre le
moment présent.

C’est un symptôme qui se rapproche du fameux « c’était mieux avant ». Ou «


ce sera mieux demain », c'est selon (ma mère aime beaucoup cette variante :)
Ce type de personnes vit toujours en regardant dans son rétroviseur ou en
imaginant le futur. Elle ne pense qu’au passé ou alors s’inquiète du futur.

Jamais elle ne vit le moment présent. Elle en oublie de profiter pleinement de


la vie.

C’est un cercle vicieux qui s’autoalimente et qui vous empêche de sortir de


votre négativité.

Les conséquences du
manque de confiance en soi
Avant de s'intéresser aux conséquences du manque de confiance en soi, il est
intéressant, et important, de noter que certains symptômes vus précédemment
sont aussi autant de conséquences du manque de confiance en soi,
Notamment ne pas vivre pas au présent ou vous rabaisser constamment.

Mais il y a aussi d'autres conséquences ...

Vous vous inquiétez de ce qui


peut arriver ou ne pas marcher
L'anxiété est l’une des conséquences du manque de confiance en soi.
C’est un état émotionnel potentiellement lié au manque de confiance en soi ou
en la vie en général. Tant que vous ne développerez pas votre confiance en
vous, vous vivrez toujours dans l'angoisse et l'anxiété de ce qui peut arriver ou
survenir dans certains domaines de votre vie.

Selon vous, pourquoi êtes-vous anxieux face à telle ou telle situation ? Parce
que vous ne pensez pas avoir une solution ou la capacité pour surmonter
ladite situation.

En développant votre confiance, en vous et en la vie, vous surmonterez


l’anxiété car vous aurez la ferme assurance de pouvoir résoudre toutes les
épreuves qui se présenteront à vous.

Vous êtes incapable de vous


affirmer
Être incapable de s'affirmer et d'exprimer son point de vue, même, et surtout,
quand on ne partage pas les idées et les opinions des autres.

Les personnes qui souffrent du manque de confiance en soi n'arrivent


malheureusement pas à exprimer et affirmer leur opinion en société. De
peur de ne pas plaire aux autres ou de se confronter à d'autres personnes qui
ne partagent pas leurs points de vue.
Ainsi, au lieu d'être le berger qui dirige le troupeau, elles deviennent les brebis
et se laissent conduire par d'autres personnes qui ne partagent pas leurs
valeurs.

Sommaire
Vous passez à côté de belles
opportunités
Que ce soit au niveau des relations, amoureuses et personnelles, ou des
affaires, quand vous manquez de confiance en soi, vous laissez passer
toutes les belles opportunités qui se présentent à lui.
Pourquoi ?

Parce que vous avez peur de prendre des risques ou d'échouer. Vous vous
dites tout le temps que vous n'y arriverez jamais, que vous n'avez pas
compétences ou les capacités, que telle chose est trop belle pour être
réalisable. Surtout par vous.

Ainsi des opportunités, qui auraient pu contribuer à changer votre vie pour le
meilleur, passent sans que vous n’en profitiez.

Vous stagnez et végétez, vous


n'évoluez pas
Ces mots sont un peu forts. Mais je les ai choisis volontairement. Et ils ne sont
pas loin d'une certaine vérité ...

En fait, ils représentent la conséquence logique et directe des 3 points


précédents.

Vous n'allez pas vers les autres, vous n'osez prendre la parole, vous ne
saisissez pas les opportunités qui se présentent, vous stagnez et vous vous
contentez de ce que vous êtes et avez.

Vous végétez.
Tout cela parce que vous n'avez pas confiance en vous.

Cela est d'autant plus vrai dans la vie professionnelle. Le manque de


confiance en soi au travail a souvent des conséquences néfastes : conserver
la même fonction dans la même entreprise, occuper une fonction non désirée,
ne pas augmenter son pouvoir d'achat, se retrouver au chômage. Tout cela
parce que le manque de confiance amène à ne pas évoluer et à laisser passer
des opportunités.

Les problèmes physiques


On le dit très peu. Mais les mystérieuses douleurs physiques sont l'une
des conséquences du manque de confiance en soi. La plupart de temps,
ces douleurs se manifestent au niveau de l'estomac ou de la poitrine. Et les
visites médicales ne déterminent rien sur ces douleurs physiques.
Sans parler des mains moites, de la bouche sèche, du coup de chaud et des
aisselles qui suintent ...

Votre mental et votre corps sont extrêmement liés l'un à l'autre. Si vous
rencontrez ce genre de problème, en développant votre confiance en soi vous
vous rendrez compte que ces douleurs corporelles mystérieuses disparaîtront.

Conclusion
Vous le voyez, les symptômes et les conséquences du manque de
confiance en soi sont variées, désagréables et néfastes.
J'imagine que vous les reconnaissez aisément et que vous comprenez de quoi
je parle. Mais mettre des mots sur des sensations et des émotions, aussi
difficile cela soit-il, est essentiel pour retrouver confiance en soi.
Les 6 clés de la confiance en soi

1) la vie consciente
Respecter les faits, être présent à ce que l’on est en train
d’accomplir, curieux et ouvert à ce qui nous entoure, nous
intéresse, nous touche ou nous enrichit.

2) L’acceptation de soi

Se donner la permission et avoir le courage de s’approprier


nos pensées, nos émotions et nos actions, sans s’en
échapper, ni les nier ou les dénigrer.

3) La responsabilité de soi

Réaliser que nous sommes les créateurs de nos choix


et actions, que nous sommes responsables de
l’aboutissement de nos projets. Se poser la question : "
Que faut-il faire ? ", et non : " Qui faut-il blâmer ? ".
Personne ne va venir nous sauver de notre vie.

4) L’affirmation de soi
Etre authentique dans nos rencontres, refuser de fausser la
réalité de qui nous sommes pour éviter la désapprobation.

5) L’identification de nos objets


Discerner, à court et long terme, quelles sont les actions
nécessaires ou les comportements adéquats pour atteindre
nos buts. Vérifier chaque étape pour être sûr de rester dans
le bon axe. Observer les résultats pour reconnaître ce qui a
besoin de changer, puis s’ajuster.

6) L’intégrité personnelle

Vivre en harmonie entre ce que nous savons, ce que nous


professons et ce que nous vivons. Dire la vérité, tenir nos
engagements et montrer l’exemple pour les valeurs que
nous admirons.

 https://www.psy-coach.fr/manque-de-confiance-en-soi/

Les thérapies efficaces pour retrouver confiance


en soi
Le manque de confiance en soi ? En parler ne sert à rien. On vous a déjà dit que vous
valiez le coup et chaque fois vous en avez douté. Et plus on vous le disait et plus vous en
doutiez. C’est le cœur du mécanisme du manque de confiance en soi. Les preuves, les
arguments, l’écoute ne suffisent généralement pas pour apprendre ou retrouver la
confiance en soi.

Cependant stratégies thérapeutiques existent pour retrouver l’estime de soi. Efficaces,


elles ont aussi le mérite primordiale de s’envisager dans un horizon thérapeutique bref car
il n’est pas acceptable de rester pendant des années dans un état de souffrance
psychologique.

Des statistiques, certaines disponibles sur le net, ont été publiées par des psychologues.
Elles permettent de comparer l’efficacité des différentes thérapies sur des problématiques
proches. Ces statistiques, corroborées par mon expérience de psy traitant le manque de
confiance en soi, m’invitent à dresser la liste suivante, assez similaire d’ailleurs à celle que
j’ai pu développer pour la timidité.
 Thérapie systémique
 Hypnothérapie
 Gestalt thérapie
Sommaire

PNL
 TCC (Thérapies Cognitives et Comportementales)
Combinées, je les utilise dans le cadre de programmes courts strictement adaptées,
elles permettent d’obtenir des résultats notables dans le cadre d’un horizon
thérapeutique relativement bref de cinq à dix séances.

MAIGRIR

Les sites de référence :


https://www.grazia.fr/
https://www.femina.fr/

https://www.passeportsante.net/fr
https://www.topsante.com

Recherche 1 > Pourquoi maigrir ?

Recherche 2 > Raison à ne pas y parvenir à maigrir

Recherche 3 > Les erreurs à éviter pour bien maigrir

 https://www.grazia.fr/beaute/forme-minceur/maigrir-10-raisons-de-
commencer-un-regime-sans-plus-tarder-820158

On a toutes nos raisons de vouloir suivre un


régime. Et vous, pourquoi voulez vous maigrir.
Par Clémence Rigny Le 01 août 2016 mis à jour 08 août 2016

 BEAUTÉ
 FORME ET MINCEUR
On est beaucoup à avoir envie de perdre du poids…
Mais pas toutes pour les mêmes raisons ! Avant de vous
lancer dans un régime, demandez-vous si vos intentions
sont bonnes. Voulez-vous maigrir pour votre santé, pour
votre confiance en vous, pour vous améliorer en sport ?
Voici une liste des raisons acceptables de faire régime.
Maigrir pour sa santé
C’est évidemment la raison la plus importante. Vous êtes en
surpoids et votre médecin vous conseille de vous débarrasser de
quelques kilos pour améliorer votre état général ? Dans ce cas,
c’est sérieux : commencez votre régime sans plus tarder.

Un régime pour se sentir belle


Il s’agit probablement de la raison la plus fréquente : on a envie
de maigrir pour s’aimer dans le miroir, pour renvoyer une image
qui correspond à nos envies. C’est un but parfaitement valable,
mais attention à ne pas soumettre votre corps à des privations
inutiles et à suivre votre régime dans de bonnes conditions.

Maigrir pour exceller en sport


Vous pratiquez le volley, la natation ou la course à pied, mais
vous avez l’impression d’avoir atteint vos limites ? Parfois,
un régime amaigrissant peut être une bonne manière de devenir
plus rapide, plus légère, et d’améliorer vos performances.

Un régime pour rééquilibrer votre alimentation


Maigrir, c’est bien, mais améliorer son alimentation de manière
générale, c’est mieux. Un régime est souvent l’occasion de
commencer à manger de manière plus équilibrée… et de garder
la ligne sur le long terme !

Maigrir pour se reprendre en main


Après un événement difficile (rupture, divorce, licenciement, etc.),
le régime peut être une manière de reprendre le contrôle sur votre
image et de prouver au monde (et à vous-même) que vous ne
vous laissez pas sombrer.

Reprendre confiance en soi grâce à un régime


Vous n’êtes pas au top de votre forme en ce moment ? Si vous
avez quelques kilos en trop, maigrir pourrait vous aider à
reprendre le dessus et à vous sentir plus à l’aise, notamment lors
d’un entretien d’embauche, d’une présentation, d’une conférence,
etc.

Maigrir pour pouvoir porter ce qu’on veut


Pour les fans de shopping, c’est évidemment une raison
importante de commencer un régime ! En attendant que les
marques les plus populaires élargissent leur gamme de
vêtements dans toutes les tailles…

Suivre un régime avant un événement important


Vous êtes sur le point de vous marier, de célébrer votre
anniversaire ou de participer à une fête importante ? Il n’est pas
rare de faire un petit régime avant l’événement, histoire de
pouvoir briller en société !

Se prouver qu’on est capable de maigrir


C’est un défi comme un autre : maigrir demande une grande force
de caractère. Malgré tout, inutile de faire un régime de principe :
ne vous lancez ce défi que si vous avez réellement des kilos qui
vous gênent.

Et si on faisait un régime pour la peau ?


On l’oublie parfois, mais améliorer son alimentation permet aussi
de mieux hydrater sa peau, de se débarrasser de bien des
boutons et petites imperfections cutanées. Dans ce domaine, un
régime adapté peut faire des miracles !

 https://www.passeportsante.net/fr/Communaute/Blogue/Fiche.aspx?doc
=pourquoi-vous-ne-maigrissez-pas

Malgré une bonne hygiène de vie, certaines personnes n’arrivent pas à perdre
du poids. Avant d’effectuer le moindre changement alimentaire, il est important
de trouver la

Sommaire
source de ces livres en trop et ce qui rend la perte difficile. Voici donc 15
raisons qui peuvent expliquer votre difficulté à maigrir.

1- Vous mangez ou grignotez sans égard à vos signaux de faim et de satiété.

Beaucoup de gens, particulièrement ceux en surpoids, avouent ne presque jamais


ressentir la faim. Ce qui signifie qu’ils mangent presque toujours avant qu’un besoin
physiologique de faim se manifeste (petit creux, gargouillement, ventre vide, etc.).
L’heure, les circonstances (fêtes, vacances, etc.), les émotions positives ou
négatives, la peur d’avoir trop faim sont devenus leurs

raisons de manger. Le problème quand on mange sans avoir faim, c’est qu’on ne sait
pas quand s’arrêter. La satiété ou le rassasiement se ressent uniquement quand on
a faim. Pour plusieurs personnes, il faut revenir à la base et écouter ses signaux de
faim et satiété pour mieux gérer son poids.

2- Vous alternez entre des périodes de restriction et de laisser-aller


alimentaires.

Tous les lundis, ou après les vacances, vous avez de nouvelles résolutions et
décider de manger « très santé » et en petite quantité toute la semaine. Il se peut
même que vous fassiez fie des sensations de faim. Les weekends venus ou les
vacances, la routine du travail étant terminé, vous vous laissez aller et mangez ce qui
vous tente sans égard à votre faim et satiété sous prétexte que c’est les vacances
mais aussi et surtout parce qu’il est impossible de supporter des restrictions sévères
trop longtemps. Commencez donc dès maintenant à manger raisonnablement 7 jours
sur 7, sans interdits.

3- Vous tentez tous les nouveaux régimes.

Seule une infime proportion de gens ayant perdu du poids suite à un régime
drastique réussit à conserver cette perte. Les autres regagnent les kilos perdus et
même plus! Puisque la majorité des gens reprennent presque tout le poids perdu, ou
plus de poids après s’être livrés à un régime amaigrissant, la propension de se
tourner vers un nouveau régime est forte. C’est ce qu’on appelle le cycle du yoyo
(perte et reprise de poids répétées). Prenez dès aujourd’hui la décision de cesser de
faire des régimes restrictifs que vous ne pourrez tenir à long terme.

4- Vous avez un métabolisme génétiquement bas.

Depuis votre jeunesse, vous avez toujours été sujets à prendre du poids facilement.
Il se peut que votre métabolisme soit plus bas que la moyenne. Dans ces
circonstances, ou bien vous acceptez un surplus de poids et travailler à le maintenir
via une alimentation saine et de l’exercice ou bien vous choisissez de calculer à vie
plus précisément ce que vous mangez afin de parvenir à perdre un peu de poids.

5-Vous utilisez la nourriture comme réconfort ou récompense.

Plusieurs personnes mangent lorsqu’ils ressentent des émotions comme la colère, la


peine, la tristesse pour apaiser leur état ou se récompense avec la nourriture après
un effort ou une réussite. Dans les deux cas, il ne s’agit pas de vrais faims mais de
fausses-faims. Reconnaître ces fausses-faims et trouver un autre moyen que la
nourriture pour passer à travers ou se féliciter est au cœur de la saine gestion de son
poids.

6- Vous manquez de sommeil depuis longtemps.

Il semble que le manque de sommeil favorise la consommation d’aliments riches en


énergie et l’adoption d’habitudes alimentaires non optimales. Une étude faite auprès
de travailleurs japonais sur une durée de 4 ans a démontré que les personnes qui
dormaient moins de 6 heures par nuit consommaient plus d’aliments riches en gras
et mangeaient plus souvent à l’extérieur que les personnes qui dormaient entre 7 et
9 heures par nuit. De plus, ces personnes avaient tendance à sauter le petit-déjeuner
et à grignoter dans la journée. Pour mieux gérer votre poids, il est peut-être temps de
chercher des solutions pour mieux dormir.

7- Vous passez beaucoup d’heures devant les écrans.

Il semble que la prise de poids due au nombre d’heures passées devant la télé ou
l’ordinateur soit plutôt liée à l’augmentation de la consommation de nourriture qu’à la
diminution de l’activité physique. Pour la télévision, L’augmentation de la
consommation de nourriture serait reliée au nombre de publicités alimentaires qui
sont diffusées. Pour ce qui est du travail à l’ordinateur, il est démontré qu’un travail
mental soutenu engendrerait un stress qui nous pousserait à manger au-delà de
notre faim réelle. Aussi, la fatigue intellectuelle pourrait être interprétée comme une
baisse d’énergie due à la faim et non comme une simple fatigue. Pour toutes ces
raisons, il recommandé de ne pas regarder la télévision plus de 2 heures par jour et
de se questionner avant de se précipiter sur un aliment et d’évaluer si nous avons
davantage besoin d’une pause que de manger.

8- Vous cuisinez peu.

Le meilleur moyen pour contrôler la qualité de notre alimentation et la quantité


d’aliments ingurgités est de cuisiner à la maison à partir d’aliments pas ou peu
transformés. Mieux vaut éviter une grande partie des aliments ultra transformés
(repas congelés, céréales très sucrées, boissons sucrées, etc.) parce que leur teneur
en sucre, en gras et en sel joue sur les hormones qui régulent l’appétit. Pour mieux
gérer votre poids, mettez-vous à vos chaudrons!.

9- Vous mangez toujours dans de gros couverts (assiettes, verres, etc.)

Depuis 1960, la grosseur de la vaisselle a augmenté de 36%. La tendance est aux


grandes assiettes carrées, aux verres à vin gigantesques et aux grosses fourchettes.
Ces nouveaux formats peuvent nous inciter à manger

plus. La faute revient à l’illusion de Delboeuf, une illusion d’optique documentée en


1860 par le philosophe belge Franz Joseph Delboeuf qui nous fait percevoir une
quantité insuffisante de nourriture quand celle-ci est placée dans une assiette
beaucoup plus grande que la portion de nourriture. Puisqu’il est difficile de laisser de
la nourriture dans son assiette, il est préférable d’utiliser de plus petites assiettes et
de plus petits verres afin de réduire nos portions et de percevoir une quantité
suffisante.

10- Vous ne prenez jamais de collations et mangez trop au souper.

La collation est souvent suggérée pour mieux gérer son poids. Elle permet d’éviter la
baisse d’énergie entre les repas et d’avoir trop faim au repas suivant. Parfois, l’envie
irrésistible de grignoter provient d’une mauvaise répartition des aliments au cours de
la journée. Il est souvent nécessaire de prendre une collation saine et protéinée (ex.
noix et fruit) au milieu de l’après-midi pour aider à résister à la tentation de grignoter
en soirée. De plus, amener avec soi des collations saines au travail ou dans la
voiture évite de se précipiter sur des aliments non-nutritifs lorsqu’on a faim.

11- Vous ne déjeunez pas du tout

Il n’est pas nécessaire de prendre un gros déjeuner, cela dépend de notre faim, mais
ne pas manger du tout entre le lever et l’heure du lunch affectera notre
consommation de nourriture à la hausse au cours de la journée. De plus, il est
démontré que les gens qui déjeunent comblent mieux leurs besoins nutritionnels
quotidiens. Si vous n’avez pas faim au lever, apportez une collation-déjeuner au
bureau comme un yogourt grec, des céréales muesli et un fruit frais.

12- Vous prenez un médicament qui peut affecter votre métabolisme ou appétit
(Megace, Remeron, Zyprexa, etc.)

Plusieurs médicaments, comme ceux pour traiter la dépression et les crises


d’épilepsie, ont comme effet secondaire une prise de poids. Voilà un autre facteur
jouant contre la perte de poids et son maintien à long terme Même si vous prenez un
médicament qui peut favoriser la prise de poids, n’arrêtez pas de le prendre; parlez à
votre médecin de son effet potentiel sur votre poids et des solutions possibles.

13- Vous n’appréciez pas l’activité physique que vous pratiquez.

Il a été démontré que percevoir l’activité physique comme une corvée augmente
notre consommation de nourriture. Ainsi, après avoir pratiqué un exercice sans
plaisir, nous avons tendance à manger des sucreries, des desserts et des

collations moins saines, et en grande quantité, pour compenser le manque de plaisir


durant l’exercice. Par contre, quelqu’un qui perçoit l’activité physique comme
plaisante, a tendance à faire des choix alimentaires plus sains.

Ce comportement est amplifié par le fait que nous surestimons souvent la dépense
calorique liée à l’exercice. Plusieurs personnes consomment ainsi plus de calories
après un entraînement qu’ils en ont dépensées. Choisissez donc un type d’activité
physique que vous appréciez ou rendez votre activité physique plaisante, que ce soit
en écoutant de la musique ou votre émission de télé préférée, en ralentissant la
cadence ou tout simplement en la voyant comme une pause relaxante.

14- Vous avez un niveau de stress assez élevé depuis une longue période.
L’exposition au stress amène le corps à fabriquer des glucocorticoïdes, des
hormones qui interviennent dans la libération d’énergie. La libération de ces
hormones augmente le niveau d’insuline dans le sang qui sert à faire pénétrer le
sucre dans les cellules du corps. Ce processus favorise une transformation du sucre
en triglycérides, un type de gras, et ce dernier s’accumule dans l’abdomen. Ainsi,
une exposition répétée au stress combinée à une consommation d’aliments riches en
gras et/ou en sucre peut accroître l’accumulation de gras

Sommaire

abdominal et mener à l’obésité. Explorez les façons de diminuer votre stress afin de
moins stocker les calories.

15- Vous ne consommez pas suffisamment d’aliments rassasiants

Le modèle alimentaire le plus associé à un poids santé est un modèle qui


s’apparente au régime méditerranéen et qui comprend beaucoup d’aliments
rassasiants : fruits, légumes, grains entiers, noix, poissons, fruits de mer,
légumineuses, produits laitiers faibles en gras. Inspirez-vous du modèle
méditerranéen pour mieux gérer votre poids et limitez la consommation d’aliments
non-rassasiants comme l’alcool, les breuvages sucrés et les grains raffinés.

En conclusion, plusieurs causes peuvent expliquer votre difficulté à retrouver un


poids d’équilibre. La gestion de son poids se fait en ajustant plusieurs
comportements et en choisissant des changements que nous aimons et qui
conviennent à notre horaire et style de vie, bref des changements qui dureront dans
le temps.

> https://www.femina.fr/article/regime-10-erreurs-a-eviter-pour-mincir

Régime : 10 erreurs à éviter pour mincir


La plupart des régimes bannissent le gras, diabolisent certains aliments, préconisent
les produits light…autant d’interdits qui nous feraient finalement grossir, selon la
diététicienne Hélène Lemaire, auteure de 1001 secrets de minceur. Voici
10 erreurs à éviter pour mincir

S’affamer
L’erreur
Beaucoup de femmes pensent qu’on ne mincit qu’en ne se privant énormément, au point
d’avoir le ventre qui gargouille et l’estomac qui se crispe. Elles ont tout faux. Car le
corps, machine parfaitement huilée, s’adapte sans mal à son environnement. Si bien
qu’en ne mangeant pas assez, on le fait passer en mode « réserve ». Résultat, il se met
au met au ralenti et utilise moins d’énergie pour ses dépenses dites « incompressibles
» -ce que l’on appelle le métabolisme de base. En mettant le corps en situation de
manque, on favorise donc le stockage. Une adaptation d’autant plus importante chez la
femme, « qui a la charge de perpétuer l’espèce », et qui doit donc posséder des
réserves importantes.

A faire
Pour mincir, on contrôlera ses apports énergétiques et son alimentation, mais pas au
point d’avoir très faim.

D'autres conseils dans 1001 secrets de minceur, d'Hélène Lemaire, aux éditions Prat

Se forcer à manger

L’erreur
A force de se plier aux exigences des régimes, on en oublierait presque que le respect
de nos sensations naturelles est le meilleur garant d’un poids stable. S’il est préférable
de manger le matin –pour ne pas grignoter dans la journée- il ne faut, pour autant, pas
se forcer, si l’appétit est vraiment au point mort. Selon la même logique, on ne se forcera
pas, non plus, à manger à heures fixes.

A faire
On se contentera d'écouter son corps et de se nourrir qu’au retour de l’appétit, comme le
préconise la chrononutrition.

D'autres conseils dans 1001 secrets de minceur, d'Hélène Lemaire, aux éditions Prat

Boire trop d’eau, ou pas assez

L’erreur
On l’entend partout, ne pas boire assez peut empêcher de mincir et provoquer de
la rétention d’eau. Pour autant, boire trop d’eau peut aussi provoquer des gonflements !
Si l’on boit vraiment trop, les reins seront « désorientés » et stockeront une partie de
cette eau. Une idée reçue veut aussi que l’eau soit un coupe-faim naturel. Si cela est vrai
dans le cas d’une faim psychologique (due à un stress, un moment de déprime…), ce
n’est pas le cas pour la véritable faim, physique. Si le corps a besoin de nutriments, de
protéines ou de lipides, il ne sera pas satisfait par du liquide. « Votre corps est plus
intelligent que l’on ne vous laisse croire. »
A lire, L'eau en questions

A faire
Pour vérifier si notre apport hydrique est satisfaisant, on tiendra compte :
1) du nombre de passages journaliers aux toilettes (4 fois au minimum, 7 fois au
maximum, très rarement la nuit)
2) de la couleur de l’urine (elle doit être jaune clair, ni plus foncée, ni plus claire).

D'autres conseils dans 1001 secrets de minceur, d'Hélène Lemaire, aux éditions Prat

Ingérer des édulcorants, naturels ou non

L’erreur
Les édulcorants reproduiraient –approximativement- le goût du sucre, sans effets
néfastes sur notre silhouette ? Quand une histoire est trop belle, c’est qu’elle n’est pas
réelle. Les papilles ne sachant pas faire la différence entre le vrai sucre et ses doublures
presque dépourvues de calories, elles déclenchent le processus classique d’assimilation
des glucides. Le corps, pour les digérer, sécrète de l’insuline. Insuline qui diminue le taux
de sucre dans le sang. Résultat, on se retrouve « en hypoglycémie faute de sucre », ce
qui incite à manger, parfois de manière compulsive. La stévia blanche –en quelque sorte
un concentré du principe sucrant de la plante originelle, la stévia verte- bien que
naturelle, entraîne donc les mêmes effets. Itou du côté des sodas light.

A faire
Diaboliser le sucre ne finira par créer…qu’une forte envie de sucre. Privilégier le « vrai

Sommaire

sucre » au sucre blanc -donc raffiné- qui a perdu les minéraux, oligo-éléments, vitamines
et fibres naturellement présents dans la canne à sucre. On choisira donc du sucre
intégral (ou sucre complet, rapadura, mascobado ou panela), qui ne contient que 80 %
de saccharose, assimilé plus lentement grâce à sa teneur en fibres. On se méfiera du
sucre roux vendu en supermarché, qui n’est en général que du sucre blanc coloré au
caramel.

D'autres conseils dans 1001 secrets de minceur, d'Hélène Lemaire, aux éditions Prat

Ne plus manger de graisses

L’erreur
Non, les graisses ne font pas grossir…tant qu’on ne les ingère pas en excès et qu’on sait
les différencier. Se priver d’un type d’aliment est le meilleur moyen de se frustrer et donc
de craquer. Il est pourtant naturel d’être attirée par le gras. D’abord parce qu’il a participé
à notre survie pendant des millénaires, en nous permettant de faire des réserves. C’est
pourquoi notre « mémoire ancestrale » est tant attirée par lui. Ensuite, parce que le gras
confère une texture dite « palatable », aux aliments : ils sont « moelleux et agréables en
bouche » -contrairement aux fromages allégés cartonneux.

A faire
Pour s’autoriser le gras, on apprend à connaître la grande famille des lipides sur le bout
des doigts :
1) Les lipides structurent les cellules Chaque cellule –sur les dix mille milliards que
nous possédons- possède une membrane faite de…lipides. Pour que nos cellules soient
en bonne santé, il faut donc ingérer du gras, vital pour notre organisme.
2) Les lipides protègent l’organisme Les lipides sont indispensables au corps pour
fabriquer certaines substances –au doux nom d’eicosanoïdes- qui régulent notamment
l’inflammation, les allergies et l’immunité.
3) Acides gras « cis » ou « trans » Les lipides sont constitués d’acides gras. Parmi
eux, on trouve principalement les saturés (sans propriétés nutritionnelles intéressantes),
et les insaturés. Au sein des insaturés, on trouve les acides gras cis (qui sont la forme
naturelle) et les trans (qui se forment à température élevée lors des transformations
industrielles). On évitera les trans (néfastes pour le système cardio-vasculaire), souvent
présents dans le pain de mie, les viennoiseries, les chips et les plats cuisinés. On les
trouve notamment sous les appellations : matières grasses hydrogénées, margarines
végétales… On privilégiera les insaturés, les monoinsaturés (huile d’olive) et les
polyinsaturés (huile de noix).

D'autres conseils dans 1001 secrets de minceur, d'Hélène Lemaire, aux éditions Prat

Ne pas mâcher

L’erreur
Engloutir la nourriture sans la mâcher joue tant sur le transit…que sur la silhouette !

A faire
Bien mastiquer réduit, par essence, les aliments en petits morceaux facilement
digérables (ce qui évite ballonnements et problèmes de digestion). Cela permet aussi de
bien enduire la nourriture de salive, qui détruit certains microbes et permet d’entamer la
digestion. Mais si mâcher permet de bien digérer, cela empêche aussi de trop manger.
Car la mastication permet de manger plus lentement, de déguster, et donc, de mieux
contrôler sa satiété.
A lire, Le régime mastication

D'autres conseils dans 1001 secrets de minceur, d'Hélène Lemaire, aux éditions Prat

Se poser trop d’interdits


L’erreur
« L’interdit crée l’envie », écrit l’auteur. Un phénomène bien connu des parents qui, à
peine ont-ils empêché leur enfant de toucher à un objet, le voient quelques minutes plus
tard en train de le manipuler. Les régimes, en diabolisant certains aliments à bannir
complètement, sont souvent les premiers responsables des grignotages nocturnes et
autres orgies boulimiques. La frustration est telle qu’elle conduit à ingérer de la
nourriture de manière compulsive, sans rapport avec ses besoins physiologiques réels.
L’auteur explique même que « plus les privations ont été fortes, plus les compensations
seront importantes » (c'est le fameux effet yo-yo).

A faire
Garder en tête qu’aucun aliment ne fait grossir ou maigrir en soi. Seule la quantité
consommée aura un impact sur notre silhouette. On peut grossir en se gavant de salade
et mincir en picorant du saucisson. Il s’agit d’adapter son alimentation à son appétit et à
ses envies (qui varient chaque jour), en écoutant les besoins profonds de notre corps.
On tentera donc de réintroduite les aliments « interdits », en évitant d’aller au-delà de
son rassasiement.

D'autres conseils dans 1001 secrets de minceur, d'Hélène Lemaire, aux éditions Prat

Manger devant un écran

L’erreur
Après une journée de dur labeur, il est très tentant de manger devant un écran de
télévision ou d’ordinateur. Pourtant, ces technologies, en nous captivant, nous «
détournent de nos signaux internes ». Résultat, nous ne mangeons plus en fonction de
notre faim, mais jusqu’à ce que l’assiette soit vide. Il en va de même pour le téléphone,
la lecture d’un magazine...
A lire, Conditionnés pour trop manger
A faire
Celles qui ne peuvent vraiment pas s’empêcher de regarder un écran en se nourrissant
se contenteront de le faire uniquement entre les bouchées, jamais la bouche pleine. Les
autres essaieront de se concentrer pleinement sur leur assiette, en savourant le goût, la
texture et les odeurs de chaque aliment.

D'autres conseils dans 1001 secrets de minceur, d'Hélène Lemaire, aux éditions Prat

Etre obsédée par un poids idéal

L’erreur
Tout le monde n’a pas les yeux verts ou les cheveux bruns. Il en va de même pour la
corpulence. Si l’exercice physique et une alimentation équilibrée permettent de ne pas
être trop enveloppée, la nature, qui aime la diversité, crée des rondes, des minces, des
grosses, des maigres, des petites, des grandes… Chacun tend naturellement vers
son poids de forme, c’est-à-dire celui que l’on pèse lorsqu’on écoute parfaitement ses
sensations alimentaires. Certaines auront des hanches, d’autres des fesses, d’autres
encore pas assez de cuisses…Or, pour être en-dessous de son propre poids de forme, il
faut constamment se priver. Une discipline de fer à laquelle peu de personnes savent se
plier à vie. La majorité d’entre elles seront frustrées, craqueront. Et grossiront.

A faire
Accepter sa corpulence naturelle –même si des ajustements sont possibles. Et ne plus
se peser. Le poids, tout relatif, dépend en effet de l’âge, de la taille, de la masse grasse,
de la masse maigre, de l’eau que l’on a bue ou éliminée… L’étalon ne doit pas être le
poids, mais le volume. Car, hormis votre balance, qui se souciera de savoir que vous
avez pris ou perdu 2 kilos, si cela ne se voit absolument pas ? On choisira donc un
vêtement témoin, qui nous serre un peu, pour juger de des résultats de notre
rééquilibrage alimentaire.

D'autres conseils dans 1001 secrets de minceur, d'Hélène Lemaire, aux éditions Prat

Manger comme son homme

L’erreur
En mangeant la même chose que son partenaire on pense, à tort que ce même apport
calorique aura un effet identique sur notre silhouette à tous les deux. Malheureusement,
il n’en est rien. Dame nature a doté nos hommes d’hormones qui accentuent la
fabrication du muscle et « diminuent la quantité de cellules adipeuses au niveau des
fesses et des hanches » -bien qu’à un certain âge, ou avec le surpoids, leur bedaine ne
soit pas épargnée par le gras. Au contraire, les hormones féminines stimulent la
production de cellules adipeuses plus grosses, situées sur les fesses et les hanches.
Résultat, la femme stocke…deux fois plus facilement la graisse que l’homme (pour faire
face à une éventuelle grossesse et à l’allaitement). La perte de poids est également plus
difficile, car, toujours selon la même logique, la femme est plus équipée face au manque
et aux périodes de disette.

A faire
Là encore, on essaiera –tant que possible- de ne se concentrer que sur ses propres
sensations. Si on n’a plus faim et que l’on continue de manger inconsciemment parce
que notre homme fait de même, on court à la catastrophe. De même, tant pis si notre
partenaire nous accuse de ne pas être une bonne vivante parce qu’on ne finit pas le
paquet de chips quand lui en a mangé deux. On pense à soi. Et uniquement à soi.

 https://www.topsante.com/minceur/regimes-minceur/autres-
regimes/une-nouvelle-therapie-pourrait-aider-a-perdre-du-poids-613585

Sommaire

Accepter les sentiments négatifs


qui accompagnent un régime
pourrait aider à déloger plus
efficacement les kilos que les
méthodes classiques.
Démotivation, fatigue, envie de grignoter, morosité. Ces sentiments

désagréables et d'inconfort qui accompagnent souvent un régime

devraient être pleinement acceptés pour atteindre cet objectif de perte de

poids. Cette méthode psychologique basée sur l'acceptation des effets

déplaisants du régime serait un moyen plus efficace que les thérapies

classiques pour mincir durablement.

La revue Obesity détaille dans une étude l'intérêt de cette nouvelle

"thérapie" pour perdre du poids. Les chercheurs de l'université de Drexel à

Philadelphie aux Etats-Unis ont pu tester les atouts de leur nouvelle

méthode qu'ils ont appelée Acceptance based-behavioral treatment ou

méthode ABT (traitement comportemental basé sur l'acceptation).


Les psychologues ont comparé l'impact de cette thérapie avec celui des

méthodes classiques de perte de poids basées uniquement sur un régime

et de l'activité physique. Un panel de 200 personnes obèses ou en surpoids

a été observé après avoir été divisé en deux groupes. Un groupe a suivi un

programme classique pour maigrir tandis que l'autre a suivi la même

méthode avec en complément la thérapie ABT.

Résultat au bout d'un an, le groupe ABT a perdu 13.3 % de son poids

contre 9.8 % pour le groupe sous traitement classique. Pour les

chercheurs, cela suggère que la méthode ABT constitue une stratégie

sérieuse pour aider à lutter plus efficacement contre l'obésité. Le premier

groupe a réussi à perdre plus de poids après la fin du régime sur l'année

suivante, comparé au groupe "classique".

A S S U ME R S E S C H O I X A L I M E NT A I R E S E T L E M A N Q U E D E
PLAISIR ASSOCIÉ AU RÉGIME
Le secret de l'efficacité de la méthode ABT repose sur plusieurs principes. Il

est demandé aux candidats de choisir et de se concentrer sur des objectifs

sous-jacents à ce régime comme le fait de vieillir en bonne santé ou d'être

un grand-parent en bonne santé par exemple. Autre effort à fournir, il est

demandé de reconnaître et d'assumer l'inconfort et les désagréments

quotidiens qu'entraîne ce régime, par exemple : devoir gérer les écarts et

la frustration, accepter la fatigue, troquer la télé contre une activité


physique, craquer pour un fruit plutôt qu'un biscuit... Les décisions et choix

relatifs à la prise alimentaire devaient être faits en pleine conscience.

"Les traitements standards de l'obésité insistent sur l'importance de

diminuer les apports caloriques et d'augmenter le sport, mais sont difficiles

à tenir sur le long terme", observe Evan Forman, psychologue à l'université

de Drexel et auteur de l'étude, cité par Livescience. A l'inverse, "la méthode

ABT enseigne comme l'auto-

Sommaire

gestion de ses facultés pour maigrir peut aider à poursuivre les choix

alimentaires sains après les régimes, conclut le chercheur.

EMOTIONS

Les sites de référence :


https://sante.journaldesfemmes.com/
https://www.huffingtonpost.fr/
https://www.penser-et-agir.fr/

https://deman-hypnose.com/

Recherche 1 > Pourquoi mieux gérer ses émotions ?

Recherche 2 > 11 signes de manque d'intelligence émotionnelle

Recherche 3 > Comment gérer ses émotions ?


Recherche 4 > Thérapie gérer ses émotions

**********************************************************

 https://sante.journaldesfemmes.com/psychologie/bien-

etre/conseil/apprenez-a-maitriser-vos-emotions/pourquoi-apprendre-

a-gerer-ses-emotions.shtml

Bon, c'est vrai, vous partez parfois pleurer aux toilettes ou il vous arrive de briser un
ou deux crayons, de rage, de temps en temps... Et alors, pourquoi réfréner ces
pulsions naturelles qui, au fond, semblent vous procurer un certain soulagement, au
moins temporaire ?

Tout simplement parce que ces émotions, poussées à leur paroxysme, peuvent
devenir destructrices. Pour l'esprit comme pour le corps. En laissant les émotions
s'exprimer délibérément, dans toute leur puissance, on ouvre la porte à un cercle
vicieux : sans barrières, elles s'auto-alimentent et peuvent prendre des proportions
non souhaitables.
La colère à son paroxysme est dangereuse dans l'immédiat, car elle peut conduire
à la violence, verbale ou même physique. Une violence qui, même si elle ne nuit
pas nécessairement à autrui, risque de toute façon d'être interprétée très
négativement.
De même, la peur, transformée en terreur, est néfaste, aussi bien
physiquement que psychologiquement. On peut littéralement mourir de peur, pour
peu que l'on ne soit pas dans une excellente condition physique : le cœur, trop
sollicité à cause des palpitations, peut tout simplement lâcher, complètement épuisé.
Au-delà de ces conséquences tout de même rarissimes, l'effroi paralyse souvent, ce
qui n'est pas forcément une bonne idée lorsque l'on se retrouve en situation de
danger. Sans compter qu'à long terme, être "peureux" contribue souvent à miner la
confiance en soi.
Ce n'est pas une surprise, une tristesse "exagérée" est également dangereuse.
Déjà parce qu'elle ternit l'ensemble de la vie de sa victime (ne dit-on pas que
lorsqu'un seul être nous manque, tout est dépeuplé ?). Mais aussi parce que la
tristesse peut engendrer la dépression, qui elle-même constitue un facteur de risque
de suicide. Sans aller aussi loin, une grande tristesse provoque souvent une sorte
d'apathie, un manque de goût pour les choses qui nous plaisaient auparavant, un
manque d'allant.
Avoir la honte de sa vie n'est pas aussi grave, heureusement. D'ailleurs, il paraît
que le ridicule ne tue pas. Mais cela peut tout de même être assez destructeur pour
l 'ego, surtout s'il s'agit d'une sensation persistante. Sans compter que la fébrilité
provoquée par une honte liée à un incident risque de vous faire perdre vos moyens
et là, ce sont les bourdes en série assurées !
 https://www.huffingtonpost.fr/dr-travis-bradberry/11-signes-que-vous-

manquez-dintelligence-emotionnelle_a_21893631/

11 signes que vous manquez d'intelligence émotionnelle


Contrairement au QI, le QE est très malléable. L’intelligence
émotionnelle, c’est ce “petit quelque chose” d’intangible en
chacun de nous.


 Auteur du best-seller Emotional Intelligence 2.0 et président de TalentSmart, premier
fournisseur mondial d'intelligence émotionnelle
L'intelligence émotionnelle est un choix et une discipline, pas une qualité innée propre à quelques
chanceux. Le Dr Travis Bradberry vous explique comment repérer les comportements caractéristiques d'un
faible QE et tirer parti de cette faculté.
Quand l'existence de l'intelligence émotionnelle (ou QE) a été révélée pour la première fois, elle est
apparue comme le chaînon manquant pour expliquer ce fait étrange: dans 70% des cas, des personnes au
QI moyen se montrent plus performantes que d'autres au QI plus élevé. Cette anomalie a totalement remis
en cause l'idée, globalement acceptée, selon laquelle le QI était l'unique cause du succès.

Aujourd'hui, des décennies de recherches désignent l'intelligence émotionnelle comme le facteur critique
différenciant les meilleurs éléments de la majorité. Le lien de causalité est si net que 90% des personnes
les plus performantes ont un quotient émotionnel élevé.

"Bien sûr, l'intelligence émotionnelle est plus rare que l'intelligence classique mais, selon mon
expérience, elle est en fait plus importante pour façonner un leader. On ne peut pas se contenter de
l'ignorer." – Jack Welch
LA SUITE APRÈS CETTE PUBLICITÉ

L'intelligence émotionnelle, c'est ce "petit quelque chose" d'intangible en chacun de nous. Elle affecte notre
manière de nous comporter, de gérer les complexités de la vie sociale et de prendre les décisions
personnelles qui mèneront aux meilleurs résultats.

Malgré la grande importance du QE, son aspect intangible empêche bien souvent de savoir si l'on en à quel
point on en est pourvu et comment l'améliorer dans le cas contraire. Vous pouvez toujours faire un test,
validé scientifiquement, comme celui que je fournis avec le livre Emotional Intelligence 2.0.
Malheureusement, les tests de QE de qualité (scientifiques) ne sont pas gratuits. J'ai donc analysé les
données concernant les sujets testés par TalentSmart – plus d'un million de personnes – afin d'identifier les
comportements caractéristiques d'une faible intelligence émotionnelle. Ce sont ces réactions-là qu'il serait
judicieux d'éliminer.

1. Vous stressez facilement


Des sentiments refoulés ont vite tendance à faire naître tension, stress et anxiété. Les émotions que l'on
réprime mettent l'esprit et le corps sous pression. Une intelligence émotionnelle développée aide à gérer le
stress en vous permettant de repérer et de gérer les situations difficiles avant qu'elles dégénèrent.
Ceux qui ne se servent pas de leur intelligence émotionnelle risquent de recourir à des moyens moins
efficaces pour gérer leurs humeurs. Ils sont deux fois plus susceptibles de connaître l'anxiété, la
dépression, l'addiction et même les pensées suicidaires.

2. Vous avez du mal à vous affirmer


Les gens au QE élevé possèdent à la fois une bonne éducation, de l'empathie et de la bienveillance, mais
aussi la capacité de s'affirmer et de poser des limites. Cet équilibre délicat est l'idéal pour bien gérer les
conflits. La plupart des gens, quand on les contrarie, adoptent automatiquement une attitude passive ou
agressive. Les personnes émotionnellement intelligentes, elles, demeurent fermes et posées en évitant les
réactions émotives excessives. Cela leur permet de neutraliser les individus au caractère difficile, voire
toxique, sans s'en faire des ennemis.

3. Votre vocabulaire émotionnel est limité


Nous ressentons tous des émotions, mais seuls 36% des gens savent les identifier avec précision dès
qu'elles se produisent, selon nos études. Cela pose problème, car les émotions mal définies sont souvent
aussi mal comprises, ce qui entraîne des décisions irrationnelles et des actions contre-productives. Les
personnes au QE élevé contrôlent leurs émotions parce qu'elles les comprennent, et usent d'un lexique
émotionnel développé pour les décrire. Là où la majorité dira simplement qu'elle se sent "mal", les
personnes émotionnellement intelligentes sauront définir si elles sont actuellement "irritables", "frustrées",
"oppressées" ou "anxieuses". Plus les termes choisis sont précis, plus on est capable d'appréhender ce
que l'on ressent exactement, pourquoi et ce qu'il faut faire pour y remédier.

4. Vous portez des jugements rapides et les défendez avec véhémence


Les personnes au QE faible se font très vite une opinion, puis montrent un biais de confirmation, c'est-à-
dire qu'elles ne relèvent que les arguments allant dans leur sens, en ignorant tout élément contradictoire.
Le plus souvent, elles défendront leur position bec et ongles. Cette tendance est particulièrement
dangereuse chez les dirigeants, dont les idées irraisonnées définissent la stratégie de toute une équipe.
Les personnes émotionnellement intelligentes laissent le temps à leur réflexion de mûrir, conscientes que
leur première réaction est dictée par l'émotion. Elles permettent à leur pensée de se développer, tenant
compte des conséquences et des objections éventuelles. Puis elles communiquent l'idée ainsi élaborée de
la manière la plus efficace possible, sans oublier de considérer les besoins et les opinions de leurs
interlocuteurs.

5. Vous êtes rancunier


Les émotions négatives provoquées par une rancune tenace ne sont en fait qu'une réaction au stress. Le
simple fait de repenser à un événement précis provoque dans votre corps une réaction d'alarme, réflexe de
survie qui, face à une menace, vous pousse au combat ou à la fuite. Quand la menace en question est
imminente, ce mécanisme est essentiel pour votre sécurité; si elle est déjà ancienne, nourrir ce stress est
néfaste pour votre corps et peut même à long terme avoir de graves conséquences sur votre santé. En fait,
les chercheurs de l'université d'Emory ont démontré que nourrir des sentiments de stress était susceptible
de faire monter la tension artérielle et de provoquer des maladies cardiovasculaires. S'accrocher à sa
rancune, c'est s'accrocher à son stress, ce que les personnes émotionnellement intelligentes prennent
toujours soin d'éviter. Tourner la page, au contraire, offre non seulement un soulagement, mais aussi des
bienfaits pour votre santé.

6. Vous n'oubliez jamais vos erreurs


Les personnes émotionnellement intelligentes prennent du recul vis-à-vis de leurs erreurs, sans les oublier
pour autant. En gardant une distance raisonnable, mais pas au point de perdre les faits de vue, elles sont
en mesure d'adapter leur comportement afin de mieux réussir à l'avenir. Il faut une grande conscience de
soi pour trouver cet équilibre entre mémoire et rumination. Trop ruminer vos erreurs vous rendra anxieux et
craintif, alors que les oublier complètement vous condamnera à les répéter. C'est votre faculté à changer
vos erreurs en opportunités de progrès qui vous permettra de trouver un juste milieu. Elle vous rendra
d'autant plus apte à vous relever tout de suite après chaque chute.

7. Vous vous sentez souvent incompris


Quand on manque d'intelligence émotionnelle, il est difficile de comprendre comment les autres nous
perçoivent. Si vous vous sentez incompris, c'est parce que vous ne parvenez pas à faire passer vos
messages de manière intelligible pour autrui. Les personnes émotionnellement intelligentes savent que
même avec de l'expérience elles ne peuvent communiquer toutes leurs idées à la perfection. Elles
remarquent que leurs interlocuteurs ne comprennent pas ce qu'elles veulent dire, adaptent leur approche et
exposent leur pensée avec plus de clarté.
8. Vous ne connaissez pas vos points sensibles
On a tous des points sensibles: certaines personnes ou situations nous poussent à bout et provoquent chez
nous des réactions impulsives. Les personnes émotionnellement intelligentes analysent ces facteurs et les
anticipent en évitant les gens et les situations "à risque".

9. Vous ne vous mettez jamais en colère


L'intelligence émotionnelle, ce n'est pas être gentil. C'est savoir gérer ses émotions pour obtenir les
meilleurs résultats possibles, ce qui implique parfois de le montrer quand on est triste, frustré ou
bouleversé. Cacher constamment ses émotions sous un masque joyeux et positif n'est ni sincère ni
constructif. Les personnes émotionnellement intelligentes savent exprimer leurs émotions négatives ou
positives, en fonction de la situation.

10. Vous blâmez les autres pour les réactions qu'ils provoquent chez vous
Les émotions sont un processus interne. Il est tentant de pointer du doigt les actions des autres pour
justifier son état émotionnel, mais il vaut mieux en assumer la responsabilité. Personne ne peut vous forcer
à ressentir quoi que ce soit contre votre gré. Croire le contraire ne fera que vous freiner.

11. Vous vous vexez facilement


Quand on sait exactement qui on est, les autres ont bien du mal à dire ou faire quoi que ce soit qui puisse
nous faire sortir de nos gonds. Les personnes émotionnellement intelligentes sont dotées d'assurance et
d'ouverture d'esprit, ce qui les rend bien plus résistantes. Cela permet même de faire preuve d'autodérision
ou d'accepter plus facilement les plaisanteries des autres, si on est capable de faire la différence entre
humour et humiliation.

Les leçons à en tirer


Contrairement au QI, le QE est extrêmement malléable. Lorsqu'on entraîne son cerveau par la pratique
répétée de comportements émotionnellement intelligents, il bâtit les réseaux nécessaires afin de les rendre
automatiques. Plus le cerveau consolide l'usage de ces nouveaux comportements, plus les connexions

Sommaire
dont dépendaient nos habitudes néfastes disparaissent. Vous commencerez vite à faire preuve
d'intelligence émotionnelle en réaction à votre environnement, de manière tout à fait naturelle.

N'hésitez pas à vous exprimer dans un commentaire: je m'enrichis tout autant à votre contact que vous au
mien. Si vous voulez en savoir davantage sur l'intelligence émotionnelle, mon livre Emotional Intelligence
2.0 est un bon point de départ.

 https://www.penser-et-agir.fr/gerer-ses-emotions/

Gérer ses émotions pour résoudre les problèmes : voici


les astuces qui marchent !

Les émotions ne sont pas uniquement des états que nous sommes contraints de subir. Il y a quelques

semaines, je vous ai parlé de l’intelligence émotionnelle et l’un des aspects de celle-ci consiste

à gérer ses émotions.


Les émotions peuvent nous aider à résoudre un problème, à prendre une décision, pour peu qu’on y

prête suffisamment attention et qu’on écoute ce qu’elles ont à nous dire. Par leur manifestation, les

émotions visent avant tout à apporter des informations. Il faut les décoder et s’en servir dans les

situations de la vie quotidienne ou au travail.

Voici quelques étapes à suivre pour mieux utiliser vos émotions et développer vos capacités en la

matière.

Gérer ses émotions : commencez par apprendre à les


reconnaître
Dans le flot continu des actions quotidiennes et des obligations, on oublie souvent l’essentiel, son

propre bien-être.

La toute première étape pour gérer ses émotions consiste à être attentif à son propre état émotionnel.

Plutôt que de subir ses émotions, il est possible d’anticiper les choses en étant davantage conscient

de l’émotion qui naît en soi. Maîtriser ses émotions est donc avant tout un acte d’introspection.

Face à une difficulté ou une situation qui suscite en vous des sentiments, posez-vous les questions

suivantes :

 Qu’est-ce que je ressens en ce moment face à ce défi ?


 Avec quelle intensité l’émotion que je ressens se manifeste-t-elle ?
Un cas de figure pour illustrer
Supposons que votre responsable hiérarchique vous demande régulièrement de réaliser une tâche de

toute urgence alors que vous êtes déjà submergé. Vous êtes obligé de laisser ce que vous êtes en

train de faire, au risque de prendre du retard sur des dossiers importants. Votre responsable ne

tardera pas à vous reprocher par la suite.

Dans ce contexte, que ressentez-vous ? Et avec quelle intensité ? Cela vous met-il en colère, vous

rend-il irritable ?

Dans ce type de situation, vous pourriez fermer les yeux sur ce que vous ressentez… vous dire que le

monde du travail est ainsi fait ! Ou alors, vous pouvez considérer que ce type de demande arrive trop

fréquemment. Du coup, il est difficile de maîtriser ses émotions, puisque l’envie vous vent d’exploser.
TÉLÉCHARGER
Dans le premier cas de figure, vous subissez complètement vos émotions. Le problème risque de

s’accroître sans que vous ne compreniez ce qui se passe. Dans le second cas, vous vous rendez

compte que la situation empire au fil du temps. Vous comprenez exactement ce qui se passe en vous,

et vous pouvez agir. Cette façon de faire aide à mieux contrôler ses émotions, et à prendre la bonne

décision.

Pour contrôler ses émotions, on commence donc toujours par les accepter. Vous êtes furieux,

heureux, frustrée, irritée, ébahie, ou enjouée ? Il faut le reconnaître pour bien agir.

2ème étape pour gérer ses émotions : interpréter


correctement le message

La prochaine fois que vous ressentirez de la colère, de la peur, de la jalousie ou de la joie… ne

cherchez pas simplement à savoir comment maîtriser ses émotions. Demandez-vous plutôt : Quel

besoin se cache derrière ce sentiment?

Ces instants d’introspection personnelle permettent de prendre un peu de recul par rapport à

l’émotion, de recueillir certaines informations sur ses besoins et attentes.

Les émotions négatives sont souvent le signe qu’il vous manque quelque chose d’essentiel dans votre

vie, dans votre environnement ou que vous ne tenez pas compte d’un besoin fondamental.

La prise en compte de ses propres besoins et désirs vous permettra de prendre de bonnes

décisions. Vous percevrez la situation sous un angle nouveau. Vous imaginerez une issue plus

sereine et positive à votre situation.

Précisons
vous faites toujours une scène à votre homme quand il rentre après 21 heures. C’est sans doute

parce que vous êtes jalouse. Mais pourquoi l’êtes-vous ? Que révèle cette jalousie ? Serait-ce

parce qu’il a une attitude équivoque envers d’autres femmes ? Est-ce parce que vous manquez de

confiance en vous et avez besoin d’être rassurée ? Ou alors, est-ce parce que vous êtes
possessive ? Celui qui trouve l’origine d’un sentiment récurrent contrôle ses émotions plus

efficacement.

3ème étape pour la gestion de ses émotions : exploiter


ces sentiments pour progresser

Maîtriser ses émotions est un travail quotidien. En effet, on les ressent tous à différents moments du

jour. Il faut donc s’en servir pour mieux vivre. Lorsqu’une émotion est joyeuse, elle peut vous booster

et favoriser le bien-être. Mais certaines émotions comme la peur, le sentiment d’insécurité ou la colère

exigent de résoudre un problème.

Contrôler ses émotions suppose que vous tentiez de résoudre un problème lorsque celle-ci est

passée. Vous savez sans doute que dans la colère, nous disons ou faisons des choses que nous ne

pensons pas. Certaines actions qu’on pose sous le coup de l’émotion peuvent nous porter préjudice.

Alors n’oubliez pas d’utiliser vos émotions intelligemment pour faire la part des choses.

Ceci est valable quelle que soit l’émotion ressentie. Dans un moment de joie euphorique, vous pouvez

faire une promesse que vous regrettez ensuite. Lorsque vous êtes furieux ou jaloux, vous pourriez

blesser vos proches, ou même commettre un crime.

Apprenez donc à agir quand vous êtes suffisamment calme. Si vous avez du mal à exploser par

jalousie, prenez des mesures concrètes : sortez prendre de l’air au lieu de vous disputer avec votre

conjoint. Réfléchissez avant de punir votre enfant au lieu de lui lancer des insultes au visage. Utilisez

les astuces qui suivent pour maîtriser ses émotions quand celles-ci vous submergent. N’oubliez pas

qu’en France, la jalousie est une motivation courante à l’origine de nombreux délits.

Sommaire

Combattez les émotions néfastes !


Certaines émotions profondément ancrées en nous sont en fait des carences, qui indiquent que nous

avons besoin de nous reconstruire affectivement. Pour gérer correctement vos émotions, commencez

par lutter contre ces tendances émotives qui peuvent être destructrices. Il s’agit notamment de :

 L’instabilité: les personnes instables passent d’un sentiment extrême à l’autre. Elles alternent des
périodes de déprime et de bonne humeur. Dans ces conditions, elles peuvent faire preuve
d’imprudence au volant, et devenir irascibles et difficiles à vivre. Une instabilité chronique de ce
type est parfois l’indice d’une maladie psychologique plus profonde comme la schizophrénie. Si
vous constatez que votre humeur est très instable, prenez des mesures concrètes pour vous faire
aider. Autrement, vous aurez beaucoup de mal à gérer vos émotions.
 L’anxiété: une personne anxieuse s’inquiète de tout, et devient vite une plaie pour ses proches et
ses collègues. J’ai grandi avec une tante qui était si anxieuse qu’elle se rendait dans notre salle
pendant les heures de cours, pour s’assurer que son fils allait bien ! Celui qui n’apprend pas à
réduire son anxiété aura toujours du mal à gérer ses émotions. Les 5 étapes contenues dans cet
article permettent justement de venir à bout de cette tendance maladive !
 L’impulsivité : une personne impulsive trahit un manque de patience. En cas de conflit, elle ne
prend donc jamais le temps d’écouter l’autre partie. Une personne aussi réactive conduit de façon
dangereuse, parce qu’elle se laisse dominer par sa colère. Celui qui veut contrôler ses émotions
plus efficacement devrait commencer par être un peu moins impulsif et sanguin.

À vous de jouer !
Si cet article vous a plu, n’hésitez pas à le partager sur vos réseaux sociaux préférés en cliquant sur le

bouton « j’aime » situé juste en dessous.

Pour vous, gérer ses émotions est-il quelque chose d’évident ou de totalement inconnu ? Comment

percevez-vous la façon dont vous pouvez utiliser vos émotions pour résoudre des problèmes ou faire

face à une situation en particulier ?

 https://deman-hypnose.com/l-hypnose/les-applications/gerer-ses-

emotions/

Hypo- ou hyper-sensible
Face à un évènement soudain et inattendu, il peut arriver de perdre son sang froid ou d’avoir les
nerfs qui lâchent ; c’est naturel et tout à fait compréhensible. Mais quand des émotions intenses
et incontrôlables surgissent de manière intempestive, parfois sans qu’on puisse même en trouver
les causes, c’est fatiguant. Au contraire lorsqu’aucun évènement, aussi dramatique soit-il, ne
provoque la moindre émotion, avoir conscience de ce « décalage » peut faire naître un sentiment
de culpabilité.
Dans certaines situations, avoir un excès d’empathie ou d’apathie peut engendrer des effets
indésirables sur notre moral et nos relations sociales. Gérer ses émotions requière une bonne
maîtrise de soi, qu’il est souvent difficile d’obtenir par le seul effort de la conscience. Pour de
meilleurs résultats, il est utile d’apprendre à canaliser ses émotions au niveau de l’inconscient.

Des émotions qui vous ressemblent


Dans une situation donnée, quelle réaction émotionnelle est la plus adéquate et la mieux
proportionnée ? Évidemment, toute réponse à cette question serait subjective. Nous réagissons
tous différemment face aux aléas de la vie, chacun possède une personnalité qui lui est propre et
qu’il convient de respecter.
L’hypnose s’emploie pour rééquilibrer la sensibilité émotionnelle subconsciente, dans le but
d’offrir une réaction émotionnelle adéquate et proportionnée dans chaque situation. En vous
reconnectant à votre sensibilité émotive profonde, vous rétablissez une émotivité qui vous
corresponde vraiment et qui participe à votre épanouissement personnel.
Quelques exemples concrets :

 Maîtriser sa colère : quand quelque chose vous irrite, sachez comment le signifier sans
exploser de rage ni vous laisser ronger de l’intérieur.
 Gérer son stress : la frontière est ténue entre un stress qui dynamise et un stress qui
épuise. Apprenez à mettre votre stress au service de votre efficacité et à ne plus
mélanger stress du travail et stress de la maison.
 Ressentir ses émotions : autorisez-vous à pleurer, à rire, à être déçu, à aimer, à vous
émerveiller,… Soyez en phase avec vous-même et avec les autres.
 Prendre du recul : quand une émotion vous saisit, ne vous laissez pas submerger,
libérez le trop-plein et dosez votre émotion à sa juste mesure, en chaque situation.

*******************************************************************

GERER LE PASSE

Les sites de référence :


http://www.psychologies.com
https://nospensees.fr/

http://www.doctissimo.fr/

Recherche 1 > Pourquoi vivre dans le passe ?

Recherche 2 > Etapes pour ne plus vivre dans le passe

Recherche 3 > Faire la paix avec son passe

Recherche 4 > comment oublier son passe ?

 http://www.psychologies.com/Therapies/Developpement-
personnel/Epanouissement/Articles-et-Dossiers/Je-vis-dans-le-passe

Pourquoi ?
Feuilleter les albums photo de son enfance, évoquer ses souvenirs de lycée
entre anciens élèves, se rappeler ses amours passées, autant de façons de «
prendre conscience de ce que l’on a été et de ce que l’on est devenu, explique
la psychothérapeute Catherine Aimelet-Périssol (auteur de Comment
apprivoiser son crocodile Robert Laffont 2002). Se référer au passé permet de
se repositionner dans le présent et d’anticiper le futur. »

Quel qu’il soit, heureux ou malheureux, le passé est toujours un espace dans
lequel on se reconnaît, une bulle rassurante. Le risque ? Ne plus pouvoir s’en
détacher. Dès lors, on ampute une part de sa personnalité en restant sur ses
acquis et en ne développant pas son potentiel.

Refuser ses émotions


Renoncer au passé, c’est en faire le deuil, un processus émotionnel qui se
décline en plusieurs phases. D’abord le déni : refuser de croire que ce qui a
été ne sera plus. Puis la colère : en "vouloir" au temps qui passe. Ensuite la
peur : « Que va-t-il se passer maintenant ? » Enfin l’acceptation, qui aboutit…
au renoncement. « Les personnes qui vivent accrochées au passé n’arrivent
pas à suivre ce processus, parce qu’elles refusent leurs émotions », explique
le psychothérapeute Olivier Nunge. Selon lui, cette attitude tient souvent à
l’éducation que l’on a reçue enfant : c’est la petite fille à qui l’on a interdit de se
mettre en colère ou le petit garçon à qui l’on a répété qu’« un homme ne doit
pas avoir peur ».

« Tout le monde n’a pas eu la possibilité de faire un juste apprentissage de


ses émotions, c’est-à-dire de les recevoir et de les exprimer quand elles se
présentent à lui. » Résultat : des individus "coincés" dans une émotion –
colère, ressentiment… – et incapables de la dépasser.

Sommaire

Refuser d’oublier
Bien souvent, rester prisonnier de son passé est la preuve que certaines
choses n’ont pas été réglées, qu’un fort traumatisme n’a pas été "digéré" à
temps. Il nous tire vers l’arrière et nous empêche d’avancer. Si le travail de
deuil est toujours difficile à faire, c’est aussi parce qu’il renvoie à la notion de
"finitude", de révolu et, par extension, à l’idée de notre propre mort. Mais aussi
parce que, dans le cas de la disparition d’un proche, par exemple, on pense
que "faire le deuil" reviendrait à "oublier", ce que l’on se refuse à faire.
Inconsciemment, on s’efforce donc de faire survivre cet autre en restant tourné
vers lui, dans le passé.
Refuser la séparation
Derrière l’incapacité à tourner la page se cache une difficulté à "rompre", à
"partir". Les psychanalystes l’apparentent à l’angoisse infantile de la rupture
avec la mère, premier deuil auquel l’enfant est confronté. Quand ce deuil n’a
pas été correctement assimilé, on cherchera, à travers la régression, à se
replonger dans cette relation fusionnelle, soit parce que l’on a le sentiment
d’en avoir été privé, soit parce que, au contraire, on n’en est jamais sorti.
L’absence, réelle ou symbolique, du père en est souvent la cause.

En effet, c’est lui qui, en s’interposant dans la relation mère-enfant, incite ce


dernier à sortir de cette fusion pour se tourner vers le reste du monde. Et c’est
donc lui qui, indirectement, l’aide à s’inscrire dans le présent et à se projeter
vers l’avenir. Qu’il vienne à manquer, et l’enfant restera "collé"
symboliquement à sa mère. Adulte, il vivra avec l’idée qu’« avant, c’était
toujours mieux ».

Témoignage
Annabelle, 40 ans, documentaliste
« A l’âge de 25 ans, j’ai vécu une histoire d’amour, qui s’est soldée par une
rupture brutale après sept ans de vie commune. Je n’avais rien vu venir :
l’homme que j’aimais passionnément est parti du jour au lendemain,
emmenant ses affaires et la plupart des meubles que nous avions choisis
ensemble. Il m’a fallu des années pour m’en sortir. Je ne pensais qu’à lui,
revoyais les moments que nous avions passés ensemble, rêvais de le
rencontrer à nouveau…

L’amour, pour moi, ne pouvait se conjuguer qu’au passé. J’ai dû entrer en


thérapie pour parler de cet homme qui m’obsédait et comprendre ce que je ne
voulais pas “lâcher”. Il y a peu de temps, Je l’ai rencontré en bas de ma rue. Il
était vieilli, avait un peu grossi, et m’a évitée en chuchotant : “Je ne peux pas
te parler, ma femme est très jalouse…” Le revoir ainsi a eu un effet radical :
j’ai enfin tiré un trait sur ce passé idéalisé. »

Se libérer du connu de Jiddu Krishnamurti.


Une exhortation à vivre le présent dans sa totalité, par l’un des plus grands
maîtres contemporains de la spiritualité orientale (LGF, 1995).

Vivre corporellement dans le présent


Le carpe diem n’est pas une pensée, mais une pratique : vivre l’instant
présent, c’est s’y sentir physiquement inscrit. La pratique du sport, la marche,
les exercices de relaxation, la maîtrise de sa respiration, l’éveil des sens…
Toutes ces activités permettent de se réapproprier son corps et de prendre
pleinement conscience de son existence dans l’ici et maintenant.

Créer
La création artistique permet de s’inscrire dans le temps. L’objet que l’on peint
ou sculpte porte la marque d’un progrès auquel on peut se référer pour
prendre conscience de sa propre évolution. La création est également un
moyen efficace de reprendre confiance en soi : elle nous fait découvrir que l’on
peut produire de la nouveauté.

Lister ses peurs


Il est impossible de prévoir et de se prémunir contre tous les risques que l’on
encourt lorsque l’on fait des projets. Mais lister ses peurs, même les plus
futiles, permet d’avoir une vision plus claire et moins angoissante de l’avenir.
On ne l’envisage plus alors sous le coup de l’émotion mais de la raison.

Se libérer du passé
La nostalgie dépend d’une tendance naturelle à idéaliser le passé. L’endroit,
l’ambiance, les sensations associées au souvenir sont magnifiés. Revisiter les
lieux qui nous hantent peut nous libérer de l’image idyllique que l’on en a
gardée. Dans certains cas, ce sera aussi l’occasion de régler ses comptes
avec d’autres éléments de ce passé et de repartir sur des bases saines.

 https://nospensees.fr/ne-lachez-passe-pouvez-saisir-futur/
3 étapes à franchir pour ne plus vivre dans le passé

Il existe de nombreuses façons de lâcher le passé et de s’en défaire, de


laisser de côté les mauvais souvenirs et de faire place au fameux « carpe
diem » afin de vivre le moment présent, ici et maintenant.
Vous êtes-vous déjà arrêté pour penser à ces beaux moments de bonheur
que vous vivez chaque jour ?
Une conversation avec un ami, un sourire échangé avec votre
compagnon/compagne, un câlin de votre enfant, etc.
Le fait de penser à ces actes ne suffit pas. Vivez-les lorsqu’ils se produisent,
ne cédez pas à la distraction, rangez votre téléphone portable, éteignez la
télévision et écoutez comment sonne ce présent qui vous entoure, profitez-
en avec vos cinq sens.

« Si le présent essaie de juger le passé, il perdra le futur »


-Winston Churchill-
Pour profiter du présent et voir le futur, on doit lâcher ce passé auquel on
s’attache si souvent et sans raison. Laissez-le aller, mettez-le de côté et
continuez à vivre. Votre vie n’attend que d’être vécue.

Lisez la suite de cet article, et vous découvrirez 3 étapes simples qui, si vous
les franchissez, vous permettront de ne plus vivre dans le passé :

Accepter
Le passé ne peut pas changer, contrairement au présent et au futur.
Alors, acceptez ce qui est arrivé et libérez-vous de la culpabilité que
vous portez sur vos épaules et qui vous empêche d’envisager le futur ainsi
que de vivre le moment présent.
L’acceptation est fondamentale si l’on veut affronter les problèmes de front.

Apprendre
Dans la vie, on peut tirer une leçon de chaque expérience passée. On sait
déjà ce qu’on ne doit pas reproduire, et ce que l’on doit éviter.
Si on commet de nouveau la même erreur que dans le passé, il ne
s’agira alors plus d’une erreur, mais d’un choix.

Si vous aviez le choix, que préféreriez-vous ; rester ancré dans vos


souvenirs, ou exploiter chaque seconde du moment présent ?

Pardonner
Souvent, on ne parvient pas à pardonner une personne qui nous a fait du
mal ou un ami qui nous a trompé.
Généralement, avec le temps, la rancune finit par s’atténuer et se diluer, car
pardonner, c’est une façon de dépasser cette paix avec nous-même et avec
les autres.
Pardonnez les autres, mais pardonnez-leur vraiment, sans fausseté, et
pardonnez-vous également à vous-même.
Il n’y a que de cette façon que vous vous libérerez des chaînes qui vous
attachent à un passé que vous ne pouvez pas changer.
Saisissez le futur
Octroyez-vous le droit de rêver, respirez un bon coup, pensez à la vie
future que vous aimeriez vivre, et faites votre possible et votre impossible
afin que vous rêves deviennent réalité.
Fixez-vous un objectif, ainsi que les étapes à franchir afin de l’atteindre. A
quoi ressemble la maison où vous aimeriez vivre ? Les lieux que vous
voudriez visiter ? Le travail que vous aimeriez avoir ? Votre
compagnon/compagne idéal(e) ?
Si vous vous posez toutes ces questions et que vous pensez que tout
dépend de la chance ou des autres, vous vous trompez complètement,
car la seule personne capable de réaliser vos rêves, c’est vous-même.
Personne ne viendra sonner à votre porte et vous offrir le travail de vos
rêves, l’homme ou la femme dont vous avez toujours rêvé ne tombera pas
nez à nez avec vous un beau jour, tout comme cette maison au bord de la
mer dont vous rêvez tant n’apparaîtra pas comme par magie.
Sortez et saisissez le futur ! Une fois vos objectifs fixés, pensez à toutes
les étapes à franchir afin de les atteindre, élaborez un calendrier et planifiez
tous les détails.
Chaque période de votre vie contrôle vos progrès et corrige les erreurs
commises. Tenez-compte du fait qu’un objectif doit être clair et concis,
mesurable et réaliste.
« Le futur a beaucoup de noms. Pour les faibles, c’est l’insaisissable. Pour
les téméraires, l’inconnu. Pour les courageux, c’est l’opportunité »
-Victor Hugo-

 http://www.doctissimo.fr/html/psychologie/bien_dans_sa_peau/15875-
souvenirs-douloureux.htm

Faire la paix avec son passé, c'est


possible !
VOIR AUSSI

 Les secrets du bonheur


 Changer son comportement
 Types de personnalité
On a beau savoir que la clé du bonheur réside dans l'instant présent, le passé n'a de cesse de hanter nos pensées. Eprouver
des regrets, de la nostalgie ou tenter de remiser le passé au placard n'y change pas grand-chose. Il vient s'immiscer dans nos
relations amoureuses et notre vie professionnelle, et pas toujours pour le meilleur ! Comment s'en libérer ? Découvrez nos
pistes.
Un ex qu'on aimerait n'avoir jamais rencontré, une soirée d'anniversaire qu'on préfèrerait oublier, des mots qu'on n'aurait jamais dû
prononcer… Ils sont nombreux les épisodes qu'on souhaiterait effacer de notre mémoire, un peu comme dans le film " Eternal Sunshine
of the Spotless Mind". Mais dans la "vraie vie", ce n'est pas si simple. La preuve, ils refont parfois surface sans crier gare : un nouvel
amoureux qui adore Hitchcock comme votre ex, une amie qui vous invite dans sa maison de campagne à côté d'un patelin où vous avez
passé les pires années de votre vie… Alors comment on s'y prend avec les souvenirs pour éviter l'effet boomerang ?

Mais qu'est-ce que le passé en réalité ?


Le passé n'est pas constitué d'unités d'informations, auxquelles nous aurions librement accès. Chaque événement que nous vivons nous
transforme définitivement, particulièrement ceux chargés d'émotions. Un phénomène qui s'explique par les neurosciences.

" Il existe un lien entre la mémorisation et les émotions, qu'elles soient agréables ou désagréables" explique Jean-Louis Monestés, docteur
en psychologie et psychothérapeute. D'un point de vue adaptatif, on se souvient d'événements inhabituels associés à un danger, de façon
à être en alerte si une situation analogue se représente, pour ne pas commettre les mêmes erreurs.

A l'inverse, d'autres évènements plus agréables jouent le rôle de renforcement. On se souvient bien des lieux, des personnes, des
situations qui sont associés à un sentiment de bien-être et à une sensation de sécurité. S'en souvenir permet de chercher à les reproduire.
En règle générale, ce qui est de l'ordre du banal ou devenu habituel, suscite peu d'émotions, nous marque moins.

Regretter ou tenter d'oublier : deux impasses


Echecs, ruptures, voyages qui se transforment en cauchemar… Face à des souvenirs douloureux, il existe généralement deux types de
comportements :

 Certaines personnes cultivent une certaine nostalgie : à la clé des regrets, des remords, c'est le temps des "si j'avais su" ou "j'aurais dû",
avec le vain espoir de reconstruire le passé.
 D'autres procèdent plutôt par évitement, mobilisant une énergie incroyable pour oublier, comme si ça n'avait pas existé. Ce qui a pour
effet de produire le résultat inverse : plus on concentre son attention sur un souvenir dans le but de l'oublier, plus il revient en force malgré
nous. En cherchant à effacer un souvenir, on le renforce. En cherchant à le supprimer, on nourrit le feu.

Mais il existe une 3ème voie.

Nos souvenirs sont de bons guides


" Nous sommes tous plus ou moins piégés par l'illusion que nous pouvons contrôler nos souvenirs" déclare Jean-Louis Monestés. Or, plus
nous tentons de maîtriser l'impact de "l'ancien" sur nos vies et moins nous laissons de place au nouveau. Il y a comme une sorte de
compétition entre les deux…
Nos souvenirs ne sont pas nos ennemis, lutter contre eux ne peut que nous empêcher d'avancer. " A l'opposé de cette fâcheuse habitude
que nous avons tous, nous pouvons cesser de considérer nos souvenirs comme nos ennemis, et en accepter la trace que nous en portons,
pour s'apaiser" propose le psychologue. Le but est de prendre conscience de nos pensées, de nos émotions et donc de nos souvenirs
même les plus désagréables. Ce faisant, il est possible de parvenir à une régulation émotionnelle.

En ce qui concerne des souvenirs dits "traumatiques" (viols, accident, etc.) il est absolument recommandé de faire appel à un
professionnel. De nouvelles thérapies dites "thérapies de la pleine conscience" et "thérapie d'acceptation et d'engagement" donnent de
bons résultats. Toutefois pour les souvenirs plus anodins, néanmoins capables de parasiter notre vie, voici quelques pistes intéressantes
à suivre.

Faire la paix avec son passé en pratique

1. ACCEPTEZ LES SOUVENIRS, COMME FAISANT PARTIE DE VOUS.


Une musique qui vous rappelle votre ex, une robe sur une collègue qui vous évoque celle qui vous a piqué votre projet…
Cet événement a réellement fait partie de votre vie, et il vous a sans doute transformé(e). L'idée principale consiste à faire corps avec ses
souvenirs. Ce qui demande de prendre pleinement conscience des vagues qu'ils créent encore en vous, et c'est le plus difficile. En se
laissant traverser, sans s'y identifier, il est possible de prendre du recul.

2. CESSEZ D'ÉVITER LES SITUATIONS EN LIEN AVEC CE SOUVENIR.


Un lieu, un livre, un centre d'intérêt… de nombreux éléments sont reliés à un souvenir douloureux. Eviter d'être en contact demande de
mobiliser beaucoup d'énergie en réalité. Lâchez prise et si vous vous y retrouvez confrontés, rien ne vous empêche d'y associer de
nouvelles sensations, émotions…positives cette fois !

********************************************************************
 https://nospensees.fr/oublier-souvenirs-tristes-negatifs/

« Si vous n’avez pas entre vos mains le pouvoir de changer une situation qui
vous provoque une douleur, vous pourrez toujours choisir l’attitude avec
laquelle vous ferez face à cette souffrance. »
(Viktor Frankl)

Tout au long de notre existence, nous vivons des situations ou des


circonstances douloureuses qui restent dans nos mémoires comme
des souvenirs que nous n’arrivons pas à oublier, conditionnant ainsi
notre comportement et notre façon d’être.
Ces situations douloureuses peuvent être très différentes: la mort d’un être
cher, un cœur brisé, un échec dans le travail, etc.
Si vous vous arrêtez un moment pour réfléchir à ce qui vous arrive, vous
vous rendrez compte que, dans une même journée, vous vivez de
nombreuses situations joyeuses et agréables.
Un baiser de votre enfant, un appel téléphonique d’une personne avec qui
vous n’avez pas parlé depuis longtemps, manger votre gourmandise
préférée, lire quelques pages d’un livre qui vous génère une grande émotion,
etc.
La vie passe à grande vitesse et nous fait oublier les moments
précieux, que nous avons devant nos yeux et que nous ignorons.
Une bonne idée est de chérir ces moments et d’essayer de se rappeler la
sensation qu’ils provoquent en nous, pour pouvoir la ressentir de nouveau
lorsqu’un souvenir négatif nous revient.

Comment pouvons-nous oublier un souvenir


négatif ou triste?
Plusieurs scientifiques des universités de Birmingham et de Cambridge ont
publié une étude dans la revue Nature Neuroscience, dans laquelle ils ont
exposé comment ils ont réussi à isoler les mécanismes du cerveau avec
lesquels nous oublions et nous nous souvenons.
Grâce à une IRM, ils ont mesuré l’activité cérébrale d’un groupe de
volontaires, auxquels on a demandé de se rappeler des images qui leur
avaient été montrées. Grâce à cette technique, ils ont pu connaître au niveau
neuronal, les souvenirs qui ont été effacés et ceux qui ne l’ont pas été.
Le Dr. Michael Anderson, un des co-auteurs de l’étude, explique: « Les gens
sont habitués à penser à l’oubli comme quelque chose de passif. Notre
recherche montre que les personnes sont plus engagées que ce qu’elles
croient dans l’élaboration de leurs souvenirs.
L’idée que le fait de se souvenir peut provoquer l’oubli est surprenante, et
cela pourrait nous en dire plus sur la mémoire sélective »
Par conséquent, nous contrôlons nos souvenirs et nos oublis, et pour cette
raison, nous vous proposons de suivre trois étapes simples pour
apprendre à contrôler les mauvais souvenirs:
– Accepter. Nous devons être conscients que nous ne pouvons pas
changer le passé, mais nous pouvons changer le présent et l’avenir.
Alors vivez votre présent en acceptant le passé et en le laissant derrière
vous s’il vous a fait souffrir, et préparez un avenir libre de toute culpabilité
afin de profiter de chaque instant de votre vie.
– Apprendre. Peu importe à quel point ils sont négatifs, nos souvenirs
contiennent toujours un enseignement.
Le fait de réfléchir sur les enseignements que nous donnent nos souvenirs,
nous aidera à associer un souvenir négatif ou triste à un enseignement utile
pour notre avenir.
« Parfois, on gagne … Parfois, on apprend. »
(Robert Kiyosaki)

– Pardonner. Pardonnez aux autres et surtout pardonnez-vous à vous


même. Nous avons toujours des moments nouveaux et passionnants à
vivre, donc pardonnez et allez de l’avant. Nous commentons tous
des erreurs et il est inutile de se martyriser pour cela.
Enfin, nous vous proposons trois techniques simples à pratiquer pour
vous aider à oublier ces souvenirs négatifs ou tristes qui vous
assaillent parfois.
L’une des ressources les plus simples et utiles est d’écrire. L’écriture est
quelque chose de profondément thérapeutique et en écrivant, nous
pouvons mettre en lumière tout le négatif que nous avons dans notre esprit.
Écrivez de manière automatique tout ce qui vous vient à l’esprit, ne vous
arrêtez pas à penser et laissez couler l’encre sur le papier. Vous vous
rendrez compte que lorsque vous aurez fini d’écrire, vous vous sentirez
mieux.

Le psychologue argentin Walter Riso suggère dans son livre « Manuel pour
ne pas mourir d’amour » une technique pour oublier un ex, qu’il appelle « La
technique du stop ».
Chaque fois que nous viennent à l’esprit des souvenirs de cette
personne, il faut taper dans nos mains et dire à haute voix: STOP!
Cela nous permettra de faire un arrêt dans nos pensées, qui vont se
désordonner et nous donner alors une pause. Ce n’est pas une technique
infaillible, mais comme le dit Riso, cela soulage.
Enfin, une pratique très utile pour nous détendre et contrôler nos pensées,
nos souvenirs et nos sentiments est le mindfulness.
Le mindfulness peut être défini comme une technique de méditation
qui consiste à placer une pleine conscience dans le moment présent,
sans jugement, avec acceptation et curiosité.
D’autre part, la méditation est un exercice intellectuel qui vise à atteindre un
état de concentration sur une pensée, un objet ou nous-mêmes, à travers la
respiration, par exemple.
La pratique du mindfullness nous montre qu’un plein état d’attention et
de conscience peut nous aider à réduire le stress, à être plus créatifs et à
évaluer les situations avec plus d’objectivité pour mieux profiter de ce que
nous faisons et ainsi entraîner notre résistance face à nos émotions.
Par conséquent, laissez vos mauvais souvenirs derrière vous, suivez le
chemin de votre vie et profitez-en au maximum!

EJACULATION PRECOCE

Les sites de référence :

http://www.durerpluslongtemps.fr

https://nicoleaudette.com/

Recherche 1 > Cause de éjaculation précoce

Recherche 2 > contrôler l’éjaculation précoce

Recherche 3 > Thérapie éjaculation précoce

**************************************************************

 http://www.durerpluslongtemps.fr/causes-ejaculation-precoce

Les principales causes de l'éjaculation


précoce

30% des hommes seraient touché par l'éjaculation précoce


D'après une récente étude, près d'un homme sur trois est concerné par
l'éjaculation précoce au moins une fois dans sa vie. Un homme éjaculateur
précoce est plus facilement excitable que la moyenne, ce qui lui fait perdre
le contrôle de son éjaculation.
Souvent d'origine psychologique, l'éjaculation précoce est sans gravité et
peut être traité facilement avec une méthode complète ou des exercices
adaptés.

On parle d'éjaculation précoce quand l'éjaculation survient rapidement et


surtout lorsqu'elle n'est pas contrôlée ni désirée. On peut caractériser
l'éjaculation précoce selon deux types :

 L'éjaculation précoce est dite primaire si l'homme y à toujours été sujet


 L'éjaculation est dite secondaire si le problème est apparu subitement

L'éjaculation précoce : un problème gênant aux causes mal connues


La cause principale de l'éjaculation précoce est souvent lié à un problème
psychologique. De mauvaises habitudes prises lors des premières années
de vie sexuelle peuvent être à l'origine de l'apparition de l'éjaculation
précoce...

Le fait de se masturber rapidement en secret peut entrâiner l'habitude


chez l'homme d'éjaculer rapidement. C'est d'autant plus vrai, si l'homme
souhaite simplement relâcher la tension plutôt que par simple plaisir. Son but
est d'arriver à la détente et non de faire monter l'excitation.

Les rapports sexuels précipités peuvent également favoriser l'éjaculation


précoce. D'une manière générale, la tension nerveuse liée au manque de
temps et à la crainte d'être surpris tend à précipiter l'éjaculation. Prenez votre
temps, ce n'est pas une course !

Des rapports sexuels peu fréquents ou encore le manque


d'expérience peuvent aussi être des causes de léjaculation précoce. Lors
du rapport, l'excitation est si forte qu'elle peut difficilement être contrôlée. En
fait, l'éjaculateur précoce ne contrôle pas complètement son excitation, et
donc son éjaculation. Cela s'arrange lorsqu'on commence à pratiquer plus
souvent !

Être nerveux, stressé ou encore tendu pour une quelconque raison


augmente également les risques d'éjaculer rapidement. Comme par
exemple, le stress des premiers rapports sexuels est aussi une cause
courante de l'éjaculation précoce. De même, la peur de ne pas être à la
hauteur, amplifie l'angoisse de l'homme avant chaque. Le manque de
performance peut entrainer l'homme dans un cercle vicieux, et donc
d'éjaculer précocement.
Ejaculateur précoce : l'entrainement retarde l'éjaculation
Il n'y à pas de secret, pour retarder l'éjaculation précoce il faut s'entrainer.
Soit en suivant une méthode complète, soit en essayant des exercices pour
s'entrainer à éjaculer moins vite. Retenez votre excitation lorsque vous vous
sentez proche de l'éjaculation peut pour prolonger le plaisir et retarder
l'éjaculation. Vous pouvez également essayer les 3 exercices pour
renforcer son muscle PC. En suivant ces exercices, vous allez améliorer
vos performances sexuelles et ainsi retarder le moment fatidique de
l'éjaculation.

3 exercices pour contrôler votre éjaculation


précoce

L’éjaculation précoce est un vrai problème qui touche beaucoup d’hommes.


Et si vous avez déjà essayé de tenir plus longtemps au lit sans succès, voici
3 exercices que vous pouvez essayer pour mieux contrôler votre
éjaculation précoce…

Exercice #1 : La technique de la respiration


Durant le rapport, il est essentiel de vous concentrer sur votre respiration.
Respirez lentement et de manière continue, car une respiration rapide peut
être très excitante et vous amener à éjaculer. Si vous êtes dans un état calme
et détendu, vous avez beaucoup plus de chances de durer plus de temps
avant d’éjaculer. Cette technique aura d’autant plus d’impact sur vous si votre
éjaculation précoce est due à votre stress ou votre anxiété. Alors, détendez-
vous ! Ce n’est pas une course…

Exercice #2 : La technique du stop and go


Lors du rapport, l’homme doit s’arrêter au moment où il sent l’imminence de
l’éjaculation. Après que l’excitation soit passée, l’homme peut reprendre le
rapport et ainsi durer plus longtemps. C’est la technique du stop and go.
Cette technique peut être utilisée de plusieurs fois pendant l’acte et, avec
assez de pratique, vous allez obtenir assez de contrôle et de puissance, pour
pouvoir avoir des rapports sans l’utiliser.

Exercice #3. La technique du squeeze


De même, lorsque vous sentez l’éjaculation arriver, vous pouvez la contrôler
en pressant à la base de votre pénis, au niveau du frein, jusqu’à ce que
l’envie passe. Vous pouvez le faire vous-même ou demander à votre
partenaire de le faire pour vous.

Bonus #1 : Mettez un préservatif


C’est probablement la solution la plus simple. Encore faut-il y penser, surtout
pour ceux qui ont une relation à long-terme avec leur partenaire. Le
préservatif sert à vous protéger mais aussi à diminuer les sensations et donc
vous permettre de tenir plus longtemps au lit.

Bonus #2 : Relâchez la pression


Si vous vous masturbez une heure ou deux avant le rapport, vous pourrez
tenir plus longtemps durant celui-ci. Cependant, cela peut également avoir
l’effet inverse, celui de réduire votre envie d’avoir un rapport. A utiliser avec
modération !

 https://nicoleaudette.com/therapie-ejaculation-precoce/

Thérapie efficace pour l’éjaculation précoce


Depuis quelques décennies, les thérapies ou les moyens pour tenter d’enrailler
l’éjaculation précoce chez les hommes qui voudraient tellement s’en débarrasser,
se sont multipliés. Que ce soit des gels qui engourdissent les sensations du pénis,
mais en même temps, celles du vagin; les pressions sous le gland, qui n’ont rien de
confortable; le renforcement des muscles du périnée, qui a souvent un effet inverse, (je
le sais pour avoir souvent reçu des hommes qui y travaillaient parfois depuis un an); et
d’autres moyens comme la distraction cognitive qui consiste à être moins excité en
pensant à autre chose.

Pensons aussi à Viagra, Cialis, Lévitra, qui ne sont nullement appropriés pour traiter
l’éjaculation précoce, mais pour les hommes souffrant d’impuissance. Lorsqu’un
éjaculateur précoce compte sur ces médicaments pour retrouver plus facilement une
autre érection, il ne doit pas oublier que ce sont des dilatateurs de vaisseaux
sanguins. Il n’est peut-être donc pas prudent de les utiliser lorsqu’on est déjà très
puissant.

Et tous les antidépresseurs prescrits par les médecins pour répondre aux
demandes des éjaculateurs précoces. Un article sur ce site parle d’ailleurs des
antidépresseurs utilisés à cet effet. Il est documenté par des professionnels. (Éjaculation
précoce et médication)

Il y a aussi les thérapies psychologiques qui soutiennent que les problèmes


sexuels résultent de problèmes émotionnels. En tant que sexologue-clinicienne
d’expérience, je peux vous dire que l’éjaculation précoce n’entre que très rarement dans
cette définition, puisque ce problème est d’origine physiologique et non psychologique.
J’ai d’ailleurs traité des hommes qui consultaient seul ou en couple depuis près de deux
ans parfois, sans résultat.

La démarche sexocorporelle que je propose, n’a rien à voir avec toutes ces méthodes ou
moyens qui ne tiennent pas compte du plaisir, c’est-à-dire, de l’abandon et de la volupté
partagés que l’on devrait ressentir lorsqu’on fait l’amour. Il semble que la plupart de ces
moyens ne soient basés que sur une performance à réaliser à tout prix, au détriment du
plaisir, c’est-à-dire, quelles que soient les conditions qui les accompagnent ou les effets
négatifs qui en résultent, pourvu que cela dure plus longtemps. Et si « durer » tout en
ayant du plaisir était possible ? C’est l’objectif des habiletés corporelles démontrées
dans cette vidéo, mais sans effets secondaires néfastes, ni moyens artificiels dont
plusieurs deviennent dépendants.

Et si vous cessiez de chercher, de faire des détours qui ne feront que prolonger votre
cauchemars? Et si vous preniez la décision de développer les quelques habiletés
sexocorporelles qui fera toute la différence une fois pour toute pour vous? Qu’avez-vous
à perdre? Je vous garantie que vous avez tout à gagner. Prenez ma parole d’experte
en tant que experte du contrôle éjaculatoire depuis plus de 30 ans. La balle est
maintenant dans votre camp!

J’ai créé cette vidéo pour vous messieurs qui cherchez depuis trop longtemps à savoir
comment parvenir à contrôler votre excitation. Vous ne regretterez pas d’avoir fait ce
choix!

TIMIDITE
Les sites de reference :
Passeportsante.net
Psychologies.com
Doctissimo.com

Recherche 1 > origine de la timidite


Recherche 2 > timidité symptômes
Recherche 3 > timidité thérapie

https://timidite.info/comprendre/origine-de-la-timidite/

D’où vient la timidité ?

Est-on timide de naissance ? Est-ce notre éducation qui nous


rend timoré ou bien quelque événement traumatisant ? Et si la
timidité rentrait en nous plus insidieusement, à dose
homéopathique pendant notre enfance ?

Sommes-nous timides de naissance ?

Les recherches scientifiques dans le domaine de la timidité sont


de plus en plus nombreuses, et nous les suivons de très près.
Bien qu’aucun gène de la timidité n’ait pu être identifié,
certaines recherches indiquent l’existence de prédispositions à
la timidité. Selon Jérome Kagan, de l’université de Harvard, 15
à 20% des enfants naîtraient avec une telle prédisposition. Ces
enfants présenteraient un profil neurochimique particulier ;
leur amygdale cérébrale serait particulièrement sensible aux
situations stressantes.
Ainsi certaines personnes naissent probablement plus
impressionnables que d’autres. Mais la timidité ne peut
s’expliquer uniquement par un héritage génétique. En réalité, la
dimension physiologique de la timidité est plus un amplificateur
que la cause proprement dite.
Certaines personnes lient leur timidité à un défaut physique,
comme le bégaiement, la petitesse ou la laideur. Cette
explication nous paraît tout aussi insuffisante.

“Ce n’est pas à cause de son nez que Cyrano


de Bergerac est parfois timide, sinon il faudrait
bien que tous ceux qui possèdent un nez
majestueux souffrent de timidité, ce qui est
loin d’être le cas. […] C’est en réalité
l’inquiétude qui est première. Les raisons,
bonnes ou mauvaises, ne viennent
qu’ensuite.”
B. Jolibert
La preuve en est qu’on peut provoquer une crise d’intimidation
en soulignant non les défauts mais les qualités d’une personne.
On peut être timide de sa beauté ou de sa réussite autant que
de sa laideur ou de son échec. Le véritable noeud de la timidité
est la vulnérabilité au regard de l’autre.

L’environnement familial est-il responsable

L’environnement familial dans lequel un enfant évolue exerce


une influence incontestable sur le développement de sa
timidité.
Si vos parents sont eux-mêmes timides, il y a de fortes chances
qu’ils vous transmettent leurs angoisses et leurs schémas
comportementaux.
Des parents trop sévères et rigides peuvent provoquer la
timidité de leur enfant. Mais l’inverse est tout aussi vrai : des
parents qui complimentent ou idéalisent excessivement leur
enfant. Dans les deux cas, on assiste à une répression du désir
de l’enfant, lequel s’incline devant le désir castrateur ou flatteur
du parent qui projette sur lui un idéal élevé.
Des parents instables ou distants peuvent être encore plus
déstabilisants que des parents castrateurs. Les enfants dont les
efforts de communication rencontrent des réponses irrégulières,
incohérentes ou imprévisibles éprouveront des difficultés à
gérer une relation et à s’affirmer.
Freud interprète la timidité comme une peur d’abandon. Cette
peur s’exprime de manière normale à certains stades du
développement, au cours de la petite enfance et durant
l’adolescence. Si la timidité subsiste de manière vivace à l’âge
adulte, c’est probablement qu’il y a quelque chose à dénouer.
Nous conseillons aux parents de laisser leurs enfants dès que
possible voler de leurs propres ailes, d’accueillir leurs élans, de
ne pas parler à leur place en présence d’autres personnes, de
les mettre en relation, de vivre en grands groupes à certains
moments sans jamais forcer l’enfant au contact.

La culture joue-t-elle un rôle ?

Des études comparatives tendent à démontrer la dimension


culturelle de la timidité. Ainsi, au Japon, on rencontre beaucoup
plus de timides que partout ailleurs. 90% des gens y estiment
être ou avoir été timides. A Tokyo, la modestie, la retenue, la
discrétion, le tact et la gentillesse sont des valeurs sacrées
(encore bien plus importantes que chez nous). Ces valeurs
entrent en contradiction avec les impératifs modernes de la
compétitivité économique, qui exige, au contraire, une certaine
agressivité et un esprit de démarcation. Culturellement, les
Japonais se trouvent donc coincés par une double contrainte,
connue pour générer des situations de timidité. Sois le meilleur,
mets-toi en valeur et, en même temps, soit discret, ne heurte
pas ton interlocuteur.
L’acculturation ou le déracinement peuvent également
engendrer la timidité. Les expatriés ayant grandi avec d’autres
repères culturels seront démunis de normes comportementales
ou de codes de politesse. Sans nécessairement verser dans le
conformisme, ces balises nous rassurent et facilitent les
relations entre les hommes.
Le déracinement peut être géographique ou social : cela
concerne aussi bien les personnes expatriées que le
phénomène de l’ascenseur social, à savoir les personnes qui,
par leur parcours socio-professionnel, se retrouvent confrontées
à un autre milieu que leur milieu de départ. Sans tomber dans
la caricature, prenez l’exemple d’un jeune homme issu d’un
milieu ouvrier très modeste, qui par la force de son talent et de
son travail, accède à un poste de management. Ce jeune
homme pourra connaître le malaise de devoir interagir avec des
personnes de “haut rang”, dont les codes sociaux et
comportementaux sont différents de lui (la manière de parler,
de s’habiller, de blaguer, etc.).

“C’est la politesse qui fixe les limites en excès


ou en défaut de cette réserve au-delà de
laquelle on est craintif ou impudent. Seule une
vision superficielle de la politesse en fait une
barrière hypocrite entre les hommes.”
B. Jolibert
Un événement traumatisant peut-il vous

inhiber ?

Une humiliation subie en présence d’autres personnes. Une


moquerie publique. Un échec douloureux. Une remarque
blessante. Une rupture inexpliquée. Certains événements
peuvent laisser des traces et engendrer une timidité durable.
Essayez de vous souvenir : depuis quand êtes-vous timide ?
Peut-être êtes-vous victime de l’étiquette désobligeante que
vous a donnée un professeur du lycée ? Un échec amoureux a
peut-être anéanti votre confiance en vous ? Au collège, vous
avez fait l’objet de moqueries ?
En ce qui me concerne, la timidité m’a ramené au suicide de
mon père. Mon père s’est donné la mort lorsque j’avais 11 ans.
J’ai longtemps cru pouvoir faire abstraction de sa disparition.
Mon adolescence ne s’est pas construite avec la même
confiance dont j’étais animé étant enfant. Certaines crises de
timidité tardives m’ont clairement ramené au malaise engendré
par le suicide de mon père. Au fond de moi, je ne pouvais
comprendre cette rupture totale et sans préavis, tellement
empreinte d’indifférence, de la part d’un être que, par nature,
j’aimais et admirais. Sans que je ne veuille l’admettre, cet
événement a détruit une partie de la confiance que j’avais en
moi. Mes crises d’intimidation ont été comme un signal. En
cela, je les trouve utiles a posteriori.
Si vous avez vécu un épisode de timidité aiguë, il est probable
que vous vous sentiez fragilisé dans des situations similaires.
L’empreinte du traumatisme aura marqué votre psychisme, qui
se crispera au moindre élément rappelant la situation redoutée.

La timidité tisse parfois sa toile à dose

homéopathique…

Dans bien des cas, la timidité n’est pas uniquement le fruit d’un
traumatisme ni la faute d’un parent, mais le résultat
d’un mécanisme psychique qui se construit à petite dose et
insidieusement.
Dans cet extrait, l’expert en neurosciences David Lefrançois
explique de manière éloquente comment 2 ou 3 remarques en
apparence anodines, faites à un enfant, vont le conditionner à
ressentir de l’hésitation, voire de la honte, avant de prendre la
parole.

Je vous conseille d’ailleurs de visionner la vidéo complète de


David Lefrançois, extrêmement intéressante pour tout timide qui
essaye de comprendre le mécanisme.
David Lefrançois a vécu dans une famille avec quatre frères et
une ambiance permanente de compétition. Il a dû entendre un
paquet de “Toi, tu es trop petit, reste à l’écart!”. Pour ma part,
j’ai vécu dans un univers où les adultes étaient bienveillants,
mais avec de lourds secrets de famille et, donc, un climat
empreint de tabou. Etant enfant, j’ai dû souvent ressentir que
dès que je tentais de poser des questions (surtout des
questions essentielles touchant à l’histoire de famille, les morts
et les vivants), on me faisait comprendre que je n’étais pas
bienvenu. Petit à petit, même si mes parents, mes oncles et
mes tantes me donnaient beaucoup d’affection, la honte s’est
glissée en moi.
A force d’être mal accueilli dans un élan de parole, un enfant va
ainsi développer, la plupart du temps inconsciemment, une
stratégie de timidité dont il devra se défaire par la suite.

++++++++

https://www.passeportsante.net/fr/psychologie/Fiche.aspx?doc=timidite

La timidité

 Les symptômes de la timidité


 Les caractéristiques des timides
 Les situations difficiles pour un timide
 Les conséquences de la timidité
 Les citations inspirantes
Les symptômes de la timidité

La tension et l’anxiété en réponse à l’appréhension d’un résultat potentiellement négatif (échec d’une
prestation orale, jugement négatif lors des nouvelles rencontres) provoquent une augmentation de
l’excitation physiologique (un pouls élevé, des tremblements, une augmentation de la transpiration)
ainsi qu’une nervosité subjective. Les symptômes s’apparentent à ceux de l’anxiété :

 sensation de peur d’inquiétude, de panique ou malaise


 palpitations cardiaques
 sueurs (mains moites, bouffées de chaleur…)
 tremblements
 souffle court, bouche sèche
 sensation d’étouffement
 douleurs dans la poitrine
 nausées
 vertiges ou étourdissements
 picotements ou engourdissements dans les membres
 troubles du sommeil
 incapacité de réagir adéquatement lorsque la situation a lieu
 comportements d'inhibition pendant la plupart des interactions sociales
Souvent, l’anticipation d’une interaction sociale suffit à déclencher autant de ces symptômes que
lorsque l’interaction se produit vraiment.

Les caractéristiques des timides

Il est étonnant de constater que les individus s’identifient facilement comme étant
timides.Entre 30 et 40 % de la population occidentale se considèrent timides, bien que seulement 24
% d’entre eux sont prêts à demander de l’aide pour cela.

Les timides ont des caractéristiques qui sont bien documentées scientifiquement.

 Le timide est doté d’une grande sensibilité à l’évaluation et au jugement par autrui. Cela explique
pourquoi il craint les interactions sociales, qui sont des occasions de se faire évaluer
négativement.
 Le timide a une faible estime de soi, ce qui l’amène à entrer dans les situations sociales avec
l'impression qu'il ne parviendra pas à agir de façon appropriée et répondre aux attentes des
autres.
 La désapprobation des autres est une expérience très difficile qui renforce la timidité du timide.
 Les timides ont tendance à être très préoccupés, obnubilés par leurs pensées : les mauvaises
performances pendant l’interaction, les doutes sur leur capacité à être à la hauteur, l’écart entre
leur performance et ce qu’ils voudraient réellement montrer les obsèdent. Environ 85 % de ceux
qui s’estiment timides avouent s’interroger trop sur eux-mêmes.
 Les timides sont des individus très critiques, y compris à l’égard d’eux-mêmes. Ils se fixent des
objectifs très élevés et craignent l’échec plus que tout.
 Les timides parlent moins que les autres, ont moins de contact avec les yeux (difficultés à
regarder les autres dans les yeux) et ont plus de gestes nerveux. Ils rencontrent de facto moins de
gens et ont plus de difficultés à se faire des amis. De leurs propres aveux, ils ont des problèmes
de communication.
Les situations difficiles pour un timide

Les occasions de rencontres, de conversations, de réunions, de discours ou de situations


interpersonnelles peuvent être stressantes pour les timides. La nouveauté sociale comme la
nouveauté de rôle (comme par exemple assumer une nouvelle position suite à une promotion), les
situations non familières ou surprenantes peuvent également s’y prêter. Pour cette raison, les timides
préfèrent les situations habituelles, intimes, courantes.

Les conséquences de la timidité

Le fait d’être timide entraîne de nombreuses conséquences, en particulier dans le monde du


travail :

 Il amène à subir des échecs sur les plans amoureux, social et professionnel
 A être moins aimé par les autres
 Entraîne beaucoup de difficultés à communiquer
 Conduit le timide à ne pas faire valoir ses droits, ses convictions et ses opinions
 Conduit le timide à ne pas chercher à occuper des postes plus élevés au travail
 Entraîne des problèmes de contact avec des gens de hiérarchie supérieure
 Conduit le timide à ne pas être ambitieux, à être sous-employé et à rester sans succès dans son
emploi
 Aboutit à un développement de carrière limité
Les citations inspirantes

« Si vous voulez être beaucoup aimé, beaucoup et souvent, soyez borgne, bossu, boiteux, tout à
votre aise, mais ne soyez pas timide. La timidité est contraire à l'amour et c'est un mal presque
incurable ». Anatole France dans Stendhal (1920)

« La timidité tient plus de l'amour-propre que de la modestie. Le timide connaît son endroit faible et
craint de le laisser apercevoir, un sot n'est jamais timide ». Auguste Guyard dans Quintessences
(1847)

++++++++

http://www.psychologies.com/Moi/Se-connaitre/Estime-de-soi/Articles-et-Dossiers/Oser-les-cles-de-la-
confiance-en-soi/On-ne-nait-pas-timide-ou-complexe-on-le-devient
On ne naît pas timide ou

complexé, on le devient

C’est dans notre enfance que se consolide, ou non, notre confiance face à la
vie. L’attitude de nos parents est bien sûr déterminante. En bien ou en mal.

Isabelle Taubes
© iStock

 2

 36


 j

 


 a

 b

1/3
Sommaire

 Les parents qui projettent leurs rêves sur leurs enfants

 Le refus de voir les problèmes


 La surprotection

 L’absence de transmission d’un idéal

 La survalorisation

 Les désirs parentaux inconscients

Je n’ose pas m’affirmer ", " je ne sais pas dire non ", " j’ai peur du jugement

des autres ", " je suis timide ", " je perds mes moyens quand je dois parler

en public ", " quand je suis amoureux, j’ai le sentiment de ne pas mériter

d’être aimé en retour ", " j’ai l’impression d’être sans valeur "… Autant de

façons de faire entendre que l’on n’a pas confiance en soi.
" En fait,

l’expression “manque de confiance en soi” est un fourre-tout qui, sur le

plan théorique, ne signifie rien, explique Gérard Louvain,

psychothérapeute. En l’utilisant, le patient révèle que quelque chose ne

va pas dans ses relations à lui-même ou aux autres, à l’amour ou au travail

: ça ne marche pas, “parce que” je n’ai pas confiance en moi. En outre, on

peut être très à l’aise dans le domaine professionnel et pas du tout dans

sa vie affective. Etre performant pour lancer un projet et totalement inhibé

à l’idée de négocier une augmentation de salaire. D’où la nécessité

d’inviter la personne à décrire “comment ça cloche” pour elle, afin de

comprendre l’origine du problème. "


Le constat " je n’ai pas confiance en moi " est toujours le produit d’une

histoire singulière. On ne naît pas timide ou complexé, on le devient.

Toutefois, on repère un point commun : c’est à partir des péripéties de la

relation aux parents qu’ont surgi les éléments ayant donné lieu à ce

manque de confiance en soi. Plusieurs types d’attitudes parentales,

conscientes ou pas, sont en cause, même si les parents ne sont jamais

entièrement responsables des névroses de leurs enfants. C’est parce

qu’on les aime, qu’on les admire, qu’on les sacralise, qu’ils influent de la

sorte sur notre destin.

Les parents qui projettent leurs rêves sur leurs

enfants

" C’est fou ce que tu manques de grâce ! " déclare la mère irritée par

l’aspect un peu pataud de sa fillette de 5 ans. Elle avait rêvé de devenir

danseuse, en vain. Pour se consoler, elle avait espéré donner le jour à un

futur petit rat de l’Opéra… On le sait depuis Freud, les parents ne peuvent

s’empêcher de projeter leurs rêves de grandeur sur leurs enfants : là où

ils ont échoué, leurs petits réussiront. Mais certains tiennent trop à leur

rêve pour accepter l’enfant tel qu’il est. Et quand ils s’aperçoivent qu’il ne

comblera pas leurs souhaits, ils en conçoivent une immense déception,

suivie de représailles en forme de dénigrement systématique. Et puisque

les paroles parentales ont valeur d’oracle, l’enfant s’imagine


qu’effectivement il ne vaut pas grand-chose. D’où des inhibitions

susceptibles de toucher divers domaines – l’amour, le travail, la relation à

autrui –, de préférence ceux qui ont été fortement investis par les parents.

Le refus de voir les problèmes

"Quoi qu’il arrive, tu réussiras dans la vie !” me répétait mon père. Je

comprends maintenant que c’était un déni de mes difficultés : il ne voulait

pas s’inquiéter pour moi. Résultat : un rien me déstabilise, confie

Catherine. Aujourd’hui, j’ai une petite fille et je sais qu’aider un enfant,

c’est être attentif aux signes d’inhibition : pourquoi il a si peu d’amis,

pourquoi il n’ose pas s’exprimer à l’oral en classe… " Des parents, déjà

encombrés par leurs propres problèmes, auront malheureusement

tendance à jouer la politique de l’autruche. Difficile de leur jeter la pierre.

Même s’il n’est pas rare que cet aveuglement signifie, plus tard, pour leur

progéniture devenue adulte, quelques années sur un divan, à traiter des

inhibitions qui, abordées dès l’enfance, auraient rapidement disparu. Autre

cas : les parents qui préfèrent ne rien voir pour se préserver

psychologiquement. Pour ceux-là, plutôt brillants et à l’aise en société, un

enfant timoré (et souvent il l’est, parce que trop intimidé par eux) entraîne

une blessure de leur amour propre.


On ne naît pas timide ou

complexé, on le devient

 2

 36


 j

 


 a

 b

2/3
© iStock

Sommaire

 Les parents qui projettent leurs rêves sur leurs enfants

 Le refus de voir les problèmes

 La surprotection

 L’absence de transmission d’un idéal


 La survalorisation

 Les désirs parentaux inconscients

 Sommaire

La surprotection

" Pas question que nous t’offrions une Mobylette, tu pourrais avoir un

accident. " Les parents anxieux ont tendance à surprotéger leurs enfants

: la vie est si dangereuse, lorsqu’on la contemple sur fond d’angoisse…

Or rien n’est plus contagieux que ce sentiment qui vous envahit sans que

vous puissiez le contrôler. Papa et maman ont peur pour leur enfant, le

croient sans cesse en danger de mort ? Il intériorise leur peur et

commence à craindre lui aussi pour son existence ! Il se met à éviter les

activités susceptibles de présenter un risque. Il accumule les précautions.

Et perd peu à peu confiance en lui. " De plus, l’anxiété, affect très mobile,

peut parfaitement se métamorphoser en une peur d’affronter les autres ou

de faire face à l’autorité, observe Gérard Louvain. D’où, plus tard, des

inhibitions et des peurs dans des domaines sans lien apparent avec la

cause première de l’angoisse. "

L’absence de transmission d’un idéal

Les parents de Stéphanie, de grands pessimistes, ne lui ont jamais permis

de penser qu’elle pourrait mener une vie conforme à ses espérance. Au


contraire, ils lui ont seriné que, dans l’existence, il faut se contenter de ce

que l’on a. Du coup, devenue adulte, elle s’ennuie à mourir dans son job

mais n’ose pas en changer… " Ce qui nous incite à oser les changements,

ce sont nos idéaux intérieurs, explique Elisabeth Martin,

psychothérapeute. Mais pour les construire, il est nécessaire d’avoir eu

des parents qui croyaient en vous, qui vous ont encouragé à écouter vos

désirs. "

La survalorisation

" Ma fille est extraordinaire. Elle est d’une intelligence rare. Et quelle

beauté ! " affirme la mère, tandis que la petite, gênée, ne sait pas où se

mettre. Pour s’attribuer une valeur, se respecter soi-même, encore faut-il

avoir été respecté et valorisé. Toutefois, " la survalorisation est aussi

néfaste que la dévalorisation, poursuit Elisabeth Martin. Elle fragilise tout

autant, car elle ne permet pas d’acquérir une conscience exacte de ses

potentialités réelles. Elle condamne l’individu à se mesurer sa vie durant

à l’image surdimensionnée que ses parents lui ont demandé d’incarner.

Et il ne peut qu’échouer, se sentir insuffisant ".

Les désirs parentaux inconscients

Nettement plus ravageurs sont les désirs parentaux inconscients, surtout quand ils sont hostiles.
Parce que l’inconscient est justement ce que personne ne peut maîtriser. Or il existe des parents
suffisamment infantiles et névrosés pour voir en leurs rejetons de dangereux rivaux, dont la réussite
leur porterait ombrage. Le psychisme de l’enfant enregistre les vœux de ses parents et, effectivement,
fabrique des symptômes en forme d’empêchement, de blocages, de peurs.
Le rôle des relations parents-enfants dans l’apparition du manque de confiance en soi n’est donc plus
à démontrer. Toutefois, si une enfance peu propice à l’épanouissement est un handicap, elle est
rarement une infirmité définitive. Il reste toujours possible, à l’âge adulte, de reprendre en main les
cartes de son destin.

++++++

Surmontez votre timidité

La voix tremblante, le rouge aux joues. Près d'un Français

sur deux reconnaît être timide. Cette peur du regard de

l'autre peut vous gâcher la vie. Les trucs pour vaincre la

timidité et retrouver sa confiance en soi.

Non à la timidité

Si éprouver de l'appréhension face à des inconnus est normal,

cela peut parfois se transformer en véritable handicap. Peut-on

vaincre sa timidité ? Quels sont les traitements ? Grâce aux

conseils de Doctissimo, apprenez à parler en public sans trac ou

à aborder sans bafouiller l'amour de votre vie.


 Je suis timide mais je me soigne

 Surmonter sa timidité pour être soi-même

 Comment développer son charisme ?

 Surmonter le trac

 N'ayez plus peur de l'amour

 Mon enfant est timide

 Etes-vous timide ou extraverti(e) ?

 Craignez-vous le regard des autres ?

Reprenez confiance en vous !

La confiance en soi est l'une des qualités les moins bien

partagées ! Si certains en ont beaucoup trop, d'autres en

manque cruellement. Comment arrêter de se dévaloriser ? Quels

sont les trucs pour reprendre confiance en vous ? Des articles

pour vous affirmer !

 Je suis trop émotif... Sachez réagir !

 Arrêtez de vous faire marcher sur les pieds

 Se réconcilier avec soi-même


 Dix trucs pour renouer avec vous-même

 10 trucs pour reprendre confiance en soi

 Apprenez à vous affirmer. sans excès !

 N'ayez pas peur du regard des autres !

Aux origines de la phobie sociale

La phobie sociale est une maladie reconnue depuis peu. Ses

causes réelles sont encore floues. Mais on sait qu'elle apparaît

dès l'enfance et qu'elle est liée des influences génétiques et

éducatives. Qui est touché ? Quelles sont les personnalités "à

risque" ? Existe-t-il des maladies associées ? Tour d'horizon. 


Lire notre dossier

Les thérapies pour se réconcilier avec soi même

Lorsque la timidité vous gâchent réellement la vie, il est temps

d'envisager une thérapie. Plusieurs traitements peuvent vous

permettre de renouer avec vous même et d'affronter sereinement

le regard des autres.


 Les thérapies comportementales et cognitives

 Les thérapeutiques médicamenteuses

 L'hypnose

 Les psychothérapies à médiation corporelle

 Vaincre sa peur des autres grâce aux psychotropes ?

+++++++

Une psychothérapie peut-

elle m’aider ?

Il n’est pas facile d’avouer ses faiblesses. Notre amour propre


ou notre éducation nous dictent de rester stoïques. Pour un
timide en particulier, demander conseil ou prendre la décision
de se faire aider n’est pas une démarche aisée. Résultat : de
nombreuses personnes consultent un peu tard, lorsque la
situation est déjà bien enlisée, les réflexes d’évitement, bien
ancrés, et les pensées angoissantes, abondamment nourries.
Il ne faut ni dramatiser le recours à un psy, ni se jeter
aveuglément dans ses bras. Un professionnel du
développement personnel pourra véritablement vous aider à
rebâtir votre confiance. Il n’est pas forcément nécessaire de
rester des années allongé sur un divan. Quelques séances
suffiront, dans certains cas, à débloquer une situation.
Sur le site Doctissimo, vous trouverez un dossier
intitulé “Choisir son psy”. Ce dossier vous aidera à faire le tri
entre différents titres (psychologue, psychiatre,
psychotérapeute,…) et différentes approches thérapeutiques,
mais aussi à détecter et éviter certains abus dans un domaine
qui compte malheureusement quelques charlatans.

Les approches cognitives et

comportementales ont prouvé leur

efficacité dans le traitement de la timidité

Plusieurs études semblent démontrer que les thérapies


cognitives et comportementales sont particulièrement efficaces
pour combattre les phobies sociales ou la timidité enracinée.
Ces thérapies se situent volontairement dans le “ici et
maintenant”. Elles visent des objectifs concrets et mesurables,
explicités dès le départ dans le “contrat thérapeutique” établi de
commun accord entre le psychotérapeute et son patient. Ces
approches ont une durée limitée dans le temps (quelques
semaines ou quelques mois ; entre 3 et 30 séances).

“Des études contrôlées montrent que les


thérapies assertives améliorent
significativement les patients souffrant de
phobie sociale. A court et long terme.
(Heimberg et coll., 1986 ; Lucok et Salkovskis,
1988 ; Mattick et coll., 1989)”
Gisèle George
Les thérapies cognitives et comportementales ne visent pas à
modifier en profondeur l’ensemble d’une personnalité à travers
une cure longue et contraignante. Elles ont pour but de modifier
un comportement qui gâche la vie de la personne.
Certains ardents défenseurs de
la psychanalyse argumenteront qu’on ne peut guérir une
personne sans remonter à la source de son angoisse. Ou qu’en
supprimant une angoisse, on ne fait en réalité que la déplacer,
sans chercher à comprendre ce que cette angoisse veut nous
“dire”. Leurs opposants rétorqueront que, contrairement aux
thérapies cognitives et comportementales, la psychanalyse n’a
pas réussi a prouvé de manière scientifique ses bienfaits
envers les personnes souffrant de phobie sociale. Une chose
est sûre, c’est que pour les timides qui, par définition, ont une
propension à ressasser les problèmes et une difficulté à entrer
dans l’action, le repli analytique n’est pas forcément l’approche
la plus judicieuse. Certes, l’exploration de l’inconscient peut
aider à débloquer certains noeuds. Mais l’aisance sociale ne se
construit pas sur un divan. La compréhension du passé, les
comportements au présent et les projections au futur méritent,
selon moi, une part d’attention équilibrée.

Les ingrédients et les variantes d’une

thérapie contre la timidité

Sommaire
Les psychotérapeutes qui s’attaquent à la phobie sociale
s’appuieront sur un arsenal de mesures complémentaires :
1. La relaxation
2. La modification des pensées
3. L’apprentissage de la communication
4. L’exposition graduée
Si vous décidez d’entamer un travail pour vous-même, sans
faire appel nécessairement à un professionnel, nous vous
conseillons d’utiliser ces mêmes leviers.
Une thérapie n’est pas forcément individuelle. Les thérapies de
groupe ont un intérêt tout particulier dans les cas de phobies
sociales. Les professionnels qui les ont pratiquées en sont
généralement très satisfaits. Les thérapies de
groupe permettent de :
 profiter de regards extérieurs ;
 s’encourager mutuellement ;
 effectuer des jeux de rôles ;
 ne pas éterniser la thérapie (à durée généralement limitée) ;
 faire preuve d’empathie ;
 réaliser qu’on n’est pas le seul à souffrir du problème ;
 imiter ceux qui s’en sortent ;
 porter son attention sur l’autre (chose que les timides ont du
mal à faire naturellement).
D’autres thérapies existent, dont les variantes se multiplient :
hypnose, autohypnose, autosuggestion graphique,
visualisations, luminothérapie, psychogénéalogie,
psychochirurgie,… Autant le dire tout de suite, certaines ont
moins bonne presse. Mais il est bon de se rappeler que la
psychologie ou la neurologie sont des sciences fort récentes,
que leur champ d’exploration est encore infini et que les écrits
du Docteur Freud ne constituent certainement pas un point
d’arrêt.
D’autres approches, comme la sophrologie, s’intéressent
davantage à la dimension corporelle, très présente dans la
timidité. Inspirée des techniques orientales de méditation, du
yoga et de la relaxation occidentale, la sophrologie développe
la conscience de façon à harmoniser le corps et l’esprit, en
chassant peurs, angoisses et tensions, notamment la peur des
autres. Certaines personnes peuvent estimer avoir progressé
sur le plan psychologique mais continuer de sentir tout une
série de bloquages sur le plan physique : les épaules rentrées,
le regard fuyant, les mains qui transpirent, les joues qui
tremblent, la respiration qui s’emballe. La sophrologie peut
aider à prendre conscience de ces bloquages et à les dénouer.
Chers lecteurs, vos témoignages sincères à propos des
bienfaits ou méfaits de l’une ou l’autre forme de thérapie en
matière de phobie sociale nous intéressent. N’hésitez pas
à nous écrire.
+++++++

https://www.vaincre-sa-timidite.fr/timidite-maladive/

Comment Vaincre sa Timidité

Maladive

Publié Par Michaël

Comment se débarrasser définitivement d’une

timidité maladive ?

Soyons clair : la timidité n’est pas une maladie.


Elle est un trait de la personnalité normale.
Mais quand elle est « maladive » chez un adulte, la timidité peut devenir
handicapante et vraiment gâcher la vie.
En réalité, c’est l’anxiété qui pose un vrai problème à la personne timide.

La Timidité Maladive
C’est ce sentiment de peur qu’elle éprouve à l’égard des autres, en particulier
les personnes inconnues. Une peur qui s’accompagne souvent d’un refus,
inconscient, de s’engager dans des relations avec les autres.
Les adultes qui souffrent de timidité maladive ont alors l’impression qu’ils ne peuvent
rien y faire, l’impression que cette peur est plus forte qu’eux…
Vaincre la timidité maladive revient donc à soigner sa peur de l’autre. Cette peur qui
est une émotion difficilement contrôlable.
Lorsqu’une personne timide déclenche des crises d’angoisses et des attaques de
panique, on dira cette fois qu’elle souffre d’une vraie maladie : la phobie
sociale ou agoraphobie.

En général, le timide est quelqu’un qui manque de confiance en lui. C’est
ce doute de soi et la crainte qui prédomineront à chaque fois qu’il s’agira d’entrer en
relations avec d’autres. Cela se remarque lorsque la personne n’ose pas faire le
premier pas.
Naturellement, à long terme, un individu qui est maladivement timide aura tendance
à éviter les autres et à se replier sur lui-même. Avec un risque de sombrer dans la
déprime ou la dépression.
.

Pourquoi souffre-t-on de timidité excessive ?

Le problème vient du fait que les


personnes timides sont trop
centrées sur elles-mêmes. Elles se demandent sans cesse ce que les
autres vont penser d’elles.
« je ne suis pas
Elles se répètent sans cesse des phrases négatives du genre
assez ceci ou cela… » ou « elle est trop belle pour
moi … » ou « je ne parviendrai pas à … »
Les personnes timides ont tendance à sous-estimer leurs capacités et
en même temps à se mettre la barre trop haute.
C’est ce décalage et la peur de ne pas être à la hauteur qui crée un malaise, une
peur… qu’elles sont incapables de contrôler.
Les personnes timides s’auto-dévalorisent :
« oui, j’aurais dû…, mais je suis timide »
« je n’ai pas pu le dire, j’ai bafouillé… »
« pourquoi me porterait-il un intérêt ? »
« pourquoi fréquenterait-il quelqu’un comme moi ? »
« je ne suis pas assez intelligente pour lui »
« je ne suis pas assez chic pour elle »
etc…
Si vous êtes maladivement timide, prêtez une attention à votre monologue intérieur.
En particulier, lorsque vous rencontrez une personne nouvelle.
Que vous dites-vous au fond de vous ?
Ne trouvez-vous pas que ce dialogue à l’intérieur de votre tête est inutile et auto-
dévalorisant ?
.

Quels sont les symptômes de la timidité maladive ?

Voici les principaux symptômes :


 Bafouiller ou être incapable de parler à des inconnus, à des personnes
impressionnantes ou devant un groupe (voici 5 vidéos pour améliorer vos
prises de parole en public)

 Sensation d’oreilles qui chauffent dès qu’on lui adresse la parole
 Rougeurs au niveau des joues
 Transpiration excessive
 Tremblements (mains)
 Palpitations (accélération du rythme du cœur)
 État d’anxiété ou mal à l’aise dans les situations sociales
 Manque d’aisance et maladresse à l’égard des inconnus
 Peur du regard des autres (voici 5 solutions contre cette « blemmophobie »)

 Peur d’être jugé ou critiqué
 Peur de paraître ridicule ou d’être rejeté
 Peur de sembler « faible » ou « différent » aux yeux des autres
 Peur d’être le centre d’intérêt
 Se sentir inintéressant (par exemple, sans sens de l’humour)
 Comportement d’évitement, de retrait ou de fuite
 Contrôle permanent de ses gestes
 Paniqué lorsqu’il pense à une situation sociale
 Tendance à se créer son propre monde (et à s’y renfermer)
 Vit dans la crainte de tomber sur une situation embarrassante
.

Comment vaincre sa timidité quand elle est

maladive ?

Cela est beaucoup plus facile qu’il n’y paraît.


En fait, tout se passe dans la tête !
Les peurs dont souffre le timide sont inconscientes. Le mental du timide n’a pas été
correctement programmé durant son enfance. En conséquence, le timide a une
image de lui-même qui est fausse et conditionnée par ses expériences douloureuses
du passé.
Le manque de confiance en soi sera le principal problème que la personne
timide devra surmonter.
Mais quelque soit l’âge, la solution pour combattre la timidité maladive passe
par une thérapie de « reprogrammation » du subconscient.
C’est en reprogrammant son mental que la personne timide pourra se libérer de ses
blocages et vivre des relations nouvelles et épanouissantes.
Ainsi petit à petit, la peur de l’autre s’efface et la timidité disparaît définitivement.
.

Comment se programmer mentalement pour ne plus

être timide ?

Pour vaincre la timidité maladive, je vous recommande simplement de


reprogrammer votre subconscient en écoutant des « offirmations » de confiance en
soi.
Les offirmations agissent comme des « autosuggestions » qui vont vous permettre
de vous visualiser, de vous représenter sous les traits d’une personne sûr d’elle, à
l’aise avec les autres et une personne qui ira automatiquement et sans crainte vers
les autres (en étant totalement sûr de soi).
Je vous explique ici comment avoir 100% confiance en soi pour vaincre
définitivement sa timidité maladive.

JOIE DE VIVRE

Les sites de référence :

Recherche 1 > comment retrouver la joie de vivre

 https://www.plateforme-bienetre.fr/comment-retrouver-la-joie-de-vivre/
Nous avons tous des baisses de régimes, des baisses de moral. Cela peut-être dû à
des évènements imprévus et plutôt désagréables, à un changement
d’environnement, au manque de nos proches ou encore du changement de lune ou
d’un changement de pression de l’air… Peu importe finalement. Ce qui nous importe
en revanche, c’est de savoir comment retrouver la joie de vivre qui a pu nous
quitter subitement.

Pour cela, il existe des tas de techniques mais il est bon de prendre conscience de
pourquoi la joie de vivre semble nous avoir quitté et comment la retrouver.
Cet article est une participation à l’évènement interbloggueurs A la croisée des blogs.
Ce mois-ci, c’est Brice de Sourire au Stress qui nous propose le sujet de la joie de
vivre. Vous pouvez retrouver son article de lancement ici.

POURQUOI A-T-ON DES BAISSES DE MORAL ?


Comme je l’ai dit précédemment, il peut y avoir de nombreux facteurs. Mais dans
tous les cas, la raison principale d’une baisse de moral est votre réaction à un
événement. On peut également ressentir une baisse de régime sans qu’il y ait de
changement dans notre vie mais généralement, il y a un évènement déclencheur.

Dans tous les cas, vous allez perdre votre joie de vivre quand vous n’êtes plus dans
le moment présent. Par cela, j’entends que soit vous ressassez le passé, soit
vous vous inquiétez du futur.

Un évènement survient dans votre vie et il réveille alors des douleurs du passé ou
tout simplement des inquiétudes sur comment ca va se passer. Ca peut même
être les 2 en même temps ! Imaginez que votre patron vous donne la responsabilité
d’un projet difficile à finir dans un délai très court. Cela peut réveiller en vous le
dernier échec que vous avez subi sur ce type de mission ainsi que les inquiétudes
que vous avez à pouvoir faire ce travail correctement et à temps. J’ai pris un exemple
professionnel mais cela peut être dans tous les domaines.

Donc d’un point de vue général, c’est un évènement ou une situation particulière et
souvent soudaine qui vient perturber votre joie de vivre.

ACCEPTER VOTRE SITUATION


Avant toute chose et avant de se lancer dans quoi que ce soit, il est vital d’accepter
la situation présente. Il est primordial de se dire « Ok, je ne me sens pas bien mais
j’accepte cette situation car elle est une étape obligatoire vers un mieux-être. ». Car
c’est le cas !! Vous ne vous sentez pas mal sans raison. Si vous vous sentez mal tout
à coup, c’est que ça a réveillé en vous quelque chose qui ne tourne pas rond !
Ce quelque chose existait déjà avant mais il était comme endormi.

Votre mission avant tout est d’accepter qu’il y a un blocage en vous. C’est une
excellente chose que vous vous sentiez mal car cela va vous permettre de
vous améliorer.

Si vous étiez au clair avec vous-même à 100% dans votre vie, rien ne vous
atteindrait personnellement sur le long terme. Vous pouvez tout à fait être peiné
ponctuellement par une situation mais vous sauriez aller de l’avant. Si vous ne le
pouvez pas, c’est qu’il y a un loup !

2 GUIDES OFFERTS DE 35 PAGES SUR LA MISSION DE VIE ET LA LOI


D'ATTRACTION
VALIDER
« En soumettant ce formulaire, j’accepte que mes informations soient utilisées
exclusivement dans le cadre de ma demande et de la relation commerciale éthique
et personnalisée qui pourrait en découler si je le souhaite. »
Et le fait que vous vous sentiez mal est la conséquence de cette découverte. Vous
devez alors accepter que votre blocage existe et que vous devez le nettoyer.

Certains vont me dire « Mais j’ai perdu un être cher ! Ca ne dépend pas de moi. » ou
alors « Ma femme m’a quitté et je n’ai plus goût à rien. ». Encore une fois, vous
pouvez être peiné sur l’instant même. Mais si l’évènement arrive c’est qu’il y a une
raison. Et si vous vous sentez mal ou que vous entrez en dépression, c’est
uniquement votre réaction surdimensionnée à la situation en question qui est
la cause de votre mal-être. Et cette épreuve va vous permettre de vous mettre au
clair avec vous-même et d’avancer plus sereinement dans votre vie.

Alors acceptez cette situation !

REPRENEZ CONTACT AVEC QUI VOUS ÊTES VRAIMENT


Si vous vous sentez mal, c’est aussi parce que vous vous identifiez avec une
situation qui ne vous convient pas. Aujourd’hui, il se peut que vous vous projetiez
dans le passé en repensant abondamment aux évènements qui vous pèsent. Or, ce
n’est pas en restant dans le passé que vous irez de l’avant. Votre point de
focalisation doit être maintenant ou dans votre avenir meilleur.

Vous devez à tout prix reprendre conscience de qui vous êtes vraiment. Vous vous
identifiez peut-être à une personne que vous étiez dans le passé alors que vous
avez changé ! Tout évolue dans le monde en permanence et vous y compris.

Regardez-vous d’un point de vue objectif aujourd’hui. Regardez tous vos points
positifs. Mettez le doigt sur votre vraie valeur et voyez de l’avant. Vous pourrez ainsi
vous désidentifier de situations qui vous maintiennent dans des émotions qui ne vous
conviennent pas.

BATTEZ-VOUS POUR RETROUVER LA JOIE DE VIVRE !


Maintenant que nous avons éliminer quelques mauvaises herbes, battez-vous ! Vous
n’êtes pas sur Terre pour subir les aléas de la vie.

 Aller chercher le positif dans votre vie.


 Refocalisez-vous sur des objectifs qui vous tiennent à coeur.
 Prenez la décision de ne plus subir mais d’être acteur dans votre vie et maître de vos
pensées.
 Prenez du bon temps. Allez marcher au soleil en regardant au loin.
 Prenez du temps pour vous, pour vous faire plaisir, pour apprécier votre existence.
 Chercher le positif en toute chose car il y a du positif en tout.

Il ne tient qu’à vous de faire ces différents pas vers le mieux-être.


 https://www.viversum.fr/online-magazine/joie-de-vivre

Comment retrouver la joie de vivre après un coup


dur?
de Rédaction viversum le 05.04.2017 dans Spiritualité

S’il est une chose universelle, c’est d’aspirer à la joie de vivre. Mais comme la vie ressemble
davantage aux montagnes russes qu’à un long fleuve tranquille, il peut arriver à tout le monde de
perdre le plaisir de vivre et de se laisser aller.
Comment retrouver le moral et la joie de vivre après une rupture, une dépression ou un deuil ?
Découvrez nos conseils pour retrouver le sourire dans l’adversité.

Joie de vivre, qui es-tu ?

Qu’est-ce que la joie de vivre ?

Rendue célèbre par la littérature et la psychologie, l’expression « joie de vivre » a traversé la mer
puisqu’elle est même utilisée par nos voisins anglophones pour désigner un état heureux et une
forme d’exaltation de l’esprit. Pour l’illustre médecin et généticien français Axel Kahn, le bonheur
est une « adéquation entre ce que l’on vit et ce à quoi on aspire ». C’est pourquoi savoir ce que
l’on veut est une condition nécessaire pour trouver la joie de vivre.

La joie de vivre ici et maintenant

Attendre toute la journée que ce soit la soirée, toute la semaine qu’arrive le vendredi et toute
l’année le temps des vacances : c’est le fonctionnement de bon nombre d’entre nous. Nous
vivons ainsi une vie à laquelle nous cherchons à échapper en permanence. Et si nous
apprenions à cueillir le plaisir de vivre ici et maintenant, plutôt que de nous laisser aller à
l’insatisfaction ? Cela passe par une chose simple : désacraliser la joie de vivre. Le bonheur n’est
effectivement pas une quête sacrosainte ; le plaisir de vivre peut se trouver ici et maintenant. Le
sourire d’un inconnu, un fou rire entre amis, un geste d’amour, l’observation d’un animal, une
parole empathique : les petites choses quotidiennes aident à retrouver la joie de vivre.

Comment retrouver la joie de vivre après une rupture, une dépression ou un deuil ?

 Écrivez chaque soir trois choses agréables et positives qui vous sont arrivées dans la
journée.D’une part, des études ont démontré qu’écrire contribuait à retrouver la joie de vivre.
D’autre part, se concentrer sur les choses positives déclenche le cercle vertueux suivant : une
pensée positive engendre une émotion positive qui conduit à entreprendre une action positive,
action donnant elle-même naissance à une nouvelle pensée positive, et ainsi de suite.
 Pratiquez une activité physique. Si vous avez tendance à vous laisser aller, essayez le sport. Il
permet la libération d’endorphine dans l’organisme. Contraction de « morphine endogène »,
l’endorphine est une substance qui non seulement diminue la douleur, mais apporte également
une sensation de bien-être qui permet de retrouver le sourire et le plaisir de vivre dans
l’adversité. C’est également la substance que notre corps produit après l’orgasme.
 Prenez des initiatives altruistes. Qu’il s’agisse simplement d’un geste, comme aider un voisin
ou une voisine à monter ses courses, d’une parole réconfortante ou agréable, comme un
compliment sincère et désintéressé, ou encore d’une action, comme proposer à votre partenaire
ou à une amie de sortir pour fêter un évènement heureux de sa vie, les
initiatives altruistes aident à retrouver le sourire, la joie et le plaisir de vivre. Rendre quelqu’un
heureux rend heureux, c’est aussi simple que cela.
 Recentrez-vous sur l’essentiel. Compte Facebook et autres réseaux sociaux, séries télévisées
à n’en plus finir, jeux vidéo, accès facile à l’information en temps réel, contact permanent avec
ses proches via les applications des smartphones : le moins que l’on puisse dire, c’est que le 21e
siècle a son lot de distraction. Si vous avez perdu le plaisir de vivre suite à une dépression et
que vous cherchez comment retrouver le moral, ou que vous vous demandez comment retrouver
la joie de vivre après un deuil ou une rupture, vous recentrer sur vous-même et prendre du recul
face au brouhaha du monde pourrait vous être bénéfique. Vous pouvez par exemple essayer de
faire une journée sans smartphone ou un week-end sans écrans.

 Changez votre rapport au temps pour donner priorité à l’essentiel. Combien de fois
entendons-nous ou prononçons-nous la phrase « J’ai pas le temps » ? Autant être clair : c’est
faux. Tout le monde dispose de 24 heures dans une journée. Ce que nous faisons de ce temps
est ensuite une question de choix. Si vous voulez absolument faire une chose, donnez-lui la
priorité sur une autre qui vous prend du temps et est moins essentielle. Sortez des sentiers
battus, aménagez votre temps et votre vie à votre guise car vous avez le temps de vivre vos
passions. Prenez votre courage à deux mains, arrachez-vous aux habitudes et lancez-vous dans
de nouvelles expériences : faites enfin ce que vous avez toujours voulu faire.
 Écoutez votre cœur et votre intuition. Votre instinct et vos sentiments constituent votre vérité.
Les refouler, les ignorer ou perdre le contact avec eux ne les élimine pas. Faites de
votre intuition votre alliée ; elle constitue la plus fiable des boussoles pour déterminer ce qui est
bon pour vous et ce qui ne l’est pas.
Vous voulez d’autres conseils sur comment retrouver le moral et la joie de vivre après un deuil,
une dépression ou une rupture ? Vous voulez retrouver le sourire et découvrir ce que l’avenir
vous réserve après un coup dur ? Découvrez notre équipe de médiums et de voyants.
Choisissez le consultant qui vous convient et profitez d’une première consultation gratuite sans
complaisance.

 https://nospensees.fr/retrouver-sa-joie-de-vivre/

Des idées pour retrouver votre joie de vivre

Il est important de savoir où vous voulez aller. Si tout va mal dans votre
vie, et que vous vous focalisez sur tout en même temps, vous aurez envie de
jeter l’éponge, car vos pensées seront si désordonnées que vous ne serez
pas par où commencer.
De la même façon, quand vous avez beaucoup de taches à accomplir, si
vous commencez à penser à la multitude de choses que vous devez faire,
vous n’aurez plus envie de rien faire. Il faut avancer petit à petit, et ne pas
laisser votre esprit mélanger tous les problèmes.
Pensez seulement à une chose que vous souhaitez. Vouloir trop de
choses à la fois peut faire que votre attention parte dans tous les sens
et qu’au final vous ne parveniez à rien.
Il n’est pas nécessaire de grimper les escaliers deux par deux. Si les choses
vont mal, acceptez la situation, et soyez conscient du fait que les êtres
humains ont un esprit créatif et qu’ils peuvent atteindre leurs objectifs, mais
petit à petit.
Pensez à tous ces aspects qui ne vont pas si bien, et écoutez votre voix
intérieure. À quelle situation avez-vous envie de remédier sur le court
terme ? Qu’est-ce qui vous redonnera le sourire aux lèvres?
La réponse à ces questions se trouve dans votre cœur, et non dans votre
tête. Chaque personne est un monde et les moyens de retrouver la joie de
vivre sont propres à chacun. La priorité de l’une peut être d’avoir de bons
amis avec qui elle peut partager ses passions, alors qu’une autre préférerait
trouver le partenaire idéal, etc…
Écoutez cette petite voix à l’intérieur de vous, et essayez de trouver ce
qui réveillera votre joie. Une fois que vous saurez dans quelle direction
avancer, vous commencerez à sentir la motivation pour obtenir ce que
vous désirez.
Arrêter de se positionner comme victime

Si vous adoptez l’attitude de la victime, si vous pensez que plus rien ne vaut
la peine, que vous n’êtes bon à rien, oubliez dès à présent ce type de
comportement.
Si vous voulez allez de l’avant, le fait de vous placer comme victime ne
vous mènera nulle part. Les personnes qui parviennent à se relever après
être tombées sont celles qui croient en elles.
Action et persévérance

Vous n’obtiendrez rien en restant inactif, c’est pourquoi si vous savez déjà ce
qui vous redonnera le sourire, commencez dès maintenant à penser aux
actions à entreprendre pour y parvenir.
Il n’est pas nécessaire de faire beaucoup si vous êtes vraiment
démotivé, mais si vous faites ne serait-ce qu’un pas, vous verrez que le
reste suivra de lui-même.
Nos exigences sont le plus grand problème qui se pose à l’heure
d’entreprendre n’importe quelle action. Nous voulons tout avoir tout de suite
et sans effort, mais si vous n’y mettez pas du vôtre, vous n’arriverez à rien.
En outre, vous pouvez vous inscrire à de nouvelles activités pour rencontrer
de nouvelles personnes, car le simple fait de vous ouvrir aux autre vous
aidera énormément à sortir de la négativité.
Le bonheur est sur votre chemin

Obtenir ce que nous voulons est important, mais le plus important est de
profiter de l’instant présent, d’autant plus si nous traversons une période
difficile. Si vous empruntez le chemin vers vos rêves, vous verrez que vous
serez de plus en plus motivé.
Profitez de tout ce qui vous entoure, et contentez-vous des choses
simples. Réapprendre à apprécier les petites choses est ce qui aide le
plus à sortir d’un état de pessimisme et de tristesse. En effet, la plupart
des personnes n’apprécient plus ce qu’elles ont, et ne voient plus le grand
pouvoir qui est à leur portée.
Si nous n’avions pas la capacité de penser, il n’y aurait pas de place pour la
tristesse. Notre esprit ne se focaliserait pas sur les problèmes, mais
profiterait du monde qui nous entoure, comme si chaque jour était notre
dernier jour.
Essayez de garder un esprit calme, et de profiter de ce qu’il y a autour de
vous. Tous les chemins sont semés de bonnes choses, mais si vous fermez
les yeux, vous ne les verrez pas.
Continuez d’avancer, et autorisez-vous à ressentir ce que vous
ressentez. De cette façon, vous trouverez de nouvelles choses qui
vous réjouiront et qui réveilleront votre âme.
Remplissez votre vie de musique entraînante

La musique est source de motivation. Même si vous n’avez pas envie,


mettez de la musique entraînante qui envoie des messages positifs. Une
goutte d’eau qui remplira petit à petit votre vide intérieur.
Lorsque l’esprit reçoit des ondes motivantes, il s’active, et synchronise le
cœur au rythme des notes musicales, ce qui vous donnera envie de réaliser
les choses avec plus d’entrain.
Photographies avec l’aimable autorisation de Pablo Fernández et Esparta
Palma.

ATTIRER L’ABONDANCE
Recherche 1 > Signes de problèmes financiers

Recherche 2 > Pourquoi les problèmes financiers

Recherche 3 > Comment attirer l’abondance

Sommaire

-**************************************************************
> https://debtsolutions.bdo.ca/fr/solution-dette/signes-de-probleme-financier/

Les signes de problèmes financiers


Vous vous demandez si vous avez besoin d’aide pour résoudre vos problèmes financiers? En
considérant les signes suivants, vous pouvez faire une meilleure analyse de votre situation
financière. Plus vite vous reconnaissez les signes de problèmes financiers, plus grande sera la
variété d’options qui vous permettra de rembourser votre dette et de prévenir de plus sérieux
problèmes.

Quels sont les signes de problèmes financiers?


 Vous ne remboursez que le montant minimum demandé
 Vous utilisez une carte de crédit ou une marge de crédit pour payer le solde d’une autre carte
 Vous dépassez souvent les dates limite de paiement
 Vous évitez de payer certaines factures afin de pouvoir en rembourser d’autres
 Vous utilisez une carte de crédit comme source de financement plutôt que par commodité
 Vous dépassez les limites d’emprunt de vos cartes de crédit, de votre découvert ou de votre
marge de crédit
 Vous utilisez l’avance de fonds d’une carte de crédit afin d’en rembourser une autre
 Tout votre argent est dépensé le même jour où vous recevez votre paie
 Vous empruntez de l’argent à vos amis et votre famille
 Vous recevez des appels de créanciers et d’agences de recouvrement
 Vous ressentez du stress et de l’anxiété lorsque vous pensez à vos finances
 Vos services de télécommunications, d’électricité ou autres ont été coupés
Si vous faites face à un de ces signes d’ennuis financiers, vous devrez peut-être avoir recours à
de l’aide professionnelle afin d’en apprendre davantage sur les solutions à l’endettement. Les
conseillers de BDO analyseront soigneusement votre situation financière, répondront à toutes
vos questions et prendront le temps de vous détailler chacune des options, de manière à ce que
vous preniez la meilleure décision pour votre famille. Offrez-vous une tranquillité
d’esprit. Contactez un bureau BDO près de chez vous ou demandez à recevoir un appel, pour
une consultation gratuite et sans obligation.
Sommaire

Pourquoi avez-vous des problèmes


financiers?
Posted by Karl Roussel on 6 / Fév / 2017
Cette année, aimeriez-vous prendre le contrôle de votre vie cette année et avoir du
temps pour faire ce que vous désirez?
Croyez que vos dettes sont le résultat du hasard?
Êtes-vous conscient que vous vivez dans un système économique malade?
D’entrée de jeu, je vais me répéter, mais ces questions sont très importante :
Pourquoi voulez-vous plus de temps? Que voulez-vous accomplir dans votre vie?
Quels sont vos rêves?

Certaines personnes ne réussissent pas à passer à l’action afin de prendre le


contrôle de leur vie. Pourquoi? Parce qu’ils n’ont pas de rêves assez gros! Et la
raison pour laquelle il en est ainsi est que nous nous sommes fait retirer notre liberté
de rêver et d’imaginer un monde meilleur pour nous et pour notre famille.
Comment? Avec des phrases telles que:
 Ne rêve pas en couleur;
 La vraie vie c’est difficile;
 Tu es né pour un petit pain;
 Attention de ne pas faire d’erreur;
 Soit raisonnable;
 L’important c’est de participer;
 Ne fait pas d’ombre à ton voisin;
 C’est la faute du gouvernement, de tes parents, de ton chien, de ton enseignant de quatrième
année, de ton poisson rouge, etc.
La liste peut malheureusement s’allonger encore longtemps.
Et vous, quelles sont les phrases que vous avez déjà entendues?
Vous avez le choix de reprendre les commandes de votre vie et de votre situation
financière tel que mentionné dans ma chronique « Vos dettes vous mènent par le
bout du nez! Comment s’en sortir? ».
Oui, si vous laissez votre pouvoir entre les mains de l’argent, il mènera votre vie.
Pour rester maître de votre liberté et mettez l’argent à votre service. La raison d’être
de cet outil est de vous servir. Je vous invite à relire ma chronique en cliquant ici.
Vous méritez d’être libre, mais, pour y arriver, vous devrai faire les efforts
nécessaires. Et comme je l’ai dit dans ma chronique intitulée « Une façon infaillible
de vous enrichir! » :
Personne d’autre ne peut le faire à votre place.
Si vous avez lu ce texte jusqu’ici, je vous félicite. Vous êtes maintenant prêt à lire la
suite.

Comment prendre le contrôle de votre liberté?


D’abord, pour devenir libre, il vous faudra apprendre le fonctionnement du système
dans lequel vous vivez. L’un des premiers concepts à comprendre est que, dès votre
jeune âge, le système ne veut de vous qu’une seule chose :
Que vous arrêtiez de rêver!
Comment?
 Par le surendettement;
 Et en vous déresponsabilisant!

En ce qui concerne le surendettement, j’ai déjà expliqué dans ma chronique « Vos


dettes vous mènent par le bout du nez! Comment s’en sortir? ». Je vous invite à
retourner y jeter un œil.
Pour ce qui est de la déresponsabilisation, maintenant, voici de quelle façon ils s’y
prennent :
Le système vous fait croire que les dirigeants vont prendre votre avenir en main et
vont régler tous vos problèmes.
Je suis désolé, mais sachez que les gouvernements ont leurs responsabilités et que
vous avez les vôtres.
Votre liberté et celle de votre famille est à votre charge. Vous êtes l’unique
responsable de vos choix financiers.
Est-ce que vous considérez que devenir de plus en plus endetté est la solution à vos
problèmes?
Je suis persuadé que vos soucis sont liés à vos dettes actuelles, donc est-ce un
choix sensé de vouloir résoudre les problèmes créés par l’endettement avec
davantage de dettes?
C’est comme prendre des médicaments pour résoudre un problème créé par un
autre médicament, parce que vous avez fait des choix qui nuisaient à votre santé. Ici,
je parle de 90 % des problèmes de santé qui sont en fait causés par de mauvais
choix.
C’est exactement la même chose avec vos finances.
Voulez-vous vraiment attendre qu’un gouvernement prenne vos responsabilités ou
vous voulez poursuivre vos actions? Je parle ici de poursuite puisque présentement
vous faites un pas d’avec la lecture de cette chronique.

 http://laurezanellacoaching.fr/comment-attirer-labondance-dans-sa-vie/

Comment attirer l’Abondance dans votre vie


Pour avoir fait les montagnes russes dans le domaine financier pendant des années, je peux
vous dire que j’ai expérimenté toutes sortes de situations plus désagréables et flippantes les
unes que les autres…

Je me suis mise dans l’embarras un nombre incalculable de fois, j’ai passé de nombreuses nuits
sans dormir avec la boule au ventre, j’ai dû demander de l’aide à mes parents à un âge où on est
censé pouvoir se débrouiller seul depuis un moment… Bref, ça n’a pas été des plus digeste pour

mon ego.

Mais, ce que je trouve très intéressant aujourd’hui, c’est d’avoir un recul suffisant et de
comprendre concrètement ce qui a fait que j’ai créé dans ma vie tous ces bas et ces hauts aussi,
pour pouvoir orienter à présent ma vie financière en toute conscience.
Ça m’a demandé un peu d’entraînement, mais si j’y suis arrivée, vous pouvez le faire vous
aussi, et je vais vous expliquer aujourd’hui comment.
Alors bien sûr, il y a toute la partie théorie que vous connaissez sûrement si vous me suivez
depuis un petit moment. Il est important de définir clairement ses objectifs, de se libérer de ses
croyances limitantes (entre autres : tu ne mérites pas l’abondance, tu ne vaux rien, etc.) et de
faire en sorte de diriger son attention la majorité du temps vers cette abondance qu’on veut attirer
à soi plutôt que de ne penser qu’aux dépenses, aux difficultés et aux dettes.

Mais ce que je vous dirais aussi, c’est que finalement, la mise en pratique de tout ceci n’a pas à
être compliquée et à représenter un travail de titan. Elle peut aussi être beaucoup plus légère et
naturelle, et c’est ce que nous allons voir aujourd’hui…

Sommaire

L’intérieur et l’extérieur
Premières difficultés
Je vous propose à présent une petite excursion au sein de mon passé, où nous allons visiter les
résultats obtenus d’un point de vue concret d’un côté, et mon état d’esprit de l’autre …

Je vous invite d’ailleurs pendant ce voyage à ramener tout ceci à vous et à voir où vous-même
en étiez à tel ou tel moment de votre vie, à l’intérieur aussi bien qu’à l’extérieur, sur le plan
concret. Ceci vous permettra de tisser plus clairement le lien qui existe entre ce qui se passe en
vous et ce qui se déroule au-dehors, car une fois cette cohérence clairement perçue, il vous sera
d’autant plus facile d’utiliser ce processus délibérément.
À quel moment ai-je rencontré mes premières difficultés financières ? Eh bien, c’était en 2006,
lorsque j’ai pris mon premier appartement.

Avant de me lancer dans cette nouvelle aventure, j’avais fait mes petits calculs, j’avais de l’argent
de côté et comme j’avais déjà un certain recul sur mon activité professionnelle, je savais que je
pouvais quitter le nid familial tranquillement et que je m’en sortirais sans peine.

Puis arrivée sur place, un premier imprévu est tombé au bout d’un mois, suite à un malentendu
avec mon opérateur téléphonique… Une grosse facture supplémentaire du coup. J’avais
heureusement rentré suffisamment d’argent pour pouvoir couvrir cette facture en plus, donc
jusque-là tout allait bien…

Par contre, j’avais le sentiment d’avoir été dupée par mon opérateur et ça m’avait mise très en
colère… Et devinez ce qui s’est passé ensuite… Eh bien d’autres imprévus ont commencé à
tomber, à répétition. Pas du côté de mon opérateur téléphonique, mais à bien d’autres niveaux.
Je suis donc restée focalisée sur cet imprévu => J’ai attiré à moi d’autres imprévus
Pendant un temps, je réussis malgré tout à gérer la situation et à rester à flots… Jusqu’au jour où
un service de paiement que j’avais testé à l’époque avant d’utiliser Paypal ne ferme boutique en
emmenant avec eux les 1400€ qu’ils devaient encore me régler…
Là, il ne s’agissait plus d’un petit imprévu, mais d’une énorme partie de mes revenus qui
disparaissait d’un coup + un immense sentiment d’injustice parce que j’avais travaillé dur pour
gagner cet argent, je m’étais beaucoup impliquée dans ce que je faisais et ça m’a mis un coup de
massue sur la tête.

Sans que je n’aie rien demandé, mes parents m’ont spontanément donné une bonne partie de la
somme pour me permettre de rebondir, mais intérieurement, j’étais terriblement mal. J’étais
écoeurée de ce qui s’était passé, et ma motivation a en même temps fait une chute libre parce
que je me disais « A quoi bon me donner autant de mal si c’est pour qu’on me vole mon argent
ensuite »

Quand de mauvaises habitudes s’installent


À partir de là, j’ai commencé à me retrouver régulièrement en position de fragilité financière, et
comme mes parents, pensant bien faire, m’aidaient quand je ne m’en sortais pas seule, j’ai
commencé à intégrer l’idée que j’étais incapable de me débrouiller par moi-même, sans parler du
sentiment de culpabilité et de honte que je ressentais de ne pas pouvoir me débrouiller par moi-
même.

À ce moment-là, mon positionnement intérieur était donc le suivant : Je ne crois pas en moi + Je
me sens démotivée + J’ai peur de ne pas m’en sortir => Et au niveau des résultats, les
déséquilibres s’enchaînaient…
Ensuite, à partir du moment où je me suis mise en couple, j’ai retrouvé mon élan, ma motivation
et mon enthousiasme et j’ai pu lâcher petit à petit mes inquiétudes par rapport à l’argent.
Résultat : L’abondance a commencé à circuler à nouveau dans ma vie et je gagnais toujours
assez pour payer la totalité de mes factures et tout ce qui était nécessaire.

Bascule suivante
Quelques années plus tard, lorsque j’ai divorcé, voilà ma grande copine la peur qui a refait
surface. Même si j’avais eu des résultats financiers réguliers les années passées et que
techniquement j’étais censée bien m’en sortir seule, j’ai commencé à avoir peur de ne pas y
arriver, et qu’est-ce qui s’est passé ?
Les difficultés sont réapparues… Plus ça avançait, plus j’étais stressée, et plus les problèmes et
imprévus en tout genre déboulaient de tous les côtés…

À l’inverse, dès que j’arrivais à m’apaiser, tout se remettait à bouger dans le bon sens.
J’ai aussi remarqué que lorsque certains événements détournaient totalement mes pensées de
l’argent, celui-ci se mettait spontanément à couler à flots. Je l’ai malheureusement constaté lors
de deux décès dans ma famille, mais il a été intéressant de constater que dès que j’arrêtais de
penser à l’argent (et donc de ruminer mes inquiétudes) tout se mettait à bouger quasi
instantanément, et c’en était même impressionnant.

C’était comme appuyer sur un interrupteur… Je mettais celui-ci sur OFF et l’abondance coulait à
nouveau librement vers moi…

Et dès que l’interrupteur à inquiétudes était de nouveau sur ON, les difficultés revenaient.

Trouver l’équilibre
Alors bien sûr, j’ai utilisé toutes sortes d’outils pour travailler sur mes croyances limitantes,
pour reprogrammer mon subconscient également, ce qui m’a permis de faire sauter de gros
verrous de ce côté et de faire passer ma vie financière à un tout autre niveau, mais je vous dirais
aussi que dès lors qu’on perçoit clairement cette bascule qui s’effectue en nous, au niveau de
notre état d’esprit, et qu’on observe les résultats associés, il devient de plus en plus facile d’agir
délibérément pour créer cette bascule et nous permettre de revenir constamment vers le positif.
Ces derniers mois, à chaque fois que je remarquais que j’étais stressée au sujet de l’argent, je
remarquais aussi que le plan concret avait tendance à freiner….

Et à chaque fois que j’ai travaillé sur mon stress, l’abondance s’est à nouveau mise à circuler
librement.

La seule chose que vous ayez à faire au final, c’est d’observer ce qui se passe en vous, de voir si
vous êtes plutôt dans la confiance et la sérénité, ou si c’est de l’inquiétude et du stress qui
occupent l’espace, et si c’est le cas, de faire quelque chose de concret pour vous libérer de ces
sentiments pesants.
Vous pouvez utiliser « Le Travail » de Byron Katie dont je vous ai déjà parlé pour remettre en
question vos pensées stressantes, vous pouvez utiliser la méthode Sédona, commencer à vous
demander quelles seraient les solutions possibles pour vous si vraiment vous deviez rencontrer
de grosses difficultés jusqu’à vous sentir parfaitement en sécurité en sachant que d’une façon ou
d’une autre, vous rebondirez, vous pouvez faire du sport ou tout un tas d’autres choses qui vous
permettront d’évacuer votre stress et de revenir à un état intérieur plus serein…
Il n’y a pas une seule méthode qui est capable de résoudre tous les problèmes de tout le monde,
mais il existe suffisamment de techniques et d’outils pour que chacun puisse trouver ceux qui lui
permettront de trouver la paix en lui et d’avancer comme il le souhaite.
L’abondance est pour vous aussi !
Créer l’abondance dans sa vie n’est pas une sorte de luxe réservé à des élus… L’abondance
est accessible à tous, et sans aucune limite.
Ce qu’il est important de comprendre ici, c’est que la seule chose qui va permettre ou non à
l’abondance de circuler librement vers vous est ce qui se passe EN VOUS.
À chaque fois que j’ai été dans la peur ou les doutes, le « robinet » d’abondance s’est refermé. Et
de la même façon, à chaque fois que j’ai lâché prise, que j’ai décidé de laisser faire et de faire
confiance à la Vie, le « robinet » s’est à nouveau ouvert en grand.

J’ai répété ces scénarios un nombre suffisant de fois pour ne plus pouvoir douter une seule
seconde du lien qui existe entre l’intérieur et l’extérieur, et si vous prenez un peu de temps pour
examiner ce qui se passe en vous et les résultats que vous obtenez, vous en arriverez sans
doute très vite à la même conclusion.

Et ceci est bien évidemment valable dans tous les domaines de la Vie.
Alors peut-être que finalement, on pourrait se mettre un peu moins la pression avec la théorie et
prendre simplement le temps d’observer ce qui se passe en dedans, car c’est de la que tout
part, et c’est en faisant de petits ajustements progressifs de ce côté que toute votre vie pourra

basculer comme vous le souhaitez


Mais ne croyez pas un mot de ce que je vous dis, et allez expérimenter ceci par vous-même, car
c’est le seul moyen de vérifier de quoi il retourne.
Et si vous avez envie de partager vos expériences et réflexions à ce sujet avec les autres
lecteurs, je vous donne rendez-vous dans l’espace de commentaires en bas de page.

En vous souhaitant à tous une jolie journée, et que l’abondance puisse couler vers vous de façon
illimitée !
Laure

 https://www.hypnosecsnm.com/problematiques-traitees/suscitez-
labondance
La réalité dans laquelle nous vivons est créée par nos pensées et nos comportements. Pour amener l’abondance
dans notre vie, il faut amener nos pensées et nos comportements vers une zone de positivisme et laisser aller
nos pensées négatives.
L’abondance peut toucher plusieurs parties de notre vie:
 L’abondance sociale
 L’abondance financière
 L’abondance au niveau du temps
 L’abondance dans l’intimité
L’hypnose peut vous aider à vous concentrer et à apprécier ce que vous avez déjà plutôt que ce qu’il vous
manque dans votre vie. En partant de ce point, il sera plus facile de bâtir avec se qu’il fonctionne et de vous fixer
les objectifs que vous désirer atteindre.
Faites travailler votre subconscient à votre avantage. Incluez-y de nouvelles perspectives qui viendront vous aider
à avoir une vie épanouie qui attirera l’abondance.
Vous devez être riche dans votre pensée et dans votre esprit avant de pouvoir accéder à la richesse extérieure.
L’hypnothérapie apprend à ouvrir votre esprit pour saisir toutes les chances qui s’offrent à vous. Vous êtes plus
proches de l’abondance que vous ne le croyez. En étant plus confiant en vous et par votre positiviste, vous
améliorerez vos rapports sociaux avec les autres et ainsi vous vous ouvrirez les portes menant à l’abondance.
Soyez confiant en votre potentiel et changez vos croyances négatives.
Graduellement vous vous mettrez à y croire et à voir les possibilités qui s’offrent à vous. Vous serez plus productif
et efficace à votre travail. Vous verrez les choses de manière différente et vous profiterez de toutes les chances
qui s’offrent à vous. Ne laisser plus rien vous privé de l’abondance dont vous mérité et faite appel à
l’hypnothérapie.
DESIR SEXUEL

Recherche 1 > Causes de la baisse de libido

Recherche 2 > symptômes du baisse de libido


Recherche 3 >

 https://www.passeportsante.net/fr/Maux/Problemes/Fiche.aspx?doc=libido

La libido ou le désir sexuel est l’envie de s’adonner à une activité sexuelle. Le désir
sexuel peut survenir spontanément ou en réponse à un partenaire, des images ou
des pensées.

L’intensité du désir dépend de différents facteurs tels que la qualité de la relation de


couple, la santé physique, l’état psychologique ou des événements qui jalonnent la
vie (grossesse, deuil, stress au travail, etc.). La baisse du désir sexuel fait partie des
différentes dysfonctions sexuelles que peuvent rencontrer l’homme et la femme à
tout moment de leur vie.

Une baisse de libido devient problématique lorsqu’elle inquiète la personne ou son


partenaire et affecte la relation amoureuse. Toutefois, cet état n’affecte pas toujours
la capacité d'avoir des relations sexuelles.

Causes de la baisse de libido

Le désir sexuel est une interaction complexe de plusieurs facteurs, incluant le bien-
être physique et émotionnel, les expériences de vie, le rythme de vie et les relations
intimes.

Une baisse de désir sexuel peut avoir une cause physique telle que :

 Un problème d’ordre sexuel, par exemple de la douleur durant les relations sexuelles
ou une inaptitude à atteindre l’orgasme.
 Une maladie. Plusieurs maladies peuvent affecter le désir sexuel, par exemple
l’arthrite, le cancer, le diabète, une haute pression sanguine (hypertension), une
dépression ou des maladies neurologiques.
 Les effets d’un médicament. Plusieurs médicaments, tels que certains
antidépresseurs (par exemple la paroxetine comme Paxil® ou Pexeva®, et la
fuoxetine comme Prozac® et Sarafem®) diminuent souvent le désir sexuel. D’autres
médicaments pour le traitement des problèmes de la prostate ou de la perte de
cheveux, ou encore pour réguler la pression artérielle peuvent affecter la libido.
Si vous prenez des médicaments et que vous ressentez une diminution de désir sexuel,
commencez par lire sur votre notice les effets indésirables de votre médicament.
 Une chirurgie. Les chirurgies reliées aux seins ou aux organes génitaux peuvent
affecter l’image de soi, la fonction sexuelle et le désir sexuel.
 L’alcool ou les drogues. Un abus d’alcool ou de certaines drogues peuvent affecter la
libido.
 La fatigue. L’excès de fatigue causé par exemple par le soin apporté à des parents
âgés ou à des jeunes enfants peuvent affecter le désir sexuel.

Des changements hormonaux :

 La ménopause. Durant la transition vers la ménopause, les niveaux d’œstrogène


des femmes chutent. Cela peut provoquer une sécheresse vaginale, donc des
relations sexuelles douloureuses ou inconfortables pouvant être à l’origine d’un
évitement des relations sexuelles. En revanche, si après la ménopause, les ovaires
secrètent très peu d’estrogènes, ils continuent à secréter des quantités relativement
importantes d’androgènes (testostérone…) ce qui explique parfois l’apparition de
quelques poils disgracieux sur le visage à cet âge. Néanmoins, ce taux d’androgènes
devient moins élevé qu’avant la ménopause, ce qui peut entrer en compte dans une
diminution de désir sexuel.
 La grossesse et l’allaitement. Les changements hormonaux durant la grossesse,
de même qu’après l’accouchement et l’allaitement peuvent affecter le désir sexuel.
Non seulement les hormones, mais la fatigue, les changements corporels et le stress
engendré par la naissance d’un nouveau bébé peuvent affecter le désir sexuel.
 La prolactine. Une élévation anormale de la prolactine (une hormone responsable,
entre autres, du déclanchement et du maintient de la lactation) bloque le désir sexuel,
chez l’homme, comme chez la femme.
 Un faible taux de testostérone. Chez les hommes, la testostérone est produite dans
les testicules. Cette hormone est essentielle au maintient de la densité osseuse, de la
distribution des graisses, de la masse musculaire, de la production de globules
rouges, de la production de spermatozoïdes et du désir sexuel. Avec l’âge, la
testostérone diminue graduellement (d’environ 1% par an après l’âge de 30 ans).
Parfois, la testostérone peut diminuer de manière très importante avec l’âge (Déficit
Androgénique lié à l’âge ou DALA). Une baisse de testostérone peut aussi être due à
une maladie (par exemple l’hypogonadisme).
 La pilule contraceptive. La prise de la pilule contraceptive a tendance à faire
diminuer la libido chez 20 à 40 % des femmes, parce qu’elle diminue la quantité de
testostérone circulant dans le sang chez les femmes.

Une baisse de désir sexuel peut avoir une cause psychologique, telle que :

 Un abus sexuel dans l'enfance.


 Une dépression.
 Un stress intense relié à une situation financière ou un travail.
 Une faible estime de soi.
 Une relation amoureuse conflictuelle (manque de communication, conflits non-
résolus, infidélité, manque de confiance en son partenaire).
Les principaux facteurs de baisse du désir sexuel
Les causes de troubles du désir féminin sont donc multiples. Un certain nombre d’entre elles sont
toutefois reconnues comme fréquemment présentes. Premièrement, il existe des causes liées à
la santé physique, telles que la fatigue, le manque d’activité physique, certaines maladies
génétiques, des affections gynécologiques (par exemple infections vaginales) et/ou urologiques
(par exemple cystite), des maladies hormonales, neurologiques et infectieuses, ou encore des
maladies chroniques.
La prise de certains médicaments (notamment des antidépresseurs) peut également être la
source de troubles du désir, tout comme la consommation de drogues ou d’alcool de manière
excessive.
Certains facteurs psychologiques sont aussi connus pour avoir des répercussions sur la libido. Le
stress et l’anxiété bien sûr, mais également les troubles psychiatriques comme la dépression ou
les troubles anxieux. Des expériences sexuelles négatives du passé, une éducation sexuelle
rigide, culpabilisante, une aversion envers certaines pratiques sexuelles, des traumatismes
sexuels (abus sexuel, viol, etc.) ou encore l’anxiété de performance ou la peur de l’échec sexuel
peuvent avoir d’importants effets négatifs sur le désir.
Enfin, des facteurs relationnels comme une peur de l’engagement, des attentes négatives envers
la relation avec le partenaire (peur de l’abandon, de l’infidélité, etc.), trop de demandes et besoins
sexuels du partenaire ou encore un traitement d’infertilité peuvent altérer la libido.
L’important est de rester attentif à soi, à son corps, et ne pas hésiter à parler de ses doutes avec
un spécialiste.

*****************************************************************************
 https://www.passeportsante.net/fr/Maux/Problemes/Fiche.aspx?doc=libido-
symptomes
 Références
Symptômes de la baisse de désir
 Une disparition inexpliquée et prolongée du désir sexuel.
 Parfois, une répulsion systématique à l'égard des activités sexuelles. Ce symptôme
se manifeste surtout en cas de blocage psychologique.
Personnes à risque de la baisse de libido
 L’âge. La baisse de désir sexuel peut survenir à n'importe quel âge, mais elle se
manifeste plus fréquemment à mesure que l'homme ou la femme vieillit.
Facteurs de risque du manque de désir
 Les couples vivant des conflits conjugaux.
 Les personnes ne se sentant pas respectées par leur partenaire.
 Les personnes souffrant de maladie chronique.
 Les personnes ayant des soucis importants (chômage, accident de la vie, maladie
grave d’un proche, décès dans l’entourage…)
 Les personnes abusant des images pornographiques.
Prévention de la baisse de désir
Mesures préventives de base
Afin de maintenir le désir sexuel et d’augmenter le plaisir au cours des relations sexuelles
:

 Assurez-vous de maintenir une bonne communication avec votre conjoint ou votre


conjointe.
 Échangez avec votre partenaire sur ce qui vous procure du plaisir lors des relations
intimes.
 Faites preuve d'imagination et de fantaisie.
 Après la ménopause, ayez une attitude ouverte et positive face à votre sexualité. Malgré le
déclin des hormones, il est tout à fait possible de maintenir une belle vitalité sexuelle.
 http://www.doctissimo.fr/html/sexualite/savoir/articles/16208-therapie-sexuelle.htm

Dans quels cas avoir recours à la thérapie sexuelle ? Lorsqu'une personne fait
face à un problème sexuel et décide de se faire aider par un spécialiste, la plupart
du temps, elle ne sait pas où aller, ni à quoi s'attendre de la consultation.
Découvrez l’essentiel sur la thérapie sexuelle.
Qu'est-ce que la thérapie sexuelle ?

La sexologie étudie la sexualité des hommes. Mais concrètement qu'est-ce que la


sexualité ? La sexualité est une réalité bio-psycho-sociale, c'est-à-dire qu'elle englobe
des aspects biologiques, psychologiques et sociaux. Il s'agit d'un concept dynamique.
Notre sexualité ne sera pas la même dans toutes les étapes de notre vie, et elle est
toujours unique et différente de celle des autres personnes. Et bien évidemment, elle
est étroitement liée au sexe.

Sexe ne veut pas dire uniquement parties intimes, ni pénétration, ni orgasme, bien qu'il
englobe tous ces aspects, et bien plus encore...Nous naissons sexués et nous le
serons jusqu'à la mort, même quand nous ne savons pas où se trouvent nos parties
génitales ou quand nous ne pratiquons pas la pénétration.
La sexologie étudie donc ce vaste concept qu'est la sexualité. Les sexologues ne sont
pas tous psychologues, il y a aussi des médecins, des sociologues, des pédagogues...
Ce sont également des thérapeutes et des éducateurs.

Dans quels cas dois-je aller voir un thérapeute sexuel ?

C'est surtout si vous avez besoin d’aide, sexuellement parlant. Chasser les doutes et
les idées reçues sur la sexualité améliore la qualité des rapports sexuels. Mais
attention, les sexologues ne peuvent pas répondre à des questions comme " Comment
réaliser de meilleures pratiques sexuelles ?" ou " Qu'est-ce qui plait à mon
partenaire ?". Chaque personne est un monde, il est impossible de généraliser les
goûts et préférences de chacun et la meilleure façon d'avoir des réponses à ces
questions, reste d'en parler avec son partenaire.
 Si votre vie sexuelle a changé et vous ne parvenez pas à vous adapter (par exemple, des
changements provoqués par des troubles physiques comme les changements hormonaux
pendant la ménopause, ou des changements radicaux comme une séparation amoureuse ou
l'arrivée d'un ou plusieurs enfants dans la famille).
 Si votre partenaire et vous n'êtes pas sur la même longueur d'onde côté sexe.
 Si vous avez remarqué une baisse notable de votre libido durant les 6 derniers mois ou depuis
moins longtemps et si celle-ci a affecté vos rapports intimes avec votre partenaire.
 Si vous avez des difficultés à atteindre l'orgasme seul(e) ou à deux.
 Si vous êtes une femme et ne pouvez pas pratiquer la pénétration ou que cela vous fait mal.
 Si vous ne prenez pas de plaisir pendant vos rapports.
 Si vous n'arrivez pas à avoir d'érection ou la perdez rapidement.
 Si vous contrôlez mal votre éjaculation.
Comment savoir si mon problème n'est pas provoqué par une cause
physique ?

Certains problèmes sexuels peuvent être provoqués par des maladies ou des effets
secondaires à des médicaments. Si vous prenez un traitement, il est important de bien
lire la notice pour écarter tout risque. Les contraceptifs hormonaux peuvent par
exemple favoriser la sécheresse vaginale et pourraient avoir une influence sur la
libido.
Comment déterminer si vos problèmes sexuels sont liés à des causes physiques et si
vous devez vous rendre chez le médecin ? Demandez-vous depuis quand vous en
souffrez et si le problème se présente toujours (sans exception).

 Si un homme a du mal à maintenir une érection à chaque fois qu'il veut avoir un rapport sexuel,
pour toutes les pratiques censées l'exciter ( sexe oral, masturbation...), aussi bien seul qu'à
deux, il doit aller consulter un médecin car il y a de fortes chances pour que ce soit lié à un
problème physique. Mais pour les exceptions, par exemple, si les troubles de l'érection se
présentent uniquement avec la partenaire et jamais en solitaire ou pendant la pénétration
uniquement et jamais pendant le sexe oral, alors là le problème n’est pas essentiellement
physiologique.
 Quant aux problèmes d'éjaculation précoce, certaines maladies comme la prostatite peuvent
rendre difficile la discrimination de sensations et empêcher le contrôle de l'éjaculation. Mais
en général, ce problème est lié à des causes psychologiques comme l'anxiété et la
surexcitation ou à une méconnaissance de sa propre réponse sexuelle.
 En cas de douleur pendant la pénétration, il est conseillé d'aller consulter un gynécologue pour
écarter toutes causes physiologiques. Ces causes sont écartées si la femme peut introduire
un sextoy de taille similaire au pénis de son partenaire, sans aucun problème mais qu'elle
souffre de douleurs pendant les rapports. Si le spécialiste ne trouve aucune pathologie, il faut
alors avoir recours à une thérapie sexuelle.
 Les problèmes de baisse de désir ou d'absence de désir, hormis ceux liés aux hormones, se
traitent toujours par une thérapie sexuelle.
En quoi consiste une thérapie sexuelle ?

Pendant les premières consultations, le spécialiste rassemble toutes les informations


importantes pour établir un diagnostic le plus précis possible et prend en compte les
objectifs du patient, pour travailler avec lui et l'aider.

Le travail individuel en dehors des consultations est très important, le sexologue donne
des "devoirs" ou des exercices à faire à la maison seul(e) ou en couple. La personne
qui vient consulter doit avoir une réelle envie de changer la situation actuelle car c'est
elle, avec l'aide et les conseils du thérapeute, qui, pas à pas, améliorera les choses
pour atteindre son objectif.

Le travail éducatif est essentiel, une grande partie des problèmes sexuels sont dus à
une éducation sexuelle insuffisante ou erronée. Il est primordial de chasser de votre
esprit toutes les idées reçues et d'avoir une vision plus large de la sexualité.
Lorsqu'elle aura terminé la thérapie, la personne aura acquis certains réflexes et
mécanismes qui lui permettront d'être capable de travailler seule sa sexualité et de
s'adapter aux éventuels changements dans le cycle vital.

Ecrit par:

Jessica Xavier
 https://www.allodocteurs.fr/sexo/pratiques-et-libido/baisse-de-la-libido/sexe-comment-
retrouver-sa-libido_3849.html
Sexe : comment retrouver sa
libido
Comment faire quand on n'a plus envie de faire l'amour, que le désir
n'est plus là ? Que faire quand la libido est au point mort ? Cuisine,
thérapies de couple, secrets de séduction… Quels sont les moyens de
raviver la flamme ?
Par La rédaction d'Allodocteurs.fr
Rédigé le 28/04/2011, mis à jour le 29/04/2015 à 16:23
Sexe : comment retrouver sa libido

Sommaire

 Qu'est-ce que la libido ?


 L'appétit (sexuel) vient en mangeant
 Sexualité : pimentez votre assiette !
 Massages : le désir au bout des doigts
 Après la ménopause, une nouvelle vie sexuelle ?
 Des jeux érotiques pour booster sa libido

Qu'est-ce que la libido ?


Michel Cymes et Benoît Thevenet expliquent la libido.

En cas de perte de désir sexuel, on parle d'anaphrodisie, de manque de désir. Les


femmes sont plus concernées que les hommes. Selon un sondage IFOP réalisé en
juin 2010, elles sont 53 % à être confrontées au manque de désir, 44 % pour ces
messieurs.

Le terme de libido vient du latin et signifie désir. Un terme issu de la psychanalyse


freudienne et désignant en quelque sorte l'énergie sexuelle qui engendre la pulsion.
Concrètement, pour en revenir à un plan purement biologique, notre libido dépend
des sécrétions d'hormones sexuelles. Testostérone, œstrogène et progestérone
entrent "en ébullition" dès l'adolescence, et déclenchent l'apparition des caractères
sexuels secondaires.

Déménagement et Garde Meubles avec le prestataire Français leader


Devis Gratuit en ligne

Notre cerveau est directement relié aux organes sexuels par les différents messages
hormonaux, ce qui influence en partie notre comportement sexuel. Dans les deux
sexes, ce qui est au centre du mécanisme du désir, c'est la testostérone. C'est
l'hormone sexuelle mâle mais qui existe aussi chez la femme. Elle est produite par
les testicules, les ovaires et les glandes surrénales.

Chez la femme, d'autres hormones interviennent. Les œstrogènes sont sécrétées en


début de cycle et atteignent le sommet de la production juste avant l'ovulation, la
libido augmente alors. Puis, c'est au tour de la progestérone d'être libérée, et là
comme c'est plutôt une hormone favorisant la grossesse, la libido tant à baisser
légèrement. Une autre hormone, la prolactine, joue elle aussi un rôle majeur dans
l'appétence sexuelle : plus elle est élevée, moins on en a envie de faire un câlin. Pas
étonnant, quand on sait que c'est une hormone qui stimule la production du lait au
niveau de la glande mammaire. Sa sécrétion augmente afin de déclencher
l'allaitement.

Mais la libido ne dépend pas uniquement des facteurs hormonaux. Les facteurs
psychologiques et environnementaux jouent aussi beaucoup.

L'appétit (sexuel) vient en mangeant


Préparation d'un menu gastronomique spécial dîner romantique.

Parmi les aliments que nous pouvons consommer au quotidien, certains contiennent
des substances capables d'influer sur notre libido comme le gingembre ou le wasabi.
Voici trois recettes pour réaliser un menu gastronomique (entrée, plat, dessert) pour
deux spécial dîner romantique, tel qu'il pourrait vous être servi dans un restaurant
étoilé.

 Carpaccio de betteraves, condiment passion et petites pousses de roquette à


l'huile de gingembre

- Eplucher, laver et tailler les 600 grammes de betteraves avec l'aide d'une
mandoline.
- Laver la roquette, puis tailler le demi citron confit et les 60 grammes d'olives.
- Dresser et enfin assaisonner avec l'huile de gingembre, l'huile d'olive, le piment
d'Espelette, le jus de citron et la sauce soja

 Minute de loup flashé au piment d'Espelette, risotto de courgettes en pêle-mêle,


sauce vierge aux cerises
- Habiller et lever les filets d'un loup de 500 g.
- Les tailler en fines lamelles puis les disposer dans un emporte-pièce et réserver au
frais.
- Réaliser le risotto avec deux courgettes, 1/2 citron confit, 30 g d'olives et une
tomate.
- Ajouter les herbes : cerfeuil, aneth, ciboulette, coriandre, menthe.
- Réaliser la sauce vierge avec 60 g de cerises et une échalote.

 Sucette de chocolat blanc wasabi, coque craquante à l'éclat d'amandes

- Réaliser la crème anglaise wasabi avec 20 g de lait, 1 jaune d'œuf, 8 g de sucre et


0,04 g de wasabi.
- Ajouter les feuilles de gélatine et 60 g de chocolat blanc et faire fondre doucement.
- Laisser refroidir puis incorporer les 60 grammes de crème fouettée. Mouler, puis
laisser au frais quelques heures.
- Quand les sucettes sont gelées, les tremper dans du chocolat noir et rouler dans
les éclats d'amandes.

Sexualité : pimentez votre assiette !


Si certains aliments boostent notre sexualité, encore faut-il savoir bien les utiliser.

Désinhibiteurs, stimulants, euphorisants… Les aphrodisiaques auraient de multiples


vertus. Dérivé d'Aphrodite, la déesse de l'amour dans la mythologie grecque, le
terme aphrodisiaque désigne des substances naturelles capables de stimuler notre
désir sexuel. Si le gingembre et le chocolat sont les plus connus, d'autres sont plus
inattendus.

Les ateliers culinaires se multiplient ces dernières années. Et parmi eux, des ateliers
de cuisine… aphrodisiaque ! Objectif : casser la routine et pimenter la relation
amoureuse.

Fraises, cannelle, chocolat… Les gourmandises aphrodisiaques sont au cœur de


ces ateliers. Durant plusieurs heures, les participants apprennent comment ces
aliments stimulent notre libido. Un voyage sensoriel organisé par une sexologue et
un nutritionniste.

Si certaines substances dopent nos performances sexuelles, c'est en grande


quantité qu'elles se révèlent vraiment efficaces. L'idée des ateliers est donc plutôt
d'apprendre à jouer avec les aliments pour qu'ils éveillent nos sens.
Massages : le désir au bout des doigts
Le massage ayurvédique contribue à renforcer la vitalité sexuelle.

Baisse de désir, absence de libido, difficultés à atteindre la jouissance… autant de


maux pour lesquels la sagesse ancestrale cherchait des philtres d'amour. Mais
aujourd'hui certaines de ces croyances sur les vertus nutritionnelles des plantes sont
validées par la science. Pour stimuler l'organisme, lutter contre le stress et favoriser
la circulation sanguinenotamment. Mais attention si certains produits peuvent
réveiller la féminité comme la sauge, ils ont parfois un effet inverse sur les
hommes…

Au-delà des plantes et de l'alimentation, certaines techniques corporelles peuvent


aussi jouer un rôle sur le désir sexuel. C'est le cas des massages aux huiles tels
qu'ils sont pratiqués en Inde.

Après la ménopause, une nouvelle vie sexuelle ?


La ménopause n'est pas toujours synonyme de libido en berne.

À la ménopause, la sexualité féminine peut être altérée par certains problèmes


physiques comme la sécheresse vaginale. Par ailleurs, la chronologie des rapports
change. Ces facteurs peuvent parfois entamer le désir dans un couple...
Heureusement ce n'est pas toujours le cas, certaines femmes retrouveraient même
une nouvelle jeunesse après la ménopause.

Des jeux érotiques pour booster sa libido


Comment réveiller son appétit sexuel ?

Perte du désir sexuel, baisse de la libido... En langage médical, on parle


d'anaphrodisie ou encore de désir sexuel hypoactif. Si on a longtemps pensé que
cela concernait surtout les femmes, de plus en plus d'hommes consultent aujourd'hui
pour ce problème.

Pour rebooster leur libido, certains n'hésitent pas à s'aider de jeux sexy et autres
accessoires coquins... Les "lovestore", version chic et moderne du sexshop, ont
d'ailleurs de plus en plus la cote. Le but de ce type d'enseignes est de proposer aux
clients en mal de libido des produits pour raviver la flamme.

Retrouver les douces sensations des débuts, surprendre, explorer, conquérir… tels
sont les objectifs des jeux et objets érotiques. Jeux sensuels, cadeaux coquins ou
petits mots doux… À chacun sa façon de réveiller le désir.
INTUITION

Recherche 1 > Développer son intuition


Recherche 2 > Comment apprivoiser ses intuitions
Recherche 3 >

 http://www.psychologies.com/Moi/Se-connaitre/Personnalite/Articles-et-
Dossiers/Developper-son-intelligence-intuitive

Développer son intelligence intuitive


Les neurosciences le confirment : ni magie ni don, l’intuition est une forme d’intelligence présente en

chacun de nous. Elle se cultive, se travaille et s’aiguise au quotidien. Explications et exercices pour
suivre en toute confiance notre « boussole » intérieure.

Flavia Mazelin Salvi

Sommaire

 Une faculté qui embellit la vie


 Exercice 1 : Réveillez votre guide intérieur
 Exercice 2 : Faites le tri dans vos messages
 Exercice 3 : Testez une journée 100 % intuition
 Exercice 4 : Restez en contact avec votre guide

Pour le philosophe allemand Schopenhauer, elle était la marque de fabrique de toutes les oeuvres
de génie. Einstein, lui, la définissait comme une « sensation au bout du doigt
» (fingerspitzengefühl). Pour vous et moi, elle est une petite voix intérieure qui conseille, une
certitude fulgurante qui s’impose, ou encore une réaction corporelle plus ou moins intense. Les
plus réceptifs d’entre nous prennent en compte leur intuition, les autres la refoulent ou l’ignorent.
Même si son origine demeure mystérieuse, les neurosciences reconnaissent aujourd’hui qu’elle
peut être un allié non négligeable pour nous faciliter la vie. Ni sixième sens magique, ni don réservé
à quelques élus, l’intuition est une faculté à la portée de tous.
« La capacité intuitive consiste à percevoir des éléments contextuels et à les agencer de manière
adaptative pour trouver une solution nouvelle dans un programme préétabli ou dans une situation
répétitive, expose Roland Jouvent, professeur de psychiatrie et directeur du centre Émotion du
CNRS à la Salpêtrière, à Paris et auteur du Cerveau magicien (Ed. Odile Jacob 2002). Nous avons
une partie du cerveau rationnelle qui gère nos apprentissages et une autre plus émotionnelle,
relationnelle et adaptative, qui est capable de sortir des contraintes logiques répétitives. L’intuition
aurait à voir avec cette capacité à imaginer des réponses et des solutions hors “logique prédictible”.
» En clair, perdu en voiture dans une ville, nous pouvons soit demander notre chemin, soit suivre
notre feeling, c’està- dire nos « sensations - impressions », qui forment une sorte de certitude
flottante.
Pour autant, ce conglomérat intuitif n’est pas dépourvu de rationalité. « En réalité, pour les
neurosciences, explique la neurologue Régine Zékri-Hurstel, auteure avec Jacques Puisais
du Temps du goût (Ed. Privat 2010), il s’agit pour une bonne part d’informations sensorielles
captées par notre cerveau mais qui ne parviennent pas à notre conscience. C’est pourquoi
beaucoup de neuroscientifiques nomment l’intuition “inconscient d’adaptation”. Notre cerveau
arrive directement aux conclusions et nous fait prendre des décisions sans que nous ayons
conscience des perceptions subliminales qui nous y ont conduits. » La neurologue ajoute que notre
intuition « est connectée à notre banque de données sensorielles, toujours en mouvement, et
s’adapte en permanence pour percevoir le moindre changement. Les plus intuitifs sont donc ceux
qui ont le mieux développé leurs qualités sensorielles. L’émotion vient des sens, elle est essentielle
dans la capacité intuitive. » Une affirmation qui entre en résonance avec ce que constate le
psychanalyste Moussa Nabati. « Si l’on cesse d’être branché sur soi, si l’on entre véritablement en
empathie avec l’autre, alors on peut sentir, pressentir des choses, des événements qui ne sont pas
la projection de nos peurs, désirs ou angoisses. »
Une faculté qui embellit la vie
« Chacun a la capacité d’être intuitif, affirme Régine Zékri-Hurstel, chacun peut avoir accès à des
données diverses pour évaluer un contexte ou une personne, être averti d’un danger ou trouver
une solution nouvelle, mais le véritable “plus” de l’intelligence intuitive, c’est de contribuer à notre
bonheur. Plus précisément à notre “neuro-bonheur”, c’est-à-dire le fait d’intégrer l’ensemble des
données de notre environnement, de notre présent, pour améliorer notre devenir, et découvrir,
grâce à cette porte ouverte sur notre cerveau, les codes d’accès personnalisés de notre bien-être
sensoriel. »

Ainsi branchés sur nos sens, réceptifs à nos émotions et à notre « petite musique intérieure », nous
pouvons ressentir ce qui est vraiment bon ou mauvais pour nous. « Lorsque nous savons quelque
chose avec notre intuition, nous le savons avec nos os, notre coeur ; c’est une connaissance, une
certitude qui résonne dans l’ensemble de notre corps-être », estime Judee Gee, créatrice et
directrice de l’École de l’intuition, auteure de Comment développer votre intuition (Trajectoires
2010). Quelle relation laisser tomber ? Quelle proposition refuser ? Quelle direction suivre ? La
confusion règne souvent dans nos vies où les possibilités sont devenues infinies. L’intuition peut
être une boussole précieuse, une invitation à l’autonomie, l’opportunité de modeler son quotidien
au plus près de ses besoins, de ses envies et de ses compétences.

Selon Vanessa Mielczareck, coach spécialisée en intuition, cette faculté « nous fait gagner du
temps, nous rapproche de nos véritables aspirations, nous connecte à nos vraies ressources
intérieures. Encore faut-il oser lui faire confiance. Par essence, l’intuition est toujours juste. Lorsque
l’on se trompe, c’est parce que l’on n’est pas en présence d’une intuition, mais plutôt de l’expression
d’un désir, de l’imagination, d’une volonté, d’une peur ». Vanessa Mielczareck pointe trois
principaux obstacles : le manque de confiance en soi, l’hyperrationalisme et la négativité. Une fois
ces freins repérés et levés, on peut alors accueillir ses intuitions et choisir, en toute sérénité, de
leur faire confiance.

Exercice 1 : Réveillez votre guide intérieur


À pratiquer une fois par jour (matin ou soir), pendant au minimum une semaine.

Relaxez-vous en profondeur. Installez-vous confortablement. Expirez longuement, puis


amorcez un cycle d’inspirations-expirations calmes et profondes en relâchant vos muscles. Une
fois détendu, imaginez que vous déplacez votre conscience dans votre abdomen. À chaque
inspiration, descendez plus profondément en vous, jusqu’à vous sentir parfaitement relaxé.
Interrogez-vous : « De quoi ai-je besoin d’être plus conscient ? » Laissez la question cheminer
en vous et accueillez sans juger les réponses : images, mots, sensations, émotions… Il s’agit de
se mettre à l’écoute de votre guide intérieur. S’il est toujours muet au bout de deux ou trois jours,
essayez ces questions : « Quelle direction dois-je prendre en ce moment ? », « Que dois-je faire
maintenant ? Montre-moi. »
Notez vos messages, même s’ils vous semblent farfelus ou éloignés de votre demande.
Gardez-les pour vous. Avec le temps, un mot, un visage ou une sensation peuvent revêtir une
signifi cation qui vous a échappé au premier abord, parce que vous étiez dans une forme de pensée
causale et non analogique.

 https://www.passeportsante.net/fr/Actualites/Dossiers/DossierComplexe.aspx?doc=c
omment-apprivoiser-intuitions

Comment apprivoiser ses intuitions ?


Faut-il faire confiance à son « sixième sens » ? Nos intuitions ont-elles
toujours raison ? Doivent-elles guider notre conduite ou faut-il au contraire
s’en méfier ?
Les intuitions ne sont pas les mêmes selon les personnes. Certains auront un
excellent instinct dans une situation donnée et seront totalement désemparées dans
d’autres situations. Nos intuitions peuvent nous effrayer, alors comment faire pour
vivre avec sereinement ? Voici quelques règles qui vous permettront d’apprivoiser
votre « sixième sens ».

Ne pas condamner nos intuitions

Il est d’abord important de ne pas condamner nos intuitions trop rapidement.


Quelques fois, on peut confondre les préjugés et les intuitions. Si les préjugés
doivent être combattus car ils altèrent notre jugement, nos intuitions doivent être
suivies plus naturellement, car elles nous permettent de ne pas reproduire des
erreurs passées. Nos intuitions nous protègent.

L’intuition est une manière que choisit le cerveau pour faire passer des informations
de notre inconscient à notre conscient. Condamner ses intuitions c’est donc
prendre le risque de recommencer des erreurs que nous avons déjà faites par
le passé, ou de nous mettre en danger. On est sur la route et on a l’intuition de
ralentir parce qu’il y a de la neige. Cette intuition nous protège, alors il faut lui faire
confiance.

Être à l’écoute de ses intuitions

Pour suivre ses intuitions, il faut apprendre à être à l’écoute. De nombreuses


méthodes existent pour nous permettre d’être plus réceptifs à nos intuitions. Certains
choisiront le yoga, d’autres la méditation, d’autres encore auront besoin d’apprendre
à lâcher prise. Le besoin de tout contrôler dans sa vie freine notre capacité à
suivre nos intuitions.

On nous présente une personne qui a une allure et un comportement qui nous
déplaît, mais une petite voix intérieure nous dit qu'elle pourrait nous faire du bien. Le
premier réflexe de celui qui veut tout gérer dans sa vie sera de ne pas faire attention
à cette personne, mais si on choisit de lâcher prise, alors on prendra le temps de
faire connaissance avec elle et de savoir qui elle est.

L’intuition a-t-elle toujours raison ?

Nos intuitions nous protègent, nous devons donc partir du principe qu’il faut les
suivre. Mais il arrive que nous fassions fausse route parce que nous avons mal
interprété une intuition. En règle générale, ce sont les personnes les plus sensibles
qui sont les plus à même de comprendre et de suivre leurs intuitions. C’est pour cette
raison que l’on dit souvent que les femmes sont plus intuitives que les hommes.

Les intuitions peuvent aussi faire peur à certaines personnes parce qu’elles sont
irrationnelles. Mais ce qui est irrationnel n’est pas pour autant forcément
déraisonnable. En revanche, ce n’est pas parce que nos intuitions ont souvent
raison qu’il faut attendre d’en avoir une pour agir. Dans de nombreuses
situations, un choix devra se faire sans aucune intuition.
Ne pas craindre de se tromper

Et parce que tout ceci est irrationnel, il ne faut pas craindre de se tromper. On a
posé un choix en croyant suivre une intuition et ce choix s’est avéré hasardeux ?
Cela ne doit pas nous pousser à tourner définitivement le dos à notre « sixième
sens ». Une maman sent que son enfant est en danger et se précipite dans sa
chambre. Là, elle le découvre en train de jouer gentiment. Son intuition aura été
mauvaise, mais elle ne devra pas négliger les intuitions similaires dans le futur.

Pour finir, il faut comprendre que pour apprivoiser ses intuitions, il faut avoir
confiance en soi. Quelqu’un qui aura une image positive de lui-même parviendra
beaucoup mieux à être à l’écoute de ses intuitions qu'une personne fragile
affectivement et émotionnellement. Se faire confiance c’est accepter de tomber et de
se relever encore plus fort.

Il faudra aussi apprendre à se connaître. Plus on saura qui on est au plus profond
de soi, plus on parviendra à faire confiance à ses intuitions et à les apprivoiser.
« Nous essayons grâce à la logique, mais nous nous découvrons grâce à l’intuition »,
avançait Henri Poincaré, un philosophe et physicien français. Tout est dit.

++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++
+++++++++
 https://street-hypnose.fr/hypnose-intuition/

L’hypnose et l’intuition : un enjeu pour la relation


hypnotique
Combien d’entre vous écoutent leur intuition au cours d’une séance d’hypnose au
point d’adapter et de modifier le contexte de la relation hypnotique avec le volontaire
?

Peu de personnes prennent le temps d’y prêter attention, et pourtant j’ai trouvé en l’intuition
un des éléments essentiels qui différencie subtilement un hypnotiseur de niveau moyen
ou débutant qui cherche à maîtriser des techniques, et un autre beaucoup plus performant
qui apprend à développer (et surtout à écouter) son intuition.

Dans un contexte donné : faut-il que je sois autoritaire ou plutôt doux et bienveillant avec
cette personne ? Faut-il que j’utilise cette métaphore ou plutôt celle-là ? Devrais-je
privilégier une induction instantanée ou une autre un peu moins rapide ? Est-ce que le
volontaire est prêt à vivre une hallucination ? Quels mots utiliser pour rendre les amnésies
plus ludiques aux yeux de mon volontaire ? Est-ce que le volontaire vit une
séance agréable ou semble-t-il gêné par son expérience ? Est-ce que je peux tenter une
amnésie sans induction ? Est-ce que mon volontaire est plutôt en transe légère ou
profonde ?

Autant de questions auxquelles il est parfois difficile de répondre en ne se fiant qu’à son
esprit analytique et aux éléments visibles et concrets. De plus, cela demande un effort
conséquent de porter toute son attention sur l’ensemble des éléments permettant
d’apporter la réponse la plus objective possible. Pour répondre à la dernière question, à
savoir si le volontaire est plutôt en transe légère ou profonde, nous pouvons par exemple
nous servir des différents signes extérieurs de transe : mouvements rapide des yeux,
déglutitions plus récurrentes, relâchement musculaire, regard vitreux lorsque les
paupières sont ouvertes, catalepsies spontanées etc. Avec beaucoup de pratiques, on se
rend compte que l’on analyse de moins en moins, et que pourtant on connaît la réponse
malgré tout. L’analyse a été faite à un niveau inconscient, et souvent de manière beaucoup
plus complexe qu’on ne l’imagine. C’est à ce niveau que rentre en jeu l’intuition. Comment
se servir de son intuition peut nous rendre encore plus performant ?

C’est quoi l’intuition ?


Lorsque l’on est confronté à plusieurs choix dans la vie de tous les jours, nous parlons
souvent dans le langage courant de “faire confiance à son intuition”. Mais au fond, qu’est-
ce que l’intuition ?

Concrètement, l’intuition est une forme d’intelligence présente en chacun de nous.


Ce qui veut dire qu’elle doit se travailler et se développer. L’intuition nous permet de sortir
des contraintes logiques qui nous limitent. L’intuition nous donnerait cette capacité à
imaginer des réponses et des solutions qui sortent du cadre de la logique
prédictible.

Personnellement, j’aime imaginer l’intuition comme une réponse (visuelle, kinesthésique


ou utilisant d’autres sens) provenant d’un vaste océan où naviguent un choix infini de
données et d’inspirations. Cet océan représenterait tout notre vécu, notre mémoire et nos
expériences passées. Une sorte de bibliothèque à idées illimitées, dans laquelle des
connexions se font et des liens se créent. L’intuition n’a pas de réalité vraie et absolue.
Elle est par définition subjective et liée à notre Moi profond. Face à une même situation,
deux personnes auront des intuitions souvent différentes. On pourrait qualifier l’intuition
“d’intelligence spontanée”, voire même “d’intelligence inconsciente”. L’intuition n’est pas
forcément une réponse exacte. On pourrait plutôt la décrire comme la réponse la plus
sincère et naïve, dénuée d’analyse superflue.

Être à l’écoute de son intuition, c’est déjà se faire confiance et ne pas avoir peur de sortir
des sentiers battus ou d’aller à l’encontre de ce que pense la majorité. C’est, d’une certaine
manière, avoir la foi, mais en soi. C’est être à l’écoute de l’ensemble de ses sens, et donc
être en empathie avec l’environnement et les personnes qui nous entourent. On peut alors
percevoir des choses qui ne seraient pas visibles au premier coup d’œil. Si Street Hypnose
existe aujourd’hui, c’est parce que j’ai suivi mon intuition qui m’encourageait à créer ce
site web, alors que raisonnablement je n’y croyais pas du tout.

L’exemple de la synchronisation
Lorsque vous lisez des articles sur l’hypnose en général, vous allez souvent y trouver des
références à la synchronisation. On vous demande de vous synchroniser avec votre
volontaire et on vous donne même des techniques qui se rapprochent bien souvent du
mimétisme pur. C’est partiellement efficace. Ce n’est que la première étape.

Apprendre des techniques est un leurre. Inutile dans la finalité de l’objectif à atteindre.
Mais pourtant nécessaire. Parce qu’apprendre des techniques permet de gagner
suffisamment confiance en soi afin d’ensuite s’en libérer et réellement toucher du doigt
l’essence de la pratique.
Faites donc un test et suggérez-vous de vous synchroniser au maximum avec votre
volontaire, et vous constaterez alors que, effectivement, vous allez adapter naturellement
des postures similaires, ajuster votre intonation et modifier dans votre façon de faire un
nombre incalculable d’autres petits détails qui joueront en votre faveur. Et toute la force
de cette technique saute aux yeux quand elle est pratiquée d’inconscient à
inconscient. Si vous persistez à adapter votre posture consciemment, vous passerez à
côté de l’essentiel.

Si vous saviez le nombre de mail que je reçois de personnes déçues que mes techniques
ne fonctionnent pas parce que je cite : “j’ai fait exactement comme décrit dans le livre ou
dans vos vidéos, et pourtant ça ne marche pas ! Qu’est-ce que je dois faire de différent
pour que cela fonctionne ?”
Les personnes attendent une recette toute prête à suivre pas à pas et qui fonctionne à
tous les coups. Dommage, cela n’existe pas dans le domaine de l’hypnose ! En continuant
dans cette métaphore, je ne leur donne au final qu’une liste d’ingrédients. A eux ensuite
de trouver le mélange qui sera le plus harmonieux en fonction de chaque volontaire. Et ce
qu’il y a de plus beau, c’est qu’il n’y a pas deux recettes identiques. Chaque séance
d’hypnose diffère, même si les ingrédients restent les même.

Entraînez votre intuition


Les personnes qui manquent de confiance en elles auront tendance à ne pas être à
l’écoute de leur intuition. Au contraire, elles vont la refréner, par peur de se tromper ou
d’avoir l’air ridicule. Elles veulent du concret, du rassurant. C’est une faiblesse contre
laquelle il faut se battre. La seule chose que vous risquez, c’est de vous planter. Et en
voulant à tout prix éviter l’échec, vous allez purement et simplement ne jamais progresser.
Un enfant, pour apprendre à marcher, va tomber un certain nombre de fois. Et pourtant, il
recommence ! Jusqu’à ce qu’un jour, il réussisse.

Si l’on vous répète sans cesse qu’il faut pratiquer énormément pour progresser en tant
qu’hypnotiseur, ce n’est absolument pas parce que les techniques à apprendre sont
difficiles. C’est parce qu’il faut apprendre à se libérer de ces techniques et à écouter ce
que nous dit notre intuition. Les techniques sont importantes. Elles sont la base. Mais
prises individuellement, aucune n’est réellement complexe. La difficulté, c’est de savoir
quand exactement les utiliser. Et le delta varie pour chaque volontaire. D’où notre fameux
slogan d’hypnotiseur “chaque séance est unique”. Nous passons alors d’un état
consciemment incompétent, à un état inconsciemment compétent. Nous
commençons par des techniques à mettre en oeuvre consciemment (d’où la
difficulté), en nous dirigeant petit à petit, séance après séance, vers un savoir être
qui se substitue à l’ensemble des techniques apprises jusque là.

Pour forger notre intuition et la rendre la plus productive possible, il faut lui donner de la
matière. Pour résoudre un problème mathématique complexe, il faut auparavant avoir
résolu un certain nombre de problèmes plus simples qui vont nous ouvrir petit à petit vers
la logique attendue. Il en va de même pour votre intuition. Vous devez construire à
l’intérieur de vous une base de données sur l’hypnose la plus large possible –
correspondant à un ensemble de techniques et de savoir faire que vous avez déjà utilisés
dans différents contextes et dont vous connaissez les avantages, inconvénients et
difficultés – afin que votre inconscient puisse aller puiser la réponse la plus adaptée à la
situation.
Lorsque vous avez lu mon livre, vous avez déjà commencé à créer cette base de données.
Il suffit ensuite d’acquérir l’expérience nécessaire pour savoir quelles données utiliser, et
à quel moment. C’est essentiellement la pratique qui va venir forger cet algorithme
inconscient et vous faire gagner en efficacité. C’est pourquoi je recommande à tous les
néophytes de commencer par ma routine créée spécialement pour les débutants, qui
propose cette base dont les débutants ont besoin pour prendre confiance en eux et en
leur capacité à hypnotiser. Et un jour, à force de pratique et de lectures, votre intuition
vous guidera et vous vous surprendrez à prendre des initiatives au cours de la
séance d’hypnose. Vous vous surprendrez à OSER. Il y aura des échecs et des
réussites qui quoi qu’il arrive feront de vous un meilleur hypnotiseur.

Votre intuition
J’ai commencé par m’intéresser à la manière dont l’intuition se manifestait en moi et je me
suis imprégné de ces sensations au quotidien, observant mes réactions et me mettant
davantage à l’écoute des autres et de moi-même.

J’ai poursuivi en tentant de comprendre ce qui m’empêchait de mettre en


évidence certaines intuitions, en particulier les situations où je devais choisir entre raison
et intuition. Distinguer ces deux voix a été un objectif majeur, une clé importante dans le
développement de ma pratique de l’hypnose.

L’intuition est une question d’ouverture intérieure. Elle ne s’apprend pas, elle se
redécouvre et s’entretient. Elle est accessible à tous. Il n’y a que quelques marches à
gravir en nous-mêmes, quelques pas à faire pour franchir la porte qui nous conduit à elle.
C’est à ce voyage intérieur que je vous invite, à la rencontre de ce précieux outil qui
sommeille en chacun de nous.

Comment exercer son intuition ?


Il ne faut pas avoir peur de s’adresser à son inconscient.

Il faut oser solliciter son intuition, tout en acceptant son existence et son utilité. Il faut
apprendre à entendre sa petite voix intérieure et l’écouter de plus en plus. Et plus on
l’écoute, plus elle se manifeste. C’est en reconnaissant un réel intérêt pour son intuition
que l’on peut la développer davantage encore. Finalement, il s’agit de prendre des
décisions sans réfléchir consciemment, en laissant remonter de l’intérieur une réponse
toute faite. Le plus dur est ensuite de se faire confiance, et de ne pas rejeter la première
idée qui apparaît. Souvent, on a envie de se dire “mais non, c’est débile ce à quoi je viens
de penser”. Erreur ! Faites vous confiance. Laissez vous surprendre. Pour beaucoup
d’entre nous, trouver une réponse ou une solution qui sort de l’ordinaire possède des
connotations négatives. L’intuition déclenche souvent une peur de se tromper face à une
réponse qui nous paraît inappropriée. C’est notre créativité qui parle.

Il faut mettre de côté son intelligence rationnelle et ses idées reçues et accepter que
se tromper fait partie du jeu.

Le signaling est un moyen comme un autre de découvrir son intuition et son


fonctionnement. En état d’auto-hypnose, demandez à votre inconscient de produire un
phénomène idéomoteur indiquant une réponse “oui”. Cela peut être un doigt qui bouge,
un bras qui s’élève, peu importe. Faites la même chose pour le “non”. Le but étant de
pouvoir poser des questions à son inconscient et obtenir une réponse rapide. Vous pouvez
poser toutes sortes de questions, des plus folles aux plus sérieuses. A force de pratique,
vous sentirez la réponse monter en vous avant même qu’elle ne se révèle par le
phénomène idéomoteur. A ce moment là, vous serez directement connecté à votre
intuition. Ensuite, vous pourrez passer à des questions plus ouvertes. Et pour “valider”
votre intuition, vous pouvez demander à votre inconscient de l’écrire grâce à l’écriture
automatique. Il vous suffira de vous poser une question, ou simplement d’être face à une
problématique, pour qu’une réponse intuitive apparaisse. Petit à petit, les réponses se
complexifieront. Sans savoir d’où cela vient, vous ressentirez une solution surgir à
l’intérieur de vous.

La plupart du temps, les intuitions montent sans vraiment prévenir, et c’est là qu’il faut être
à l’écoute de soi pour ne pas les louper.

Quelques exemples d’utilisation


Ce week-end, j’étais avec une amie dans un Parc. Je l’hypnotise en général très rarement,
et à un moment donné j’ai eu l’intuition que je devais lui demander si elle souhaitait une
séance d’hypnose. Etrangement, elle a refusé catégoriquement. Je ne m’y attendais
vraiment pas. Comme je l’ai déjà expliqué, les ratés font partie du jeu alors je n’ai pas
insisté. Pourtant, un peu plus tard dans l’après-midi, elle a relancé le sujet et m’a avoué
qu’elle avait en réalité envie / besoin d’une séance mais qu’une peur l’en empêchait. Mon
intuition de départ était bonne. Pourquoi j’ai eu cette intuition ? Comment ? Je n’en sais
rien. Cela me dépasse. Je suis juste content de l’avoir écouté.

Je m’amuse très souvent à demander aux gens qui me présentent un problème : “et si tu
demandais à ton inconscient ce qu’il te propose comme solution ? Pose-toi la question
à l’intérieur, et dis moi ce que tu vois ou ressens”. Généralement, la première réponse est
purement analytique et ne m’intéresse pas. Je demande ensuite à la personne de fermer
les yeux, de se détendre, puis de reposer la question et cette fois de ne pas chercher à
trouver de réponse. Au contraire, de la laisser venir toute seule. Et à chaque fois, la
réponse qui ressort est bien plus forte. Quelques fois un peu loufoque et bizarre. Mais
efficace.

Lors de la dernière formation de Street Hypnose à Toulouse, nous avons cherché à


approfondir les intensités des phénomènes hypnotiques sur les différents stagiaires
présents. Pour l’un d’entre eux, qui avait une faible amnésie, on lui a demandé :
“demande à ton inconscient quelle métaphore pourrait être utilisée pour faire disparaître
complètement ce prénom de ton esprit et donne nous la première réponse qui te vient à
l’esprit”. La réponse de son inconscient a été plutôt spéciale et inattendue. Il s’est
téléporté sur une plage, avec son prénom inscrit dans le sable. Puis, c’est un nuage de
fumée rouge qui est venu le dissimuler. Son inconscient a même choisi de remplacer le
prénom original par “fumée rouge”. Lorsqu’on lui demandait son prénom, il répondait
“fumée rouge”. Cette solution, aucun hypnotiseur n’aurait pu la trouver de lui-même.
Pourtant, c’était certainement la plus efficace dans ce contexte précis, avec ce
volontaire.

Lors d’une séance d’hypnose d’il y a quelques semaines, je ne cessais de ressentir des
angoisses assez fortes émanant de ma volontaire. J’ai continué dans un premier temps
la séance sans exprimer mon ressenti, afin d’éviter de créer cette angoisse chez la
personne en lui demandant si elle était réelle. Vous le savez désormais, une personne
en état d’hypnose est très sensible aux suggestions. Si vous lui dites “tu n’as pas mal à
la tête là t’es sûr ?” vous risquez de créer ce mal de tête. Et puis, à la fin, elle me
demande si je peux l’aider à rester dans cet état super zen y compris lors de son
entretien à venir pour son futur emploi ? Je lui demande alors comment elle gère
généralement les derniers jours avant un entretien, et là elle me raconte ses angoisses
horribles. Je lui ai laissé un ancrage pour la rendre parfaitement zen à chaque fois
qu’elle serre le poing, en espérant qu’elle ait décroché cet emploi depuis. Je suis
incapable de mettre des mots sur ce que j’ai vu et qui a pu me mettre la puce à
l’oreille. Et c’est ce que je trouve fascinant avec l’intuition.

Récemment, j’ai eu un choix très délicat à faire. Est-ce que je continue mon emploi actuel,
ou est-ce que j’ose me lancer complètement dans l’hypnose ? La raison m’a dicté une
chose. Mon intuition une autre. Et bien après toutes les expériences positives que j’ai
eues, et même pour une décision aussi cruciale, j’ai décidé de suivre mon intuition.

Partagez vous aussi vos expériences sur l’intuition en commentaires juste en


dessous de l’article.

++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++
++++++++++++

LACHER PRISE

Recherche 1 > Pourquoi lâcher prise


Recherche 2 >
Recherche 3 >

++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++

 https://www.marieclaire.fr/,pourquoi-est-il-important-de-lacher-prise,795781.asp

Pourquoi est-il important de


savoir lâcher prise ?

Tw
Dans un monde qui exige de nous
performance et maîtrise en toutes
circonstances, il est important de savoir
lâcher prise pour préserver sa santé et sa
sérénité.
Le lâcher-prise est aujourd'hui cuisiné à toutes les sauces. Tous les
ouvrages de développement personnel et de nombreux courants de
psychologie insistent sur cette notion. Il faut lâcher prise au travail, à
la maison, en couple. Mais, bien souvent, la profondeur de ce
concept nous échappe et il n'est pas toujours évident de le mettre
en pratique.

Lâcher prise, c'est-à-dire ?


Certains pensent souvent, à tort, que lâcher prise consiste à
renoncer, à se résigner. S'il y a effectivement du renoncement dans
le lâcher-prise, la résignation est absente de cette philosophie de
vie qui a le pouvoir d'adoucir le quotidien.

Lâcher prise c'est renoncer à


contrôler ce qui ne peut pas l'être.
Cela suppose donc d'être bien ancré dans le présent. Vous avez
travaillé dur pour obtenir une promotion ? Votre présentation a été
un succès, votre patron vous a semblé enthousiaste, mais la bonne
nouvelle tarde à tomber ? Bien souvent, dans une telle situation,
nous nous rongeons les sangs jusqu'à ce que nous ayons une
réponse à la question qui nous taraude. Lâche prise consiste alors
à reconnaître que nous avons déjà fait tout ce que nous pouvions.
Nous ne pouvons plus agir sur la situation, les cartes ne sont plus
entre nos mains. Il ne nous reste donc plus qu'à accepter
l'incertitude et l'angoisse qu'elle génère.
L'importance de savoir lâcher-prise
Si le lâcher-prise est aussi important, c'est parce qu'il nous permet
de ne pas gaspiller notre énergie et notre calme inutilement. Bon
nombre de tracas quotidiens naissent d'un manque d'acceptation de
situations qui ne peuvent être changées. Bien souvent, nous nous
perdons dans la rumination d'un passé révolu ou nous nous
réfugions dans l'idéalisation d'un futur utopique. Loin de nous
ressourcer, ces "évasions" mentales nous égarent et nous éloignent
du moment présent.

Lâcher prise permet de faire face aux petits accrocs de la vie


quotidienne de manière efficace. En étant pleinement ancrés dans
le présent, nous pouvons accepter les événements dans leur
intégralité et résoudre ce qui doit être résolu dans l'instant. Cela
permet notamment de ne pas passer à côté des bons moments,
toujours présents, même dans les situations les plus difficiles et de
conserver autant d'optimisme que possible. Lâcher prise ne
consiste pas à rester de marbre, passif, face aux aléas de
l'existence. Il s'agit au contraire d'accepter ses limites et d'agir
uniquement sur ce qui est à sa portée. Cela permet notamment de
préserver sa santé physique et psychique du poison que représente
la rumination des émotions négatives.

Lâcher-prise pour une vie meilleure


Si le concept de lâcher-prise est relativement simple, il n'est pas
toujours évident de le mettre en pratique. Accueillir et accepter les
événements, bons ou mauvais, avec relâchement n'est pas chose
aisée. Cela exige de la patience et du travail.

Il faut en effet déconditionner l'esprit qui s'efforce, depuis très


longtemps, d'essayer de tout contrôler.

++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++
+++++++++++++++
Comment lâcher prise ?
Il faut, paraît-il « lâcher prise ». C’est en tout cas ce que tout
un chacun peut lire ou entendre répéter dès qu’il est question
d’une approche spirituelle de l’existence.
Si cette expression a fait florès au point de devenir un cliché
du développement personnel, ce qu’elle recouvre n’en reste
pas moins confus. Elle est prétexte à bien des malentendus.
Qu’avons-nous, au juste, à « lâcher » ?
Quelle est donc cette « prise » qu’il conviendrait de desserrer
? Cette attitude est-elle compatible avec un positionnement
responsable ? Si oui, comment passer du concept à la
pratique ? Les enseignements de sagesse traditionnels
s’articulent tous autour de cette question. Nous pouvons
donc nous tourner vers eux et y chercher des réponses, qu’il
nous appartient ensuite de faire nôtres.
Entretien avec Gilles Farcet, écrivain français et promoteur
d'une spiritualité inspirée de l'enseignement d' Arnaud
Desjardins.
Psychologies : Avant de prétendre "lâcher", encore faut-il savoir ce que nous
"tenons" ?
Gilles Farcet : Au commencement de toute "prise" se trouve l’ego, une conviction, un ressenti
dont tout découle. Moi, Pierre ou Paul, j’existe indépendamment du tout, séparé, seul face à l’autre,
c’est-à-dire tout le reste, tout ce qui n’est pas "moi" et qui, étant "autre", n’obéit pas toujours à ma
loi. L’identification à ce très cher moi se paie au prix fort : me ressentant séparé, je vis à la fois
dans la peur et dans une illusion de toute-puissance. "Seul contre tous", "Après moi le déluge",
telles sont en somme les deux croyances sur lesquelles se dresse l’ego. Lâcher-prise, c’est
abandonner une illusion, celle de la séparation.
Ce lâcher-prise ne sous-entend en rien une négation de l’individualité. Pierre reste Pierre, Paul
demeure Paul. Simplement, la partie se reconnaît comme expression du tout, la vague se sait
forme du grand océan et, du même coup, reconnaît les autres vagues comme autant d’expressions
de ce qu’elle-même est au plus profond. Par un apparent paradoxe, l’autre à la fois disparaît – nul
ne peut plus m’être essentiellement étranger – et se trouve comme jamais reconnu dans sa
différence existentielle. Le moi séparé cesse d’être l’étalon, la mesure de toute chose. Il n’y a plus
de moi pour exiger de l’autre qu’il se conforme à mes critères. Le lâcher-prise se produit dès lors
que le moi accepte de l’autre, de tout autre, qu’il soit autre.

Voilà pour la métaphysique, qu’en est-il de la pratique au quotidien ?


Le sens du moi séparé se maintient instant après instant par le refus plus ou moins conscient de
l’autre (c’est-à-dire de ce qui est – "Moi, je ne veux pas qu’il pleuve ce matin", "Moi, je ne veux pas
que ma femme fasse cette tête", "Moi, je refuse que ce qui est soit et je prétends mettre autre
chose à la place" –), refus qui s’accompagne de la prétention sous-jacente à tout contrôler. Le fait
même que "moi, je ne veuille pas" implique la conviction qu’il pourrait en être autrement parce que
tel est mon souverain désir. Nous refaisons sans cesse le monde à grands coups de "si", de
"quand" , au nom de ce qui "devrait être", "aurait pu être", "pourrait éventuellement être", et nos
pensées vagabondent dans le passé ou le futur. Il est bien rare que nous soyons vraiment " ici et
maintenant " – alors même que nous ne pouvons en fait être ailleurs qu’ici et à un autre moment
que maintenant. Quoi que mon mental prétende, je me trouve là où sont mes pieds. Si je pense au
passé ou au futur, c’est toujours maintenant. Passé, futur, ailleurs n’existent qu’en tant que
pensées surgissant ici et maintenant.

La pratique la plus simple et efficace du lâcher-prise consiste donc à s’exercer


à demeurer un ici et maintenant avec ce qui est ?
Cette pratique n’exclut en rien l’aptitude à prévoir, à organiser ni ne nous dispense de nos
responsabilités. L’attitude d’ouverture inconditionnelle à l’instant ne conduit nullement à baisser les
bras, à tolérer l’intolérable. Le lâcher-prise, dans l’immédiateté, est totalement compatible avec
l’action dans la durée. Le lâcher-prise n’est pas se résigner mais être conscient de ses limites. Je
marche dans la rue, un vieillard se fait renverser sous mes yeux. Le fait que je pratique ici et
maintenant le lâcher-prise (sur des questions comme : est-ce grave ? sa vie est-elle entre mes
mains ?) ne me conduit pas à m’abstenir de lui venir en aide. Bien au contraire, en m’épargnant
les pensées parasites ou les atermoiements, ce positionnement intérieur me permet d’agir plus
vite, dans la mesure exacte de mes possibilités.

STRESS
Recherche 1 > pourquoi je stress ?
Recherche 2 > Qu’Est ce que le stress ?
Recherche 3 > conséquences du stress
Recherche 4 > Comment gérer le stress ?

Lien > http://madame.lefigaro.fr/bien-etre/pourquoi-je-stresse-pour-un-rien-010115-2439

Prendre conscience que l'on est stressée est simple. En revanche, identifier les
causes de cette montée d'adrénaline est plus compliqué. Petite introspection.
En ce moment

Chaque jour c'est la même chose. Un rien vous stresse et déclenche instinctivement
une boule au ventre, les mains moites et des battements de cœur plus rapides. Qu'il
s'agisse d'être à l'heure à un verre ou à un déjeuner avec un ami, de rappeler un
ancien collègue pour raviver le réseau ou de filer prendre son train, tout fait stresser.
Les journées sont longues et angoissantes et surtout, vous ne savez pas pourquoi.
Gros plan sur un frein quotidien à la vie en mode off.

Je stresse parce que j'ai peur

On n'y pense pas assez, pourtant la peur de l'inconnu est présente chez bon nombre
d'entre nous et entraîne bien évidemment, une source d'angoisse. La plupart des
hyperanxieuses sont ainsi des inquiètes chroniques. Peur de ne pas gérer la
situation, de ne pas savoir faire, de ne pas être à la hauteur… On imagine toujours le
pire. Sans oublier le changement, générateur de stress pour toutes. Si rater le métro
vous fait transpirer, en revanche, vous souffrez d'hyperanxiété, et c'est un cercle
vicieux. Par peur de l'échec, vous refusez les risques, créant une insatisfaction qui
accroit votre stress.

La solution ? La pensée positive ou la méditation. Cette dernière prouve ses bienfaits


depuis des années, sur la gestion de la douleur mais aussi sur le stress. Inutile de
partir faire une retraite spirituelle dans un temple bouddhiste pour adopter la
méthode. On peut l'appliquer au quotidien au saut du lit ou dans les transports quand
la tension monte. Dans ce dernier cas de figure, prenez quelques secondes pour
regarder tous ceux qui vous entourent et laissez votre esprit slalomer. Laissez-vous
toucher par ces personnes. Sont-elles si différentes de vous ? Laissez résonner en
vous cette question quelques secondes. Vous pouvez aussi pratiquer l'exercice dans
la file d'attente du supermarché ou dans une administration.

Je stresse parce que je m'oublie

Si de nombreuses techniques permettent de lutter contre le mal de vivre, encore faut-


il en comprendre la raison. Éducation, traumatisme, physiologie... ou simple oubli de
soi. Parfois, rien ne sert de chercher très loin. La vie quotidienne prend souvent
l'ascendant et on finit par s'oublier. Ensuite c'est un cercle vicieux : plus on s'inquiète,
moins on se dorlote. Or de petits plaisirs chaque jour sont indispensables à un esprit
sans tension. Entre le travail, les enfants, sa vie privée et sociale, ces instants
précieux sont les premiers à souffrir. Se perdre de vue est fréquent, résultant en un
décalage entre ce qu'on souhaite vraiment, ce qu'on croit souhaiter et ce qu'on vit.
Accordez-vous le temps de faire le point, loin du stress quotidien. Parfois, forcez-
vous simplement à ne rien faire durant le week-end pour vous reposer. Réservez-
vous une soirée dans la semaine pour vous faire du bien. Que ce soit votre repas
préféré, un épisode de série, une sortie sans enfant, ou un soin du visage : prenez
du temps pour vous.

Je stresse parce que mon corps est mal

Avant de chercher une solution anti-déprime, penchez-vous sur votre mode de vie.
Un physique en mauvaise santé peut devenir cause de stress à votre insu ! Dormez-
vous suffisamment ? Mangez-vous équilibré, et assez ? Faites-vous de l'exercice
physique ? Ces trois carences suffisent à provoquer un déséquilibre favorable aux
tensions ou angoisses. Intégrer à votre routine un sommeil réparateur, un sport
antistress comme le running, la natation ou le yoga, ou des aliments alliés du
moral peuvent alléger vos idées noires. Si tel n'est pas le cas, n'hésitez pas à en
parler à votre médecin ou à un thérapeute.

******************************************************************************
Lien > http://www.centre-de-ressources.org/single-post/2016/12/22/Mais-pourquoi-je-stresse-

Mais pourquoi je stresse ?


December 23, 2016

Je n'en peux plus !!!! Je stresse !!!


Nombreux sont ceux parmi nous qui nous plaignons de stresser. Nous décrivons le
stress comme une plaie qui nous ronge la vie. Le stress est d'ailleurs le mot le plus

courant pour décrire un ras le bol, une tension intérieure qui implose. Et c'est aussi la
première cause de longue maladie - voyez plutôt 23% des arrêts maladie de plus de
21 jours au Luxembourg sont liés au stress ou plus largement à une
dépression (source : Juillet 2013 statistiques de l’inspection de la sécurité sociale
luxembourgeoise page 4)

Et pourtant d'autres diront qu'ils ont besoin de stress pour se mettre en mouvement
ou réaliser de grandes choses !

Mais alors qu'est ce que ce "stress" qui semble pourrir la vie des uns et donner du
piquant à la vie des autres ?

Découvrez dans cet article ce qui se cache derrière le mot "stress", comment notre
organisme fonctionne et pourquoi un phénomène naturel conçu pour être salvateur
se transforme en menace pour notre organisme et notre bien-être.

QU EST CE QUE LE STRESS ?


Contrairement aux idées reçues le stress est un phénomène normal et sain, ni positif,
ni négatif.

En fait quand nous sommes face à un "stresseur" notre organisme se met en marche
de la tête aux pieds.

Chacun réagit à sa façon suivant la fréquence du stresseur, son intensité, le moment,


notre histoire personnelle, nos croyances, nos valeurs et nos RESSOURCES.
Vous voulez un exemple ? Prenons la prise de parole en public : prendre la parole en
public est source d'un stress immense pour certain et un plaisir pour d'autres.

Alors pourquoi souffrons-nous du stress ?


Et comment en sortir ?
Pour répondre à ces questions nous avons besoin de comprendre ce qui se passe
en nous.

COMMENT NOTRE ORGANISME RÉAGIT-IL AU


STRESS ?
Face à un stresseur, notre organisme sait agir de façon ciblée ou de façon
généralisée.

Avec un exemple cela sera plus clair :


Quand nous approchons notre main d'un four brulant, l'information remonte au
cerveau et en mode "réflexe" nous retirons notre main. Nous avons eu peur et notre
organisme a réagi de façon ciblée, tout en nous s'est mis en marche pour que notre
main s'éloigne du feu pour éviter la brûlure.

A contrario si nous sommes poursuivi par un lion, c'est tout notre organisme qui se
mobilise sur ordre du cerveau en automatique et modifie nos fonctions
habituellespour les faire passer en mode URGENCE : ainsi notre cœur pompe plus
vite, notre respiration s'accélère, notre bouche s'assèche, nos pupilles se dilatent,
nos muscles se tendent, notre sueur augmente, notre digestion, et notre libido se
suspendent, etc... En fait notre organisme met en sommeil des activités habituelles
sans nous demander notre avis et déclenche tout un tas d'autres activités pour
rassembler toute notre énergie et faire face à la situation : notre organisme tout entier
se met en mouvement pour nous permettre de prendre la fuite, d'attaquer ou de se
figer.

Humm, intéressant ! D'autant plus que c'est là que cela commence à coincer !

Car prenez 2 secondes pour y réfléchir : comment notre organisme peut-il utiliser
toute l’énergie ainsi déployée pour fuir ou attaquer dans notre vie actuelle ?
Vous vous imaginez attaquer votre patron quand il vous hurle dessus ?

Ou vous mettre à courir à toutes jambes quand la peur vous prend aux tripes face à
un jury qui va décider si oui ou non vous avez le profil pour cet emploi que vous
convoitez tant ? Pas très compatible avec notre vie quotidienne moderne ce
fonctionnement automatique ancestral qui consiste à attaquer, à fuir ou à se figer !

Mais alors... toute cette énergie déployée pour attaquer ou fuir, où va-t-elle si nous
ne l'utilisons pas pour agir ? Que devient ce feu qui monte en nous quand notre
patron crie ? Une idée... ?
Mettons cela de côté un instant et continuons de découvrir comment nous
fonctionnons !

Face à un stresseur, notre organisme lance 3 étapes pour essayer de stabiliser la


situation : D'abord il essaie de nous alerter. Pour cela notre organisme utilise les
sensations, les émotions, les pensées, puis si nécessaire il passe en phase de
résistance et finalement sans réponse il s'épuise à essayer de rétablir la situation.
Ici la question à se poser est : dans notre vie actuelle, quelle place donnons-nous
aux alertes envoyées par notre organisme ? Que faisons-nous de nos sensations, de
nos émotions, de notre petite voix qui nous dit que nous aurions besoin de se
reposer, de rentrer, de prendre un moment pour nous ?
Mais continuons... parce que ce n'est pas tout à fait fini !

Si le choc a l'origine du stress est trop intense (ou perçu comme tel à travers nos
filtres personnels) et que l'on n'est pas mort, et bien notre organisme lance coûte que
coûte le système de rétablissement de l'équilibre.
Et c'est ainsi que notre organisme travaille à plein régime pour retrouver le calme. Et
pendant ce moment... nous nous sentons fatigués et affaiblis, ... nous avons besoin
de calme, de temps pour récupérer.

Alors si cette phase est courte : tout va bien, nous reprenons le chemin d'une vie
classique. Mais.. si elle dure, que nous ne lui laissons pas l'espace dont elle a besoin
pour nous remettre d'aplomb et bien... cette phase peut devenir chronique...les
lésions s'installent, doucement, en silence et font le lit à des maladies parfois graves.
Ce qui est vicieux à ce stade, c'est qu'on peut alors avoir le sentiment de vivre
pleinement et intensément durant cette phase de rétablissement mais à termes c'est
en fait la déprime, le surmenage qui s'installent face à une hyperactivité sans
récupération suffisante. Et voici la dépression, le burnout qui s'invitent. Alors voilà
comment le stress, ce phénomène naturel ni positif, ni négatif peut devenir source de
danger majeur pour notre organisme.

En résumé....?

En résumé, dans notre vie moderne, face à un stresseur, et à


défaut de sortir toute l'énergie rassemblée pour attaquer ou
fuir,
- nous gardons la tension générée par la situation en nous,
- nous ne laissons pas le temps et l'espace à notre organisme
pour récupérer
... et c'est ainsi que le stress à l'origine neutre, devient ce
qu'on appelle stress négatif voire chronique.
Bon, soit !

Lien>https://www.passeportsante.net/fr/Actualites/Dossiers/ArticleComplementaire.aspx?doc
=stress_composantes_do

Qu'est-ce que le stress ?


 Les trois composantes du stress
 Les symptômes du stress
 Découverte du stress
 À la recherche du bon stress
 Stress aigu ou chronique?
 Références

Les trois composantes du stress

Quand on parle de stress, il y a forcément les trois éléments suivants, agencés selon
des combinaisons extrêmement variables :

L'agent de stress, ou sa source : un stimulus d'ordre physique, mental, social ou


émotionnel survient auquel il faut s'ajuster. Le stimulus peut être mineur
(contravention) ou important (déménagement), positif (un mariage) ou négatif (un
conflit), exceptionnel (une intervention chirurgicale) ou constant (un horaire trop
chargé), prévu (un examen) ou inattendu (un accident), etc. Mentionnons aussi que
le stress peut être d'ordre physiologique, et causé par des événements comme un
médicament, une blessure ou un coup de froid, puisque l'organisme doit modifier sa
chimie pour y réagir. Le manque de stimulation peut aussi créer du stress. Mais on
se préoccupe surtout, aujourd'hui, du stress lié au mode de vie et plus
particulièrement du stress psychologique.

La réaction de stress. Lorsque le cerveau sonne l'alerte, des réactions


physiologiques immédiates - comme l'augmentation du rythme cardiaque, la
constriction des vaisseaux sanguins et la montée d'adrénaline – assurent que le
corps puisse réagir à la situation. S'ils persistent au-delà du temps nécessaire pour
« fuir le tigre ou l'assommer », ces mécanismes donnent lieu à des malaises
physiques et psychologiques : les symptômes de stress.

L'attitude. L'intensité de la réaction de stress dépend du message envoyé par le


cerveau aux glandes endocrines, et donc de la perception qu'a l'esprit du stimulus en
question – le fait de le voir comme plus ou moins dangereux, exigeant ou
contraignant. Par exemple : un retard de cinq minutes ne crée généralement pas de
stress, sauf si on pense qu'on va rater le train, ou si le cerveau imagine un autre
scénario catastrophique - ce qui peut être le cas si notre éducation nous a
férocement dressés à la ponctualité. Une attitude négative ou des attentes irréalistes
donnent également lieu à des problèmes de stress.

En somme, le stress est une réaction réflexe, tant psychologique que physiologique,
de l'organisme devant une situation difficile qui demande une adaptation.

Les symptômes du stress

Les symptômes
Les symptômes
émotionnels et Les symptômes comportementaux
physiques
mentaux

- l'agitation - la perception négative de la réalité


- les tensions - l'irritation - la désorganisation
musculaires
- l'indécision - plus de difficulté dans les relations
- les problèmes
digestifs - l'inquiétude - l'absentéisme

- les problèmes de - l'anxiété - la tendance à s'isoler


sommeil ou d'appétit
- le manque de joie - l'abus de télévision
- les maux de tête
- la mélancolie - la consommation accrue de tabac, de
- les vertiges caféine, de sucre, de chocolat, d'alcool, de
- la baisse de libido drogues
- le souffle court
- la difficulté à se - l'évitement des situations exigeantes
- la fatigue concentrer

- la faible estime de soi


Découverte du stress

C'est beaucoup grâce aux travaux de l'endocrinologue canadien d'origine


autrichienne Hans Selye, menés au cours du XXe siècle, que l'on comprend les
mécanismes biologiques du stress - ce qu'il a d'abord appelé le « syndrome général
d'adaptation ». Il a identifié et défini le célèbre « fight or flight response » : ce qui se
passe quand l'organisme monopolise ses ressources pour dominer la situation ou la
fuir. C'est aussi à Selye que l'on doit d'avoir choisi le mot stress (en anglais : tension
mécanique) et de l'avoir imposé en français. Il appelait le bon stress « eustress » et
le mauvais « distress ».

Par la suite, le biologiste français Henri Laborit a étudié ce qui se passe quand la
personne ne peut ni dominer la situation, ni la fuir : ce qu'il a appelé l'« inhibition de
l'action ». Cette « paralysie situationnelle », a-t-il démontré, conduit précisément à
des désordres neuro-psycho-immulogiques. Laborit est également célèbre pour avoir
fait l'« éloge de la fuite », qui serait un recentrage de nos objectifs afin de sauver
notre peau... de l'intérieur. Quant à l'Américain Richard Lazarus, on lui doit
d'importantes études sur le stress psychologique et sur l'efficacité des moyens que
les gens adoptent pour y faire face (coping).

Depuis les années 1960, des milliers de recherches ont été menées dans différents
secteurs (l'immunologie, la cancérologie, la neuropsychologie, etc.) sur les multiples
facteurs intervenant dans chacune des phases du stress, et sur les impacts du stress
sur la santé. Il en reste pourtant encore beaucoup à découvrir, notamment sur les
liens entre l'esprit et le cerveau, c'est-à-dire entre la psychologie et la physiologie.

À la recherche du bon stress

On a tendance à l'ignorer, mais les réactions de stress sont normales et utiles. Dans
de nombreuses circonstances, on parle donc de « bon stress ». On sait, par
exemple, que le niveau de performance au moment d'une tâche est meilleur lorsqu'il
y a une certaine dose de stress, car celui-ci permettrait de stimuler la motivation, de
mieux juger les paramètres de la situation et de se préparer en conséquence.
Plusieurs personnes, d'ailleurs, aiment cette excitation du stress et la
recherchent - dans la compétition, par exemple.

Chez d'autres, moins chanceux, les réactions de stress sont si intenses ou si


durables, même dans des situations courantes, que cela nuit à leur fonctionnement
social et professionnel. Et chez certains, le système nerveux tarde à enclencher
l'indispensable réaction de détente, même après la disparition de l'agent de stress.

Bref, il existe des « tolérants » au stress et des « intolérants », mais on pourrait aussi
définir une troisième catégorie de personnes : les « accros » de l'adrénaline. Ce sont
de gros travailleurs, des workaholics, des gens à la vie sociale intense qui courent
sans cesse, mais qui ne voudraient pas se passer du stress, car il leur permet de se
sentir « vivants ». Or, celui-ci risque de les rattraper dans le tournant, comme en fait
foi la fréquence des maladies cardiovasculaires chez ce type de personnes. À noter
toutefois que le stress ne dépend pas de l'intensité de l'action, mais de celle de
la tension - puisqu'il y a des gens très actifs qui sont aussi très détendus alors que
des gens peu actifs peuvent être très tendus.

Le stress se manifeste donc de différentes façons selon les personnalités, et les


solutions varient également en fonction de la personne. Précisons que les enfants et
les adolescents sont aussi sujets au stress, qui peut être généré par des situations à
la maison, à l'école ou entre camarades.

Stress aigu ou chronique?

Quand les symptômes provoqués par les réactions de stress sont intenses au point
de nuire temporairement aux occupations normales, on parle de stress aigu. Ce
problème peut se manifester après un événement traumatisant (la mort d'un proche,
un accident, une perte financière, etc.), ou dans l'expectative d'un événement très
déstabilisant. Par définition, les malaises aigus sont temporaires, mais ils peuvent se
répéter à une certaine fréquence.

Le stress chronique, par contre, est un état permanent auquel on connaît plusieurs
causes :

- une personnalité anxieuse qui rend particulièrement sensible aux agents de stress;

- une situation difficile et persistante que la personne n'arrive ni à modifier ni à fuir :


un emploi précaire, un revenu insuffisant pour les responsabilités financières, le
harcèlement d'un supérieur, la responsabilité d'un parent malade, un enfant difficile,
une relation de couple conflictuelle ou instable, etc.;

- plusieurs situations stressantes qui se chevauchent dans le temps.

Les personnes souffrant de stress chronique n'en sont pas toujours conscientes, ou
pensent qu'il n'y a rien à faire. Elles peuvent aussi souffrir, ponctuellement, de crises
de stress aigu.
Comme on le sait, ce qui est considéré comme « stressant » varie énormément
d'une personne à l'autre. Cela dit, certaines situations stressent la plupart des gens;
ce serait le cas, notamment, de la grossesse, l'éducation des enfants, la difficulté de
concilier travail et famille, la retraite et l'isolement social.

Recherche et rédaction : Lucie Dumoulin et Marie-Michèle Mantha, M.Sc.


Révision médicale : Dr Michel Boivin, gastro-entérologue, président du comité
scientifique de l'Institut pour l'avancement d'une approche intégrale en santé.

Lien > http://www.canalvie.com/sante-beaute/sante/prevention-et-maladies/consequences-


stress-et-trucs-relaxer-1.1440862

Voici donc 10 conséquences du stress néfastes sur notre organisme.

1. Les maladies cardiovasculaires


En situation de stress, notre cœur bat plus rapidement, et notre pression artérielle
augmente pour activer notre circulation sanguine, qui alimentera ensuite nos muscles
en oxygène pour leur donner de l’énergie.

Les vaisseaux sanguins se voient réduits, et les artères, durcies. Aussi, pour parer à
une éventuelle blessure, le sang va s’épaissir, ce qui peut provoquer en
conséquence du stress des maladies de cœur et des accidents cérébraux.

2. Les problèmes de peau


Les conséquences du stress touchent également nos vaisseaux sanguins
superficiels, puisque ceux-ci vont préférer diriger le sang vers les muscles plutôt que
vers la peau. Notre épiderme sera alors moins bien nourri et aura tendance à rougir,
ou au contraire pâlir, ainsi qu’à vieillir prématurément.

Des maladies de peau et des inflammations peuvent donc résulter des


conséquences du stress, comme le psoriasis ou l’urticaire. L’acné, quant à elle, sera
provoquée par un excès de sébum dû à une grande production de cortisol.
3. Les problèmes capillaires
Tout comme la peau, l’afflux sanguin alimente moins bien notre chevelure en période
de stress. La croissance de nos cheveux se voit ralentie, ce qui peut même entrainer
leur chute.

Le cuir chevelu, plus sensible, est lui aussi touché. Il peut démanger, être douloureux
ou encore desquamer et provoquer l’apparition de pellicules en conséquence au
stress.

4. Un système immunitaire affaibli


En temps normal, notre organisme dispose des ressources nécessaires pour contrer
les virus et les agressions qui nous guettent au quotidien. À part bien sûr s’il est trop
occupé à combattre une menace immédiate, message véhiculé par les
conséquences du stress.

Nous sommes donc davantage vulnérables aux nouvelles infections, en plus de


réveiller celles qui existent déjà, tout en aggravant leurs symptômes et en troublant
leur guérison. De plus, fait peu connu, un système immunitaire affaibli pourrait même
provoquer l’apparition de nouvelles allergies.

5. Les problèmes digestifs


On observe le même processus dans notre appareil digestif face aux conséquences
du stress. Trop occupé à contrer le danger transmis par le stress, il ralentit et dérègle
l’activité intestinale, et n’assimile plus correctement la nourriture.

Résultat : ballonnements, brûlures d’estomac, remontées acides, ulcère


gastroduodénal, syndrome du côlon irritable et, évidemment, constipation, diarrhée et
indigestion. Bref, ce n’est pas pour rien que le stress fait mal au ventre!

6. La prise de poids
Ce n’est pas toujours facile de maintenir un poids santé quand on est aux prises
avec les conséquences du stress, encore moins quand on a un rythme de vie
effréné. Par manque de temps, ou d’intérêt, nous avons alors tendance à avaler le
contenu de notre assiette d’un trait, ou à faire l’impasse sur les repas santé.

Mais un autre responsable de taille est étroitement lié à l'embonpoint relevé chez bon
nombre de personnes continuellement stressées : le fameux cortisol. Cette hormone
du stress envoie un signal de faim à notre cerveau, puisque notre organisme a
généralement besoin de nourriture pour se remettre d’une « agression ». Sauf que
ces aliments réconfortants ne sont pas toujours des plus équilibrés.
7. Les problèmes de sommeil
On le sait, stress et sommeil ne font pas bon ménage. Le soir, nous ruminons
souvent notre journée et anticipons négativement celle du lendemain. Et c’est sans
compter que, fatigués, nous faisons moins bien face à l’anxiété, qui va alors peu un
peu s’installer.

Mais l’aspect psychologique n’est pas le seul responsable face aux troubles du
sommeil. Physiologiquement, notre système nerveux sympathique nous donne aussi
du fil à retordre; il refuse de se mettre en veille pour pouvoir faire face au danger qui
nous guette.

8. La perte de mémoire
L'hippocampe joue un rôle essentiel dans le processus de mémorisation. Alors,
quand le cortisol s’empresse de détruire les cellules nerveuses de cette zone de
notre cerveau, c’est l’ensemble de nos fonctions cognitives qui sont touchées en
conséquence au stress.

Cela explique pourquoi notre concentration et notre manque de jugement nous font
aussi défaut quand nous sommes au bord de la crise de nerfs.

9. Le manque de libido
Avouons-le : après une journée difficile, nous ne nous sentons pas des plus attirants.
Alors, quand le stress s’en mêle et atteint notre précieux hypothalamus, une autre
partie du cerveau, notre production d'hormones sexuelles se voit, elle aussi, ralentie.

Conséquence de ce stress : les parties de jambes en l’air sont reléguées au second


plan.

10. Le système reproductif


Chez les femmes, le stress peut grandement influer sur les symptômes liés aux
menstruations, les rendant irrégulières ou douloureuses, ainsi qu’à la ménopause, en
accentuant les bouffées de chaleur, par exemple.

Les hommes, eux, voient les conséquences de ce stress à travers des problèmes
d’érection, et même voir leur production de spermatozoïdes diminuer.

5 trucs pour gérer les conséquence du stress


Si le stress est difficile à éliminer au quotidien, on peut cependant apprendre à le
contrôler.

Nous le savons déjà, mais un sommeil régulier, une alimentation équilibrée et la


pratique d’une activité sportive sont la base d’une vie saine.
Voici 5 autres trucs qui pourraient bien nous aider quand les conséquences du stress
nous gagnent.

1. Faire une séance express de yoga ou de méditation


On s’isole une quinzaine de minutes, et l'on respire. On se concentre sur nos
mouvements respiratoires, sans essayer de les modifier, et l'on reste à l’écoute de
nos sensations corporelles et de nos émotions. Le but? Nous recentrer sur ce qu’il y
a de plus important : nous.

2. Relâcher nos muscles


Des pieds à la tête, un à la fois. En commençant par les orteils, on contracte le plus
possible chaque muscle avant de le relâcher, en montant progressivement jusqu’à
ceux du visage.

3. Faire une promenade


Et nul besoin de faire des kilomètres! Une dizaine de minutes suffit pour se vider la
tête et détourner notre esprit de nos petits irritants.

4. Écouter de la musique
C’est prouvé, la musique adoucit les mœurs... et les conséquences du stress.
Classique, elle abaisserait même la tension artérielle et le rythme cardiaque. Mais le
principal est bien sûr d’écouter nos chansons préférées, puisqu’elles activeront les
fameuses hormones responsables du bien-être.

5. Visualiser
Notre imagination peut aussi nous aider à nous détendre face aux conséquences du
stress. Installé confortablement, on visualise une scène qui nous fait du bien : un lieu
rempli de souvenirs heureux, un être cher, nos prochaines vacances, etc.

Quels sont vos moyens pour faire face aux conséquences du stress, et vous calmer
au quotidien?

Philippine de Tinguy, rédactrice Canal Vie

Lien > https://unevieexceptionnelle.com/comment-gerer-votre-stress/

Comment gérer le stress


0

PAR L'ÉQUIPE UNE VIE EXCEPTIONNELLE LE 25 JANVIER 2017STRESS

Le stress est un mal qui peut réellement détériorer la vie des personnes qui en souffrent.
Toutefois, le stress est créé par notre esprit, ce qui signifie qu’il peut être contrôlé et
minimisé. La première des choses consiste donc à décider de ne pas être stressé. Cela doit
être une décision consciente de ne pas permettre au stress d’entrer dans sa vie. Car cet état
n’est pas réel, vu qu’il est créé par notre esprit. En effet, quelque chose qui nous stresse
profondément n’est pas forcément stressant pour une autre personne. Il est donc possible de
décider de bannir cet état de notre vie. Cela peut sembler trop facile, mais c’est vrai. Nous
allons vous fournir des conseils qui vous permettront de gérer le stress.

Décider de ne pas être stressé


La plus grande partie du stress n’est pas réelle et vous pouvez donc prendre la décision consciente
de ne plus être stressé. L’une des premières causes de stress est une impression de manque de
temps. En effet, nous stressons parce que nous estimons que nous allons manquer de temps pour
réaliser ou pour terminer certaines choses, dans le respect des délais. Lorsque quelqu’un vous
demande quelque chose, vous pensez que vous devez le faire tout de suite, ce qui n’est pas toujours
le cas. C’est pour cela qu’il faut toujours demander la vraie échéance au donneur d’ordre. En posant
cette question, vous pouvez déjà gagner quelques jours de délai supplémentaires. Car la plupart des
donneurs d’ordre ont tendance à avancer les dates des véritables délais. Le stress diminue
énormément lorsque l’on cesse de se faire du souci pour de fausses échéances, parce que l’on ne
stresse plus à cause du manque de temps. En repoussant les échéances, vous pouvez vous
organiser plus facilement en planifiant vos activités. Vous pouvez décider de vous occuper de ces
choses plus tard, lorsque le moment sera approprié.

Il est également nécessaire d’arrêter de créer de faux drames et de stresser pour des choses peu
importantes. En effet, certaines personnes ont tendance à stresser pour des choses futiles telles que
faire les courses ou choisir une tenue pour une sortie entre amis. Elles doivent donc relativiser cela en
se disant qu’il y a de pires choses dans la vie et que leur problème n’est pas grave du tout. En gérant
mieux leur esprit, elles pourront éviter de stresser et évacuer cette énergie négative. C’est la même
chose pour la gestion du temps. Nous avons souvent plus de temps pour réaliser des choses que
nous ne l’imaginons. Et si ce n’est pas le cas, nous avons très souvent la possibilité d’obtenir une
rallonge de temps, juste en le demandant. Toutefois, il est à noter qu’il existe des personnes
réticentes à ces conseils de bon sens, car elles souhaitent intérieurement arranger leur stress, le
justifier ou parce qu’elles veulent avoir une raison pour leurs tourments et les drames de leur vie.266

Se contenter de faire des choses basiques pour être plus paisible


Pour bien gérer son stress, il est nécessaire de commencer par prendre du recul par rapport aux
situations stressantes. Il faut se demander si la chose est importante ou non. Si elle l’est, il faut
adopter un processus qui permet de la gérer de façon paisible et détendue. Pour cela, il est important
d’apprendre à respirer, car notre tension mentale provient aussi de notre tension physique. Il est
primordial de bien respirer pour gérer correctement son stress. Vous devez laisser votre ventre se
remplir comme un ballon en prenant des inspirations profondes, puis expirer longuement. Cela a le
don de calmer les personnes stressées, et c’est prouvé scientifiquement. Plus on respire
profondément et plus on devient calme. Les personnes phobiques utilisent cette technique pour se
calmer, tout comme ceux qui pratiquent la méditation. Prenez donc le temps de bien respirer pour
gérer votre stress efficacement ainsi que vos perspectives de temps et d’importance.

Marcher un peu
Quittez le bureau ou quittez votre maison, allez prendre un peu d’air. Je ne parle pas du fait de faire le
tour de la ville et d’ignorer vos responsabilités. Même si ça a l’air amusant. Je dirais simplement, aller
vous promener un peu. 20 à 45 minutes d’une marche à l’extérieur, oui, l’extérieur peut complètement
ouvrir votre esprit à nouveau, vous aider à trouver le calme et une sorte de sens interne parce que
vous marchez, vous bougez, vous respirez. Pour certains d’entre nous, ça pourrait signifier du sport.
Allez courir un peu, faites du jogging. Bougez votre corps pour vous débarrasser d’un peu de cette
tension physique et de cette tension mentale, votre tension mentale pourrait partir aussi. Ça a du
sens, à n’en pas douter.

Être organisé
La majorité du stress dans nos vies pourrait être gérée si nous l’organisions. En effet, en étant
organisés et en effectuant nos tâches en temps et en heure, nous serions moins inquiets. En sachant
exactement ce qui nous attend aujourd’hui et les jours suivants, notre esprit est en paix et le stress
n’apparait pas. Demandez-vous « Comment je peux me débarrasser de la folie de ce moment et
planifier la gestion de mes tâches ? » Décidez des heures de la journée où vous irez de l’avant pour
accomplir ces choses qui vous troublent. Quand vous devenez organisé, vous pouvez mieux gérer le
stress. Votre vie sera fortement améliorée si vous êtes bien organisé.

En décidant d’agir ainsi et d’être en quelque sorte une nouvelle personne, vous serez moins stressé
qu’auparavant. Nous devrions tous devenir plus paisibles, plus réfléchis, plus présents et plus joyeux
en grandissant. N’êtes-vous pas d’accord ? Et si c’est vrai, alors il est temps de commencer
maintenant. Alors, ayez cette perspective, respirez, marchez et soyez organisé. Gérez votre énergie
du mieux que vous le pouvez, et cela deviendra presque comme un jeu. Vous posséderez plus de joie
en vous et vous vivrez une vie exceptionnelle.

***************************************************************************
Part
Lien > http://madame.lefigaro.fr/bien-etre/comment-lutter-contre-le-stress-grace-a-lhypnose-
010115-2305

Stress, angoisse, tension… Contre les pressions du quotidien, l'hypnose s'avère un outil
redoutable. Découvrez comment détendre votre inconscient en toute simplicité !

En ce moment

Vous manquez de sommeil ? Vous stressez sitôt la tête sur l'oreiller, sentez la
pression vous envahir dès le réveil ? Tachycardie, insomnies, agressivité… les
affections dues au stress sont aujourd'hui monnaie courante, et trop souvent
ignorées. Lorsque vous la raison n'a plus d'effet sur les tensions, reste l'hypnose.

Conscients et inconscients, les mécanismes du stress

Le stress est une réaction naturelle à une situation perçue comme une
menace forme ou bien-être .Votre corps réagit en déclenchant un afflux d'adrénaline,
une accélération du rythme cardiaque, une poussée de transpiration… Le stress est
un signal d'alarme. Le problème ? Parfois, le signal d'alarme ne s'arrête plus. Le
stress s'installe et la raison n'y change rien : il s'agit d'une réaction spontanée,
incontrôlable. C'est là qu'intervient l'hypnothérapie ! En déconnectant les pensées
conscientes, vous accédez à la partie inconsciente de votre cerveau… celle qui
définit votre perception d'une situation. Ne reste qu'à trouver les bons mots pour
reprogrammer, relativiser, puis gérer la source de stress.
Un hypnothérapeute pour combattre le stress

Lorsque le stress s'installe, le mal de vivre n'est pas loin. Prévenir, lutter ou guérir : à
chaque thérapie son objectif. Quant à choisir la vôtre ? Une séance d'hypnose ne
peut être efficace sans une relation de confiance avec votre hypnothérapeute.
Prenez le temps de le choisir et d'établir un lien d'échange : mieux il vous comprend,
plus il est à même d'adapter les suggestions à votre inconscient. Dans ce but, prenez
le temps d'identifier l'origine de votre stress. Si vous percevez un quelconque
blocage psychologique, optez pour un psychologue ou un psychiatre formé à
l'hypnose.

Gérer le stress avec l'autohypnose

Et si l'autohypnose était le plus court chemin vers la sérénité ? Imaginez vous


détendre, atteindre un état de conscience modifiée, identifier votre stress et l'apaiser
en douceur… et ce, de chez vous, sans spécialiste ! Tel est le rêve vendu par
l'autohypnose. Si la méthode est efficace, elle réclame toutefois un certain savoir-
faire. La bonne solution ? Si l'hypnose vous est étrangère, de même que relaxation
et méditation, une séance préalable chez un hypnopraticien peut vous apporter les
clés utiles de votre thérapie antistress… et vous faire gagner un certain temps
d'apprentissage.

MAL DE DOS

Recherche 1 > pourquoi mal de dos ?


Recherche 2 > ce que dis le mal de dos
Recherche 3 > Hypnose thérapie mal de dos

 http://www.e-sante.fr/pourquoi-ai-je-mal-dos/actualite/742

Pourquoi près de 7 Français sur 10 ont souffert, souffrent ou souffriront de leur dos au
cours de leur vie ? Le mal de dos est tellement fréquent, que l’on peut effectivement
se poser la question et lister les différentes causes du mal du dos.
I

Dis-moi où et comment tu as mal ?


Le mal de dos revêt différentes formes et se manifeste de bien des manières
: douleur aiguë et soudaine, douleur qui apparaît de façon progressive, qui persiste
ou qui récidive, douleur sourde au-dessus de la taille, à la pointe entre les omoplates,
ou encore raideur au réveil. La façon dont se manifeste le mal de dos dépend de la
cause bien entendu, mais le cas le plus fréquent est la lombalgie, mal de doslocalisé
au niveau des lombaires.
PUB

Pourquoi a-t-on mal au dos ?


 Traumatisme et blessure du dos : un traumatisme ou un accident peut endommager les
muscles du dos, à l’origine de douleurs de type spasmes musculaires et irritation des nerfs.
De telles blessures sont fréquentes lors de la pratique d’un sport ou si l’on exerce un travail
physique. Mais souvent aussi, rien que le fait d’essayer d’atteindre un objet placé en hauteur
ou de vouloir soulever une charge trop lourde peut suffire à provoquer un mal de dos.

 Hernie discale : le fait de se blesser ou de porter une charge lourde peut aussi provoquer le
glissement d’un disque intervertébral ou hernie discale. Ainsi déplacé vers le canal
rachidien, le disque appuie sur les nerfs qui génèrent des douleurs au niveau du dos.
Attention, avec l’âge, les disques s’altèrent, augmentant le risque de glissement et donc
de hernie discale.

 L’arthrite : maladie courante des articulations (inflammation), l’arthrite peut aussi être à l’origine
de douleurs dorsales. La spondylarthrite ankylosante, forme d’arthrite rhumatoïde, génère
également des douleurs au dos.

 L’arthrose : cette autre maladie courante résulte d’une usure des articulations affectant
souvent les vertèbres et les articulations vertébrales.

 Le surpoids : l’obésité fait partie des facteurs favorisant le mal de dos. En effet, l’excès
pondéral exerce des pressions excessives sur le rachis pouvant provoquer des douleurs et
aussi de l’arthrite (inflammation articulaire).

 La sédentarité : le manque d’activité affaiblit les muscles abdominaux. Résultat, la pression


sur la colonne s’accentue, pouvant générer un mal de dos.

 Les mauvaises postures : rien de tel qu’une mauvaise posture pour entraîner un
désalignement de la colonne vertébrale, laquelle force sur les muscles et appuie sur les nerfs.
Ces mauvaises postures sont fréquentes, lors de la simple marche ou en position assise, mais
aussi lors d’activités de toutes sortes, professionnelles et de loisirs. Et elles sont favorisées
par le stress.

 Les maladies associées : le mal de dos peut faire partie des symptômes de certaines
maladies. C’est le cas de la fibromyalgie, de l’ostéoporose, des kystes des ovaires, de la
grossesse, de certaines infections et tumeurs, notamment celles de la colonne vertébrale.

En pratique, on peut prévenir le mal de dos : activité physique, perte de poids, bonnes
postures, éviter le port de charge trop lourde, lutte contre le stress, etc.
Mais en cas de mal de dos persistant ou récidivant, il convient de consulter son
médecin afin d’en explorer la cause et de mettre en place un traitement adapté.

Lien > http://www.psychologies.com/Bien-etre/Prevention/Hygiene-de-vie/Articles-et-


Dossiers/Ce-que-dit-notre-mal-de-dos/4Se-reconnecter-a-soi-parler-a-l-autre

Ce que dit notre mal de dos


Mal au dos, mal dans sa tête ? Derrière un lieu commun a priori simpliste, se cache pourtant une large

part de vérité. Au-delà des causes physiologiques, notre mal de dos serait aussi un signal d’alarme, que

nous aurions tout intérêt à écouter pour en apprendre davantage sur nous-même et sur notre rapport aux

autres. La coach et psychothérapeute Delphine Debronde nous aide à décrypter cet autre langage du

corps.
Elyane Vignau

 Un signal d’alarme
 Un autre langage
 Se reconnecter à soi, parler à l’autre
 S’accorder le droit d’aller mieux
 Le travail sur la douleur

« J’ai tout le temps mal au dos, mais avec le stress que j’endure au travail, c’est normal ! », « Ton
mal au dos ? Ne cherche pas, c’est les soucis ! » Nous sommes nombreux à avoir expérimenter
ce drôle de lien qui existe entre notre tête et notre dos. Si bien qu’il est devenu courant de voir
dans les tourments de notre esprit l’origine de nos tensions dorsales et autres lombalgies. A tort ?
« Non, on sait depuis longtemps que l’on peut associer certains troubles ou effets d’humeur - des
troubles dépressifs notamment - au risque de chronicité de la lombalgie, précise Delphine
Debronde. Pourtant, il n’existe pas de connexion directe entre la tête et le dos qui pourrait permettre
de décrypter l’origine de ce mal. Tout dépend des personnes, des situations. »
Ce lien est en réalité plus complexe qu’il n’y paraît au premier abord. Un exemple : une personne
traversant un épisode dépressif supportera moins bien la douleur qu’une autre. Et de la même
manière, une douleur installée depuis longtemps peut miner sur le long terme le bien-être et le
moral de celui qui souffre. « En consultation, on voit bien que le lien entre dos et esprit n’est pas
univoque, qu’il s’agit plutôt de croisements, poursuit la thérapeute. Cela nous montre toutefois une
chose : le plus grand risque dans la prise en charge du mal de dos, est de dissocier corps et
psyché. Car ils sont toujours en interaction. »
Un signal d’alarme

A DÉCOUVRIR
En forme ? Evaluez votre forme physique en répondant à notre test !
Que le symptôme soit physique – une douleur - ou psychique – comme l’anxiété, par exemple –
notre mal de dos serait ainsi, pour Delphine Debronde, un messager précieux : « C’est un signal
d’alarme qui nous signifie que là, nous avons dépassé nos limites ». Naissance d’un enfant,
déménagement, perte d’un être cher ou promotion professionnelle… Comme la douleur se
manifeste souvent à l’occasion de grands tournants de vie, il est tentant de la mettre directement
sur le compte de ces bouleversements « qui ont du mal à passer ». Mais la source du malaise
mérite souvent d’être recherchée un peu plus loin. « Le lien corps-esprit n’est pas toujours
apparent, précise ainsi la thérapeute. La plupart du temps, d’ailleurs, le mal de dos apparaît après
une longue symptomatologie qui évoluait à bas bruit. On commence à ressentir des tensions dans
le bas du dos quand on est stressé, et on finit un matin par ne simplement plus pouvoir se lever de
son lit. L’événement en lui-même se contente bien souvent de rendre le mal de dos plus lisible ».

Un autre langage

A DÉCOUVRIR
Mal au dos ? Avez-vous pensé aux massages ? Découvrez dans notre article 3 massages pour
prévenir le mal de dos
Pour la psychothérapeute, notre mal de dos serait donc, au-delà du signal, un autre niveau langage
que nous aurions tout intérêt à décrypter. « C’est un langage corporel. Parfois lorsqu’on est pris
dans nos émotions, dans nos difficultés à vivre, on n’est pas toujours capable d’analyser ce qui
nous arrive et ce que l’on ressent. On se retrouve sous tensions, sans trop comprendre. C’est là,
souvent, que le mal de dos peut apparaître. Car c’est parfois le seul moyen que l’on a trouvé
inconsciemment pour exprimer une souffrance ou un mal de vivre, quel qu’il soit. »

Voilà pourquoi nous aurions intérêt, dès l’apparition du mal de dos, à prendre le temps d’écouter
cette douleur. De se demander ce qui nous pèse, ce qui nous tend, ce qui a pu nous arriver dans
un passé récent, pour tenter d’établir un lien avec la douleur. Accompagné(e) d’un thérapeute,
nous pourrions ainsi explorer ce que notre dos a à nous apprendre sur nous-même. Des choses,
bien souvent, que nous ignorons. Ou que nous ne sommes pas prêts à voir.

Sommaire
Se reconnecter à soi, parler à l’autre
« Etymologiquement, être malade signifie être mal orienté,
se tromper de route, rappelle ainsi Delphine Debronde.
Quand on est malade, on a déjà à entendre dans cette
étymologie qu’il y a peut-être quelque chose à revoir en
termes d’orientation de soi. C’est là un des bénéfices
secondaires de notre mal de dos. » Car en nous alertant, la
douleur va nous réveiller. Nous remettre à l’écoute des
émotions qu’elle provoque, nous reconnecter avec nous-
mêmes. Et nous inviter à réfléchir sur nous-même, tout
simplement.

Est-ce que mon travail est en accord avec mes valeurs ?


Suis-je vraiment moi-même dans mon couple ? Le mal de
dos se révèle très souvent porteur de sens. A la condition
toutefois que la personne qui souffre veuille bien entendre ce
message, ce qui n’est pas toujours le cas. Soit parce qu’elle
voit dans la douleur une juste punition pour le malaise qu’elle
traverse (« mon travail n’est pas en accord avec mes valeurs,
je mérite mes douleurs »), soit parce qu’elle est devenue
plutôt fataliste (« c’est dans la tête, je ne peux rien y faire »).
A DÉCOUVRIR
Difficile de démontrer scientifiquement le lien entre souffrances psychiques et douleurs dorsales.
Mais le lien entre mal de dos et stress, en revanche, a déjà été validé par une étude récente de
l’université de l’Ohio. Elle montrait que des personnes soumises à un fort stress verbal utilisaient
les mauvais muscles pour soulever un poids. Alors que celles qui arrivaient à « évacuer le stress
» en protestant ouvertement contre ces attaques verbales, continuaient à utiliser les bons muscles.

Mais pour la coach, quoi qu’il en soit, le véritable message


n’est pas toujours celui que l’on croit : « La douleur peut aussi
devenir un formidable alibi. Par exemple, pour rester dans
une dépendance aux médicaments ou aux soins. Pour ne
pas vivre sa vie. Combien de fois ai-je entendu en thérapie :
‘j’ai mal là et c’est pour ça que je ne rencontre personne dans
ma vie’. »
Sommaire

Notre mal de dos, ainsi, ne parlerait pas seulement de nous


mais aussi de notre rapport à l’autre. « La douleur exprime
parfois ce qu’on ne peut lui dire autrement, explique Delphine
Debronde. Quelque chose de l’ordre de ‘Regarde comme je
souffre’. Voire ‘Regarde comme je souffre avec toi’. » Dans
un cas comme dans l’autre, la douleur psychique est réelle
et c’est précisément là que le travail en thérapie peut se
révéler positif pour la personne. « On le sait : le mal de dos
peut vite déboucher sur une perte d’autonomie. Une perte
d’élan, de désir. Donc une perte de vie. »

S’accorder le droit d’aller mieux


Mais quand la douleur est trop vive ou trop ancienne, il est
souvent difficile pour la personne qui souffre de sortir d’une
forme de fatalisme. De se convaincre de l’utilité d’une prise
en charge physique et psychique quand elle a pris l’habitude
de faire taire la douleur à grands renforts de comprimés. En
résumé, de s’accorder le droit d’aller mieux.

Pourtant, pour la psychothérapeute : « Il est essentiel de se


créer des espaces où l’on va pouvoir éprouver cette douleur
et le sens qu’elle a pour nous. » Mais qui aller consulter,
notamment quand la médecine dite « classique » n’a pu nous
soulager ? La solution pour Delphine Debronde, « c’est
d’aller, dès qu’il y a souffrance, à la rencontre d’un
professionnel de santé (un kinésithérapeute, un ostéopathe)
et d’un thérapeute plutôt orienté vers une approche psycho-
corporelle. Car tous deux tiendront compte de la dimension
psychique de la douleur. » Un travail d’équipe pour une prise
en charge globale de la personne qui prend ici tout son sens.
« Bien s’entourer, c’est déjà une action positive pour prendre
soin de soi. Et c’est souvent la première marche importante
à franchir pour des personnes qui ont besoin d’avoir mal pour
arriver à dire des choses. Pour nous, thérapeutes, accueillir
ces patients dans leur globalité est un signe fort qu’on leur
envoie : c’est un moyen de ne pas les réduire à leurs
symptômes. Car on n’est jamais que sa douleur ou sa
maladie. »

Le travail sur la douleur


A DÉCOUVRIR
Stress, tensions, fatigue… Découvrez en vidéo comments’automasser avec le Do In
Le rôle de l’approche psycho-corporelle dans la prise en
charge du mal de dos ? Elle va permettre d’accompagner la
personne qui souffre à visiter autrement sa douleur. A
s’appuyer sur son ressenti corporel – son mal de dos – pour
faire émerger des émotions. « Par exemple, on peut inviter
la personne à se mettre en position de confort, allongée. On
lui laisse le temps de sentir ce qui se passe dans son dos.
On peut lui proposer alors de faire venir mentalement une
image associée à la douleur afin d’en faire émerger toute la
symbolique d’abord. Puis les émotions qui lui sont liées, pour
ensuite qu’elles finissent par faire sens. »

Car pour la thérapeute, notre dos se bloquerait précisément


quand ces différents niveaux – nos émotions, nos sensations
et notre capacité à réfléchir – se déconnectent. En les
remettant en contact, le travail thérapeutique peut nous
permettre de retrouver du sens dans ce que l’on vit. Et de
nous retrouver vraiment, au plus près de celui ou celle que
nous sommes réellement.

Lien > http://zenannietude-hypnose.fr/mal-au-dos-soulagez-vous-par-lhypnose/


Sommaire

Soulager le mal au dos par l’hypnose


Mal de dos ? Soulagez vous par l’hypnose !

Qu’est ce que le mal de dos?

On parle du mal de dos comme mal du siècle tant ce trouble est répandu.

Le mal de dos ne désigne pas une maladie en particulier mais bien un ensemble de symptômes
qui peuvent avoir de multiples causes, grave ou non aigues ou chroniques, inflammatoires ou
mécaniques. L’immense majorité des maux de dos sont « communs » c’est à dire qu’ils ne sont
pas liés à une maladie grave sous-jacente.

Différentes atteintes possibles :

o Rachialgie: Douleur du rachis


o Cervicalgie: douleur à la nuque ou les cervicales
o Dorsalgie: vertèbres dorsales
o Lombalgie: douleur dans le bas du dos au niveau des lombaires

De nombreux facteurs peuvent être à l’origine des maux de dos

o Chocs, fractures, entorses


o gestes répétés, ou inappropriés

Le mal de dos

o Arthroses
o Maladies cancéreuses, infectieuses, inflammatoires.

Pourquoi soulager le mal de dos par l’hypnose?

Quelque soit le lieu de la douleur, qu’elle provienne de la tête, du dos, des jambes qu’elle soit
musculaire ou articulaire la démarche thérapeutique avec l’hypnose pour soulager le mal au dos
sera la même. L’efficacité de l’hypnose sur la douleur est reconnue cliniquement et
scientifiquement.La plus grande efficacité de l’hypnose pour soulager le mal de dos ce situe par
rapport à l’éveil qui réside dans le fait qu’elle agit sur la dimension émotionnelle et non sur la
seule dimension sensorielle.

Certaines douleurs restent invalidantes malgré des traitements lourds, l’hypnose peut jouer un
rôle sur le traitement de la douleur du mal de dos.
Le thérapeute utilise des métaphores , ou propose au patient de poser sa main sur la douleur et
de ressentir l’intensité de la douleur diminuer. On va suggérer au patient de trouver par lui
même les solutions adaptées à son cas immédiat et si possible de s’engager à les respecter , il
en va de son bien être, et tout cela en état d ‘hypnose.

L’hypnose et l’endorphine naturelle apaisent l’anxiété source de nombreuses douleurs et


redonnent espoir et confiance en respectant l’organisme.

************************************************************************** Sommaire

Lien > http://www.doctissimo.fr/html/psychologie/dossiers/hypnose/14944-traitement-douleur-


hypnose.htm

Traitement de la douleur : et si vous


essayiez l'hypnose ?
VOIR AUSSI

 Traitement de la douleur
 L'hypnose
En France, les médecins s'intéressent de plus en plus à l'hypnose : psychologues,
rhumatologues, gynécologues, endocrinologues, psychologues cliniciens, médecins
généralistes… se forment à cette approche et l'utilisent dans leur pratique, notamment
pour atténuer la douleur. Le point avec le Dr Jean-Marc Benhaiem, qui a créé le premier
diplôme universitaire d'hypnose médicale à l'hôpital de la Pitié Salpêtrière.
"L'hypnose ne soigne pas une maladie mais une personne", dévoile le Dr Jean Marc Benhaiem
de sa voix calme et lente. Autant dire que la relation thérapeute-patient est essentielle. Loin
de l'hypnose spectacle, cet expert propose depuis de nombreuses années "L'hypnose qui
soigne" 1.
Une hypnose en trois étapes

Le recours à l'hypnose pour traiter la douleur est validé par de nombreuses études 2. On
estime cette approche particulièrement intéressante lorsqu'elle est utilisée avant que la
douleur ne devienne chronique. Mais son succès reste toutefois fortement lié à une condition :
"être disponible à des changements", explique le Dr Jean-Marc Benhaïem, spécialiste de
l'hypnose et auteur d'un ouvrage "L'hypnose qui soigne".
Trois étapes sont proposées par le thérapeute. La première est l'induction. Elle consiste à
hypnotiser le patient en lui proposant de fixer son attention sur un objet. La deuxième est ce
que l'on appelle la dissociation-confusion : le patient se trouve coupé de ses perceptions
auditives, visuelles et tactiles. Son corps est engourdi et immobile. Vient alors la troisième
étape, qui correspond à l'ouverture, celle qui va permettre d'entrer en relation avec son corps,
condition nécessaire pour guérir. Quitter son corps pour mieux le retrouver…

Face à un patient douloureux, le thérapeute va utiliser différentes métaphores de la douleur,


comme un étau qui serre ou des aiguilles, pour les modifier et en proposer d'autres, liées cette
fois au soulagement.
Hypnose : du calme contre la migraine

Chez les patients migraineux, l'hypnose va tenter d'interrompre le cercle vicieux anxiété-
contractures-douleurs crâniennes. L'obtention de l'état hypnotique suffit souvent à stopper
la migraine. La léthargie associée à la pénombre et au calme de la séance sont autant
d'éléments d'apaisement. Les yeux fermés, le patient est invité à imaginer des couleurs
apaisantes. La suggestion de fraîcheur est souvent bénéfique.
Dans son livre, le spécialiste estime à 62 % la proportion de migraineux rebelles soulagés par
une hypnose ciblée 1. Cependant, si on remarque une atténuation, voire un espacement des
douleurs, ou une rémission, il est rarement question de guérison . Rien n'empêche alors de
refaire de nouvelles séances d'hypnose.
De bons résultats pour les lombalgies et les sciatiques

Quel que soit le lieu de la douleur, qu'elle provienne des jambes ou du dos, qu'elle soit
musculaire ou articulaire, la démarche thérapeutique sera la même, explique le Dr Benhaiem.
Et de citer l'exemple d'une patiente de 50 ans : occupée à améliorer par l'hypnose sa relation
avec sa fille, elle en a oublié ses douleurs lombaires.
Dans sa pratique, le médecin constate que les séances d'hypnose soulagent bon nombre de
patients. Ils se plaignent de moins en moins de leurs douleurs, prennent moins d'antalgiques
et continuent leur activité professionnelle.

Si l'efficacité de l'hypnose sur la douleur est reconnue cliniquement, il restait à le prouver sur
le plan scientifique. C'est ce qu'a fait Fanny Nusbaum 2, chercheur associé au laboratoire
Santé-Individu-Société (Université de Lyon). À l'aide d'un IRM, elle a mesuré l'activité
cérébrale chez 14 patients lombalgiques chroniques, au repos, en état d'éveil avec une
suggestion d'analgésie, et en état d'hypnose avec la même suggestion d'analgésie. Résultat :
les patients en éveil ont décrit une baisse de leur douleur de 28 %, contre 64 % pour ceux
sous hypnose, qui ont montré une activation d'un réseau cérébral cognitivo-émotionnel. Pour
les chercheurs, la plus grande efficacité de l'hypnose par rapport à l'éveil réside dans le fait
qu'elle agit sur la dimension émotionnelle et non sur la seule dimension sensorielle.
Soulager les douleurs du côlon

Certaines douleurs du côlon restent invalidantes, malgré des traitements lourds. L'hypnose
peut là encore jouer un rôle.

Le praticien utilise des métaphores comparant le côlon à un fleuve calme. Assis dans un
fauteuil ou un siège confortable, le patient a pour consigne d'imaginer son côlon désenflammé
ou encore de placer sa main sur le ventre et d'attendre de ressentir une chaleur calmante.

Dans son livre, le Dr Benhaiem décrit le cas d'un patient de 48 ans, qui malgré l'ablation
partielle du côlon, continuait à souffrir depuis 3 ans, au point d'arrêter de travailler. Adressé
par un collègue gastro-entérologue, il accepte de jouer le jeu de l'hypnose. Les douleurs se
sont estompées dès la première séance. A la seconde, le problème était quasiment réglé. Le
médecin a pu confirmer la guérison et le patient reprendre son travail.

La particularité des douleurs d'amputation ou douleurs fantômes

Dans les cas d'amputations, il n'est pas rare de ressentir une douleur du côté du membre
devenu absent. Le cerveau cherche alors ce membre perdu et envoie des signaux
douloureux. C'est ce qu'on appelle la "douleur fantôme".
L'hypnose aura pour rôle, dans ce cas, de "mettre de l'ordre dans le cerveau", explique le
Dr Benhaiem. Il s'agit, par les séances d'hypnose, de faire accepter le handicap ou l'accident,
et mettre fin aux regrets et autres culpabilités autour de la lésion du corps. Pour cela, le
thérapeute propose au patient de visualiser le membre manquant et de l'imaginer en
mouvement. Cela aura pour effet de soulager ces douleurs dites neuropathiques.
Peut-on réduire la douleur chez le dentiste par l'hypnose ?
Sommaire
Malgré les avancées techniques, l'appréhension de la roulette et de la piqûre d'anesthésie
n'est toujours pas passée.

Certains dentistes, formés à l'hypnose médicale ou accompagnés de thérapeutes, utilisent les


techniques de suggestion pour atténuer la sensation de la piqûre : "Votre avant-bras droit
devient cotonneux puis insensible… Je vais tester cette analgésie en piquant votre peau…
Vous constatez la réduction de la douleur… Puis cette analgésie s'étend aux épaules, au
visage, aux mâchoires…". Le patient ressent les soins mais de façon atténuée. Le dentiste
utilise ainsi moins d'anesthésique local. Autre bénéfice de l'hypnose chez le dentiste, elle
diminue la salivation et le saignement.

Et chez l'enfant, le dentiste utilise la suggestion et la métaphore des héros de contes qui
surmontent tous les dangers !

L'hypnose avant une piqûre ?

L'hypnose peut être utilisée en accompagnement de certains gestes médicaux douloureux


comme la ponction lombaire ou la ponction de moelle osseuse. Elle peut être proposée avant
d'effectuer un soin, des pansements pour les brûlés, des piqûres ou toute autre intervention
ne nécessitant pas d'anesthésie générale.
Lorsque la douleur devient invivable, autant essayer cette approche. Tout le monde est
hypnotisable mais certains seront "éponges", selon la formule consacrée par le Dr Benhaiem,
ou au contraire "réfractaires". Rares sont, en tout cas, les effets secondaires, sinon quelques
crises d'angoisses ou de larmes exceptionnelles. L'hypnose ne supprime pas le problème, elle
ajoute un savoir. Apprendre à ne plus souffrir, un pari Pascalien !

1. "L'hypnose qui soigne" de Jean-Marc Benhaiem Ed. Josette Lyon. Spécialiste de l'hypnose
qu'il pratique depuis vingt-cinq ans, le Dr Benhaiem travaille actuellement dans un centre
hospitalier de traitement de la douleur à Paris. En 2001, il crée - et dirige depuis - le premier
diplôme universitaire d'hypnose médicale à l'hôpital de la Pitié Salpêtrière (seul diplôme en
Europe).
Interview du Dr Jean Marc Benhaiem le 27 /09/10
2. Études menées par Fanny Nusbaum, chercheur associé au Laboratoire Santé-Individu-
Société (S.I.S., EA-4129), dirigé par les Prs Yves Matillon et Jacques Gaucher. Elles ont été
soutenues financièrement par la Fondation APICIL et se sont déroulées au CERMEP-Imagerie
du Vivant.

Sommaire

BOOSTER SA MEMOIRE
Recherche 1 > troubles de memoires
Recherche 2 > troubles concentration
Recherche 3 > Therapie pour booster sa memoire

LIEN > HTTPS://WWW.SEBASTIEN-


MARTINEZ.COM/RESSOURCES/PROBLEMES-DE-MEMOIRE/

LES PROBLÈMES DE MÉMOIRES,


CAUSES CONSÉQUENCES ET
SOLUTIONS
PASSONS EN REVUE LES TROUBLES POUVANT
ENTRAÎNER UNE PERTE DE MÉMOIRE

Les problèmes de mémoire, cela arrive à tout le monde et à tout âge. C’est peut être dû au stress,
à la fatigue, à un manque de concentration ou à une pathologie plus grave comme un AVC ou la
maladie d’Alzheimer. Les répercussions des pertes de mémoire sur le quotidien peuvent être plus
ou moins importantes. Pour résoudre les petits soucis, ralentir les plus importants et développer
une mémoire d’éléphant, il faut, en plus d’une bonne hygiène de vie, entraîner sa mémoire, la
faire travailler pour l’améliorer.

Comprendre le processus de mémorisation


La mémorisation, c’est la transmission d’une information chimique ou électrique entre les cellules
(neurones) à travers la membrane cellulaire. En gros, les neurones se connectent entre eux pour
constituer un souvenir. Il faut savoir qu’en théorie, la mémoire a une capacité illimitée, et chez
n’importe quel individu.

Le processus de mémorisation fonctionne en trois étapes :

1. L’encodage : c’est le moment où l’on reçoit une information captée par l’un de nos cinq
sens.
2. Le stockage (ou rétention) : c’est le fait de retenir cette information, de la stocker dans
son cerveau et de faire durer le souvenir dans le temps.
3. Le rappel (ou récupération) : c’est le fait de chercher et d’extraire une information de
sa mémoire, de la “rappeler” pour pouvoir la réutiliser.

Les troubles de la mémoire


Avec l’âge, les petites pertes de mémoire sont plus fréquentes et plutôt bénignes. Elles sont même
tout à fait normales. Des troubles de la mémoire plus sérieux peuvent résulter d’une maladie ou
d’un choc. Ils peuvent affecter la capacité à se souvenir ou la capacité à mémoriser une nouvelle
information.

Les troubles de la mémoire sont nombreux et leurs origines sont multiples.

Perte de mémoire

La perte de mémoire, qu’elle affecte la mémoire à long terme ou la mémoire à court terme, peut
survenir brutalement, ou de façon progressive. Les causes sont physiologiques (drogue, AVC,
maladie…) ou psychologiques (choc émotionnel). Selon les causes, la perte de mémoire, peut être
permanente.

Les troubles les plus connus


Troubles de la mémoire à court terme
Ces troubles peuvent survenir à cause d’une maladie affectant la mémoire. Ils peuvent également
être d’origine émotionnelle. Stress, fatigue, anxiété peuvent altérer la capacité à mémoriser, de
même qu’une alimentation carencée, un problème d’alcoolisme, un excès de médicaments ou une
fatigue excessive. Les pertes ponctuelles de mémoire à court terme peuvent s’éliminer avec une
meilleure hygiène de vie et une stimulation de la mémoire avec un peu d’entraînement cérébral.

Troubles de la mémoire à long terme


Il s’agit d’une amnésie, une perte totale ou partielle de souvenirs (connaissances, identité propre
ou celle de l’entourage…), ou de compétences comme le langage ou la motricité.

Troubles du langage
Les troubles de la mémoire affectent parfois le langage, nous laissant incapable de retrouver le
mot que l’on cherche, de s’en souvenir, alors qu’on l’a “sur le bout de la langue”. Le trouble peut
également se manifester par une confusion dans les prénoms ou l’emploi d’un mot pour un autre,
comme “mine” au lieu de “crayon”.

Trouble de l’orientation
Les problèmes de mémoire affectent également l’orientation spatiale, ce qui se traduit par des
difficultés à se repérer dans l’espace, à se diriger, faussant même la perception du haut/bas et du
dessus/dessous. La personne touchée par ce trouble oublie son itinéraire et peut se sentir perdue
dans la rue ou dans son propre salon.

L’orientation temporelle peut également être altérée par un problème de mémoire. Il devient alors
difficile de se souvenir de la date, de se repérer dans une journée, de distinguer le jour de la nuit.
On ne sait alors plus quand dormir ou se nourrir.

Trouble de la concentration
La difficulté à se concentrer résulte souvent de la fatigue et il nous arrive à tous d’avoir du mal à
fixer notre attention et à retenir une information. Qui n’est jamais arrivé dans une pièce en ne
sachant plus ce qu’il venait y faire…
Amnésie
Amnésie rétrograde
C’est la perte des souvenirs datant d’avant le début de la maladie.

Amnésie antérograde
C’est un peu l’inverse de l’amnésie rétrograde. Ici, la personne amnésique oublie les choses à
mesure qu’elles surviennent. Seuls les souvenirs antérieurs à la maladie subsistent.

Amnésie Lacunaire
L’amnésie lacunaire, c’est l’oubli d’une période donnée, survenu suite à une perte de conscience,
comme lors d’une crise d’épilepsie.

Amnésie globale (ictus amnésique)


L’ictus amnésique est sans gravité et sans conséquence, même si un épisode d’ictus peut, sur le
moment, causer une vive inquiétude. Les causes restent inconnues et il est généralement unique.
L’ictus amnésique entraîne une perte de mémoire, mais très rapidement, en quelques heures tout
au plus, la mémoire se rétablit et les souvenirs sont tous récupérés.

Les petits oublis du quotidien

Qui n’a jamais oublié qu’il porte ses lunettes sur le bout de son nez et passe une demi-heure à les
chercher ! Ces petits oublis sont courants et anodins, et peuvent être causés par la fatigue, ou un
fait nouveau qui fait passer l’info aux oubliettes.

Les trous de mémoire

Les petits trous de mémoire peuvent survenir à cause de la fatigue ou de la routine. Lorsqu’on
s’interrompt brutalement en se demandant si on a bien éteint la gazinière avant de partir, on ne se
souvient plus si on l’a fait car c’est un acte routinier, qu’on fait en mode automatique et que l’on a
répété des dizaines de fois.

Les vrais troubles pathologiques

Confondre les mots

Lorsqu’une personne confond les mots, on parle d’aphasie. Il devient alors difficile de
communiquer. Ce trouble survient le plus souvent après un Accident Vasculaire Cérébral, un
traumatisme crânien, ou encore une tumeur au cerveau.

Difficulté à apprendre par cœur

Apprendre par coeur peut se révéler utile dans le cadre scolaire, professionnel ou, tout simplement,
pour briller en société ou remporter un jeu télévisé. La tâche n’est pas toujours aisée et les causes
de ces difficultés sont multiples. La fatigue, le manque de concentration ou d’intérêt peuvent être
des facteurs de difficulté.
Causes : Pourquoi j’ai des problèmes de mémoire ?

Causes médicamenteuses
Les médicaments, notamment les anxiolytiques et les somnifères, peuvent provoquer une
altération, le plus souvent temporaire, de la mémoire.

Causes psychologiques

Les causes psychologiques sont nombreuses. Stress, dépression, choc émotionnel ou encore
fatigue excessive nuisent au processus de mémorisation.

Causes cérébrales

Il existe des maladies, telle qu’une tumeur ou la maladie d’Alzheimer, qui affectent la mémoire de
façon permanente et irréversible.

Causes vasculaires

L’accident vasculaire cérébral, ainsi que les maladies vasculaires (thrombose, hémorragie…),
endommagent le cerveau et peuvent causer des troubles de la mémoire. Ces causes sont
favorisées par la diabète, l’hypertension ou l’athérosclérose vasculaire.

Causes nutritionnelles

Une alimentation mal équilibrée, des carences en vitamines, ainsi que l’alcoolisme peuvent causer
des trous de mémoires.

Causes traumatiques
Un traumatisme crânien peut engendrer des séquelles telles que des troubles de la mémoire.

Causes toxiques

Les troubles de la mémoire sont une des conséquences de l’intoxication au monoxyde de carbone.
De même, l’utilisation abusive du cannabis cause des pertes de mémoire.

Vieillissement des membranes neuronales

Le vieillissement altère les membranes neuronales. Elles ont tendance à devenir rigides, ce qui
nuit à la transmission des informations entre les neurones, rendant plus difficile le processus de
mémorisation.
Conséquences de ces troubles sur ma vie

Peur de l’oubli
Les pertes de mémoire, selon leur fréquence et leur importance, peuvent avoir des répercussion
sur votre quotidien et générer une peur de l’oubli et de ses conséquences. Est-ce que j’ai éteint la
gazinière ? Où sont mes lunettes ? Et si je ne reconnaissais plus mon enfant ?

Dans mes études :


Perte de motivation face à la quantité à apprendre
Les problème de mémorisation compliquent l’apprentissage et un étudiant qui en souffre peut se
sentir découragé devant l’ampleur de la tâche et même voir son anxiété augmenter, jusqu’à se
sentir “moins intelligent”, voire complexer et se sentir “bête” et “insignifiant”, dans les cas les plus
graves.

Difficulté à apprendre par cœur


Les troubles de la mémoire représentent évidemment une difficulté supplémentaire dans la
mémorisation. Apprendre par cœur devient difficile. On sait pourtant que c’est nécessaire pour
réussir ses études.

À mon travail

La conséquence la plus évidente au travail est, évidemment, une baisse d’efficacité. Il faut sans
cesse consulter ses notes et ses dossiers, on oublie de transmettre un message de la plus haute
importance, on zappe une mission que l’on nous avait confiée…

Dans mon couple

Le trou de mémoire est également l’ennemi du couple. Oublier de souhaiter l’anniversaire de


mariage peut s’avérer désastreux. Soyez certain que votre conjoint n’oubliera pas que vous avez
oublié, même des années après.

Solutions pour améliorer ma mémoire

Évaluation médicale et psychologique


Si vous constatez des pertes de mémoire, des difficultés à se concentrer, à retenir une information,
que ce soit chez vous ou un proche, selon l’impact de ces troubles sur votre quotidien, n’hésitez
pas à consulter votre médecin traitant qui, le cas échéant, vous dirigera vers un spécialiste.

Dans le cas d’une suspicion d’AVC ou d’un trouble de la mémoire soudain accompagné d’autres
symptômes, il est impératif de consulter en urgence.
Si les trous de mémoire sont épisodiques et sont le seul symptôme, on ne s’alarme pas, tout est
normal. La mémoire vieillit avec nous. Il faut donc prendre soin de la stimuler pour conserver ses
facultés.

Stimulation cognitive

La mémoire s’entretient comme n’importe quel muscle. L’important, c’est de l’entraîner, avec des
exercices cérébraux, une activité intellectuelle et sociale riche, une alimentation équilibrée, une
vie saine, du sport et suffisamment de sommeil.

Exercices de mémoire :
Exercices pour l’attention
Pour retenir, une des clés, c’est l’attention. Il est donc primordial de la solliciter le plus souvent
possible, pour parvenir à la maintenir chaque fois qu’on en a besoin, avec des activités spécialisées
ou, par exemple, grâce à des jeux de société et une vie sociale animée.

Vous pouvez aussi vous intéresser à notre formation « Booster Sa mémoire » gràce à
la méthode pour apprendre mieuxde Sébastien Martinez

Exercices pour l’orientation


En plus d’activités spécialement étudiées pour améliorer les facultés d’orientation spatiale et
temporelle, se promener, se rendre à un rendez-vous sont de bons moyens d’entretenir sa
mémoire et sa capacité à s’orienter.

L’alimentation

Améliorer sa mémoire passe également par une alimentation saine, variée, et équilibrée. Aucun
aliment ne booste réellement la mémoire. En revanche, les vitamines A, C et E, ainsi que les
Oméga 3, boostent les fonctions cérébrales en général.

La détox

Bien s’alimenter pour intégrer les bonnes choses dans son organisme, c’est bien. C’est encore
mieux si on le nettoie en éliminant les toxines. Une cure détox peut contribuer à lutter efficacement
contre les problèmes de mémoire.

Les plantes (médecine parallèle)


Certaines plantes, comme le ginkgo biloba, la rhodiole, le millepertuis ou le ginseng, ont une action
efficace contre les problèmes de mémoire.

RESSOURCES
 Comment apprendre mieux ?

 Entraîner sa mémoire avec mon jeu de cartes

 Le cerveau et la mémoire

 Problèmes de mémoire

Lien > https://vitagate.ch/fr/forme_beaute/psychologie/concentration/troubles_concentration

Troubles de la concentration
Symptômes
On recherche en vain un mot ou un nom connu. On se retrouve à la cave
sans plus savoir ce qu’on venait y faire. On n’arrive plus à résoudre les jeux
d’esprit aussi vite qu’autrefois. Les personnes qui présentent des troubles
de la concentration ont des trous de mémoire et peinent à se souvenir des
informations reçues. Un peu comme si leur cerveau était temporairement
bloqué.

Causes et origines
La concentration désigne la capacité à fixer volontairement toute son
attention sur un sujet, une personne ou un objet précis. Pendant ce temps,
tout le reste passe au second plan. La concentration demandant beaucoup
d’efforts, elle diminue avec le temps.

On parle d’un trouble de la concentration lorsque la faculté de se


concentrer sur une chose est passagèrement diminuée. Outre des causes
organiques, ce sont surtout des surmenages physiques ou psychiques ainsi
que des phases de récupération insuffisantes qui peuvent être à l’origine de
ces troubles. On ne sait toujours pas quels moyens le cerveau surmené
utilise pour ne pas devoir faire des efforts supplémentaires. Mais une chose
est sûre: pour fonctionner de manière optimale, les tissus du cerveau
doivent être bien oxygénés. Les enfants qui présentent un trouble du déficit
de l’attention avec ou sans hyperactivité (TDAH) ont aussi des problèmes
de concentration. Le TDAH est un trouble psychique qui se manifeste par
des problèmes de concentration, de l’hyperactivité et de l’impulsivité.

En revanche, on parle de baisse de la concentration lorsque la capacité à


fixer son attention est durablement diminuée. Les spécialistes estiment que
certaines baisses de concentration pourraient être liées à une mauvaise
vascularisation des zones cérébrales sollicitées.

Concentration

La nature au service du cerveau


Ginkgo: un arbre puissant

Ce que vous pouvez faire


Si vous êtes distrait et peinez parfois à vous concentrer, les conseils
suivants pourront vous aider:

 Bouger régulièrement stimule aussi bien le corps que l’esprit. Essayez de


faire au moins une demi-heure de sport par jour. Privilégiez les activités
physiques qui ménagent les articulations.
 Qi gong: cette forme de gymnastique associant méditation, concentration et
mouvements fait partie de la médecine traditionnelle chinoise. Cette
méthode comprend des exercices respiratoires et physiques ainsi que des
exercices de méditation et de concentration qui tous visent à harmoniser le
«qi», autrement dit l’énergie vitale.
 Thérapie respiratoire: respirer de manière consciente ne permet pas
seulement de dénouer les tensions mais améliore également les capacités
de concentration.
 De nombreux fortifiants augmentent aussi les capacités de concentration.
 Les remèdes homéopathiques sont très utiles aux enfants et aux adultes
qui sont sujets au stress des examens.
 Les sprays spagyriques comme d’ailleurs les fleurs de Bach à base de
passiflore, de pétasite, de valériane ou de houblon sont efficaces contre les
tensions d’origine nerveuse.
 Les préparations aux substances vitales ou multivitaminées permettent de
remédier aux troubles de la concentration provoqués par des carences
nutritionnelles.
 Les sels de Schüssler n° 2 et n° 5 renforcent le système nerveux central et
végétatif.
 Le manque de sommeil occasionné par l’insomnie peut aussi perturber les
facultés de concentration. Les tisanes calmantes aux fleurs d’oranger ou
aux fleurs de la passion ainsi que les bains relaxants à la lavande, au
houblon ou à la mélisse favorisent l’endormissement.
 Chez les jeunes femmes, des carences en fer peuvent perturber la
concentration. Demandez conseil à votre droguiste qui vous expliquera
volontiers comment augmenter votre taux de fer.
 Ginkgo: les préparations au ginkgo améliorent la vascularisation du
cerveau. Actuellement, un médicament sur trois contre les troubles
vasculaires contient du ginkgo.
 Acides aminés essentiels: les acides aminés interviennent dans les
processus métaboliques du cerveau. On les trouve notamment dans les
œufs, les pommes de terre et la viande. L’idéal est de combiner ces
différents aliments – l’organisme pourra ainsi mieux assimiler leurs acides
aminés.
 Acide folique: prendre régulièrement de l’acide folique permettrait de
conserver une mémoire performante.
 La consommation de nicotine nuit au cerveau, en particulier à la mémoire à
long terme.
Vos trous de mémoire vous agacent? C’est bon signe! A l’inverse, il
convient d’agir si vous remarquez qu’une personne de votre entourage
n’est plus consciente de ses oublis. Vous devriez alors l’inciter à consulter
un médecin.

Côté prévention
Il existe d’innombrables méthodes ludiques pour entraîner sa mémoire et
ses facultés de concentration.

 Concentration: Essayez de travailler avec la main gauche au lieu de la


droite ou récitez l’alphabet à l’envers. Ces exercices constituent des
situations inhabituelles qui obligent le cerveau à former de nouvelles voies
nerveuses.
 Mémorisation: Observez la vitrine d’un magasin et mémorisez tout ce que
vous voyez. Fermez ensuite les yeux et essayez de vous rappeler tout ce
que vous avez vu. Enfin, ouvrez les yeux et contrôlez les performances de
votre mémoire.
 Automatismes: Les choses que l’on fait régulièrement finissent par devenir
des automatismes – alors profitez-en! Un exemple: vous perdez sans cesse
vos clés? Alors posez-les toujours au même endroit en disant: «Je pose
maintenant les clés sur la commode.» Avec le temps, cela deviendra un
automatisme et vous retrouverez (presque) toujours vos clés.
 Au fil des ans, les facultés cérébrales s’émoussent. Mais un entraînement
approprié permet de limiter les dégâts.

Les conseils de la droguerie


Les préparations aux oméga-3, acides gras qui sont généralement trop peu
présents dans notre alimentation, ont fait leurs preuves contre les troubles
de la concentration chez l’enfant. Si les problèmes de concentration sont
liés à la fatigue scolaire, un fortifiant à la levure végétale devrait permettre à
l’enfant de retrouver toute sa vitalité et ses facultés de concentration.

Si les problèmes sont provoqués par le stress et le surmenage, nous


recommandons une cure à l’extrait de rhodiole, sous forme de comprimés.

Lien . https://www.psy-coach.fr/ameliorer-concentration-memoire/

Problèmes de concentration et de mémoire?


« Où donc ai-je mis mes clés », « Comment s’appelle-t-il déjà ? », « J’ai
passé deux heures sur ce texte et je ne me rappelle de rien… »Les plaintes
concernant la mémoire sont fréquentes et peuvent s’exprimer à tout âge. Les
adolescents ont souvent l’impression qu’il est difficile de se co ncentrer et de
mémoriser des matières dont ils ne voient pas l’intérêt. Les adultes peuvent
se rendre compte qu’il est parfois difficile de se rappeler d’informations qu’ils
ont pourtant eu l’impression d’assimiler sans difficulté. Les personnes plus
âgées se tourmentent (souvent à tort) parce qu’ils « perdent la tête ». La
mémoire est un ensemble complexe de fonctions qui se développe, évolue et
change au cours de notre vie.

On distingue plusieurs types de mémoire :


 Une mémoire immédiate : c’est celle qui vous permet de faire le code d’une
porte tandis que votre hôte vous le dicte au téléphone. Elle est limitée et
fragile : pas plus de 7 morceaux d’informations en même temps. Sa durée est
de plus ou moins 10 secondes.
 La mémoire de travail : c’est elle qui permet de faire passer une information
à court terme en une information durable, dont on va se rappeler, plus
tard. Ce type de mémoire est très sensible au stress et à la fatigue : plus nous
allons être détendus et calme, plus notre mémoire de travail sera efficace : les
informations seront mieux retenue et rappelées. Les informations ainsi
« travaillées » par la mémoire vont être stockées dans des modules différents
selon leur nature. Un module est spécialisé dans les gestes et habitudes : il
s’agit de la mémoire procédurale, particulièrement solide, presque
éternelle.Une fois que l’on a appris à nager on sait nager pour le reste de
notre vie.
 Un autre module est dédié aux souvenirs de certains moments marquants
de notre vie : tout le monde se souvient du 11 septembre 2001, ce qu’il
faisait, ce qui s’est passé.
 Un module est spécialisé dans la mémorisation des concepts, des
connaissances et savoirs que l’on acquiert durant notre vie : c’est la
mémoire sémantique, notre encyclopédie personnelle.
La mémoire est un processus qui passe par trois moments distincts : La prise
d’information, le stockage/encodage de cette information et le rappel (ce que
nous appelons « se souvenir de quelque chose ») L’oubli est une fonction à
part entière de notre mémoire : il s’agit pour notre esprit d’effectuer un tri
entre l’information qui va nous servir et celle qui peut être mise de côté. C’est
une fonction sélective et non pas un dysfonctionnement. Car les
dysfonctionnements de la mémoire sont ceux qui nous font douter de no us,
tant nous sommes identifiés à nos souvenirs.

Je perds la mémoire. Quand faut-il s’inquiéter ?


Nous sommes informés sur la maladie d’Alzheimer, elle suscite la crainte de
la dégénérescence progressive de nos facultés. On sait encore peu de choses
sur ses causes et on ignore comment la soigner. Mais les « oublis » et autres
troubles de la mémoire ne sont largement pas tous liés à cette maladie.
Plusieurs troubles peuvent distordre nos capacités de mémoire : la dépression
peut causer des pertes de concentration et de mémoire, associées aux
troubles d l’humeur et à la perte de la sensation de plaisir. Les troubles
anxieux sont la source principale de nos difficultés à mémoriser et à se
rappeler ; les ruminations, dévalorisations, les craintes et les projecti ons
négatives fragilisent le fonctionnement de la mémoire de travail et la
concentration.

Les solutions pour améliorer sa concentration et


sa mémoire
Il existe des moyens pour exercer sa mémoire et entretenir sa concentration.
MAIS, en cas de difficultés perçues comme graves, et à partir d’un certain
âge, il faut faire un bilan mémoire. C’est la meilleure manière de sortir du
doute. Les centres de consultation mémoire existent partout en France. La
prise en charge des problèmes de mémoire vont passer par ap prendre à se
détendre. Des exercices de respiration, de la relaxation, de l’hypnose seront
proposés pour améliorer la concentration et la confiance en soi. Pour
« muscler la mémoire » , l’entretenir et la développer on pratiquera des
exercices spécifiques. Il existe des programmes de « remédiation cognitive »,
qui consistent en une série d’exercices qui sollicitent l’ensemble des fonctions
de mémoire décrites plus haut. Cependant, nous avons dans notre quotidien
d’infinies possibilités pour faire fonctionne r notre mémoire : mémoriser des
noms (quels acteurs dans quel film, les noms des ministres, des capitales
etc…), résumer des articles ou des chroniques télé ou radio en les racontant à
quelqu’un, jouer. Le jeu est une activité que notre cerveau adore, il est
toujours avide de nouveautés : memory, jeu de connaissances, jeux logiques
(sudoku, mots croisés…). Se lancer dans de nouvelles activités (sportives,
intellectuelles, culturelles…) sollicite beaucoup la mémoire implicite et les
apprentissages. Enfin, la dimension sociale est un facteur important de
l’entretien de la mémoire : rencontrer, échanger et faire des choses avec
d’autres sont des piliers essentiels de la préservation de la mémoire. Le
thérapeute va intervenir pour raffermir et consolider les per formances de la
mémoire par la mise en place d’exercices de détente qui vont favoriser les
performances de concentration et de rappel. Et il mettra également en place
des moments de travail sur les habiletés de mémoire : organisation de
l’information, stockage des données, techniques pour se rappeler plus
facilement. Enfin, le thérapeute aidera son patient dans l’indispensable
reprise de confiance en soi, bien mise à mal par les troubles de la mémoire.

Lien > https://leurquin-mediolanum.fr/therapie-naturelle-stimuler-memoire/

Thérapie naturelle pour stimuler votre mémoire

Trous de mémoire, oublis…la mémoire, logée dans la région cérébrale de l’hippocampe décline avec
l’âge, mais pas uniquement ! En effet, moins on se sert de son cerveau et plus les oublis et pertes de
mémoires augmentent. N’attendez donc pas pour faire travailler votre mémoire au quotidien. Tous les
moyens sont bons.
Alimentation, sommeil, sport ou phytothérapie. Programme sur le cocktail spécial booster de mémoire.

Vive les jeux d’esprit !


Quand la mémoire commence à faire un peu trop défaillance au quotidien, il est temps d’agir. Pour
l’exercer, une façon ludique peut être de jouer. Jeux de cartes, jeux de société, mots croisés, jeux de
logique, casse-tête et programmes d’entrainements cérébraux en jeux vidéo ou sur internet sont
d’excellents stimulants. Une bonne façon de progresser, seul ou en famille, en sollicitant fonctions
cognitives, concentration, mémoire directe et capacité d’anticipation.

Du choix des aliments


S’il n’existe pas d’aliment miracle pour booster la mémoire, certains nutriments intervenant
directement sur le cerveau peuvent jouer un rôle significatif dans sa préservation. C’est le cas des
omégas 3 et des acides gras végétaux, qui joueraient un rôle bénéfique sur les neurones et
amélioreraient le rôle des échanges intracellulaires. Vous en trouverez dans les poissons gras
(maquereaux, hareng, saumons, anchois, sardines), les noix, les graines (lin, chia). Les acides gras
saturés et les protéines animales peuvent entrainer une dégénérescence des neurones et une baisse
des performances : baissez votre apport. Evitez enfin de sauter le petit-déjeuner et veillez à bien
répartir les prises alimentaires dans la journée.

Dormir pour mieux retenir…


Pour consolider les souvenirs, le cerveau doit effectuer un tri des données essentielles apportées
chaque jour. Une tâche qu’il effectue principalement durant le sommeil. Il est ainsi bien plus facile de
retenir des informations, 6 mois, 1 an, voire 10 ans après l’apprentissage… grâce à de bonnes nuits
réparatrices. Des recherches scientifiques ont même montré à l’imagerie cérébrale un lien entre la
formation de lésions caractéristiques de la maladie d’Alzheimer et un sommeil de mauvaise qualité.
En résumé…dormez !

Pratiquez une activité sportive


Difficile de le croire, mais bouger et faire du sport améliorent les fonctions cognitives. Mieux oxygéné,
le cerveau est plus performant. Vingt minutes d’activité physique quotidienne pratiquées régulièrement
suffisent à améliorer la mémoire de 10% selon des études scientifiques. Les mécanismes restent
encore incompris, mais la libération d’hormones comme la noradrénaline pourrait jouer un rôle.
L’amélioration du mental est générale et durable. C’est un fait avéré…l’activité musculaire influe sur
tout l’organisme, y compris la neurochimie cérébrale. Une bonne nouvelle et un espoir dans la lutte
contre les maladies liées au vieillissement cognitif !
Compléments alimentaires et phytothérapie à la rescousse
Pour booster la mémoire, de nombreux compléments alimentaires apportent leurs bienfaits. Beaucoup
sont riches en vitamine B, plus particulièrement B1, B6 et B12 pour leur rôle essentiel dans la
mémorisation. Le fer est également primordial pour les performances intellectuelles. La vitamine E
exerce quant à elle un effet tout spécialement protecteur contre les troubles de mémoire de la
personne âgée. Réputée pour ses propriétés antioxydantes, elle pourrait notamment ralentir le déclin
cognitif lié à l’âge.
Les plantes ont elles aussi des vertus reconnues. C’est le cas du ginkgo qui réduit les troubles de
l’inattention, mais aussi et surtout du bacopa, efficace pour améliorer la mémoire immédiate

PERFORMANCE

Recherche 1 >

La quête de performance : que cherche-t-on à prouver ?

Recherche 2 > performance sport

Lien > www.performance-et-vie.fr

La performance, un concept à utiliser avec sagesse


La quête de performance : que cherche-t-on à prouver ?
écrit par Aurélie Jeannin-Rieau

Retour
Je performe donc je suis. Pourquoi ? Pour qui ?

Pourquoi la performance ? Après quoi court-on lorsque l'on recherche la performance ? Derrière
cette quête, ne se cache-t-il pas la peur de ne pas être aimé, la soif de reconnaissance, l'envie
d'être considéré ? Et si chercher à atteindre la performance, c'était, forcément, chercher
à prouver quelque chose. Prouver quoi et à qui ? La performance gratuite, dépourvue de
raisons existe-t-elle ou est-elle toujours motivée par une exigence, une raison, un poids,
une lacune, un héritage…?

Je fais donc je suis


Sans conteste, il est de bon ton d’être actif. Dans cette grande arène de compétition dans laquelle nous
sommes propulsés dès le plus jeune âge, mal vu est celui qui n’affiche pas sa rage de vaincre, sa soif de
performance.
On admire ceux qui ont la « gagne », la « haine ». On néglige les faibles ou les perdants.
On envie ces surhommes qui courent dans tous les sens. On ne comprend pas ceux qui font sans
chercher à gagner, on a du mal à les cerner, voire à les intégrer. Sont-ils « mous » ou soumis pour
ne pas courir plus vite que cela après la performance... ? Etrange… L’action quant à elle est placée
au-dessus de tout. Faire, c’est être. Pour preuve, vous a-t-on déjà demandé « Qui êtes-vous ? » ;
question existentielle à laquelle se substitue davantage le « Que faites-vous ? » Sans conteste,
il est de bon ton d’être actif.

Mais ne nous dupe-t-on pas ainsi, nous faisant croire que l’avenir appartient aux seuls gagnants et
que seuls les premiers de la classe auront accès au bonheur ? On néglige bien souvent l’essentiel :
avoir de vraies
raisons de vivre et d’agir. Car l’exigence de performance peut s’avérer réductrice.
En exacerbant le résultat,
elle dévalorise le chemin. Nous sommes dans le calcul mathématique et froid des moyens à mettre en
œuvre pour atteindre le résultat escompté. Nous ne sommes plus dans la réalité de la vie.
Le résultat atteint
peut être comme déconnecté de la réalité de la personne qui développe alors des process de réussite
plutôt qu’un apprentissage intelligent. La course à la performance poussée à l’extrême empêche
d’entrer
en soi-même pour découvrir ses ressources et aspirations. On ne cherche pas, on n’apprend pas.
On cherche à atteindre à but. Celui que l’on s’est fixé, celui que d’autres ont fixé pour nous :
un examen,
un résultat,… Le chemin ne compte plus. L’important, c’est l’arrivée, le chrono, la note.
Le point de mire devient « Sois le meilleur » alors même qu’il devrait être « Deviens toi-même ».

Dans cette société de performance, les indicateurs sont devenus rois. S’ils sont un repère indispensable
et un langage commun nécessaire, leur objectivation froide des résultats peut tendre vers une
déshumanisation
contre-productive. En nous situant les uns par rapport aux autres, par rapport à une moyenne,
une norme,
un barème, ils peuvent donner l’illusion d’un suivi scrupuleux alors même qu’ils deviennent un barrage
au
dialogue et donc à la véritable connaissance des faits. Les systèmes d’évaluation poussés
à l’extrême et jamais relativisés abolissent la communication. S’ils veulent conserver leur mission
première, ils doivent être
humanisés et désacralisés. A défaut, ils deviendront des façons de juger la personne et non sa
production.
Le danger étant d’en arriver à confondre l’ « être » et le « faire ».

« Tu seras un winner mon fils » ou l’Enfer, c’est les autres


Le monde de la performance est inévitablement un monde de comparaison. Il s’agit bien de se placer
face
à Autrui et par rapport à lui. Dès le plus jeune âge, nous sommes placés dans un système comparatif.
A l’école, l’autre,
le camarade est le concurrent à dépasser voire à vaincre si l’ont veut sortit vainqueur de la mêlée.
Dans cette
jungle de la comparaison, les parents veulent armer leurs enfants. A ce titre, ils pensent leur garantir le
meilleur
en les éduquant dans une logique de réussite. L’éducation devient paradoxalement le monde de la
performance par excellence. Dépassés par le processus, nous grandissons dans cette recherche
de réussite.
Nous oublions la saine émulation au profit de la compétition et de la comparaison dans ce qu’elles
peuvent
avoir de plus violent.
Là encore, le résultat final prend le pas sur la richesse du chemin à parcourir. Je ne cherche pas à
être bon
mais à être meilleur que l’autre. Albert Jacquard[1]évoque cette nécessité d’en finir avec la compétition :
« Il faut supprimer tout esprit de compétition à l’école. Le moteur de notre société occidentale est la
compétition, et c’est un moteur suicidaire. Il ne faut plus apprendre pour et à être le premier. »
Pas évident tant il est rassurant de se savoir dans la norme. A tout moment, les parents s’inquiètent de
savoir où se situe leur enfant : courbe de croissance, âge pour marcher, pour apprendre à lire,
note à l’école,
quantité d’activités extrascolaires. Et si seulement il pouvait sauter une classe...
S’il est bon partout, il pourra choisir sa vie. La performance est revendiquée comme un gage de bonheur
et de réussite. L’échec est à proscrire. La moyenne suffit à peine. Le tiède est fade et sans valeur.

Cette posture de comparaison est valable tant en terme de résultat (« Je veux être meilleur que l’autre. »)
qu’en terme de motivation (« Je veux prouver quelque chose à quelqu’un. ») En ce sens, notre
désir est en
réalité le désir de l’Autre. Ma recherche de performance ou d’excellence est en réalité une
image projetée
de ce que les autres attendent de moi ou de ce que je cherche à prouver aux autres qui m’ont,
un jour, sous-estimé ou rabaissé,…

La performance, un plat qui se mange froid ?


L’Autre occupe une place de choix dans notre course vers la performance. Bien souvent,
derrière la quête de performance se cache une quête de réassurance. L’exploit prend appui sur un déficit.
Partir d’une lacune,
d’un creux, d’un manque permet le rebond, l’effort extrême qui mène à la performance.
Les exemples sont
nombreux : un manque d’amour, un défaut longtemps montré du doigt. Les « Tu n’es qu’un idiot »,
« Tu es bon à rien. » ont la peau dure et de beaux jours devant eux. Ils forgent la rage, l’envie de se
dépasser. Ils développent les efforts extraordinaires ; on en fait plus puisque le « normal » ne suffit pas.
On performe démesurément. Jusqu’à l’épuisement. On évoque souvent la rage légendaire, intestine des
sportifs, celle qui les mène jusqu’au bout de
leurs limites. De nombreuses performances, quelles qu’elles soient, semblent ainsi portées par cette
recherche de reconnaissance de la part d’un pair. Ne peut-on pas même y déceler parfois un certain
air de revanche… ? La performance devient une preuve contraire, un équilibre donné à une
situation instable créée par un déficit
d’amour, de reconnaissance, de prise en compte,… Et derrière cette quête de légitimité,
ces efforts pour exceller,
ne doit-on pas entendre la supplication essentielle jetée à son entourage :
« Voyez comme je fais. Aimez-moi. »…

Lien > http://dolfino.tv/autohypnose-mouvement-energie/

UNE TECHNIQUE D’AUTOHYPNOSE EN


MOUVEMENT POUR VOUS DONNER UN BOOST
D’ÉNERGIE
Équipe Dolfino|6 septembre 2017
Vous arrive-t-il d’être fatigué, draîné ou complètement kapout en rentrant
chez vous en fin de journée?

Voici une technique d’autohypnose en mouvement qui donne de l’énergie,


de la bonne humeur et du peps.

Pourquoi en mouvement? Il y a toujours le risque de partir dans le lune ou


de s’endormir quand on fait de l’autohypnose en fin de journée. Le
mouvement donne plus de vie à vos visualisations… et c’est plus le fun!

Alors, vous trouverez ici une vidéo qui vous guide pour faire l’expérience de
cette technique simple et amusante.

—-

Prochaine étape

Formation « Activez votre plein potentiel avec l’hypnose –


Méthode Dolfino »

Vos émotions, vos besoins les plus profonds ainsi que vos croyances sont
gérées par votre inconscient. La Méthode Dolfino offre un ensemble d’outils
et de techniques pour gérer vos émotions et activer votre plein potentiel.
Curieux d’en faire l’expérience? C’est ce que nous vous proposons dans
cette formation. Vous apprendrez à vous servir de l’hypnose pour vous-
même et pour aider les gens que vous aimez.

Voici des exemples de ce que vous vous pourrez faire :

 Hypnotiser quiconque vous en fait la demande… et vous-même par


autohypnose.
 Faire la paix avec les gens qui ont croisé votre chemin (parent, ami,
ex-conjoint, collègue, etc.)
 Réduire la douleur : la vôtre et celle de ceux qui vous le demandent.
 Soigner des « patterns destructeurs » et des souvenirs douloureux.
 Faire vivre une expérience d’éveil de conscience grâce aux techniques
d’hypnose humaniste.
 Éloigner le stress et la déprime
 Diriger des rêves pour régler des problèmes sexuels, financiers et
relationnels.
 Et beaucoup plus!

Lien > http://embienetre.ca/lhypnose-le-secret-de-la-performance-sportive/

L’HYPNOSE, le secret de
la performance sportive
Vous désirez être au top de votre performance, vous rêvez de monter sur le podium depuis
longtemps mais vous n’y parvenez pas, ou vous désirez seulement dépasser vos limites, le texte
qui suit va vous intéresser. Votre état psychologique et vos pensées peuvent faire la différence
entre quelqu’un qui a le potentiel et celui réussi parce qu’il saisit toutes les opportunités de son
plein potentiel. L’hypnose peut être utilisée à n’importe quel niveau sportif, que vous soyez amateur
ou professionnel et dans n’importe quel sport. Vous êtes un joueur de golf, de basketball, de tennis,
de baseball, de hockey pour ne nommer que ceux-ci, l’hypnose peut vous aider. Vous vous posez
surement la question comment l’hypnose peut en accédant à l’inconscient améliorer les
performances sportives. Vous apprendrez un peu plus loin comment ça fonctionne…

Il est surprenant comment l’hypnose est rarement utilisée par les athlètes malgré différentes études
qui démontrent comment l’hypnose peut être un outil pour améliorer la performance dans le sport
et dans d’autres domaines. Surtout lorsqu’on considère comment parfois quelques centièmes de
secondes peut être ce qui sépare le temps d’une médaille d’or ou d’un échec… D’ailleurs selon
le 1Dr. Brian L. Vasques, l’hypnose est une méthode sous-utilisée pour améliorer la performance
sportive. Il est probable que cette sous-utilisation soit due aux idées préconçues et erronées que
les gens ont de l’hypnose, de ce que peut faire et ne pas faire l’hypnose. Et ce, malgré les
nombreuses recherches et études qui ont démontrées les capacités de l’hypnose à améliorer les
performances d’un athlète. Ce qui est le plus pertinent, c’est que l’hypnose aide à atteindre l’état
mental optimal « le flow » que les athlètes professionnels recherchent.

Atteindre le « flow »
On peut traduire le « flow » par l’état optimal de performance. Pour les athlètes, le « flow » est
associé à un haut niveau de performance dans un sens très positif. Dans cet état tout est optimal,
l’esprit et le corps sont en harmonie, ils y a un état intense de concentration et d’absorption dans
l’activité, les pensées négatives ou les doutes sont absents et le fonctionnement du corps est
amélioré. Ont pourrait donc dire que l’état optimal de performance ou le « flow » est souvent le
but ultime que l’athlète recherche.

Selon une autre étude faite par 2Jackson (1992,1995) Différents facteurs peuvent venir influencer
l’atteinte du « Flow ». Une préparation physique non-suffisante, un environnement ou des
conditions non-optimale, un manque de confiance en soi, une attitude négative, un manque de
concentration, un manque de motivation, un esprit d’équipe négative et un manque d’interaction,
C’est pour toute ces situations que l’hypnose peut être très pertinente afin de permettre à l’athlète
d’atteindre l’état optimale de performance.

L’état d’hypnose et l’état optimal de performance ont des caractéristiques très similaires. Que ce
soit dans l’état d’hypnose ou dans un état optimal de performance vous devriez ressentir les
éléments suivants3 : un état altéré de la conscience, une augmentation du focus et de la
concentration, un sentiment de contrôle, un état ou ont est un peu dissocié de l’environnement.
Donc, l’hypnose et l’autohypnose peuvent être des outils très intéressants pour aider l’athlète à
retrouver l’état optimal de performance.

Comment ça fonctionne?
L’état d’hypnose est un état naturel que nous traversons quotidiennement. Par exemple, lorsque
vous êtes dans la lune, que vous êtes tellement concentré que vous n’entendez plus les bruits
autour, que vous faites quelque chose qui vous passionne et que vous perdez la notion du temps.
Combien de fois avez-vous remarqué quand vous conduisez que vous êtes surpris en arrivant à
votre destination de ne pas avoir remarqué le paysage? Que vous avez eu l’impression d’être sur
le pilote automatique tandis que votre esprit conscient était concentré ailleurs? Ce genre d’hypnose
de route est un bon exemple d’aller en transe les yeux ouverts comme des golfeurs, des joueurs
de tennis, ou des gardiens de but qui utilisent l’autohypnose pendant le jeu.

Si vous avez déjà vécu un de ses exemples énumérés précédemment, vous avez expérimenté
l’état d’hypnose par vous même sans le vouloir. Il est possible d’aller rechercher cet état
volontairement grâce à l’hypnothérapie. En utilisant les techniques hypnotiques tel la relaxation, le
focus et des suggestions, l’hypnose peut avoir un impact majeur sur l’entrainement mentale pour
développer des bonnes techniques. Je vous résume avec l’acronyme SUCCÈS comment
l’hypnose peut aider à améliorer les performances sportives :
SUCCÈS
S avoir gérer le stress
Le stress est perçu de façon négative mais dans certaine situation il peut être un allié considérable.
Il s’agit en fait de trouver le bon équilibre pour être au maximum de son potentiel. Le niveau de
acceptable de stress peut être différent selon chaque athlète. Il doit être ni trop haut ni trop bas
pour optimiser la performance. Un certain niveau de stress est de mise pour que l’athlète puisse
atteindre le « flow »4. De plus la perception du défi et des habilitées doit se joindre.
U ne visualisation
Ayant tous la capacité de nous mettre sous hypnose plusieurs fois par jour sans en être conscient,
imaginer être capable d’utiliser cette habileté pour visualiser et vous concentrer sur les choses
positives qui vont vous permettre de performer au maximum. Vous pourriez utiliser programme
d’hypnose individuel ou de groupe pour votre équipe pour visualiser le succès et les habiletés que
vous avez pour exceller.

C oncentration
La concentration est un des éléments majeurs pour la performance sportive. Sans une bonne
concentration l’athlète peut égarer ses pensées vers des choses sans importance qui viendront le
distraire. Avec l’hypnose et l’autohypnose, l’athlète peut être en mesure de mettre son focus sur
ce qui est vraiment important. Imaginer avoir la possibilité d’être totalement concentré au moment
de frapper la balle au golf ou bien lorsque vous lancer le ballon pour faire un panier de 3 points au
basketball.

C onfiance en soi
La confiance en soi joue un rôle important dans l’évaluation de nos capacités et des ressources
personnelles que nous avons pour atteindre les objectifs. Elle est primordiale dans la performance
sportive. D’ailleurs, une recherche effectué un 1986 (Howard & Reardon)6 démontre que dans une
compétition individuelle avec 2 personnes ayant des capacité physique de même niveau, celui qui
a la plus grande confiance en soi performe mieux.

E stime de soi
Contrairement à la confiance en soi, l’estime de soi se situe plus au niveau de notre valeur. En
travaillant l’estime de soi vous serez en mesure de mieux vous connaitre, modifier et améliorer
votre image personnelle et par le fait même augmenter votre potentiel.

S e motiver
Vous devez savoir ce qui est important pour vous et vous concentrez sur ce que vous voulez et
surtout mettre de côté tout ce que vous ne voulez pas. Vous allez vous diriger votre attention sur
se qui est important. Avoir des buts précis inconsciemment peut vous aider à atteindre votre but
consciemment.

Conclusion
L’hypnose peut vous aider à modifier vos pensées et vos comportements. En fait, elle peut vous
permettre de contrôler votre dialogue interne qui peut parfois saboter une performance. Les
pensées négatives, la sensation de perdre le contrôle ou la peur d’échouer peuvent venir miner la
confiance et la performance. Avec l’hypnose, vous pouvez inviter vos pensées à être seulement
positives pour trouver l’état optimal de performance. Que ce soit pour la performance individuelle
ou en équipe, l’hypnose peut vous aider.

Alors est-ce que vous désirez être un athlète avec plein de potentiel ou utiliser l’hypnose pour être
un athlète qui utilise tout son potentiel?

ARRETER DE FUMER
Recherche 1 > Pourquoi fume t-on ?
Recherche 2 > conséquences de fumer
Recherche 3 > arrêter de fumer thérapie hypnose

Lien > https://www.dernierecigarette.com/pourquoi-fumer.html

Pourquoi fumer ? Les principales idées


reçues sur le tabagisme

Pourquoi fumer ?

Cette question très courte est la base de toute démarche pour arrêter de fumer.

Pensez-vous que vous fumez par obligation ?


Sous la contrainte ?

Non…

Vous êtes d’accord avec moi, personne ne vous met de couteau sous la gorge pour
que vous fumiez.

Et pourtant vous fumez tous les jours, et depuis plusieurs années.

Il y a donc des raisons qui vous poussent à fumer.


C’est pourquoi il est intéressant de se poser la question :

Mais après tout, pourquoi est-ce que je fume ?

Pourquoi fumer tous les jours est indispensable pour moi ?

Indispensable au point que si je ne fume pas je m’énerve, je suis stressé, je n’arrive


pas à penser à autre chose ?

Bref, pourquoi est-ce que je suis accro ?

Vous avez complètement raison de vous poser la question.

Vous êtes dans la bonne démarche.

Je vais répondre à votre interrogation pour que vous puissiez comprendre d’où vient
votre envie de fumer.

Comme ça, vous aurez plus de facilités à réduire vos envies et à arrêter de
fumer.

C’est toujours plus simple de combattre quelque chose qu’on connaît, qui est visible,
plutôt qu’un ennemi fantôme qui est invisible…

Vous comprenez l’idée.

Pourquoi fumer alors que je pourrais m’en passer ?


Ce titre est volontairement orienté vers une idée simple.

Parfois il arrive que vous ayez vraiment envie de vous arrêter de fumer mais
vous n’y arrivez pas.

Vous avez testé tout ce qui était possible pour sortir de l’enfer de la clope, de la
prison dans laquelle votre paquet de cigarettes vous enferme, mais sans succès.

Rien n’a fonctionné, absolument rien.

Après avoir gobé des cachetons, vous être collé des timbres anti-tabac sur l’épaule,
avoir transformé votre corps en passoire suite à votre visite chez l’acupuncteur, ou
avoir lâché des sommes folles chez un hypnotiseur…
Vous fumez toujours autant.

Cette situation est beaucoup plus fréquente que ce que vous imaginez.

Un nombre incalculable de personnes essayent ces méthodes chaque année.


Mais autour de vous, parmi tous vos amis qui essayent d’arrêter de fumer,
combien y parviennent ?
Très peu non ?

Nous sommes donc d’accord…

Le problème est que l’arrêt du tabac est quelque chose de très difficile et très
subtil.

Très subtile car le tabagisme est le résultat d’un nombre extraordinaire de facteurs,
psychologiques, médicaux, sociaux, chimiques, conscients, inconscients, etc.

C’est cette alchimie qui provoque en vous le besoin de fumer.

Malheureusement aujourd’hui la science n’a pas encore percé le fonctionnement de


cette recette ultra complexe.

C’est pourquoi les méthodes traditionnelles ne fonctionnent pas, car elles traitent en
général qu’un ou deux éléments, mais pas la totalité.

Pourquoi fumer une cigarette est une volonté


inconsciente ?
La plupart du temps lorsque vous avez envie de fumer une clope ce n’était pas un
désir prémédité.

Je veux dire, vous ne planifiez pas de fumer vos cigarettes plusieurs heures à
l’avance ?

Non, nous sommes d’accord, d’un coup vous avez envie de fumer donc vous en
grillez une, si votre environnement vous le permet…

Ce phénomène vient du fait que l’envie de fumer était déjà présente en vous
inconsciemment, et qu’elle se révèle spontanément à la partie consciente de
votre cerveau.

L’origine du manque est donc plus profonde que vous ne l’imaginez, elle est dans
votre inconscient…

Nous allons tout de suite voir pourquoi votre inconscient vous pousse tant que ça à
fumer.

Pourquoi il a intégré la cigarette comme une habitude et un réflexe.

Je vais également vous montrer qu’en fait la quasi-totalité de ces raisons ne tiennent
pas la route et qu’elles sont fausses.
Qu’elles ne sont que des mythes !

Et vous allez prendre conscience que vous vous imposez de fausses barrières qui
vous empêchent d’arrêter de fumer…

Les principaux mythes qui répondent à la question :


pourquoi fumer ?
Je vous préviens tout de suite, en prenant du recul vous allez comprendre que tout
ce qu’on vous fait croire sur vos motivations à fumer n’est pas complètement exact !

Et même loin de là.

Mais je vous laisse juger par vous-même…

La cigarette me déstresse
Ce qui vous stresse est en général un problème, relativement grave ou important
pour vous.

Par exemple un problème financier, des relations tendues avec votre entourage, une
vie professionnelle qui stagne…

Pensez-vous vraiment que fumer une clope permet de régler ces problèmes ?

Non, cela ne fait que les repousser, car vous les oubliez le temps d’un instant, mais
dans les faits ils sont toujours là et vont toujours vous stresser après avoir fumé…

J’aime fumer
Est-ce que vous aimez réellement fumer comme vous aimez le chocolat par
exemple ?

Bon ok cette comparaison n’est pas forcément la meilleure.

Mais je veux dire une plaquette de chocolat qui vous plaît, que vous aimez vraiment,
vous pouvez la dévorer d’une seule traite si vous vous écoutez.

Etes-vous capable de faire pareil avec un paquet de 20 cigarettes ?

Non, vous êtes bien d’accord ?

Cette simple métaphore (aussi bête soit-elle ) vous fait comprendre qu’en réalité
vous n’aimez pas la cigarette, vous avez juste un manque de nicotine dans le sang
qui vous fait croire que vous prenez plaisir à inhaler la fumer.
D’ailleurs ça vous est peut-être déjà arrivé de ne plus avoir envie de fumer
avant la fin de votre clope, et donc de la jeter…

Je fume car je n’ai pas la volonté pour arrêter


C’est peut-être la pire des idées que vous pourriez avoir en tête !

Si vous êtes ici, ce n’est pas par hasard, et en plus vous avez déjà tenté d’arrêter
plusieurs fois.

Vous avez donc beaucoup de volonté, énormément de volonté !

Seulement vous n’arrivez pas à la canaliser.


A la transformer en énergie et en motivation durable pour cesser de fumer
définitivement.

Sûrement car vous n’avez pas essayé la bonne méthode, celle qui vous
correspondait parfaitement, personnellement, en fonctions de vos singularités, de
votre personnalité et de votre caractère…

Pourquoi arrêter de fumer, le mal est déjà fait…


Absolument pas !

Les premiers bénéfices et améliorations physiques suite à l’arrêt du tabac


surviennent dans les 12 heures.

Votre santé s’améliore considérablement au bout de plusieurs jours, mais aussi de


plusieurs mois et au final après plusieurs années sans tabac vous pouvez abaisser
les risques de certains cancers à ceux d’une personne n’ayant jamais fumé !

Je fume très peu, ce n’est donc pas très grave


C’est complètement faux !

Les études sur l’impact des cigarettes sur votre organisme montrent que même les
petits fumeurs, ceux qui fument moins de 7 cigarettes par jour, courent un risque de
contracter un cancer du poumon jusqu’à 10 fois supérieur aux non-fumeurs.

De plus les petits fumeurs ont en général beaucoup de difficultés à arrêter.

Ils ont premièrement moins conscience de la dangerosité de leur tabagisme et sont


« plus attachés » à chacune des cigarettes qu’ils fument !
J’ai peur de ne pas réussir à arrêter et d’être ridicule
Pensez-vous une seule seconde que les personnes autour de vous se disent que
vous êtes nul et qu’arrêter de fumer c’est facile.

Que ne plus toucher à une cigarette se fait comme ça, du jour au lendemain.

Croyez-moi, personne ne se dit ça.

S’il y a des gens autour de vous qui vous disent ça, c’est qu’ils n’ont jamais
fumé de leur vie !

Ils ne peuvent donc pas comprendre ce que vous vivez, n’accordez pas d’importance
à ce qu’ils disent.

Concentrez-vous uniquement sur votre arrêt du tabac et sur vos motivations.

Vous faites ça pour vous, et uniquement pour vous.

Enfin n’ayez pas peur de rater, pour la simple et bonne raison qu’échouer c’est aussi
apprendre.

Si vous ne réussissez pas du premier coup ce n’est pas grave, ce n’était sans doute
pas le bon moment, mais peut-être que la prochaine tentative sera la bonne.

Il faut toujours garder espoir, c’est crucial pour arrêter de fumer !

J’ai peur de la sensation de manque en arrêtant de fumer


C’est normal, vous savez pertinemment que le sevrage de la nicotine provoque des
effets secondaires indésirables.

Seulement la plupart de ces symptômes disparaissent à peine 2 ou trois mois après


avoir quitté définitivement la cigarette.

Pensez plutôt autrement : qu’est-ce qui vous fait vraiment peur ?

De continuer à gaspiller votre argent, de ruiner la santé de vos proches, de prendre


le risque d’avoir un cancer et de quitter prématurément ceux que vous aimez.
Ou bien d’être un peu plus stressé et à fleur de peau pendant 2 mois ?

Nous sommes bien d’accord, le jeu en vaut la chandelle.

Alors vous voyez, la perspective des quelques mois de manque est bien moins
effrayante que ce qui vous attend si vous continuez à fumer.
Pourquoi fumer ? Pourquoi ne pas arrêter ?
Nous venons de le voir, de nombreuses idées reçues circulent sur les motivations qui
vous poussent à fumer.

Il est essentiel de comprendre que ces dernières ne tiennent pas la route !

C’est vraiment très important car sinon votre inconscient peut se bloquer sur une de
ces raisons.

Et il mettra en échec, sans que vous vous en rendiez compte, toutes vos tentatives
d’arrêt du tabac…

Si vous voulez en finir avec le tabac et arrêter de fumer définitivement, il y a une


dernière chose à comprendre...

Il est impératif de savoir quel type de fumeur vous êtes.

La plupart des personnes qui arrêtent de fumer tiennent bon plusieurs jours, puis
craquent après quelques semaines et recommencent à fumer.

Pourtant toutes ces personnes étaient vraiment décidées à arrêter, mais alors que
s’est-il passé ?

La réponse est toujours la même : Elles n’ont pas choisi la bonne méthode pour
arrêter de fumer. Elles n’ont pas suivi une méthode qui leur correspondait
personnellement en fonction de leur âge, de leur volonté, de leurs habitudes, de
leurs angoisses…

Elles n’ont pas réussi à trouver un moyen simple pour arrêter de fumer, une solution
qui leur permette d’arrêter rapidement et sans être rongé par l’envie de fumer au
quotidien.

Ne faites pas la même erreur et trouvez la méthode qui sera la plus efficace pour
vous :

Pour tout savoir, rien de plus simple : Accédez au questionnaire ci-dessous et


laissez-vous guider en choisissant les réponses qui vous correspondent le plus.

Votre nouvelle vie sans tabac commence ici…

A votre dernière cigarette,


Axel
Lien > http://www.smoking-stopper.com/fr/content/31-pourquoi-fumer

Pourquoi fume-t-on ?
Les risques sanitaires liés au comportement tabagique sont bien connus depuis le milieu du
20e siècle, et la communauté scientifique et les associations de lutte contre le tabac notamment
communiquent très largement depuis plusieurs décennies sur les dangers de la cigarette. Pour autant,
les statistiques de consommation ne baissent pas. Pire encore, elles montrent, sur certaines tranches
d’âge et chez les femmes en particulier, des hausses non négligeables, malgré l’arsenal législatif et
réglementaire mis en place et les campagnes de sensibilisation menées par les pouvoirs publics.
Dommages esthétiques, maladies graves, impact non négligeable sur un budget, pourquoi donc tant
de fumeurs ?
Pourquoi commence-t-on à fumer ?
C’est surtout cette question qu’il convient de se poser car, une fois les dépendances installées,
chacun sait que l’arrêt de la cigarette est une démarche longue et difficile. Les raisons pour lesquelles
on commence à fumer et celles pour lesquelles on continue sont bien différentes.

Le rôle des parents, des éducateurs, de l’entourage familial et social pour prévenir l’entrée des jeunes
générations dans le tabagisme est un enjeu vital. Mieux comprendre pourquoi les jeunes commencent
à fumer est important pour ouvrir le dialogue avec eux et les guider vers une vie sans tabac.

La cigarette : le « fruit défendu » pour appartenir à un groupe et s’opposer aux


parents
La toute première cigarette se fume généralement à l’adolescence, un âge fragile et décisif au cours
duquel la personnalité se construit, où les copains sont plus importants que tout et où l’on souhaite
adopter la norme sociale tout en prenant de la distance avec la cellule familiale. L’ado expérimente
alors toutes sortes de comportements à risques parfois subversifs, souvent poussé par l’influence des
pairs, pour abandonner cette image d’enfant parfait portée par ses parents, pour grandir et
s’émanciper. La cigarette peut alors l’aider symboliquement à passer du statut d’adolescent à celui
d’adulte.

Pourquoi continue-t-on à fumer malgré les dangers de la cigarette et tous ses


inconvénients ?
Une fois passés les bouleversements de l’adolescence, on peut imaginer que le jeune va retrouver
une pensée plus rationnelle et mesurer les inconvénients de sa consommation (impact financier,
dépendance, essoufflement, désordres esthétiques…). Pourtant, ils sont nombreux à s’installer dans
le tabagisme après ces premières expérimentations. Il est vrai que les avertissements sanitaires n’ont
que peu d’influence à un âge où l’on se sent invincible, où l’on pense que les conséquences des
maladies liées au tabac sont très lointaines et improbables. Les jeunes sont également persuadés – à
tort bien sûr – qu’ils pourront arrêter de fumer sans problème dès qu’ils l’auront décidé. Mais, il se
peut également que le piège se soit déjà refermé et que la dépendance à la nicotine, insidieusement
installée, les pousse inexorablement à fumer.

Lien > https://www.notre-planete.info/environnement/pollution_air/tabac-sante.php

Le tabac, c'est tabou, on en viendra tous à bout !" (Le Pari)

Selon l'Organisation Mondiale de la Santé, le tabac est l'une des principales cause de mortalité
dans le monde mais aussi la principale cause évitable de décès. Chaque année, le tabagisme tue
5,7 millions de personnes. Il s'agit du seul produit légalement en vente qui entraîne la mort
lorsqu'il est utilisé exactement comme le prévoit le fabricant.

On sait parfaitement que la moitié des fumeurs réguliers aujourd'hui, environ 1 milliard de
personnes, finiront par mourir du tabagisme. Il est tout aussi alarmant de constater que des
centaines de milliers de personnes qui n'ont jamais fumé meurent chaque année de maladies dues
à l'inhalation de la fumée des autres.
Ainsi, fumer implique aussi la santé de son entourage, celui que l'on côtoie tous les jours, au travail,
chez nous et dans les lieux publics. En effet, la moitié des fumeurs consommant plus de 15
cigarettes par jour meurent d'une maladie liée au tabac et des milliers de fumeurs passifs en
décédent tous les ans.

Le tabagisme

Le tabagisme, c'est la consommation abusive de tabac mais aussi l'ensemble de troubles


physiologiques et psychiques, voire l'intoxication provoqués par l'abus du tabac. Celui-ci est
dorénavant sans aucun doute responsable d'une diminution significative de la durée de vie. Nous
re-préciserons ici que dans l'état actuel des connaissances scientifiques, nous n'avons qu'une
seule vie...

Données sur la mortalité à cause de la cigarette

Dans le monde
Durant le XXe siècle, le tabac a entraîné la mort de 100 millions de personnes et ce nombre risque
de s'élever à 1 milliard pour le XXIème siècle si les comportements n'évoluent pas (OFDT, 2005).
Le tabac est actuellement responsable du décès d'un adulte sur 10 (soit environ 7 millions de morts
par an), selon l'OMS.
Plus de 80 % de ces décès prématurés surviendraient dans les pays à revenu faible ou
intermédiaire – c'est-à-dire précisément là où il est le plus difficile d'atténuer les effets de l'épidémie
et où ces énormes pertes qu'elle provoque sont le plus difficile à supporter.

Selon une étude de 2015 menée de sur l'impact de la cigarette sur l'espérance de vie entre 1980
et 2010, 20% de la mortalité totale des adultes dans 63 pays analysés (24% chez les hommes
et 12% chez les femmes) sont liés au tabagisme. Sans ses décès, l'espérance de vie des
adultes augmenterait en moyenne de 2,4 ans chez les hommes (4,8 ans en Hongrie) et de 1 an
chez les femmes (jusqu'à près de 3 ans aux Etats-Unis).

Tabagisme passif

Le tabagisme passif provoque environ 602 000 décès prématurés par an dans le monde : c'est 1%
de tous les décès. Les maladies et infections à l'origine de ces morts sont : 379 000 maladies
cardiaques ischémiques ; 165 000 infections des voies respiratoires inférieures ; 36 900 asthmes
et 21 400 cancers des poumons. Une analyse de la répartition montre que 47% des décès causés
par le tabagisme passif concernent les femmes ; quant aux enfants et aux hommes, ils sont touchés
à 28 (soit 165 000 enfants par an) et 26% respectivement.

En Europe
Sur le même sujet :
 Des chenilles se servent de la nicotine du tabac pour éloigner leurs prédateurs
 Tabac : alertes visuelles agrandies, arômes interdits, cigarette électronique autorisée dans le
commerce

Chaque année, la consommation de tabac et l'exposition à la fumée du tabac (tabagisme passif)


font plus de 700 000 morts dans l'Union européenne selon le Parlement européen.

En France
Selon l'OFDT, Quelque 78 000 personnes meurent chaque année des conséquences du tabac
(soit plus de 10% des décés) dont 27 000 par un cancer du poumon (90% sont dus au tabac) selon
la ligue nationale contre le cancer.
Pour un fumeur sur quatre, la perte moyenne d'espérance de vie est de vingt ans et se solde par
une mort avant 65 ans, selon une étude de l'Observatoire régional de santé d'Ile-de-France.

La France compte environ 15 millions de fumeurs et ce sont les jeunes entre 20 et 25 ans qui
fument le plus (48% de la classe d'âge selon l'OFDT).

Par rapport à un non-fumeur, le risque de cancer d'un fumeur est multiplié par :

 10 pour le poumon et le pharynx


 7 pour le pharynx
 4 pour la bouche et l'oesophage
 2 pour la vessie.

La fréquence des cancers du poumon est proportionnelle au nombre de cigarettes fumées chaque
jour. Cette fréquence est déjà augmentée dès 5 cigarettes par jour... En effet si l'on fume 5 x 365
jours, pendant 15 à 20 ans, cela représente plusieurs dizaines de milliers de cigarettes.
L'apparition du cancer survient en général après 15 à 20 ans d'exposition à la fumée du
tabac.

Tabagisme passif

En France, un million de personnes sont exposées au tabagisme passif. Lequel provoque 2 500 à
3 000 morts par an à la suite de maladies respiratoires et de maladies cardio-vasculaires
notamment.

Cigarette : les conséquences sur la santé

Il est prouvé que les produits du tabac contiennent et émettent de nombreuses substances nocives
ainsi que des agents cancérigènes connus, dangereux pour la santé humaine après combustion.
Les principaux effets sont, chez l'adulte, une augmentation d'environ 25 % des risques de
cardiopathie ischémique et de cancer du poumon. Chez les enfants, l'exposition à la fumée de
tabac augmente le risque de mort subite du nourrisson, d'infections respiratoires, d'otites et
d'asthme.

Il a été clairement démontré sur le plan scientifique que le tabagisme passif est la cause de décès,
de maladies et d'incapacités et comporte des dangers, notamment pour les enfants à naître et les
nourrissons. Il peut provoquer ou aggraver des problèmes respiratoires chez les personnes qui
inhalent la fumée.

Lorsque vous inhalez de la fumée de cigarette, vous vous exposez à un cocktail de 4 000
substances chimiques dont plus de 250 sont nocives et une cinquantaine cancérigènes. En
voici un aperçu :
 Acétaldéhyde (irritant des voies respoiratoires)
 Acroléine (irritant des voies respoiratoires)
 Acétone (dissolvant)
 Naphtylamine (cancérogène, probablement impliqué dans le cancer de la vessie)
 Acroléine (irritant des voies respoiratoires)
 Méthanol (carburant utilisé pour les fusées)
 Pyrène (toxique pour les reins et le foie)
 Diméthylnitrosamine (probablement cancérigène)
 Naphtalène (antimite)
 Nicotine (utilisée comme herbicide et insecticide)
 Cadmium (utilisé dans les batteries)
 Monoxyde de carbone (mortel à une certaine dose)
 Benzopyrène (agent mutagène très cancérogène)
 Chlorure de vinyle (utilisé dans les matières plastiques, diminue la libido)
 Mercure (hautement toxique)
 Acide cyanhydrique (était employé dans les chambres à gaz)
 Toluidine (cancérogène)
 Ammoniac (détergent)
 Uréthane (cancérogène)
 Toluène (solvant industriel)
 Arsenic (poison violent)
 Dibenzacridine (très toxique, cancérogène)
 Phénol (très irritant, utilisé pour tuer des prisonniers pendant la seconde Guerre Mondiale)
 Butane (irritant des voies respoiratoires)
 Polonium 210 (élément radioactif qui aurait servi à empoisonner Yasser Arafat)
 Styrène (toxique, probablement cancérogène)
 DDT (insecticide interdit aux USA)
 Goudrons (les plus cancérogènes)
 Plomb (interdit dans l'essence car toxique)

Le tabac à rouler est-il moins nocif pour la santé ?

Contrairement à une idée reçue, si il est moins cher, le tabac à rouler est bien plus toxique que les
cigarettes. En effet, "à poids inférieur, il contient 2 fois plus de goudrons ( jusqu’à 17 mg si le papier
est épais), plus de nicotine (1,2 à 1,7 mg) et de CO, selon la machine à fumer. Le tabac est moins
tassé, il brûle mal, les cigarettes roulées s’éteignent plus facilement, mais la combustion se fait à
une température plus élevée, engendrant une fumée plus toxique. Peu de fumeurs utilisent un filtre
qui pourtant diminuerait le rendement en nicotine et en goudrons." précise l'association DNF qui
ajoute : "La façon de fumer une cigarette roulée est différente : inhalation plus profonde et plus
longue, plus de bouffées (M Epton et coll., BMC Public Health, Sept 2009). Et comme la toxicité
dépend de la façon de fumer et de la façon de rouler son tabac, au minimum le fumeur inhale 2
fois plus de goudrons, de nicotine et de CO, qu’avec les cigarettes manufacturées et plus encore,
si le tabac est issu de la contrefaçon. Les doses de plomb, d’arsenic et de cadmium y sont alors
particulièrement élevées."

Les principales maladies directement liées à la consommation de


tabac
 les cancers de la trachée, des bronches et du poumon, aussi appelés cancers bronchiques
 la bronchite chronique et les maladies pulmonaires obstructives
 les cancers des lèvres, de la cavité buccale et du pharynx, de l'oesophage, et du larynx.

Le tabac reste également un facteur de risque très important d'un grand nombre de pathologies :
cancer de l'estomac, de la vessie, du col de l'utérus, maladies cardio-vasculaires, probabilité
accrue de mort subite du nourisson pour les fumeuses enceintes...
Ainsi, on constate une augmentation préoccupante du nombre de cancers du poumon chez des
fumeurs de moins de 40 ans. En France, la mortalité par cancer du poumon continue à augmenter
de façon préoccupante, surtout au dessous de 40 ans, en particulier chez la femme.
En France, les femmes, surtout les jeunes, fument de plus en plus comme en Angleterre et aux
USA, où la fréquence des cancers du poumon est maintenant la même chez les femmes que chez
les hommes; on commence à fumer de plus en plus jeune: 26 % dès 12 / 14 ans et 58 % dès 15/16
ans.

Enfin, les ophtalmologistes attestent que la nicotine est :

 un facteur responsable d'une diminution de la vision centrale


 une source de cataracte précoce
 une cause de glaucome.

Diminution de l'espérance de vie


L'usage du tabac entraîne en moyenne une diminution de la vie de :

 2 à 3 ans pour 10 cigarettes par jour


 5 à 7 ans pour 20 cigarettes par jour
 8 à 10 ans pour 40 cigarettes par jour

Selon une étude publiée par Le British Medical Journal, chaque cigarette fumée réduit la vie de
onze minutes. Des chercheurs de l'Université de Bristol sont parvenus à ce résultat en prenant en
compte dans leurs calculs d'une part les différences observées d'espérance de vie des hommes
fumeurs et non-fumeurs, d'autre part les dernières données démographiques concernant la
population masculine anglaise et écossaise. Ils rapportent avoir trouvé une différence de 6,5 ans
dans l'espérance de vie entre fumeurs et non-fumeurs. Sachant que le nombre annuel moyen de
cigarettes consommé est estimé à 5772 (soit un peu moins d'un paquet par jour), les auteurs ont
calculé que si un homme fume à partir de 17 ans et jusqu'à sa mort à l'âge de 71 ans, il
consommera au total 311.688 cigarettes au cours de sa vie. Un simple calcul permet ainsi de
déterminer que chaque cigarette contribue à raccourcir la vie de 11 minutes. Pour mieux illustrer
leur propos, ces chercheurs précisent que fumer un paquet de 20 cigarettes, c'est abréger sa vie
de 3 heures et 40 minutes, ce qui équivaut à voir un "très long film (par exemple, Titanic), deux
matchs de football, faire un voyage entre Londres et Paris en Eurostar, aller au café, courir le
marathon de Londres, avoir une expérience sexuelle tantrique ". Voilà encore de quoi faire
réfléchir…" (Shaw et al 2000).

Des enquêtes dans le monde entier


En 1952, deux épidémiologistes anglais, DOLL et HILL, eurent l'idée d'interroger dans les hôpitaux
600 malades atteints d'un cancer du poumon et 600 autres (de même âge et sexe) hospitalisés
pour d'autres maladies. 96 % du premier groupe étaient ou avaient été des fumeurs, contre
seulement 80 % dans le second groupe c'est sur cette différence qu'on soupçonne pour la première
fois la cigarette.

Depuis des enquêtes effectuées dans tous les pays industrialisés ont confirmé le rapport
tabac/cancer.
L'une des plus célèbres porta sur l'ensemble des médecins anglais (environ 40 000 personnes).
La mortalité par cancer du poumon était 17 fois plus élevée chez les fumeurs de cigarettes, que
chez ceux qui avaient déclaré ne pas fumer.
Aux U.S.A. pour la première fois en 1985, les décès par cancer du poumon ont dépassé ceux par
cancer du sein chez les femmes âgées de 55 à 74 ans.
En Angleterre, la proportion des cancers mortels de la vessie dus au tabac est passée entre 1945
et 1970 chez les hommes de 50% à 85% et chez les femmes de 4% à 27%.
Cigarette : les conséquences sur l'environnement

On l'évoque peu mais 5 millions d'hectares de forêts sont détruits chaque année pour sécher le
tabac, contribuant à la déforestation...

4 300 milliards de mégots sont jetés dans la nature le monde. Malheureusement, les filtres ne sont
pas biodégradables et contiennent nombre de substances toxiques. En France, 30 milliards de
mégots sont jetés chaque année dont 40 % dans la nature finissent à la poubelle chaque année
sont jetés dans la nature.
Or, un seul mégot peut contaminer plusieurs centaines de litres d’eau en raison du grand nombre
de substances chimiques dangereuses qu’il contient (composés aromatiques, métaux lourds,…)
et met plus de 10 ans à se dégrader.

De plus, les filtres à cigarettes, les paquets de cigarettes et les modes d'emploi pour les cigares
représentent 40 % de tous les déchets marins dans la Méditerranée, tandis qu'en Équateur,
des déchets liés au tabac représentent plus de la moitié du total des déchets côtiers "capturés" en
2005 (Marine Litter: A Global Challenge - PNUE, 06/2009)

Les tests sur les animaux


Les fabricants de cigarettes Philip Morris et British American Tobacco (BAT) avouent, sur leur site
Internet respectifs, qu'ils testent l'efficacité des additifs ajoutés dans les cigarettes sur des animaux
vivants. Or, les conditions de ces tests sont écoeurantes et généralement, les animaux en meurent
ou sont euthanasiés.
Ainsi, chaque jour, des milliers de chiens, chats, porcs, agneaux, poules, singes, rats et hamsters
sont torturés à l'aide d'appareils et de masques, immobilisés sur des sièges de contention ou
enfermés dans des cages-cercueil pour des expériences horribles et inutiles.
On fait des trous dans la gorge des chiens beagles, par lesquels ils sont forcés à inhaler de la
fumée de cigarette concentrée, jusqu'à une mort prématurée. Les singes reçoivent de hautes
doses de nicotine et d'additifs qui sont inhalés, ingérés ou appliqués sur la peau. Des femelles
gestantes sont enfermées dans des cages très étroites pour étudier l'effet de la nicotine sur les
foetus, les rongeurs sont contraints à respirer de la fumée concentrée, enfermés dans des cages-
cercueil. BAT a reconnu que des souris, des rats et des hamsters sont utilisés pour ses recherches.
Les tests sur les animaux sont interdits en Grande-Bretagne mais pas aux États-Unis ou dans l'UE.
Le principal centre de tests sur les animaux travaillant pour le compte de Big Tobacco est la
Covance (Virginie, Etats-Unis) dont les activités insoutenables sont notamment relatés sur le site
Internet Covance Cruelty.

Vidéo déconseillée aux personnes sensibles


© Covance Cruelty

Les résultats de ces recherches ont toujours pour but de relativiser et de nier la gravité des
maladies liées à la consommation de cigarettes, alors que le tabagisme est un fléau sanitaire
démontré sans sans avoir recours à l'utilisation d'animaux. Mais le véritable but est l'étude des
possibles effets collatéraux des nouveaux additifs chimiques destinés à rendre les cigarettes
encore « meilleures ».

Vous êtes informé...

Pour vous détendre ou vous crisper, voici une publicité "anti-tabac" de l'INPES et de l'Alliance
contre le Tabac diffusée sur la télévision française en août 2007.
Ces quelques informations ne laissent aucune place au doute : fumer entraîne une mort
prématurée qui ne doit pas seulement être vue comme une affaire personnelle et égoiste mais
aussi comme un drame dans l'entourage familial.
Enfin, pensez aussi à respecter les fumeurs passifs qui en souffrent et en décèdent chaque année.

Comment arrêter de fumer...

Le congrès de la société européenne des maladies respiratoires qui s'est tenu à Berlin début 2002
a révélé que le fait de reprendre la consommation de cigarettes est aussi malsain que de
commencer à fumer.

En effet, une étude menée sur 10 ans (1985-1996) auprès de 40 000 personnes dont 10 000
fumeurs, nommée OLIN ("Obstructive Lung Disease in Northern Sweden Studies") montre que les
capacités pulmonaires des participants ayant re-consommé du tabac sont encore plus faibles que
ceux n'ayant jamais cessé de fumer.
Ces travaux confirment l'étude du pneumologue américain Duane Sherill ("Lung health Study")
menée de 1984 à 1989 sur 6 000 patients.
Les explications viendraient du système immunitaire rodé et actif lorsque la personne fume
régulièrement mais inefficace lorsque celle-ci n'est plus habituée à consommer.

Dans tous les cas, la solution est simple : il ne faut jamais commencer ou bien s'arrêter une bonne
fois pour toutes.

Les différentes méthodes pour arrêter de fumer


Il existe divers moyens pour stopper la consommation de tabac. La plupart s'appuie sur l'absorption
de nicotine pour suppléer le manque afin de sevrer peu à peu l'ancien fumeur.

Méthode Commentaire

La nicotine arrive dans le sang en une demi-heure à


Gomme, pastille à la nicotine
travers la muqueuse buccale.

Il se présente sous la forme de fume-cigarette, doté


Inhaleur d'une cartouche de nicotine. L'absorption se fait par la
muqueuse buccale et bronchique.

Patch (ou timbre) à la nicotine Il délivre de façon continue la nicotine dans le sang.
Cet anti-dépresseur réduit les symptômes de manque et
l'envie de fumer. En association avec des substituts
Zyban nicotiniques, le taux de succès seraient plus élevés.
Attention, ce produit présente des effets secondaires et
sa prescription demande la plus grande prudence.

Encore à l'étude, des gouttes diluables dans des


boissons. De fait, la nicotine par voie orale semble
Gouttes à la nicotine tolérée. Cependant, pour atteindre la concentration
sanguine nécessaire après passage par le système
digestif, la dose de nicotine risque d'être nocive.

Elles se multiplient, les cigarettes électroniques sont un


Vapoter avec la cigarette électronique bon moyen pour moins s'intoxiquer et diminuer
progressivement son addiction.

Beaucoup de volonté et de courage viennent à bout de


Stopper net bien des maux et des faiblesses. Avantage : aucun frais
pharmaceutique supplémentaire

Arrêter de fumer : des bénéfices immédiats


Selon l'OMS, les effets du sevrage tabagique sont visibles presque immédiatement et s'améliorent
avec le temps :

 en 20 minutes, le rythme cardiaque et la pression artérielle diminuent ;


 en 12 heures, le taux de monoxyde de carbone dans le sang revient à un niveau normal ;
 en 2 à 12 semaines, la circulation sanguine s’améliore et la fonction pulmonaire augmente
;
 1 an après avoir cessé de fumer, le risque de maladie coronarienne est environ la moitié
de celui d’un fumeur ;
 entre 5 et 15 ans après avoir cessé de fumer, le risque d’accident vasculaire cérébral est
réduit à celui d’un non-fumeur ;
 enfin, 15 ans après avoir cessé de fumer, le risque de maladie coronarienne équivaut à
celui d’une personne qui n’a jamais fumé.
LIEN > HTTP://WWW.HYPNOSE-MEDICALE.COM/ARRET-DU-TABAC-ARRETER-DE-FUMER-DEFINITIVEMENT/

ARRÊT DU TABAC : ARRÊTER DE FUMER


DÉFINITIVEMENT

L’hypnose est une technique efficace dans la prise en charge médicale de l’arrêt du tabac. Le
patient, longtemps immobilisé par cette dépendance, prend enfin sa décision. Il perçoit la
cigarette comme inutile, étrangère ou comme un bourreau dont il est la victime. La motivation du
tabagique doit être personnelle. Si le sujet est poussé à l’arrêt du tabac par son entourage
familial ou professionnel, alors, l’échec est probable.

Technique d’hypnose pour arrêter de fumer


L’arrêt du tabac par hypnose repose sur le mécanisme de la suggestion et le concept de
l’empreinte. Il existe en chaque fumeur une part qui désire et a toujours désiré se délivrer un jour
du tabac. Le thérapeute amplifie cette part, si infime soit-elle. Il donne l’avantage à des pensées
et à un discours différents qui redonnent à la personne une sensation de liberté.

Diverses suggestions sont délivrées pendant la séance d’hypnose pour arrêter de fumer. Le
patient se saisit de celles qui sont, pour lui, les plus mobilisatrices. Par exemple, l’association
tabac-nausées, le plaisir de respirer, le désir de se débarrasser d’un produit toxique, de vaincre
une dépendance ou d’être à nouveau présent à son corps.

La qualité de la relation médecin – patient est décisive. Le patient se sent en sécurité. Il échange
avec le thérapeute, expose son point de vue, ses peurs. Tous ces aspects doivent être abordés
au cours de la séance afin de répondre au mieux à la demande.

La technique pour arrêter de fumer par hypnose fonctionne sur les sujets faiblement ou très
fortement dépendants à la nicotine. Elle calme les symptômes de manque sévère aux
composants du tabac et aux gestes et comportements addictifs.

5 niveaux d’approche différents dans l’arrêt du tabac par hypnose :

 Suggérer directement au fumeur un changement : le patient n’est plus dans son labyrinthe.
 Modifier la perception du comportement de dépendance.
 Utiliser l’hypnose pour visualiser l’avenir sans tabac.
 Utiliser l’hypnose en technique aversive : tabac = nausée.
 Autohypnose pour autonomiser le patient dans sa démarche.
Une seule séance d’hypnose peut suffire. Mais le thérapeute se sent prêt à accueillir son patient
en cas de difficultés et proposer des séances de soutien pour confirmer ou poursuivre le
détachement. Si le sevrage n’apparaît toujours pas, il ne sert à rien de multiplier les séances. Il
faut attendre quelques semaines avant de renouveler le traitement d’hypnose.

L’arrêt brusque et immédiat s’est révélé toujours préférable à l’arrêt progressif. Le patient choisit
l’hypnose justement parce qu’il souhaite être débarrassé au plus vite du tabac.

Toutefois, de nombreux patients ont besoin d’étapes pour affermir leur décision et s’habituer au
changement. Il faut donc assurer un suivi pour améliorer les résultats.
Séance d’arrêt du tabac par hypnose
Les patients sont traités le plus souvent en petit groupe.

L’entretien individuel préalable est indispensable pour évaluer :

 les liens de dépendance : gestes, drogue, obsession.


 Les motivations
 L’environnement familial et professionnel (favorable ou défavorable).
 Les éventuelles désintoxications précédentes.
 Les risques d’effets secondaires : prise de poids, dépression, anxiété sont les principaux.
On met alors au point les suggestions et la stratégie d’hypnose conduisant à l’arrêt du tabac.

Puis les patients rejoignent un petit groupe de 3 à 6 personnes. La séance d’hypnose pour
arrêter de fumer se déroule ensuite classiquement.

 Tests de suggestibilité.
 Induction en position assise dans un fauteuil.
 Phase de pesanteur.
 Phase d’engourdissement.
 Suggestions thérapeutiques :
o Valorisantes : avoir en soi la capacité d’exclure le tabac.
o Aversives : la vue, l’odeur, l’évocation du tabac provoquent aussitôt de fortes nausées.
o Modifiant le comportement : les gestes, les images du tabac sont oubliés, fumer fait partie du
passé.
o Renforçatrices : redécouvrir le plaisir de respirer, de vivre.
 Réveil.
 Peu de commentaires.
 conseils hygiéno-diététiques.
Le médecin confie alors au patient une liste de conseils à suivre. Celui-ci se doit d’être vigilant et
de considérer l’arrêt du tabac comme un événement trop important pour le remettre en cause.
Toute tentative, même éphémère, de fumer est un danger de rechute, même des années plus
tard. Le patient doit modifier son environnement, jeter cigarettes et briquet, ranger les cendriers,
parfumer son habitation, faire en sorte que le monde dans lequel il évolue ressemble bien à un
monde non-fumeur. Ce qu’il désire est cohérent avec ce qu’il vit.

Résultats de l’hypnose pour arrêter de fumer

Taux de réussite dans l’arrêt du tabac par hypnose :

 72% un mois après la séance.


 Puis 63% à deux mois.
 Puis 45% à trois mois.
 Puis 35 à 40% à six mois.
Le recul est suffisant pour affirmer la réalité de l’arrêt du tabac par hypnose. Les patients
fortement dépendants à la nicotine sont désintoxiqués dans les mêmes proportions que les sujets
moyennement dépendants.

Le sevrage peut provoquer des effets secondaires qui relèvent d’un traitement médical. Une prise
de poids négligée, une anxiété mal évaluée, des éléments dépressifs insuffisamment corrigés,
font craindre une rechute précoce. Traiter rapidement les effets secondaires éventuels d’un arrêt
du tabac par hypnose permet de garantir la durabilité du sevrage.

Les patients :

 13% ont déclaré avoir ressenti de l’anxiété les premiers jours.


 30% ont grossi de deux à huit kilos.
 5% ont déprimé les premiers jours.

CONVERGENCE INSTANTANEE

Recherche 1 >
Recherche 2 >

ANTI INSOMNIE

Recherche 1 > Causes d’insomnie


Recherche 2 > symptômes insomnie
Recherche 3 > insomnie therapie hypnose

Lien > http://selection.readersdigest.ca/sante/vivre-sainement/7-causes-frequentes-


insomnie/view-all/

7 causes fréquentes d’insomnie


Pourquoi souffre-t-on d'insomnie? Les nuits sans sommeil se répètent alors que vous
surveillez votre alimentation, faites de l'exercice et évitez la caféine
'Pourquoi alors n'arrivez-vous pas à fermer l'oeil? Voici sept raisons les plus courantes qui
pourraient expliquer pourquoi vous ne parvenez pas à vous endormir.
PAR CATALINA MARGULIS
Afficher en diaporama

Votre emploi peut être la cause de votre


insomnie
Le travail peut nuire à votre sommeil. Les longues heures, les déplacements et les
responsabilités peuvent gruger votre temps précieux de repos.

Si votre travail ou son environnement sont stressants, votre perte de sommeil pourrait
être exponentielle. « Un environnement de travail malsain peut mener à la frustration
et à la détresse et nuire à la qualité du sommeil », affirme Eva Libman, psychologue
clinicienne, spécialisée dans le sommeil à Montréal.

Quelques pistes de solutions

Aux gens qui présentent un cycle de sommeil-réveil non synchronisé, Libman


recommande à la fois de la mélatonine (dans la section des vitamines de la pharmacie)
et des expositions à une lumière vive pendant les heures de travail. « La mélatonine
est une hormone produite naturellement qui donne le signal du sommeil », explique Eva
Libman, qui recommande de prendre une dose de 3 mg quelques heures avant de se
coucher au moment où le corps devrait sécréter sa propre mélatonine. Cette hormone ne
fait pas dormir, mais prépare au sommeil.

Eva Libman recommande de consulter un spécialiste du sommeil pour connaître à


quel moment exact prendre la mélatonine. Elle suggère également l’exposition à une
lumière vive pendant une demi-heure au réveil pour accroître l’énergie.

Des lampes spéciales créées pour traiter la dépression saisonnière produisent le


niveau parfait de lumière anti-UV (avec intensité de 10 000 lux – dans les magasins
d’électronique et les pharmacies. Placez la lampe sur une table pendant le petit-déjeuner
(suivez les instructions du fabricant qui recommande de placer la lampe à 30-35 cm/12-
14 po du visage). Eva Libman prévient que l’exposition à la lumière vive en fin d’après-
midi et en soirée devrait être limitée. Elle recommande le port de lunettes de soleil à la
fin de la journée pour ne pas entraver la production naturelle de mélatonine (que
l’exposition à la lumière inhibe).

Elle suggère de regarder la télévision en soirée plutôt que d’utiliser un ordinateur, car
la lumière vive proche du visage peut faire disparaître la mélatonine. Si vous persistez à
utiliser votre ordinateur avant de vous coucher, Eva Libman vous recommande de porter
des lunettes de soleil teintées orange. « Elles neutralisent les ondes lumineuses
bleues qui sont les plus nocives. »
Il y a également les quarts de travail qui peuvent être en conflit avec votre rythme
naturel circadien et vous forcer à travailler lorsque vous êtes fatigué et à dormir lorsque
vous sentez alerte. Pour rétablir votre cycle de sommeil-réveil, si vous travaillez de nuit,
la lumière vive devrait être administrée durant la nuit, explique Eva Libman.

Les allergies peuvent nuire au sommeil


Une allergie peut avoir des effets graves sur votre respiration et déranger votre
sommeil.

Comment contrer les allergies de façon efficace?

Il faut donc traiter l’allergie avec les médicaments appropriés selon Eva Libman qui
suggère d’améliorer l’environnement de la chambre à coucher avec l’installation d’un
purificateur d’air, par exemple. « Si le blocage de vos voies respiratoires dérange votre
sommeil, essayez aussi les bandes nasales pour les dégager », conseille-t-elle.

La congestion en présence d’allergènes comme les plumes, les animaux domestiques


ou les acariens peut s’amplifier pendant la nuit, selon James MacFarlane. « Cela
s’aggrave encore durant l’hiver avec les fenêtres fermées », ajoute-t-il.

« Les vaporisateurs nasaux aux stéroïdes ou les antihistaminiques peuvent


améliorer la qualité du sommeil. » Il faut éviter les couettes en duvet ou plumes et retirer
toutes les moquettes, sans oublier de laver la literie à l’eau très chaude pour se
protéger des acariens.

Certains médicaments peuvent nuire au


sommeil
De nombreux médicaments produisent des effets stimulants ou au contraire sédatifs,
précise Eva Libman, qui explique que des antidépresseurs comme le Prozac peuvent
nuire au sommeil et devraient être pris le matin.

À quel moment prendre ces médicaments?


« En général, vous devriez prendre ces médicaments selon un horaire précis », poursuit-
elle. Il serait préférable de les prendre tôt dans la journée, s’ils semblent vous garder
éveillé. Consultez votre médecin à ce sujet.

Le stress peut vous empêcher de dormir


« Le stress nuit très souvent au sommeil », explique James MacFarlane qui précise
que « le stress chronique cause une hyper excitation qui ne permet pas d’obtenir un
sommeil satisfaisant. » L’anxiété peut également altérer le sommeil, précise-t-il.

« Les gens ne se rendent pas compte que ce qu’ils font durant la journée a un impact
direct sur leur sommeil », poursuit Eva Libman. « Si le stress, la tension ou les
inquiétudes ne sont pas traités de façon appropriée, la qualité du sommeil risque de s’en
ressentir et plus encore si vous êtes prédisposé à l’insomnie. »

Mieux dormir malgré le stress

Elle suggère de passer une demi-heure à la fin de la journée à rédiger une liste de tout
ce qui vous tracasse avec les solutions respectives dans un échéancier précis. Ainsi,
lorsque ces questions vous assailliront durant la nuit, vous saurez que vous avez la
solution et pourrez vous rendormir.

N’oubliez pas que l’exercice peut également vous aider à faire face au stress et à la
tension et à évacuer les hormones du stress. Cependant, il est conseillé de s’arrêter
assez tôt pour ne pas garder un trop-plein d’énergie au coucher.

Les douleurs chroniques peuvent nuire au


sommeil
James MacFarlane considère que les douleurs chroniques sont parmi les causes
majeures d’insomnie. Eva Libman, de son côté, souligne que la douleur ne fait pas que
déranger le sommeil, mais peut aussi vous réveiller tout au long de la nuit sans que vous
vous en rendiez compte. Et si vous dormez mal, la douleur n’en sera que plus forte le
lendemain, précise-t-elle. « C’est un cycle infernal. »

Comment mieux dormir lorsque l’on souffre de douleurs chroniques?


Alors qu’Eva Libman souligne « l’importance cruciale d’avoir des médicaments
efficaces contre la douleur », James MacFarlane met en garde contre les
analgésiques narcotiques qui peuvent déranger le sommeil en affectant la respiration –
oxycodone, méthadone et morphine. Dans ces cas, voyez avec votre médecin si une
réduction de la dose le soir ne serait pas bénéfique pour votre sommeil.

Vos enfants vous empêchent de dormir


«Votre rôle de parent peut taxer sérieusement votre sommeil», dit James MacFarlane,
directeur des études dans les cliniques pancanadiennes MedSleep et professeur associé
en psychiatrie à l’université de Toronto. Il souligne que d’après les données de 2005 de
Statistiques Canada, les parents d’un seul enfant de moins de 15 ans dormaient en
moyenne 17 minutes de moins que ceux qui n’en avaient pas, alors que s’ils avaient
deux enfants de moins de 15 ans, ils dormaient 25 minutes de moins.

Quelles solutions envisager?

Vous débarrasser de vos enfants n’est pas la solution pour gagner du sommeil.
Cependant, leur assurer une nuit reposante et contrôler tout ce qui pourrait la
déranger devrait vous garantir des heures précieuses de sommeil réconfortant et
reposant.

Certains aliments et boissons nuisent au


sommeil
« Si vous avez tendance à faire de l’insomnie, il est fortement recommandé de couper la
caféine en soirée », suggère Eva Libman. « L’alcool avant de se coucher peut avoir
un effet calmant, suivi d’un effet stimulant. » Il n’y a pas d’aliment connu pour empêcher
le sommeil, précise-t-elle. Cependant, chaque cas est unique. Si une personne digère
difficilement certains aliments gras, contenant de la caféine ou souffre d’un problème
chronique comme le reflux gastrique, l’inconfort qui en résulte peut déranger le sommeil.
Dans ce cas, évitez les déclencheurs du problème.

Privilégiez les aliments qui favorisent le sommeil

Pour ce qui est des aliments qui vous aident à dormir, Eva Libman cite le lait chaud.
« C’est parce que le lait contient certains précurseurs du tryptophane qui est reconnu
pour ses effets soporifiques », nous dit-elle.
Cependant, toute nourriture qui enlève la sensation de faim pourrait vous aider à
dormir, précise-t-elle.

Principaux effets de l’insomnie


L’insomnie est liée aux problèmes cardiaques, au diabète, à l’obésité et à d’autres
maladies chroniques. « Elle occasionne également des variations d’humeur et souvent
de la dépression, » précise Eva Libman, psychologue clinicienne, spécialisée dans le
sommeil à Montréal. « Les fonctions cognitives et de rendement sont affaiblies. Et la
douleur est exacerbée par un sommeil inadéquat. »

Les vertus du sommeil

Un bon repos a des effets réparateurs et peut même libérer les toxines du cerveau,
comme l’a démontré une étude faite en 2013 au Centre médical de l’université de
Rochester, à New York, et au Langone Medical Center de l’université de New York.
Selon cette étude publiée dans le journal Science, « l’effet réparateur du sommeil peut
résulter de l’élimination accrue des produits résiduels potentiellement neurotoxiques qui
peuvent s’accumuler dans le système nerveux central à l’état d’éveil. » Ce « lavage de
cerveau » élimine également les bêta-amyloïdes, des peptides qui peuvent
s’accumuler et former une plaque sur les cellules nerveuses – une conséquence qui peut
entraîner le développement de la démence, selon Libman.

Insomnie: les statistiques au Canada


Selon les données recueillies en 2010 et Statistiques Canada, ce sont les Canadiens de
15 à 24 ans qui détenaient la moyenne d’heures de sommeil la plus élevée (8
heures 59 minutes), tandis que les 35 à 44 ans dormaient en moyenne 7 heures 57
minutes.

Sommeil: chaque personne a des besoins distincts

Cela dit, alors que certaines personnes se reposent avec cinq ou six heures de sommeil,
d’autres ont besoin d’une nuit de neuf à dix heures. Le nombre d’heures de sommeil
nécessaire varie selon la personne et s’établit d’après le nombre d’heures qui sont
requises pour être efficace et en pleine forme durant la journée, conclut Eva Libman.
Lien > https://www.passeportsante.net/fr/Maux/Problemes/Fiche.aspx?doc=insomnie-pm-
symptomes-de-l-insomnie

 Références
Symptômes
 De la difficulté à s’endormir.
 Des réveils intermittents durant la nuit.
 Un réveil prématuré.
 De la fatigue au réveil.
 De la fatigue, de l’irritabilité et des troubles de concentration durant le jour.
 Une diminution de la vigilance ou des performances.
 Une anticipation anxieuse de l’arrivée de la nuit.

Les personnes à risque


 Les femmes seraient plus enclines à souffrir d’insomnie que les hommes, entre
autres en raison de certains changements hormonaux avant les menstruations (voir
notre fiche Syndrome prémenstruel), et durant les années qui précèdent et qui
suivent la ménopause.
 Les personnes âgées de 50 ans et plus.

Lien > http://www.doctissimo.fr/html/sante/mauxquot/sa_507_e_causes.htm

L'insomnie est un problème qui touche plus de 10 % de la population adulte. Elle


se traduit par une diminution de la quantité et de la qualité du sommeil
(difficultés d'endormissement, éveils nocturnes, réveil précoce le matin…). Le
sommeil est alors vécu comme non reposant. La journée s'accompagne de
fatigue, de somnolence et l'insomniaque est souvent irritable. Doctissimo fait le
point sur les principales causes de l'insomnie.
Sommaire

1. Quand parler d'insomnie ?


2. L'hygiène de vie à l'origine de l'insomnie
3. Les causes organiques de l'insomnie
4. L'insomnie liée à l'âge
5. Les maladies chroniques et les médicaments liés à l'insomnie
6. Les causes psychologiques de l'insomnie

Quand parler d'insomnie ?

On parle d’insomnie soit lors que l’on a une difficulté à s’endormir à l’heure du
coucher (insomnie initiale), soit lorsque l’on fait des réveils nocturnesfréquents ou
prolongés, soit enfin quand on se réveille prématurément le matin avec une
incapacité à retrouver le sommeil. Une personne peut souffrir d’un mélange de ces
symptômes, ou encore peut changer avec le temps de symptômes.
Prendre plus de 30 minutes pour s’endormir, ou passer plus de 30 minutes éveillé au
milieu de la nuit, avec une durée de sommeil inférieur à 6 heures 30 par nuit représente
un problème d’insomnie. Si vous dormez 6 ou 7 heures par nuit et que vous vous
sentez reposé le jour suivant, vous ne souffrez pas d’insomnie. Si vous avez de la
difficulté à resté endormi ou à vous endormir au moins trois fois par semaine, vous
faites probablement de l’insomnie.

On peut souffrir d’une insomnie transitoire (problèmes de la vie, inquiétudes), à


moyen terme (les choses peuvent encore rentrer dans l’ordre ou se dégrader) ou à
long terme : l’insomnie devient chronique.
L'hygiène de vie à l'origine de l'insomnie

Des problèmes d'hygiène de vie peuvent être à l'origine de ces difficultés à s'endormir.
Ainsi, la consommation abusive d'excitants (café, thé, alcool, tabac) ou le fait
de manger trop ou pas assez le soir peuvent être responsables des difficultés à
trouver le sommeil. Le manque d'activité physique ou au contraire une activité
physique trop intense peuvent également être en cause. Il ne faut pas oublier
des causes tout simplement liées à l'environnement : chambre bruyante ou trop
lumineuse, sommier ou matelas de mauvaise qualité…
Les causes organiques de l'insomnie

L'insomnie peut parfois avoir une cause organique, telle que le syndrome des jambes
sans repos ou l'apnée du sommeil. Le syndrome des jambes sans repos est fréquent
chez les femmes enceintes et les personnes de plus de 60 ans. Il se traduit par
sensations de brûlures, d'agacements, de picotements (paresthésies) dans les
jambes au moment du coucher. Ces sensations obligent la personne à se lever, à
marcher, à se rafraîchir les jambes sous la douche et empêchent l'endormissement.
Ce syndrome s'accompagne de mouvements périodiques des jambes durant la nuit,
qui peuvent gêner le conjoint. L'apnée du sommeil est une autre cause organique qui
occasionne des insomnies. Elle est très difficile à déceler et entraîne une fatigue
importante le matin et des troubles de la mémoire et de la concentration. Ces
problèmes de jambes sans repos et d'apnée du sommeil sont généralement mis en
évidence grâce au témoignage du conjoint.
L'insomnie liée à l'âge

Les personnes souffrent plus souvent d’insomnie en avançant dans l’âge, car le
vieillissement du cerveau change le fonctionnement de l’horloge biologique.
Les maladies chroniques et les médicaments liés à l'insomnie

L'insomnie peut aussi être associée à certaines maladies organiques (asthme,


ulcère...) ou à la prise de médicaments excitants (cortisone, bêta bloquants...) qui
perturbent le sommeil.
Les causes psychologiques de l'insomnie

Dans un grand nombre de cas, l'insomnie est en fait liée à des causes psychologiques.
Elle est souvent liée à un épisode traumatisant (opération chirurgicale,
accouchement…) qui, bien que passé, a laissé une angoisse de la nuit blanche. Dès
que la personne se couche, les systèmes d'éveil sont activés, empêchant
l'endormissement. Les problèmes de dépression sous-jacente ainsi que l'anxiété et
le stress sont également des causes majeures d'insomnie.
Ecrit par:

Dr Alain Dubos
Mis à jour le 22 février 2018

Sources :
Fondation Sommeil

**********************************************************************************************

Lien > https://fondationsommeil.com/les-traitements-linsomnie/

Insomnie : les traitements


L’insomnie, définition, causes et conséquences | Page 1
Les différents types d’insomnie | Page 2
Les traitements de l’insomnie | Page 3
L’insomnie fatale familiale | Page 4
Testez la sévérité de votre insomnie !
Les groupes de soutien pour l’insomnie
Protocole de recherche sur le traitement de l’insomnie

Le contenu de cette page à été possible grâce à Diane B. Boivin MD, PhD.
Directrice du Centre d’étude et de traitement des rythmes circadiens humains à
l’IUSM Douglas
Professeure agrégée de médecine et de psychiatrie à l’université Mc Gill
Cet article est extrait du livre : Le sommeil et vous – Édition Trécarré

La reproduction du texte ci-dessous dois impérativement se faire en citant la


référence complète ci-dessus.

Conseils pour bien dormir


Il est important, quand on souffre d’insomnie, de mettre en place dans notre vie une
bonne hygiène du sommeil. Entre autre il s’agit de réduire l’état d’hyperactivité mentale
et physique à l’heure du coucher. Il est important par exemple de s’accorder une
période de transition en fin de soirée pour se détendre : cesser de travailler ou de jouer
sur Internet jusqu’à la dernière minute, éviter les sports intenses en fin de soirée, et ne
pas regarder la télévision ou répondre à ses courriels au lit.

Cacher l’heure systématiquement dans la chambre est un conseil essentiel. Il faut


résister à tout prix au désir de connaître l’heure lorsqu’on ne trouve pas le sommeil la
nuit. Pourquoi ? Parce ce que le simple fait de regarder l’heure engendre une série de
pensée négatives qui ne font qu’aggraver les préoccupations liées au sommeil. Même
les personnes qui se croient à l’abri de l’insomnie ont tendance à calculer mentalement
le repos qu’elles ont accumulé la nuit jusqu’à ce moment et le nombre d’heures qu’il
leur reste à dormir. Or l’aspect récupérateur du sommeil nocturne ne répond pas à un
simple calcul. L’équation est plus complexe, il faut donc laisser le cerveau inconscient
faire le calcul tout seul et reposer nos neurones.

Les dix commandements de l’insomniaque


Ces conseils constituent des éléments importants d’une bonne hygiène du sommeil et
sont suggérés pour les patients souffrant d’insomnie avant même de mettre en place
une médication ou un autre traitement.

1. Maintenez la plus grande régularité possible dans vos heures de sommeil. Réglez
d’abord votre heure de lever et couchez-vous le soir lorsque vous ressentez le besoin
de dormir. Même si c’est très tard dans la nuit, les heures de coucher finiront par se
régulariser progressivement.

2. Maintenez la plus grande régularité possible dans vos heures d’exposition à la


lumière et à la noirceur. Exposez-vous le plus possible à la lumière solaire le jour.
Dormez dans la noirceur et demeurez dans la lumière tamisée la nuit si vous sortez
du lit.

3. Détendez-vous mais évitez de faire une sieste si vous ressentez de la fatigue


importante au cours de la journée.

4. Évitez d’utiliser de l’alcool ou des drogues pour vous endormir.

5. Quittez votre chambre si vous vous réveillez la nuit et que vous avez du mal à vous
rendormir. Détendez-vous dans la lumière tamisée d’une autre pièce jusqu’à ce que
vous ressentiez le besoin de vous rendormir. Évitez les activités stimulantes (ménage,
travail, courriel, Internet) en pleine nuit.

6. Résistez à tout prix au désir de regarder l’heure la nuit ! Réglez votre réveil pour
qu’il sonne à l’heure voulue et régulière de votre levée le matin.

7. Évitez l’utilisation excessive de substances stimulantes au cours de la journée (à


moins de prescription médicale).

8. Réservez votre chambre à coucher pour le sommeil (et les activités sexuelles).
Bannissez-en le travail, la télévision, le i-pad, les cellulaires et toute autre activité
stimulante.

9. Dormez dans un environnement calme, sombre, tempéré et bien ventilé.

10. Planifiez un temps de repos et de loisirs tous les jours, particulièrement en soirée.
Guérir des insomnies ? Avoir des attentes
réalistes
Il faut préciser qu’on ne devrait pas tenter de guérir de ses insomnies, mais plutôt
apprendre à en minimiser les impacts. Vouloir à tout prix dormir d’un sommeil normal,
voire parfait, et cela toutes les nuits, ne fait qu’aggraver les tensions et préoccupations
liées aux insomnies.

En fait, c’est un peu comme vouloir guérir de l’anxiété en se forçant coûte que coûte à
se détendre. Mieux vaut lâcher prise et apprendre à relativiser ses attentes par rapport
au sommeil.

En fait, c’est à l’anxiété de performance liée au sommeil qu’il faut s’attaquer. La bonne
nouvelle, c’est que l’insomnie tue rarement, et que même si elle détériore la santé
physique et mentale, ce processus se fait très lentement. Les cas d‘insomnie
fatale sont extrêmement rares. Les personnes doivent se fixer des buts réalistes. Il est
préférable de réviser ses perceptions par rapport à son sommeil, d’autant plus que de
nombreux insomniaques ont tendance à sous-estimer la durée du sommeil obtenu la
nuit. Il faut cultiver un certain état de détachement vis à vis de ses insomnies : c’est un
état chronique qui s’est installé à long terme. Il faut s’attendre à ce que beaucoup de
temps soit nécessaire pour regagner un sommeil de meilleur qualité.

Le contrôle des stimuli


L’idée de cette thérapie est de s’attaquer au réflexe conditionné. Cette approche
appelée le contrôle des stimuli vise à réduire les risques d’association entre la chambre
à coucher et le fait de ne pas dormir. Ainsi, lorsque les patients atteignent un état de
frustration dû au fait de ne pas dormir, ils ont la consigne de changer de pièce pour s’y
détendre. Les activités doivent alors être légères et propices au retour du besoin de
dormir, par exemple lire, écouter de la musique de détente ou pratiquer des techniques
de relaxation.

Il faut éviter les activités trop stimulantes telles que répondre à ses courriels, jouer à
des jeux vidéos. Lorsque le besoin de dormir s’intensifie, le patient est invité à
retourner dans sa chambre pour s’y endormir. S’il n’y parvient pas au bout 10-15
minutes, il faut à nouveau changer de pièce. Le patient doit répéter ce scénario aussi
souvent que nécessaire.

La méthode de restriction du sommeil


L’idée est d’améliorer l’efficacité du sommeil en imposant un contrôle serré sur les
moments autorisés pour dormir. Cette approche à pour objectif de corriger le fait de
passer de longues heures sans dormir dans la chambre à coucher. Par exemple, si un
patient rapporte qu’il ne dort que quatre heures par nuit, mais passe huit heures
couché à tenter de dormir, l’efficacité de son sommeil est globalement évalué à 50%.
Le patient reçoit alors la consigne de limiter le temps passé au lit à quatre heures par
nuit et d’éviter les siestes diurnes afin de maximiser son besoin de sommeil. L’efficacité
de son sommeil passera rapidement à presque 100%. Comme ce régime de sommeil
est assez radical, il s’agit d’une mesure temporaire. Le « ratio de sommeil » sera en
effet augmenté à petites doses, soit plusieurs minutes par jour, jusqu’au retour d’une
période de sommeil acceptable en qualité et en durée.

Thérapies de relaxation
Dans l’insomnie psycho-physiologique chronique, on note beaucoup d’anxiété et de
préoccupation en rapport avec le sommeil. Les thérapies de relaxation se révèlent très
utiles dans le traitement à long terme de cette forme d’insomnie.

La relaxation progressive vise à faire remarquer au patient à quel moment sa tension


musculaire est élevée ou relâchée. On lui demande de serrer le poing en maintenant
la tension pendant 20 secondes et d’enregistrer la sensation, puis de relâcher
lentement les muscles pendant 30 secondes en notant la sensation différente. Ensuite,
en commençant avec les muscles des deux pieds, on répète ces étapes bilatérales,
d’une façon séquentielle, jusqu’à ce que tous les groupes de muscles principaux aient
été relâchés.

Médicaments
Les somnifères ne soignent généralement pas l’insomnie, mais ils procurent souvent
un soulagement symptomatique. L’usage quotidien d’hypnotiques pendant plus de 4
semaines augmente de risque de problèmes d’insomnie :

– Soit parce que l’on est obligé d’augmenter les doses, à cause de la tolérance acquise
à l’effet hypnotique.
– Soit pour l’effet de provoquer une insomnie de rebond : aggravation temporaire des
symptômes d’insomnie dès qu’on arrête la médication, ce qui a pour effet de pousser
la personne à reprendre les médicaments au lieu de patienter.
– Soit pour des symptômes de sevrages et la dépendance psychologique et physique.

CHARISME

Recherche 1 > Charisme, comment en avoir et pourquoi c’est important

Recherche 2 > Pourquoi vouloir être charismatique


Recherche 3 >

Charisme, comment en avoir et pourquoi c’est important : Les 4


clés du charisme

Le charisme est devenu un atout importantmaintenant dans la vie, car il permet de sortir de la masse. Il est
moins dur d’être en haut de la pyramide. D’avoir de l’ambition, de réussir. Plutôt que de rester dans la masse,
car il y a moins de compétition.
Mais tout d’abord commençons par la définition du mot Charisme
Le charisme est la qualité d’une personne qui séduit, influence, voire fascine les autres par ses discours, ses attitudes,
son tempérament, ses actions. Un charisme puissant, c’est-à-dire fascinant, trouble et neutralise le jugement d’autrui ;
c’est pourquoi on peut si aisément diriger, voire manipuler, les autres quand on a du charisme. Le charisme est souvent
un don naturel ou une façon d’être, mais il est possible de travailler sur soi pour le développer. Le charisme est aussi lié
a la confiance en soi, la personnalité, l’intérieur de la personne.

Je donne ici les 4 clés du charisme


La plupart d’entre nous connaissent des gens charismatiques dans leur entourage. Ces gens sont fascinants, mais d’où
vient leur charisme ? Je me suis souvent posé la question, et il m’est apparu qu’il n’existe pas une, mais
plusieurs sortes de charisme, qui font appel à des compétences et des qualités légèrement différentes.

Allons-y tout de suite voir quelques idées reçues : le charisme n’a pas grand chose à voir avec la beauté, pas plus
qu’avec la richesse (ou alors, seulement la richesse intérieure). J’ai connu des gens très beaux qui n’avaient pas un poil
de charisme. Et j’ai connu des gens relativement communs qui rayonnaient. Le fait est que le charisme confère en lui
même une certaine beauté.

1:–Développez votre force intérieure


a)..Si vous êtes charismatiques, vous avez des opinions fermes, parce que vous y avez réfléchi longuement, et êtes prêt
à les défendre parce que vous êtes convaincu qu’elles en valent la peine. Cela ne signifie pas que vous ne changez
jamais d’avis par principe, mais que vous n’adoptez pas une idée sans y avoir pensé avant.

b)..Vous avez des principes forts, que vous suivez en toutes circonstances. Vous savez ce qui est juste et ce qui ne l’est
pas, vous connaissez vos limites, ce que vous êtes prêt à faire ou à ne pas faire, et il est par conséquent difficile de
vous faire changer d’avis. Vous savez dire non quand il le faut, sans pour autant froisser votre interlocuteur.
c)..Comme vous ne doutez pas de vous, vous ne ressentez pas le besoin de protéger à tout prix votre petit amour
propre. Par conséquent, vous n’êtes ni borné ni têtu, vous n’avez pas non plus peur de changer d’avis si vous constatez
que vous êtes dans l’erreur, ni d’avouer vos petites imperfections, sans pour autant vous auto-dévaluer. Vous acceptez
les critiques et n’avez pas peur de vous remettre en question.

d)..Votre cohérence intérieure vous permet d’agir conformément à vos principes et à vos valeurs. Vous n’avez pas peur
de vous mettre en danger pour obtenir ce que vous désirez, parce que vous avez confiance en votre faculté de retomber
sur vos pattes. Vous vivez donc sereinement dans la certitude d’être dans le droit chemin. Vous agissez conformément
à vos pensées, et vous acquérez petit à petit une réputation de fiabilité et de crédibilité.
e)..Votre confiance en vous vous permet de ne pas rechercher sans cesse la validation de vos actes par autrui, mais
plutôt à l’intérieur de vous. Cette force intérieure vous permet de devenir proactif et de prendre des initiatives. Quand les
autres restent indécis, vous êtes capable de décider pour eux. Cette faculté de décider par vous même vous conférera
un leadership naturel, et vous entraînerez facilement ceux qui sont moins sûrs d’eux.
f)..Vous êtes de fait une personne de confiance, puisque vous ne donnez pas votre parole ni ne faites de promesses à
la légère. Vous arrivez à l’heure à vos rendez vous, et tenez vos engagements. Comme vous êtes ferme dans vos
opinions et dans vos décisions, les autres savent que vous êtes fiable, qu’ils peuvent s’appuyer sur vous et vous faire
confiance.
L’autre conséquence, c’est qu’on écoute vos paroles, puisqu’on sait que vous ne parlez pas en l’air. Il vous est donc
plus facile de faire prendre en compte votre opinion.

2:..Améliorez votre visibilité


a)..Si vous voulez du charisme, il vous faudra de l’aisance relationnelle, et surtout de la présence. Vous ne pouvez pas
rester dans un coin en espérant qu’on remarquera votre beauté intérieure, ça ne marchera pas. Montrez vous ! Il faut
qu’on vous remarque, que vous soyez visible. Dans les soirées, il y a celui qui observe, et celui qui est observé.
Devenez donc celui là.

b)..En devenant plus visible, vous marquerez les esprits à plusieurs niveaux. Supposons que vous fassiez montred’une
grande visibilité au cours d’une soirée ou vous ne connaissez pas tout le monde. D’abord, il vous sera plus facile de
nouer de nouvelles relations : les gens recherchent la compagnie de ceux qui ont une grande aisance sociale Ensuite,
quand les gens repenseront à cette soirée, ils repenseront aussi à vous. Vous aurez donc marqué leur mémoire, c’est
pas génial, ça ?!

c)..Comment accroître votre visibilité ? Ce n’est pas si compliqué, croyez moi. N’hésitez pas à utiliser tous les sens à
votre disposition. Pour vous faire voir, soyez dynamique, déplacez vous, ayez l’air sûr de vous, et adoptez un style
vestimentaire qui vous est propre. Faites des choses, soyez celui qui danse comme un Dieu, ou fait de la magie.

d)..Pour être entendu, parlez haut, et même parlez tout court. Prenez part active à une conversation, et n’ayez pas peur
de parler. Lancez des sujets, racontez des choses intéressantes, des anecdotes amusantes, valorisez vous en
racontant vos exploits (mais faites le de manière subtile, pour ne pas passer pour un gros lourd). N’hésitez pas à utiliser
une voix forte, pour être entendu (toujours sans en abuser, bien entendu).

e)..Ne négligez pas les sensations kinesthésiques, touchez les gens sur le dos, l’épaule, la main, le bras, etc. Un
simple contact par-ci par-là fera des miracles, notamment en matière de séduction. N’oubliez pas que
les contactscorporels sont des signaux très puissants. Utilisez les à bon escient.
Pour vous faire sentir, vous pourriez peut-être utiliser un léger parfum ? Et pour le goût…. Bon, là, je vous laisse le soin
de trouver des idées
Quelques techniques relativement simples vous permettront d’accroître votre visibilité de manière impressionnante.
Commencez par être réellement présent. Cessez de planer, redescendez sur terre, et soyez à ce que vous faites.
Concentrez vous sur la conversation en cours, focalisez vous sur le moment présent. Si vous flottez, les gens s’en
apercevront, et si vous donnez l’air de ne pas vous intéresser, vous n’intéresserez pas.
Entraînez vous à appeler les gens par leur nom, vous marquerez leur esprit et leur mémoire. C’est une méthode qui ne
coûte qu’un petit effort de mémoire, et qui donne des résultats spectaculaires. De plus, retenir le nom d’une personne
vous forcera à vous concentrer et à vous intéresser à elle.
Développez un style vestimentaire bien à vous. Vous devez prendre conscience que votre apparence véhicule un
message, et que les gens se font une opinion sur vous en 30 secondes. Vous n’y pouvez rien, alors acceptez le, et
prenez le temps de soigner votre apparence.
Travaillez votre contact visuel, jusqu’à obtenir un regard franc et amical. N’ayez pas peur de regarder les gens dans les
yeux (sans les fixer au point de les mettre mal à l’aise). Un regard fuyant et timoré est le meilleur moyen pour
devenir invisible.
Accroître votre visibilité aura un autre effet : vous serez soumis à une pression sociale plus forte, c’est à dire que vous
deviendrez sans doute la cible de commentaires, et serez plus souvent jugés que d’autres. Restez confiant ! Si vous
montrez que vous êtes à l’aise avec ça, vous prouverez que vous avez l’habitude d’être regardé, et votre charisme
montera en flèche.

3:..Intéressez vous aux autres


Ce point est extrêmement important, et trop souvent négligé. Soyez sincèrement curieux. Posez des questions sur la vie
des autres, leurs passions, leurs projets, leurs rêves, leurs activités, leur métier, leur famille, leurs états d’âmes. Il est
très important de pratiquer une écoute active : soyez attentif et compatissant. Même si la conversation ne semble être
qu’un échange de banalités, faites l’effort d’en retenir le contenu principal. Si quelqu’un vous explique un aspect de son
métier, ce n’est pas pour que vous l’oubliiez au bout de quelques minutes. S’il vous demandez à quelqu’un s’il est marié,
ou s’il a des enfants, vous devrez vous en souvenir pour lui demander des nouvelles de sa famille la prochaine
rencontre.
Ensuite, vous devez faire en sorte que les gens se sentent bien avec vous. Qu’ils se sentent important à votre contact.
C’est une compétence très rare, je ne l’ai rencontré que chez une poignée de personne au cours de ma vie. Elle
réclame beaucoup de subtilité, et est difficile à acquérir, mais les effets sont sidérants. En fait, ce n’est ni plus ni moins
qu’une manière très spéciale de faire de compliments.

4:..Soyez visionnaire
Un orateur passionné communique une vie incroyable à son sujet, et dégage une énergie puissante qui rayonne autour
de lui. La passion est un excellent moyen de booster son charisme, parce qu’elle confère de la puissance, elle est
capable de transformer une personne timide en interlocuteur exaltant. Celui qui est passionné, parce qu’il est
extrêmement intéressé, prend toute l’apparence de quelqu’un d’extrêmement intéressant, et c’est pourquoi il est capable
d’attirer les foules. Mais plus que la passion, c’est la vision qui confère le plus de charisme. Pensez aux hommes
politiques qui haranguent les foules en promettant un monde meilleur. Ce sont leurs visions passionnées et leur faculté
à les partager qui ont donné tant de pouvoir à Gandhi et Bill Gates qui, à la base, étaient des hommes somme toute très
communs. L’aisance relationnelle, la personnalité, et même le charisme ne sont que des moyens. Mais la vision est une
fin. Des moyens sans fins ne mènent nulle part, et développer son charisme sans avoir de vision également.
Vous seriez sûrement surpris de connaître le nombre réel de personnes qui ont des projets à long terme (plus d’1 ou 2
ans). Ça ne fait pas beaucoup. Les gens sont attirés pas les visionnaires, parce qu’ils donnent un sens à leur existence.
Ils leur épargne la peine de concevoir leurs propres projets, et leurs fournissent des buts dans la vie.
Si vous avez des projets, que vous êtes prêt à les partager, et savez les « vendre », si vous êtes capable de faire appel
à l’imaginaire des gens pour leur prédire ce qu’ils désirent le plus, vous détiendrez sur eux un pouvoir fabuleux, et les
effets pour votre charisme seront extraordinaire. Vous deviendrez un leader, quelqu’un qu’on a envie de suivre, qu’on
écoute, et qu’on admire.
Conclusion : Pour détenir du charisme, il faut un mélange de tous ces éléments. Si vous avez confiance en vous mais
que vous ne vous intéressez pas aux autres, ou si vous avez une vision mais êtes incapable de communiquer, vous ne
deviendrez pas charismatique.
 HTTPS://WWW.PENSERCHANGER.COM/ETRE-CHARISMATIQUE-POURQUOI-ET-
SURTOUT-COMMENT

ÊTRE CHARISMATIQUE : POURQUOI ET SURTOUT COMMENT ?

Adam Fartassi 5 décembre 2015 5 Commentaires 10 minutes de lecture

J'aime / Je PartageJ'en parle


« J’ai appris que les gens oublieront ce que vous avez dit, qu’ils oublieront ce que vous
avez fait, mais qu’ils n’oublieront jamais comment vous les avez fait se sentir. » – Maya
Angelou

Vous avez sans doute tous entendu parler du charisme, ce talent rare et très convoité
dont disposent certaines personnes dans le monde. Toutefois, avant d’en parler, il va falloir
le définir.

Qu’est-ce que le charisme ?

Et bien, même les psychologues et sociologues de tout bord ont du mal à s’entendre sur
une définition. Pour faire simple, c’est la capacité de captiver et de fasciner un auditoire
par ses compétences en communication et langage corporel,tout en laissant une
impression de confiance et de maîtrise de soi.
Le charisme étant basé sur des compétences en communication, ceux-ci peuvent être
appris et développés. Donc il est possible de développer votre charisme, même si vous
partez de zéro.
Maintenant je vois certains se dire « Mais pourquoi aurais-je besoin de charisme ? J’ai
déjà un emploi/activité qui me convient, je ne suis pas un homme politique ou une
célébrité. » ou encore « Je suis retraité/mère au foyer, ce sujet ne m’intéresse pas ! »

Et bien c’est vrai, quand on demande aux gens de penser à des personnes
charismatiques, immédiatement ce sont des noms de personnalités politiques, de célébrité
ou encore de leaders. Pourtant, dans votre quotidien et autour de vous, il y a des
personnes charismatiques. Ça peut être l’enfant populaire à l’école, le vendeur qui vous
donne le plus de conseils sur ses produits, ou l’employé de bureau qui est ami avec tout
le monde.

Le charisme ne s’arrête pas là non plus. Si vous pouviez inspirer confiance et respect à
votre conjoint, vos enfants, vos collègues, vos amis tout en leur laissant une impression
plus positive, n’y auriez-vous pas tout à y gagner ? Et pour ça, pas besoin de faire des
discours devant un public ou s’engager dans des élections :)
Voici 5 astuces pour devenir plus charismatique dès maintenant !
1 – Inspirer de la confiance

Le charisme n’est pas de la confiance en soi, mais être confiant vous rendra
certainement plus charismatique parce que cette confiance en vous permettra de mettre
à l’aise les autres et on vous trouvera plus capable. Si les gens vous voient comme une
personne qui a confiance en elle, ils voudront naturellement communiquer avec vous. Voici
quelques trucs qui vous aideront à apparaître plus confiant :
 Soyez positif. Ne commencez pas de conversation en vous plaignant ou en critiquant
une autre personne, un endroit ou une figure politique. À la place, concentrez-vous sur
ce que vous aimez, cela permettra aux gens de participer et leur donnera envie de rester
à parler avec vous. Le professeur Martin Seligman de l’université de Pennsylvanie dans
« La force de l’optimisme » a montré que la majorité des gens préfèrent fréquenter
des personnes optimistes.
Si vous commencez par parler de ce que vous détestez, les gens s’inquiéteront de
l’ambiance négative que vous générez et s’éloigneront de peur que cela déteigne sur
eux.
 Parlez avec confiance. Parler avec confiance ne veut pas dire parler plus que tout le
monde, ou parler plus fort que tout le monde. Dites quelque chose d’important et dites-
le avec conviction. Parlez à un rythme détendu et parlez clairement. Variez votre ton,
votre rythme et volume de voix pour appuyer sur les mots importants et rendre votre
discours plus intéressant à écouter. Pour vous entraîner à parler avec confiance, vous
pouvez vous enregistrer en train de parler, puis assurez-vous de percevoir cette
confiance en vous en vous réécoutant.
 Pour apparaître confiant, vous devez d’abord avoir confiance en vous. Les
personnes qui ont vraiment confiance en elles aiment qui elles sont, ce qu’elles font et
à quoi elles ressemblent. Si vous ne vous sentez pas confiant, travaillez sur vos
meilleures qualités en les mettant en avant, cherchez à corriger vos défauts et améliorez
votre apparence, pour permettre aux autres de vous voir sous votre meilleur jour. N’ayez
pas peur de discuter de sujets que vous ne maîtrisez pas, restez ouverts et curieux,
vous serez ainsi bien plus communicatif et cela montrera que vous avez confiance en
vous même sur des sujets dont vous ignorez tout.
Si vous travaillez déjà sur votre confiance en vous, sachez qu’une voix posée et
confiante, des vêtements qui vous mettent en valeur et un langage corporel adapté peut
fortement vous aider à montrer aux autres l’image d’une personne qui a confiance en
elle.

2 – Un langage corporel expressif

Votre langage corporel peut en dire long sur la façon dont vous vous percevez, et cela
peut vous aider à paraître plus accessible pour les autres. Un mauvais langage corporel
peut vous donner l’air d’être replié sur vous-même ou indécis, c’est pourquoi il est
important de montrer que vous être confiant, déterminé et que vous existez. Voici
comment procéder:
 Améliorez votre posture. Rien ne montre plus de confiance qu’une bonne posture.Une
personne charismatique se tient droite et marche avec un pas sûr et déterminé, sans
être rigide, même dans une salle rempli d’étrangers. Ils font également des gestes de
leurs mains plutôt que de croiser les bras sur leur poitrine. Lorsque vous rencontrez
quelqu’un, serrez-lui fermement la main et regardez la personne dans les yeux.
Montrez un langage corporel positif lorsque vous parlez à quelqu’un ou même
lorsque vous êtes en train d’attendre. Asseyez-vous en face de la personne ou des gens
auxquels vous parlez et décroisez les jambes et les bras, tout en éloignant vos mains
de votre visage. Soyez à l’aise, ne gigotez pas et n’ayez pas l’air nerveux.
 Pensez à vos propres gestes. Lorsque vous parlez, est-ce que votre langage corporel
vous soutient ou bien vous dessert ? Avez-vous l’air nerveux, froid ou ennuyé ? Si vous
êtes passionné par quelque chose, est-ce que vos gestes communiquent bien cela ?
Soyez attentif à votre gestuelle, et améliorez-la progressivement.
 Pratiquez devant un miroir. Regardez-vous dans un miroir et faites un discours ou
bien faites semblant d’avoir une conversation avec quelqu’un. Où va votre regard ?
Quels gestes faites-vous avec vos mains ? Avez-vous l’air d’une personne timide ou
bien de quelqu’un de charismatique ? Quelqu’un pourrait-il savoir quelle émotion vous
affichez sans qu’il n’ait à écouter vos mots ? Pratiquez régulièrement et notez ce qui
nécessite d’être amélioré.
 Mimez le langage corporel de la personne avec qui vous conversez, ainsi vous
vous rapprocherez d’elle du point de vue du langage non-verbal. Si vous êtes face à
quelqu’un qui a beaucoup de gestuelle, vous pouvez faire pareil, tandis que si vous êtes
face à une personne plus réservée, vous ne devriez pas faire trop de gestes.
 Regardez les gens dans les yeux lorsque vous leur parler. Ne les regardez pas
fixement, mais ne balayez pas non plus la pièce du regard tout en cherchant à éviter le
contact visuel. Impliquez-vous visuellement et pas seulement avec votre voix. Ne
regardez pas votre téléphone ou votre montre, ou d’autres personne à qui parler, parce
que vous n’apparaîtrez pas impliqué dans la discussion.
 Observez attentivement la gestuelle des autres personnes autour de
vous. Remarquez comment la gestuelle de certains orateurs semblent fausse ou en
décalage avec le message qu’ils tentent de transmettre. Ces personnes ont alors l’air
sournoises ou bien hésitantes. D’autres orateurs au contraire, savent utiliser leur
langage corporel avec brio. Ce qu’ils disent marque les esprits et semblent plus dignes
de confiance mais aussi plus compétents. Ces personnes sont souvent des acteurs
célèbres, des leaders ou des experts dans leur domaine. Prenez le temps d’observer
les bons et les mauvais exemplesd’utilisation du langage corporel, et apprenez.
 Souriez véritablement lorsque vous saluez quelqu’un, cela peut changer du tout au
tout vos relations. Votre sourire devrait montrer que vous êtes heureux de faire leur
connaissance et de passer du temps avec eux. Et en plus il est contagieux.

3 – Accordez de l’importance à autrui

Peu importe à qui vous parlez, vous devriez toujours essayer de ravir la personne
et qu’elle se sente importante à vos yeux. Il faut qu’après vous avoir quitté, cette
personne se sente mieux vis-à-vis d’elle-même. Pour dégager un vrai charisme, vous
devriez être capable de parler à n’importe qui sur n’importe quel sujet, et d’écouter la
personne attentivement. Voici comment faire :
 Soyez l’égal de tout le monde. Si vous parlez à un potentiel employeur, un groupe de
riches donateurs, un enfant, un étranger, un handicapé ou un pauvre, ne les placez pas
sur un piédestal mais ne les traitez pas avec condescendance non plus. Soyez
respectueux envers les autres, mais respectez-les en tant qu’égaux, et attendez qu’ils
vous acceptent en tant que tel.
 Montrez un intérêt sincère dans la vie des gens. Soyez un peu curieux, posez des
questions aux gens sur leur vie, leurs expériences, ou leurs opinions sur certains sujets.
Faites-leur ressentir que ce qu’ils ont vécu a de l’importance pour vous, et que vous
appréciez leurs pensées dans la discussion. Il est vrai que vous pourriez penser que
« les gens en général ne sont pas si intéressants que ça », mais ce n’est qu’une fausse
croyance, tout le monde a toujours au moins quelque chose d’intéressant à raconter.
 Écoutez activement lorsque les autres parlent, sans émettre de
jugement. Accordez toute votre attention à quelqu’un lorsque celui-ci vous parle.
Comme si vous regardiez un film ou lisiez un livre dans lequel vous cherchez à en
apprendre plus sur le personnage principal, ne pensez pas à ce que vous allez
répondre ensuite, obligez-vous à faire une pause de deux secondes après que la
personne ait fini de parler. Concentrez-vous sur votre respiration, si vous sentez que
vous n’êtes plus « présent » dans la conversation.
 Un autre conseil fondamental : n’oubliez pas non plus d’acquiescer de la tête et de
faire de brèves interjections, comme « Je vois » ou « D’accord », pour rassurer la
personne sur le fait que vous l’écoutez, et que vous êtes intéressé parce ce qu’elle a
à dire. Un bref contact physique sur le haut du bras peut également souligner votre
accord ou empathie avec ce que dit la personne, et permette que la personne se
sente plus connectée à vous.
 Apprenez et rappelez-vous des noms des personnes à qui vous parlez, et adressez-
vous à ces gens par leur nom ou prénom, une fois que les connaissez un peu. Cela
vous permettra de mieux les retenir mais aussi de renforcer le lien que vous avez avec
ces personnes, cela les fera se sentir privilégiés.
 Complimentez les gens de temps à autre, mais faites-le sincèrement, et acceptez
également de bonne grâce les compliments qu’on vous fait sans jouer les faux
modestes.
 Rappelez-vous qu’être charismatique ne veut pas dire chercher à plaire aux gens.
Les personnes charismatiques ne cherchent pas à plaire à tout le monde, et se fichent
d’ailleurs pas mal de ce que les autres pensent d’eux. Le fait qu’elles plaisent aux gens
n’est qu’un effet de leur façon d’être et de communiquer.

4 – Soyez dynamique et faites de l’esprit

Une personne charismatique devrait être capable d’amuser les gens sans en faire trop. Le
charismatique a la capacité de rassembler des personnes autour de lui en racontant des
histoires drôles ou anecdotes amusantes. Vous devriez être capable d’attirer les gens à
vous avec un fin sens de l’humour. Voici comment le devenir :

 Apprenez l’auto-dérision. Si vous arrivez à rire de vous, cela montrera aux autres que
vous êtes confiants en vos capacités et ils seront bien plus à l’aise avec vous. Vous
n’avez pas besoin de vous déprécier pour montrer que vous êtes conscient de vos
défauts, quelques anecdotes sur votre vie peuvent suffire. Être en mesure de laisser les
autres rire de nos échecs sans en être affecté est un signe de vrai charisme.
 Apprenez à plaisanter avec une grande variété de personne. Vous devriez être en
phase avec le sens de l’humour de la personne ou du groupe de personnes à qui vous
parlez. Toutefois si vous parlez avec des personnes âgées ou sensibles, tenez-vous en
à des plaisanteries courtes et inoffensives. Lorsque vous êtes avec une personne que
vous ne connaissez pas, restez léger là-dessus. Vous ne voudriez pas risquer de
l’offenser ou que celle-ci se ferme complètement après une blague indécente.
 N’essayez pas d’être absolument drôle. Vous n’avez pas à faire des blagues toutes
les cinq secondes, n’oubliez pas que les blagues les plus courtes sont les meilleures.
Visez la qualité plutôt que la quantité et limitez-vous à quelques plaisanteries tout au
long d’une conversation.
 Sommaire

5 – Soyez passionnant

Pour être vraiment charismatique, vous devez non seulement impressionner, attirer et
écoutez les autres, mais vous devez également être doué pour intéresser les gens, en
ayant toujours quelque chose d’intéressant à dire. Ainsi, certains graviteront naturellement
autour de vous. Voici comment procéder :
 Soyez ouvert d’esprit. Une personne charismatique doit être capable de parler aux
gens d’une variété de sujets. Soyez instruits, soyez au fait des dernières nouvelles, et
ayez divers centres d’intérêts, comme le développement personnel, l’économie, l’art ou
les langues étrangères.
 Renseignez-vous sur les grands domaines qui intéressent les personnes : les
sciences, la politique, l’histoire et la littérature, ainsi vous pourrez vous adapter à chaque
personne avec qui vous discutez. Parlez également de vos propres passions, de ce que
vous aimez faire, les personnes qui parlent de leurs hobbies sont immédiatement plus
charismatiques car l’attitude passionnée amène de l’enthousiasme.
 Réfléchissez avant de parler. Réduisez vos discussions sur la pluie et le beau temps
et essayez de faire en sorte que chaque mot soit utile, en pensant à la formulation de
vos phrases avant de les prononcer. Si vous n’avez rien d’important à dire, restez
silencieux. Cela peut paraître surprenant, mais moins vous en direz et plus ce que vous
dites paraîtra important.
 Soyez connecté avec vos émotions. Des recherches ont montré que les personnes
qui étaient perçues comme charismatiques, ressentaient fortement leurs émotions et
pouvaient être affectés par les émotions des autres mais sans être submergées par
elles. Ainsi, n’ayez pas peur de montrer que vous ressentez de la colère, de la tristesse
ou de la joie sans trop en faire.
 Dites ce que vous pensez/ressentez. Les gens ont en général tendance à cacher
leurs pensées et ressentis des autres sans aucune mauvaise intention, mais en même
temps, tout le monde apprécie de discuter avec une personne vraiment honnête. Bien
sûr, il y a quelques exceptions, ne dites pas des choses qui pourraient mettre les autres
mal à l’aise ou les éloigner de vous.
Développer son charisme est un art. Ces quelques conseils vous aideront à devenir
plus charismatique, mais votre charisme est quelque chose qui vient de l’intérieur et doit
vous refléter sans quoi cela paraîtra faux. Heureusement, tout le monde a la capacité de
devenir charismatique, il faut simplement pratiquer et prendre en note ce qui fonctionne
pour vous et ce qu’il faut améliorer :)
The following two tabs change content below.

Sommaire
Lien > https://developpement-personnel-club.com/les-8-piliers-de-la-
personnalite-charismatique/

« Les 8 Piliers de la
Personnalité
Charismatique »
« Les individus à la personnalité charismatique adoptent des attitudes singulières qu’ils maîtrisent et
appliquent en société » (c) parleravecaisance.com

Il y a des êtres qui attirent spontanément la sympathie.


Ils exercent une puissante fascination sur les autres, qui semblent
être à l’aise partout et dans toutes les circonstances.
Ils inspirent l’enthousiasme, l’optimisme, et une sensation
d’harmonie et d’équilibre.
On dit d’eux qu’ils ont une personnalité magnétique ou qu’ils ont
du charisme. Cette notion est très importante pour un communicateur
efficace. À condition d’en connaître les secrets, le charisme peut se
développer.
Voici quelques caractéristiques fondamentales qui composent la
personnalité d’un être qui dégage du charisme :

# 1. Restez simple !
Une personne charismatique est simple. Elle est comme elle est
elle-même. Elle n’a pas besoin d’arrogance, de se vanter.
Dans un groupe, elle n’a pas besoin d’attirer l’attention des autres,
de se mettre en valeur. Une attitude naturelle est souvent mieux
perçue que d’adopter une certaine « suffisance ».
Cette simplicité ne passe pas forcément par des légèreté de
langage, non, mais par le fait de remarquer, parler, prendre en
compte toutes les personnes qui l’entoure. Les employés
subalternes sont remarqués et mis au même rang d’importance par
un leader charismatique.
# 2. Plus vous écoutez les autres et plus vous êtes écouté

Si vous souhaitez acquérir une personnalité magnétique, vous


devez apprendre à encourager votre interlocuteur à s’exprimer,
à vous parler de lui.
Posez-lui des questions sur son travail, ses loisirs, sa famille.
Donnez-lui l’occasion de se révéler à vous.
En filmant des personnalités charismatiques, on remarque qu’elles
prennent le temps d’écouter la personne qui leur parle. Elles montrent
des signes d’acquiescement pour montrer qu’elles écoutes leurs
doléances.

# 3. Apprenez à faire confiance aux autres

Une certaine réserve est positive. Toutefois, si elle vous empêche


de communiquer, de prendre la place qui est la vôtre, vous devez
travailler à améliorer votre confiance en vous.
Une personne charismatique, même si elle est aussi parfois
timide,dégage de la confiance.
Comme elle se fait confiance à elle-même, elle peut faire confiance
à ceux qui l’entourent et les accepter tels qu’ils sont.

# 4. Développez votre esprit de décision

Les personnes charismatiques ne sont ni négligentes, ni


paresseuses.
Si la procrastination (remettre au lendemain) est l’un de vos
défauts, travaillez à vous en défaire.
Honnêtement : admirez-vous des gens qui sont incapables de
prendre une décision rapide ? Qui remettent toujours à plus
tard leurs tâches ?

# 5. Montrez l’exemple !
Il n’existe pas d’engagements “mineurs”. Un engagement est
toujours important.
On vous jugera aussi bien sur votre ponctualité à un rendez-vous
(même entre amis), que sur la manière de payer vos dettes ou de
respecter un délai de livraison. Les personnes charismatiques sont
des êtres sur lesquels on peut compter.
Je me rappelle dans une de mes première entreprise où je
travaillais comme salarié, il y a avait deux chefs de services. L’un
était écouté et apprécié. L’autre était souvent rejeté et même détesté.
Ce que j’ai vite constaté, c’est que le premier arrivait toujours le
premier le matin. Il montrait l’exemple à ses collègues sous ses
ordres. Alors, que le second était toujours « limite » le matin pour
embaucher. Quel exemple pouvait-il donner quand il nous demandait
de faire des efforts de ponctualité ?

# 6. Trouvez un équilibre
Être bien dans sa peau n’a rien à voir avec la beauté physique. La
beauté n’a rien à voir avec le magnétisme personnel.
Les leaders charismatiques font très attention à leur équilibre. Ils
exercent souvent une activité en dehors de leur travail pour évacuer
un trop grand stress. En réalité, leur démarche est celle-ci :
Comme tout un chacun, la personne charismatique accumulent des
tensions nerveuses.
Mais, ils font le nécessaire pour ne pas la rejeter sur leurs
collaborateurs. Ils essaient donc de trouver des périodes de
calme pour être (et paraître) bien dans leur peau tout le temps.

7 # Cherchez les mots qui déclenchent des actions

Les leaders charismatiques que je connais pèsent leurs mots.


Leur langage est en recherche de termes qui poussent à l’action.
Leurs expressions incitent au dynamisme. Ils sont plein de :
« Nous allons y arriver ! »,
« Nous relèverons ce défi ensemble »

8 # Employez le « NOUS » au lieu du « Je »

C’est un point commun que l’on retrouve chez la personnalité


charismatique.
Elles utilisent le « nous » quand elles veulent faire passer un
message fort à leurs collègues. Le « nous » rassemble. Il identifie
puissamment à une cause, un but.
Enfin, il fait prendre en considération un aspect que la hiérarchie
n’est pas écrasante, au contraire, une impression que toutes les
forces (de haut en bas) sont mobilisés vers un objectif commun.

Sommaire

********************************************************************************

 https://www.alexandrecormont.com/developpement-personnel/comment-avoir-du-
charisme/

Pourquoi vouloir être charismatique


Avant de se demander comment devenir charismatique il faut savoir
pourquoi on veut soudainement changer de vie, de personnalité
et chercher à s’élever. A mon sens, il existe 2 raisons principalement. Si à
vos yeux il en existe d’autres qui sont importantes, n’hésitez pas à les
partager dans l’espace des commentaires situé en bas de l’article.

La raison n°1 : pour se rassurer !


Gagner en charisme c’est avant tout un moyen de se rassurer. En effet,
chez la plupart des hommes mais aussi des femmes que j’accompagne que
ce soit en France ou aux Etats-Unis, et qui veulent devenir quelqu’un de
nouveau, je retrouve un certain manque de self confidence, la fameuse
confiance que l’on a en ses capacités.

Que ce soit physique ou plutôt lié à la personnalité, vous ressentez un


certain manque que vous souhaitez combler et le charisme est la solution
idéale à votre problématique. D’emblée, j’aimerais vous dire que c’est une
excellente réflexion que vous vous faites. Il est important de ne pas avoir de
regrets, de ne pas continuer à vivre dans une forme de un train-train
quotidien qui ne vous plait pas.

Le simple fait d’admettre que l’on ressent un manque et que vous soyez en
phase de réflexion en recherchant des conseils montre bien que vous
souhaitez aller de l’avant et que vous n’envisagez pas de procrastiner bien
qu’il s’agisse d’une situation parfois difficile à accepter.
Je veux être charismatique Pour mieux
affronter le regard des autres !
Il peut également y avoir le regard des autres qui joue dans votre souhait
d’évoluer et d’aller de l’avant. Avoir du charisme c’est évidemment être
vu différemment par les hommes et les femmes qui vous entourent et cela
apportera donc automatiquement un plus dans votre socialisation.

N’importe qui veut marquer les esprits positivement, et dégager quelque


chose de spécial. Que ce soit dans le domaine de la séduction, dans la vie
de tous les jours avec ses amis ou ses proches, ou bien même dans le
cadre professionnel on a envie de sortir du lot et d’avoir de la prestance.

Quand on veut savoir comment avoir du charisme très souvent on se


demande également en parallèle comment avoir du charme et plaire aux
personnes que l’on considère, que ce soit lors d’une phase de séduction,
après tout rien de plus normal que de vouloir sortir du célibat et faire des
rencontres, mais également dans le cadre personnel. On cherche
également à avoir l’âme d’une personne qui va s’imposer dans son travail
ou bien même tenter une reconversion vers quelque chose qui nous plait
vraiment.

Le regard des autres peut parfois être un moteur même si je considère qu’il
ne faut pas faire une fixation sur cet aspect.

Après avoir examiné l’aspect théorique, voyons désormais comment


développer sa prestance de façon plus pratique.

Comment avoir du charisme pour une


femme ?
Comment être une femme charismatique qui attire les regards sur soi ?
Comment avoir confiance et une bonne estime personnelle au quotidien ?
Quelles sont les outils permettant d’utiliser son charme au quotidien et
devenir une femme fatale?

Au cours de mon expérience, j’ai eu la chance d’accompagner plusieurs


milliers de femmes dans différentes problématiques aussi bien en
développement personnel qu’en matière de vie sentimentale. Et sans
vouloir exagérer, je pense que toutes se sont posé la question à un
moment donné de savoir comment devenir une femme charismatique. La
séduction n’est pas innée ni le fait d’être une femme qui possède un
charisme fou. Alors comme c’est une demande qui revient régulièrement
parmi les femmes que j’accompagne, j’ai souhaité vous donner les clés à
travers ce dossier spécial pour vous aider à gagner en estime personnelle
ainsi qu’à faire ressortir le meilleur de votre personnalité.

Être une femme charismatique c’est surtout apprendre à se mettre en


valeur au quotidien et à “travailler sur soi”. Cela signifie que vous devez
tout simplement accepter d’évoluer au travers de vos envies pour
développer vos qualités et pour prendre conscience de votre potentiel. J’ai
souvent posé la question à mes coachés hommes pour savoir ce que
représente à leurs yeux une femme que l’on remarque immédiatement. J’ai
donc décidé de vous livrer un condensé de leurs opinions ainsi que mon
expérience personnelle de coach.

Pour aller plus loin, je vous invite à me poser toutes vos questions dans les
commentaires et à débattre autour d’une question principale “Comment
faire pour devenir une femme charismatique ?”.

Avoir confiance en soi et savoir rire de ses


faiblesses !
Je suis toujours subjugué de voir une personne qui possède du
charisme, que ce soit une femme ou un homme. Je me demande “quel est
leur secret pour attirer les regards ?” et surtout “pour transmettre une
énergie si positive ?”.

Encore hier, j’étais en coaching avec une femme qui me disaient “Je ne
sais pas pourquoi mais tout le monde se confie à moi”. Et pourtant rien
n’est dû au hasard, il existe des raisons qui expliquent cette attraction. La
principale que j’ai pu observer, c’est qu’en général toutes les femmes
charismatiques prennent la vie du bon côté. Elles possèdent une telle
confiance en elle qui attire immédiatement, et surtout elles savent rire de
leurs faiblesses.

Si vous regardez autour de vous, vous ne trouverez aucune personne


“parfaite”. Nous avons tous des défauts et une fois que vous arrêtez de
courir derrière une perfection illusoire, vous pourrez vous rendre compte
qu’il est nécessaire de savoir vivre avec ses faiblesses ou ses défauts.

Ne vous laissez pas perturber par des émotions négatives qui vous
empêchent de voir à quel point vous êtes une femme formidable. C’est le
premier conseil si vous vous demandez comment devenir une femme
charismatique.
Si vous souhaitez gagner en confiance personnelle, je vous invite à
regarder cette vidéo car je détaille quelques secrets qui vous aideront à
avancer.
Commencez par faire une liste de toutes les personnes
charismatiques, que vous enviez ou que vous admirez autour de vous.
Essayez alors de noter leurs “caractéristiques” et vous remarquerez
qu’elles ont toutes ce don d’être naturel(le) même avec un bout de salade
coincée entre les dents… Là où vous auriez tendance à rougir et à vous
décomposer…

Comment devenir une femme charismatique


en dégageant une énergie positive !
Avoir confiance en soi et ne pas se focaliser sur ses défauts ne suffit
pourtant pas pour être une femme charismatique. Il vous manquera un
élément crucial qui caractérise une personne qui communique parfaitement
et qu’on appelle “l’énergie positive”.

Ce sont toutes les ondes que vous émettez et dans n’importe quelle
circonstance vous devez apprendre à voir la vie avec ce petit plus, pour
cela il est indispensable de mettre de l’énergie dans ses paroles, dans ses
gestes et bien évidemment dans ses émotions.

Pour puiser de l’énergie positive, vous devez apprendre à vous ouvrir aux
autres. Cela commence par un changement physiologie. Pensez à
respecter la règle des trois attitudes du charisme et de la prestance :

– Se tenir droite
– Avoir un sourire naturel
– Parler bien distinctement, c’est-à-dire ni trop fort ni trop bas

C’est en respectant ces trois attitudes que vous pourrez avoir une énergie à
toute épreuve et surtout, que vous allez améliorer votre manière de
communiquer. C’est bien entendu la base pour se montrer attirante.

Si vous remarquez bien encore une fois, les personnes que vous trouvez
charismatique vont avoir cette tendance à “vivre leurs paroles”. C’est une
manière d’attirer l’attention, d’avoir le regard posé sur soi et bien
évidemment de plaire en étant naturel.

Entrainez-vous dès aujourd’hui à vous tenir droite, à avoir un sourire qui


deviendra envoûtant au fil du temps et surtout à parler avec un ton de voix
pour capter l’attention.

La clé pour être une femme avec du charisme


Sommaire
Lorsqu’on se demande comment devenir une femme charismatique il
faut avoir conscience que c’est aussi accepter l’idée de s’intéresser aux
autres, d’apprendre à reconnaître leurs envies et leurs besoins. Il s’agit
pour vous de donner de l’attention à ceux qui vous entourent, à transmettre
suffisamment d’énergie positive par le sourire et l’ensemble de votre
bienveillance.

L’être humain est fait pour parler de lui, pour qu’on s’intéresse à sa
personne. Alors il n’y a pas plus forte connexion que lorsqu’il se sent
compris et apprécier.

Les personnes charismatiques l’ont bien compris et cherche à comprendre


le profil de leur interlocuteur/interlocutrice pour répondre à ses besoins
émotionnels d’attention et d’affection. Plus vous parviendrez à vous porter
sur les autres et plus vous pourrez développer une aura qui vous permettra
d’attirer leur sympathie.

Avoir du charisme, c’est tout simplement faire ressortir un naturel


bienveillant et attirer les regards à travers ce que l’on dégage. Vous êtes
une femme qui mérite de faire ressortir son charisme alors n’hésitez pas à
“investir sur vous” pour améliorer votre communication, votre image, votre
confiance en soi et bien évidemment votre énergie positive au quotidien.

Je conclurai cette partie en vous précisant que le charisme nécessite de


se travailler par l’action et qu’il vous faudra réellement agir pour être la
femme que vous souhaitez devenir. Alors quelle sera votre prochaine
action ?
Dîtes moi tout dans les commentaires ! Et surtout n’oubliez pas de partager
cet article avec toutes vos amies. Plus il y aura de femmes qui seront en
mesure de dégager de la prestance et plus les hommes tenteront de se
mettre à l’avenant.

Mais rassurez-vous, vous aussi messieurs j’ai quelques clés à vous


transmettre !

Comment avoir du charisme pour un


Homme ?
C’est la question que des tas d’hommes se posent que qu’ils aient la
vingtaine ou bien qu’ils soient proche de la retraite. Après tout, il n’y a pas
d’âge pour se demander comment être charismatique est l’une des
questions qui revient le plus souvent.
Il faut savoir qu’une personne charismatique ne le devient pas en claquant
des doigts. Pour certains on a le sentiment que c’est inné, mais au contraire
c’est souvent quelque chose qui a été construit avec le temps ou bien qui
découle du physique. Un homme de 2 mètres et 100 kilos de muscle va
forcément en imposer. Néanmoins, tout le monde ne peut pas avoir ce
corps, pourtant on peut développer son charisme quel que soit son
physique.
Alors est-ce que le dicton l’habit ne fait pas le moine s’avère exact ? A mon
sens ce n’est pas totalement fondé car il est certain que le côté physique va
jouer un rôle important. Néanmoins ce n’est pas le seul à prendre en
considération.

En effet, toutes les personnes puissantes prennent soin de leur image, que
ce soit par le sport ou par le look. Alors la méthode est simple, il faut se
construire un corps qui nous plaira vraiment et avec lequel on sera en
adéquation, qui nous permettra de nous sentir différent et de l’accompagner
par un look vestimentaire qui nous mettra en valeur.
Ne vous baladez pas avec des t-shirts troués, des chemises trop larges, ou
des jeans mal taillés. Il faut qu’en un coup d’œil les gens qui vous entourent
prennent conscience de votre importance et force est de constater que la
première chose que les autres verront sera lié à votre style vestimentaire.
C’est une sorte de carte de visite qui expliquera instantanément qui vous
êtes comme c’est expliqué dans cet article sur le look à adopter pour être
bien dans sa peau.

Faites une expérience. Baladez-vous dans la plus grande rue de votre ville
quand il y a du monde. Mettez-vous en survêtement de sport un jour et
revenez le lendemain dans un costume bien coupé. Vous constaterez très
vite que le regard des gens va changer.

C’est simple, je connais une personne qui a tenté cette expérience en plein
Paris. Lorsqu’il était en jogging il a été contrôlé par la police. Lorsqu’il était
en costume d’une très célèbre marque Allemande en 4 lettres, les regards
ont totalement changé !

Donc un conseil, ne négligez jamais votre image.

Vous savez, être charismatique ce n’est pas simplement quelques heures


par jour c’est tout le temps ! Il s’agit véritablement d’un life style ou d’un
style de vie.

Alors au final qu’est-ce que le charisme pour un homme ? C’est aussi être
en mesure de prendre des décisions puissantes et pour cela il ne faut pas
avoir peur d’entreprendre. Il n’est pas simple de monter sa boite et je ne
suis pas en train de vous dire qu’il faut quitter votre boulot et tout
abandonner du jour au lendemain mais pensez à un projet qui vous tient à
cœur et montez-le.

Faites des économies, entamez vos démarches administratives, contactez


des professionnels et lancez-vous ! Devenir votre patron, développer vos
idées va vous aider à vous sentir mieux dans votre peau et à vous sentir
plus important.

Lorsque les premiers effets se font sentir, la machine est lancée et je peux
vous garantir qu’elle ne s’arrête jamais car vous allez vous sentir tellement
bien dans votre peau que verrez toutes les portes s’ouvrir.

Après avoir vu ce qu’il faut faire, j’aimerais également aborder les


principales erreurs à éviter.

Avoir du charisme : quelles sont les


erreurs à ne pas faire ?
Avoir le charisme dont on rêve ne se fait pas de n’importe quelle manière.
Je sais bien que vous avez du entendre parler de personnes qui changent
du tout au tout en l’espace de quelques semaines, mais de vous à moi je
doute que ce développement soit aussi rapide. La première chose à éviter
est donc de se précipiter.

De plus, se demander comment développer son charisme ne doit pas


correspondre à une envie d’écraser ou de contrôler les autres. En effet, à
mes yeux cette notion englobe essentiellement des aspects positifs.
Lorsque l’on a un mauvais fond, on ne peut pas être considéré comme
charismatique !

Le but quand on veut savoir comment devenir charismatique c’est de faire


ressortir au mieux ses qualités, être en mesure de se sentir bien dans ses
pompes sans devenir un tyran ! Par conséquent, avoir plus de
charisme ne doit pas se faire au détriment de vos valeurs, autrement, votre
bonheur ne sera pas total.

Il faut enfin bien comprendre que ce n’est pas uniquement un travaillant un


seul élément que j’ai évoqué un peu plus haut que l’on va réussir. Si on
achète un magnifique costume mais que l’on continue à se laisser faire par
les autres, à ne pas avoir de projets, à ne pas essayer de vivre un de ses
rêves on ne va pas réellement avancer.

Développer son charisme doit être vu de manière globale et pas


uniquement en fonction d’un critère. De plus, il ne faut pas confondre
charme et charisme.
Comment avoir du charme ? Attention le
charisme ne suffit pas !
Bien évidemment être charismatique ne suffit pas en soi pour être charmant
et plaire à tout le monde.
Travailler son charisme ne doit pas vous faire oublier de connaitre les
principales astuces de séduction, que vous soyez célibataire ou même en
couple car en réalité la séduction ne s’arrête jamais. Evidemment le fait
d’être bien habillé, d’avoir une bonne situation, de croire en soi aide
énormément mais ne fait pas tout.

Quand on recherche l’amour, c’est-à-dire une relation sérieuse ou que l’on


souhaite la développer, le superficiel ne suffit pas. Il faut également avoir
une bonne communication, un body language efficace. Devenir
charismatique ou plutôt avoir du charme c’est également utiliser les détails
et savoir les développer.

Le regard par exemple, est d’une importance capitale quand on veut plaire
à quelqu’un.

Avoir du charisme c’est quoi au final ? Cela consiste à ne pas baisser les
yeux en parlant, c’est regarder droit dans les yeux, celui ou celle qui nous
plait, mais également ceux avec qui l’on travaille ou avec lesquels on a des
rapports privilégiés. Cela consiste aussi à ne pas se ronger les ongles, ne
pas bafouiller quand on parle en public…

Ces aspects sont nécessaires si l’on veut réussir à être celui ou celle que
l’on veut. C’est aussi dans le comportement que l’on va adopter. On
confond souvent le charisme avec la prétention et je sais que certains
d’entre vous font cette erreur. Se comporter de manière assez hautaine en
pensant que cela impressionne alors que ce n’est pas le cas.

Le fait de sourire, de transmettre des énergies positives n’est absolument


pas contraire au fait de devenir une personne qui en impose. Si vous
souhaitez développer votre aura, vos qualités et devenir la personne dont
vous rêver, nous pouvons travailler main dans la main.

Lien > https://mp3-auto-hypnose.com/catalogue/developpement-personnel/par-lhypnose-je-


developpe-mon-charisme-pour-femme/
Par l’hypnose… je développe mon charisme (pour femme)
Vous trouvez que vous manquez de charisme? Jugez-vous que ce que « vous dégagez » dans la
vie de tous les jours n’est pas le reflet de « tout ce que vous êtes intérieurement »? Aimeriez-vous
avoir ce magnétisme, ce rayonnement que certaines personnes possèdent leur permettant d’attirer
l’attention d’autrui, de susciter et le regard et l’intérêt des autres?
L’équipe du site MP3-auto-hypnose a conçu un MP3 qui vous aidera à développer les attributs
notables d’une personne charismatique, magnétique.

Le MP3 — Comment développer son charisme? Découvrez la voie de l’hypnose.


MP3-auto-hypnose vous propose l’outil MP3 sur le thème du développement personnel Par
l’hypnose… je développe mon charisme (pour femme). Ce MP3 a été conçu par les
hypnothérapeutes certifiées et coaches Ginette Plante et Sylvie Moisan, cofondatrices de l’AHTQ.
Ce MP3 d’hypnose pour femme, par son langage de « reprogrammation positive » de votre esprit
subconscient, vous aidera à acquérir plus de confiance personnelle et de prestance; il favorisera
chez vous une meilleure posture ainsi que la mobilisation – par votre façon de communiquer et
d’Être – de tous les éléments alimentant votre « richesse intérieure ».
Ainsi, pendant votre séance d’autohypnose, le discours hypnotique qui vous sera transmis vous
invitera à désormais exploiter tout votre potentiel comme communicatrice efficace et
« magnétique » – comme femme qui suscite l’intérêt des autres et qui possède un certain pouvoir
d’attraction.

Rappel : Ce MP3 d’hypnose s’adresse aux femmes.


L’outil Par l’hypnose… je développe mon charisme… favorisera chez vous un changement naturel,
axé sur votre propre volonté et votre propre capacité de devenir une personne charismatique : le
MP3 vous aidera à exploiter ces ressources se trouvant en vous qui peuvent contribuer à la réussite
de votre objectif.
Il transmettra à votre subconscient les suggestions dites « hypnotiques » visant à faire croître votre
« harmonie intérieure » ainsi que votre confiance personnelle; de plus, il guidera votre
subconscient de manière à favoriser l’amélioration de votre éloquence et de votre prestance.
Le MP3 d’hypnose Par l’hypnose… je développe mon charisme (pour femme) vous aidera à
acquérir le « regard », la « voix », la « posture » et le « discours » reflétant toute votre
bienveillance, votre force intérieure et votre authenticité.
Comme outil de relaxation hypnotique, ce MP3 d’autohypnose constitue enfin, avec une utilisation
soutenue, un gage d’amélioration de votre bien-être : celui-ci permet de vous libérer efficacement
de votre stress, de vos différentes tensions.
Notez que ce fichier MP3 d’hypnose est protégé par des droits d’auteur. De plus, il est
réservé à un usage personnel, non commercial et non professionnel. Toute utilisation de
cet outil, en partie ou en totalité, pour fins autres que celles d’écoute personnelle, est
strictement interdite.

Objectif
L’objectif du MP3 d’hypnose Par l’hypnose… je développe mon charisme… est le suivant :
favoriser le plein développement de votre charisme.
Durée
La durée de ce MP3 pour avoir du charisme (offert en exclusivité sur MP3-auto-hypnose) est
d’environ 27 minutes.
Avant de commencer
Avant d’entamer votre séance d’écoute du MP3 Par l’hypnose… je développe mon charisme (pour
femme), installez-vous dans un lieu paisible, où personne ne vous dérangera. Vous pouvez vous
munir d’un oreiller. Une couverture peut aussi augmenter votre confort : la relaxation par hypnose
MP3 amènera chez certaines une faible baisse de la température corporelle.
Utilisation
Il est préférable d’écouter ce MP3 d’autohypnose au moins une fois par jour, jusqu’à ce que vous
soyez satisfaite de vos progrès. Choisissez préférablement un moment près du coucher pour les
séances. La reprogrammation par l’hypnose peut demander jusqu’à 21 jours.

Sommaire

MANUPILATION

Recherche 1 > Manipulation exemples

Recherche 3 > signes qu’on essaie de vous manipuler

Recherche 3 > comment déjouer la manipulation ?

Lien > https://oserchanger.com/blogue_2/2014/03/27/etre-manipule/

Vous vous sentez manipulé? Quelques repères pour vous


aider à comprendre
Marc Vachon dans La communication, Rapports humains, Stress

Vous arrive-t-il de vous sentir manipulé? Que ce soit au bureau avec vos collègues
de travail ou vos supérieurs, dans votre famille avec vos proches, au magasin avec
un vendeur ou par le biais des médias, vous sentez-vous parfois pris au piège de la
manipulation, avec tous les effets néfastes que cela implique sur la relation et sur
votre estime de vous-même? Voici quelques repères pour la reconnaître et
éventuellement vous en préserver.
Table des matières [Afficher]
Sommaire

Qu’est-ce qu’être manipulé?


Être manipulé, c’est être l’objet d’une manœuvre, volontaire ou non, faite par une
autre personne pour que vous fassiez quelque chose que vous ne voulez pas
nécessairement faire, donc pour modifier votre comportement, sans que vous vous
en aperceviez. Alors qu’un véritable contact se fait dans la confiance et l’intimité
entre deux personnes, la manipulation est une relation à distance entre une
personne qui se retire du contact et une autre personne qu’elle considère davantage
comme une chose.
Les manœuvres manipulatrices créent inévitablement une perte du contact. En fait,
le manipulateur (vous comprenez que la forme masculine de ce terme n’est que
littéraire, puisque vous pouvez être manipulé par les membres des deux sexes) ne
cherche pas une relation véritable, parce qu’il a peur de s’exposer, d’être vulnérable
ou d’être jugé. Un rapport véritable implique un risque, ce qu’il ne veut pas courir. Il
choisit au contraire de contrôler ceux qui l’entourent.

Quelques exemples
1. Vous voulez exprimer un besoin ou vous avez une récrimination à faire à votre
supérieur, mais il réagit tout de suite en disant que si vous n’êtes pas content, il peut
mettre quelqu’un d’autre à votre place, que bien des gens seraient contents d’avoir le
poste que vous occupez. Sous ces menaces à peine voilées, vous décidez de vous
taire.
2. Au supermarché, votre enfant hurle pour que vous le fassiez monter dans le panier
roulant, malgré votre interdiction. De guerre lasse, devant les regards réprobateurs
des autres clients qui se demandent pourquoi vous torturez ainsi votre enfant, vous
lui accordez ce qu’il demande.
3. Vous appelez un de vos parents pour prendre de ses nouvelles. Malgré vos visites
récentes, il se plaint de sa solitude, mentionne que la voisine reçoit la visite de ses
enfants, elle, allant même jusqu’à sous-entendre que tout le monde serait bien mieux
s’il n’était plus là… Vous aviez une bonne intention au départ, mais en raccrochant,
vous vous sentez mal, coupable, et décidez d’aller le voir le soir même ou le
lendemain, mettant de côté une autre de vos obligations.

Comme vous le voyez, dans tous ces exemples, vous êtes manipulé à différents
degrés. une autre personne réussit, volontairement ou non, consciemment ou pas, à
vous influencer pour que vous agissiez d’une façon qui réponde à ses besoins et non
aux vôtres, parfois d’une manière détournée, et ce au détriment du contact réel entre
vous et elle.
Pourquoi est-on vulnérable à la
manipulation?
Les raisons de notre vulnérabilité à la manipulation sont multiples et différentes d’une
personne à l’autre. De façon générale, un premier grand groupe d’explications tient à
la motivation et à ses deux grandes forces: l’évitement de la souffrance et la
recherche du plaisir.
Ainsi, une personne manipulatrice peut vous motiver à faire ce qu’elle veut parce
qu’elle touche chez-vous une corde sensible et provoque un malaise ou une émotion
que vous ne voulez pas ressentir. Personne n’aime souffrir et ressentir de la
culpabilité, de la peur, de l’insécurité, de l’impuissance, du doute, etc. Vous êtes ici
manipulé parce que vous voulez éviter une souffrance.
Lorsque votre image de vous-même est quelque peu défaillante, en d’autres termes,
lorsque vous n’êtes pas sûr de nous, de ce que vous êtes vraiment, de ce que vous
voulez, la manipulation peut plus facilement provoquer en vous le doute, la
culpabilité. Par exemple, quelqu’un boude parce que vous avez dit ou fait quelque
chose et, pour éviter la culpabilité, vous dites que vous ne le pensiez pas vraiment
plutôt que d’endurer la bouderie. Le no 3 plus haut en est une bonne illustration.
La tactique de manipulation peut aussi toucher une de nos peurs, comme celle d’être
jugé. Personne n’aime se faire reprocher d’être égoïste, incompétent, ingrat ou
inhumain. Cela peut aussi être la peur de blesser, de ne pas être aimé ou celle de
perdre un avantage, de perdre l’affection, le respect, un avantage matériel ou même
votre emploi (exemple no 2).
Cliquez pour recevoir notre newsletter avec, en prime, notre guide “12 outils
pour naviguer dans les changements” >>

Ou encore, la personne manipulatrice peut contrôler votre comportement en vous


faisant miroiter l’espoir d’un gain quelconque. Elle vous fera espérer un avantage
affectif, de l’attention, de la reconnaissance, du statut, de l’amour même ou un
avantage matériel comme de l’avancement professionnel, la possibilité d’atteindre
plus facilement vos buts, d’obtenir des résultats, des récompenses tangibles. Vous
êtes ici dans l’autre grande force de la motivation: la recherche du plaisir.
Bien sûr, les deux types de motivation peuvent coexister chez chacun d’entre nous,
selon les contextes. Cependant, vous possédez probablement une stratégie qui
prédomine sur l’autre, une sorte de programme mental qui vient influencer
votre action, peu importe les décisions que vous avez à prendre. Certains sont
davantage motivés par le bâton, par l’évitement; pour d’autres, c’est la perspective
d’une carotte qui les motive à agir. Reconnaître cette tendance fondamentale chez
vous vous aidera peut-être à comprendre comment vous en venez à être manipulé.

Un exercice
 Je vous invite à penser à une situation précise dans le passé où vous avez eu le
sentiment de vous être fait avoir, d’être manipulé.
 Demandez-vous ensuite pourquoi vous vous êtes laissé faire?
 Était-ce pour éviter un malaise? Si oui, lequel? Par exemple, sortir d’une émotion
désagréable (le doute, la peur, la culpabilité…), éviter des représailles, ne pas perdre
quelque chose, etc.
 Était-ce dans l’espoir d’un avantage, d’un gain? Si oui, lequel? Attention, amour,
reconnaissance, statut, avancement, etc.
 Était-ce un mélange des deux forces? Précisez.

Vous faites déjà un premier grand pas pour sortir du cercle vicieux de la manipulation
quand vous cherchez et trouvez ce que vous voulez éviter et/ou ce que vous avez à
gagner à vous laisser fare.
Que votre motivation soit de l’ordre de l’évitement d’un malaise, d’une émotion
désagréable ou d’une conséquence négative ou de l’ordre de l’espoir d’un gain, il
reste que la manipulation opère moins chez certaines personnes, particulièrement
celles dont les seuils du malaise ou de l’espoir sont très élevés.
Par contre, la personne qui ne tolère pas longtemps l’inconfort va réagir plus
rapidement et sera plus facile à manipuler. Par exemple, elle cèdera plus rapidement
au chantage de son enfant qui hurle plutôt que d’endurer ses pleurs. (Comprenez
bien toutefois qu’il y a un âge où il faut vraiment répondre aux pleurs de son enfant).
Elle se laissera séduire plus rapidement par la personne qui use de ses charmes
pour désarmer sa colère (exemple no 1), plutôt que de se sentir odieuse d’être en
colère. Elle pliera devant la menace pour éviter de ressentir la peur ou pour acheter
la paix.
Pour connaître la stratégie de motivation que vous privilégiez, les avantages et
inconvénients de chacune, vos seuils, je vous réfère au chapitre 5 (Apprendre à se
motiver – p. 89) de mon livre Oser changer: mettre le cap sur ses rêves où j’ai
abondamment traité de ce thème.

 LIRE AUSSI: Manipulateurs passifs et actifs: un modèle pour les reconnaître


 LIRE AUSSI: Manipulation: 6 pistes pour reprendre le contrôle (3).

 Sommaire

Lien > http://selection.readersdigest.ca/sante/vivre-sainement/8-signes-quon-essaie-de-


vous-manipuler/view-all/

8 signes qu’on essaie de vous


manipuler
Les manipulateurs sont rusés quand vient le moment d’obtenir ce qu’ils veulent. Faites
attention de ne pas subir leur influence. Repérez ces 8 signes qui montrent qu’on essaie de
vous manipuler.
PAR NADINE DESCHENEAUX

Afficher en diaporama
1. On vous fait sentir coupable.
Jouer avec vos émotions est l’arme ultime des manipulateurs. Ceux-ci excellent dans
l’art de vous faire sentir coupable pour des trucs (ou des pensées!) que vous n’avez
même pas faits. Si vous réussissez à ne pas plier à leurs demandes, ils s’arrangent pour
vous faire sentir coupable pendant des heures… voire des jours! Ils peuvent même vous
lancer des phrases comme « Qu’est-ce que j’ai pu faire pour mériter que tu me traites
ainsi… ». Et vous voilà partie pour cohabiter avec la culpabilité! Soyez ferme et
convaincu dans vos décisions. Au besoin, écrivez pourquoi vous avez tenu tête à un
manipulateur et relisez-vous pour ne pas que la culpabilité vous ronge.

Lire aussi : Les effets néfastes de la culpabilité sur la santé (et comment s’en
protéger)

2. Vous doutez de vous.


Quand on vous manipule, on joue sur votre esprit. On vous fait constamment douter de
vous. Vous n’arrivez plus à prendre une décision simple sans penser aux conséquences
ou aux commentaires qu’on vous dira. Devant un manipulateur (avouez que vous avez
déjà un visage en tête!), vous perdez tous vos moyens alors qu’habituellement, vous
étiez plus sûr de vous. C’est signe qu’on vous manipule quand vous devez ultra-
vulnérable au point de ne plus avoir confiance en votre jugement. Appliquez quelques-
uns de ces 20 gestes pour augmenter votre confiance en vous et vous libérez du
joug des manipulateurs qui vous entourent.

Lire aussi : 11 raisons d’avoir une confiance absolue en votre partenaire

3. Vos paroles sont déformées.


Discuter avec un manipulateur est une chose difficile… presqu’impossible. Vous ne
voulez même pas avoir le dernier mot, mais bien pouvoir en glisser un seul. Quand vous
le faites, vous êtes surpris de voir que l’autre déforme vos paroles. Parfois même, tout se
retourne contre vous. Vous avancez un propos puis BANG, sans vous en rendre compte,
on vous accuse de quelque chose d’autre. Et évidemment, on vous fait passer pour le
« méchant », car le manipulateur fait tout en son pouvoir pour être le parfait souffre-
douleur! C’est son rôle de prédilection. Pour vous affranchir, lisez les stratégies
suggérées par une psychologue pour faire face aux manipulateurs.
4. Vous n’avez pas l’esprit en paix.
Quand un manipulateur rôde autour de vous, vous n’avez jamais l’esprit tranquille. Vous
êtes constamment tourmenté. Vous ressassez le passé, vos actions, vos paroles (et les
siennes) et vous angoissez pour la suite. On note aussi une baisse de votre estime de
vous : vous craignez de décevoir tout le monde (pas juste le manipulateur!). Si votre
calme intérieur a disparu, il faudrait examiner vos relations personnelles et
professionnelles pour déterminer si quelques-unes ne seraient pas toxiques pour
vous.

5. On use de flatterie envers vous.


Pour arriver à ses fins, un manipulateur est prêt à tout. Il sait quelles sont vos cordes
sensibles sur lesquelles jouer pour obtenir ce qu’il désire. Attention! Ces flatteries ne
sont qu’un tissu de mensonges : vous le savez, mais avez de la difficulté à résister. Ces
faux compliments vous éblouissent parfois et vous réussissent à vous faire flancher.
Ensuite, vous regrettez. Car une fois qu’il a gagné, plus rien de ceci ne subsiste. Fini!
Basta! Protégez-vous et ne soyez pas trop naïf. Sans perdre toutes vos illusions, vous
ne devez pas accorder une trop grande confiance aux manipulateurs.

Lire aussi : 8 raisons de ne pas faire confiance à un collègue

WAYHOME STUDIO/SHUTTERSTOCK

6. On vous menace.
Quand un manipulateur sent que vous lui résistez, il peut aller jusqu’à vous faire des
menaces. C’est l’un des enjeux les plus pernicieux de la manipulation. Un des derniers
retranchements de ces êtres capables de bien des bassesses. En effet, les
manipulateurs sont capables de vous dire des phrases comme « Si tu fais (ceci), je vais
faire (cela)… » (ou son contraire « Si tu ne fais pas [ceci], ne pense pas que je ferai
[cela]… »), « Voilà comment tu me montres que tu m’aimes/que tu me remercies/que tu
m’aides » ou autres phrases pleines de sous-entendus menaçants. Voilà une spirale
inquiétante dans laquelle ne jamais mettre les pieds (ou s’en sortir le plus vite
possible) : personne n’a le droit de s’en prendre à votre intégrité. N’acceptez pas les
menaces. Allez chercher de l’aide dans votre entourage ou dans une ligne d’écoute si
vous sentez que vous perdez pied dans cette spirale.

Sommaire
7. On change les faits.
Pour fabriquer des excuses, pour trouver des preuves de tout ce qu’ils avancent, pour
inventer des faits ou pour avancer toutes sortes d’arguments (parfois farfelus ou
exagérés), les manipulateurs sont les champions! Ils seraient même assez hardis pour
prétendre que 2+2=3. Sans hésiter, ils prétendent être des experts et sont capables de
faire (et dire!) n’importe quoi pour vous convaincre qu’ils ont raison. Dans leur discours,
on retrouve souvent des termes catégoriques comme « jamais », « toujours, “tout le
monde”, “personne”, etc. Et s’ils ont tort et s’en aperçoivent, ils remettent la faute sur les
autres, bien sûr! Ne croyez pas tout ce que les gens manipulateurs avancent.
Questionnez-les, remettez en question leur parole et osez vous affirmer. Vous n’êtes pas
dupe et n’avez pas à subir leurs grands discours.

Lire aussi : 4 comportements qui peuvent briser la confiance

MARJAN APOSTOLOVIC/SHUTTERSTOCK

8. Vous avez changé.


Parfois, à force de côtoyer des manipulateurs au quotidien, il se pourrait que plusieurs
pans de votre vie aient souffert de ces relations. Votre sommeil est perturbé. Votre
niveau de stress ne descend que rarement. Vous avez du mal à décrocher. Vous arrivez
difficilement à vous détendre. Vous êtes plus nerveux. Voilà des signes que vous
subissez physiquement et mentalement des contrecoups de la manipulation. Aussi,
soyez attentif aux commentaires de ceux qui vous connaissent le mieux. Si, autour de
vous, on vous dit que vous avez changé, que vous n’êtes plus comme avant ou que
vous semblez différent, il serait temps de faire un petit examen sur ce qui a causé ces
changements probablement non volontaires. Est-ce que vous subiriez une forme de
manipulation qui vous force, sans vous en rendre compte, à modifier votre
comportement? Faites une mise au point et, au besoin, allez consulter un thérapeute ou
un psychologue pour vous dégager de cet engrenage étouffant.

Lire aussi : 12 trucs malhonnêtes pour gagner votre confiance

Sommaire

Comment déjouer la manipulation ?


Nous vous indiquons quelques pistes (liste non-exhaustives) pour déjouer la
manipulation. Notons que ces pistes peuvent être explorées avec l'aide d'un coach :

Savoir s'affirmer grâce à une certaine confiance en soi semble important. En effet, le
manipulateur peut déstabiliser sa victime au point de la faire douter de ses capacités et
perdre son assurance. D'ailleurs, certains manipulateurs choisissent souvent leur victime
en fonction de son manque de confiance.

Apprendre à dire non. Travailler l'assertivité pour éviter d'entrer dans le conflit dès qu'il
ne vous sera pas possible de répondre favorablement à une demande, et ce, sans
culpabilité. En effet, le manipulateur cherche toujours des arguments pour faire
culpabiliser la victime et obtenir ce qu'il veut.

Savoir gérer ses émotions. Les émotions négatives sont néfastes à notre santé et ne
sont pas le bon outil de communication face au manipulateur. Même dans la colère, il
sait retourner la situation au désavantage de la victime. Déjouer la manipulation implique
d'énoncer ses opinions de façon claire et ferme, sans agressivité.

DEFENSES IMMUNITAIRES

Recherche 1 > Défenses immunitaires définition


Recherche 2 > LES FACTEURS POUVANT AFFAIBLIR LE SYSTÈME IMMUNITAIRE
Recherche 3 > hypnose et défense immunitaires

Sommaire

Lien >
https://www.passeportsante.net/fr/Maux/Problemes/ArticleInteret.aspx?doc=comprendre_sys
teme_immunitaire_mantha_2004_pm

Le système immunitaire : qu'est-ce que c'est?


Les organes du système immunitaire

Invisible à nos yeux, il assure pourtant la garde, de jour comme de nuit. Que ce soit
pour guérir une otite ou un cancer, le système immunitaire est essentiel.

Le système immunitaire est fait d'un système d'interactions complexes mettant en


oeuvre de nombreux organes, cellules et substances différentes. La majorité des
cellules ne se trouvent pas dans le sang, mais plutôt dans un ensemble d'organes
appelés organes lymphoïdes.

 La moelle osseuse et le thymus. Ces organes produisent les cellules immunitaires


(les lymphocytes).
 La rate, les ganglions lymphatiques, les amygdales et les amas de cellules
lymphoïdes situés sur les muqueuses des voies digestives, respiratoires, génitales
et urinaires. C'est habituellement dans ces organes périphériques que les cellules
sont appelées à réagir.

La rapidité d'action des défenses immunitaires est extrêmement importante. Celle-ci


repose entre autres sur l'efficacité de la communication entre les divers acteurs en
jeu. Le système cardiovasculaire est la seule voie de passage qui relie les organes
lymphoïdes.

Bien qu'on ne puisse encore en expliquer tous les mécanismes, on sait aujourd'hui
qu'il existe d'importantes interactions entre le système immunitaire, le système
nerveux et le système endocrinien. Certaines sécrétions des cellules immunitaires
sont comparables à des hormones sécrétées par les glandes endocrines, et les
organes lymphoïdes possèdent des récepteurs pour des messages nerveux et
hormonaux.

Les étapes de la réponse immunitaire

On peut diviser les étapes de la réponse immunitaire en deux :

 la réponse non spécifique, qui constitue « l'immunité innée » (nommée ainsi parce
qu'elle est présente dès la naissance), agit en ne tenant pas compte de la nature du
micro-organisme qu'elle combat;
 la réponse spécifique, qui confère « l'immunité acquise », passe par la
reconnaissance de l'agent à attaquer et la mise en mémoire de cet événement.
La réponse immunitaire non spécifique
Les barrières physiques

La peau et les muqueuses sont les premières barrières naturelles auxquelles se


buttent les assaillants. La peau est le plus grand organe du corps et offre une
protection incroyable contre les infections. En plus de constituer une interface
physique entre l'environnement et nos systèmes vitaux, elle offre un milieu hostile
aux microbes : sa surface est légèrement acide et plutôt sèche, et elle est couverte
de « bonnes » bactéries. Cela explique pourquoi l'hygiène excessive n'est pas
nécessairement une bonne chose pour la santé.

La bouche, les yeux, les oreilles, le nez, les voies urinaires et génitales offrent tout de
même des voies de passage pour les microbes. Ces voies ont aussi leur système de
protection. Par exemple, les réflexes de la toux et de l'éternuement expulsent les
micro-organismes des voies respiratoires.
L'inflammation

L'inflammation est la première barrière que rencontrent les micro-organismes


pathogènes qui franchissent notre enveloppe corporelle. Tout comme la peau et les
muqueuses, ce type de réponse immunitaire agit sans connaître la nature de l'agent
qu'il combat. Le but de l'inflammation est d'inactiver les agresseurs et de mettre en
oeuvre la réparation des tissus (en cas de lésion). Voici les principales étapes de
l'inflammation.

 La vasodilatation et la plus grande perméabilité des capillaires dans la zone


atteinte ont pour effet d'augmenter l'afflux sanguin (responsable de la rougeur) et de
permettre l'arrivée des acteurs de l'inflammation.
 La destruction des pathogènes par les phagocytes : un type de globule blanc qui est
capable d'englober des microorganismes pathogènes ou d'autres cellules malades et
de les détruire. Il en existe plusieurs types : les monocytes, les neutrophiles, les
macrophages et les cellules tueuses naturelles (cellules NK).
 Le système du complément, qui comprend une vingtaine de protéines qui agissent
en cascade et permettent de détruire directement les microbes. Le système du
complément peut être activé par les microbes eux-mêmes ou par la réponse
immunitaire spécifique (voir ci-dessous).
Les interférons

En cas d'infection virale, les interférons sont des glycoprotéines qui inhibent la
multiplication des virus à l'intérieur des cellules. Une fois sécrétés, ils diffusent dans
les tissus et stimulent les cellules immunitaires voisines. La présence de toxines
microbiennes peut aussi déclencher la production d'interférons.

La fièvre est un autre mécanisme de défense parfois présent dans les premiers stades
d'une infection. Son rôle est d'accélérer les réactions immunitaires. À une température un
peu plus élevée que la normale, les cellules agissent plus rapidement. De plus, les
germes se reproduisent moins rapidement.
La réponse immunitaire spécifique

C'est ici qu'interviennent les lymphocytes, un type de globules blancs dont on


distingue deux classes : les lymphocytes B et les lymphocytes T.

 Les lymphocytes B comptent pour environ 10 % des lymphocytes qui circulent dans
le sang. Lorsque le système immunitaire rencontre un agent étranger, les
lymphocytes B sont stimulés, se multiplient et se mettent à produire des anticorps.
Les anticorps sont des protéines qui se fixent sur les protéines étrangères; c'est le
point de départ de la destruction du pathogène.
 Les lymphocytes T représentent plus de 80 % des lymphocytes en circulation. Il
existe deux types de lymphocytes T : les cellules T cytotoxiques qui, lorsqu'elles sont
activées, détruisent directement les cellules infectées par des virus et les cellules
tumorales, et les cellules T facilitatrices, qui contrôlent d'autres aspects de la réponse
immunitaire.

La réponse immunitaire spécifique crée l'immunité acquise, celle qui se développe au


fil des ans en conséquence des rencontres que notre organisme fait avec des
molécules étrangères spécifiques. Ainsi, notre système immunitaire garde en
mémoire les bactéries et virus particuliers qu'il a déjà rencontrés afin de rendre la
seconde rencontre beaucoup plus efficace et rapide. On estime qu'un adulte a en
mémoire de 109 à 1011 protéines étrangères différentes. Ce qui explique que l'on
n'attrape pas la varicelle et la mononucléose deux fois, par exemple. Il est
intéressant de remarquer que l'effet de la vaccination est de provoquer cette
mémoire d'une première rencontre avec un pathogène.

Sommaire

**********************************************************************************
Lien > https://www.ponroy.com/conseils-sante/les-facteurs-pouvant-affaiblir-le-systeme-
immunitaire

LES FACTEURS POUVANT AFFAIBLIR LE SYSTÈME IMMUNITAIRE


Le déséquilibre alimentaire
Une alimentation mal équilibrée, en quantité ou en qualité est la plus importante
cause de déficit immunitaire. Dans les pays industrialisés, la carence en
micronutriments est de plus en plus courante. Elle résulte d’un manque
de vitamines et de minéraux. La popularité de la malbouffe explique en partie ce
phénomène. Ces états de "dénutrition" entraînent un vieillissement immunitaire avec
diminution des capacités prolifératives des lymphocytes T rendant le sujet plus
vulnérable aux microbes.

Les personnes âgées ont généralement un système immunitaire plus faible et une
plus grande sensibilité aux infections que les adultes d’âge moyen. Leur plus petit
appétit et leur alimentation moins variée ainsi que la raréfaction de la flore intestinale,
essentielle dans la défense du corps, l’expliquent en partie.

La sédentarité, et à l’inverse, le surentraînement


En plus de contribuer à une bonne santé globale, l’ exercice physique a aussi un
effet direct sur l’immunité. Il améliore la circulation sanguine. Le sport concourt à
l’augmentation des cellules de l’immunité et diminue le risque infectieux. Il est
recommandé de pratiquer l'équivalent de 30 minutes d'activité physique par jour
comme la marche rapide.

À l’inverse, il faut mentionner l’impact négatif d’un surentraînement sur l’organisme.


Après un tel entraînement on observe une baisse du taux de lymphocytes ce qui fait
moins d’anticorps potentiel en cas d’agressions.
Le manque de sommeil
Le cheveu en bataille, l'oeil bouffi, l'humeur instable passent encore, mais dormir trop
peu a un impact bien plus négatif sur la santé. Le manque de sommeil diminue la
résistance de l'organisme aux infections. En effet, par le manque de sommeil, nos
cellules fabriquent moins d'anticorps. De plus, le manque chronique de sommeil
perturbe le fonctionnement de nos cellules.

Le stress
Sans aucun doute, le stress chronique a un effet néfaste sur la santé. En situation de
stress, les glandes surrénales sécrètent du cortisol et le système sympathique, de la
noradrénaline - deux substances qui diminuent la réponse du système immunitaire.

Le vieillissement
L’âge est également un facteur de fragilisation du système immunitaire.
*****************************************************************************

Lien > https://www.santemagazine.fr/medecines-alternatives/approches-naturelles/7-astuces-pour-renforcer-ses-


defenses-immunitaires-170662

7 astuces pour renforcer ses défenses immunitaires


Automne et hiver sont des saisons où la circulation des virus est forte. Pour renforcer
vos défenses immunitaires et éviter de tomber malade, suivez les conseils de nos
experts.

Sommaire

Rhume, toux, grippe... Pour passer à travers les maladies de l'automne ou de l'hiver
et éviter le nez rouge, les yeux larmoyants ou la gorge douloureuse, il faut savoir se
protéger et se soigner. Les remèdes naturels vous aident à rester en forme et à
soulager les symptômes.

Miser sur les probiotiques

« On peut optimiser ses défenses immunitaires, c’est prouvé


scientifiquement », affirme le Dr Eric Lorrain, phytothérapeute.

Or, 70 % de notre système immunitaire se trouvent dans l’intestin.

D’où l’idée de faire une cure de probiotiques (lactobacilles) pour renforcer sa


muqueuse intestinale, avant que la circulation des virus ne s’intensifie, en
particulier si l’on est âgé ou affaibli par beaucoup de stress, une ancienne bronchite
ou une maladie chronique comme le diabète.

Une étude a ainsi montré que prendre un mélange de lactobacilles, tous les jours
pendant 12 semaines, réduit le risque d’attraper un rhume. On les trouve dans
les yaourts, à raison de 1 à 2 par jour, ou dans les compléments alimentaires.

Boire un verre de jus d’orange frais

Y penser chaque matin pour garder la forme :

«, mais aussi de thiamine, un acide aminé, de folates, vitamines du


groupe B, de potassium et de sucres qui donnent de l’énergie pour
commencer la journée »,souligne le Dr Philippe Goeb, consultant en
thérapie naturelle.

Le mieux est de presser quelques oranges ; on peut conserver son jus d’orange
deux, trois jours au réfrigérateur, les pertes en vitamines sont faibles.

Se défatiguer avec le magnésium

Certaines études indiquent que le chlorure de magnésium stimule les globules


blancs. Mais c’est surtout pour son action antifatigue que le Dr Philippe Goeb le
conseille.

Il privilégie les aliments qui en contiennent :

 le beaufort,
 les sardines à l’huile,
 les fruits de mer,
 les escargots,
 le cacao,
 le café,
 le chocolat noir à 70 % de cacao,
 les noix de cajou,
 les amandes,
 les épices (graines de cumin, de coriandre, curry, gingembre
moulu…),
 les pains et riz complets,
 le tofu.

Dormir suffisamment

Une nuit blanche suffit à affaiblir le système immunitaire, car elle réduit le nombre
d’une certaine famille de globules blancs.
Même si le temps de sommeil reste une donnée propre à chacun, les médecins
recommandent tout de même de dormir au moins 7 à 8 heures.

Faire des pauses pour déstresser

Yoga, jardinage, lecture, ciné, sorties ou repas entre amis… La nature de l’activité
importe peu. Ce qui compte, c’est de se détendre car le stress, la fatigue et le
surmenage affaiblissent le système immunitaire.

Pratiquer une activité physique régulière

Un exercice modéré, c’est-à-dire 30 à 60 minutes de marche par jour, la plupart


des jours de la semaine, est bénéfique et immunostimulant. Il réduit le risque
d’infections respiratoires d’environ 40 %.

Pour autant, n’en faites pas trop, un exercice intense et prolongé peut affaiblir le
système immunitaire, facilitant l’entrée et la multiplication des virus dans l’organisme
(Collège américain des médecins du sport).

Faire le plein de vitamine D

Elle active des globules blancs (lymphocytes T) nécessaires pour fabriquer des
anticorps et détruire les microbes. Dans l’alimentation, on en trouve surtout dans les
poissons gras :

 foie de morue et son huile,


 harengs fumés,
 maquereaux,
 sardines,
 anchois…

Le Dr Lorrain conseille aux femmes ménopausées et aux personnes âgées qui, dans
leur grande majorité manquent de vitamine D, de prendre une dose plus importante,
trois à quatre fois la dose journalière recommandée (1 000 unités), sous forme de
médicaments ou de compléments alimentaires. Deux formes sont les plus courantes,
la D2, d’origine végétale, et la D3, d’origine animale. Inutile de préférer l’une plutôt
que l’autre, il y a peu de différences d’efficacité selon les études.

***********************************************************************************************

Avec l’hypnose possibilité de « dialogue avec nos cellules »


« Cancer » est un terme général désignant toute maladie pour lesquelles certaines
cellules du corps humain se divisent d'une manière incontrôlée. Les nouvelles cellules
résultantes peuvent former une tumeur maligne (un néoplasme) ou se propager à
travers le corps.
Quand des cellules normales sont endommagées et qu'elles ne peuvent pas être
soignées, elles meurent : c'est l'apoptose. Les cellules cancéreuses, elles, ne meurent
pas et continuent de se développer.
La capacité de la personne à faire face au stress est déterminante dans l'apparition ou
non des réponses psychosomatiques de son organisme. D'après Locke, «[…] la
dépression et les symptômes anxieux, en réponse à des événements stressants, […]
avaient pour conséquence une baisse de l’activité des cellules tueuses naturelles; par
contre, on pouvait relier une bonne capacité à affronter des événements […] à une
forte activité des cellules tueuses naturelles".(ROSSI E. L., Psychobiologie de la
guérison. La communication corps esprit au service de la santé, Éditions Le Souffle
d'Or, 2002, p.326)

L'hypnose peut agir en renforçant cette capacité à faire face aux facteurs de stress.
En utilisant des techniques de relaxation, elle permet de diminuer le taux d'hormones
adréno-corticoïdes dans l'organisme. Grâce à l'hypnose on atteint facilement un état
de relaxation, de détente que l’on peut faire réapparaître ensuite à tout moment
nécessaire. L'état indésirable est remplacé par l'état « ressource » désiré dans les
moments difficiles, comme par exemple une chimiothérapie.

L'hypnose: support de dialogue entre le malade et son système


immunitaire.
Les plus grands hypnothérapeutes ont établis que l'hypnose est un support
thérapeutique qui permet un « dialogue » entre le malade et son système
immunitaire qui est dirigé par le subconscient. C'est une théorie qui ne peut pas être
prouvée par l'expérimentation mais établie par la pratique et les résultats. (lire : G.
Corneau)

Pour le cancer en particulier la visualisation ou l'imagination sont des outils très


efficaces pour aider le système immunitaire à combattre la cellule cancérigène.
Dans le procédé le patient reprend confiance, et apprend les moyens de contrôler sa
guérison.
Car on sait que la motivation et l'envie de vivre est primordiale pour guider la rémission.

Avec des techniques de recadrage cognitif et d'imagerie mentale, l’hypnose peut


accroître considérablement l'immunité cellulaire chez de jeunes sujets (ROSSI E. L.,
Psychobiologie de la guérison.
La communication corps esprit au service de la santé, Éditions Le Souffle d'Or, , 2002,
p.326).

Le travail de Schneider, Smith et Witcher a mis en évidence le changement du nombre


des neutrophiles assurant une grande partie de l'immunité corporelle innée, en
circulation dans le flux sanguin des sujets suite à six séances d'hypnose ou d'auto-
hypnose avec des suggestions correspondante (ROSSI E. L. Psychobiologie de la
guérison. La communication corps esprit au service de la santé, Éditions Le Souffle
d'Or, Barret-sur-Méouge, 2002, pp.300-301). Ainsi, on peut agir directement sur le
renforcement du système immunitaire du malade.
L'hypnose peut augmenter l'efficacité du traitement médical et, notamment, de la
chimiothérapie par le biais aussi du renforcement de l'effet placebo.

Hypnose et analgésie
L'hypnose est depuis longtemps utilisée en tant qu'une méthode naturelle d'analgésie
ou d'anesthésie aussi bien dans le cadre pré- ou postopératoire, que pour les douleurs
chroniques. Elle peut diminuer des douleurs liées à la chimiothérapie ou autre
traitement.

A l'aide d'hypnose on peut préparer psychologiquement la personne pour l'opération


ou à tout autre événement stressant dans sa vie.

Avec l'hypnose, moins de médicaments et moins de troubles


postopératoires
Cette étude, publiée dans le Journal of the National Cancer Institute, a voulu mesurer
l'intérêt de l'hypnose pour les patientes qui se faisaient opérer d'un cancer du sein.

Un groupe de femmes a bénéficié d'une séance d'hypnose et de conseils pour utiliser


l'auto-hypnose juste avant de se faire opérer ; l'autre a simplement eu une
conversation avec un psychologue.

Résultat : Les femmes qui avaient bénéficié de l'hypnose ont eu besoin de moins
d'anesthésiques, leur opération a duré moins longtemps, et elles souffraient moins
de douleurs, nausée ou fatigue après l'opération.
(Last but not least : elles ont aussi coûté moins cher à l'hôpital, notamment parce que
l'opération a duré moins longtemps.)

Conclusion : hypnose pour guider la rémission


Avec l’hypnose je peux aider la personne atteinte de cancer à vivre sa maladie au
quotidien, lui apprendre à se détendre, à se relaxer, à retrouver un état d'esprit positif.
Grâce à l'hypnose on peut réorienter la personne vers de nouvelles voies dans sa vie
après cancer, l'aider à retrouver des ressources intérieures, la joie de vivre, la
motivation d'aller vers de nouveaux objectifs.

Avec l’hypnose, et surtout l’auto-hypnose le patient devient actif dans le processus de


rémission, et par là même il augmente ses chances de guérison.

L'esprit et le corps ont le pouvoir de créer un état de santé parfait.


La capacité de guérir existe en chacun de nous!

L'hypnose ne se présente pas comme une panacée, ne promet pas à elle seule de
guérison et ne vise en aucun cas à se substituer au traitement médical. Cependant,
elle est de plus en plus recommandée par les centres anti-cancer, en tant que thérapie
complémentaire, et fait aujourd'hui l'objet de recherches scientifiques sérieuses. L'une
d'entre elles a démontré son efficacité pour lutter contre les effets secondaires de la
chirurgie liée aux cancers du sein.

Sommaire

RETROUVER LE SOMMEIL

Recherche 1 > Causes de manque de sommeil


Recherche 2 >
Recherche 3 >

********************************************************************************

Lien > https://www.allodocteurs.fr/maladies/sommeil/troubles-du-sommeil/pourquoi-


le-manque-de-sommeil-nous-deprime-et-comment-y-remedier_20718.html

Pourquoi le sommeil est-il si important ?


En moyenne, nous dormons environ 8 heures par nuit. Pour certains 5 heures de sommeil
suffisent, ce sont les “petits dormeurs”, d’autres ont besoin de 9 à 10 heures de sommeil, ce sont
les “gros dormeurs”. Certains sont “du matin”, d’autres “du soir”.
Ces besoins en sommeil différents d’un sujet à l’autre sont génétiquement déterminés et hérités
de nos parents. Notre besoin fondamental en sommeil se heurte souvent aux exigences et aux
contraintes de notre vie socio-professionnelle. Si ces conflits sont trop importants ou trop répétés,
nous risquons de dégrader nos rythmes biologiques et cycles de sommeil et voir apparaître une
sensation de fatigue, de malaise, ou d’insomnie de surmenage. C’est ce qui nous arrive le plus
souvent quand notre vie professionnelle nous oblige par exemple à un travail de nuit. Au final, 1
personne sur 3 connait une insomnie occasionnelle (quelques jours) ou à court terme (moins d’un
mois).
Le fait de bien dormir peut se résumer à trois critères :
 avoir un endormissement facile,
 réaliser des nuits complètes sans réveil nocturne,
 présenter un réveil naturel pour se sentir en forme tout au long de la journée.
Le seul signe véritable d’un sommeil suffisant est de se sentir en bonne forme dans la journée.
Quelles sont les raisons au manque de sommeil ? Stress, âge,
changements hormonaux, travail décalé, jet-lag
L’insomnie se définit comme l’incapacité à initier ou maintenir son sommeil. Ce manque de
sommeil s’inscrit dans une grande diversité de troubles où le sommeil est ressenti comme
insuffisant ou non réparateur. Du fait de la variabilité inter- et intra-individuelle du sommeil, il est
difficile de définir l’insomnie suivant des critères objectifs tels que la latence ou la durée totale du
sommeil. Pour cette raison, c’est la plainte d’un manque de sommeil qui sert la définition de
l’insomnie avec des critères subjectifs comme la difficulté d’endormissement, la durée de
sommeil, sa continuité, son caractère récupérateur et l’ancienneté du trouble.

Cependant, on peut considérer 4 origines majeures au manque de sommeil :

 Le stress
 L’âge
 Les changements hormonaux comme la ménopause
 Les modifications du rythme circadien liés au travail de nuit, au travail posté
(changement fréquent des heures de travail), le jet-lag, les retards ou les avances de
phases
Quelles sont les conséquences du manque de sommeil ?
En général, nous observons :

 une diminution des performances dans la journée (difficulté de concentration, troubles de la


mémoire),
 des troubles de l’humeur – de l’irritabilité,
 un terrain de développement potentiel de maladies à caractère psychosomatique (allergie,
asthme, mal de dos, hypertension, colite, migraine, ulcère…),
 sur fond de fatigue chronique (asthénie), émaillée de “coups de barre”, de somnolence, avec le
sentiment d’un état fluctuant entre l’éveil et le sommeil.
Comment trouver le sommeil ? Comment favoriser la production de
sérotonine et de mélatonine ?
Ces causes du manque de sommeil sont souvent liées soit à un défaut en sérotonine, soit en
mélatonine, soit même les deux. La sérotonine et la mélatonine sont les régulateurs de notre
horloge biologique et de la structure du sommeil (cycles et phases du sommeil). Ils vont à la fois
agir sur l’endormissement, le sommeil profond et le sommeil paradoxal, mais également sur
l’amélioration de la synchronisation permanente de l’horloge biologique (ou rythme circadien).
Une des solutions pour améliorer la qualité de son sommeil consiste à optimiser la production
naturelle de la sérotonine et de la mélatonine à partir de l’acide aminé L-tryptophane. Un apport
nutritionnel externe en L-tryptophane permet donc l’obtention de ces 2 médiateurs du sommeil.
Cependant, l’utilisation du L-tryptophane par l’organisme est conditionnée par la présence
d’autres nutriments comme les vitamines B3 et B6 et certains glucides.
> En savoir plus sur l’apport nutritionnel en L- tryptophane et les nutriments associés
Quelques conseils supplémentaires pour bien dormir
Une bonne hygiène de sommeil est indispensable pour améliorer la qualité de la nuit et donc…
de la vie

 Il faut avant tout restreindre le temps passé au lit au sommeil et aux activités sexuelles.
En effet, il faut dissocier le lit de toute activité non compatible avec le sommeil comme lire,
regarder la télévision, manger. Au cours de vos réveils nocturnes, si vous ne parvenez pas à
vous rendormir, il vaut mieux vous relever, quitter votre chambre et vous occuper jusqu’à
l’arrivée de votre prochain cycle du sommeil. Le sommeil est d’autant plus fuyant que nous
nous acharnons à le trouver et que notre tension nerveuse est importante.
> En savoir plus sur l’origine des réveils nocturnes
 Il faut au maximum que les heures du coucher et surtout du lever soient constantes. Cet
horaire constant a un effet synchroniseur sur le rythme biologique du sommeil. Se lever tard le
dimanche matin ne fera que retarder l’heure du coucher et qu’empiéter sur les heures de
sommeil de la nuit à venir… En outre, dormir le plus longtemps possible ne favorise pas
toujours un réveil “du bon pied”.

> En savoir plus sur les troubles du rythme circadien


 Si vous avez déjà des problèmes de sommeil, évitez les siestes… Vous ne fragmenterez
pas votre sommeil en plusieurs périodes et vous “consoliderez” votre nuit. Recherchez plutôt
quelques activités intéressantes qui fatiguent un peu le corps et l’esprit, vous ne dormirez que
mieux.
 L’exercice physique est recommandé mais il faut l’éviter en fin de soirée. En effet, il
augmente la température du corps, provoque une excitation tant physique que psychologique
incompatible avec un bon sommeil. Par contre, une promenade est tout à fait recommandée. Il
faut également éviter les bains trop chauds juste avant d’aller se coucher… éviter une activité
intellectuelle intense prolongée tard dans la nuit.
 Il est également recommandé de maintenir des horaires de repas constants et
surtout d’éviter les repas trop lourds en fin de soirée et juste avant de dormir. Privilégiez
les glucides lents qui favoriseront l’endormissement et l’absorption du L-tryptophane, l’acide
aminé essentiel qui entre dans la fabrication de la sérotonine naturelle et de la mélatonine,
l’hormone du sommeil. Evitez les excitants comme le café, les cigarettes et l’alcool…

> En savoir plus sur le L- tryptophane


 Il faut également créer les meilleures conditions d’environnement. Evitez le bruit, une
chambre trop chaude ou trop froide, choisir un lit confortable.
 Sachez aussi éviter la “rumination” au lit. Tenter de résoudre ses problèmes avant de
s’endormir ne peut que provoquer une anxiété, une tension nerveuse néfastes à
l’endormissement et donc, une insomnie. Apprenez à vous relaxer !!! Evacuez votre stress !!!!
En effet, le stress induit la production de cortisol, hormone de la vigilance, qui s’oppose à la
production de mélatonine, hormone du sommeil

> En savoir plus sur la mélatonine, l’hormone du sommeil


 Evitez d’avoir une activité devant un écran (ordinateur, tablette, smartphone) au moins 1
heure avant de vous coucher. En effet, la lumière bleue des écrans empêche la survenue de
mélatonine et crée les conditions pour un syndrome de retard de phase. Vous pouvez toutefois
utiliser des applications ou bien des lunettes « anti lumière bleue » qui diminuent ce genre de
problème.

> En savoir plus sur le syndrome de retard de phase

Lien > https://www.sommeil.org/comprendre-le-sommeil/causes-des-troubles-du-sommeil/

Les troubles du sommeil : Quelles en sont les


causes ?
Les causes des troubles du sommeil peuvent êtres diverses et pour certaines
difficiles à déterminer. Certaines causes sont bénignes et donc faciles à traiter
comme les troubles liés à l’enfance ou à l’hygiène de vie. D’autres plus sévères telles
que la maladie, la génétique ou encore les troubles persistants demanderont l’aide
d’un professionnel pour les enrayer.

Savoir identifier la cause d’un trouble du sommeil permet d’adopter le bon


comportement pour améliorer sa qualité de vie et d’éviter une pathologie qui peut
s’avérer importante.
Les principales causes des troubles du sommeil
Plusieurs facteurs peuvent se trouver à l’origine des troubles du sommeil. On peut
ainsi distinguer des facteurs d’ordre :
 psychologique : Stress, anxiété, dépression, choc émotionnel…
 physiologique : repas trop riche, prise de médicaments, activité physique intense le soir,
excès de caféine ou d’alcool…
 environnemental : bruit, luminosité, chaleur, mauvaise literie, travail de nuit…
 pathologique : maladie, génétique, fièvre, migraine, fatigue chronique…
Les causes selon le trouble du sommeil
Les causes diffèrent en fonction du trouble du sommeil rencontré. Découvrez l’origine
de votre mauvais sommeil en cliquant sur l’un des troubles ci-dessous :
 L’insomnie
 Insomnie avec avance de phase
 Insomnie avec retard de phase
 Syndrome des jambes sans repos
 La narcolepsie
 L’apnée du sommeil
 L’énurésie ou pipi au lit
 Le cauchemar
 Le somnambulisme
 La terreur nocturne
 L’illusion hypnagogique
 Les rythmies du sommeil
 La somniloq

Lien > http://www.cenas.ch/blog-du-sommeil/hypnose-traiter-troubles-sommeil/

L’hypnose pour traiter les troubles


du sommeil
Sommaire

28 Nov 2017 / par Cenas / dans


Les insomnies peuvent se traduire de diverses façons : difficultés à
s’endormir, réveils nocturnes prolongés ou réveils trop précoces … Souvent
liée à l’anxiété, l’insomnie peut à long terme avoir des conséquences
importantes sur le bien-être. Pour lutter contre ce trouble du sommeil, de plus
en plus de personnes se tournent vers la pratique de l’hypnose.

Le fonctionnement de l’insomnie
Il existe plusieurs types d’insomnies :

 Les insomnies avec des difficultés d’endormissement


 Les insomnies caractérisées par des réveils nocturnes fréquents et / ou prolongés
 Les insomnies avec des réveils précoces
Tous les types d’insomnies peuvent raccourcir la durée du sommeil (bien
qu’il arrive dans certains cas que celle-ci reste inchangée) ce qui a pour effet
de diminuer son effet récupérateur. Même dans les cas où la durée du
sommeil n’est que légèrement raccourcie, on observe une fatigue importante
la journée qui s’accompagne parfois de difficultés au niveau du
fonctionnement sur le plan professionnel, personnel ou émotionnel.
Ces difficultés vont progressivement amener le patient à appréhender la nuit
et entraîner la peur de « ne pas arriver à dormir ». C’est un cercle vicieux qui
accroît au fur et à mesure l’anxiété du patient au sujet du
sommeil. L’hyperactivité intellectuelle autour de l’insomnie ne laisse alors
que peu de place au répit ainsi qu’à un sommeil bien mérité.

Sommaire

Traiter l’insomnie à la source avec l’hypnose


Si l’hypnose est principalement indiquée en cas de troubles du sommeil liés au
stress, ainsi que pour reprogrammer les cycles de sommeil qui se seraient
décalés, elle peut également aider à améliorer le sommeil en diminuant les
perceptions douloureuses ou les sons dérangeants, en travaillant sur une
défocalisation ou un isolement sensoriel.
Après avoir connu des périodes d’insomnies, il est également nécessaire de
travailler sur la confiance en sa capacité à s’endormir afin que l’anticipation
négative et les peurs atour du sommeil laissent de nouveau place à
l’apaisement.

L’hypnose est un état totalement naturel. Guidé par le praticien, la patient va


entrer dans un état de conscience modifié qui sera vécu différemment d’une
personne à l’ autre. Cet état n’est pas une relaxation mais il donne la
sensation de se trouver entre l’éveil et le sommeil tout en restant conscient et
en permettant d’accéder plus facilement à l’imaginaire.
Si l’hypnose permet d’aider les patients à retrouver un sommeil de qualité,
elle peut aussi permettre de limiter la consommation de somnifères. En
effet, la tolérance et la dépendance sont les risques les plus redoutés pour les
somnifères, c’est pourquoi ces traitements ne doivent être choisis que de
manière temporaire.
Dans le cadre d’un suivi médical, l’hypnose représente donc une alternative
naturelle intéressante pour diminuer voire arrêter la prise de somnifères et
autres traitements (comme les antidépresseurs à propriétés sédatives) afin de
s’endormir plus facilement. Elle peut aussi être utilisée dans le cas d’un
sevrage progressif des somnifères hypnotiques en accord avec le médecin
traitant.

L’auto-hypnose : comment faire ?


Après quelques séances d’hypnose réalisées par un professionnel, il est
possible d’apprendre à pratiquer l’auto-hypnose pour continuer son
traitement en s’aidant d’enregistrements audio ou en faisant sa propre séance
d’hypnose.
Le thérapeute pourra ainsi transmettre différentes techniques d’inductions
hypnotiques permettant, notamment grâce à la focalisation et à la visualisation
mentale proche de celle utilisée en sophrologie, d’atteindre un état propice à
l’endormissement. Visualiser une image agréable, un objet ou un lieu en
cherchant à le détailler autant que possible et à en dessiner les contours
lentement permet par exemple de calmer le stress en occupant l’esprit, se
projeter dans un lieu de bien-être, enclencher des pensées apaisantes, mettre
en place des rituels d’endormissement permettent ainsi de prolonger le travail
réalisé en séance avec un thérapeute.

DOULEURS

Rechercher 1 > A quoi sont dues les douleurs musculaires

Recherche 2 > Causes des douleurs musculaires

Recherche 3 > Hypnose et douleur chronique


Sommaire

A quoi sont dues les douleurs musculaires ?


Tout le monde souffre occasionnellement de douleurs musculaires, surtout en prenant
de l’âge.
Parfois la cause est évidente devant un contexte général évocateur, dans d’autrescas,
les douleurs sont isolées ou associées à des signes discrets et peuvent être un mode
d’expression, voire de révélation de nombreuses maladies, quelquefois rares. Ceci
nécessite alors une véritable stratégie dans la démarche diagnostique, surtout que les
douleurs chroniques s’associent, quelle que soit leur cause, à un retentissement
psychoaffectif important qui complique l’analyse.

1. Le premier repère est de regarder si la douleur est localisée à un muscle ou un


groupe de muscle et si elle est liée à un effort physique.
Dans ce cas, il faut évoquer une déchirure musculaire (ou « claquage ») en cas de
douleur brutale apparaissant au cours de l’effort sur un muscle et ne disparaissant pas
complètement à l’arrêt.
S’il s’agit d’un choc direct, on peut parler de contusion musculaire
ou d’hématomemusculaire.
Si la douleur apparaît à distance de l’effort sur un groupe musculaire sollicité par cet
effort, il s’agira le plus souvent de courbatures (1 à 2 jours après l’effort).
Il peut s'agir également de crampes, en cas de contracture douloureuse d'un muscle ou
d'un groupe musculaire.

2. En cas de douleurs musculaires diffuses, qu’elles apparaissent au cours de l’effort


physique ou sans lien avec un effort physique, il faut évoquer une maladie musculaire
générale (« myopathie ») : cela peut être une maladie inflammatoire auto-immune ou
une maladie liée à la prise d’un médicament ou à un toxique ou un
déficit enzymatique.

• En cas de syndrome inflammatoire, les maladies inflammatoires, musculaires ou


générales, sont les premières à évoquer une myalgie. Les polymyosites subaiguës ou
chroniques sont des atteintes musculaires inflammatoires qui surviennent surtout chez la
femme entre 40 et 60 ans avec des douleurs musculaires modérées et fluctuantes,
majorées ou déclenchées par la mobilisation des membres avec un déficit musculaire
prédominant sur les racines. En cas d’atteinte cutanée associée périorbitaire, on parle
de dermatomyosite.
Ces atteintes musculaires inflammatoires peuvent s’associer à d’autres signes auto-
immuns : cutanés dans la sclérodermie (syndrome de Raynaud et rétraction de la peau
sur les doigts = « sclérose ») ou le lupus (syndrome de Raynaud et éruption cutanées
du visage), ou pulmonaires dans la connectivite mixte.

La maladie de Gougerot-Sjögren comporte des douleurs articulaires et musculaires


diffuses associées à un « syndrome sec » (sécheresse de la bouche, des yeux et des
muqueuses) qui est parfois difficile à différencier d’un syndrome polyalgique idiopathique
diffus.
Enfin, d’autres maladies systémiques peuvent être impliquées dans les douleurs
chroniques comme la maladie de Still et la périartérite noueuse avec leur fièvre élevée
ou le syndrome de Shulman avec son taux de polynucléaires éosinophiles élevés dans
le sang (« hyperéosinophilie »).
• En l’absence de syndrome inflammatoire, et en cas de douleurs
des membressiégeant au niveau des muscles et déclenchées ou aggravées par
l’exercice, il faut s’orienter vers des causes générales non-inflammatoires.
Les causes sont souvent médicamenteuses et provoquées par de nombreux
médicaments dont les plus fréquents sont les hypocholestérolémiants (fibrates et
statines), certains traitements des rhumatismes inflammatoires (D-pénicillamine,
quelques anti-arythmiques…), le lithium et les corticoïdes à forte dose. Certains
inhibiteurs de l’intégrase peuvent causer une fatigue et une faiblesse musculaire, soit le
raltégravir, l’elvitégravir et le dolutégravir.
On peut en rapprocher les douleurs musculaires prédominant aux ceintures encas
de déficit en vitamine D ou en cas de carence (« ostéomalacie »).

Il est également important d’écarter la possibilité d’acidose lactique, car ce problème


peut être causé par certains analogues nucléosidiques, notamment la d4T.
Certaines polymyosites peuvent avoir une VS normale et c’est l’examen électrique des
muscles (électromyogramme ou EMG) et la biopsie musculaire qui poseront le
diagnostic.
L’hyperthyroïdie peut débuter par des myalgies extensives des bras et du tronc, à
prédominance nocturne, et sensibles à la pression. De même, l’hyperparathyroïdie
primaire peut être à l’origine de myalgies des ceintures. L’hypothyroïdie, à l’inverse,
est plutôt responsable de douleurs musculaires (myalgies) diffuses avec arthralgies,
comme l’insuffisance surrénale où les signes sont dépendant du degré
d’hyperkaliémie.

Nombreuses sont les infections virales à donner des myalgies. La plus fréquente est
sans conteste la grippe où le malade a l’impression d’avoir été « roué de coups ». Ces
douleurs s’accompagnent d’une fièvre et d’une fatigue d’apparition brutale avec des
maux de tête. Les hépatites A, B ou C s’accompagnent également de myalgies, de
même des les infections à VIH ou à HTLV-1. En pays tropical, il faut évoquer une
infection par un arbovirus : dengue, Chikungunya, virus Zika…
Une carence en acides aminés serait parfois la cause sous-jacente de la faiblesse
musculaire. Le muscle se compose majoritairement de protéines, et toute protéine se
compose d’acides aminés. Il s’ensuit donc que les déficits en acides aminés essentiels
seraient susceptibles de causer la faiblesse musculaire. Les carences résultent parfois
de la mauvaise digestion des protéines mais plus souvent de carence d’apport (anorexie
mentale ou végétalisme) ou de traitements. La glutamine est un acide aminé non
essentiel mais qui est souvent présente en quantité insuffisante chez les personnes
vivant avec le VIH.

Certaines parasitoses sont à même de donner des myalgies généralisées, c’est le cas
de la trichinose (ou « trichinellose ») qui est une parasitose que l’on peut attraper en
mangeant de la viande de porc, de sanglier ou de cheval mal cuite : après des douleurs
digestives et une fièvre apparaissent des douleurs musculaires diffuses de type
inflammatoires avec œdème de la face et démangeaisons généralisées (« prurit »). Il
existe une élévation des polynucléaires éosinophiles dans le sang
(« hyperéosinophilie ») et une élévation des enzymes musculaires dans le sang
(élévation des CPK).

• Enfin, certaines douleurs musculaires non-inflammatoires sont électivement


déclenchées au décours immédiat d’un effort. Il est possible d’observer alors les
marqueurs d’une destruction aiguë de cellules musculaires (« rabdomyolyse ») avec
passage de protéines musculaires dans les urines (« myoglobinurie ») plus ou moins
important. Il est également possible de retrouver un caractère familial.

Il en est ainsi des déficits enzymatiques des glycogénoses comme la maladie de Mc


Ardle (déficit en myophosphorylase) ou la maladie de Tarui (déficit en
phosphofructokinase).
D’autres déficits enzymatiques peuvent aussi être en cause comme le déficit en carnitine
palmityl-transférase II, mais dans 50 % des cas de myoglobinurie, aucun déficit
enzymatique n’est retrouvé.
Sommaire

Lien > https://www.avogel.ca/fr/sante/muscles-articulations/douleurs-


musculaires/

accueil > santé > muscles et articulations > douleurs musculaires

Douleurs musculaires
La douleur musculaire est un symptôme qui peut se
manifester dans de multiples situations

1 avis Vous avez aimé ce que vous avez lu? Montrez-nous


votre appui!
En médecine, la douleur musculaire porte le nom de myalgie; c’est
de là que viennent des termes tels que fibromyalgie (douleur au
niveau des muscles et des tissus mous de l’organisme) ainsi que
polymyalgie rhumatismale, une condition entraînant des douleurs à
la tête et causée par un dérèglement du système immunitaire.
Lisez ce qui suit pour en apprendre davantage sur les causes de la
douleur musculaire et pour savoir comment la soulager.

Table des matières

 Causes de la douleur musculaire


 Traitement de la douleur musculaire
 Remèdes naturels contre la douleur musculaire
Causes de la douleur musculaire

En général, la douleur musculaire survient de manière aiguë ou soudaine, dans les contextes suivants :

 Blessure ou traumatisme musculaire, appelé communément claquage. Les muscles les plus souvent
affectés sont le mollet, l’aine, le cou et le dos. Le claquage d’un muscle peut aussi s’accompagner d’une
entorse, lorsque les tissus mous (dont les ligaments et les tendons) subissent également des lésions. Cela
se produit surtout au niveau des poignets, des genoux et des chevilles.
 Surmenage d’un muscle – c’est le risque auquel s’exposent ceux et celles qui décident de se mettre à
l’entraînement du jour au lendemain et qui sont un peu trop enthousiastes.
 Foulures répétitives liées à la sollicitation excessive d’une articulation, les muscles environnants pouvant
également être affectés.
 Tension ou stress entraînant des problèmes comme la raideur au niveau du cou.
 Douleurs et spasmes musculaires dans le bas du dos (lumbago) après avoir soulevé un objet lourd.
 Infections virales, y compris le rhume et la grippe.
La douleur musculaire peut aussi avoir d’autres causes, moins fréquentes, comme la fibromyalgie, l’utilisation de
certains médicaments ainsi que des maladies auto-immunes. Il s’agit souvent de problèmes chroniques.

Traitement de la douleur musculaire

La plupart des épisodes de douleur musculaire aiguë peuvent généralement être traités plutôt facilement :

 Si la douleur est liée à une blessure ou encore au surmenage d’un muscle ou d’une articulation, cessez
l’activité et prenez du repos.
 Appliquez un bloc réfrigérant ou une compresse de glace sur la région affectée. Si vous n’avez pas ce qu’il
faut, un sac de pois surgelés peut très bien faire l’affaire.
 Au besoin, prenez un analgésique afin d’atténuer la douleur.
 Ou encore, utilisez un produit à base de plantes médicinales comme le gel Arnica, qui aidera en plus à
guérir les ecchymoses consécutives à la blessure.
 S’il s’agit d’une douleur plus généralisée, vous pouvez prendre des comprimés de Griffe du diable par voie
orale.
 Si votre douleur musculaire est due à la grippe, un remède naturel comme Echinaforce pourrait vous
apporter un soulagement.
Si les épisodes de douleur musculaire se manifestent de façon chronique, essayez les solutions suivantes:

 Massage en douceur (si indiqué)


 Exercice régulier mais léger, comme la marche, le vélo ou la natation
 Réduction des niveaux de stress par la pratique du yoga ou la prise d'extrait de passiflore
 Quantité adéquate de sommeil
 Et bien sûr, traitement du problème à la racine
Si vous prenez des médicaments d’ordonnance, voyez avec votre médecin si la douleur ne pourrait pas être un
effet secondaire.

Remèdes naturels contre la douleur musculaire

Un grand nombre de problèmes de santé peuvent être à l’origine de la douleur musculaire. Les causes et
traitements possibles évoqués plus haut ne concernent que les situations les plus courantes; il ne s’agit pas de
listes exhaustives.

S’il ne semble pas y avoir de cause évidente à votre douleur musculaire, si elle ne s’est pas résorbée après 7
jours ou si elle s’accompagne de symptômes plus sévères comme de la douleur dans d’autres parties du corps,
de la fièvre ou une sensation générale de malaise, consultez un médecin sans tarder.

Sommaire
Lien > http://plusmagazine.levif.be/sante/douleurs-musculaires-que-faire/article-normal-465105.html

Douleurs musculaires : que faire ?


Douleurs musculaires ? Avec près de 650 muscles dans notre corps, difficile d'y
échapper ! Ces douleurs peuvent être liées au sport, au stress, ou, pour une minorité
d'entre nous, à un syndrome peu connu, la fibromyalgie.
Table des matières:

 Cause : le sport
 Cause : le stress
 Cause : la fibromyalgie
 Bon à savoir avant de bouger...

Mais que se passe-t-il exactement à l'intérieur du muscle? Voici comment faire pour éviter les
douleurs.

Cause : le sport
Les courbatures
Enfin un beau jour de printemps, et vous voilà parti pour une randonnée. Mais le lendemain,
réveil difficile : vos muscles sont raides, douloureux. Ces courbatures surviennent 24 à 48 heures
après un effort un peu soutenu. La douleur vient de l'inflammation causée par de micro-
déchirures des fibres musculaires.
Solution : Bénignes, les courbatures disparaissent généralement en 2 ou 3 jours. Buvez de l'eau
riche en potassium, prenez un cachet d'aspirine si nécessaire, et prenez un bain chaud pour
détendre et assouplir les muscles. Vous pouvez aussi masser le muscle avec une crème
décontractante et chauffante.

Les crampes
Vous êtes sur votre vélo, il fait chaud. Soudain, une crampe : le muscle de votre mollet se
contracte violemment, vous êtes tenté de plier la jambe. La crampe musculaire, contraction
douloureuse, localisée, involontaire, soutenue, survient durant ou après l'effort, que vous soyez
sportif régulier ou occasionnel. Elle est favorisée par la déshydratation, le froid ou le chaud, une
carence en sels minéraux, de mauvaises chaussures... Les crampes nocturnes sont à part : leur
origine reste mal connue.
Solution : Etirez le muscle, même si le réflexe est de se replier sur soi. Tendez la jambe en
poussant le talon le plus bas possible et en relevant les orteils. Les crampes sont généralement
bénignes. Mais si elles persistent, demandez l'avis du médecin.

L'élongation
L'élongation est un étirement des fibres d'un groupe musculaire (souvent dans la jambe) au-delà
de leurs capacités. Elle survient sur un muscle mal échauffé, lors d'un effort rapide ou violent. La
douleur disparaît au repos.

Sommaire
Solution : Mettez de la glace matin et soir durant 15 minutes, laissez le muscle au repos pendant
quelques jours : reprendre trop tôt peut conduire au claquage. Prenez un antalgique
(Paracétamol), mais évitez l'aspirine en cas d'aggravation et de saignement.

La déchirure (ou claquage)


De gravité variable, elle survient dans les sports dits explosifs : sports de balle, de sprint. Le
muscle est étiré au-delà de ses limites, il y a rupture d'un nombre de fibres musculaires, après un
effort violent, soudain. Un hématome se forme entre les fibres lésées. Via l'échographie, le
médecin peut préciser l'ampleur des lésions.
Solution : repos total. Appliquez des compresses froides dont l'effet vasoconstricteur ralentira le
débit sanguin, diminuera hémorragie et douleur. Compressez le muscle avec un bandage,
surélevez le membre, si possible. Pas d'aspirine, qui fluidifie le sang et augmente l'hémorragie.
Repos jusqu'à cicatrisation complète. Ensuite, il y aura une rééducation de plusieurs semaines.

La rupture
Lésion musculaire la plus grave, il s'agit d'une déchirure transversale partielle ou totale du
muscle. Impossible de marcher, pour un membre inférieur, ou de bouger pour les membres
supérieurs. Au toucher, le médecin sentira la lésion. OEdème et hématome apparaissent.
Solution : après les premiers soins (bandage,compresses froides, etc.), repos total suivi d'une
rééducation. Dans les cas plus sérieux, la chirurgie est nécessaire.

Prévention
Sans constituer une garantie infaillible, ces précautions diminuent certainement le risque :
Commencez par un échauffement méthodique, progressif, assez long (au moins 10 minutes) sur
les muscles qui seront sollicités pendant l'effort. Il est également utile de bien connaître les
gestes techniques : si vous vous lancez dans une nouvelle discipline, interrogez un spécialiste.
Gardez une activité physique régulière, une activité facile à réaliser, telle la marche. Et gardez
des objectifs raisonnables le jour où vous vous y (re)mettez ! Marchez, par exemple, à un bon
pas, près de chez vous. Et si vous vous sentez fatigué, inutile de forcer.
Buvez régulièrement, notamment après l'effort, une eau riche en sels minéraux. Emportez des
fruits secs (abricots, bananes...) riches en minéraux (potassium, magnésium, sodium...).
Après l'exercice, étirez, sans forcer, les muscles sollicités : maintenez un mouvement de tension
une dizaine de secondes, puis relâchez.

Cause : le stress
Epaules dures, nuque raide : le stress aussi peut faire mal... " Le stress est une réaction normale,
et il peut être positif, explique Christophe Fauconnier, licencié en kinésithérapie, rattaché à l'école
du dos du CHU Brugmann. Mais son excès en fréquence aura des effets indésirables. Le haut du
dos, les épaules, la nuque, entre la région cervicale et la région dorsale, sont la zone de
prédilection du stress. Il y a sollicitation au point carrefour entre ces deux zones. "

Pas seulement les muscles


Les troubles musculo-squelettiques (TMS) touchent muscles, articulations, tendons, vaisseaux et
nerfs. Et il existe une forte corrélation entre stress, organisation du travail, et TMS.
" Surtout si le travail est répétitif, le rythme élevé. Et si l'on travaille en position assise, la tête
penchée en avant, ou sur le côté. " Le muscle est en souffrance, " à cause de la tension entre le
tendon et l'articulation. On a aussi remarqué que, même dans une situation professionnelle de
faible intensité physique mais maintenue, certaines fibres musculaires ont tendance à être
activées de manière continue, alors que d'autres, dans le même muscle, sont au repos. Il y a
alors absence de récupération de ces fibres, donc fatigue importante. "
Le stress agit aussi sur la circulation sanguine. " Il active le système nerveux autonome, qui
déclenche une réaction hormonale favorisant la vasoconstriction, la tension artérielle. La
circulation se fait moins bien au niveau musculaire et au niveau du tendon moins bien irrigué. "

Prévention
Pour diminuer ou éviter les douleurs, plusieurs gestes possibles :

 Au bureau ou à la maison, bougez régulièrement, changez de position, même en restant


assis. Ne négligez pas les pauses...
 Bons mouvements : pensez à vous agrandir, vous redresser, que vous soyez assis, debout,
ou couché.
 Pour la nuque : diminuez la courbure cervicale en reculant le menton vers l'arrière, ce qui
réaligne les articulations.
 Réglez votre plan de travail : placez l'ordinateur à hauteur des yeux, évitez les rotations.
Evitez d'être voûté, penché. Assurez-vous que le mobilier (bureau, siège) n'est ni trop bas, ni
trop haut.

Solution : la gestion du stress ! " L'approche psychologique est utile, précise Christophe
Fauconnier. Une psychothérapie peut être indiquée si les douleurs sont récurrentes malgré les
thérapies physiques. Pourquoi ne pas essayer aussi la relaxation, les étirements, le stretching, et
des techniques actives pour traiter le stress ? Faire du sport (vélo, marche, aquagym...) permet
d'évacuer le trop plein de tensions. "

Chaud ou froid ?
Faut-il appliquer du chaud ou du froid sur un muscle endolori ? " A choisir, la chaleur aura le plus
d'effet sur le muscle : elle diminue l'impact douloureux et améliore la circulation sanguine.
Utilisez, par exemple, une crème chauffante locale. "
Et le Baume du tigre ? Un gadget, en pleine euphorie chinoise ? " Pas du tout : sa réaction
thermique sur la peau fait naître une chaleur qui se propage vers le muscle, avec action
vasodilatatrice, permettant d'évacuer et de soulager les tensions. "
Et le froid ? " Pas particulièrement recommandé pour les muscles stressés, car il a un effet
vasoconstricteur. "
Le massage est également indiqué : " Il procure détente et relâchement, ainsi que l'étirement des
différentes couches musculaires, tout en activant la circulation. "
Enfin, une bonne douche chaude ou un sauna apportera certainement une détente bénéfique.

Cause: la fibromyalgie
Avoir mal partout... C'est ce que ressentent les patients atteints de fibromyalgie. Des douleurs
diffuses, changeantes, survenant à différents endroits du corps, et qui, associées à des raideurs
musculaires et à un mauvais sommeil, perturbent la vie sociale, familiale, ou professionnelle.

Un ensemble de symptômes
" On parle de syndrome, pas de maladie, car il s'agit d'un ensemble de symptômes, sans cause
spécifique, précise le Dr Etienne Masquelier, médecin spécialiste en médecine physique et en
réadaptation (Cliniques universitaires Saint-Luc et Cliniques universitaires de Mont-Godinne).
Deux éléments sont à prendre en compte : l'existence de douleurs musculo-squelettiques
diffuses, depuis plus de 6 mois, au niveau de la colonne vertébrale, de la nuque, du bas du dos,
des membres inférieurs et supérieurs... Ensuite, il faut qu'un examen clinique mette en évidence
des " tender-points " : une pression d'environ 4 kilos exercée sur ces points provoque une
perception de la douleur. Il y a 18 points reconnus par l'American College of Rheumatology, il
faut en déceler 11 chez un patient pour parler de fibromyalgie. "
Des critères peut-être difficiles à identifier, et parfois controversés. L'Organisation mondiale de la
santé ne reconnaît d'ailleurs la fibromyalgie que depuis 1992. Environ 2 à 3 % de la population
serait touchée, les femmes davantage que les hommes. Et, aujourd'hui encore, avant de pouvoir
mettre un nom sur leur mal, les patients enchaînent souvent examens médicaux et prises de
sang, fausses pistes et déceptions...
Les causes de la fibromyalgie ? " Elles sont multifactorielles : il y a sans doute un mode de
fonctionnement trop intense pendant des années, auquel s'ajoutent un traumatisme physique ou
émotionnel, et, peut-être, une prédisposition individuelle aux problèmes musculo-squelettiques. "

Fonctionner différemment
Chaque histoire est unique : pour les uns, la douleur sera supportable, pour les autres, non. Elle
peut varier selon les activités ou être omniprésente. " Mais le malade doit fonctionner
différemment. Certains gestes demandent des niveaux d'endurance importants : repasser,
suspendre du linge... Si on fait tout comme avant, les douleurs vont s'intensifier. Et le muscle ne
supporte pas non plus de rester sans bouger : difficile de rester assis deux heures immobile,
difficile de travailler, donc. De plus, les capacités cognitives sont également perturbées. "
Une fois le syndrome identifié et traité, le patient peut retrouver une certaine qualité de vie. Le
mot d'ordre : fractionner les activités, en faire peu à la fois. " Pour certains, c'est un renversement
des valeurs à 180°, pas facile à accepter. La rééducation fonctionnelle a son importance : le
patient doit redévelopper tout ce qui développe la capacité d'endurance cardio-respiratoire
(marche, vélo, natation...). Car l'endurance peut influencer les mécanismes de la douleur. Les
traitements médicamenteux, eux, doivent être intégrés dans une approche globale, pour éviter
l'escalade. Le danger est d'avoir un médicament par symptôme. Il y a les antidouleurs, mais
aussi la gestion du stress, la relaxation, le bain chaud...
Le patient doit devenir acteur du processus de réadaptation. Mais la société doit évoluer :
beaucoup de patients souhaitent travailler, mais avec lenteur, en fractionnant, ce n'est pas
évident. "

Sommaire

Bon à savoir avant de bouger...


Les bons gestes

 Pliez les genoux pour soulever un objet lourd ou un enfant, et tenez-le contre vous avant de
vous relever.
 Pour ramasser un objet à terre, posez un genou sur le sol, ou utilisez la position du balancier
: penchez-vous en avant en soulevant une jambe loin derrière vous, comme contrepoids.
 Rapprochez-vous de l'objet à soulever, pour ne pas le porter à bout de bras.
 Portez vos courses dans deux sacs au lieu d'un, un dans chaque main pour répartir le poids
équitablement.
 Si l'objet est en hauteur, mettez-vous d'abord au même niveau, avec un escabeau par
exemple.

Les mauvais gestes

 Les torsions : évitez-les en bougeant vos pieds pour ajuster votre position. L'objectif est de
ne pas faire pivoter le bassin.
 Les mouvements brusques : évoluez en douceur, vous contrôlerez mieux la situation, et les
risques de blessure.
 Se baisser en gardant les jambes tendues : vous pourriez vous faire mal au dos en vous
relevant.

Sortir de son lit d'un seul mouvement : asseyez-vous d'abord, puis levez-vous.

Sommaire

Lien > http://www.polyarthrite-rhumatoide.fr/2015/12/22/comment-lhypnose-peut-elle-soulager-


les-douleurs-chroniques/

Comment l’hypnose peut-elle soulager les douleurs chroniques

Expérience relationnelle mettant en jeu des mécanismes physiologiques et


psychologiques, l’hypnose thérapeutique permet aux patients atteints de maladies
chroniques comme la polyarthrite rhumatoïde de mieux vivre en atténuant les douleurs et
le stress liés à leur pathologie. Comment définit-on l’hypnose et par quels mécanismes
agit-elle ? Quels bénéfices peut-on en attendre ? Entretien avec le Dr Jean-Marc
Benhaiem, hypnothérapeute*.
Quels bénéfices peut-on attendre de l’hypnose thérapeutique ?
Lorsque l’on interroge les médecins et les psychologues qui désirent se former à
l’hypnose sur les raisons de leur choix, la plupart confient qu’ils se sentent parfois
désemparés face à la douleur chronique de leurs patients. L’hypnose est souvent la
réponse qu’ils espèrent pour mieux aider leurs patients. Elle a en effet fait la preuve de
son efficacité dans le traitement de la douleur chronique, et fonctionne dans le
changement de comportements tels que la dramatisation, le catastrophisme.
Pratiquement toutes les pathologies douloureuses chroniques peuvent bénéficier de
l’approche par l’hypnose : les études cliniques ont porté sur les céphalées de tension, la
migraine, le côlon irritable, les douleurs abdominales ou encore les douleurs du cancer,
ainsi que l’anxiété qui participe à toutes ces pathologies.
À quoi ressemble une séance d’hypnose ?
Une séance d’hypnose comporte trois grandes étapes : l’induction, la dissociation ou
confusion et enfin l’ouverture. Le patient s’installe dans ce que j’appelle une sensorialité
première, qui fonctionne en dehors de la raison. Pour y accéder, il doit utiliser
ressources, inventivité et imagination. Se mettre dans un état hypnotique, seul ou guidé
par un thérapeute, a pour objectif de mettre en relation le patient avec la totalité de son
corps, de son espace et de son savoir. Car entrer en relation avec son corps est la
condition nécessaire pour guérir.
Par quels mécanismes une séance d’hypnose peut-elle soulager les douleurs
chroniques ?
Il s’agit avant tout de « troquer » la certitude du chronique contre l’incertitude de la vie
réelle. En effet, les personnes qui souffrent d’une pathologie chronique subissent la
douleur et savent que le lendemain et les jours suivants, elles continueront de souffrir.
L’un des exercices proposé sous hypnose, est de demander au patient s’il envisage le
changement sous cette forme : s’installer dans le doute, l’incertitude. Ne rien savoir de
l’avenir, renoncer à exercer un contrôle sur le corps est le signe de la guérison et une
façon de revenir dans son corps.
Pouvez-vous nous donner quelques exemples de stratégies thérapeutiques ?
Au cours de l’interrogatoire ou du récit de sa pathologie, le patient décrit ses douleurs et
sa souffrance. Parmi les métaphores utilisées pour évoquer les symptômes dont ils
souffrent, les patients parlent souvent d’un étau qui serre, d’un tube trop étroit, d’une
griffure, etc. Le thérapeute utilise ces métaphores au cours de la séance d’hypnose pour
les modifier voire en proposer d’autres plus adaptées à un changement de contexte donc
compatibles avec une absence de douleur. De même, la douleur et la peur de la douleur
provoquent une diminution de l’amplitude articulaire et des mouvements. À cause de la
douleur et du handicap, le patient est comme fâché avec les parties de son corps qui ne
fonctionnent plus comme avant. Pour obtenir un soulagement, il doit se « réconcilier »
avec ces zones de son corps. Finalement, l’objectif thérapeutique est d’accepter la
réalité et de s’entendre avec le corps tel qu’il est devenu. La détérioration de ses
articulations, la présence d’inflammations, les crises douloureuses intermittentes et
invalidantes modifient considérablement la relation qu’un patient a à son corps : les
séances d’hypnose peuvent aborder cet aspect de la relation que le patient entretient
avec sa maladie.
L’entente médecin-malade est-elle primordiale dans les résultats thérapeutiques ?
Elle est essentielle. La personnalité du thérapeute compte pour beaucoup dans les
résultats thérapeutiques. On parle du « charisme » du médecin utilisant l’empathie : un
mélange d’assurance, de convivialité et de confiance à la fois dans le traitement et dans
les ressources du patient. La relation est faite du désir du patient de guérir, de la
confiance dans la « méthode » appliquée et de la disponibilité du thérapeute.

EXAMEN

Recherche 1 > préparation examen


Recherche 2 > Hypnose et examen

Sommaire
LIEN > HTTPS://WWW.AIDE.ULAVAL.CA/APPRENTISSAGE-ET-REUSSITE/TEXTES-
ET-OUTILS/STRATEGIES-D-APPRENTISSAGE/LA-PREPARATION-AUX-EXAMENS/

LA PRÉPARATION AUX EXAMENS


Plusieurs personnes ont de la difficulté à communiquer leurs connaissances lors des
examens, notamment en raison d’une anxiété excessive. En effet, le stress élevé
interfère avec les fonctions cognitives (ex.: concentration, mémorisation) et nuit alors
à la performance. Différentes stratégies pour vous préparer et pour passer des
examens, ainsi que pour contrôler votre stress peuvent améliorer la situation.
En plus de ce texte, vous pouvez consulter la formation interactive « Réussir ses
examens. »
Sommaire

Sommaire
 Contrôlez votre anxiété avant l’examen
 Contrôlez votre anxiété pendant l’examen
 Questions à vous poser après un examen
 Références

CONTRÔLEZ VOTRE ANXIÉTÉ AVANT L’EXAMEN


PLANIFIEZ VOS PÉRIODES D’ÉTUDE ET COMMENCEZ TÔT
Fixez-vous des objectifs d’étude concrets et précis. Voir à ce sujet le texte
concernant la gestion du temps. Évidemment, vous serez moins sensible à l’anxiété
si vous commencez votre étude tôt. Afin que votre étude à long terme soit efficace,
révisez ce que vous avez appris précédemment avant de commencer à étudier une
nouvelle partie de matière.

SIMULEZ UNE SITUATION D’EXAMEN


Vous pouvez tenter de simuler un examen entre amis afin de vous pratiquer. Pour ce
faire, développer une banque de questions et tentez d’y répondre dans des
conditions similaires à celles prévues lors de l’évaluation (temps limité, à livres
fermés ou ouverts, etc.). Si vous faites cet exercice en groupe, vous pourrez
également identifier ce que les autres considèrent important dans la matière.
LES PERCEPTIONS ET L’ANXIÉTÉ
L’anxiété vécue avant une évaluation est provoquée la plupart du temps par des
doutes sur votre préparation ainsi que sur votre capacité à faire face à cette
évaluation. Ces doutes et ces craintes peuvent prendre plusieurs formes: crainte
d’échouer, de ne pas obtenir la note visée, d’avoir des trous de mémoire, de vous
faire avoir, de manquer de temps, etc. Si vous vivez un degré élevé d’anxiété avant
un examen, il se peut que vos doutes deviennent des certitudes à votre esprit. Par
exemple, une perception du type «je vais échouer, c’est certain, c’est sûr» est
caractérisée par la certitude de la crainte, ce qui augmente l’anxiété. Or, votre
incertitude concernant un examen n’est pas une certitude! Dès lors, une première
étape au contrôle de votre anxiété est l’identification de vos craintes et leur
évaluation, puisque les faits ne les justifient pas toujours. En effet, si vous êtes bien
préparé ou préparée, pourquoi être certain d’échouer? À ce sujet, vous pouvez
également consulter le texte Stress, anxiété et perceptions.
TENTEZ D’IDENTIFIER VOS CRAINTES AU SUJET DE L’EXAMEN À VENIR
Qu’est-ce que vous craignez concernant l’examen? Essayez d’écrire sur une feuille
les doutes que vous avez à l’esprit concernant l’évaluation. Cet exercice vous
permettra de prendre plus facilement du recul par rapport à vos doutes.

REVENEZ SUR VOS COMPÉTENCES AVANT L’EXAMEN


Quelle est votre préparation pour l’examen? S’il n’y en a aucune, c’est normal de
vivre un degré élevé d’anxiété… si vos études vous tiennent à coeur! Cependant, si
vous avez consacré du temps à une bonne préparation, il vaudrait la peine de le
considérer avant de trop craindre l’examen. Prenez vos notes de cours ou un autre
document dans lequel sont résumées la majorité des notions (ex.: plan de cours

Sommaire

détaillé). Testez votre compréhension et votre mémorisation par un survol des


différentes informations. Si vous maîtrisez la grande majorité des notions, est-ce
certain que l’examen va mal se passer? Avant de trop douter de vos moyens,
analysez votre compétence à partir de faits réels.

«J’AI BIEN ÉTUDIÉ, MAIS J’AI DÉJÀ EU DES RÉSULTATS INSATISFAISANTS


MALGRÉ UNE BONNE ÉTUDE…»
La plupart des examens évaluent ce que vous avez appris lors du cours. Si vous
maîtrisez la matière, vous avez de bonnes chances de réussir. Il peut cependant
survenir des contre-performances malgré un temps de préparation suffisant.
Habituellement, il y a des raisons aux contre-performances: bonne compréhension
mais manque de mémorisation, bonne mémorisation mais incompréhension, panique
lors des examens, étude de dernière minute, lacunes dans les pré-requis au cours,
etc. Analysez les raisons possibles des moins bons résultats et tentez d’y remédier.
Cela est plus efficace que d’être très inquiet ou inquiète, sans agir.
QUOI FAIRE LA VEILLE DE L’EXAMEN
Si vous maîtrisez la matière, vous pouvez faire une courte révision des notions et
vous reposez. Vous aurez besoin de votre énergie lors de l’examen et il est peu
efficace de vous acharner à étudier des notions connues. Si vous êtes en retard, il
n’y a pas d’autre moyen que de jouer le tout pour le tout. Évitez cependant les nuits
blanches, car si vous manquez de préparation, vous aurez besoin de toute votre tête.

CONTRÔLEZ VOTRE ANXIÉTÉ PENDANT L’EXAMEN


L’anxiété peut survenir à différents moments lorsque vous passez un examen: dès le
départ, à la rencontre d’une question difficile ou vers la fin, alors que le temps file.
Dans tous les cas, votre attention se détourne de l’examen et de la matière pour se
fixer sur des craintes, des anticipations, sur un mode de pensée moins constructif.
C’est ce détournement de l’attention additionné à l’activation physiologique de
l’anxiété qui provoque les trous de mémoire et la difficulté à bien réfléchir. Que faire
si l’anxiété augmente et vient nuire à votre efficacité lors de l’examen?

COMMENCEZ PAR LES QUESTIONS PLUS FACILES


Cela permet de réchauffer votre esprit et de prendre confiance.

ARRÊTEZ LE TRAVAIL ET RESPIREZ DOUCEMENT PENDANT QUELQUES


SECONDES
Lorsque l’anxiété monte, le manque de concentration qui en découle peut créer des
erreurs d’inattention. Il préférable faire une pause de 20 à 30 secondes et de bien
respirer afin de laisser baisser la tension.

REDIRIGEZ VOTRE ESPRIT SUR LA MATIÈRE


Lorsque vous vivez beaucoup d’anxiété, votre attention n’est plus dirigée sur la
matière mais sur des pensées négatives. Tentez de rediriger votre attention sur les
notions étudiées en l’évoquant de façon plus large vers le plus précis. Par exemple,
si vous vivez un degré d’anxiété qui nuit à votre concentration, respirez quelques

Sommaire

secondes et tentez de vous rappelez ce que vous avez vu dans le cours de façon
générale: Quel était le sujet du cours? Qu’est-ce que vous avez vu dans les autres
chapitres? Quelles sont les autres notions du chapitre visé dans la question?
Souvenez-vous d’autres exercices que vous avez faits dans le cours, même s’ils
n’ont pas de lien avec la question. Cette façon de faire vous permettra de rediriger
plus facilement votre attention vers la matière, ce qui fera diminuer votre anxiété et
vous permettra de profiter davantage de votre préparation.

VOTRE MANDAT POUR L’EXAMEN: RÉFLÉCHIR À LA MATIÈRE


Plusieurs personnes anxieuses lors des examens prévoient des catastrophes dès
que la réponse à une question ne leur est pas évidente à la première lecture. Les
notions étudiées sont complexes et nombreuses, il est donc normal de ne pas
toujours connaître la réponse dès la première lecture. Prenez le temps de réfléchir
correctement, c’est votre tâche à l’examen et c’est normal.
POUR LES QUESTIONS À DÉVELOPPEMENT

o Lisez bien la question et soulignez les mots-clés. Y a-t-il plus d’une question dans ce
qui est demandé? Prenez le temps de comprendre les éléments descriptifs de la
question (ex.: comparez, énumérez, expliquez).
o Inscrivez dans la marge ou sur une feuille brouillon ce qui vous vient à l’esprit lors de
la première lecture.
o Faites un plan de vos idées et organisez-les logiquement avant d’écrire la réponse,
cela diminuera la confusion dans les textes.
o Vous pouvez paraphraser la question en guise d’introduction de la réponse si cela est
pertinent. Par exemple, à la question «Quels sont les recours de Jean-Paul? », vous
pourriez commencez par «Les recours de Jean-Paul sont…» pour poursuivre avec
vos justifications.
o Faites des phrases courtes et rédigez lorsque vous avez bien en tête la structure de
votre réponse.
o Si vous manquez de temps, inscrivez les idées contenues dans votre plan. Vous
pourriez en retirer quelques points malgré tout.

POUR LES QUESTIONS À CHOIX MULTIPLES…

o Récitez la réponse avant de regarder les choix. Vous serez moins influencé ou
influencée par une série de fausses hypothèses.
o Si vous hésitez entre deux énoncés, tentez de trouver les arguments qui prouvent la
fausseté de chacun d’eux. Il est souvent plus éclairant de trouver quel énoncé
semble le plus faux que de tenter d’identifier celui qui est le plus vraisemblable…
o Ne vous fiez pas aux patrons de réponses ; tout est possible (ex.: huit «c» de suite).

PRÉVOYEZ LE COUP…
Avant l’examen, pensez aux stratégies à utiliser si jamais vous devenez anxieuse ou
anxieux. Cela vous permettra de réagir plus rapidement et de garder votre calme.
Lors de l’examen, les dés sont jetés ; il s’agit donc de réfléchir du mieux que vous
pouvez à la matière.
QUESTIONS À VOUS POSER APRÈS UN EXAMEN
Afin d’améliorer votre performance lors d’un examen futur, il peut être utile de
consulter l’examen, si cela est possible, et de vous poser les questions suivantes:

 Ai-je bien utilisé mon temps?


 Y avait-il des questions auxquelles je ne m’attendais vraiment pas ? Pourquoi?
 Comment pourrais-je mieux prévoir le prochain examen?
 Quelle était la partie d’examen la plus difficile? Pourquoi?
 Est-ce que les questions étaient basées davantage sur les notes de cours ou sur les
lectures d’accompagnement?
 Est-ce que j’ai manqué de mémorisation?
 Quel était mon niveau de stress, d’anxiété?
 Quel était le style de question: mémorisation, compréhension, application?
 Les réponses demandaient-elles une récitation exacte des notions vues?

Bon succès dans vos examens!

Lien > https://www.annuaire-hypnotherapie.com/preparer-et-reussir-un-examen-


avec-l-hypnose

IL EST TOUT À FAIT POSSIBLE DE FACILITER LA PRÉPARATION A


UN EXAMEN AVEC L’AIDE DE L’HYPNOSE.
Il est parfaitement normal de se sentir anxieux avant un examen. En demandant autour
de vous, vous pourrez vous rendre compte que vous n’êtes pas seul. Il est tout à banal
de stresser et en fait, une petite quantité de stress est utile pour obtenir un regain de
motivation à atteindre ses objectifs.
Mais certains étudiants ont tendance à se mettre beaucoup trop de pression, et ne
se rendent pas compte des symptômes qu’ils éprouvent comme leur état d’anxiété.
Celui-ci peut représenter un sérieux frein à leur apprentissage et jouer sur leur
alimentation par exemple, ou sur la qualité de leur sommeil.

Un phénomène assez peu connu entre parfois en jeu, c’est le syndrome de


l’imposteur. Malgré leurs succès, la personne atteinte du syndrome de l’imposteur est
persuadée que sa réussite résulte d’un concours de circonstances, ou parce que son
entourage est indulgent, ou seulement parce qu’il est un bourreau de travail. Dans tous
les cas, il reste convaincu que ses connaissances et ses facultés intellectuelles
pourraient en être l’origine. Il craint par-dessus tout de se faire démasquer par son
entourage, ses paires ou son professeur qui voyaient en lui un être intelligent.

Avec de telles croyances, il devient inévitable que les personnes finissent par créer
des situations qui valident leurs sentiments, c’est le travail de l’inconscient.

Ce syndrome est fréquent chez les personnes ayant des facultés intellectuelles au-
dessus de la moyenne, comme Albert Einstein par exemple, qui en souffrait
également.

La bonne nouvelle, c’est que l’hypnose est un outil formidable pour vous aider à gérer
vos niveaux de stress. En premier lieu, l’hypnose pourra agir sur les causes extérieures
qui peuvent vous empêcher de vous concentrer.
Voici quelques exemples :
 Améliorer la qualité de votre sommeil
 Traiter les mauvaises habitudes alimentaires
 Réduire les niveaux de stress et d’anxiété

L’Hypnothérapie est un état de profonde relaxation qui va vous aider à vous


concentrer et à construire chez vous une confiance au service de votre projet.
Vous serez moins distrait, focalisé sur votre objectif en mobilisant toutes vos facultés.
Cela aura une incidence déterminante dans la façon dont vous allez vous sentir et dont
vous appréhender vos examens, car vous serez plus détenu, un meilleur sommeil, une
meilleure mémoire et vous aurez à votre disposition des outils comme l’auto hypnose
pour vous accompagner au quotidien.

La durée du travail en hypnose pour réussir la préparation d'un examen variera


d’un patient à l’autre, mais quelques séances suffiront pour venir à bout de ce
trouble. Si vous avez des questions à ce sujet ou si vous souhaitez prendre rendez-
vous, n’hésitez pas à discuter directement avec les praticiens que nous conseillons sur
notre plateforme.
Des articles qui pourraient vous intéresser :

 Comment trouver un professionnel de l’hypnose ?


 Comment se déroule une séance d'hypnose
 Qu'est-ce que l'hypnose peut soigner ?
 Prix et durée d'une séance d'hypnose

S-ar putea să vă placă și