Sunteți pe pagina 1din 8

Terminale S Chimie – Chapitre 9 : Les transformations forcées – Page 1 sur 8

Chap 9 : Les transformations forcées – Exercices


Exercice n°2 p255
1. Zn(s) + Br2(aq) = Zn2+(aq) + 2 Br–(aq)
2. a. Le courant circule de l’électrode de zinc vers l’électrode de cuivre. Par conséquent les électrons arrivent à
l’électrode de zinc. Ainsi les électrons sont captés par un oxydant, qui est réduit : c’est une réduction :
Zn2+ + 2 e– = Zn(s).
b. À l’électrode de graphite, il s’agit donc d’une oxydation. Le jaunissement témoigne de l’apparition de l’espèce
chimique Br2 : 2 Br– = Br2(aq) + 2 e–
c. Ainsi l’équation de la réaction chimique modélisant la transformation globale est : Zn2+ + 2 Br– = Zn(s) + Br2(aq).
Il s’agit de la réaction inverse de celle envisagée à la question 1. Sa constante d’équilibre est donc l’inverse de la
précédente : K’ = 1/K = 4,2.10–63. La réaction de la transformation d’électrolyse est donc spontanément très limitée
et ne peut s’effectuer que par apport extérieur d’énergie, grâce à un générateur électrique en l’occurrence.
Exercice n°6 p256
1. A l’anode, il s’agit d’une réaction d’oxydation. Ainsi les réducteurs présents sont susceptibles de se transformer en
leur oxydant conjugué.
Cu(s) = Cuaq + 2 e


2 SO2– 2–
aq = SOaq + 2 e
2 H2O(l) = O2(g) + 4 e– + 4 Haq
2. A la cathode, il s’agit d’une réaction de réduction. Ainsi les oxydants présents sont susceptibles de se transformer en
leur réducteur conjugué.
 –
SO2–
aq + 4 Haq + 2 e = SO2(g) + 2 H2O(l)
2 Haq + 2 e– = H2(g)
3. La réaction qui a lieu à la cathode est 2 H+(aq) + 2 e– = H2(g)
La réaction qui a lieu à l’anode est Cu(s) = Cu –
aq + 2 e .
Ainsi la réaction globale de fonctionnement de cette électrolyseur est : Cu(s) + 2 H+(aq) = Cu
aq + H2(g)
Exercice n°8 p256
1. À l’anode a lieu, par définition, une oxydation. Un réducteur présent dans le milieu se transforme donc en son oxydant
conjugué. Le dihydrogène et le manganèse métal ne sont pas présents initialement. En revanche l’eau et les ions
sulfate sont présent. On peut donc envisager à l’anode les deux réactions dont les demi-équations sont :
 2 H2O(l) = O2(g) + 4 e– + 4 Haq

 2 SO2– 2–
aq = SOaq + 2 e
2. À la cathode a lieu, par définition, une réaction de réduction. Un oxydant présent dans le milieu se transforme donc en
son réducteur conjugué. Le dioxygène et les ions peroxodisulfate ne sont pas initialement présents. En revanche les
ions hydrogène Haq et les ions manganèse Mn aq sont présents. On peut donc envisager à la cathode les réactions :
 2 Haq + 2 e– = H2(g)
 Mn –
aq + 2 e = Mn(s).
3. L’énoncé signale qu’à l’anode on observe un dépôt métallique. Ceci est impossible. En effet les métaux sont
électropositifs et ont donc tendance à céder des électrons : ce sont des réducteurs. Leur oxydant conjugué est un cation
métallique et non un métal… Il faut donc inverser les termes anode et cathode et lire :
« En fait, dans les conditions de l’électrolyse, on observe un dépôt métallique accompagné d’un dégagement gazeux à
la cathode et un dégagement gazeux à l’anode. »
Ainsi les réactions se produisant à la cathode sont les deux réactions envisagées à la question 2.
La seule réaction se produisant à l’anode est la réaction d’oxydation de l’eau : 2 H2O(l) = O2(g) + 4 e– + 4 Haq.
A la cathode il se produit deux réactions en compétition :
2 Haq + 2 e– = H2(g) et Mn –
aq + 2 e = Mn(s)
Il n’est donc pas possible de déduire de la quantité d’électricité ayant circulé la masse de manganèse formé. En effet à
la cathode : n(e–) = 2.nformé(H2) + 2.nformé(Mn(s)). Il faut donc également connaître la quantité de matière de dihydrogène
gazeux formé à la cathode, par exemple par mesure de son volume !
Terminale S Chimie – Chapitre 9 : Les transformations forcées – Page 2 sur 8
Exercice n°9 p256
1. a. À la cathode (réduction) : Cu –
aq + 2 e = Cu(s) À l’anode (oxydation) : Cu(s) = Cu
aq + 2 e

b. À l’anode le cuivre métal se transforme en ion Cu aq et est donc solvaté : il passe en solution. La quantité de
matière de cuivre métallique diminue : on parle d’anode soluble !
2. Par définition Q = I.t. Ainsi Q = 311.10–3×(30×60) = 5,6.102 C.
3. a. m(Cu)anode = – 0,18 g. et m(Cu)cathode = 0,19 g
Quantité de cuivre consommée à l’anode : ncons(Cu) = – n(Cu) = – mCuanode = , = 2,8.10–3 mol.
MCu ,
Quantité de cuivre formée à la cathode : nformé(Cu) = n(Cu) = mCu cathode
= , = 3,0.10–3 mol.
MCu ,
b. Si n est la valeur moyenne des deux valeurs obtenues précédemment : n = 2,9.10–3 mol.
La quantité de matière d’électrons échangée au cours de l’électrolyse est, d’après les équations aux électrodes :
n(e–) = 2.n
Q
Ainsi Q = I.t = n(e–).F conduit à F = = 9,65.104 C.mol–1.
.n
Exercice n°10 p256
1. Affirmation a. vraie et b. fausse : l’électrolyse est une transformation forcée au cours de laquelle le quotient de
réaction Qr s’éloigne de la constante d’équilibre K. Elle s’effectue grâce à un apport extérieur d’énergie de sorte que le
quotient de réaction Qr de la réaction modélisant la transformation chimique s’éloigne de la constante d’équilibre K.
Dans le cas de l’électrolyse c’est un générateur qui constitue la source d’énergie.
2. Affirmation a. fausse, b. vraie et c. fausse : La rondelle métallique se recouvre de cuivre métal. Si la réaction est
unique, seule l’affirmation b. permet d’obtenir du cuivre métal.
3. Affirmation a. fausse et b. vraie : Les électrons doivent arriver à la rondelle métallique pour que la réaction citée à la
question précédente puisse s’effectuer. Il faut donc que la rondelle soit reliée au pôle négatif du générateur : le
générateur fournit des électrons à la rondelle.
4. Affirmation a. fausse et b. vraie : Sur le flan s’effectue une réaction de réduCtion : il s’agit donc de la cathode !
5. Affirmation a. vraie et b. fausse et c. fausse : À la cathode les ions cuivre II sont consommés. Il faut donc qu’ils
soient fournis à l’anode. L’anode sera donc une anode soluble ! Un ajout d’eau pure est équivalent à une dilution et
aurait pour effet de diminuer encore plus la concentration.
Exercice n°11 p257
1. Étude de l’électrolyse
a. La réaction qui a lieu dans l’électrolyseur n’est pas une réaction spontanée : c’est une réaction forcée. En effet elle
nécessite un apport extérieur d’énergie pour s’effectuer. Par ailleurs l’expérience quotidienne montre que l’eau ne
se décompose pas spontanément en dihydrogène et dioxygène… !
b. 2 Haq + 2 e– = H2(g) (1)
c. La réaction (1) écrite à la question 1.b. est une réduCtion : l’électrode siège d’une réduCtion est par définition une
Cathode.
d. Cette électrode est branchée au pôle négatif du générateur : en effet elle nécessite un apport extérieur d’électrons
pour s’effectuer. C’est le pôle négatif du générateur qui fournit les électrons.
2. Intensité du courant dans l’électrolyseur
a. Lorsque la réaction (1), s’effectue x mol de fois, il est produit x mol de dihydrogène : n(H2(g)) = x.
b. D’après l’équation de la réaction (1), lorsque la réaction s’effectue x mol de fois, il est échangé 2.x mol d’électrons.
ne = 2.x
c. Par définition la charge électrique Q correspond à la charge électrique transportée par la quantité de matière ne
d’électrons échangé entre les électrodes : Q = ne.F = 2.x.F.
.nH.F
d. Q = 2.x.F = I.(t – t0) et x = n(H2) donc I =
t – t
.VH .F
e. Par définition n(H2) = VH, donc I = , avec Vm = 25.10–3 m3.mol–1 et t – t0 = 1 h = 3600 s.
Vm Vm.t – t

A.N. : I = ××,. = 10,7 kA soit de l’ordre de 11 kA.
.–×
Exercice n°12 p257 À faire sans calculatrice !
I. Électrolyse d’une solution aqueuse de chlorure de sodium au laboratoire

1. Les couples oxydant / réducteur mis en jeu sont :H2O(l) / H2(g) et Cl2(g) / Claq.

2. L’espèce chimique oxydée est l’ion chlorure Claq, puisqu’il se transforme en son oxydant conjugué Cl2(g).
Terminale S Chimie – Chapitre 9 : Les transformations forcées – Page 3 sur 8
3. La demi-équation modélisant l’oxydation des ions chlorure est : 2 Cl–aq = Cl2(g) + 2 e–. Au cours de cette
transformation des électrons sont produits à l’anode et partent vers le pôle positif du générateur qui les attire.
D’après le schéma l’électrode reliée au pôle positif est l’électrode B : c’est à l’électrode B que se produit l’oxydation.
Le gaz produit à cette électrode est donc du dichlore.
II. Étude d’un électrolyseur de piscine
1. a. tableau d’avancement :

équation de la réaction 2 H2O(l) + 2 Claq = H2(g) + Cl2(g) + 2 HO–aq Quantité (mol)
état du d’électrons
avancement n(H2O(l)) n(Cl–aq) n(H2(g)) n(Cl2(g)) n(HO–aq) échangés
système
état initial 0 excès n(Cl–aq)i    
état
x excès n(Cl–aq)i  .x x x .x 2.x
intermédiaire
état final xf excès n(Cl–aq)i  xf xf xf .xf .xf

b. D’après le tableau d’avancement : n(e ) = 2.x et n1(Cl2) = x.
Ainsi : n(e–) = 2.n1(Cl2).
2. D’après l’équation de la réaction (2) : nformée(ClO–aq) = nconsommée(Cl2(g)).

Ainsi : n(ClOaq) = n2(Cl2(g)).
3. La réaction (2) étant totale et rapide, elle transforme tout le dichlore formé au cours de la réaction (1) en ion
ne–
hypochlorite. Ainsi : n2(Cl2(g)) = n1(Cl2(g)) = = n(ClO–aq).

4. La quantité d’électricité circulant dans le circuit pendant la durée t est Q = I.t. Elle est égale à la charge ayant
circulé pendant le temps t et donc Q = n(e–).F = n(e–).NA.e.

Ainsi n(e–).NA.e = I.t. Par conséquent n(ClOaq –
) = ne  = I.t .
 .NA.e

A.N. : Pour I = 20 A et t = 1 h = 3600 s : n(ClOaq –
) = × = × = ,. = 0,36 mol.
×,. ×,. ,.
Exercice n°13 p255 À faire sans calculatrice !
1. En fonctionnement générateur, la borne positive est la borne d’où part le courant et où arrive les électrons. Les
électrons sont « consommés » du côté de l’électrode de nickel : c’est l’électrode positive.
2. a. Les couples oxydant / réducteur mis en jeu sont : NiO(OH) / Ni(OH)2 et Cd(OH)2 / Cd.
b. L’équation de fonctionnement du générateur est : Cd(s) + 2 NiO(OH)(s) + 2 H2O(l) = Cd(OH)2(s) + 2 Ni(OH)2(s)
3. Le rôle du nickel est d’assurer le déplacement des électrons.
4. a. Pour recharger cet accumulateur, il faut le brancher en opposition. C’est-à-dire placer un générateur extérieur à la
borne + de l’accumulateur (en fonctionnement générateur).
En effet en fonctionnement générateur la borne + attire les électrons pour se rapprocher d’un état d’équilibre
(évolution spontanée). Il faut donc pour le recharger le faire évoluer en sens inverse.
Pour cela il est nécessaire que le générateur extérieur attire les électrons en provenance de cette électrode pour la
recharger « positivement » !
b. Au cours de la charge la réaction modélisant la transformation chimique au sein de l’accumulateur est l’inverse de
celle existant lorsque l’accumulateur fonctionne en générateur. Ainsi :
Cd(OH)2(s) + 2 Ni(OH)2(s) = Cd(s) + 2 NiO(OH)(s) + 2 H2O(l)
Exercice n°14 p255 I
1. A la surface du glassmaster la réaction de
réduction du Nickel doit s’effectuer. En effet,
un dépôt de nickel doit se faire pour créer la
matrice. Par conséquent la réaction est :
Ni2+ + 2 e– = Ni(s).
Le pôle négatif du générateur est donc relié au
glassmaster.
Cette réaction nécessite un apport d’électrons
pour s’effectuer. Il faut donc que les électrons
se déplacent vers le glassmaster. Le courant
électrique circule donc en sens inverse.
2. Le glassmaster représente donc la Cathode
puisqu’il s’y déroule une réduCtion : Ni2+ + 2 e– = Ni(s).
Terminale S Chimie – Chapitre 9 : Les transformations forcées – Page 4 sur 8
L’électrode de nickel est une Anode (« soluble ») puisqu’il s’y déroule une oxydAtion : Ni(s) = Ni2+ + 2 e–
3. a. La masse de nickel déposé est : est : m(Ni) = (Ni).V(Ni).
Or V(Ni) = S.e où S représente la surface du disque de nickel est e l’épaisseur de nickel obtenu.
d
La surface d’un disque de rayon R est S = .R2 = .( )2

Ainsi m(Ni) = (Ni)..(d)2.e

A.N. : m(Ni) = 8,90×.(,) ×0,305.10–1 avec d et e en cm puisque la masse volumique est exprimée en g.cm–3.
2


m(Ni) = 113 g.
. Ainsi : n(Ni) =  = 1,93 mol.
mNi
b. Par définition : n(Ni) =
MNi ,

4. Par définition : Q = I.t = n(e ).NA.e
ne–.NA.e ne–
Ainsi I = . La demi-équation à la cathode permet de déduire que = n(Ni) donc n(e–) = 2.n(Ni).
t 
Ainsi : I = .nNi.NA.e
t
 –
A.N. : I = ×,×,. ×,. = 51,6 A.
×
Exercice n°16 p259
I. Électrolyse d’une solution de nitrate de plomb
1. La réaction qui se produit à la Cathode est une réduCtion. Pour effectuer une réduction, la demi-équation modélisant
une réaction de réduction est : Ox + n e– = Red.
Cette réaction étant forcée, il faut apporter des électrons à la cathode : elle est reliée à la borne négative du générateur
(borne qui fournit des électrons !).
2. Un dépôt se produit à l’électrode de plomb. Il ne peut s’agir que d’un dépôt de plomb puisque c’est le seul solide
apparaissant dans les couples oxydant / réducteur. L’équation de la réaction est donc : Pb –
aq + 2 e = Pb(s).
L’électrode de plomb joue le rôle de Cathode (réaction de réduCtion)
L’électrode de graphite est donc l’anode. Il s’y effectue une réaction d’oxydation et donc, le gaz apparaissant à cette
électrode est l’oxydant dans le couple auquel il appartient. Il s’agit donc du dioxygène O2(g). La réaction modélisant la
transformation qui a lieu à l’électrode de graphite est donc : 2 H2O(l) = O2(g) + 4 e– + 4 Haq
3. La transformation globale est modélisable par la réaction d’équation : 2 H2O(l) + 2 Pb 
aq = O2(g) + 4 Haq + 2 Pb(s).
ne– mPb
4. a. D’après l’équation de la réaction à la cathode : = n(Pb), donc n(e–) = 2.n(Pb) = 2. .
 MPb
mPb
Or Q = n(e–).F, donc Q = 2. .F.
MPb
A.N. : Q = 2× , ×9,65.104 = 2,0.103 C.
,
b. Le volume de gaz recueilli est V(O2) = n(O2).Vm.

D’après l’équation de la réaction à l’anode : ne  = n(O2). Donc n(O2) = . mPb = mPb
  MPb .MPb
Ainsi V(O2) = mPb .Vm.
.MPb
A.N. : V(O2) = , ×25 = 0,13 L.
×,
c. Par définition Q = I.t, donc t = Q = 2. mPb .F
I MPb I

A.N. : t = 2× , ×,. = 9,8.103 s = 2,7 h (soit de l’ordre de 2 h 45 min).
, ,
II. Accumulateur au plomb
1. a. À l’électrode de plomb : Pb(s) = Pb –
aq + 2 e .
À l’électrode de plomb recouverte d’un dépôt de dioxyde de plomb : PbO2(s) + 4 Haq + 2 e– = Pb
aq + 2 H2O(l).
Équation de la réaction traduisant le fonctionnement de l’accumulateur en générateur :
PbO2(s) + 4 Haq + Pb(s) = 2 Pb
aq + 2 H2O(l).
Terminale S Chimie – Chapitre 9 : Les transformations forcées – Page 5 sur 8
b. PbO2(s) + 4 Haq + 2 SO2–
aq + Pb(s) = 2 PbSO4(s) + 2 H2O(l).
2. a. Pour recharger l’accumulateur il faut brancher un générateur extérieur en opposition. Par conséquent l’électrode de
plomb étant la borne négative (elle fournit des électrons en fonctionnement générateur) doit être reliée au pôle
négatif du générateur extérieur (Ainsi elle pourra « accumuler » des électrons et donc se « charger » pendant la
transformation forcée). L’électrode recouverte de dioxyde de plomb doit donc être reliée au pôle positif du
générateur extérieur.
b. Au cours de la charge de l’accumulateur la transformation est l’inverse de celle qui se produit au cours de sa
décharge spontanée. L’équation modélisant la réaction de charge est donc :
2 PbSO4(s) + 2 H2O(l) = PbO2(s) + 4 Haq + 2 SO2–
aq + Pb(s)
c. La quantité d’électricité minimale qui doit circuler pour recharger complètement l’accumulateur est égale à la
capacité Q de l’accumulateur : Q = 400 kC. (Cette quantité d’électricité est minimale car elle suppose que la
résistance interne de l’accumulateur est nulle…).
d. La question I.4.a. a montré que Q = 2. mPb .F. lors de la décharge de l’accumulateur. Cette relation reste valable
MPb
lors de la charge puisque dans un cas m(Pb) représente la masse consommée et dans l’autre cas la masse déposée !
Ainsi m(Pb) = Q.MPb.
.F

L’augmentation de masse de l’électrode de plomb est donc : m(Pb) = . ×, = 429 g !
×,.
Sujets BAC : Pile cuivre – aluminium : Antilles, Guyane, juin 2004 – page 261
Pont salin
Al Cu

Al3+ Cu2+
1.
2. Le courant circule de la plaque de cuivre vers la plaque d’aluminium. Conventionnellement le sens du courant est du
pôle + vers le pôle – de la pile : la plaque de cuivre est donc l’électrode positive et la plaque d’aluminium l’électrode
négative !
3. À l’électrode de cuivre : Cu –
aq + 2 e = Cu(s). On vérifie bien que cette électrode est positive puisqu’elle attire les
électrons en fonctionnement générateur !
À l’électrode d’aluminium : Al(s) = Al –
aq + 3 e . Cette électrode est bien négative puisqu’en fonctionnement générateur
c’est une source d’électrons.
[Al  
aq] . [Al
aq]

, =  = 2,0.
4. 4.1. Qr,i = = =
  
[Cuaq] . [Cuaq]
 , ,
4.2. Qr,i < K. le système évolue donc spontanément dans le sens direct de la réaction dont l’équation est donnée à la
question 3. : le sens d’évolution est cohérent !
5. 5.1. [Cu   –3 –3 –2
aq] = C, donc n(Cuaq) = [Cuaq].V = 0,50×50.10 = 25.10 mol = 2,5.10 mol
[Al   –3 –3
aq] = C, donc n(Alaq) = [Alaq].V = 0,50×50.10 = 25.10 mol = 2,5.10 mol
–2

n(Al(s)) = mAls = , = 3,7.10–2 mol et n(Cu(s)) = mCus = , = 1,4.10–1 mol
MAl , MCu ,
équation de la réaction 3 Cu
aq + 2 Al(s) = 2 Al
aq + 3 Cu(s)
Avancement
état du système n(Cu) n(Al) n(Al) n(Cu)
(mol)
état initial 0 2,5.10–2 3,7.10–2 2,5.10–2 1,4.10–1

état intermédiaire x 2,5.10–2  x 3,7.10–2  x 2,5.10–2  x 1,4.10–1  x

état final xmax  0 2,0.10–2 4,2.10–2 1,65.10–1


Terminale S Chimie – Chapitre 9 : Les transformations forcées – Page 6 sur 8
La constante d’équilibre de cette réaction est K = 1020 >> 104. La réaction peut donc être considérée comme
totale. Ainsi, si les proportions ne sont pas stœchiométriques, l’un des réactifs limite la réaction :
Une quantité de matière est toujours positive, ou nulle :
 ,.– – .x    .x  ,.–  x  ,.–
 –  –   –.
 ,. – .x    .x  ,.  x  ,.
Les deux inéquations ci-dessus restent simultanément vraie si x  8,3.10–3 mol et donc xmax = 8,3.10–3 mol
5.2. Le réactif limitant est donc l’ion cuivre Cu –3
aq et l’avancement maximal vaut : xmax = 8,3.10 mol.
5.3. Qmax = nmax(e–).F.
La réaction Cu – nmaxe– = n (Cu ) ou n (e–) = 2.n (Cu )
aq + 2 e = Cu(s) limite la transformation. Donc i aq max i aq

Par conséquent : avec Qmax = 2.ni(Cu aq).F
–2
A.N. : Qmax = 2×2,5.10 ×9,65.10 = 4,8.103 C.
4

Sujets BAC : QROC : à propos de l’énergie : Asie, juin 2003 – page 261
.[Cu
1. 1.1.a. Qr,i = aq]
= , = 50. Nous remarquons que Qr,i << K, donc la réaction évolue spontanément dans le
[Agaq] . ,
 

sens direct ! La réponse 1.1.a. est vraie


1.1.b.Réponse fausse car la réaction évolue en sens direct.
1.1.c.Réponse fausse car Qr,i = 50.
1.1.b.Réponse fausse car Qr,i = 50 et la réaction évolue en sens direct.
1.2.a.Lorsque cette pile fonctionne, son quotient de réaction se rapproche spontanément de K : il augmente donc,
d’après le critère d’évolution spontanée. Réponse vraie.
1.2.b. Réponse fausse puisque Qr augmente spontanément pour se rapprocher de sa valeur à l’équilibre.
1.2.c. Réponse fausse puisque si Qr ne varie pas cela signifie que l’on est soit à l’équilibre, ce qui n’est pas le cas,
soit que le système chimique est cinétiquement bloqué… Ce qui n’est pas envisageable si l’on a fabriqué une
pile !
1.3.a. L’électrode d’argent attire les électrons (Agaq + e– = Ag(s)). Elle constitue donc le pôle positif de la pile :
réponse fausse.
1.3.b. Par conséquent le pôle négatif est l’électrode de cuivre : cette électrode fournit des électrons comme le montre
la demi-équation de la réaction modélisant la transformation à cette électrode : Cu(s) = Cu –
aq + 2 e . Réponse
vraie.
2. 2.1. Qmax = I.tmax, donc Wmax = Qmax.E = E.I.tmax = 2,0×320.10–3×10×3600 = 23,0.103 J = 23,0 kJ.
a. Cette réponse est fausse car elle est différente de 23,0 kJ.
b. Cette réponse est fausse car elle est différente de 23,0 kJ.
c. Cette réponse est vraie car elle est égale à 23,0 kJ = 2,30.104 J.
–
2.2. Qmax = n(e–).F = I.t, donc n(e–) = I.t = . ×× = 0,12 mol.
F ,.
a. Cette réponse est vraie car elle est égale au calcul effectué précédemment. Les autres réponses sont
différentes et sont donc toutes deux fausses.
Sujets BAC : Réalisation d’une pile : France, juin 2003 – page 261
K

Pont salin
Zn Cu

Zn2+ + SO2–
aq Cu2+ + SO2–
aq
1.
.[Zn
2. Qr,i = aq]
= , = 1. Qr,i << K : le système évolue donc spontanément dans le sens direct.
[Cu
aq].
,
Terminale S Chimie – Chapitre 9 : Les transformations forcées – Page 7 sur 8
3. À l’électrode de cuivre : Cu –
aq + 2 e = Cu(s).
À l’électrode de zinc : Zn(s) = Zn
aq + 2 e

4. L’électrode de cuivre attire les électrons. Par conséquent cette électrode est positive. L’électrode de zinc est une
source d’électrons puisqu’elle en produit : c’est l’électrode négative.
5. On suppose que le métal zinc ne constitue pas le réactif limitant puisqu’aucune information sur sa masse n’est fournie.
Le réactif limitant est donc l’ion cuivre II. Ainsi à la cathode Cu + 2 e –
= Cu . Par conséquent :ne– = n(Cu ) et
aq (s) aq

donc la quantité maximale d’électrons échangés est nmax(e–) = 2.ni(Cu aq).
Par définition : Qmax = 2.ni(Cu
aq).F = 2.C2.V.F.
A.N. : Qmax = 2×0,10×100.10–3×9,65.104 = 1,9.103 C.
Sujets BAC : Dihydrogène : pile à combustible et électrolyse : Nouvelle-Calédonie, 2005 – page 262
1. Principe de fonctionnement d’une cellule élémentaire
1.1. Le dihydrogène est le réducteur (la demi-équation montre qu’il est réducteur puisqu’il cède des électrons). Le
dioxygène est donc l’oxydant (ce qui est confirmé par la demi-équation : O2(g) capte des électrons).
1.2. Lors de la combustion d’un carburant classique du dioxyde de carbone (et de l’eau) est rejeté. Il s’agit d’un gaz à
effet de serre, qui participe au phénomène de réchauffement climatique. Par ailleurs des gaz toxiques (oxydes
d’azote, de soufre, etc…) sont également rejetés. Ils sont directement responsables de maladies respiratoires.
À l’inverse une pile à combustible ne rejette que de l’eau !
1.3. La Cathode est l’électrode où se produit une réduCtion. La réaction où le dioxygène est consommé est une réduction
puisque l’oxydant O2 se transforme en son réducteur conjugué H2O. L’électrode 1 est donc la cathode.
1.4. Les électrons sont produits par la réaction d’oxydation de H2 en H+, donc par l’électrode 2 et consommés par la
réaction se produisant à l’électrode 1. Par conséquent les électrons circulent de l’électrode 2 vers l’électrode 1, à
travers la résistance.
Le pôle négatif de la pile est l’électrode 2, source d’électrons, le pôle positif est l’électrode 1, qui les consomme.
On vérifie bien que dans la résistance le courant circule du pôle + vers le pôle – de la pile !
1.5. Un catalyseur est une espèce chimique qui n’apparaît pas dans le bilan global de fonctionnement. Cependant il
permet d’accélérer la réaction chimique.
1.6. Par définition Q = I.t = n(e–).F. Ainsi : n(e–) = I.t.
F
ne– I.t ××
A l’électrode 1 : n(O2) = = = = 537 mol.
 .F ×,.
ne– I.t ××,
A l’électrode 2 : n(H2) = = =  = 1,07.103 mol.
 .F ×,.
2. Principe de production du dihydrogène par électrolyse au laboratoire
2.1. a. Na2SO4(s) = 2 Naaq + SO2–aq
b.
Équation de la réaction Na2SO4(s) = 2 Naaq + SO2–
aq
Avancement
État du système Quantités de matière (en mol)
(en mol)
État initial 0 C.V 0 0
État au cours de la
x C.V – x 2.x x
transformation
État final xf C.V – xf 2.xf xf
c. Si la transformation est totale : xf = xmax = C.V
On a alors nf(Naaq) = nmax(Naaq) = 2.xmax = 2.C.V = 2×1,0×0,500 = 1,0 mol.L–1. La quantité de matière finale en
ions sodium est égale à la quantité de matière maximale : la transformation est totale !
[Naaq]f.[SO2–
aq]f .xf)2.xf = 4.(xf)3 = 4.C3 = 4×1,03 = 4,0.
2.2. Qr,f = = [Naaq]f.[SO2–
aq]f = (
 V V V
2.3. a. La réaction qui a lieu à l’Anode est une oxydAtion. Il s’agit donc de la réaction de demi-équation :
2 H2O(l) = O2(g) + 4 e– + 4 Haq
Cette réaction produit des ions oxonium. Par conséquent le milieu, initialement proche de la neutralité, comme le
témoigne la couleur verte du B.B.T., devient de plus en plus acide. Le B.B.T. sera sous sa forme acide et la
solution prendra une teinte jaune.
Terminale S Chimie – Chapitre 9 : Les transformations forcées – Page 8 sur 8
b. La réaction qui a lieu à la Cathode est une réduCtion. Il s’agit donc de la réaction de demi-équation :
2 H2O(l) + 2 e– = H2(g) + 2 HO–aq
Cette réaction produit des ions hydroxyde. Par conséquent le milieu, initialement proche de la neutralité, comme
le témoigne la couleur verte du B.B.T., devient de plus en plus basique. Le B.B.T. sera sous sa forme basique et la
solution prendra une teinte bleue.
c. Lors de l’électrolyse : 6 H2O(l) = O2(g) + 2 H2(g) + 4 Haq + 4 HO–aq. Or Haq + HO–aq = H2O(l)
Donc : 6 H2O(l) = O2(g) + 2 H2(g) + 2 Haq + 4 H2O(l)
et finalement : 2 H2O(l) = O2(g) + 2 H2(g)
2.4. Si l’on mélange le contenu des deux béchers, la quantité de matière d’ion oxonium produit à l’anode et la quantité de
matière d’ions hydroxyde produit à la cathode vont réagir suivant l’équation de la réaction acido-basique écrite à la
question précédente : Haq + HO–aq = H2O(l) (réaction totale puisque K = 1014 ; en effet K =  ).
Ke
Pour un même nombre d’électrons échangés, il est produit autant d’ions oxonium que d’ions hydroxyde. Par
conséquent le milieu final redevient neutre et la solution contenue dans le cristallisoir redevient verte.
N.B. : la dissolution du dioxyde de carbone (espèce acide) entraîne une acidification du milieu final et la solution
contenue dans le cristallisoir peut être en réalité jaune.
Sujets BAC : Pile et électrolyse : Centres étrangers, 2004 – page 263
1. Pile de concentration
1.1. L’électrode de cuivre constituant le pôle positif de la pile attire les électrons. En conséquence la réaction qui se
produit à cette électrode est : Cu –
aq + 2 e = Cu(s). Cette réaction est une réduCtion : c’est la Cathode.
L’électrode de cuivre constituant le pôle négatif de la pile génère des électrons. En conséquence la réaction qui se
produit à cette électrode est : Cu(s) = Cu –
aq + 2 e . Cette réaction est une oxydAtion : c’est la Anode.
1.2. L’équation de fonctionnement de la pile est : Cu 
aq + Cu = Cu + Cuaq
 
[Cuaq]. [Cuaq] ,
1.3. Qr,i = = = = 0,01.
[Cu
aq]. [Cu
aq]

On remarque que Qr,i < K, donc la réaction dont l’équation a été écrite en 1.2. évolue en sens direct, ce qui est donc
cohérente avec la polarité proposée de la pile.
1.4. Sens du courant : du + vers le – de la pile, sens des électrons : inverse de celui du courant.

[Cuaq]éq
1.5. Quand l’équilibre est atteint Qr,éq = K = 1 = 
, donc [Cu 
aq]éq = [Cuaq]éq
[Cuaq]éq
2. Pile de concentration
2.1. Il faut ajouter un générateur de tension continue.
2.2. À l’électrode de cuivre : Cu(s) = Cu
aq + 2 e

À la bague en métal que l’on souhaite recouvrir de cuivre : Cu –


aq + 2 e = Cu(s).
2.3. Les électrons doivent donc circuler de l’électrode de cuivre vers la bague en métal. Le courant doit quant à lui
circuler de la bague en métal vers l’électrode de cuivre.
Des électrons doivent arriver sur la bague en métal : elle doit être reliée au pôle négatif de la pile. L’électrode de
cuivre est donc reliée au pôle positif !
2.4. Par définition : Q = I.t. Donc Q = 400.10–3×3600 = 1,44.103 C.
Q I.t .–×
Par définition : Q = ne.F, donc ne = = = = 14,9 mmol.
F F ,.
2.5. L’équation à la cathode est : Cu –
aq + 2 e = Cu(s). Elle conduit à
ne = n (Cu).
d

La quantité de matière de cuivre déposée à cette électrode est donc : nd(Cu) = , = 7,46 mmol.

La masse de cuivre déposée est donc : md(Cu) = nd(Cu).M(Cu) = 7,46.10–3×63,5 = 0,474 g.

S-ar putea să vă placă și