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Petit histoire de la Côte d’Azur

Le nom de «Côte d’Azur» apparaît à la fin du siècle dernier sous la plume de Stephen Liegeard
pour designer l’extrémité orientale de l’actuelle façade méditerranéenne française.Très vite , le
terme est devenu évocateur de vacances ensoleillées , de retraite heureuse , de congrés et
festivals prestigieux:une réputation azuréenne ne se limite plus à cette image superficielle.

Cette petit région a acquis son originalité avec l’essor,au XI𝑋 𝑒 siécle,du tourisme
aristocratique,qui a fait sentir ses effets de Menton à Cannes , et meme jusqu’à Saint-Raphaël.

Dès le XVII𝐼 𝑒 siècle , des étrangers viennent à Nice ,alors dépendante du roi de Piémont-
Sardaigne.Ce sont des aristocrats anglais ,qui n’hésitent pas à entreprendre un voyage de deux
semaines pour venirsur la Côte d’Azur.Au XI𝑋 𝑒 siécle , le mouvement s’amplifie, gagnant
d’autres stations, comme Cannes ,découverte en 1834 par lord Brougham(fig.3).

Les années, qui ont été decisive pour le sort de cette région , se placent dans la seconde moitié
du siècle.Un ensemble de conditions favorable est réuni. Il se crée un marché pour un tourisme
aristocratique, international,hivernal,de long séjour.Il est soutenu par des vieilles fortunes
nobiliaires et celles,plus nouvelles,qui se fondent sur l’industrialisation naissante.L’amélariation
de routes et la construction des chemins de fer offrent les moyens de communication rapides.Le
rattachement à France du comté de Nice, en 1860,facilite les operations d’équipement.
Partout,des chantiers s’ouvrent.Tandis que de nombreuses routes sont construites notamment
vers l’intérieur,désenclavant ainsi la Montagne,le chemin de fer progresse.

À la veille de la Première Guerre mondiale, près de 200 000 visiteurs viennent l’hiver sur la
Côte.La construction reçoit une vigoureuse impulsion,et déjà, la speculation sur les terrains va
bon train.L’agriculture traditionnelle fait place à la floriculture.La Côte s’habitue à être un parc
de recreation pour les oisifs de ce monde.

Pourtant,après 1918,cette prospérité s’effrite,car l’aristocratie disparaît.Les nouveaux clients sont


des riches bourgeois ou des homes d’affaires ,mais ils dépensent moins follement et font des
séjours moins long.

Heureusement,à partirdes années 20 , la saison d’été est lance. Avec les lois socials de 1936, la
Côte d’Azur passe définitivement au tourisme de masse,estival et de court séjour.La tendance se
confirme après 1945.Malgré la montée de regions concurrentes , la Côte d’Azur reçoit un
nombre impressionnant de visiteurs:plus de 2 milions en 1955.

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