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Document 1 : « On ne sait jamais ce qu’on va

faire le lendemain. »

1º Présentation de la superficie du document :


En haut on peut contempler le sur-titre du document, ensuite le titre, le
document s’intitule : On ne sait jamais ce qu’on va faire le lendemain.
Après on rencontre 3 paragraphes disposés sur deux colonnes. En bas à
droite du texte on trouve la source, L’article est tiré de Le Nouvel
Observateur qui est un magazine d'actualité hebdomadaire français. Le
nom de l’auteur n’est pas mentionné.
Le premier paragraphe nous présent les principaux traits d’être un
cameraman indépendant, donc ces derniers deux mots sont très
importants, cameraman ou plus exactement le cas d’Olivier Robert et le
fait d’être indépendant, on va diviser un peu toute l’information
contenant l’article entre ces deux mots. D’abord quant à le fait d’être
cameraman, l’auteur mentionne deux choses dans le paragraphe. D’un
côté il nous dit qu’un cameraman peut voyager à différents lieux dans
une seule semaine. De l’autre côté on parle du statu d’intermittent du
spectacle, et voilà qu’est-ce que c’est ça ? Un intermittent du spectacle
est un artiste ou technicien du spectacle qui alterne des périodes
d'emploi et de chômage. L'intermittent travaille pour un spectacle ou
une production audiovisuelle et qui bénéficie d’allocations de chômage
s’il arrive à faire 507 heures par l’année, contre le régime général que
pour obtenir une allocation chômage on demande 610 heures de travail.
Et dû qu’Olivier est un cameraman il peut envisager cette possibilité, et
selon lui il arrive facilement à les faire. Nous avons parlé d’être
cameraman et maintenant nous allons parler d’être indépendant. Le
point de vue d’Olivier Robert c’est que faire part d’une entreprise est de
quelque façon être emprisonné, privé de liberté, donc selon lui, il préfère
être libre. Une autre difficulté d’être indépendant est que si on veut
obtenir une reconnaissance publique on doit le faire par soi-même.
Tournons-nous vers le deuxième paragraphe.
Il s’agit des avantages, d’être cameraman et d’être indépendant. Ils
sont : 1- on peut changer d’employeur, comme dit le texte, travailler
pour la chaîne France 2 ou pour des producteurs américains ou japonais.
Et 2- on peut assumer différents sujets, de la violence au congrès, cela
est dû à sa profession. Dans ce paragraphe l n’y a qu’une désavantage
à la fin : En dépensant du temps au transport et à la documentation ses
journées sont longues.
Finalement le troisième paragraphe ne montre que les difficultés ou les
désavantages.
Une autre fois on divise : les désavantages d’être indépendant : 1- Ne
pas savoir où est-ce qu’on va être le lendemain, vu qu’on doit beaucoup
voyager peut-être, et qu’on n’a pas un travail fixe de chaque jour la
même chose , Il faut insister sur ce point-là parce que c’est le titre, et
l’incertitude qui mélange indépendant et être cameraman, les deux
choses permettent d’avoir de l’incertitude pour le lendemain. 2- Ne pas
avoir du temps pour soi-même, temps pour faire de choses privées,
parce qu’on doit être disponible. 3- Ne pas consacrer du temps à la
famille. Enfin un désavantage d’être cameraman serait le poids de sa
caméra.
Document 2 : Interprète : dans l’ombre des VIP

1º Présentation de la superficie du document :


En haut on peut contempler en gras le titre du document, le document
s’intitule : Interprète : dans l’ombre des VIP. Ensuite on regarde le
chapeau qui est en italique. Après on rencontre 5 paragraphes disposés
sur deux colonnes. En bas du texte on trouve l’auteure, elle s’appelle
Francine Rivaud qui est une journaliste française. L’article est tiré de Le
Nouvel Observateur qui est un magazine d'actualité hebdomadaire
français. Finalement il y a une citation qui appartient au titre, plus
spécifiquement au mot VIP qui vient de l’anglais et ça veut dire very
important person c’est à dire personnage important.

1 Paragraphe :
Le premier paragraphe peut répondre à la question comment font-ils leur
travail ? Mais il y a deux réponses : la première, physiquement ils sont
écartés dans une cabine au bord de la salle. Ils portent un casque et un
micro et ils traduisent la conférence. La deuxième réponse est en ce qui
concerne le rôle communicatif : sélon la citation, il est essentiel de
changer le registre dont on parle et ça changera d’une certaine manière
un personnage différent à chaque fois qu’ils interprètent. Après on peut
dire que les interprètes sont une espèce d’acteurs.
Ensuite, le deuxième paragraphe nous montre
tant la forme est simple alors que le fond est riche d’interprétations
Dans le troisième paragraphe il y a les exigences et les requêtes de la
profession. Non seulement sur les connaissances du métier qu’ils
doivent avoir, mais les compétences personnelles aussi. D’un côté
académique l’auteure dit qu’un interprète doit maîtriser et dominer 3
langues et même 4, et puis, ils doivent bien comprendre : le sujet, le
vocabulaire, les termes techniques du métier, et c’est une chose qui au
début ce n’est pas si simple… mais qu’au fur et à mesure qu’ils font des
interprétations, ça devient plus facile.
De l’autre côté l’auteure explique les compétences qui correspondent
aux interprètes… d’abord, avoir une bonne compréhension, intelligence,
une bonne mémoire, connaitre la culture générale et savoir travailler
sous pression. Pour donner de la force aux arguments des exigences de
la profession, l’auteure cite Christopher Thierry qui dit qu’on ne peut pas
oublier le respect du secret professionnel et cela c’est la règle pour
retrouver un emploi.
Mais faire de cette profession un métier uniquement pénible ce n’était
pas l’intention de l’auteure, Par conséquente le paragraphe suivant fait
une analyse des complaicences de cette profession
(4 Paragraphe) je vais faire la liste : ranger les horaires relativement car
si il y a une affaire important elle devrait être faite, voyager par le
monde que c’est une avantage culturelle, acquisition de la connaissance
tout le temps, et ils ne peuvent pas se plaindre de l’économie car ils
reçoivent un bon salaire, malgré qu’ils soient indépendants ou qu’ils
travaillent pour un organisme.
Finalement, dans le 5ème paragraphe l’auteure insiste sur la difficulté
d’être un interprète et il y a une idée qu’il fut souligner et c’est le fait
qu’être un interprète ce n’est pas une chose réglementé, on peut être un
interprète par goût, sans avoir un titre, néanmoins d’après l’auteure
c’est une chose sérieuse et qu’on doit faire avec un bon sens
professionnel

Opinion
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Document 4 : En attendant un monde meilleur…

1º Présentation de la superficie du document :


En haut on peut contempler en gras le titre du document, le document
s’intitule : En attendant un monde meilleur… (points de suspension).
Ensuite on rencontre 4 paragraphes disposés sur une colonne et rangés
sur un cadre. En bas du texte on trouve l’auteure, elle s’appelle Palmyre
Badinier qui est une journaliste française. L’article est tiré de lemonde.fr
qui est le site d’Internet du quotidien Le Monde. Selon le site d’internet
Le Monde.fr est leader des sites français d'information.
Entrons en matière
1 Paragraphe :
Le premier paragraphe nous présente le prix du concours du magazine
nommé New Scientist. Mais alors quel est le prix ? Le magazine l’appelle
« seconde chance de vivre » et certainement c’est une proposition qui
nous attire l’attention tout de suite. Mais comment pourrions-nous vivre
deux fois? Au moyen de la cryogénisation. Ce terme vient de la racine
grecque Kryos qui veut dire gélé. D’ailleurs le texte ne dit pas comment
ça marche le concours mais après quelques recherches j’ai trouvé que la
compétition a lieu surtout sur le site d’internet du magazine,
newscientist.com, il y a plein de concours et on doit poster sur le site
différentes choses, si le concours s’agit de prendre de photos on fait le
post avec les photos et gagne la personne qui a 1000 entrées sur son
post.
Maintenant différentes caractéristiques vont être signalées par l’auteure
dans le deuxième paragraphe :
Afin qu’on puisse bien comprendre ce paragraphe Il faut nous poser 4
questions sur le processus de la cryogénisation
La première : Comment ça se fait ? On a une chambre cachetée, à
l’intérieur il y a de l’azote liquide à – 196 ºC et après des cadavres
introduits mais les cadavres doivent avoir mort clinique, ils doivent être
déclarés décédés officiellement
Ensuite La deuxième : Dans quel objectif ? la chambre et l’azote liquide
servent à conserver les corps, ce mot est très important car il est en
substance l’objectif principal… et pour quoi ? avec le désir que la
médecine, dans quelques décennies ou même centaines d’années,
puisse savoir comment décongeler les corps et leur rendre la vie,
De plus La troisième : Est-il vraiment possible ? la réponse est : oui.
Mais on n’arrive qu’à faire le processus, comme affirme l’auteure, avec
le sang, os, spermatozoïdes et embryons. Malheureusement aucun
organisme entier n'a été soumis à la cryogénisation.
Finalement, Quant à La quatrième : On l’a déjà fait ? on n’arrive qu’à
faire la cryogénisation sur quelques grenouilles, c’est une espèce de
grenouille qui s’appelle grenouille de bois… dû qu’elles doivent survivre
à l’hiver du grand nord, ce qui se passe c’est que leur cellules se
préparent en se chargeant de glucose qui est un antigel naturel, les
cellules protégées par l’antigel mais prises par la glace qui luttent pour
rester en vie. L’autre 70% de leur corps se congèle et toutes ses
fonctions vitales s’arrêtent, elles sont mortes. Puis ce qui fait la
cryogénisation c’est de répéter le processus avec les grenouilles.
Voilà, on laisse le processus comme ça et on se tourne vers le troisième
paragraphe
Nous allons parler ici du côté économique, vous vous poserez la question
combien ça coute ? Eh bien, dû qu’il est nécessaire de plonger le corps
dans 2 mil litres d’azote, la fondation américaine Alcor, qui est
l’entreprise qui approfondit plus sur le thème, elle demande 120.000
dollars, 119.731 euros, mais l’entreprise américaine a pensé à tout, si
vous n’avez pas la bourse suffisante pour réaliser le processus vous
pouvez tout simplement conserver la tête, et ça ne vous coutera que
50.000 dollars ou 49.887 euros.
Enfin, nous sommes arrivés au dernier paragraphe
Il nous montre qu’il y a un autre choix si on gagne le concours en plus de
la cryogénisation. Et c’est en fait parce que le magazine New scientist
avait de la peur que les gens n’aient pas eu suffisantes envies de le
faire. Et voilà qu’ils sont donné l’opportunité d’aller à Hawaï. Être
congelé par on sait pas combien de temps dans la température plus
basse, ou à Hawaï un séjour avec autre personne en amusant une
température confortable ? L’auteur mentionne le nom de Helen Tibble
qui a choisi Hawaï. Cependant Il est raisonnable de penser qu’il y a une
partie de la population qui choisirait faire la cryogénisation.

Document 3 : Un impératif pour les écoles de


commerce : développer les programmes
d’échanges internationaux

1º Présentation de la superficie du document :


En haut on peut contempler en gras le titre du document, le document
s’intitule : Un impératif pour les écoles de commerce : développer les
programmes d’échanges internationaux. Ensuite on rencontre 6
paragraphes disposés sur deux colonnes et rangés sur un cadre un peu
obscur. En bas à droite du texte on trouve l’auteure, elle s’appelle
Gwénola Possémé-Rageau, qui a débuté sa carrière en tant que
journaliste en France et aux Etats-Unis avant de se joindre au côté de
l’économie. La source de l’article n’est pas très claire mais selon le texte
elle est tirée du web du Monde.

La problématique est examinée par l’auteur dans le premier paragraphe.


Les exigences de l’actualité impliquent qu’on doit conduire les écoles de
commerce et de gestion sur une route plus international et commencer à
developper differentes stratégie…
2 paragraphe :
Le 2eme paragraphe pourrais répondre a la question qu’est-ce qu’elles
font, les écoles par rapport à le developpement des programmes
d’êchanges internationaux. On peut voir que désormais les annés 1970,
une chose qui n’est pas nouvelle, ils ont commencé par deux choses
mettre en route des programmes d’echanges d’etudiants, et deux, faire
de partenaires faire des associations avec d’autres universités
etrangeres. Après avoir réussi ce developpement quelques écoles ont
arreté là. Il y a dautres écoles qui ont commencé à profondir sur les
thème à tel point de devenir ce type de méthodologie la bas de toute
l’academie. Selon le directeur de l’ESCP le niveau international d’une
école n’est peut pas etre une chose imposé sur lécole mais il doit etre
mais une chose qui dirige dessous, en base naturelle de l'école. L’auteur
ajoute qu’il y a une école qui s’appelle EAP, c’est une école qui a 4
sièges Paris, madrid, berlin, oxford

Nous venons de voir quelles sont les strategies qu’une école peut faire
pour commencer. Selon l’auteur on ne peut pas rester en commencer
s’une école veut un niveau international bien développé.. comment
arriver a ce but ? en faisant, non seulement des programmes pour les
étudiantes, mais aussi pour les corps enseignant, les professeurs,
d’echanches de professeurs 2.. diplomes communs. Deux exemples :
L’ESSEC : Cette école a plain de partenaires autour le monde, et
programmes, qu’incluent des programmes d’étudiants ainsi comme de
professeurs.
Lautre exemple : HEC. Qui peut-être a profondi plus sur le thème de
partenariat elle 40, et pour montre un autre progrès, le diplôme
commun, cette école fait partie d’une communauté () c’est une
conformation seize pays qui font tous ensembles un diplôme, voilà le
nom diplôme commun, dans ce cas la le diplôme commun est un
mastère en 5 ans.
Le 2 paragraphe pour les étudiants, le 3 pour les professeurs, et
maintenant dans le 4 nous allons voir ce qui c’est passe avec les
universités. C’est un peu différent, parce que quand l’article a été publié
les universités avaient à peine commencé leur processus et leur
développement et vu qu’elles n’avaient pas une bonne éxperience, elle
commençaient à faire les stratégies le ministère de l’Éducation national
voulait toutes les universités en travaillant pour obtenir le
developpement des programmes d’echanges internationaux.
5
Jusqu’ici l’auteur nous a montré les avantages, les avances en ce qui
concerne les développementss…. Mais il y a une chose avec laquelle on
doit etre attentif, vu qu’il y a plain des écoles, et chaque école veut bien
sûre reçevoir plus des gens, simplement il y a une course sur la table…
et vous vous poserez la question… qu’est qu’on fait avec les
concurrent ? la réponse a 2 options. 1 on fait un accord d’exclusivité
avec un partenaire et ça laisse le concurrent hors compétition ..ou bien
lautre option qui on posées des proffesionnels europeens… un label de
qualité europeen qui s’appelle equis et si l’école a tous les paramètres
bien ça serait suffit
Finalement 6
Il y a une autre peur et c’est la suivante… si au niveau international on
travaille tous ensemble, probablement on va adopter déterminées
connaissances et on va les standariser. En concernant ce point le
directeru de l’ESCP-EAP dit que dû qu’on est en train de travailler avec
des humaines.. les managers, ce n’est pas possible uniformiser la
manière de gérér.. donc il dit qu’il est essentielle que chaque manager
envisage avec un air de difference cette problematqieu

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