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Chapitre 3 : La comptabilité générale

Définition de la comptabilité

la comptabilité est la science des comptes, qui a pour but d'organiser


les écritures par le choix judicieux des livres et des comptes
nécessaires afin d'en suivre facilement les opérations et d'en
présenter les résultats En tant que technique elle fournit un certain
nombre de renseignements chiffrés d'ordre juridique et économique
exprimé dans des états appelés comptes.

Conformément au code de commerce toute personne physique ou


morale exerçant l'activité commerciale .industriel, etc....doit tenir
une comptabilité.

La comptabilité est une technique quantitative de gestion normalisé


qui consiste à saisie et mesurer des mouvements affectant
l'exploitation ou la structure d'une entreprise et résultant, soit de sont
activité interne, soit des ses relations avec l'extérieur.

Dans la pratique le processus consiste à collecter, analyser, évaluer,


enregistrer, calculer, présenter et interpréter ces mouvements
exprimés en termes monétaires.

Rôle de comptabilité :

Le rôle de comptabilité se situé généralement a quatre niveaux :

1. pour l'entreprise

§ Elle est un outil de connaissance du résultat d'exploitation exprimé


successivement en marge brute, valeur ajoutée, résultat
d’exploitation, résultat hors l'exploitation et résultat de l’exercice.

§ Elle permet de connaître l'évolution de la situation patrimoniale.

§ Elle fournit des informations a la comptabilité analytique.

§ Elle est la base de l'analyse financière.

2. pour les tiers


§ Elle est une outil d'information des tiers avec les quels l'entreprise
ets en relation , clients, fournisseurs ,banques ,actionnaires, public....

3. Pour la nation

§ Elle fournit à la comptabilité nationale les informations qui


permettre l'évaluation du revenu national.

4. pour l'administration fiscale :

§ Elle est un outil de sémination du l'assiette et résultat fiscale


imposable.

LES OBLIGATIONS LEGALES EN MATIERE

COMPTABLE

Ces obligations découlent principalement du code commerce et à commerce et des


dispositions fiscales.

L'ordonnance 75-59 du 26 septembre 1975 portant (article 9 à 12 ) le code de


commerce oblige les commerçants à tenir :

· Un journal général : coté parafé par un juge de tribunal , l'article 9 code de


commerce fait obligation à toute personne physique ou morale ayant la qualité de
commerçant de tenir un journal général , il est destiné à :

1. l'enregistrement au jour le jour de toutes les opérations de l'entreprise ou en


récapitulant au moins mensuellement le résultat de ces opération à la condition de
conserver dans ce cas tout les documents permettant de vérifier les opération de
chaque journée.

2. la tenue de livre générale ne doit présenter aucune altération d'aucune sorte et


doit être revu d'une manière chronologique
· le livre d'inventaire : coté parafé par un juge de tribunal ,

l'article 10 de code commerce fait également obligation au commerçant de faire


un inventaire des élément d'actifs et passifs de l'entreprise en vu d'établir son
bilan et le tableau de comptes de résultat , ces document , bilan et TCR copier sur
un livre dit « livre d'inventaire » une fois par an.

Autre obligations

· Registres obligatoire en matière social : ils sont preuves par le décret du 06 mars
1996 à savoir :

1. le livre de paie coté parafé par le tribunal


2. le registre des entrées et sorties du personnel, coté parafé par
l'inspecteur du travail.
3. le registre de mise en demeure, coté parafé par le tribunal, il doit être
mis à la disposition de l'inspecteur de travail et à sa demande.
4. le registre de congé payé coté et parafé par l'inspecteur de travail
LES PRINCIPES COMPTABLES
I. Généralités
La comptabilité est un système d'information entre les différents agents
économiques. La présentation des informations se fonde sur des
conventions dénommées « principes comptables généralement admis »
dont le respect est un des éléments de la sincérité des comptes et des états
financiers.
Ces principes comptables sont codifiés dans certains pays. Dans des
autres, à l'instar des pays anglo-américains, leur système n'est pas codifié
légalement. Il repose sur « les principes généralement acceptés » se
référant aux traditions et aux accords professionnels.
Parmi les principes généralement admis, les plus importants sont :
1 - Principe de continuité d'exploitation
Le principe de continuité requiert des entreprises qu'elles présentent des
états financiers établis en admettant qu'elles n'ont ni l'intention, ni
l'obligation de se mettre en liquidation où de réduire sensiblement leurs
activités. L’entreprise agit comme si l'activité devait durer au-delà de la
période considérée.
2 - Principe d'autonomie des exercices
Comme l'activité est continue et la vie de l'entreprise est divisée en
périodes légales, il est nécessaire de rattacher les flux qui peuvent
intervenir sur plusieurs périodes à la période qui les a vus naître. Aussi
chaque période pourra être comparée aux autres puisque chaque période
contiendra uniquement les flux qui trouvent leurs origines dans cette
période. Les charges non encore supportées à la clôture d'un exercice
mais qui trouvent leur origine dans les opérations réalisées au cours de
cet exercice doivent lui être rattachées. Il en est de même pour les
produits.
3 - Principe de prudence :
Il ne faut pas risquer de présenter une situation surévaluée de l'entreprise.
Souvent, il faut faire preuve de prudence pour enregistrer un fait
comptable, qui peut se trouver infirmé par la suite. Il résulte qu'un produit
ne doit être comptabilisé que s'il est réalisé, une charge doit être prise en
compte dès lors que sa réalisation est seulement probable. Les opérations
comptables sont enregistrées au coût historique.
4 - Principe de la périodicité des résultats :
Comme l'activité de l'entreprise se poursuit dans le temps, il est
nécessaire de connaître à intervalle régulier les résultats de son
exploitation. La vie de l'entreprise a donc été découpée en intervalle
égaux ou périodes. Ils peuvent être de durer variable. Toutefois sur la
base des dispositions actuelles de l'administration fiscale, les entreprises
doivent établir une situation tous les 12 mois. L'année où période de 12
mois constitue l'exercice social. Dans la plupart des sociétés, l'exercice
correspond à l'année civile. C'est-à-dire commence le 1 janvier et se
termine le31décembre.
5 - principe de la mixité des méthodes :
Comme l'activité de l'entreprise se poursuit dans le temps et afin de
comparer les résultats de périodes entre eux, il est indispensable d'utiliser
les mêmes méthodes d'évaluation. Le comptable doit toujours utiliser les
mêmes méthodes de comptabilisation et d'établissement des documents
de synthèse d'un exercice à un autre.
6 - Principe de l'évaluation monétaire :
Devant la diversité des flux qui traversent une entreprise, il a été utilisé
l'étalon monétaire. La comptabilité enregistre donc les flux en monnaie
nationale, Le dinar algérien.
7 - Principe de l'évidence de faits :
Pour que l’utilisateur de la comptabilité aient confiance dans les
informations contenues dans les documents comptables, les faits doivent
être enregistrés sur la base des documents externes ou internes. Chaque
écriture comptable doit être appuyée par une pièce justificative, datée et
comportant la signature ou la griffe du responsable de l'opération.
8 - Principe de non- compensation :
Les opérations comptables doit enregistrées sans compensation entre
elles dans des comptes dont l'intitulé correspond à leur nature. Aucune
compensation ne doit être opérée entre les postes d'actifs et de passifs du
bilan ou entre les postes de charges et de produits de comptes de
résultats.
9 - Principe de stabilité de l'unité monétaire :
Les dépenses (charges ou investissements) et les recettes occasionnées
par les relations de l'entreprise avec les tiers sont enregistrées suivant leur
valeur historique en monnaie.
Toutefois, afin de réduire les valeurs réels de certains biens comme les
bâtiments qui peuvent prendre de la valeur dans le temps, certains
éléments de patrimoine de l'entreprise peuvent être réévalués.1(*)

section : Le Système Comptable et financier (SCF

Le Système Comptable et financier (SCF) administre le l’asphère comptable


et financier Algérien depuis 2010. Il a été mis en application suite à une
longue (et unique) histoire dominée par une idéologie comptable française
incarnée par le Plan Comptable Général de 19621.L’Algérie, a préféré depuis
son indépendance (1962) son modèle de développement sur la base de
l’ouverture politique, économique et sociale. Suite à des difficultés
économiques et sociales éprouvées au milieu des années 1990, les pouvoirs
publics on décidé de renforcer ladite ouverture en adoptant des réformes
suggérées par les institutions de Bretton woods (le Fond Monétaire
International et la Banque Mondiale) et ainsi un nouveau glossaire
économique est mis en place dont les termes à définir constituent des dérivés
de : mondialisation, globalisation financière…etc. Le volet comptable n’a pas
échappé à cette logique de réformes. C’est ainsi, et après d’énormes pressions
exercées par la profession comptable (surtout celle représentant les grands
cabinets internationaux), que le SCF a été adopté en 2010. Le SCF est un
système comptable à dominante anglo-saxonne. A l’époque de son
élaboration, sa principale source d’inspiration était « le référentiel
international qui fût -lui-même en pleine refonte » La logique anglo-saxonne
se manifeste à travers la mise en place de normes comptables (techniques et
sectorielles) dont l’élaboration se réfère à un cadre conceptuel qui proclame
une nette séparation entre la comptabilité (qui doit se rapprocher de la
substance économique et financière) et la fiscalité (qui préfère le formalisme
juridique) dans l’objectif de pousser les entreprises à publier des informations
de qualité à la hauteur des besoins des investisseurs financiers. A côté de cette
conception anglo-saxonne, le normalisateur Algérien, pour ne pas choquer
une longue tradition comptable francophone, a élaboré une norme générale
qui contient des modèles à suivre pour pouvoir élaborer les états financiers,
une nomenclature comptable et une note qui présente d’une manière détaillée
le fonctionnement des comptes. Pour réussir cette réforme, des formations
professionnelles pour les cadres des entreprises ont été assurées et les
programmes de l’enseignement supérieur dans les écoles de commerce ont été
mis au goût du jour. Aujourd’hui, après l’application du SCF (2010), toutes
les parties prenantes qui s’intéressent à la comptabilité se sentent
expérimentées et professionnellement à l’aise. Cependant et entretemps, le
paysage comptable international, animé par l’IASB (International Accounting
Standards Board), a beaucoup évolué imposant ainsi aux professionnels et
académiciens comptables Algérien des normes comptables internationales
d’information financière (IAS/IFRS) qui ressemblent de moins en moins à
leur SCF (2010). Sur un plan politique, la banque mondiale, dont l’objectif est
la protection de l’épargne internationale, n’arrête pas de critiquer le
référentiel comptable Algérien qui est appelé à s’aligner à celui de l’IASB à
l’horizon de l’année 2025

le SCF est constitué par différence classes, et par une codification qui se
divise comme suite

Classe 1 : Fonds Propres : indique l’origine des capitaux

classe 2 : Investissements : cette classe comprend l’ensemble des biens et


valeurs durables acquis ou crées par l’entreprise afin d’être utilise comme
moyen d’entreprise.

classe 3 : Stocks : comprend l’ensemble des biens acquis ou crées par


l’entreprise et qui sont destinés a être vendus ou fournis ou à être consommés
pour les besoins de la fabrication ou de l’exploitation.

classe 4 : les Dettes : So sont des obligations contractées par l’entreprise lors
de ses relations avec les tiers

classe 5 : les Créances : se sont des doris de l’entreprise nés de sa relation


avec les tiers

classe 6 : Les Charges : se sont des emplois et couts nécessaires à


l’exploitation de l’entreprise au cours d’une période précisée.

classe 7 : Les Produits : les produits comprennent principalement les ventes


de marchandise ou matière ainsi que toutes les sommes reçues ou à recevoir
des tiers en contrepartie des prestations ou des ou des services fournis
l’exploitation et les comptes de transfert de charge.

Classe 8 : Les Résultats : Les compte résultats enregistrent les résulta de


l’activité réalisés ou cours d’une période déterminée

section 06 : Les Obligations Comptables

les obligations comptables découlent du code de commerce qui impose


notamment.

-l’enregistrement chronologique des mouvements affectant le patrimoine de


l’entreprise.

-la tenue d’un inventaire annuel,

-l’établissement d’un compte annuel,

- le respecte des principes comptables,

-la tenue de livres comptable obligatoires,


l’enregistrement doit se faire à partir de pièces justificatives (le plus souvent
une facture, mais aussi un ordre de virement, un bulletin de paie.etc…)

conservées et indexées afin de pouvoir les retrouver à la demande d’un


commissaire aux comptes ou d’un inspecteur des impôts.
QUATIEME CHAPITRE

LA TENUE DE LA COMPTABILITE
chapitre IV :La Tenue de la comptabilité

section 01 : Outils de la tenue de la comptabilité

A- les livres légaux obligatoires :

tout commerçant doit obligatoirement tenir :

* Un livre journal

* Un grand livre

* Un livre d’inventaire

il doit aussi tenir un livre de paie et des livres obligatoires spéciaux en fonction de sa profession, par exemple :

- livre entrée et sortie du personnel

- registre des assemblées

- registre des conseils

- registre des mouvements de titres, etc.……

il s’agit d’obligations sociales, juridiques ou commerciales et non purement comptables.

 Le livre journal :

Définition :

le livre journal et un document comptable qui doit comprendre tous les mouvements enregistrés de manière
chronologique (au jour le jour) et opération par opération

-toute personne physique ou morale, ayant la qualité de commerçant, doit

tenir un livre journal enregistrant jour par jour les opérations de l’entreprise ou récapitulant ou moins
mensuellement les résultats des ces opérations à la condition de conserver, dans ce cas opération

à la condition de conserver, dans ce cas, tous documents permettant de vérifies ces opération jour par jour
– article 9 du code de commerce

Présentation du livre journal :

le schéma suivant présentation un livre journal :

N° de compte N° de compte
Libelle Montant débiteur Montant créditeur
débiteur créditeur

TOTAUX Total Dédit Total Crédit

Le grand livre :

Définition :

le grand livre est un document comptable qui sert au suivi des comptes de l’entreprise, il est constitué par
l’ensemble des comptes de l’entreprise.

bien que sa tenue ne soit pas imposée par la loi, le grand livre est l’organe essentiel de la comptabilité

Présentation du grand livre :

DATE Libellés Montant DATE Libellés Montant

TOTAL TOTAL

 Le livre d’inventaire
Définition :
« Un doit également faire tous les ans un inventaire des éléments actifs et
passifs de son entreprise et arrêtes tous ses comptes en vue d’établir son bilan
et les comptes de ses résultats .le bilan et le tableau des comptes de résultats
sont reportés sur le livre d’inventaire » article 10 du code de commerce.

Par ailleurs le livre d’inventaire permet :

*l’établissement des documents de synthèses.

*de contrôler les montants et découvrir les erreurs en vérifiant les totaux :

- Total débiteur de la balance = total créditeur de la balance

- Total débiteur de la balance =Total débiteur du journal

- Total créditeur de la balance =Total créditeur du journal

Présentation du livre d’inventaire :


nom des
N° des comptes comptes capitaux soldes
débit crédit débit crédit

TOTAUX

Authentification des livres obligatoires :


Le livre journal et le livre d’inventaire doivent être « cotés de
paraphés»

Par le greffier du tribunal de commerce du lieu d’immatriculation de


l’entreprise.

Ils peuvent se présenter sous trois formes :

- Un registre cousu, collé et relié


- Un registre à feuillets mobiles
- Des documents informatiques secrets
Les livres doivent être cotés et paraphés avant qu’aucune écriture
n’y soit portée .tout collage est interdit. Cette obligation rend
difficile l’utilisation des documents informatiques

Pour le livre d’inventaire : est l’utilisation de feuillets mobiles


perforés, attachées par une ficelle, que l’on fait coter et parapher et
sur lesquelles on photocopie le bilan, le compte du résultat et
l’annexe .ces feuillets sont ensuite remis dans un classeur.

Pour le livre journal :

La transcription manuelle des totaux mensuels sur un


registre cousu parait la meilleure solution vue le petit
nombre de reports.
 Les livres obligatoires doivent être tenus sans blanc
ni altération d’aucune sorte.

 La durée de conservation :

-pour les livres obligatoires elle est de 10 ans.


-pour les pièces justificatives elle est 10 ans.

B-Documente de synthèse :
« Le bilan, le compte de résultat et l’annexe forment un tout
indissociable ils doivent comprendre autant de rubriques et de postes
qu’il est nécessaire pour donne une image fidèle du patrimoine, de la
situation financière et du résultat de l’entreprise ».

 L’image fidèle est subordonnée à :


1) la régularité : “ la régularité est la conformité aux régler et
procédures en vigueur “.
2) “ la sincérité est l’application de bonne foi des règles et
des procédures en fonction de la connaissance que les
responsables des comptes doivent normalement avoir de la
réalité et de l’importance des opération , événements et
situations“
 Le bilan :

Définition :

Le bilan est un tableau présentation à un instant T la situation de


l’entreprise avec d’un coté les moyens dont elle dispose (les
ressources) et l’autre l’utilisation de ces moyens (les emplois).
On peut constater immédiatement que le bilan séparé en 02 parties
les totaux doivent êtres identiques aves en bas de celui-ci un
montant identique de chaque coté « on dit que le bilan est équilibré
»
A gauche du tableau, on retrouve l’actif qui correspond aux
emplois
A droite, ou retrouve le passif qui correspond aux ressources de
l’entreprise

Le passif du bilan

Le passif présente l’origine (source), la nature et le montant des


ressources qui sont à la disposition de l’entreprise pour exercer son
activité.
L’origine de ressources permet de savoir si l’entreprise se suffit à
elle-même en matière financière ou si elle a besoin de recourir à des
capitaux extérieurs.
On pourra remarquer par ailleurs que cette partie (passif) est
constituée des masses classées par exigibilité croissante. Autrement
dit, on trouve en haut les sommes que sont faiblement et plus en
descend, plus en descend, plus les sommes son exigibles
- Le dépôt de bilan signifie que l’actif disponible en peut plus
faire face au passif exigible.
L’actif du bilan :
L’actif présente tout les biens de l’entreprise qu’elle a pu acquérir
avec ses ressources.
Par ailleurs, on pourra remarquer que les comptes de l’actif sont
classés par liquidité croissante.
En effet, plus on descend dans l’actif, plus les compte ont une
liquidité.
 Le compte de résultat :
Définition :
Le compte de résultat est un document que permet repérer les
postes ou opération qui sont à l’origine du bénéfice ou de la perte.
Les produits :
L’entreprise commercialise des biens ou des services qui génèrent
des recettes .en comptabilité, on appelle cela des produite. On
distingue :
-Les produits d’exploitation :
* Il s’agit de la vente de marchandises, de biens ou services
* Il s’agit également des machines, logiciels et autres
immobilisations que l’entreprise fabrique pour elle-même
(production immobilisée)
-Les produits financiers :
Produits net : plus value dégagée sur vente d’action
-Les produits exceptionnels :
* Les subventions d’exploitation
* Cessions d’immobilisations
* Dégrèvement d’impôts….

Les charges :
Pour produire des biens ou services, l’entreprise doit consommer
d’autres biens ou services; ou parlera alors des charges.
-Les charges d’exploitation :
*autre achat ou charges externes : sous-traitance, publicité, Eau,
personnel
*Dotation aux amortissements et provision :elles expriment les
perte de valeur subies au cours de l’exercice par les élément
d’actifs.
*charge sociales
-Les charge financières : charge nettes (moins values supportées
par vente d’actions).
- Les charges exceptionnelles :
*penalties. amends
*cessions avec pertes.
Présentation du tableau des compte résultat
Annexes :
L’annexe comporte touts l’information d’importance significative
Destinée à compléter et à commenter celles donné par le bilan et
par le compte du résultat.
La comptabilité des comptes annuels est assurée par la
permanence des méthodes d’évaluation et de présentation des
comptes qui ne peuvent être modifiées que si un changement
exceptionnel est intervenu dans la situation de l’entité ou dans
contexte économique,
Industriel ou financier et que le changement de méthodes fourni
une meilleure information financière compte tenu de l’évolution
intervenues.
Cependant, l’annexe doit comportes les information relative
 Justification de la modification apportée au plan initial en
précisant les circonstances qui ont motive les changements
 Les incidences chiffrées sur les comptes concernés par la
modification
 Les incidences sur le résultat
Section 02 : les systèmes et le fonctionnent de tenue de
comptabilité :

A/ les systèmes comptables :


La comptabilité peut être tenue par 3 systèmes :
1-Système classique : Qui comporte :

 Journal et grand-livre :
Dans ce système, toutes les écritures sont enregistrées sur un
journal unique, en indiquant la date de chaque opération, le
libellé, le comte débité, le compte crédité et les montants de les
opérations. Ces écritures sont ensuite reportées sur un grand-livre.

 Journal Générale et grand-livre :


Ce système peut être simplifié, pour éviter la répétition des
travaux, lorsque le nombre d’écriture est peu important, par
l’utilisation d’un journal grand livre unique dans le quel des
colonnes de ventilation sont prévues pour les différents
comptes.
2- Système Centralisateur :
La nécessité de réduire les délais de traitement des
informations comptables pour améliorer la gestion des
entreprises et la nécessité d'une division du travail dès que
l'entreprise dépasse le stade artisanal ont conduit les comptables à
imaginer un autre système qui permet d'éviter les inconvénients du
système classique. Le système centralisateur présente donc un
progrès par rapport au système classique. Bien que dépassé par la
généralisation de l'informatique, ce système reste encore de nos
jours utilisé chez certains cabinets comptables et certaines petites et
moyennes entreprises en nombre de plus en plus réduit.
2-2. Les journaux auxiliaires

L'entreprise peut avoir autant de journaux auxiliaires que


nécessite son organisation comptable. Les journaux les plus
utilisés sont les suivants :
-journal des Achats qui regroupe l’ensemble des factures
(achat; avoir; frais…..)
- Journal des ventes qui regroupe l’ensemble des
facturations émises ;
- Journal de banque qui regroupe l’ensemble des
mouvements bancaire;
- Journal de caisse qui regroupe l’ensemble des
mouvements d’espèces ;
- Journal de paie qui regroupe les opérations et flux
relatifs aux salaires ou autres frais personnel
- Journal des opérations diverses qui registre flux à
caractère non défini, des flux qui ne peuvent être enregistrés
dans les journaux auxiliaires spécifies ;
2-3.système informatique (traitement informatique) :
La tenue de la comptabilité sur ordinateur s’opère
nécessaire selon des principes identique aux systèmes
précédents.
Le classement fonctionnel des comptes et la nature même
de la comptabilité trouvent leur application normale dans le
traitement informatique.
En effet seul l’écriture comptable demande une décision et
un choix, les autres opérations étant strictement :(les
comptes, centralisation, addition, édition de balance,
contrôle de l’égalité des mouvements…….).
Donc l’informatique simplifie la tache pour les comptables,
or il permet de rendre les travaux plus légers à l’aide du
matériel informatique.
B/Le fonctionnement de la tune de la comptabilité :
1-le compte :
Chaque opération réalisée par une entreprise fait varie son
bilan mais le grand nombre d’opération effectuée ne permet
pas d’établir à chaque fois un nouveau bilan. C’est pourquoi
toute opération est enregistrée dans les comptes.
Le compte est une fiche comptable qui représente un
élément du patrimoine ou de l’activité de l’entreprise.il
permet de suivre la valeur de ces élément (par exemple le
comte caisse permet de connaitre à tout moment le montant
disponible en espèces).
On distingue :
Les comptes de patrimoine : ceux-ci peuvent porter sur des
éléments « positifs » du patrimoine (matériel, stocks, argent
en caisse) mais aussi sur les éléments « négatif » dettes vis-
à-vis des banques ou des fournisseurs).
Ils correspondent aux classe 1à 5 du SCF et sont
regroupés au bilan.
Les comptes de gestion : qui portent sur des emplois ou des
ressources définitifs, également appelés charges et
produits.ils correspondent aux classe 6 et 7 du SCF et sont
regroupés au comptes résultat
Pour suivre les variations de valeur de ces éléments, le
compte comporte deux colonnes de valeur :
La colonne de gauche s’appelle de débit du compte ;
La colonne de droite s’appelle de crédit du compte;
Le solde d’un compte représente la valeur de l’élément à la
date de calcul.il se calcule par différence entre le total des
sommes au débit et celui des sommes au crédit :
-lorsque le total du débit est supérieur au total du crédit on
dit que le solde est débiteur .ce solde s’inscrit au compte
pour l’équilibrer;
-lorsque le total du crédit est supérieur au total du débit on
dit que le solde est créditeur ce solde s’inscrit au débit du
compte pour l’équilibrer;
-lorsque le total du crédit est égal au total du débit on dit
que le solde est nul.
Ainsi un compte arrêté est équilibré par le solde. On a
toujours l’égalité :
Somme des Débits EGALE somme des Crédits

2-Jeux des comptes :


Toute opération ayant une incidence financière est traduit
par une écriture affectant au moins deux compte l’un est
débité et l’autre crédité d’une somme identique :( pour que le
compte soient équilibrés, il faut que pour chaque opération,
l’un des comptes soit et l’autre crédité, selon un mécanisme
da la partie double) :
Les compte d’Actifs : ils constatent au débit les
augmentations et constatent au crédit les diminutions.
Les compte de passif : contrairement aux comptes
précèdent ils augmentent un crédit diminuent au débit.
Les comptes des charges : enregistrent au débit les
augmentations et exceptionnellement, débités pour constater
les réductions de revenus.
Tout fait comptable se traduit par une écriture (débit d’un
compte et crédit d’un autre) complétée par un libellé
explicatif que est inscrit dans un journal, résume sous un
formé bref, l’opération enregistrée ou, mieux encore,
mentionne le document de base établi à propos de cette
opération.
Cette mention peut être abrégée mais doit toujours être
suffisamment explicité.
L’opération enregistrée peut être préparée par l’inscription
de jeux de comptes, soit sur le document, soit sur les fiche
d’imputation agrafée au document.
Pour saisir comptablement une opération (c’est-à-dire pour
la codifier), il faut d’abord décider dans quel sens passer
l’écriture, c’est-à-dire quel compte débiter et quel compte
créditer.
On débite le compte correspondant à la destination (--
emploi—flux entrant) et on crédite le compte correspondant
à l’origine (-- ressource –flux sortant).
Par exemple, on débite le compte « banque » de l’entreprise
lorsqu’elle encaisse de l’argent (l’encaissement est le but de
l’opération –la destination –l’emploi) et on le crédite
lorsqu’elle paye un fournisseur (le décaissement est la
ressource permettant d’obtenir un bien ou un service).
Remarque : les colonnes « débit » et « crédit » du relevé
envoyé par la banque fonctionnent de façon inverse par
rapport à ce qui vient d’être exposé ci-dessus .cette situation
s’explique par le fait que ce relevé est un extrait de la
comptabilité de la banque et non pas de l’entreprise :la
relations son sont donc également inversées .
Exemple : l’entreprise a acheté un terrain au comptant :
Le terrain est destiné à être utilisé durablement par
l’entreprise .il s’agit donc d’une immobilisation à
comptabiliser dans un compte de classe « 2 » au débit
puisque le terrain entre dans le patrimoine de l’entreprise,
parallèlement, l’argent en banque est un élément de la
trésorerie de l’entreprise .il faut donc utiliser un compte de
classe 515 « disponibilité » ,au crédit puisque l’argent sort
du patrimoine de l’entreprise.
L’écriture sera donc la suivante :
N° du compte débit Crédit
22 (terrains) xxxxx.xx DA
515 (banque) xxxxx.xx DA
(Achat d’un terrain)
22 515

xxxxx,xx xxxxx,xx

4/Contrôle Des Compte :


Le contrôle des comptes ce fait grâce à la balance et ses soldes.
L’ensemble des comptes :
Ils sont classés selon le SCF et peuvent être présentés en même
temps dans un document faisant apparaitre, or chaque deux, les
montants totaux du débit et des crédit et le solde que peut être soit
débiteur, soit créditeur. Ce document est appelé « BALANCE ».
La balance des masses consiste à faire la somme des débits et celle
des crédits de chaque compte, et à vérifier que la somme des
sommes des débits est égale à la somme des sommes des crédits.
Ces totaux doivent coïncider avec ceux journal général pour la
même période.
La balance des soldes consiste à calculer le solde, débiteur ou
créditeur, de chaque compte, et à vérifier que la somme des soldes
débiteurs est égale à la somme des soldes créditeurs
La balance est un instrument de contrôle qui aide à bien s’assurer
que tout débit enregistré correspond au crédit.
Elle aide aussi à obtenir les montants cumulés de chaque compte et
d’établir le bilan, et le tableau des comptes des résultats et les
annexes comptables.
Les soldes de la balance :
Ils mettent en évidence la liaison entre le « résultat de l’exercice »,
d’une part le bilan, d’autre par les comptes d’analyses du résultat
(appelés comptes de gestion) ainsi que l’égalité.

Soldes débiteur soldes créditeurs

copte de bilan PASSIF


ACTIF
Résultat

compte de résultat Résultat Produits


charges
Cinquième Chapitre

Les règles d’évaluation


Et d’enregistrements
Comptables des
Principaux comptes
Chapitre IV :
Les règles d’évaluation b Et d’enregistrements Comptables des
Principaux comptes :
Section 01 : Marchandises, matières et fournitures :
Elles sont évaluées au cout d’chat, comprenant le prix d’achat
majoré des frais de transport, des droits de douane ,et tout les frais
payé a des tires pour l’acheminement de ces produits à l’entreprise.
 Produits semi-finis, produits et travaux en cours, produits
finis :
Sont évalués au cout de production, comprenant le prix d’achat
des produits mis en œuvre, majoré des charge directes et
indirectes engagées pour leur fabrication.
 Les déchets et rebuts :
Sont estimés à leur valeur probable de réalisation diminuée
d’une décote représentant les frais de distribution y afférents.

Enregistrement comptable :
A la date d’entrée :

38X 515/512/401

X X
30/31 38

X X

30/34/35/36 72

X X

- A la date de sortie :
60/61 30/31

X
X

72 30/34

X X
Section 02 : Évaluations et enregistrement des créances :
L’existence des créances est connue à partir de documents
commerciaux et titres en portefeuille : effets de commerce, facture,
relevés de compte, bons, titres de participation et
placement,……etc.
Cependant l’évaluation d’éléments de créances permet
d’appréhender :
 Les créances sur clients :
Sont évaluées à partir des soldes des comptes après
vérification des relevées de facteurs.
-les effets de commerce seront évalués à leur valeur actuelle au
moment de l’inventaire.
 les titres de participation et de placement :
Seront évalués à leur d’acquisition corrigé des dépréciations
(Provisions ou moins values).
 Pour ce qui est des comptes bancaires, postaux et comptes
auprès des établissements divers, le dénombrement s’effectue
grâce aux états de rapprochent.

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