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Le mystère du grenier

La plupart des hommes dit qu’il y a des mondes qui se cachent des yeux des enfants. Mais
moi, un petit homme curieux, j’ai reussi à pénétrer un autre univers, une contrée dont chaque
enfant se réjouirait.
C’était l’automne, il y a deux ans, quand ma curiosité a franchi toute limite. Ma mère me
disait toujours que nous, les petits hommes, nous ne pourrions pas arriver dans le grenier de la
maison, mais que nous aurions aussi peur de ce que nous pourrions y voir. Obstinée par la nature,
une volonté de fer, j’ai essayé toutes les possibilités me glisser dans le grenier mystérieux. Bien
sûr, dans l’opération „pénétration” j’ai eu besoin de mes deux copains aussi petits, Timmy et
Bob. Timmy est celui qui a découvert le grand escalier frêle, en bois, qui nous a mène
directement à la destination: le grenier de la maison.
- Je savais qu’il était difficile d’arriver dans le grenier, mais nous y voilà et je ne vois
aucune porte, fit Bob, mon ami capricieux.
- J’ai beaucoup entendu sur les greniers des maisons, je crois que nous devons trouver le
mur brillant, a ajouté Timmy.
- Le mur brillant? Qui est-ce qui le fait tellement spécial?
- Allons le trouver et tu verras avec tes propres yeux!
Peu de temps a passé jusqu’au moment où Timmy nous a fait à tous un signe car il avait
trouvé, finalement, ce mur-là. Nous étions tellement curieux! Le mur brillait comme le soleil les
jours de juillet, nous nous emerveillions, mais la porte, nous ne l’avons point vue!
- Eh bien, et maintenant? Comment est-il supposé que nous devrions y entrer? demande
Bob, tout curieux.
- Une seconde...nous devons trouver la source de la lumière, le point où elle est la plus
forte.
A peine qu’il s’est mis à prononcer tous les mots que...POOF! Nous nous sommes trouvés
tous dans une pièce sombre...mais que voir, il y sentait si bien, peut-être trop bien! Envahis par
l’odeur qui semblait un mélange de fruits pressés et de miel, nous cotoyions dans les ténèbres du
grenier. Le plancher craquait comme nous auriions marché sur des cristaux fragiles qui
ecrasaient sous les semelles de nos chaussures. Qu’il était sombre, qu’on ne voyait plus l’un
l’autre, il n’était plus aussi important, mais comme par magie, la chambre s’illuminait
brusquement.
- Comment avez-vous réussi, trois petits hommes, de pénétrer mon royaume?
- Toi, qui es-tu? demande-je, la curiosité nous y a mené.
- La curiosité? Eh, bien, bien...et comment avez-vous satisfait cette curiosité-là?
- Pas totalement, mais malgré ta merveilleuse contrée, nous voudrions tout d’abord savoir
qui tu es.
- Kali est mon nom et je suis responsable de tout ce qui se passe ici.
- Enchantés de te faire connaissance. Ceux-ci sont Timmy, Bob et moi, Sofi.
En ce qui concerne notre nouveau ami, Kali...Premierèment, il nous a effrayé un peu, mais
nous n’avons pas voulu le lui montrer. Un petit homme, comme nous, mais d’une couleur bleu
foncé, les yeux grands et colorés comme un arc-en-ciel, ayant des cornets de glace en guise de
cheveux, mais qui parlait d’une voix grosse et imposante. Dans nos regards confus se cachaient
deux questions: qui est- ce Kali et pourqoui se trouve-t-il ici? D’un côté, il était possible qu’il
évite la réponse, d’un autre côté, il aurait voulu probablement que nous nous en rendions compte.
- Quelle est ton histoire, Kali? Comment pourrais-tu, un petit homme, qui ne sait pas trop
de choses prendre soin d’un lieu tellement beau? a demandé Bob.
- S’il vous plaît, ne me jugez pas selon l’hauteur, car je ne suis pas un petit homme. J’ai
passé parmi beaucoup ‚d’épreuves, j’ai été, moi aussi, comme vous...
- Alors qu’est-ce qu’un grand homme y trouve? a ajouté de plus Bob.
- Prenez place sur ces coussins en meringue, car je vais vous raconter toute l’histoire.
Nous n’avons pas trop y pense. Nous mourions d’envie de connaître son histoire! Il me semblait
curieux notamment le fait qu’il vivait entoure de delicatesses, mais il était seul, tellement seul.
- Eh bien, sachez que si je me trouve ici, cela ne signifie point que je suis l’homme plus
heureux. A l’époque où j’étais de votre âge, j’habituais à être mechante avec tous auprès moi.
Mon père m’apportait chaque fois de grandes bourses, pleines de sucreries que je ne partageais
point avec personne. Les petits hommes ont commencé, peu à peu, de partir et c’est de cette
manière que j’ai perdu tous mes amis. Je jouais seul, je me promenais seul, je dessinais
seul...J’étais si mechant que moi aussi, je n’aurais pas voulu être mon propre ami. Un bon jour,
en marchant vers le parc auprès de maison, une vielle dame m’a demandé un monnaie et même si
j’en avais, j’ai préféré à tenir tout pour moi. Je n’ai pas réussi à arriver dans le parc, car
immédiatement je me suis reveillé ici, comme vous me voyez, complètement bleu, entouré par
milles sucreries, avec un billet ou on écrivait: „Tu reviendras à ta vie normale, au moment où tu
apprendras offrir”. Cinq ans sont passés et personne n’a traversé le seuil de ma nouvelle
habitation...
C’était une histoire assez triste. Maintenant, même s’il avait tous les bonbons et les gelées du
monde, il était malheureux et seul.
- Ne t’attriste pas, Kali! C’est pourquoi nous sommes ici! Tout ce que tu dois faire est
partager avec nous toutes ces delicatesses. Le plaisir est, absolument, le nôtre, nous aimons les
sucreries! dit Timmy avec enthousiasme.
- C’est vrai, tout petit homme aime les sucreries, mais...me croyez-vous si je vous dis
qu’il est difficile pour moi?
- Il est difficile pour tous, de faire des choses diverses, mais tu le feras avec un prix: ta
liberté, expliqua Bob.
- Hmm... Est-il difficile pour tous, de faire des choses diverses? a demandé Kali.
- Oui! Par exemple, pour moi, c’est difficile de manger tout dans mon assiette, mais je
sais que cela rend ma mère contente, a dit Bob.
- Tu as raison! Moi, je trouve difficile d’avoir de bons résultats a l’ecole, mais je sais que
cela me rend un homme plus intelligent, a dit Timmy.
- Si vous l’avez déjà dit, sachez que moi, je trouve difficile d’être tout le temps sage, mais
de cette façon je ne décevrai pas ma mère, j’ai ajouté. Par conséquent, même s’il semble difficile
à réaliser, n’est pas impossible quand l’effet qu’il a, est important.
- T’ avons-nous convaincu, Kali? Pourrais-tu nous laisser goûter ce que nous voulons et
ainsi tu acqueriras de nouveau ta vie normale et, en outre, trois amis à la fois?
- Sans doute que vous m’avez convaincu et sincèrement, il est plus difficile de vivre seul,
dans un lieu parfait, que dans un lieu imparfait, avec beaucoup d’amis. Vue que vous êtes trois
petits hommes, vous avez la possibilité de choisir trois délicatesses différentes. Mon conseil,
c’est de choisir avec soin...car chaqune cache un secret délicieux.
Parce que j’ai eu l’idée d’y venir, Timmy et Bob ont été gentils et m’ont laissé à choisir les
trois sucreries. A ce compte, ils aimaient tellement le sucre qu’ils auraient mangé tout ce qui le
contenait. La délicatesse numero un, ne pouvait point ne se mettre en évidence...elle était la la
chose la plus merveilleuse dans la pièce colorée.
Hautes de plus de 4 mètres, la tige grosse et les feuilles penchées, ça aurait été le comble, ne pas
choisir!
- Celles-ci sont fleurs de...gelée?! Wow!!!
Elles étaient si grandes qu’on ne pouvait point y ramper. Nous avons fait aussi une petite
compétition: celui qui arrivait le premier au sommet du gelée, gagnait les monnaies de chocolat.
Nous rampions, nous rampions et il semblait qu’elles ne se terminaient plus.
- S’il vous plaît, vous pouvez renoncer à ce moment. Je suis plus haut, donc j’ai un
avantage.
- Tais-toi, Bob! Ne doute pas notre dexterité!
- Je ne rigole pas...Vous savez comme je suis bon en compétitions...
J’étais si fascinée par le jeu que je ne faisais pas attention à leur petite compétition. Finalement,
ils ont été surpris, car j’ai gagné.
- Ne sous-estimez jamais la force d’une fille!
- Eh, tu as eu de la chance cette fois, Sofi.
- A moins vous vous êtes amusés, n’est-ce pas?
-Oh, oui! Je le répéterais sans cesse. Maintenant...partages-tu les monnaies de chocolat
avec nous?
- A quoi sont-ils bons, les amis? Toutefois, je n’ aurais pas pu les manger tous...je dois
faire lieu aux autres delicatesses à la fois. Voilà, mangez combien de monnaies de chocolat vous
voulez!
Les fleurs de gelée mouvaient comme un berceau à l’hauteur et avaient des couleurs et des goûts
différents. Moi, j’ai mangé celles rose, à goût de fraises, Timmy celles vertes, à goût de menthe
et Bob, plus capricieux par sa nature, a mangé celles mauve, à goût de framboise.
Pour la délicatesse numero deux, nous avons voulu aussi quelque chose d’amusant et de sincère,
nous avions d’où en choisir! Nous avons regardé un peu autour de nous et la curiosité a dit sa
parole.
- Qu’est-ce qu’elles sont, ces billes? a demandé Timmy.
- C’est de la gomme à macher! a repondu Kali.
- Ha, ha, ha! Bonne blague, Kali. Comment est-il possible. En général, la gomme à
macher est beaucoup plus petite.
- Vous pouvez en goûter...
Elle n’était pas une gomme normale, car on pouvait l’utiliser pour faire des ballons en formes
différentes et honnêtement, elle était savoureuse. Un certain moment, j’ai tant maché de cette
gomme bleu que j’ai reussi à faire un ballon aussi grand que moi...mais qui, puis, a brisé et
j’étais collante des pieds à la tête. Quelques papillons de cannelle se sont assis sur mes bras et sur
mes pieds, en amassant la gomme restée. Quand ils ont vu l’évenement amusant, Timmy et Bob
se sont joints à moi.
-Hélas, hélas, Sofi! Comment as-tu reussi?
- Visage de gomme, ha ha ha.
- Ne risez pas, il n’est pas très agréable d’être collant...
- Ne l’interprète pas incorrectement, mais c’est une situation bien amusante.
Les gommes grandissaient dans les arbres, et les cueillir, cela a été plus distractif. Au moment de
la descente de l’abre, nous nous avons fait un matelas de gomme verte et c’est ainsi que nous
sommes descendus en sécurité, sur le tapis de sucre.
Nous nous sommes amusés, nous avons mangé autant que l’estomac nous a permis et cependant,
nous sentions que quelque chose manquait.
- Ne croyez-vous pas qu’on a quelque chose de plus a faire? a demandé Bob, pensif.
- Hmm… La délicatesse numero trois! Je le savais!
Quelque part, dans un coin plus étiré, on entendait des sons fragiles, comme de ruisseau.
- Qu’est-ce que c’est?
Nous avons suivi les sons jusqu’à l’arivée de la source. Les regards, on nous les a volés
totalement: une fontaine de jus. Elle n’était pas une fontaine habituelle, car elle montait comme
un petit baignoire, et au-dessus d’elle c’était un petit nuage qui versait sans relâche des gouttes
de jus dans la fontaine. Nous n’avons jamais vu un jus bleu, c’est ainsi que je me suis approchée
jusqu’au moment où il s’est mis à arroser moi-même. „Bain de jus!”, je me suis dit. Les deux
amis m’ont entendu et nous sommes tous entrés dans la fontaine.
- Sofi, tu as eu une idée brillante!
- Je le sais, je le sais...eh bien, après tant de délicatesses, c’était le cas de boir aussi
quelque chose.
- Vous réalisez que nous serons très collants, n’est-ce pas? demande Timmy.
- Hei, Timmy, pourrais-tu t’amuser sans poser des questions?
- Oui, oui...Que l’amusement commence!
Il était le jus le plus savoureux que j’avais toujours goutté! J’en ai profité abondamment et j’ai
essayé de vider la fontaine de jus, qui se remplait neanmois de nouveau. Mes amis ont reconnu
puis que j’avais fait des choix splendides, car j’ai choisi les sucreries parfaits.
Nous avions grossi comme des ballons, mais très, très heureux! Je savais que cette aventure était
unique dans notre vie et que rien ne pouvait se comparer avec elle. Nous nous avons fait un
nouveau ami, nous avons mangé tout ce qu’on pouvait manger, nous nous sommes amusés très
bien et nous avons gagné beaucoup de beaux souvenirs.
-Regardez!!!
Tout d’un coup, le corps de Kali s’est mis à changer; il semblait parfaitement avec nos corps.
Il n’était plus bleu, il n’avait plus les yeux grands et dans les couleurs de l’arc-en-ciel. Les
mêmes ténèbres où nous nous trouvions au début, avaient apparu de nouveau dans le grenier de
la maison. Le plancher ne craquait plus, l’odeur doux avait disparu. On entendait doucement la
voix de Kali qui disait: ”Merci!” et ...comme par miracle, nous étions tous dans ma chambre.

4. Les petits hommes de pain d’épice


Quand nous étions presque sûrs que parmi nous, dans cette chambre-là, il n’y avait plus
d’autres bavards...nous avons entendu de courts rumeurs, de quelque part à droite.
- Hmmm, Kali, ne disait pas tu d’être seul ici?
- Si, je suis très seul. Pourquoi demande-tu, Timmy?
- Je crois… je crois avoir entendu des sons… humains. Je crois que nous les avons tous
entendus.
- Eh…
- N’hésite pas! Dis-nous-le, s’il te plaît!
- Bien, bien. Ce sont les petits hommes de pain d’épice… mais je vous avertis! Ils ne sont
plus très aimables.
- Hahaha! Comment pourraient quelques hommes de pain d’épice faire du mal à
quelqu’un?
- Il ne s’agit pas de cela, mais ils ne parlent que seulement avec quelqu’uns pareille...Il y
a quelque temps ils se sont fâchés contre tout le monde. Ne risez pas, mes amis, mais en étant
faits du pain d’épice, pour être heureux de nouveau, un enfant doit les mordiller. Sachez qu’ils ne
rient point aux blagues, mais seulement quand on les mordille. Ne vous inquietez pas, ils se
rebatissent après chaque morsure.
- Comme est-il bizzare, n’est-ce pas ?!
- Moi, je voudrais les connaître! a crie Timmy, enthousiasme.
Puis, nous avons marché environ 10 minutes...Tout ce que nous voyions auprès nous était si
coloré et sentait tellement bien! Nous ne voulions plus rentrer chez nous. Plus que nous
marchions, plus que les sons s’intensifiaient, s’entendaient de plus en plus fort. J’ai vu un petit
village avec des maisons minuscules et des chemins de sucre vanille, comme un desert blanc.
- Wow! Ici habitent-ils, les hommes de pain d’épice? Je n’ai plus de patience, je veux
les connaître!
Les hommes de pain d’épice avaient environ 1 mètre hauteur et brillaient à cause de trop de
sucre. Ils ne voulaient pas parler avec nous, c’est pourquoi, après le conseil de Kali, nous nous
sommes approchés d’eux et nous nous sommes mis à les mordiller. Ils n’ont pas fait aucun son,
vraiment...et ils étaient délicieux! Nous avons tous remarqué que, meme si nous les mordillions,
ils rebatissaient...ce qui était bon.
- Sachez que cela les chatouille, dit Kali.
Soudain, après en avoir assez, les petits hommes nous ont dit en choeur „Bonjour!”- ils se
sont mis à parler avec nous; nous étions surpris. Ils nous ont remercié et puis, nous avons tous
raconté des histoires sans cesse. Nous étions très fiers de nous! Eux, nous les avons fait heureux,
mais aussi nous-mêmes.

5. Le chocolat
Il était impossible de ne pas être étourdi par l’odeur fort de chocolat, mais il a été plus
intéressant de se rendre compte qu’il venait de la croute des arbres nains. C’est vrai! Les arbres
étaient faits du chocolat.
- Je ne pensait jamais à aimer la nature! N’est-il pas le Paradis? s’est emerveillé Bob.
- Que nous nous approchions!
Nous n’avons pas pu resister. Nous étions les meilleurs amis, mais nous faisions toujours des
compétitions. Et nous l’avons fait de nouveau, à ce moment-là.
- J’ai une idée! Je propose un petit défi. Voyez-vous les petits paniers avec des
meringues?
- Oui… qu’est-ce qui se passe avec eux, Sofi?
- Qu’en dites-vous, de les donner un peu de couleur? Voyons lequel d’entre nous est le
plus rapide quant à gratter le chocolat sur les arbres et à le poser dans les paniers avec des
meringues. Et à la fois...à la fois réussir les sculpter. Eh bien? Qu’en dites-vous?
- Ce n’est pas du tout une mauvaise idée, Sofi.
Nous avons prépare le lieu de récréation: nous y avons assis un panier avec des meringues pour
chaqun d’entre nous et nous avons pris nos positions, en choisissant tous un arbre nain.
- A mon comptoire, gratter le chocolat!!!
Elle se prouvait une compétition serrée, un spectacle doux. Tout ce que nous pouvions gagner
était la joi d’être vainqueur. Nous grattions rapidement le chocolat et réussissions à sculpter les
arbres, à leur donner une belle forme. Il sentait merveilleusement et quand nous l’assissions dans
les paniers avec des meringues, il fondait comme un cube de glace laisse dans le soleil.
- Bien, bien, nous avons aussi des sculpteurs parmi nous, n’est-ce pas, Timmy?
- Eh, cela n’est pas grande chose…
- Est-ce que tu rigoles?! Timmy, tu as donné à cet arbre une forme très intéressante!
- Merci, ma chérie.
- Vous pouvez en discuter encore, moi, j’ai gagné! s’est rejouit Bob.
- Félicitations! avons-nous crié en choeur.
Devine ce qui s’est passé tout de suite! Evidemment! Nous avons mangé tout le chocolat que
nous avons réussi à gratter et il a été...chocolateux!

6. Le mur de meringue
Nous étions entourés des délicatesses les plus chères et douces, même si nous avions cents
possibilités. J’étais encore heureuse d’être celle qui choisirait les sucreries. Il y avait bien des
choses qui nous attiraient l’attention, en se mettant en évidence, mais quelque chose de grand et
d’imposant a volé mon regard. Blanc comme le lait, avec de petites pièces de scintillement, le
mur mysterieux nous faisait nous sentir comme dans une histoire.
- Regardez là! Je ne me souviens pas d’avoir jamais vu un mur si grand. Mes murs sont
toujours petits et ils ne scintillent guère. Allons plus près!
Dit et fait! Nous nous sommes approches lentement, lentement du mur blanc.
- Donc, qui sait ce qui se passe avec ce mur? Personne? Je dis l’apprendre!
C’est vrai, même si je suis fille et ils sont garçons, j’ai été toujours la plus brave...c’est ainsi
que je me suis offerte à „analyser” de plus près le mur. J’ai touché le mur blanc avec la main
droite et it semblait trèèès duveteux. Duveteux, scintillement et blanc. Qu’est-ce que vous croyez
qu’il était??? Le mur de meringue! Ce qui a suivi puis...est forteeeement amusant!
Mes amis se sont joints à moi et ils étaient aussi emerveilles par la texture molle du mur.
- Quant à vous, je ne le sais pas, mais je crois que nous avons trouvé la plus drôle chose!
Il est duveteux comme mon chien dans le jardin et la chose la plus super est que nous pouvons la
manger.
Le mur de meringue avait toutefois une part extremement amusante: il était collant; tellement
collant que je me suis toute collée de lui et quand Timmy et Bob ont essayé de m’aider, que
voir...eux, ils se sont colles aussi.
- Ça c’est le comble! Eh bien, chers amis, comment d’y echapper?
- J’ai une seule idée à ce moment: manger la meringueee!
- C’est une idée brillante, Bob! Commençons, amis!
Oui, cela a été aussi plaisante comme il sonne. Trois petits hommes, mangeant un mur entier
de meringue. Esperons seulement de ne pas devenir nous aussi blancs et collants. Hahaha, quelle
experience!

7. Des bonbons (claquants)


Comme tout petit homme, j’étais attirée par les choses de grandes dimensions; simplement,
elles se mettaient en évidence. Je les ai aperçues immédiatement, car elles n’étaient point
difficiles à remarquer...Qu’ils soient des balles simples? Ou peut-être...des balles de bowling?
- Kali! Nous avons une urgence! Ne t’effraye pas, mais nous ne pouvons pas nous rendre
compte quels secrets cachent ces...balles.
- Ha, ha, ha! rit Kali. Balles dites-vous, ah? Il n’y a aucune balle, enfants…
- Ne rit pas de nous, Kali!
- Mais enfants, celles-ci ne sont pas de balles...Elles sont des bonbons geants.
- Des bonbons géants?! Mais quoi? Sont-ils spéciaux seulement parce qu’ils sont géants?
- Je vais vous enseigner un truc. Prettez-moi attention!
Nous nous avons demandé quel truc pourrait-il nous enseigner et quoi était tellement
spécial à ces bonbons. Etait-il possible qu’ils aient le goût de raisins? J’aime les raisins! Mais
sans doute qu’il devait être quelque chose de beaucoup plus spécial...
Notre nouveau ami, Kali, s’est dirigé vers les deux bonbons géants et il a compris une dans
chaque main. Plus qu’il les mouvait, plus que l’odeur doux semblait de danser auprès nous et il
était si agréable! Nous ne pouvions que rester les bouches ouvertes et nous émerveiller, car ce
qui a suivi a dépassé toute attente. Kali s’est mis à heurter les deux bonbons, d’où quelque
vapeur mince, a l’odeur d’orange, est sorti et puis, il a ouvert la bouche et les petites pièces de
bonbon tombaient sur sa langue. On entendait des sons courts, comme l’acide de la verre de jus.
Sur sa langue brillaient les petites pieces de bonbon et claquaient doucement, comme si elles le
chatouilleraient.
- Wow! Des bonbons qui...claquent ???
- Aha! Comme tu le dis, Timmy. Est-ce que tu veux les essayer, toi aussi?
- Oui!
- Moi aussi, moi aussi (en choeur).
- Ohoho, a votre tour, s’il vous plait…ca suffit pour tout le monde!
Bien sur, je les ai essayés la premiere, ainsi que, probablement, j’ai triché un peu et j’ai pris
plus de pièces des bonbons géants que les autres... Mais je vais me revancher de quelque façon.
C’était une folie! Dans nos bouches on entendait des claqueries fragiles et il était tellemeeeent
amusant!

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