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By 19 April 2011
Pour le compte bancaire considérer, le trésorier va arbitrer entre le coût de détention d’une
encaisse positive et le coût d’obtention des liquidités nécessaires au financement des
déséquilibres financier.le résultat de cet arbitrage est fondamentalement fonction du coût des
ressources financières mobilisées par la firme. Toute fois comme le montre le prochain
paragraphe, l’arbitrage entre coût d’opportunité sur encaisse et frais financier devient
singulièrement plus complexe lors que comme dans la plupart des cas, l’entreprise possède
plusieurs comptes bancaires.
Minimisation des erreurs d’équilibrage.
L’existence de plusieurs comptes bancaires peut être à l’ origine de trois erreurs
fondamentales, particulièrement coûteuse, que le trésorier cherchera à annuler les frais
financiers supportés par l’entreprise (13).
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(Gestion de la trésorerie: Cas des PME)
______________________
(12)-gestion de trésorerie: Philipe Desbriere, Edition EMS
(13)-gestion de trésorerie: Philipe Desbriere, Edition EMS
– Rôle du trésorier
Nous essayons de résumer le rôle du trésorier en quelques lignes avant de développer sa
présentation complète.
Le trésorier est chargé de prévoir et de gérer les flux et les risques, d’organiser les relations
avec les banques pour réduire les coûts, d’optimiser les financements et les placements, de
garantir la liquidité et la solvabilité de son entreprise en liaison avec les autres services de la
société. Il doit aussi prendre en compte les nouvelles normes comptables, qui mettent en place
et ont un impact sur certains éléments de la gestion de la trésorerie, en particulier en matière
de gestion de risques.
S’il est possible, en première analyse, de décrire globalement les activités essentielles de tout
trésorier, il convient de porter une attention particulière à chacune des taches indiquées.
2.1. La prévention et la gestion de flux et de risques
Les flux et les risques représentent à la fois la matière première et la préoccupation majeure
du trésorier. La prévision des flux et des risques repose sur une collecte d’informations
internes et externes dans la carde du système d’information de la société.
La liaison entre stratégie et trésorerie est évidente et étroite. définie par la direction générale
de l’entreprise,la stratégie nécessite pour sa mise en œuvre ,une planification
financière,formalisée par un plan de financement à un horizon de cinq ans au moins,élaboré
par le directeur financier.
Cette période de moyen ou de long terme est subdivisée en sous – périodes annuelles
correspondent à l’horizon du trésorier. Il lui appartient donc en fonction de des objectifs fixés
de prévoir l’ensemble des flux générés par des décisions financières et d’investissement; les
financements et placement à moyen ou long terme se traduisent par des flux, annuels ou à
échéances plus courtes, donc le trésorier doit avoir la connaissance pour en respecter les dates
et en choisir les supports. Il lui faut collecter très précisément ces informations auprès de la
direction financière avant de préparer son budget de trésorerie annuel avec, au minimum, une
présentation mensuelle des informations.
Les informations relatives aux flux résultants des opérations de gestion courante de
l’entreprise sont normalement fournies au trésorier par les différents services, faute de quoi il
sera dans l’obligation de les collecter lui-même.
Le trésorier doit pouvoir disposer d’informations fiables en temps réel, contraintes que
doivent respecter tous ses interlocuteurs. Chacun d’eux doit être informé de l’incidence d’un
transfert d’information erronée ou tardive en direction du service trésorerie. La saisie de
données inexactes doit être corrigéetout comme la décision qu’elle avait engendrée.
La réception d’un cheque d’un gros montant doit être indiquée au trésorier dés le début de la
matinée et non en milieu ou pire encore en fin de la journée; il n’a nullement besoin de
disposer du chèque « en mains propres » pour décider de son affectation sur un compte
bancaire; une information tardive peut entraîner un report d’encaissement, donc des frais
inutiles (découvert par exemple).
Au –delà des traditionnelles conditions bancaires, les aspects juridiques, fiscaux et comptables
des relations de trésorerie avec des filiales, de financements ou de placements, d’opération de
couverture de risques financiers, doivent être analysés en étroite collaboration avec les
banques.
Conclusion de chapitre I:
La gestion de trésorerie est un sujet transversal qui concerne plusieurs disciplines comme la
comptabilité, le droit bancaire, la finance et les mathématiques financières.
La gestion de trésorerie est une discipline auxiliaire qui se réfère a d’autre discipline des
sciences de gestion qui sont plus fondamentales.
Mais quelles que soient ses compétences professionnelles par ailleurs, le trésorier reste
tributaire des performances du système d’information et d’aide à la décision de l’entreprise.
La gestion de trésorerie n’est pas seulement une des fonctions assumées par la direction
financière et comptable de l’entreprise. C’est le métier qui assure l’interface entre l’entreprise
et les marchés financiers.
La gestion de trésorerie est une fonction qui recouvre des possibilités d’action d’ampleur très
inégale selon la taille de l’entreprise: pour une P.M.E, la gestion de trésorerie se résume le
plus souvent aux opérations de paiement et aux relations avec le système bancaire.
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Au-delà de ces deux révolutions, la troisième, d’ordre culturel, est sans doute la plus
importante pour la fonction trésorerie, puisqu’elle modifie le rapport à l’argent. Le profit est
l’objectif naturel et indispensable de l’entreprise, reconsidérée dans l’esprit de tous les acteurs
de l’économie. Tout le monde comprend en effet que les profits d’aujourd’hui sont les
investissements de demain et les emplois d’après demain.
Plus récemment, la fonction trésorerie d’entreprise a évolué vers la gestion des risques: risque
de change et de taux, mais également risque de liquidité et de contre partie. Cette évolution
est également favorisée par la maîtrise de la gestion de des flux qui, bien qu’elle reste la
mission première du trésorier, n’occupe plus une partie du temps de celui-ci. Simultanément,
le périmètre de la fonction trésorerie s’est étendu à la gestion de l’ensemble des ressources
financières, du court au long terme.
D’une manière générale la fonction trésorerie se trouve directement ou indirectement
impliquée dans les projets de réorganisation.
L’environnement financier de la trésorerie – Section 1
Cet environnement est à la fois interne et externe à l’entreprise. Le trésorier gère les fonds de
l’entreprise en étroite relation avec des partenaires particuliers que sont les banquiers,
établissement et marchés financiers. Il doit donc connaître les modes et les moyens de
paiement proposés, les conditions, les contraintes et les opportunités offertes par ses
établissements. Les opérations de trésorerie doivent également respecter certaines normes
comptables en évolution et sont intégrées dans un système d’information informatisé.
Nous étudions les modes et moyen de paiement, les conditions bancaires et les financements
et le placement dont peut disposer une entreprise.
A l’instar de la plupart des pays européens et du Japon, le système financier d’un certain pays
a connu depuis 1958 de grandes réformes conduites dans le cadre d’un large mouvement de
Il existe plusieurs méthodes de prévision dont la qualité et les difficultés de mise en œuvre
sont variables.
La première méthode est l’extrapolation proportionnelle, généralement à partir du chiffre
d’affaire.
Connaissant le rapport entre le chiffre d’affaire et le fond de roulement, le besoin en fonds de
roulement ou la trésorerie pour une période donnée, on peut en déduire des prévisions pour
les périodes suivantes:
Application:
—– = ————- = 18%
CA to 1 000 000
En retenant l’hypothèse de la
proportionnalité, on peut prévoir la
trésorerie pour un chiffre d’affaires
prévisionnelle de la période T1
CA d = 1500 000 Td = 270 000 DH, soit 1
500 000 x 18%.
fin d’extrait. Prévision financières à court
terme: le budget de trésorerie
By 19 April 2011
Le budget de trésorerie enregistre non seulement les flux de trésorerie existant, mais aussi
toutes les recettes et toutes les dépenses dont l’entreprise prévoit la perception ou
l’engagement. Il peut s’agit de dépenses et recettes liées au processus d’investissement,
d’exploitation ou de financement.
Il donne une prévision des excédents et des déficits de trésorerie, en montant et en durée dans
un double perspectif:
Vérifier que les lignes de crédits initialement négocient suffiront à combler les besoins
éventuels.
Définir les utilisations prévisibles de crédits par grandes masses (par exemple la nécessité de
recourir a l’escompte compte tenu du portefeuille de traites)
Le budget de trésorerie est donc un tableau de bord
prévisionnel de l’offre et de la demande de liquidités de l’entreprise.il permet au trésorier
d’optimiser le résultat financier de la société en mettant en concurrence les différentes
banques ainsi que les marches financières.
1. Prévention et définition
Le terme de trésorerie recouvre plusieurs notions liées à la gestion et à l’analyse financière.
La trésorerie apparaît en effet tans le tableau de financement que dans le tableau des flux de
trésorerie avec des significations différentes. Nous retiendrons l’approche comptable de la
trésorerie. Pour le comité de réglementation comptable, la trésorerie correspond aux
disponibilités et à leurs équivalents.
Les placements à court termes, très liquides, facilement convertibles en un montant connue de
ne risque de liquidité et dont la valeur ne risque pas de changer de façon significatives sont
considérés comme des équivalents de disponibilités.
Trésorerie nette =
Comptes de caisse et comptes à vue
VMP ne présentant de risque de variation significative
Comptes à terme dont l’échéance est moins de trois mois
Soldes créditeurs de banques
Les prévisions sont effectuées mois par mois, pour une durée de un an en principe. Ce type de
prévision suppose que l’entreprise ait mis en place un système global de prévision sur une
durée au moins équivalente.
a) Clients et fournisseurs
Le montant correspond ainsi que les achats et ventes effectuées au comptant sont pris pour
leur valeur TTC. Les ventes de produits non soumis à la TVA (déchets, produits vendus en
franchise de TVA ou exportés) sont considérés pour leur montant HT.
Le compte fournisseur est le troisième élément du BFR. D’exploitation. Son poids au passif
du bilan est plus ou moins important selon les secteurs d’activité, la taille des entreprises et
leur politique d’approvisionnement.
Par ailleurs, les “achats” représentent souvent un poste très important parmi les charges
d’exploitation. A ce titre les conditions d’approvisionnement ont souvent un effet très sensible
sur la rentabilité. Dès lors il est essentiel d’assurer une bonne gestion des fournisseurs.
b) TVA à décaisser
Comme le montre certain schéma précédent, un tableau de calcul séparé est nécessaire pour
déterminer le montant de TVA à décaisser. Il convient pour l’établir d’appliquer le bon critère
(livraison ou encaissement du prix) pour trouver le mois d’exigibilité de la TVA.
La TVA est calculée sauf en cas de règlement par obligation cautionnée réglée le mois suivant.
Un crédit de TVA s’impute sur la TVA du mois suivant.
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(Gestion de la trésorerie: Cas des PME)
Ces décalages de flux de trésorerie doivent être anticipés et pris en compte. Ils sont souvent
source de difficultés pour l’entreprise surtout si les crédits ne prennent pas la forme de
créances commerciales mobilisables.
Il est important de noter que certains encaissements de la période proviennent des ventes de la
période précédente. L’information concernant ce type d’encaissement se trouve dans le bilan
d’ouverture.
En ces dernières il faut nécessairement ajouter le décaissement issus du budget de TVA, voire
ceux du budget des investissements.
Comme cela a été vu pour les encaissements, certains décaissements proviennent des
engagements de la période antérieure
c) Budget de trésorerie
Application:
Une entreprise est soumise au régime des débits de T.V.A. elle a réalisé les opérations
suivantes (taux de T.V.A.20%):
Mois de janvier 199N
Achat de matière première réglés par cheque: 50 000; T.V.A. = 10 000
Achat de services réglés par cheque: 10 000; T.V.A. = 2 000
Ces achats sont réglés au cours du mois.
Mois de février
Ventes H.T. = 100 000; T.V.A. = 20 000
Achats de matière réglés par cheque (comptant) H.T = 30 000; T.V.A. = 6 000
Achat d’une machine réglée en espèces H.T. = 7 000; T.V.A = 1 400
T.V.A a payer avant le 31-03-19N au titre des opérations de février 19N:
T.V.A. collectée 20 000
T.V.A. déductible – 10 000
– 2 000
– 1 400
T.V.A à payer 6 600
Post navigation
a) Principe
L’entreprise prévoit le montant de sa trésorerie de fin de l’année, dans le cadre de la procédure
des budgets annuels. La méthode bilancielle met en évidence la relation.
FR – BFR = trésorerie
b) Démarche de prévision
c) Prévision du FR
* LES KP: ils sont déterminés à partir des capitaux propres de l’année précédente.
* Prévisions des emplois stables. Les emplois stables comprennent essentiellement les
immobilisations:
Immobilisation nette année N
+ Acquisitions de l’année N+1
– valeur d’origine des immobilisations cédées en N+1
– dotation aux amortissements N+1
d) Prévision du BFR
Il est possible de déterminer le BFRE prévisionnel par la méthode normative. Cette méthode
repose sur l’hypothèse d’une activité non saisonnière. La prévision du BFRHE concerne
notamment le solde à payer de l’impôt sur les sociétés.
En raison de la très grande sensibilité des prévisions de trésorerie aux hypothèses retenue, il
est conseillé d’établir des prévisions de trésorerie en essayant diverses hypothèses (comme le
prix de vente sans modification des dépenses).
7- Plan de trésorerie
Le plan de trésorerie (ou budget de trésorerie) implique de connaître les encaissements et
décaissements mensuels ventilés par la nature.
Réalisés toutes banques confondue réaménagé plusieurs fois dans l’année lors les prévisions
s’avèrent inexactes, il présente plusieurs intérêt: il offre un éclairage à la fois sur la nature des
concours financiers (ou des placements) et leurs montant. Ce dernier dépend étroitement de
l’évolution du BFR (ou de son excèdent)
C’est un instrument utile dans la négociation avec le banquier des profonds d’escompte ou de
découvert.
Il rend compte mensuellement de l’incidence sur la trésorerie des décisions de financement
précisées lors de l’élaboration du plan financier. Ainsi, il permet de mieux les répartir;
Le calcul du montant des charges financières prévisionnelles est facilité[1]
L’entreprise peut souhaiter affiner les informations données par le budget de trésorerie en
faisant intervenir l’escompte des effets escomptables et les placements des excédents prévus.
Les frais et les produits financiers doivent être incorporés dans le plan de trésorerie.
Les relations banques – entreprises sont régies par un ensemble de conditions appliquées aux
flux gérés par le trésorier. La notion de la condition bancaire recouvre trois types de règles
relatives aux dates de valorisation des flux, aux taux d’intérêts, aux commissions et aux frais
appliqués aux entreprises.
L’entreprise doit faire face, aujourd’hui encore à un ensemble de conditions régies par un
barème non officiel fixant des conditions standard relatives aux commissions, aux jours réels
de débits et de crédit en compte, aux marges appliquées aux crédits.
Les valeurs (chèques, effets et virements…) s’échangent entre des partenaires situés tous les
deux dans la même ville ou dans des villes (ou zones) différentes.
Le Maroc est divisé en zones par Bank al Maghreb qui relèvent en principe d’une agence de la
Banque centrale; exemple la zone (Casablanca, Mohammedia, Berrechid,) relève de la
compétence de la succursale de Bank Al Maghreb Casablanca.
Les échanges de valeurs à l’intérieur de la même zone sont dits des opérations sur place.
Les échanges effectués entres des agents situés dans deux zones différentes sont dits hors
place.
1- La condition standard
En nombre de jours de valeurs (cf. tableau: dates des valeurs appliquées.) Les conditions de
jours de valeur sont fixées par Bank Al Maghreb, c’est une réglementation cadre qui peut faire
l’objet de Négociation.
La compensation bancaire (sur place)
(1) Remise de chèque samedi 3/04
BENEFICIAIRE
DEBITEUR
(2)Remise à l’encaissement
Lundi 5/05 (matin)
BCM agence HassanII
SGMB agence Med V
(3)Envoi le même jour (soir)
(4) Mardi matin) BANK AL MAGHRIB
Compensateur BCM Compensateur SGMB
2- Coût du découvert
Des pratiques de jours de valeurs différentes des dates réelles. Par conséquent le taux supporté
par l’entreprise est généralement supérieure au taux nominal.
3- Les commissions
Ces commissions ne sont pas toutes lisibles sur un relevé, il faut demander le détail des
commissions et des frais appliqués. La commission de dépassement est de 2 % sur la somme
des dépassements de la
Période.
Une commission de découvert peut être appliquée, elle est d’environ 0,5 % mais elle est
comprise dans le
Taux.
Quand aux frais de terme du compte une demande de facturation doit être faite pour en
évaluer le montant
Réel.
Supposons le taux nominal du découvert est de 11,5 %. Si la banque accorde à l’entreprise un
découvert
Du 1èr du mois au 20, l’entreprise remet des chèques sur place le 20 du mois:
Les jours de valeur appliqués sont j + 2 c’est à dire le 22 du mois alors que l’entreprise n’a
bénéficié que
De 20 jours,
Le coût réel du découvert sera de 11,5
4- Echelle d’intérêt
22 jours
20 jours
= 12,65 %
C’est un tableau des écritures mensuelles des opérations par date de valeur. Il fait apparaître:
Les mouvements du compte: au débit ou au crédit
Les soldes journaliers liés aux mouvements du compte
Le nombre de jours que le solde est resté inchangé
Le nombre débiteur (créditeurs) produit du nombre de jour par le solde.
Coût du découvert est le total (cf. exemples)
Les intérêts débiteurs =Taux du découvert x Nombre débiteurs
360 000
Plus les commissions de dépassement
Dépassement x 2 %
Seules les prévisions à très court terme permettent de disposer des informations nécessaires à
une prise de décision.
Il s’agit donc d’optimiser le coût de la gestion à court terme en minimisant les charges
financières et maximisant les valeurs des placements.
Les prévisions à très court terme supposent la mise en place d’une organisation complexe. Ce
qui nécessite un travail d’analyse et d’information important.
Les certains pourront être chiffrés et positionnés dans le temps sans problème, les flux
incertains feront l’objet d’un traitement particulier, ils seront positionnées et leur montant
déterminé sur la base de calculs probabilistes ou de manière plus aléatoire.
B. Recherche d’informations
Le système comptable est mal adapté aux
Bons de caisse: ce sont des titres négociables représentatifs d’une créance à court ou à un
moyen terme. Ils sont à ordre ou au porteur. Ils sont généralement émis par les banques. Le
taux d’intérêt est librement négociable. Il existe de bon à échéance fixe et des bons d’épargne
à intérêt progressifs. La durée se situe entre un mois et cinq ans. Ils sont remboursables à tout
moment à l’issue du troisième mois.
Avance en compte courant à une entreprise. Elle ne peut se concevoir que dans le cadre d’un
groupe de sociétés.
Prêt à plus de deux ans. Ils sont possibles que si l’une des deux entreprises est un
établissement financier (société de crédit bail par exemple.) A titre exceptionnel, une
entreprise peut accorder un prêt à une autre entreprise, par exemple afin de renforcer les
relations commerciales
C’est la conjoncture entre le risque financier et celui de risque économique qui justifie
l’addition d’une prime de risque globale au taux d’intérêt pur sans risque. Le diagnostique de
ces types de risque conduit une analyse de levier financier, nous exprimons ensuite la
solvabilité de l’entreprise et sa liquidité. Le risque économique: dit aussi risque d’exploitation
il tien à la variabilité possible pour de multiples raisons dans l’évolution, toujours
difficilement prévisible de facteurs de l’ environnement tel que la conjoncture, la concurrence,
la technologie, la secteur d’activité etc., de la performance d’exploitation de l’entreprise
comme par exemple son excèdent brut d’exploitation c’est d’autres termes le risque d’une
entreprise non endettés et dans sa forme externe il désignerait un excédent brut d’exploitation
négatif
Donc une perte finale et par conséquent l’absence de dividende et l’appauvrissement des
fonds propres.
La notion du risque retenue dans le finance est différent, on rencontre dans l’analyse et la
gestion financière de nombreux catégories de risque d’abord les principaux types de risques
financier sont les suivants: le risque de change, le risque de contrepartie, le risque de taux
d’intérêt, le risque de liquidité, le risque pays, le risque de faillite et le risque politique.
– le risque de change:
C’est le risque sur les variations des cours des monnaies entre elle, risque sensiblement lié aux
facteurs temps. D’autres façons le risque de change trouve son origine dans les déséquilibres
du marché des changes. Si ce dernier était en permanence en équilibre.
Les entreprises pourraient se satisfaire d’une gestion passive et se contenter de subir le risque
l’existence de déséquilibre justifie une gestion active du risque qui consiste à se protéger
contre le risque défavorable tout en profitant éventuellement de l’évolution favorable (voir les
stratégies de gestion sur CH 2)
– Le risque de contrepartie
C’est le risque que la partie avec laquelle un contrat a été conclu ne tienne pas ses
engagements (livraison, paiement; remboursement etc.) pour une banque, c’est le risque que
ses clients soient dans l’incapacité de rembourser leurs emprunt ou qu’une autre banque avec
laquelle des opérations encours (correspondant bancaire) sont défaillantes.
Le risque de taux d’intérêt d’une entreprise naît des variations de la valeur du marché des
capitaux propres dues aux fluctuations non anticipées des taux d’intérêt.
– le risque de liquidité:
C’est le risque sur la facilité à acheter ou à revendre un actif. Si un marché n’est pas liquide,
vous risquez de ne pas trouver d’acheteur quand vous le voulez ou de ne pas trouver de
vendeur quand vous en avez absolument besoin, c’est un risque lié à la nature du sous-jacent
(de la marchandise) mais aussi à la crédibilité de l’acheteur vendeur. En effet, il est facile
d’acheter ou de vendre un produit courant à une contrepartie de confiance, mais plus difficile
avec un produit très spécialisé, le risque de contrepartie pour les éventuels fournisseurs/
clients, les dissoudre de traiter.
– Le risque pays:
Si un pays connaît une crise très grave (guerre, révolution; faillite en cascade etc.) alors même
les entreprise « de confiances » malgré leur crédibilité vont se trouver en difficulté. C’est un
risque de contrepartie lié à l’environnement de la contrepartie.
– Le risque de faillite:
Ce risque dit aussi risque de la liquidité ou de défaillance c’est un risque qui nous permet de
d’intéresser à la santé financière de l’entreprise, c’est-à-dire à la solidité de ses structures
financières, en portant un jugement sur sa solvabilité sa liquidité et son aptitude à faire face
aux risques, dans le langage courant il faut distinguer entre deux types de solvabilité:
Solvabilité immédiate, qui est le fait d’être capable de payer ces dettes lorsque celle-ci est
exigible.
Solvabilité globale ou à long terme, qui le fait de disposer d’un actif dont la valeur est
supérieure au montant des dettes. Mais comment appréhender son risque de défaillance ?
On peut, en premier lieu, effectuer l’étude des masses du bilan et de leur structure. On
procède alors à ce que l’on appelle une « analyse du bilan » qui sera examiné en premier lieu.
Cette analyse du bilan peut être complétée par l’étude de l’évolution des masses du bilan, et
par l’examen des nouveaux emplois et des nouvelles ressources qui apparaissent dans le
tableau de financement et leurs interprétations.
– Le risque politique:
Il résulte des évènements, des décisions et des actions d’ordre politique ou administratif,
national ou international pouvant entraîner des pertes pour l’entreprise importatrice.
Travaillant ou investissant à l’étranger.
(Gestion de la trésorerie: Cas des PME)
Lorsqu’un opérateur a plus acheté de sous-jacent qu’il n’en a vendu, il est « long », c’est-à-
dire que l’actif qu’il détient dans le sous-jacent est supérieur au passif correspondant. On peut
être « long » en euros, « long » en obligations, « long » en 3 mois, c’est-à-dire avoir prêté plus
qu’emprunté à 3 mois.
Le risque de marché correspondant à une position d’un
opérateur est à la baisse du prix du sous-jacent (ou la housse des taux). Inversement, lorsqu’un
opérateur a plus vendu de sous-jacent qu’il n’en a acheté, il est « court ». Le risque de marché
correspondant à une position courte d’un opérateur est la housse du prix du sous-jacent (ou à
la baisse des taux).
La notion de position est très importante pour les banques intervenant sur le marché des taux
et des changes. En général, les commerçants ont le droit de garder un certain montant en
position en fonction de leurs anticipations. Cependant, les clients leur achètent et leur vendant
des produits en permanence, modifiant d’autant leur position. Il peut même arriver qu’un
commerçant, à un instant donné, ait une position opposée à ses anticipations. Lorsque c’est le
cas; ils peuvent se « solder » (c’est-à-dire réaliser l’opération annulant la position sur le
marché interbancaire.
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(Gestion de la trésorerie: Cas des PME)
Le lecteur pourra conduire un raisonnement analogue sur le risque de taux d’intérêt. Le risque
commercial de taux d’intérêt est lié au niveau d’inflation des devises dans lesquelles les
marchandises sont achetées et vendues. Le risque financier de taux d’intérêt est tout à fait
évident: il provient directement des conditions des emprunts que l’entreprise a contractés et
des placements qu’elle a réalisés. On distingue généralement les emprunts à taux variable, qui
exposent l’entreprise à la housse des taux de référence, et les emprunts à taux fixes, qui font
craindre une perte d’opportunité liée à une éventuelle baisse des taux.
L’entreprise prendra soin de ne pas classer dans la rubrique dettes à plus d’un an les contrats
assortis de clauses de ratios sur sa propre situation financière ou sur son rating qui pourraient
affecter automatiquement la capacité de mobilisation ou réduire l’échéance des emprunts
contractés en cas de dégradation des ratios ou de baisse du rating.
a- le risque de liquidité
La liquidité se définit comme la faculté à acheter ou vendre un actif sans délai et sans perte de
valeur importante. L’évaluation du risque de liquidité est un préalable à chaque décision.
La liquidité des actifs (notamment les actifs financiers sur lesquels les trésoriers effectuent
habituellement des transactions) est fonction de la profondeur de leur marché secondaire ou
de l’existence d’intermédiaires financiers chargé de les replacer rapidement et sans «
dommage ».
Dans le cadre des prêts interentreprises ou des prêts bancaires, le risque de liquidité est
souvent limité à l’aide de clauses de remboursement anticipé dans les conventions de crédits.
b- le risque de signature
Le risque de signature survient lorsque l’une des parties contractantes, essentiellement le
débiteur vis-à-vis de son créancier, ne respecte pas son engagement (risque de contre partie).
Il est maximal lorsque le débiteur se trouve en situation de faillite (risque de défaut).
Les intervenants sur les marchés financiers de capitaux encourent ce risque dés lors qu’ils
souscrivent principalement des titres émis par les entreprises. C’est pourquoi des agences de
notation spécialisées ont facilité leur évaluation en publiant les scores des émetteurs.
Cette technique n’a tout fois pas
complètement atteint son objectif: Si une différenciation en fonction de la qualité de signature
a relativement eu lieu lorsque la notation de l’émetteur était supérieure au consensus celle-ci a
entraîné un phénomène d’éviction brutale du marché des signatures dont la notation était
inférieure [2]
Conclusion de chapitre II
Assez des commissions, censées rémunérer des services qu’elles fournissent à leurs
entreprises clientes, sont facturées par les banques (commissions de mouvement, de plus fort
découvert, de forfaitisation..)
La négociation des conditions bancaires, taux d’intérêt et commissions est une pratique
courante pour les entreprises désirant réduire leurs frais financiers. Ce pendant, toute
négociation ponctuelle engage la réputation de la firme et l’équilibre global de la relation
banque entreprise. Le maintien de ce dernier doit être une préoccupation constante pour le
trésorier
Le risque d’échange apparaît dès lors que l’entreprise réalise des transactions commerciales
ou financières en devises avec un décalage entre la date du contrat et son paiement, détient
une filiale ou des participations à l’étranger ou s’interroge sur l’incidence des transactions
futures en devises sur la formation de son résultat.
La gestion de la trésorerie peut être définie comme l’ensemble des moyens et techniques
permettant à l’entreprise de prévoir et de gérer les excédents et déficits de trésorerie issus de
ses activités d’exploitation, financier et H.A.O. Son principal objectif sera donc de parvenir à
un niveau de trésorerie « zéro » (où il n’y aurait ni déficits ni excédent); et de permettre ainsi
à l’entreprise de minimiser ses charges financières et accroître ses gains financiers.
Il est donc à la charge du Trésorier de tout mettre en œuvre pour atteindre cet objectif.
2- Le contrôle de la trésorerie
Le contrôle de la trésorerie consiste en une comparaison des soldes théoriques avec les soldes
réels des différents comptes de trésorerie. Différentes méthodes de contrôles sont utilisées par
la « PME X ». Il y a les contrôles sur la banque (pointage et conciliation) et le contrôle de la
caisse.
a) Les pointages
b) La conciliation bancaire
c) Le contrôle de la caisse
Il est effectué par le contrôleur de gestion et consiste à faire une comparaison entre les
existants réels en caisse et ceux théoriques récapitulés sur le brouillard de caisse. Un procès
verbal de contrôle de caisse est rédigé à la fin du processus de contrôle.
Lorsque le contrôle ne donne pas de différence entre les deux (2) soldes, la gestion de la
caisse est saine et le caissier reçoit décharge de sa gestion. Par contre, il peut arriver que la
comparaison donne des écarts. Les cas de figure présents peuvent être constatés:
· Le solde théorique supérieur au solde réel: il y a alors déficit de caisse et après justification
la régularisation se fait par l’enregistrement de l’écart comme perte dans le compte de charges
diverses.
Le solde théorique inférieur au solde réel: il y a alors excédent de caisse. L’écart est considéré
comme gain et après justification la régularisation se fait en l’enregistrant dans le compte de
produit divers.
Pour ce qui est du contrôle sur les décaissements par banque, il porte sur tous les documents
de décaissements (pièces de caisse, chèque, lettre de virements,…). Lorsque ces documents
sont établis, ils sont soumis à l’appréciation des signataires qui avant d’y porter leur
autorisation vérifient:
· La concordance des montants aux factures réglées;
· Les bénéficiaires;
· L’état du chèque (barré ou non barré);
· La mention « PAYEE » et les références du paiement (numéro du chèque,…),…
Pour ce qui est du contrôle de la caisse, avant de procéder au paiement de la pièce, il est porté
vérification sur: l’authenticité de la signature des signataires et la signature de la pièce par le
bénéficiaire. Il est en outre interdit au Caissier l’affectation directe des recettes aux dépenses
(compensation).
Dans sa présentation classique, le budget de trésorerie est un tableau présentant en colonne les
mois de l’année et en ligne les encaissements, les décaissements, le solde, la trésorerie initiale
et la trésorerie finale.
Pour élaborer un budget de trésorerie, il est indispensable d’avoir les informations suivantes:
· Le bilan de clôture de l’exercice précédent pour distinguer les créances et les dettes qui
arriveront à échéance au cours de la période (la période budgétaire de la « MA.BU.CIG» va
d’octobre à septembre, suivant l’exercice d’ITG);
Les budgets approuvés de toutes les directions: pour la prévision des achats, des ventes, de la
TVA, des charges sociales et de personnel, des investissements, charges diverses et
remboursements d’emprunts;
· Les modes de règlements: les délais de règlement clients et fournisseurs pour l’imputation
par mois;
· Les opérations H.A.O: cessions d’immobilisations, acomptes,…
Le budget de trésorerie de la « MA.BU.CIG» regroupe les informations telles que les flux
d’activité, les flux d’investissement hors taxe et les flux financiers.
Les flux d’activité concernent les prévisions d’encaissement et de décaissement liées aux
activités ordinaires. On peut citer:
· Les encaissements clients hors division: ce
sont les prévisions des encaissements relatifs aux règlements des clients;
· Les décaissements fournisseurs intra division: cette rubrique concerne les règlements des
factures des entreprises membres du groupe auprès desquels la « MA.BU.CIG »
s’approvisionne en matières premières;
· Les décaissements fournisseurs services et autres: ce sont les prévisions de décaissements
pour les règlements des factures des fournisseurs de services et autres achats;
· Les décaissements frais de personnel: concernent les décaissements pour la rémunération du
personnel;
· Les impôts sur le résultat et autres impôts et taxes: ce son les prévisions de décaissements
(mensuels) pour les paiements des acomptes de l’impôt sur les bénéfices, des droits d’accise
et de la TVA;
· Les frais financiers LMT et CT externes: ce sont les décaissements liés aux frais attachés
aux emprunts à long, moyen ou court termes contractés par la « MA.BU.CIG »;
La différence entre les encaissements et les décaissements donne le flux net d’activité.
Ce sont les prévisions d’acquisition d’immobilisations corporelles. Le total de ces flux donne
le flux net d’investissement.
La somme du flux net d’activité et du flux net d’investissement donne le cash opérationnel.
Ils sont constitués des prévisions de décaissements liés aux opérations financières. On a entre
autre:
– Les dividendes versés hors groupe: les prévisions de dividendes versés aux actionnaires de
la« MA.BU.CIG » non membres du groupe;
– Les dividendes versés intra groupe: pour les dividendes versés aux actionnaires membres du
groupe;
– Les remboursements d’emprunts LMT: pour les prévisions de remboursement des emprunts
contractés;
– La variation de l’endettement financier: il s’obtient en faisant la différence entre les
remboursements d’emprunts et le nominal des emprunts;
– La variation de la trésorerie: c’est l’augmentation ou la diminution de la trésorerie d’un
mois à l’autre.
Gestion des excédents et des déficits de la
trésorerie
By 20 April 2011
Une fois ces excédents et déficits trouvés, il faudra en chercher les origines. C’est là
qu’intervient l’analyse de la trésorerie.
Les soldes des comptes bancaires sont très souvent créditeurs. Elle a réussit à obtenir de ces
banques la rémunération de ses comptes (agios créditeurs);
-Les avances en comptes courants: ce sont des prêts et des acomptes octroyés soit à ses
entreprises fournisseurs à l’intérieur du groupe, soit à ses fournisseurs hors du groupe.
Cette analyse est faite par le Contrôleur de Gestion dans le but de mieux comprendre le solde
de la trésorerie. Le solde de la trésorerie est déterminé à partir de l’analyse des opérations
effectuées par celle-ci.
Ces opérations sont regroupées en trois catégories: les opérations de financements, les
opérations d’investissements, et les opérations d’exploitation. Il est alors intéressant de faire
cette analyse par l’étude de la structure financière faite à partir du bilan fonctionnel. Le bilan
fonctionnel est indiqué pour cela car il permet de mieux appréhender la structure du bilan
comptable par le classement des postes de celui-ci en cycles.
– Le cycle de financement: qui est l’ensemble des opérations de financement réalisées avec
les bailleurs de fonds.
Notre analyse sera axée sur le BFE parce qu’il permet une meilleure explication du solde de la
trésorerie et il est directement lié à l’activité de l’entreprise.
Lors du cycle d’exploitation, il apparaît un besoin de financement des stocks et des créances.
Il se dégage aussi une ressource de financement qui provient des fournisseurs et comptes
rattachés. C’est cette différence entre ce besoin et cette ressource qui donne le BFE.
On peut le calculer à partir de la formule suivante:
BFE = Actif circulant d’exploitation- Passif circulant d’exploitation
Lire le mémoire complet ==>
2- Analyse du BFE
a) Analyse du contenu du BFE
Le BFE étant obtenu en faisant la différence entre l’actif circulant d’exploitation et le passif
circulant d’exploitation, analyser son contenu revient à analyser les composants de l’actif
circulant d’exploitation et le passif circulant d’exploitation et du passif circulant
d’exploitation.
L’actif circulant d’exploitation est composé des stocks, des créances clients et comptes
rattachés et des autres créances d’exploitation. Il correspond au besoin de financement.
Le passif circulant d’exploitation, lui est composé des comptes fournisseurs et comptes
rattachés et des autres dettes d’exploitation.
Le niveau du BFE est influencé par la durée des crédits que l’entreprise accorde aux clients et
celle des dettes que le fournisseur lui accorde. Il est donc nécessaire pour l’entreprise de
connaître et de maîtriser ces durées à travers l’analyse des ratios de rotation.
F1:
Achat de matières premières
Stock moyen de matières premières
F2:
Stocks de produits finis
Consommations (en prix de ventes)
la durée du crédit client: ce ratio donne approximativement la durée des créances accordées
aux clients. Il s’obtient par la formule (F3):
F3:
Clients et comptes rattachés
Chiffre d’affaires TTC
la durée de la dette fournisseur: c’est la durée moyenne des dettes accordées par les
fournisseurs. Sa formule est la suivante (F4):
F4:
Fournisseurs et comptes rattachés
Achats et services extérieurs TTC
Durant quarante cinq (45) jours passés au Service Comptabilité de la « MA.BU.CIG », nous
avons pu faire quelques remarques sur la vie de la société en général et de Son Comptabilité
en particulier. Ces remarques auxquelles nous proposons à certaines des alternatives pour
pallier sont les suivantes:
– La bonne ambiance sociale dans lequel baigne le personnel de la « MA.BU.CIG » rendant
plus aisé l’exécution des tâches aux différents niveaux de responsabilité. Nous lui souhaitons
de pouvoir la maintenir pour s’assurer une bonne cohésion sociale;
– La contribution de la « MA.BU.CIG» dans la formation des futurs cadres de ce pays et
particulièrement ceux de certain région à travers l’octroi de stage à ceux-ci, en témoigne la
constante présence en son sein des étudiants stagiaires issus des établissements de la région et
de l’Université Moulay Ismail Nous la remercions pour cette contribution et souhaitons sa
continuation;
– L’approche écologique de la « MA.BU.CIG » à travers la mise en place d’un politique
environnement afin d’assainir le cadre de travail et de contribuer à la protection de
l’environnement de la région. Nous l’encourageons pour cette initiative;
Nous avons également constaté quelques points qui pourraient être améliorés. Ce sont:
– L’utilisation unique de DAT et d’avance de fonds comme placement pour les excédents de
trésorerie. La de « MA.BU.CIG » pourraient expérimenter d’autres instruments de placement
tels les achats d’obligations, la prise de participation dans d’autres entreprises du groupe,…
– La défaillance de personnel au service informatique. Un seul informaticien assure les
missions du Service Informatique de la « MA.BU.CIG ». En cas d’indisponibilité de ce
dernier (absence pour maladie, congé,…) certaines pannes informatiques causent des
dysfonctionnements surtout à la Direction Administrative et Financière où le matériel
informatique est beaucoup utilisé. Ce problème pourrait être résolu par le recrutement de
personnel dans ce service au vu de la taille du parc informatique de la société.
Nous souhaitons par la même occasion une pérennité des activités de la « MA.BU.CIG», pour
une augmentation de la production nationale et donc un accroissement des agrégats macro
économiques du pays.
CONCLUSION GENERALE
La gestion de la trésorerie comme nous avons pu le constater est plus facile en théorie qu’en
pratique. Le métier de Trésorier exige de la vigilance (pour le suivi des frais financiers), de
l’ordre (pour l’archivage des justificatifs),…
Nous avons ainsi compris qu’une entreprise pour s’assurer un meilleur avenir « doit se
montrer vigilante quant à sa situation financière et s’efforcer de gérer sa trésorerie le mieux
possible » Nous avons pu lors de notre stage effectuer des travaux qui incombent au Trésorier
en particulier et au Comptable en général (saisies des reçus de versements clients,
rapprochements bancaires,…). Il nous a été donné d’avoir une meilleure connaissance de cette
tâche, les difficultés qui y sont liées, la réalisation des différentes opérations de la trésorerie
principalement les décaissements et les encaissements, la gestion quotidienne et
prévisionnelle de la trésorerie, la gestion des excédents et déficits de la trésorerie,…
Ce stage, nous pouvons l’affirmer a été très bénéfique pour nous. Il nous a permis de mettre
en pratique les connaissances théoriques acquises, d’appréhender les questions pratiques de
gestion de la trésorerie. Il nous a permis en outre de compléter notre formation par la mise en
pratique des connaissances théoriques acquises lors des formations académiques.