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Cours chapitre 48 » Le malheur des uns fait le bonhheur des autres »

12/05/2013
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1- Une heure sépare le condamné de son arrêt de mort.


2- Le narrateur a qualifié le bourreau de valet de la guillotine.
3- La toilette du condamné commence à trois heures, elle consiste àcouper les
cheveux du condamné au hasard, ainsi que le col de sa chemise.
4- Les personnes ayant assisté à la toilette du condamné sont : le prêtre, les
gendarmes, le bourreau, ses deux valets (assistants) et un jeune journaliste.
5 Le bourreau s’appelait Samson.
6 Tantôt le narrateur compare les cris du peuple aux aboiements des chiens,
tantôt aux hurlements des loups .
7 L’indice qui montre la richesse du narrateur est : la chemise de batiste .
8 Le narrateur a surnommé ceux qui vendent les places aux spectateurs de
« marchands de sang humain »
9- Quand il entendit les cabaretiers crier « qui veut des place » le narrateur s’est
mis en colère.
10- Le narrateur a qualifié les spectateurs de : cruels et avides
11- Le narrateur a été transféré à l’Hôtel de ville qui donnait sur la place de la
Grève
12- « eux les chapeaux moi la tête » : Le narrateur fait allusion à sa décapitation.
13- Figures de style :
– Depuis six heures, depuis six semaines, depuis six mois. ( Gradation)
– Ces bourreaux sont des hommes très doux ( antiphrase)
– Les mille têtes hurlantes du peuple. ( Synecdoque)
– Cet atroce éloge. (Oxymore)
– Puis de la foule, de la foule et de la foule. ( Anaphore)
– Une mer de têtes sur la place. ( Métaphore + synecdoque)
– La place a éclaté en bruit. ( métonymie)
– Des marchands de sang humain criaient. ( Périphrase)
Les registres littéraires :
Le texte s’apparente à deux registres principaux :
Le registre tragique : le narrateur nous décrit le trajet allant de l’Hôtel de ville à la
place de la grève, au fur et à mesure que la charrette avance, la peur du narrateur
s’accroît « Le cœur m’a failli » « j’ai tremblé ».
– Le visage et les bras rouges des bourreaux renvoient au sang et connotent
ainsi la mort.
– L’attachement du narrateur au moyen d’une corde, illustre son impuissance
face à son destin, la mort est de ce fait inéluctable (inévitable) .
Le registre ironique : Tout apeuré qu’il soit le narrateur ne manque pas de railler( se
moquer) :
– La foule qui demande sa tête : « Et les plus près de moi battaient des mains,
si fort qu’on aime un roi, ce serait moins de fête » « eux les chapeaux moi la tête ».
– Les bourreaux qui veillent à ce que tout ce passe dans les règles : « ces
bourreaux sont des hommes très doux » « ils mettent de l’humanité là-dedans »
Cette alliance du tragique et de l’ironique ne tarde pas à enfanter de l’humour
noir « Alors j’ai ri horriblement aussi, moi et j’ai dit au prêtre : eux les chapeaux,
moi la tête ».
Thème dominant :
– La barbarie du peuple : Le narrateur dénonce l’avidité du peuple pour le
sang humain , il le compare à des chiens, voire à des loups affamés guettant leur
proie, prêts à l’attaque« l’horrible peuple qui aboie, et m’attend, et rit » « mais à
des rires qui éclataient, j’ai reconnu que c’était la foule » « la foule hurlait plus
haut au dehors ». Nul n’est censé être épargné de cette soif sanguinaire, même ceux
considérés comme étant le symbole de l’innocence et de la douceur, à savoir les
enfants et les femmes « Bonjour Monsieur Samson ! criaient les enfants pendus à
des grilles » « les entresols étaient pleins de spectateurs heureux de leurs belles
places. Surtout des femmes ».
Temps des verbes :
Le récit s’articule autour de deux moments principaux :
1) Le narrateur est dans l’Hôtel de ville : Le temps verbal employé est le présent
de l’énonciation : « Ainsi j’y suis » « La place est là »
2) Le narrateur décrit le trajet qu’il a fait depuis le Plais de la justice jusqu’à
l’Hôtel de ville: Le narrateur emploie les temps du récit ( imparfait et passé simple)
« Trois heures sonnaient » « on parlait à voix basse ».
1ère année bac, Le Dernier jour d'un condamné
Exercice de préparation chapitre 48
07/05/2013
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1- Combien de temps reste-t-il au condamné avant d’être exécuté ?
2- De quoi le narrateur a-t-il qualifié le bourreau ?
3- A quelle heure a commencé la toilette du condamné ? En quoi consiste-t-elle ?
4- Quels sont les personnages qui y ont assisté ?
5- Comment s’appelait le bourreau ?
6- A quels cris le narrateur a-t-il comparé les cris de la foule ?
7- Relevez dans le texte un indice qui démontre que le narrateur appartient à une classe
sociale aisée ( riche) ?
8- Comment le narrateur a surnommé ceux qui vendent des places aux spectateurs ?
9- Quelle était sa réaction lorsqu’il les entendit crier « qui veut des places ? »
10- Comment le narrateur a qualifié les spectateurs ?
11- Dans quel lieu le narrateur a-t-il été transféré sur une charrette ?
12- Que veut dire le narrateur par « Eux les chapeaux moi la tête »
13- A quelles figures de style appartiennent les énoncés suivants :
– Depuis six heures, depuis six semaines, depuis six mois.
– Ces bourreaux sont des hommes très doux
– Les mille têtes hurlantes du peuple.
– Cet atroce éloge.
– Puis de la foule, de la foule et de la foule.
– Une mer de têtes sur la place.
– La place a éclaté en bruit.
– Des marchands de sang humain criaient.
14- Le narrateur adopte à la fois un ton tragique et ironique relevez dans le texte quelques
expressions illustrant ces deux registres.
15- Complétez le tableau suivant

Réactions et sentiments du narrateur Réactions de la foule


Le Dernier jour d'un condamné
cours chapitre 23
05/05/2013
11 commentaires

Objectifs :
– Comprendre le réalisme du passage
– Etudier le pathétique et le satirique dans un roman à thèse.
Le condamné à mort « Je » rencontre celui qui va lui succéder dans sa cellule de
Bicêtre. Le Friauche ( condamné à mort) lui raconte son parcours criminel.
Ce personnage est présenté comme étant le marginal absolu, le symbole de la
misère , du désarroi et de la vulgarité.
Le profil d’un criminel :
– Fils de criminel condamné à mort : « Je suis fils d’un bon peigre… sa
cravate »
– Orphelin dès son plus jeune âge : « A six ans je n’avais plus ni père ni mère »
– Bagnard dès l’âge de dix-sept ans : « On m’a envoyé ramer dans la petite
marine »
– Libéré à l’âge de trente-deux ans, son passeport le met dans l’impossibilité de
devenir honnête homme « que les diables soient avec le passeport …point »
– Marginal ( rejeté par la société) : « Je faisais peur, et les petits enfants se
sauvaient, et l’on fermait les portes ».
– Misérable : « sale, en guenilles, demi nu, repoussant à voir »
– Vulgaire et grossier : « quel bonheur ! du tabac pour mes six semaines » « Ne
me prenez pas à sa place. Diable ! cela ne m’arrangerait pas, maintenant que j’ai de
quoi avoir du tabac ».
– Il n’éprouve ni regrets ni remords à l’égard de ses crimes : « Avoir volé un
mouchoir ou tué un homme, c’était tout un pour moi désormais » « et puis on
dansait sur la fosse, pour que la terre ne parût pas fraîchement remuée ».
– Il a passé par toutes les étapes de l’échelle de la criminalité : « J’avais déjà
passé tous les échelons de l’échelle, excepté un ».
Les registres littéraires dans le texte :
– Le registre réaliste : Le lecteur du passage ne manquera pas de remarquer
l’effet réaliste que l’auteur s’efforce de créer, en effet le récit du Friauche gagne en
crédibilité du moment qu’il est raconté par le personnage en question, de surcroît
les étapes franchies par le personnage ne laissent aucun doute quant à leur réalité; la
violence engendre la violence, le crime enfante un crime encore plus cruel et plus
sordide. enfin le vocabulaire dont le Friauche fait usage renforce l’illusion du réel
et de l’authentique.
– Le registre pathétique : L’auteur éveille la compassion du lecteur vis-à-vis
du personnage, en évoquant sa misère, son désarroi et sa condition de marginal.
– Le registre satirique : l’auteur dénonce et condamne l’injustice de la société
tout en la ridiculisant « J’empoignai un pain,et le boulanger m’empoigna ; je ne
mangeais pas le pain, et j’eus les galères à perpétuité » remarquons le décalage
entre la crime ( le vol d’un pain) et le châtiment ( les galères à perpétuité).
– Le registre ironique : l’ironie consiste à dire le contraire de ce que l’on
pense : « on m’a pris, j’avais l’âge, on m’a envoyé ramer dans la petite marine »
« la belle recommandation ! un galérien » « pour cela je n’avais que trois murs à
percer, deux chaînes à couper, et j’avais un clou ».
Le Dernier jour d'un condamné
exercice de préparation (chapitre 23)
29/04/2013
4 commentaires
Lisez attentivement le chapitre 23 et répondez aux questions suivantes :
1- Où le narrateur a fait la rencontre du Friauche ?
2- Identifiez les personnages du chapitre en faisant correspondre la colonne A à la colonne
B

Colonne A ( Colonne B (informations correspondantes)


personnages)
1- Le narrateur Haut responsable de la prison, il dit à l’huissier d’attendre « le
gibier » (un autre condamné)
2- Le Friauche b-Homme religieux chargé d’accompagner et de confesser le
narrateur avant son exécution
3- Prêtre c- Fonctionnaire de la justice accompagnant toujours le condamné
4- L’huissier d- Successeur du narrateur dans sa cellule à Bicêtre, personnage
principal du chapitre.
5- Le directeur e- Condamné à mort personnage principal de l’œuvre
3- Le narrateur brosse un portrait valorisant ou dévalorisant du Friauche ? Justifiez votre
réponse.
4- Quel âge avait le friauche ?
5- Le Friauche riait-il de bon cœur ? justifiez votre réponse par deux phrases du texte.
6- Pourquoi le narrateur ne savait pas ce qu’un friauche voulait dire ?
7- Ce mot appartient-il à un langage connu du narrateur ? comment appelle-t-on ce
langage ?
8- Que veulent dire les mots : sorbonne et tronche ? ( référez-vous au chapitre 5)
La saga d’un criminel :
Complétez le tableau suivant, pour obtenir l’histoire de vie du Friauche :

Age Parcours du criminel


Six ans
Il fait les poches et vole les manteaux
Dix ans
Dix- sept ans
On le libère, mais étant un ancien bagnard on
refuse de lui donner du travail. Il mène une
vie misérable alors il se livre au vol, il est
arrêté et condamné aux galères à perpituité.
Cinquante-cinq ans
9- Quelle est la visée de V. Hugo en insérant ce récit dans son œuvre ?
10- Quel effet cherche-t-il à produire chez le lecteur ?
11- Comment se manifeste l’injustice de la société envers ce marginal ?
12- Quelles sont les causes de la dérive du Friauche ?
13- Relevez dans le passage le champ lexical de la misère
14- Le chapitre est un mélange entre deux registres de langue différents, lesquels ?
15- A quels registres littéraires appartient le passage ?
Le Dernier jour d'un condamné
Cours chapitre 13
23/04/2013
un commentaire
Au cours de son séjour à Bicêtre, le narrateur assiste au spectacle sinistre du ferrement des
forçats qui partiront vers le bagne de Toulon. Il décrit non sans émotion le supplice qu’ils
subissent tout au long de cette cérémonie.
1- Un jour pas comme les autres :
Au début de l’extrait l’ambiance à Bicêtre s’annonce bruyante et inhabituelle : « tout Bicêtre
semblait rire, chanter, courir, danser »
2- Les tendances dramatiques de v. Hugo :
V. Hugo semble construire ce récit à l’image d’une pièce théâtrale :

Eléments de la représentation dramatiques Spectacle du ferrage


Spectateurs : Prisonniers et curieux de Paris
Spectateur privilégié : Le narrateur : il occupe la place d’honneur
« vous serez seul dans votre loge comme le
roi »
Acteurs La chiourme (les forçats), Les argousins, les
médecins, l’inspecteur, le directeur de la
prison, les deux forgerons.
Scène (plateau) La cour de Bicêtre
Eclairage : Trois niveaux :
– Il était à peine jour
– Le ciel devient noir
– Un rayon de soleil reparut

Trois actes : – -Acte 1 : Visite des médecins


– -Acte 2 : Visite des geôliers
– -Acte 3 : Le ferrage

Genre dramatique : La comédie : Rires des spectateurs,


acclamations railleuses des prisonniers,
aspect caricatural de quelques personnages (
petit vieillard trapu)…
3 -Un traitement cruel :
– Torture physique : « un argousin les aligna avec son bâton », « ils grelottaient, leurs
dents claquaient ; leurs jambes maigries, leurs genoux noueux s’entrechoquaient » « le
moindre mouvement d’avant en arrière lui ferait sauter le crâne comme une coquille de
noix ».
– Torture morale ( l’humiliation) « et si par hasard un forçat à un ami, la chaîne l’en
sépare. » « et tous commencèrent à se déshabiller »
4-Champs lexicaux :
 Le théâtre : spectateurs, actes, spectacle, acteurs
 La souffrance : pressés les au-dessus des autres, châtiment, nus
 La terreur : démons, épouvanté, hideux , effrayante, horrible
 La joie : rire, chanter ,danser, cris de joie
 La misère : maigres, blêmes, mornes, sales, honteux, déguenillés
5- Registres :
 Le comique
 Le pathétique
 Le tragique
Le comique et le tragique créent un effet aussi absurde que grotesque, engendré par le
décalage entre la réalité sordide ( souffrance des forçats) et les réactions des galériens (
rire, chants, ricanement …)
Enoncés Figures de style
Tout Bicêtre semblait rire, chanter, courir, Métonymie
danser
Seul immobile dans ce tumulte Antithèse
Et referma sur moi serrure, cadenas et Enumération / gradation
verrous
Et je fus épouvanté de voir tant d’étincelles Métaphore
reparaître dans cette cendre.
Voilà que deux ou trois portes basses Personnification et métaphore
vomirent…des nuées d’hommes hideux
1ère année bac, Le Dernier jour d'un condamné
Le dernier jour d’un condamné en images
13/03/2013
7 commentaires
Le procès du narrateur

La condamnation à mort
Le transfert vers Bicêtre
Le narrateur est obsédé par l’idée de la mort
Le spectacle du ferrage des forçats
Je laisse une mère, je laisse une femme, je laisse une fille
La conciérgerie
L’Hôtel de ville et la place de la Grève
Bicêtre

La guillotine
1ère année bac, Le Dernier jour d'un condamné
Biographie de Victor Hugo ( 1802-1885)
12/03/2013
Aucun commentaire

Victor Hugo est né le 26 Février 1802 à Besançon en France. Poète, romancier et


dramaturge, Victor Hugo est sans conteste l’un des géants de la littérature
française.Les romans les plus connus de Victor Hugo sont « Notre-Dame de Paris »
(1831) et »Les Miserables » (1862).
L’auteur des Misérables, des Châtiments et de nombreux poèmes a allié à la fois
ambition, longévité, puissance de travail et génie, ce qui ne pouvait que concourir à
ce mélange de fascination et d’irritation qu’il suscite encore aujourd’hui. I écrivait
avec simplicité et puissance les bonheurs et malheurs de la vie. Victor Hugo était
un travailleur acharné.
Entre 1827 ( Préface de son drame Cromwell) et 1830 (représentation d’Hernani,
qui est l’occasion d’une célèbre «bataille»), Victor Hugo s’affirme comme le chef
du romantisme.
De 1830 à 1840, il publie: un grand roman historique, Notre-Dame de Paris (1831)
; des drames, Marion de Lorme (1831), Le roi s’amuse (1832), Marie Tudor (1833),
Lucrèce Borgia (1833), Ruy Blas (1838); et surtout quatre recueils de poésies, où il
se montre maître dans l’expression lyrique des idées et des sentiments: les Feuilles
d’automne (1831), les Chants du crépuscule (1835), les Voix intérieures (1837), les
Rayons et les Ombres (1840).
Victor Hugo est mort à Paris le 23 May 1885 à 83 ans. Plus de 3 millions de
personnes ont assisté à ses funérailles..
1ère année bac, Le Dernier jour d'un condamné
QCM » Le Dernier jour d’un condamné »
20/05/2012
2 commentaires
1- Le condamné commence à écrire :
a- A Bicêtre
b- A la conciergerie
c- A l’Hôtel de ville
2- De quel spectacle est-il témoin écœuré ?
a- L’exécution d’un condamné à mort
b- Le ferrage des forçats
c- La torture d’un prisonnier
3- Le narrateur attend désespérément
a- La visite du prêtre
b- La grâce royale
c- Son transfert à la place de la grève
4- Le roman « Le Dernier jour d’un condamné » a une visée :
a- Narrative
b- Argumentative
c- Descriptive
5- Le gendarme demande au condamné une faveur, laquelle ?
a- Le laisser lire son journal intime.
b- Lui donner du tabac
c- Revenir après sa mort pour lui dévoiler les numéros gagnants de la loterie.
6- Quelle est la grande déception du condamné
a- Sa mère n’a voulu le voir
b- Sa femme n’est pas venue le voir
c- Sa fille ne le reconnaît pas
7- Pourquoi la femme du condamné n’a pas accompagné sa fille
a- Elle était malade
b- Elle est morte
c- Elle a demandé le divorce
8- Comment le narrateur a surnommé ceux qui vendent des places au spectateurs
a- Les vampires
b- Les vautours
c- Les marchands de sang humain
9- Quel indice montre que le narrateur appartient à la classe bourgeoise
a- Son chapeau
b- Sa redingote
c- Son pantalon
10- Comment s’appelle l’amour d’enfance du narrateur
a- Pera
b- Eva
c- Pepa
Le Dernier jour d'un condamné
Résumé du « Dernier jour d’un condamné » chapitre par chapitre
15/05/2012
37 commentaires
CHAPITRE1
Depuis cinq semaines, un jeune prisonnier vit constamment avec l’idée de la mort. Il est
doublement enfermé. Physiquement, il est captif dans une cellule à Bicêtre. Moralement, il
est prisonnier d’une seule idée : condamné à mort. Il se trouve dans l’impossibilité de penser à
autre chose.
CHAPITRE2
De sa cellule, le narrateur se souvient de son procès et de sa condamnation à mort. Il relate les
circonstances de son procès et sa réaction au verdict fatal.
CHAPITRE3
Le condamné semble accepter ce verdict. Il ne regrette pas trop de choses dan,s cette vie où
tous les hommes sont des condamnés en sursis. Peu importe ce qui lui arrive.
CHAPITRE4
Le condamné est transféré à Bicêtre. Il décrit brièvement cette hideuse prison.
CHAPITRE5
Le narrateur nous parle de son arrivée à la prison. Il a réussi à améliorer ses conditions de
prisonnier grâce à sa docilité et à quelques mots de latin. Il nous parle ensuite de l’argot
pratiqué en prison.
CHAPITRE6
Dans un monologue intérieur, le prisonnier nous dévoile sa décision de se mettre à écrire.
D’abord, pour lui-même pour se distraire et oublier ses angoisses. Ensuite pour ceux qui
jugent pour que leurs mains soient moins légères quand il s’agit de condamner quelqu’un à
mort. C’est sa contribution à lui pour abolir la peine capitale.
CHAPITRE7
Le narrateur se demande quel intérêt peut-il tirer en sauvant d’autre têtes alors qu’il ne peut
sauver la sienne.
CHAPITRE8
Le jeune condamné compte le temps qui lui reste à vivre. Six semaines dont il a déjà passé
cinq ou même six. Il ne lui reste presque rien.
CHAPITRE9
Notre prisonnier vient de faire son testament. Il pense aux personnes qu’il laisse derrière lui :
sa mère, se femme et sa petite fille. C’est pour cette dernière qu’il s’inquiète le plus
CHAPITRE10
Le condamné nous décrit son cachot qui n’a même pas de fenêtres. Il décrit aussi le long
corridor longé par des cachots réservés aux forçats alors que les trois premiers cabanons sont
réservés aux condamné à la peine capitale.
CHAPITRE11
Pour passer sa longue nuit, il se lève pour nous décrire les murs de sa cellule pleins
d’inscriptions, traces laissées par d’autres prisonniers. L’image de l’échafaud crayonnée sur
le mur le perturbe.
CHAPITRE12
Le prisonnier reprend sa lecture des inscriptions murales. Il découvre les noms de criminels
qui ont déjà séjourné dans cette triste cellule.
CHAPITRE13
Le narrateur- personnage se rappelle d’un événement particulier qui a eu lieu il y a quelques
jours dans le cour de la prison : le départ des forçats au bagne de Toulon. Il nous rapporte cet
événement comme un vrai spectacle en trois actes : la visite médicale, le visite des geôliers et
le ferrage. Il nous parle du traitement inhumain réservé à ces condamnés. A la fin du
spectacle, il tombe évanoui.
CHAPITRE14
Quand il revient à lui, il se trouve dans l’infirmerie. D’une fenêtre , il peut observer les
forçats partir tristement sous la pluie au bagne de Toulon. Il préfère plutôt la mort que les
travaux forcés.
CHAPITRE15
Le prisonnier est dans sa cellule. Il avait senti un peu de liberté dans l’infirmerie mais voilà
qu’il est repris par l’idée de la mort qu’il pense à s’évader.
CHAPITRE16
Le narrateur se rappelle de ces quelques heures de liberté à l’infirmerie. Il se souvient de
cette jeune fille qu’il a entendu chanter de sa vois pure, veloutée une chanson en argot.
CHAPITRE17
Il pense encore à s’évader. Il s’imagine déjà en dehors de la prison dans le port pour
s’embarquer vers l’Angleterre mais voilà qu’un gendarme vient demander son passeport : le
rêve est brisé
CHAPITRE18
Il est six heures du matin. Le guichetier entre dans le cachot. Il demande à notre condamné ce
qu’il désire à manger.
CHAPITRE19
Le directeur de la prison vient en personne voir le condamné. Il se montre doux et gentil. Le
jeune comprend que son heure est arrivée.
CHAPITRE20
Le narrateur pense à son geôlier, à la prison qu’il trouve partout autour de lui, dans les
murs, dans les guichetiers…
CHAPITRE21
Le condamné reçoit deux visites. D’abord celle du prêtre et puis celle de l’huissier. Ce dernier
vient lui annoncer que le pourvoi est rejeté et que son exécution aura lieu le jour même place
de Grève. Il reviendra le chercher dans une heure.
CHAPITRE22
Le prisonnier est transféré à la Conciergerie. Il nous conte le voyage et sa discussion avec le
prêtre et l’huissier pendant le trajet. Il se montre peu bavard et parait plutôt pensif. A huit
heures trente, la carriole est déjà devant la Cour.
CHAPITRE23
L’huissier remet le condamné aux mains du directeur. Dans un cabinet voisin, il fait une
rencontre curieuse avec un le condamné à mort qui séjournera dans la même cellule à
Bicêtre. Ce dernier, fils d’un ancien condamné à mort lui raconte son histoire et s’empare de
sa redingote .
CHAPITRE24
Le narrateur est enragé parce que l’autre condamné lui a pris sa redingote.
CHAPITRE25
Le condamné est transféré dans une autre cellule. On lui rapporte, sur sa demande une chaise,
une table, ce qu’il faut pour écrire et un lit.
CHAPITRE26
Il est dix heures. Le condamné plaint sa petite fille qui restera sans père. Elle sera peut être
repoussée, haie à cause de lui.
CHAPITRE27
Le narrateur se demande comment on pouvait mourir sur l’échafaud.
CHAPITRE28
Il se rappelle avoir déjà vu une fois monter une guillotine sur la place de Grève.
CHAPITRE29
Le jeune détenu pense à cette grâce qui ne vient toujours pas. Il estime maintenant que les
galères seraient meilleure solution en attendant qu’un jour la grâce arrive.
CHAPITRE30
Le prêtre revient voir le condamné. Celui-ci est loin d’apprécier sa présence. Ce prêtre parle
machinalement et semble peu touché par la souffrance du prisonnier. Ensuite, et bien que la
table soit délicate et bien garnie, il ne peut manger.
CHAPITRE31
Le narrateur est surpris de voir un monsieur prendre les mesures de la cellule. Ironie du sort :
la prison va être rénovée dans six mois.
CHAPITRE32
Un autre gendarme vient prendre la relève. Il est un peu brusque. Il demande au
prisonnier de venir chez lui après son exécution pour lui révéler les trois bon numéros
gagnants à la loterie . Le condamné veut profiter de cette demande bizarre : il lui propose
de changer ses vêtements avec lui. Le gendarme refuse ; il a compris que le prisonnier veut
s’évader.
CHAPITRE33
Pour oublier son présent, le narrateur passe en revue ses souvenirs d’enfance et de
jeunesse.Il s’arrête longuement sur le souvenir de Pepa, cette jeune andalouse dont il était
amoureux et avec qui il a passé une belle soirée d’été.
CHAPITRE34
Au milieu de ses souvenirs de jeunesse, le condamné pense à son crime. Entre son passé et
son présent, il y a une rivière de sang : le sang de l’autre ( sa victime) et le sien( le coupable)
CHAPITRE35
Le narrateur pense à toutes ces personnes qui continuent toujours à mener leur vie le plus
normalement au monde.
CHAPITRE36
Il se rappelle ensuite du jour où il est allé voir la grande cloche (le bourdon) de Notre-Dame
(cathédrale à Paris)
CHAPITRE37
Le narrateur décrit brièvement l’hôtel de ville.
CHAPITRE38
Il est une heure le quart. Le condamné éprouve une violente douleur. Il a mal partout. Il lui
reste deux heures quarante cinq à vivre.
CHAPITRE39
On dit que sous la guillotine, on ne souffre pas, que cela passe vite. Le narrateur se demande
comment on peut savoir une telle chose puisque aucun condamné déjà exécuté ne peut
l’affirmer.
CHAPITRE40
Le jeune détenu pense au roi. C’est de lui que viendrait la grâce tant attendue. Sa vie dépend
d’une signature. Il espère toujours.
CHAPITRE41
Le condamné se met dans la tête l’idée qu’il va bientôt mourir. Il demande un prêtre pour se
confesser, un crucifix à baiser
CHAPITRE42
Il se laisse dormir un moment. C’est son dernier sommeil. Il fait un cauchemar et se réveille
frémissant, baigné d’une sueur froide.
CHAPITRE43
La petite Marie vient rendre visite à son père. Ce dernier est choqué devant la fraîche et la
belle petite fille qui ne le reconnaît pas. Elle croit que son père est mort. Le jeune condamné
perd tout espoir.
CHAPITRE44
Le détenu a une heure devant lui pour s’habituer à la mort. La visite de sa fille l’a poussé dans
le désespoir.
CHAPITRE45
Il pense au peuple qui viendra assister au « spectacle » de son exécution. Il se dit que parmi
ce public enthousiaste, il y a des têtes qui le suivront , sans le savoir, dans sa fatale
destination.
CHAPITRE46
La petite Marie vient de partir. Le père se demande s’il a le temps de lui écrire quelques
pages. Il cherche à se justifiez devant les yeux de sa fille.
CHAPITRE47
Ce chapitre comporte une note de l’éditeur ; les feuillets qui se rattachent à celui-ci sont
perdus ou peut être que le condamné n’a pas eu le temps de les écrire
CHAPITRE48
Le condamné est dans une chambre de l’hôtel de ville. A trois heures, on vient l’avertir qu’il
était temps. Le bourreau et ses deux valets, lui coupent les cheveux et le collet avant de lier
ses mains. Le convoi se dirige ensuite vers la place de Grève devant une foule de curieux qui
attendent l’exécution.
CHAPITRE49
Le condamné demande sa grâce à cette personne qu’il croyait juge, commissaire ou
magistrat. Il demande, par pitié, qu’on lui donne cinq minutes pour attendre la grâce. Mais le
juge et le bourreau sortent de la cellule. Il reste seul avec le gendarme. Il espère encore mais
voilà qu’on vient le chercher…
1ère année bac, Le Dernier jour d'un condamné
Chapitres à lire (Dernier jour d’un condamné)
03/05/2012
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Activités de lecture

chapitre 23: Le récit de vie du Friauche


Chapitre 48: En route vers la place de la Grève.

Chapitre 49: Le condamné demande une grâce qui ne


lui sera jamais accordée

Activités de langue:
chapitre 15 : Étude du champ lexical de la justice.
Le discours direct- indirect – indirecte libre
Remarque:
Les chapitres ci-dessus ne sont que des supports d’étude
et d’analyse de l’œuvre, choisis en fonction de leur
pertinence . Par conséquent vous n’êtes pas dispensés
de la lecture de l’œuvre dans son intégralité.
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