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Introduction
Pour tous les régimes d’oscillations qu’on a vu au chapitre 1 et pour des oscillateurs qui sont
soumis à une force de frottement visqueux, le mouvement est caractérisé par une décroissance
d’amplitude due au terme 𝑒 −𝜆𝑡 , et qui tend vers zéro pour rejoindre la position d’équilibre
dans une durée plus ou moins longue.
Pour assurer la continuation du mouvement de ces systèmes, il fallait les exciter par une
action extérieure périodique permettant de leur donner un mouvement perpétuel. On dit qu’on
a entretenu l’oscillateur.
Le système provoquant l’excitation de l’oscillateur est appelé excitateur. Celui qui l’a subi
c’est le résonateur. On dit que le résonateur subit des oscillations forcées.
1
Mécanique du point – Partie 2 TAMANI Mohammed
Dans la phase du moteur bloqué, l’équation de mouvement de la masse m est celle d’un
oscillateur libre amorti dont l’allongement du ressort à un instant donné est (𝑧 + 𝑧𝑒 − 𝑧0 ).
Lors du fonctionnement du moteur, le fil fait subir à la masse une force supplémentaire qui
tire ou pousse le ressort selon la position du point d’attache. L’allongement du ressort dans
cette situation prend la valeur (𝑧 − 𝑧𝑓 + 𝑧𝑒 − 𝑧0 ). 𝑧 et 𝑧𝑓 sont des quantités algébriques :
𝑧(𝑡) > 0 et 𝑧𝑓 (𝑡) < 0.
𝑃⃗ + 𝑓 + 𝐹 = 𝑚𝑎(𝑀/𝑅)
À l’équilibre, la longueur du fil entre le point d’attache et la poulie est L. À un instant t cette
longueur est l.
𝑧𝑓 = 𝐿 − 𝑙
2
Mécanique du point – Partie 2 TAMANI Mohammed
𝑒 2 𝑒 2 𝑒
𝑧𝑓 = 𝐷 √1 + ( ) − 𝐷√1 + ( ) − 2 cos 𝜃
𝐷 𝐷 𝐷
1 𝑒 2 1 𝑒 2 𝑒
𝑧𝑓 = 𝐷 (1 + ( ) ) − 𝐷 (1 + ( ) − cos 𝜃)
2 𝐷 2 𝐷 𝐷
1 𝑒 2 1 𝑒 2 𝑒
𝑧𝑓 = 𝐷 (1 + ( ) − 1 − ( ) + cos 𝜃)
2 𝐷 2 𝐷 𝐷
𝑒
𝑧𝑓 = 𝐷 ( cos 𝜃) = 𝑒 cos 𝜃
𝐷
Le moteur tourne avec une vitesse angulaire constante 𝜔 donc 𝜃 = 𝜔𝑡
𝐹0
𝑧̈ + 2𝜆𝑧̇ + 𝜔02 𝑧 = cos 𝜔𝑡
𝑚
Avec
ℎ 𝐾
2𝜆 = 𝜔02 = 𝐹0 = 𝐾𝑒
𝑚 𝑚
F0 a les dimensions d’une force, elle représente l’amplitude maximale de la force excitatrice.
On voit clairement que l’oscillateur est entretenu par une force excitatrice sinusoïdale.
L’équation obtenue est une équation différentielle à coefficients constants du second ordre
avec second membre. Le caractère linéaire de cette équation permet de dire que toute solution
de l’équation différentielle peut s’écrire sous forme d’une combinaison linéaire de deux
solutions de celle-ci.
La solution générale de l’équation sans second membre est celle d’un oscillateur libre amorti
par frottement fluide, elle s’annule rapidement sous l’effet d’amortissements. C’est le régime
transitoire.
3
Mécanique du point – Partie 2 TAMANI Mohammed
Lorsque la masse est soumise à l’excitation du moteur, elle oscille avec la même pulsation
que ce dernier. La solution particulière de l’équation avec second membre est une fonction
sinusoïdale qui a la même pulsation que celle de l’excitation mais avec une phase différente.
Le régime correspondant est permanent.
À chaque grandeur réelle de l’équation différentielle, on associe une grandeur complexe dont
la partie réelle représente cette grandeur.
𝜔02 𝑒
𝑧̅𝑚 =
𝜔02 − 𝜔 2 + 𝑗2𝜆𝜔
𝜔02 𝑒
𝑧𝑚 = |𝑧̅𝑚 | =
√(𝜔02 − 𝜔 2 )2 + 4𝜆2 𝜔 2
On peut écrire :
2𝜆𝜔 2𝜆𝜔
tan 𝜑 = − = 2
𝜔02 −𝜔 2 𝜔 − 𝜔02
Résonance d’élongation
Réponse en amplitude
On dit qu’un oscillateur est dans la zone de résonance lorsque la pulsation de son excitateur
est proche de sa pulsation propre.
𝑒 1 u
𝑧𝑚 = et tan φ =
𝑢2 Q u2 − 1
√(𝑢2 − 1)2 +
𝑄2
′
𝑢2 2𝑢
−e (√(𝑢2 − 1)2 + ) −𝑒 [2x2𝑢(𝑢2 − 1) + ]
𝑑𝑧𝑚 𝑄2 𝑄2
= = 3
𝑑𝑢 𝑢2
(𝑢2 − 1)2 + 𝑢2 2
𝑄2 2 [(𝑢2 − 1)2 + 2 ]
𝑄
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Mécanique du point – Partie 2 TAMANI Mohammed
2 1
𝑑𝑧𝑚 −𝑒𝑢 (2𝑢 − 2 + 𝑄 2 )
= 3
𝑑𝑢 2 2
𝑢
[(𝑢2 − 1)2 + 2 ]
𝑄
𝑑𝑧𝑚 1
est nul si on a : 𝑢 = 0 ou 2𝑢2 − 2 + 𝑄2 = 0
𝑑𝑢
1
Dans cette condition la fréquence de résonance correspond à 𝜔𝑟 = 𝜔0 √1 − 2𝑄2.
Plus l’oscillateur est faiblement amorti plus se décalage disparait et 𝜔𝑟 se situe proche de 𝜔0 .
𝑒 𝑒𝑄
(𝑧𝑚 )𝑚𝑎𝑥 = =
1 1 1
√ (1 − 2 ) √1 −
𝑄2 4𝑄 4𝑄 2
Réponse de phase
Le déphasage entre l’élongation et la force excitatrice est :
1 u
tan φ =
Q u2 − 1
Si la pulsation de l’excitateur est faible alors le déphasage et nul, le résonateur est en phase
avec l’excitateur.
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Mécanique du point – Partie 2 TAMANI Mohammed
𝒁𝒎
𝝎𝟎
Courbe de l’amplitude en fonction de la Courbe de la phase en fonction de la
pulsation de l’excitateur pour différents pulsation de l’excitateur pour
degrés d’amortissement différents degrés d’amortissement
Plus l’amortissement est faible, plus la courbe est étroite et son maximum est élevé. On dit
que la résonance est aiguë. Lorsque l’amortissement augment, les maximums deviennent de
plus en plus loin de 𝜔0 avec des pics larges. La résonance est dite floue.
1
La résonance d’élongation ne peut se faire que dans le cas où 𝑄 >
√2
Résonance de vitesse
Réponse en amplitude
La vitesse est la dérivée par rapport au temps du déplacement. Dans la représentation
complexe la vitesse est déduite de l’élongation en effectuant le produit entre celle-ci et 𝑗𝜔.
Avec :
𝑗𝜔𝜔02 𝑒
𝑉̅𝑚 = 𝑗𝜔𝑧̅𝑚 =
𝜔02 − 𝜔 2 + 𝑗2𝜆𝜔
𝑗𝜔0 𝑒 𝑗𝜔0 𝑒
𝑉̅𝑚 = =
𝜔0 𝜔 1 1 1
𝜔 − 𝜔0 + 𝑗 𝑄 𝑢 − 𝑢 + 𝑗 𝑄
1 1 1 1
𝑗𝜔0 𝑒 (𝑢 − 𝑢 − 𝑗 𝑄 ) 𝜔0 𝑒 [𝑄 + 𝑗 (𝑢 − 𝑢)]
𝑉̅𝑚 = 𝑉𝑚 𝑒 𝑗𝜑 = 2 = 2
1 1 1 1
(𝑢 − 𝑢) + 2 (𝑢 − 𝑢) + 2
𝑄 𝑄
𝜔0 𝑒 1
𝑉𝑚 = et tan 𝜑 = −𝑄 (𝑢 − )
2 𝑢
√(𝑢 − 1) + 12
𝑢 𝑄
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Mécanique du point – Partie 2 TAMANI Mohammed
′
2
1 1
−𝜔0 𝑒 (√(𝑢 − 𝑢) + 2 ) 1 1
𝑄 −2𝜔0 𝑒 (𝑢 − 𝑢) (1 + 2 )
𝑑𝑉𝑚 𝑢
= =
𝑑𝑢 1 2 1 3
(𝑢 − 𝑢) + 2 1 2 1 2
𝑄 2 [(𝑢 − 𝑢) + 2 ]
𝑄
𝑑𝑉𝑚
=0 ⟹ 𝑢2 = 1 ⟹ 𝜔𝑟 = 𝜔0
𝑑𝑢
Contrairement à la résonance d’élongation, la résonance de vitesse se produit pour toute
valeur du facteur de qualité Q et a lieu lorsque la pulsation 𝜔 est égale à la pulsation propre
𝜔0 de l’oscillateur. Ainsi pour tout degré d’amortissement les courbes sont toutes centrées à
la pulsation propre de l’oscillateur.
Réponse de phase
𝜋
La multiplication par j entraine une avance de phase de 2 de la vitesse par rapport à
l’élongation.
𝜋
Si 𝜔 → 0 𝜑(𝑧) → 0 et 𝜑(𝑉) → 2
𝜋
Si 𝜔 → 𝜔0 𝜑(𝑧) → − 2 et 𝜑(𝑉) → 0
𝜋
Si 𝜔 → +∞ 𝜑(𝑧) → −𝜋 et 𝜑(𝑉) → − 2
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Mécanique du point – Partie 2 TAMANI Mohammed
Impédance mécanique
L’impédance mécanique traduit l’opposition du système mécanique à se déplacer à une
certaine vitesse sous l’action d’une force. À la résonance cette impédance est minimale de
𝐾
valeur 𝑍 = ℎ, h le coefficient de frottement visqueux (𝑚𝜔 = 𝜔)
Par analogie électromécanique, l’impédance mécanique est une grandeur complexe définie
par le rapport entre la force excitatrice et la vitesse de l’oscillateur.
𝐹̅ = 𝑒𝐾𝑒 𝑗𝜔𝑡
{̅ 𝑗𝜔𝜔02 𝑒
𝑉 = 𝑉̅𝑚 𝑒 𝑗𝜔𝑡 = 𝑒 𝑗𝜔𝑡
𝜔02 − 𝜔 2 + 𝑗2𝜆𝜔
𝐹̅ 𝑒𝐾
𝑍̅ = =
𝑉̅ 𝑉̅𝑚
𝑒𝐾
𝑍̅ = 2
(𝜔02 − 𝜔2 + 𝑗2𝜆𝜔)
𝑗𝜔𝜔0 𝑒
𝑚 2
𝑍̅ = (𝜔0 − 𝜔2 + 𝑗2𝜆𝜔)
𝑗𝜔
𝑚𝜔02
𝑍̅ = 2𝑚𝜆 + 𝑗 (𝑚𝜔 − )
𝜔
𝐾
𝑍̅ = ℎ + 𝑗 (𝑚𝜔 − )
𝜔
D’où l’impédance mécanique est :
𝐾 2
√ 2
𝑍 = ℎ + (𝑚𝜔 − )
𝜔
À la résonance on a :
𝐾
𝜔2 = 𝜔02 ⟹ 𝑚𝜔 =
𝜔
L’impédance Z est réduite au coefficient de frottement h (𝐹 = ℎ𝑉)
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Mécanique du point – Partie 2 TAMANI Mohammed
𝐹 = 𝐹𝑚 cos 𝜔𝑡 𝑉 = 𝑉𝑚 cos(𝜔𝑡 + 𝜑)
⃗ = 𝐹𝑉
𝓅𝑒 = 𝐹 . 𝑉
L’impédance mécanique est définit par 𝐹𝑚 = 𝑍𝑉𝑚 donc la puissance instantanée est :
𝐹𝑚2
𝓅𝑒 (𝑡) = cos 𝜔𝑡 cos(𝜔𝑡 + 𝜑)
𝑍
Puissance moyenne
On cherche la puissance moyenne sur une période fournie à l’oscillateur.
1 𝑇 1 𝑇 𝐹𝑚2
〈𝓅𝑒 〉 = ∫ 𝓅 (𝑡)𝑑𝑡 = ∫ cos 𝜔𝑡 cos(𝜔𝑡 + 𝜑) 𝑑𝑡
𝑇 0 𝑇 0 𝑍
𝐹𝑚2 𝑇
〈𝓅𝑒 〉 = ∫ [cos(2𝜔𝑡 + 𝜑) + cos 𝜑] 𝑑𝑡
2𝑍𝑇 0
𝑇
𝐹𝑚2 1
〈𝓅𝑒 〉 = [ sin(2𝜔𝑡 + 𝜑) + 𝑡 cos 𝜑]
2𝑍𝑇 2𝜔 0
𝐹𝑚2 1
〈𝓅𝑒 〉 = [ sin(2𝜔𝑇 + 𝜑) + 𝑇 cos 𝜑 − sin 𝜑]
2𝑍𝑇 2𝜔
𝐹𝑚2
〈𝓅𝑒 〉 = cos 𝜑
2𝑍
Tenant compte de l’expression de l’impédance mécanique 𝐹𝑚 = 𝑍𝑉𝑚 on a :
𝑉𝑚2 ℎ
〈𝓅𝑒 〉 = Zcos 𝜑 cos 𝜑 =
2 𝑍
La valeur moyenne de la puissance devient :
𝑉𝑚2
〈𝓅𝑒 〉 = ℎ
2
C’est la puissance moyenne fournie par l’excitateur pendant une période T.
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Mécanique du point – Partie 2 TAMANI Mohammed
⃗ .𝑉
𝓅𝑑 = −ℎ𝑉 ⃗ = −ℎ𝑉𝑚2 cos2 (𝜔𝑡 + 𝜑)
ℎ𝑉𝑚2 𝑇 2
〈𝓅𝑑 〉 = − ∫ cos (𝜔𝑡 + 𝜑) 𝑑𝑡
𝑇 0
ℎ𝑉𝑚2 𝑇
=− ∫ [1 + cos 2(𝜔𝑡 + 𝜑)]𝑑𝑡
2𝑇 0
𝑇
ℎ𝑉𝑚2 1
=− [𝑡 + sin 2(𝜔𝑡 + 𝜑)]
2𝑇 2𝜔 0
𝑇
ℎ𝑉𝑚2 1
=− [𝑇 + sin(2𝜔𝑇 + 𝜑) − sin 𝜑]
2𝑇 2𝜔 0
ℎ𝑉𝑚2
〈𝓅𝑑 〉 = − = −〈𝓅𝑒 〉
2
Donc la puissance fournie par l’excitateur compense la puissance dissipée par l’oscillateur
sous l’effet de frottement visqueux.
Finesse de la résonance
A partir de l’expression de la puissance moyenne fournie à l’oscillateur en fonction de
l’amplitude de vitesse dépendant de la pulsation réduite :
𝜔0 𝑒
𝑉𝑚 =
2
√(𝑢 − 1) + 12
𝑢 𝑄
ℎ 𝜔02 𝑒 2
〈𝓅𝑒 〉 =
2 1 2 1
(𝑢 − 𝑢) + 2
𝑄
〈𝓅𝑒 〉𝑚𝑎𝑥
〈𝓅𝑒 〉 =
2
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Mécanique du point – Partie 2 TAMANI Mohammed
ℎ 𝜔02 𝑒 2 ℎ𝜔02 𝑒 2 𝑄 2
=
2 1 2 1 4
(𝑢 − 𝑢) + 2
𝑄
1 𝑄2
=
1 2 1 2
(𝑢 − 𝑢) + 2
𝑄
2
1 2
𝑄 (𝑢 − ) + 1 = 2
𝑢
1 2 1
(𝑢 − ) − 2 = 0
𝑢 𝑄
1 1 1 1
[(𝑢 − ) + ] [(𝑢 − ) − ] = 0
𝑢 𝑄 𝑢 𝑄
𝑢 𝑢
(𝑢2 + − 1) (𝑢2 − − 1) = 0
𝑄 𝑄
𝑢
𝑢2 + −1=0 (𝑖)
𝑄
𝑜𝑢
𝑢
𝑢2 − − 1 = 0 (𝑖𝑖)
{ 𝑄
Si on analyse les deux équations du second degré, on remarque qu’elles ont toutes les deux,
deux solutions réelles distinctes de signe opposé. On va prendre la solution positive de
chaque équation.
′
1 2
∆ = [( ) + 1]
2𝑄
1 1 2 1 1 2
𝑢1 = − √
+ ( ) +1 𝜔1 = 𝜔0 (− √
+ ( ) + 1)
2𝑄 2𝑄 2𝑄 2𝑄
1 2
∆′ = [( ) + 1]
2𝑄
1 1 2 1 1 2
𝑢1 = + √( ) + 1 𝜔2 = 𝜔0 ( + √( ) + 1)
2𝑄 2𝑄 2𝑄 2𝑄
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Mécanique du point – Partie 2 TAMANI Mohammed
𝜔0
∆𝜔 = 𝜔2 − 𝜔1 =
𝑄
〈𝑉𝑚 〉𝑚𝑎𝑥
En terme de vitesse, elle est exprimée par : 〈𝑉𝑚 〉 = Puisque 〈𝓅𝑒 〉 = 𝑍𝑉𝑚2
√2
La bande passante est alors l’ensemble des pulsations contenues dans le domaine [𝜔1 , 𝜔2 ].
Dans ce cas étudié et lorsque 𝜔1 et 𝜔2 sont finis, le système est dit passe bande.
𝜔
On qualifie un oscillateur par la valeur de son acuité ou finesse ∆𝜔0 .
Une résonance est dite floue lorsque ∆𝜔 est large, ce qui correspond à un facteur de qualité
bas (amortissement moins faible).
En électricité on trouve des facteurs de qualité faibles qui ne dépassent pas 100 à cause de la
difficulté de réaliser des bobines de résistance négligeable.
1
𝑚→𝐿 ℎ→𝑅 𝐾→
𝐶
𝑥→𝑞 𝑥̇ = 𝑣 → 𝑞̇ = 𝑖 𝐹→𝑈
𝑞
La résonance d’élongation est équivalente à la résonance de charge (ou de tension 𝑈 = 𝐶).
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