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EOI TARRAGONA FRANÇAIS NIVEAU 5 USAGE DE LA LANGUE Test nº 1

Burn-out* : pourquoi les salariés sont-ils dans le déni** ?


Les victimes s’attribuent ---1--- la responsabilité de ---2--- mal-être. En France, seulement 60 %
de ---3--- ne croient pas être victimes de burn-out n’ont ---4--- risque de l’être.
Près de 3,2 millions de Français ---5--- en risque élevé de burn-out, selon le cabinet
Technologia, ---6--- l’agence nationale Santé publique France ne compte ---7--- 30 000 cas
avérés de/d’---8--- professionnel.
Le fossé entre ces deux bilans a de ---9--- donner le vertige. Peut-on parler de déni ? ---10--- la
base du Job Burnout Inventory, un questionnaire mis ---11--- point en 2016 par trois
chercheurs (Moïra Mikolajczak, Thomas Pirsoul, Isabelle Roskam) de l’université catholique de
Louvain (Belgique) pour évaluer le risque de burn-out, la start-up Moodwork a lancé à la fin
2017 le dispositif testmyburnout.com, ---12--- à chaque salarié de s’autoévaluer. ---13--- juin,
plus de 7 000 personnes s’étaient exprimées ---14--- leur conviction d’être (ou non) en burn-
out et avaient répondu à une série de questions concernant leur charge de travail, leurs
relations avec leurs ---15---, leur mémoire, leur sommeil, etc.
Les données ainsi recueillies pour mesurer l’épuisement professionnel ont révélé que sur les 2
851 personnes déclarées « absolument pas » en burn-out, seules 1 733 ne présentaient aucun
risque (60 %). 738 étaient même en « risque élevé de burn-out ». Le contraste important entre
le niveau de burn-out et le ressenti des salariés a reposé la question d’un éventuel déni.
Moodwork a demandé au responsable du pôle recherche du Lab RH, Jean Pralong, professeur
de gestion des ressources humaines, d’approfondir le travail de recherche.
« Après avoir indiqué aux salariés quelques symptômes pour reconnaître le burn-out :
épuisement, état dépressif, difficultés à mener ses tâches à bien, on les a interrogés sur les
causes possibles du burn-out d’un salarié, ou de leur propre burn-out », explique Jean Pralong.
La différence de résultat, selon que le burn-out les concerne directement ou pas, confirme le
déni des salariés et donne un début d’explication.

LE MONDE ECONOMIE | 09.07.2018 Par Anne Rodier

*Burn-out : Syndrome d’épuisement professionnel


**Déni : Fait de dénier, de refuser.

1. a. à raison b. à tort c. en faux


2. a. ses b. son c. leur
3. a. celui qui b. ceux dont c. ceux qui
4. a. pas b. aucun c. plus
5. a. seraient b. sont c. étaient
6. a. pourvu que b. tandis que c. car
7. a. que b. pas c. plus
8. a. épanouissement b. succès c. épuisement
9. a. quoi b. que c. quel
10. a. à b. dans c. sur
11. a. à b. au c. en
12. a. permettant b. en permettant c. permettrait
13. a. le b. en c. au
14. a. quand à b. quant à c. sous
15. a. copains b. camarades c. collègues
CORRECTION :

Les victimes s’attribuent à tort la responsabilité de leur mal-être. En France, seulement 60 %


de ceux qui ne croient pas être victimes de burn-out n’ont aucun risque de l’être.
Près de 3,2 millions de Français seraient en risque élevé de burn-out, selon le cabinet
Technologia, tandis que l’agence nationale Santé publique France ne compte que 30 000 cas
avérés d’épuisement professionnel.
Le fossé entre ces deux bilans a de quoi donner le vertige. Peut-on parler de déni ? Sur la base
du Job Burnout Inventory, un questionnaire mis au point en 2016 par trois chercheurs (Moïra
Mikolajczak, Thomas Pirsoul, Isabelle Roskam) de l’université catholique de Louvain (Belgique)
pour évaluer le risque de burn-out, la start-up Moodwork a lancé à la fin 2017 le dispositif
testmyburnout.com, permettant à chaque salarié de s’autoévaluer. En juin, plus de 7 000
personnes s’étaient exprimées quant à leur conviction d’être (ou non) en burn-out et avaient
répondu à une série de questions concernant leur charge de travail, leurs relations avec leurs
collègues, leur mémoire, leur sommeil, etc.
Les données ainsi recueillies pour mesurer l’épuisement professionnel ont révélé que sur les 2
851 personnes déclarées « absolument pas » en burn-out, seules 1 733 ne présentaient aucun
risque (60 %). 738 étaient même en « risque élevé de burn-out ». Le contraste important entre
le niveau de burn-out et le ressenti des salariés a reposé la question d’un éventuel déni.
Moodwork a demandé au responsable du pôle recherche du Lab RH, Jean Pralong, professeur
de gestion des ressources humaines, d’approfondir le travail de recherche.
« Après avoir indiqué aux salariés quelques symptômes pour reconnaître le burn-out :
épuisement, état dépressif, difficultés à mener ses tâches à bien, on les a interrogés sur les
causes possibles du burn-out d’un salarié, ou de leur propre burn-out », explique Jean Pralong.
La différence de résultat, selon que le burn-out les concerne directement ou pas, confirme le
déni des salariés et donne un début d’explication.

LE MONDE ECONOMIE | 09.07.2018 Par Anne Rodier

1. a. à raison b. à tort c. en faux


2. a. ses b. son c. leur
3. a. celui qui b. ceux dont c. ceux qui
4. a. pas b. aucun c. plus
5. a. seraient b. sont c. étaient
6. a. pourvu que b. tandis que c. car
7. a. que b. pas c. plus
8. a. épanouissement b. succès c. épuisement
9. a. quoi b. que c. quel
10. a. à b. dans c. sur
11. a. à b. au c. en
12. a. permettant b. en permettant c. permettrait
13. a. le b. en c. au
14. a. quand à b. quant à c. sous
15. a. copains b. camarades c. collègues
EOI TARRAGONA FRANÇAIS NIVEAU 5 USAGE DE LA LANGUE Test nº 2

Armistice 14-18 : Macron et Merkel ensemble à Rethondes, une


première ---1--- 1945

C'est la première rencontre ---1--- 1945 entre un chef d'Etat français et un chef de
gouvernement allemand à Rethondes, lieu de l'armistice du 11 Novembre.

Emmanuel Macron et Angela Merkel ont ---2--- ce samedi une plaque pour commémorer
l'armistice de 1918, ---3--- d'une cérémonie hautement symbolique dans la clairière de
Rethondes (nord) ---4--- fut scellée la fin de la Première Guerre mondiale.

C'est la première fois ---1--- 1945 que le président français et le chef du gouvernement
allemand ---5--- dans ce mémorial, situé dans une clairière de la forêt de Compiègne.
L'armistice ---6--- fut signé le 11 novembre 1918, dans un wagon restaurant, mettant un terme
à un conflit qui fit 18 millions de morts.

"La cérémonie sera sobre et sans discours", avait annoncé l'Elysée.

Les deux dirigeants ont déposé une gerbe et ---2--- la nouvelle plaque au pied du monument la
'Dalle sacrée', au milieu de la clairière, ---7--- on peut lire 'Ici le 11 novembre 1918 ---8--- le
criminel orgueil de l'empire allemand vaincu par les peuples libres qu'il prétendait asservir'".

La nouvelle inscription, beaucoup moins martiale, réaffirme "la valeur de la réconciliation


franco-allemande au service de l'Europe et de la paix".

(Alain JOCARD Avec AFP) Par L'Obs Publié le 10 novembre 2018 à 16h44

A.- Choisissez l’option correcte :

1. a. après b. depuis c. puis


2. a. inaugurée b. dévoilé c. découvert
3. a. lors b. dans c. lorsque
4. a. dont b. quand c. où
5. a. se trouvent b. se rencontrent c. se retrouvent
6. a. y b. en c. Ø
7. a. dans laquelle b. en laquelle c. sur laquelle
8. a. succomba b. succombait c. succomberait

B.- Dites à quels mots correspondent les définitions suivantes. Le numéro correspond au
paragraphe où se trouve le mot demandé.

Participe passé féminin. Marquer d’un sceau, d’un cachet officiel (1)
Substantif féminin. Endroit d’une forêt dégarnie, dépouillée d’arbres (2)
Locution verbale. Finir (2)
Adjectif invariable. Austère, modéré, mesuré. (3)
Substantif féminin. Botte de céréales où les épis sont disposés d’un même côté. Bouquet de
fleurs. (4)
Verbe infinitif. Réduire un être, un peuple ou une relation à la servitude. (4)
Adjectif féminin. Relative à la guerre. Qui a des intentions belliqueuses. (5)
CORRECTION TEST 2:

Armistice 14-18 : Macron et Merkel ensemble à Rethondes, une


première depuis 1945

C'est la première rencontre depuis 1945 entre un chef d'Etat français et un chef de
gouvernement allemand à Rethondes, lieu de l'armistice du 11 Novembre.

Emmanuel Macron et Angela Merkel ont dévoilé ce samedi une plaque pour commémorer
l'armistice de 1918, lors d'une cérémonie hautement symbolique dans la clairière de
Rethondes (nord) où fut scellée la fin de la Première Guerre mondiale.

C'est la première fois depuis 1945 que le président français et le chef du gouvernement
allemand se rencontrent dans ce mémorial, situé dans une clairière de la forêt de Compiègne.
L'armistice y fut signé le 11 novembre 1918, dans un wagon restaurant, mettant un terme à un
conflit qui fit 18 millions de morts.

"La cérémonie sera sobre et sans discours", avait annoncé l'Elysée.

Les deux dirigeants ont déposé une gerbe et dévoilé la nouvelle plaque au pied du monument
la 'Dalle sacrée', au milieu de la clairière, sur laquelle on peut lire 'Ici le 11 novembre 1918
succomba le criminel orgueil de l'empire allemand vaincu par les peuples libres qu'il prétendait
asservir'".

La nouvelle inscription, beaucoup moins martiale, réaffirme "la valeur de la réconciliation


franco-allemande au service de l'Europe et de la paix".

(Alain JOCARD Avec AFP) Par L'Obs Publié le 10 novembre 2018 à 16h44

1. a. après b. depuis c. puis


2. a. inaugurée b. dévoilé c. découvert
3. a. lors b. dans c. lorsque
4. a. dont b. quand c. où
5. a. se trouvent b. se rencontrent c. se retrouvent
6. a. y b. en c. Ø
7. a. dans laquelle b. en laquelle c. sur laquelle
8. a. succomba b. succombait c. succomberait

B.- Dites à quels mots correspondent les définitions suivantes. Le numéro correspond au
paragraphe où se trouve le mot demandé.

Participe passé féminin. Marquer d’un sceau, d’un cachet officiel (1) SCELLER
Substantif féminin. Endroit d’une forêt dégarnie, dépouillée d’arbres (2) CLAIRIERE
Locution verbale. Finir (2) METTRE UN TERME
Adjectif invariable. Austère, modéré, mesuré. (3) SOBRE
Substantif féminin. Botte de céréales où les épis sont disposés d’un même côté. Bouquet de
fleurs. (4) GERBE
Verbe infinitif. Réduire un être, un peuple ou une relation à la servitude. (4) ASSERVIR
Adjectif féminin. Relative à la guerre. Qui a des intentions belliqueuses. (5) MARTIALE

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