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Détermination de la biodiversité et répartition géographique des levures

associées aux fruits de la mûre de Castille (Rubus glaucus) de trois zones de


la province du Tungurahua

En Équateur il n’y a pas tellement d’information reportée à propos de la biodiversité de levures. La


plupart de la recherche est focalisée sur les bactéries. Les fruits dans leur environnement naturel
représentent des habitats importants pour les levures. L’objectif de cette recherche était la
détermination de la diversité de levures associées aux fruits de mûre de Salasaca, Cevallos et Tisaleo,
où les fruits de mûres sont cultivés de façon biologique. L’endroit avec la plus grande diversité était
Tisaleo, où 6 espèces de levures ont étés isolées, suivi par Salasaca avec 4 espèces, et finalement
Cevallos, où seulement 2 espèces ont été isolées.

Une caractérisation traditionnelle s’est faite ; elle a consisté à l’évaluation des caractéristiques
macroscopiques comme le bord, l’élévation, la surface, l’éclat, la texture et la couleur. Une
caractérisation microscopique dans laquelle des paramètres de morphologie et taille des cellules de
levures ont étés évalués. Une caractérisation physiologique avec 8 sources différentes de charbon
(dextrose, xylose, maltose, galactose, lactose, saccharose, cellobiose et amidon soluble) où
l’assimilation et la fermentation ont étés évaluées pour chacune des souches de levures isolées.

Cependant, ces techniques n’étaient pas du tout suffisantes pour l’identification des souches isolées au
niveau taxonomique de genre ou espèce. L’étude de chaque souche isolée était complétée par l’usage
de techniques moléculaires basées dans l’analyse de restriction du gène rDNA 5.85S et des espaces
transcrits internes (ITS1 et ITS2), et 9 profils de restriction ont été obtenus. Les profils résultants ont
été comparés avec ceux de la base de donnés de la Collection de Levures Quito – Católica (CLQCA
sous son acronyme espagnol). Finalement, 5 profils ont été identifiés par cette technique comme
Meyerozyma guilliermondii, Hanseniaspora meyeri, Whickerhamomyces onychis, Galactomyces
geotrichum et Pichia manshurica. Les levures restantes n’ont pas pu être identifiées par cette technique
car leurs profils de bandes n’ont pas coïncidé avec ceux de la base de données de la CLQCA.
Les états taxonomiques de ces souches ont été déterminés par le séquençage du gène 26S rDNA,
donnant comme résultat trois souches isolées correspondant à Clavispora lusitaneae, trois souches de
Metschnikowia pulcherrima, une de Candida sorbosivorans et deux de Pichia membranifaciens. Les
données obtenues dans cette recherche ont démontré la grande diversité d’espèces de levures
associées aux fruits de la mûre et ces résultats ont permis d’avoir les connaissances de base pour
trouver de potentielles applications biotechnologiques de ces levures.

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