Documente Academic
Documente Profesional
Documente Cultură
ŒUVRE BATIMENT
Formatted
DEDICACES
REMERCIEMENTS
(mise en exergue de la méthodologie d’exécution) et, passe par la présentation des rôles des
granulats et des dispositions préliminaires, pour finalement aboutir à la mise en œuvre de notre
logiciel que nous avons appelé ECGO-Bat (Estimateur du Coût du Gros Œuvre Bâtiment).
L’élaboration du dit logiciel a alors exigé, des essais granulométriques au laboratoire pour Formatted: Font color: Red
déterminer les proportions des granulats et déduire en fonction du dosage en ciment la quantité
de chaque matériau à utiliser dans un volume de béton ou de mortier déterminéer, l’élaboration
des combinaisons de granulats utilisables pour les bétons et mortier pour permettre qu’en
fonction du type de granulats disponible sur les chantiers, de déduire la proportion à utiliser Formatted: Font color: Red
Formatted: Font color: Red
pour chaque type , la détermination des ratios d’acier[13][12] en 𝑘𝑔/𝑚3 d’ouvrage en béton et
l’évaluation des bois de coffrage[9].
La connaissance de ces éléments nous aà permitpermis grâce au VBA (Visual Basic for Formatted: Justified, Indent: First line: 0.25", Space After:
16 pt
Applications) de l’onglet développeur d’Excel, de concevoir et d’implémenter notre logiciel. Formatted: Font color: Red
MOTS CLES : Logiciel, estimation, coût, gros-œuvre. Formatted: Justified, Indent: First line: 0.25", Space After:
16 pt
ABSTRACT
Formatted: Normal
SOMMAIRE
DEDICACES .................................................................................................... I
REMERCIEMENTS ......................................................................................... II
ABSTRACT .................................................................................................. IV
INTRODUCTION .............................................................................................................. 43
I.5.1 - Rez-de-chaussée (RDC) ou Plein pied ........................................................... 1210 Formatted: Font: 12 pt, Font color: Auto
Formatted: Font: 12 pt, Font color: Auto
II.4.1 - La charpente ............................................................................................... 6634 Formatted: Font: 12 pt, Font color: Auto
Formatted: Font: 12 pt, Font color: Auto
III.2.2 - Explication des étapes du cycle de vie d’un logiciel : adapté à notre cas .. 7341
DEDICACES .................................................................................................... I
REMERCIEMENTS ......................................................................................... II
ABSTRACT .................................................................................................. IV
SOMMAIRE .................................................................................................VIII
CHAPITRE I : LE GRO
INTRODUCTION .................................................................................................................. 3
I.1 - L’INSTALLATION DE CHANTIER ......................................................................... 3 Formatted: Font: 12 pt, Font color: Auto
Formatted: Font: 12 pt, Font color: Auto
I.5.2 - Etage(s)............................................................................................................... 16
CONCLUSION .................................................................................................................... 18
INTRODUCTION ................................................................................................................ 19
II.2 - LES MORTIERS ................................................................................................... 28 Formatted: Font: 12 pt, Font color: Auto
Formatted: Font: 12 pt, Font color: Auto
CONCLUSION .................................................................................................................... 34
INTRODUCTION ................................................................................................................ 35
III.2.2 - Explication des étapes du cycle de vie d’un logiciel : adapté à notre cas ...... 39
III.4 - LA PHASE D’IMPLEMENTATION D’ECGO-Bat............................................. 45 Formatted: Font: 12 pt, Font color: Auto
Formatted: Font: 12 pt, Font color: Auto
CONCLUSION .................................................................................................................... 52
INTRODUCTION ................................................................................................................ 53
IV.1.4 - Résultats.......................................................................................................... 65
CONCLUSION .................................................................................................................... 98
REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES.........................................................101
ANNEXES ..................................................................................................102
I.4.1 - RDC ou Plein pied.............................................................................................. 16 Formatted: Default Paragraph Font, Font: Times New
Roman, Check spelling and grammar
II.2.2 - Plancher à corps creux .................................................................................... 40 Formatted: Default Paragraph Font, Font: Times New
Roman, Check spelling and grammar
CONTEXTE
S’il est vrai que la réussite d’un projet de bâtiment nécessite une bonne étude de Formatted: Indent: First line: 0.49"
structure, une bonne planification et un suivi adéquat, i. Il n’en demeure pas moins vrai que Formatted: Font color: Red
c’est son coût qui permet au maître d’ouvrage d’apprécier son ampleur et par là de pouvoir
engager ou non les travaux. La maîtrise de coût passe nécessairement par l’une évaluation
quantitative et estimative des matériaux à utiliser pour chaque ouvrage à chaque niveau du
bâtiment. Et pourtant, certaines entreprises, et même entrepreneurs voulant juste avoir l’offre
la moins -disante ne prennent pas le temps d’étudier conformément les coûts qu’ils proposent
et dans lesquels les quantités sont inappropriées et prix total irréalistes. Formatted: Font color: Red
En général, tant au niveau des entreprises que dans l’administration, l’évaluation des Formatted: Indent: First line: 0.49"
coûts du bâtiment se fait par des ingénieurs et techniciens de façon répétitive. Ce qui devient
une opération de routine. Le manque de temps conduit généralement à des phénomènes tels que
« copier-coller » et dont à l’inadaptation des coûts aux réalités et à l’environnement du projet
tel que la disponibilité, l’accessibilité et la bonne quantification des matériaux. La non- maîtrise
totale de la méthodologie et des tâches à l’exécuter conduisentt généralement à une estimation
des matériaux aléatoire et finalement à des devis quantitatifs et estimatifs non représentatifs.
Tous ces phénomènes se traduisent par une sous-évaluation des projets dont l’influence est
considérable sur la qualité, la durée d’exécution des travaux et même la durée de vie de
l’ouvrage.
D’autre part, les responsables des commissions de passations des marchés publics dans
l’administration dont certains membres ne sont pas des professionnels ne disposent pas d’un
outil de base pour une bonne appréciation des coûts et par conséquent sont parfois dans
Formatted: Font color: Auto
l’impossibilité de détecter des prix aberrantdes prix aberrants : de ce fait, ils ne sauraient
Formatted: Font: 10 pt
efficacement effectuer des vérifications nécessaires le cas échéant pour une bonne
analyse.PROBLEMATIQUE
OBJECTIF ET MOTIVATION
Pour atteindre ces objectifs, nous allons élaborer sur des hypothèses de base modifiable par
l’utilisateur et établies à partir des essais au laboratoire et des méthodes scientifiques, un logiciel
qui permettra la quantification et l’estimation des matériaux à utiliser d’une part à chaque
ouvrage élémentaire du gros œuvre bâtiment, d’autre part à chaque niveau du bâtiment et
prendra également en compte le cas du coût de fabrication in-situ des ouvrages préfabriqués
tels que les agglos et les nervures.
Formatted: Font color: Auto
Formatted: Font: 10 pt
Pour mener à bien cette étude, nous avons structuré notre travail en quatre chapitres dont :
PLAN DU MEMOIRE
INTRODUCTION
Le gros œuvre est l’ensemble des ouvrages de l’édifice qui concourent à la reprise des
efforts subis en permanence par la construction (les charges reçues et le poids propre de
l’édifice) et des efforts temporaires (vent, séismes, etc.) : tout ce qui concourt à la solidité de
l’édifice (murs porteurs, poteaux, poutres, plancher entre des étages, charpentes, fondations,
charpente, etc.).[11] Dans ce premier chapitre, nous présenterons de façon sommaire le gros
œuvre bâtiment tout en respectant les principales sla chronologie, d’exécution du gros œuvre
bâtiment allant des travaux préparatoires, en passant par les fondations, jusqu’à la couverture
du bâtiment. Tout ceci dans le but de mieux cerner l’ensemble des composants dont on a besoin
pour l’estimation du coût du gros œuvre bâtiment.
Le débroussaillage n’intervient que pour des sites ayant un couvert végétal dense, le
débroussaillage consiste donc à débarrasser manuellement avec des coupe-coupe le terrain de
cette végétation. Il ne nécessite pas un personnel qualifié. [3][3][3][2]
I.1.1.2 - Décapage
Le décapage est un terrassement léger de faible profondeur (20 à 30 cm) dont l’objectif
est d’enlever la terre végétale qui couvre le sol. Il peut se faire manuellement avec les pioches,
les pelles et les brouettes, mais plus généralement, il se fait par mécanisation avec des engins. Formatted: Font color: Red
D’une façon générale pour les chantiers normaux de bâtiment, on peut tracer le chemin
de l’installation de la manière suivante [4][4][4][3]:?????????
On peut distinguer deux grandes catégories de terrains : les terrains meubles et les terrains
rocheux. Les terrassements généraux sont effectués par des engins de terrassement : décapeuse,
L’implantation d’un bâtiment désigne l’opération de fixation des limites physiques des
ouvrages sur le terrain pour leur réalisation suivant les plans d’exécutiond’exécution
[6][6][6][5]. L’implantation se fait suivant des repères à l’aide de piquets, et selon les
dimensions (côtes) du bâtiment sur le plan d’implantation délivrés par le mMaître d’œuvre ;
uUn plan de masse est généralement nécessaire si le projet comprend la réalisation de plusieurs
ouvrages sur le même site.
- La matérialisation avec des piquets et une corde d’au moins deux axes généralement
orthogonaux. Ces axes qui sont les lignes directrices sont établis hors de l’emprise de la
construction parallèlement à celle-ci ;
- Le repérage du bâtiment aux angles avec des piquets ;
- La mise en place des chaises d’implantations :
o Les chaises d’angles rentrants ;
o Les chaises d’angles sortants ;
o Les chaises pour les murs de refend ;
- La détermination des lignes et points principaux (axes murs et centres semelles) du
bâtiment en les matérialisant par les cordeaux ou fils recuits placés sur les chaises.
Le report des côtes s’effectue en mesurant sur une horizontale puis en procédant par
côtes cumulées à partir d’une même origine.
- L’implantation des poteaux et semelle suivant leurs axes
Figure 2.Figure 2.Figure 1.Figure 2.Figure 1. 1 : Schéma d’une implantation[5] Field Code Changed
I.4 - FONDATION
Une fondation est la partie de l’ouvrage qui repose sur le sol et lui transmet les efforts dus
aux charges propres et aux surcharges.
Dans le cadre de notre étude, nous nous limiterons au cas des fondations superficielles telles
que définies dans [10][10][6], c’est-à-dire si l’on désigne par D la profondeur d’assise comptée
depuis le niveau du sol fini au voisinage de la fondation, on a :
𝐷
Soit 𝐷 ≤ 3 𝑚, soit 𝐷 > 3 𝑚; 𝐵 ≥ 6
avec B la largeur de la semelle.
Figure 1.Figure 2.Figure 2.Figure 1.Figure 2.Figure 1. 2 : Fondation superficielle et Field Code Changed
profonde[7]
I.4.1.1 - Fouilles
Travaux de modification du sol qui consistent à creuser le sol afin de bâtir la fondation
d’une construction suivant le plan d’implantation, en ce qui concerne les fondations
superficielles, elles sont généralement effectuées à la main par des manœuvres avec comme
outils des pioches, pelles et brouettes. On distingue dans cette catégorie :
Il s’agit des fouilles devant permettre la mise en place des semelles, leur profondeur
dépend du terrain.
Il s’agit de remblayer les fouilles des semelles tous tout le long du sous-bassement et
autour des poteaux isolés du RDC ; la difficulté majeure ici se situe au niveau du compactage,
car l’étroitesse de la zone de travail ne facilite pas une bonne mise en œuvre.
Le béton est le un mélange dans des proportions bien définies de granulat (sable,
gravier), de ciment, d’eau et éventuellement des ajouts [2][2][1]. Pour les fondations
superficielles, on distingue principalement :
Encore appelé béton maigre, c’est un béton faiblement dosé (150 Kg/𝑚3 ) ; son rôle est
d’éviter que les armatures soient en contact direct avec le sol et de faciliter la mise en œuvre.
Pour les règles de la bonne construction, l’on posera d’abord le câble de terre au fond des
fouilles avant de le noyer avec le béton de propreté. Ce béton sera est posé sur les fonds des
fouilles et aura généralement une épaisseur de 05 cm répandu sur toute la surface horizontale
des fouilles.
Le béton pour fondation concerne les semelles, les amorces poteaux et les longrines.
Dosé à 350 Kg/𝑚3 , ce béton sera est coulé sur l’axe des fondations au-dessus du béton de
propreté. Sa réalisation peut être décomposée en quatre étapes : le ferraillage, le coffrage, le
bétonnage et le décoffrage.[3]
Formatted: Centered
Le soubassement est un mur qui sert à remonter les fondations jusqu’au niveau du dallage du
rez-de-chaussée, il est généralement composé de parpaings bourrés posés sur le béton de
propreté. Il s’agit généralement des agglos bourrésdes agglos bourrées de 15 × 20 × 40 ou de
20 × 20 × 40. Le mortier de ciment pour la pose doit être dosé à 300 kg/𝑚3 . Le béton de
bourrage dont le principal rôle est d’augmenter la résistance de maçonneries peut être dosé à
250 kg/𝑚3 .[3]
Vue leur faible épaisseur, ils sont beaucoup plus utilisés pour des petites structures c'est
à dire celles qui ne supportent pas de grandes charges notamment les bâtiments pleins pieds. Le
mortier de pose est dosé à 300kg/m3 pour un rendement d’environ 125 parpaings par sac de
ciment ; pour 1m2 d’élévations, il faudra environ 0,074 m3 de béton de bourrage.
I.5.1.1 - Dallage
Le dallage est une plateforme en béton qui se trouve juste au-dessus des fondations et
du niveau du sol extérieur. Sa mise en place respecte plusieurs étapes [3] : [5]
Formé du sable gros grain, son épaisseur moyenne varie entre 4 et 5 cm ; son principal
rôle est d’éviter les remontées d’eau par capillarité dont l’action est néfaste pour le béton armé.
Le film polyane est un film d’étanchéité qui de par son imperméabilité évite lorsque le
lit de sable est sable est saturé les infiltrations agressives et préjudiciables de l’eau dans le béton
de fondation.
c) Le dallage en béton
Réalisé en béton armé ou non, le dallage a pour but essentiel d’isoler le sol humide et
d’obtenir une aire de circulation appropriée aux besoins ou à l’utilisation future du local ; il
existe des dallages dits armés et des dallages dits non armés.
Dans un dallage dit non armé, le béton équilibre seul les contraintes de traction dues
aux moments de flexion. Il est cependant prévu une armature en treillis soudé afin d’éviter les
conséquences de tassements différentiels entre panneaux de dalle, le treillis soudé n’est pas
Dans un dallage armé, la section des treillis soudés, de même que leur position, selon
le signe du moment de flexion à équilibrer, découlent directement des résultats du calcul.
L’enrobage doit être conforme aux rRègles du BAEL, compatible avec le mode d’exécution, et
au moins égal à 20 mm.mm.mm. [3]
Figure 1.Figure 2.Figure 3: Schéma d'un dallage [6]Figure 1.Figure 2. Formatted: Normal, Indent: First line: 0.49"
Formatted: Check spelling and grammar
Field Code Changed
Formatted: Centered
Les dallages sont particulièrement sensibles aux effets du retrait, des variations de
température et des tassements différentiels. Pour lutter contre ces effets, il est indispensable de
fractionner le dallage par des joints.
Les matériaux utilisés dans les élévations sont des éléments de structure et des
maçonneries de remplissage confectionnés en grande quantité sur le chantier, selon des dosages
précis en fonction de l’utilisation projetée. Pour chaque niveau du bâtiment, l’exécution des
travaux se fait suivant la même chronologie ; toute fois, il est à noter que cet ordre n’est
qu’indicatif, car plusieurs tâches peuvent se faire simultanément en fonction de la
méthodologie, des moyens et des délais d’exécution.
Généralement en béton armé dosé à 350 𝑘𝑔/𝑚3 [3], dans cette catégorie on retrouve
généralement les éléments tels que les poteaux, les poutres, les linteaux, les voiles, les
escaliers, la cage d’ascenseur (lorsqu’il existe). Les quatre étapes énumérées au I.4.2.2 -
I.3.2.2 (fFerraillage, coffrage, bétonnage et décoffrage) sont précédées du talonnage. Le
talonnage consiste à coffrer et à couler une amorce en pieds de l’élément que l’on veut élever
pour maintenir l’écartement et faciliteré le positionnement futur du coffrage.
On distingue :
Les maçonneries sont exécutées conformément aux plans architecturaux ; leur mise en
œuvre se fait à l’aide du mortier de pose d’une épaisseur variant entre 1 et 2 cm.[3] Avant
Figure 1.Figure 2.Figure 2.Figure 1.Figure 2.Figure 1. 5: Représentation d’un mur en Formatted: Font: 12 pt, Font color: Auto
agglos Formatted: Font: 12 pt, Font color: Auto
Formatted: Caption
c) Figure 1.5 qui nous permet de déduire que pour 1 m² de mur on utilise 12
parpaings, avec 6,93 m comme linéaire de mortier de pose.
Les maçonneries sont exécutées conformément aux plans architecturaux ; leur mise en
œuvre se fait à l’aide du mortier de pose d’une épaisseur variant entre un et deux centimètres
pour un dosage de 300kg/m3.[3] Avant exécution des maçonneries, des tracés ou des
matérialisations des murs seront effectués par un ouvrier spécialisé sous le contrôle du chef de
chantier.
Ces maçonneries servent de remplissage pour les murs toutefois, à cause de leur
épaisseur relativement faible, ils sont indiqués pour les cloisons internes et non pour les murs
de façade. Le dosage du mortier de pose peut être pris à 300kg/𝑚3 , et on a un rendement de 140
parpaings posés par sac de ciment..
On distingue principalement les dalles pleines en béton armé et les dalles à entrevous
entrevous. ; tToutefois, la méthodologie d’exécution de ces deux types de dalle ne diffère
globalement qu’en peu d’étapes, leur dosage est de 350kg/m3.[3]
i) Dalle pleine
- Le coffrage
Le coffrage ici consiste non seulement à préparer l’enveloppe en bois devant recevoir le
béton, mais également son socle ou ossature support appelé étaiement. Les étais devront
être suffisamment rigides pour ne pas céder au poids du béton frais jusqu’à sa solidification
donc au moins pendant 28 jours.
- Le ferraillage
Suivant les plans d’exécution, il s’agit pour les ferrailleurs de façonner, d’assembler et
de positionner sur le coffrage les armatures de la dalle.
- Le bétonnage
C’est l’étape qui demande le plus de manutention, car le volume du travail est élevé et
les délais sont toujours ou presque serrés. Il s’agit de couler le béton judicieusement dosé
dans le coffrage prévu à cet effet. Notons que dans certains cas, on coule d’abord les
retombées de poutres avant de couler la dalle quelques jours après.
Figure 1.Figure 2.Figure 2.Figure 1.Figure 2.Figure 1. 6 : Schéma d’ensemble de la mise Formatted: Centered
en œuvre d’un plancher à entrevous classique Field Code Changed
ii)
- Le coffrage
Le coffrage du plancher à corps creux est moins laborieux que celui d’une dalle pleine, car
toute l’enveloppe nd’est pas coffrée seule la base des poutrelles l’est, toutefois le système
d’étayage reste le même.
Les poutrelles peuvent être soit préfabriquées ou coulées sur place. Dans le cas où elles sont
préfabriquées, il s’agit juste de leur pose et dans le cas où elles sont coulées sur place, il s’agit
uniquement de leur façonnage.
Figure 1.Figure 2.Figure 2.Figure 1.Figure 2.Figure 1. 7 : plancher à corps creux Formatted: Caption, Centered, No bullets or numbering
Field Code Changed
Formatted: Font: Not Bold
Formatted: Normal, No bullets or numbering
Il s’agit de la mise en place de ces hourdis dont les dispositions sont données dans les plans
d’exécution. Cette pose est précédée du positionnement des poutrelles lorsque celles-ci sont
préfabriquées. Le schéma précédent nous montre que pour 1 m² de plancher on utilise 10
hourdis, avec un linéaire de 1,5 m de poutrelle (nervure), soit un volume total de béton pour
poutrelle de 12,3 litres.
Il s’agit du ferraillage d’un treillis soudé sur les entrevous et les poutrelles.
- Le bétonnage de la dalle
- Le décoffrage
Figure 1. 5 : Schéma d’ensemble de la mise en œuvre d’un plancher à entrevous classique[7] Formatted: Caption, Indent: First line: 0"
Field Code Changed
Formatted: Font color: Auto
La mise en place dles gaines devant recevoir les différents réseaux d’eau, d’électricité
et d’autres, cette tâche est exécutée par un électricien.
Les enduits sont les couches de finitions composées de mortier de ciment d’environ 2 cm
d’épaisseur dosée à 350 kg/m3 qui servent à uniformiser et de régulariser la surface des éléments
en béton ou en maçonneries telles que les murs, les poteaux, les poutres et les dalles. Le
rendement par sac de ciment est d’environ 20 m2. Ils sont faits par des maçons. On distingue :
- Les enduits traditionnels : ils s’appliquent en deux ou trois couches, généralement par
projection manuelle du mortier traditionnel, avec délais de durcissement entre
différentes couches. Les délais minima sont de 48 heures entre la première et la
deuxième couche, et de 4 à 7 jours, suivant la nature du liant, entre le corps d’enduit et
la couche de finition.[3]
- Les enduits mono couches : ils sont faits à base des mortiers prêts au mouillage ; ils
s’appliquent à l’aide d’un matériel de projection, en une ou deux passes consécutives
sans délai de durcissement.
Avant d’exécuter l’enduit, il faut nettoyer et brosser s'il y a lieu, les surfaces
d'application pour une bonne adhérence, humidifier les surfaces d'application pour
permettre une bonne adhérence et éviter immédiatement les retraits.
Les enduits verticaux sont exécutés au jeté sur les murs intérieurs et extérieurs.
Les enduits horizontaux sont exécutés au jeté sur les sous- faces des planchers.
Ce béton concerne les poteaux, les linteaux, les voiles, les escaliers, la cage d’ascenseur
(lorsqu’il existe) du 1er étage ; il est dosé à 350𝑘𝑔/𝑚3 . Une fois le coffrage et le ferraillage de
ces différents éléments et des seaux à travers un échafaudage avant d’être coulé.
L’échafaudage desu 1er étages prend naissance sur celui du RDC ; il s’agit d’un
prolongement afin de permettre et de faciliter le travail et la circulation à ce niveau du bâtiment.
La technique de pose, les dosages et les rendements par sac de ciment demeurent ceux
indiqués pour le RDC.
Après leur transport par des manœuvres jusqu’auxàau 1er étages, les parpaings sont
posés par des maçons suivants les plans architecturaux. des murs cloisons pour lesquels leur
usage est indiqué.
Tout comme les agglos de 10𝑥20𝑥40, après leur transport, ils sont posés suivant les
plans architecturaux du bâtiment.
Les méthodes d’exécutions ainsi que les dosages sont les mêmes que pour le RDC, avec
une difficulté supplémentaire dsue au transport des matériaux et au travail en hauteur.
Dito. I.4.1.2.eI.5.1.2 - e)
Dito. I.5.2.6 -
Figure 1.Figure 2.
Versants décalé (appentis), Croupe brisée : prise d’air au Toiture en L : prise d’air
il faut orienter la maison niveau des rives et évacuation frais au niveau des rives
dans le sens des vents de l’air chaud par petit du pignon sous le vent
dominant. Façade vers pignon au-dessus de la évacuation par un des
l’ouest croupe. pignons
Figure 1. 8 : Quelques types de toiture[9]I.4.1.2.g Formatted: Font: Bold
Formatted: Centered
Formatted: Font: Bold
Formatted: Font: Bold
Formatted: Font: Bold
Formatted: Font: Bold
Formatted: Font: Bold, Not Italic
Formatted: Font: Bold
I.5.3.1 - La charpente
Une charpente est un assemblage de pièces de bois et/ou de métal, servant à soutenir ou
couvrir une construction et faisant partie de la toiture. On utilise généralement le bois car il est
léger et permet de franchir de grandes distances, (ou portées) sans fléchir dangereusement. Pour
la réalisation des charpentes on a deux solutions : soit on pose des pannes de pignon à refend,
soit on pose des pannes sur ferme.
Elle consiste à donner aux murs la pente du toit (on appelle alors ce mur rampant) au niveau des pignons et des refends
et à poser entre les mur une poutre assez fine qu’on appelle panne. Les pannes sont scellées dans le chainage du
rampant. Ce type de charpente sont scellées dans le chainage du rampant.
Figure 4: procédé de charpente par pannes de pignons à refends. [3] Formatted: Normal, Centered
Le terme « ferme » désigne un assemblage de pièces de bois longues qui donnent la pente du toit et supportent mes
pannes. La principale caractéristique d’une ferme, c’est d’être triangulée, ce qui la rend indéformable.
Les pannes sont les éléments de liaison entre les fermes. Il existe 3 types de pannes : la sablière,
posée sur les murs ; les pannes ventrières positionnées en milieu de pan de toit et la panne
faîtière, en haut de toit appelé le faîtage. C'est par elles que transitent les charges des chevrons
vers les fermes. L'Entraxe de panne dépend du type de conception de l'ouvrage, des charges de
toiture et de la section de bois ainsi que l'essence de celui-ci. Dans la plupart des cas il s’agit
des lattes (4x8) ou des chevrons (6x6).
d) Traitement du bois
Le traitement du bois est nécessaire contre les moisissures, les champignons, les termites, etc.
il existe pour se faire des produits industriels très efficaces : carbonyl, Xylanon, Bondex.
Comptez environs 20 à 30 litres pour 100 m² de toiture en plan.
I.5.3.2 - La couverture
La tôle ondulée comme le nom l’indique présente des ondulations sur toute sa longueur ; elle
est la plus utilisée à cause de son prix moins chère.
Plus résistante que les tôles ondulées, et d’un aspect plus esthétique, elles relèvent encore du
domaine du luxe car leur prix reste élevé.
CONCLUSION
Dans ce premier chapitre, nous vNous avons présenté dans un cadre général la procédure
de mise en œuvre du gros œuvre bâtiment, en partant des travaux préparatoires jusqu’à la
toiture. Dans la suite nous vous présenterons les rôles des matériaux et les dispositions
préliminaires à utiliser dans la conception de notre logiciel. toute fois dans la suite nousDans la
suite nous traiterons principalement la quantité des matériaux et leurs coûts dans chaque
ouvrage élémentaire. étudierons principalement les éléments en béton armé et des élévation.
Dans ce second chapitre nous présenterons la procédure d’obtention de nos hypothèses Formatted: Font color: Red
Formatted: Indent: First line: 0.49"
de bases, dans un premier temps nous présenterons tout d’abord le béton le béton Armé : La
quantité des matériaux utilisée dans 1 𝑚3 de béton, les ratios d’aciers par mètre cube de béton Formatted: Font color: Red
Formatted: Font color: Red
des éléments du gros œuvre bâtiment et la proportion de coffrage par mètre cube de béton des
Formatted: Font color: Red
éléments du gros œuvre ; par la suite la proportion de matériaux utilisée dans 1 𝑚3 de mortier , Formatted: Font color: Red
en fin l’évaluation et la caractérisation des éléments unitaires dans certaines parties du gros Formatted: Font color: Red
Formatted: Font color: Red
œuvre bâtiment.
La réalisation d’un béton de bonne qualité et respectant les normes internationales il est
important de bien les granulats et les proportions qui entre dans le dit béton. Pour cela, on doit
faire une analyse granulométrique et d’en déduire à partir des courbes granulométriques les
proportions de chaque type de granulats dont on aura besoin en fonction de ceux présents sur
le chantier.
- Préparation de l’échantillon :la masse M de l’échantillon doit être compris entre Formatted: Normal, Indent: First line: 0.49", No bullets or
numbering
0,2 𝐷 < 𝑀 < 0,6 𝐷 avec M en Kg et D le diamètre du plus gros granulat en millimètre ;
- Les échantillons de granulats doivent être laver en fin d’y enlevé des fibres qui
pourraient fausser les résultats ;
6 kg de Gravier 15/25
5 kg de Gravier 05/15
2 kg de Sable fin
- Pour chaque granulat, on place la colonne sur le vibrotamis ( par bloc de 6 pour
les sables car tout ne peuvent pas entrer) ;
- On déduit les refus cumulés et en fin les tamisa sont obtenu par la relation :
Gravier 5/15 Tamisas en % 100 100 100 2 61,2 30,4 13,2 5,6 Formatted:
1,6 Font color:0,4
Red 0 0
Formatted: Justified, Indent: First line: 0.49", Space Before:
6 pt, After: 16 pt, Line spacing: 1.5 lines, Position:
Horizontal: Left, Relative to: Margin, Vertical: 0.48", Relative
Sable carrière Tamisas en % 100 100 100 100 100 100 100 100 98,4Horizontal: 0.1",
to: Margin, 86,4Wrap Around75,2 65,6
Formatted: Font color: Red
Formatted: Justified, Indent: First line: 0.49", Space Before:
Sable Sanaga Tamisas en % 100 100 100 100 100 100 100 98,4 6 pt, After:
98,4 16 pt, Line spacing:
97,6 1.5 lines,96,8 Position: 96,8
Horizontal: Left, Relative to: Margin, Vertical: 0.48", Relative
to: Margin, Horizontal: 0.1", Wrap Around
Formatted: Font color: Red
Sable fin Tamisas en % 100 100 100 100 100 100 100 100 97 Justified, Indent:
Formatted: 96 First line: 0.49",
95 Space Before: 95
6 pt, After: 16 pt, Line spacing: 1.5 lines, Position:
Horizontal: Left, Relative to: Margin, Vertical: 0.48", Relative
to: Margin, Horizontal: 0.1", Wrap Around
Formatted: Font color: Red
Formatted: Justified, Indent: First line: 0.49", Space Before:
6 pt, After: 16 pt, Line spacing: 1.5 lines, Position:
Horizontal: Left, Relative to: Margin, Vertical: 0.48", Relative
to: Margin, Horizontal: 0.1", Wrap Around
Formatted: Indent: First line: 0.49"
90
80
70
60
Gravier 15/25
Axis Title
50 Gravier 5/15
Sable Sanaga
40 Sable Fin
Sable de carrière
30
20
10
0
0.01 0.1 1 10 100
Axis Title
En fonction de la zone dans laquelle on réalise notre bâtiment, certains granulats sont
facilement accessibles et d’autres plus moins, ce qui oblige souvent l’entrepreneur à utiliser
prioritairement certains granulats au détriment d’autres. Il sera donc question pour nous de
donner dans un premier temps les différentes combinaisons possibles entre les granulats et à
partir des courbes granulométriques des différent granulats donner la proportion de chaque
granulat dans chaque combinaison.
Le tableau suivant nous donne les combinaisons admissibles dans un béton. Formatted: Indent: Left: 0", First line: 0.49"
Tableau 2. 2 : Combinaisons de granulats dans le Béton Formatted: Normal, Indent: First line: 0.49"
Fig 0 1 2 3 4 5
ure
1.Figure
1.Combina Formatted: Font color: Red
ison N°
Combinaison 6 7 8
N°
Granulats Sable fin Sable Sanaga Sable Sanaga Formatted: Font color: Red
Formatted: Indent: First line: 0.49"
Prisent en compte
Sable Sanaga Sable
Carrière
Sable
Carrière
Combinaison 9 10 11 12
N°
Sable
Carrière
Pour la détermination des différentes proportions des granulats des fait suivant la
méthodologie suivante [3] :
ii) On trace une droite qui lie les courbes de granulats successifs de la manière à ce
que la droite passe le point maximale de la courbe de plus petit granulat et rencontre le point
minimal du plus grands granulat.
O est un point ayant pour abscisse le diamètre su plus petit tamis et pour ordonner
le son tamisa pris pour le plus petit granulat.
Le point A (D/2, 𝑌𝐴 = 20 − √𝐷 + 𝐾) avec K=+2 car la vibration du béton est Formatted: Font color: Red
Formatted: Font color: Red
normale et les granulats sont concassés.
Formatted: Font color: Red
Formatted: Font color: Red
Le point B ( à l’ordinée 100%) correspondant à la dimension D du plus gros Formatted: Font color: Red
granulat.
iv) La proportion des différents granulats est alors déduite par la rencontre de la
courbe granulométrique de bases avec la (les) droite (s) liant les granulats successifs de la
manière suivante :
Remarque : L’ordonné (sur l’axe des tamisas) du premier point d’intersection entre la
courbe granulométrique de base et la droite qui lie les deux premiers granulats nous donnes la
proportion du plus petit granulats, l’ordonné du second point d’intersection entre la courbe
granulométrique de base et la droite qui lie le deuxième et troisième granulats nous donnes la
proportion de deux premier, la proportion du deuxième granulat est déduite en soustrayant à
100
90
80
70 Gravier 15/25
Gravier 5/15
60
Axis Title
Sable sanaga
50
Sable fin
40
Droite N°1
30 Droite N°2
20 Droite N°3
10 Droite de A
0
0.1 1 10 100
Axis Title
c) Résultats obtenus
Elé
Type de Sab Sable Gravie Gravier Formatted: Font color: Red
ments pris Formatted: Justified, Indent: First line: 0.49", Space Before:
dosage le fin Sanaga r 5/15 15/25 6 pt, After: 16 pt, Line spacing: 1.5 lines
en compte
Gra
vier 15/25
Combinai Gravier 11 Formatted: Font color: Red
29% 7% 53% Formatted: Justified, Indent: First line: 0.49", Space Before:
son N°0 5/15 % 6 pt, After: 16 pt, Line spacing: 1.5 lines
Sable 0/5
Sable fin
Gra
vier 15/25
Combinai Formatted: Font color: Red
Gravier 0% 38% 8% 56% Formatted: Justified, Indent: First line: 0.49", Space Before:
son N°1 6 pt, After: 16 pt, Line spacing: 1.5 lines
5/15
Sable 0/5
Gra
Combinai vier 05/15 15 Formatted: Font color: Red
29% 36% 0% Formatted: Justified, Indent: First line: 0.49", Space Before:
son N°2 Sable 0/5 % 6 pt, After: 16 pt, Line spacing: 1.5 lines
Sable fin
Gra
Combinai vier 15/25 14 Formatted: Font color: Red
29% 57% 0% Formatted: Justified, Indent: First line: 0.49", Space Before:
son N°3 Sable 0/5 % 6 pt, After: 16 pt, Line spacing: 1.5 lines
Sable fin
Gra
Combinai Formatted: Font color: Red
vier 5/15 0% 44% 56% 0% Formatted: Justified, Indent: First line: 0.49", Space Before:
son N°5 6 pt, After: 16 pt, Line spacing: 1.5 lines
Sable 0/5
ii) Proportion de granulat pour mortier pour parpaing Formatted: Font color: Red
Formatted: Normal, Indent: First line: 0.49"
PROPORTIONS DE GRANULATS POUR LE DOSAGE DES PARPAINGS Formatted: Justified, Indent: First line: 0.49", Space Before:
6 pt, After: 16 pt, Line spacing: 1.5 lines
Type de Eléments pris Sable Sable Sable Formatted: Font color: Red
Formatted: Justified, Indent: First line: 0.49", Space Before:
Dosage en compte fin Sanaga carrière 6 pt, After: 16 pt, Line spacing: 1.5 lines
Sable fin
Combinai Formatted: Font color: Red
Sable Sanaga 0% 90% 10% Formatted: Justified, Indent: First line: 0.49", Space Before:
son N°6 6 pt, After: 16 pt, Line spacing: 1.5 lines
Sable Carrière
Proportions de granulas pour le dosage du mortier Formatted: Justified, Indent: First line: 0.49", Space Before:
6 pt, After: 16 pt, Line spacing: 1.5 lines
Sable fin
Combinaison N°9 Sable Sanaga 90% 0% 10% Formatted: Font color: Red
Formatted: Justified, Indent: First line: 0.49", Space Before:
Sable Carrière 6 pt, After: 16 pt, Line spacing: 1.5 lines
Sable fin
Combinaison N°10 Formatted: Font color: Red
Sable Sanaga 82% 0% 18% Formatted: Justified, Indent: First line: 0.49", Space Before:
6 pt, After: 16 pt, Line spacing: 1.5 lines
Sable
carrière
Combinaison N°11 Formatted: Font color: Red
Sable Sanaga Formatted: Justified, Indent: First line: 0.49", Space Before:
6 pt, After: 16 pt, Line spacing: 1.5 lines
Sable fin 74% 10% 16%
Sable
Combinaison N°12 Formatted: Font color: Red
Sanaga 100% 0% 0% Formatted: Justified, Indent: First line: 0.49", Space Before:
6 pt, After: 16 pt, Line spacing: 1.5 lines
a) Hypothèse de calcul
Les hypothèses prisent en compte pour mos dosage sont les suivantes :
On effectue le dosage sur 1 𝑚3 de mortier ou de béton Formatted: Normal, Indent: First line: 0.49", No bullets or
numbering
Formatted: Font color: Red
D=25, béton plastique, vibration normale donc 𝛾 = 0,825. Formatted: Font color: Red
Formatted: Font color: Red
Les densités absolues sont les suivantes : gravier 2,62 ;Sable 2,54
b) Principe [8]
𝑉 = 1000 ∗ 𝛿
ii) Etape N°2 : Détermination du volume absolu du ciment
𝑉𝐶 = 𝐶/3,1
iii) Etape N°3 : Détermination du volume des granulats
𝑉𝐺 = 𝑉 − 𝑉𝐶
Le volume absolu des granulats est donné par la relation :
iv) Etape N°4 : Déduction de la masse des matériaux par m3 de mortier ou de béton
𝑚 = 𝑑𝑔 ∗ 𝑉𝑔
La masse des granulats est données par la relation :𝑔
𝑑𝑔 𝑒𝑠𝑡 𝑙𝑎 𝑑𝑒𝑛𝑠𝑖𝑡é 𝑑𝑒𝑠 𝑔𝑟𝑎𝑛𝑢𝑙𝑎𝑡𝑠 Formatted: Normal, Indent: First line: 0.49"
Formatted: Font color: Red
Formatted: Font color: Red
v) Etape N°5 : déduction du volume de l’eau
Formatted: Font color: Red
Tableau 2. 8 : dosage en granulats pour 1 𝑚3 de béton et 𝐶 = 350 𝑘𝑔/𝑚3 Formatted: Font color: Red
Formatted: Font color: Red
Formatted: Font color: Red
DOSAGE POUR 1 M3 DE BETON POUR OUVRAGES ELEMENTAIRES Formatted: Font color: Red
Formatted: Font color: Red
DOSES A 350 KG/M3
Formatted: Font color: Red
Formatted: Justified, Indent: First line: 0.49", Space Before:
6 pt, After: 16 pt, Line spacing: 1.5 lines
S G G
Ci E S
Comb Gra able ravier ravier Formatted: Font color: Red
ment en au en able fin Formatted: Justified, Indent: First line: 0.49", Space Before:
inaison N° : nulats Sanaga 5/15 en 15/25 en 6 pt, After: 16 pt, Line spacing: 1.5 lines
kg Litre en en Kg
en kg kg kg
Gra
vier 15/25
Gravier 35 1 1 5 13 98
°0 Formatted: Font color: Red
5/15 0 90 97,39 24,53 0,60 8,82 Formatted: Justified, Indent: First line: 0.49", Space Before:
6 pt, After: 16 pt, Line spacing: 1.5 lines
Sable 0/4
Sable fin
Gra
vier 15/25
35 1 0, 2 56 39
°1 Gravier Formatted: Font color: Red
0 90 00 70,60 ,97 8,77 Formatted: Justified, Indent: First line: 0.49", Space Before:
5/15 6 pt, After: 16 pt, Line spacing: 1.5 lines
Sable 0/5
Gra
vier 05/15 35 1 1 2 25 0,
°2 Formatted: Font color: Red
Sable 0/5 0 90 06,81 06,51 6,35 00 Formatted: Justified, Indent: First line: 0.49", Space Before:
6 pt, After: 16 pt, Line spacing: 1.5 lines
Sable fin
Gra
35 1 0, 2 0, 41
°4 vier 15/25 Formatted: Font color: Red
0 90 00 99,08 00 3,02 Formatted: Justified, Indent: First line: 0.49", Space Before:
Gravier 0/5 6 pt, After: 16 pt, Line spacing: 1.5 lines
Gra
35 1 0, 3 39 0,
°5 vier 5/15 Formatted: Font color: Red
0 90 00 13,32 8,77 00 Formatted: Justified, Indent: First line: 0.49", Space Before:
Sable 0/5 6 pt, After: 16 pt, Line spacing: 1.5 lines
Tableau 2. 9 : dosage en granulats pour 1 𝑚3 de mortier de parpaings et 𝐶 = Formatted: Font color: Red
Sable
Sanaga
16 0, 167 19
6 Sable 300 Formatted: Font color: Red
2,86 00 7,83 6,21 Formatted: Justified, Indent: First line: 0.49", Space Before:
Carrière 6 pt, After: 16 pt, Line spacing: 1.5 lines
Sable fin
iii) Dosage en matériaux pour mortier des joints Formatted: Font color: Red
Formatted: Normal, Indent: First line: 0.49"
3 3
Tableau 2. 10 : dosage en granulats pour 1 𝑚 de mortier normal et 𝐶 = 300 𝑘𝑔/𝑚 Formatted: Font color: Red
Formatted: Font color: Red
Formatted: Font color: Red
DOSAGE POUR 1 M3 DE MORTIER NORMAL DOSE A 300 KG/M3 Formatted: Font color: Red
Formatted: Font color: Red
Formatted: Font color: Red
Sa Formatted: Justified, Indent: First line: 0.49", Space Before:
Ci Sab Sa 6 pt, After: 16 pt, Line spacing: 1.5 lines
Combi Gran Ea ble
Formatted: Font color: Red
ment en le Sanaga ble fin en
naison N° ulats u en Litre carrière Formatted: Justified, Indent: First line: 0.49", Space Before:
kg en kg kg 6 pt, After: 16 pt, Line spacing: 1.5 lines
en kg
Sable
fin
16 166 0,0 19
9 Sable Sanaga 300 Formatted: Font color: Red
2,86 4,72 0 5,05 Formatted: Justified, Indent: First line: 0.49", Space Before:
Sable 6 pt, After: 16 pt, Line spacing: 1.5 lines
Carrière
Sable
16 151 0,0 35
10 fin 300 Formatted: Font color: Red
2,86 6,75 0 3,41 Formatted: Justified, Indent: First line: 0.49", Space Before:
Sable Sanaga 6 pt, After: 16 pt, Line spacing: 1.5 lines
16 136 19 32
11 Sable 300 Formatted: Font color: Red
2,86 5,86 6,21 0,21 Formatted: Justified, Indent: First line: 0.49", Space Before:
carrière 6 pt, After: 16 pt, Line spacing: 1.5 lines
- Minimum :qui correspond en général au % minimum d’armature Formatted: Normal, Indent: First line: 0.49", No bullets or
numbering
Ces rations représentent l’ensemble des aciers et pas seulement les actifs Formatted: Normal, Indent: First line: 0.49"
Ratios (kg/m3)
OUVRAGES Formatted: Justified, Indent: First line: 0.49", Space Before:
6 pt, After: 16 pt, Line spacing: 1.5 lines
ELEMENTAIRES Minim Maxim
Moyen
um um
Semelles isolées 30 40 50 Formatted: Justified, Indent: First line: 0.49", Space Before:
6 pt, After: 16 pt, Line spacing: 1.5 lines
Semelles filantes 20 30 40 Formatted: Justified, Indent: First line: 0.49", Space Before:
6 pt, After: 16 pt, Line spacing: 1.5 lines
Tirants 35 100 140 Formatted: Justified, Indent: First line: 0.49", Space Before:
6 pt, After: 16 pt, Line spacing: 1.5 lines
Poteaux 50 80 150 Formatted: Justified, Indent: First line: 0.49", Space Before:
6 pt, After: 16 pt, Line spacing: 1.5 lines
Poutres isostatiques 80 130 180 Formatted: Justified, Indent: First line: 0.49", Space Before:
6 pt, After: 16 pt, Line spacing: 1.5 lines
Chaînages (horiz. et vert.) 50 55 60 Formatted: Justified, Indent: First line: 0.49", Space Before:
6 pt, After: 16 pt, Line spacing: 1.5 lines
Chaînages horiz. pour plancher Formatted: Justified, Indent: First line: 0.49", Space Before:
60 65 70 6 pt, After: 16 pt, Line spacing: 1.5 lines
terrasse
Dallages courants (non Formatted: Justified, Indent: First line: 0.49", Space Before:
15 20 25 6 pt, After: 16 pt, Line spacing: 1.5 lines
industriels)
Voiles extérieurs/intérieurs 9 35/25 50/40 Formatted: Justified, Indent: First line: 0.49", Space Before:
6 pt, After: 16 pt, Line spacing: 1.5 lines
Voiles et soutènement 20 40 80 Formatted: Justified, Indent: First line: 0.49", Space Before:
6 pt, After: 16 pt, Line spacing: 1.5 lines
Planchers dalle pleine (l = 4 à 7 (l en m Formatted: Justified, Indent: First line: 0.49", Space Before:
5 60 6 pt, After: 16 pt, Line spacing: 1.5 lines
m) +1)/ép.
Planchers prédalles 20 40 70 Formatted: Justified, Indent: First line: 0.49", Space Before:
6 pt, After: 16 pt, Line spacing: 1.5 lines
Planchers poutrelles entrevous 30 35 40 Formatted: Justified, Indent: First line: 0.49", Space Before:
6 pt, After: 16 pt, Line spacing: 1.5 lines
Chevêtres 40 60 100 Formatted: Justified, Indent: First line: 0.49", Space Before:
6 pt, After: 16 pt, Line spacing: 1.5 lines
NB : Bien entendu ces ratios sont à utiliser avec prudence, ils permettent une première Formatted: Indent: First line: 0.49"
approche mécanique et surtout de pouvoir estimer au plus juste les coûts des ouvrages
élémentaires.
II.2.1 - Elévation
L’élévation traite principalement des murs en agglos, elle est évaluée en m². Il sera donc
question de caractériser les élément constitutif 1 m² de mur en agglos.
II.2.1.1 - Agglos
Figure M M M Vol Vol Vol Formatted: Justified, Indent: First line: 0.49", Space Before:
6 pt, After: 16 pt, Line spacing: 1.5 lines
1.Figure 1. asse du asse du asse ume de ume total ume de
parpaing parpaing d'eau vide en de mortier
en kg rempli dans les litre parpaing dans le
d'eau en vides en en litre parpaing
kg kg en litre
Parpaing 12, 17, 5,5 5,59 12 6,41 Formatted: Justified, Indent: First line: 0.49", Space Before:
6 pt, After: 16 pt, Line spacing: 1.5 lines
de 15 16 7 4
Parpaing 13, 21, 8,1 8,25 16 7,75 Formatted: Justified, Indent: First line: 0.49", Space Before:
6 pt, After: 16 pt, Line spacing: 1.5 lines
de 20 34 52 8
Parpaing 6,9 10 3,1 3,13 8 4,87 Formatted: Justified, Indent: First line: 0.49", Space Before:
6 pt, After: 16 pt, Line spacing: 1.5 lines
de 10
Volume de
Formatted: Justified, Indent: First line: 0.49", Space Before:
mortier en litre 6 pt, After: 16 pt, Line spacing: 1.5 lines
Formatted Table
Parpaing de 15 15,60375 Formatted: Justified, Indent: First line: 0.49", Space Before:
6 pt, After: 16 pt, Line spacing: 1.5 lines
Parpaing de 20 20,805 Formatted: Justified, Indent: First line: 0.49", Space Before:
6 pt, After: 16 pt, Line spacing: 1.5 lines
Parpaing de 10 10,4025 Formatted: Justified, Indent: First line: 0.49", Space Before:
6 pt, After: 16 pt, Line spacing: 1.5 lines
II.2.1.1 - Les agglos bourrées de 15 × 20 × 40 Formatted: Normal, Indent: First line: 0.49", No bullets or
numbering
Vue leur faible épaisseur, ils sont beaucoup plus utilisés pour des petites structures c'est
à dire celles qui ne supportent pas de grandes charges notamment les bâtiments pleins pieds. Le
mortier de pose est dosé à 300kg/m3 pour un rendement d’environ 125 parpaings par sac de
ciment ; pour 1m2 d’élévations, il faudra environ 0,074 m3 de béton de bourrage.
II.2.1.2 - Les agglos bourrées de 20 × 20 × 40 Formatted: Normal, Indent: First line: 0.49"
II.2.2.1 - Hourdis
a) Nombre d’hourdis
b) Caractéristique de l’hourdi
Le volume total de d’un Hourdi est de 12 litre, le volume de vide de 5,59 litres et le
volume de mortier de 6,41 litres.
La figure 2.4 nous donne 1,5 ml de poutrelle pour 1 m² de plancher, soit un volume de
12,3 litres.
CONCLUSION
Figure 1.
Figure 1.
Le gros œuvre bâtiment est constitué d’ouvrages en bétons, en mortiers, d’aggloméèrées Formatted: Indent: First line: 0.49"
et des éléments de la toiture, une bonne évaluation de son coût nécessite une connaissance
approfondie sur les ouvrages qui le constituent, des matériaux utilisés pour la réalisation de Formatted: Font color: Red
chaque ouvrage, leurs quantifications grâces aux hypothèses de calcul scientifiques. Ainsi, dans
ce second chapitre nous commencerons/aborderons tout d’abord le Bbéton et le mortier qui Formatted: Font color: Red, Strikethrough
Formatted: Font color: Red
constituent la majeure partie des ouvrages du gros œuvre bâtiment, ici nous présenterons leurs
compositions et les différents rôles des composants, les types de béton et de mortier, les
proportions et les dosages en matériaux, des proportions d’acier dans le béton et le principe de
coffrage des ouvrages en béton ; par la suite les agglos, leurs rôles et les types d’utilisations en
fin les charpentes et couvertures.
Le béton est un mélange dans les proportions bien définies de granulat(granulats (sable, Formatted: Indent: First line: 0.49"
graviers), de ciment, d’eau et éventuellement d’ajouts/adjuvants. La qualité d’un béton dépend Formatted: Font color: Red
du choix des composantes et de leur dosage et pouvant être armé ou non. S’il est non armé le
dosage en ciment en particulier est très déterminant. De plus versé dans un coffre qu’il soit armé
ou non, sa qualité et son esthétique va dépendre également de la nature et de la qualité des
coffrages.
Un bon béton doit avoir une densité maximum. La résistance à la compression (et à la
traction) étant proportionnelle à la densité, celle-ci est obtenue en choisissant le diamètre des
agrégats de façon qu’en combinant les différentes dimensions des grains, tous les vides soient
comblés. En choisissant ces dimensions, on tiendra compte des points suivants :
- Plus les grains sont gros, plus leur surface diminue par rapport à leur volume. Pour
‘coller un gros grain, il faudra moins de ciment que pour le même volume des petits
grains : d’où économie de ciment,
- Mais plus les grains sont gros, plus les interstices qu’ils laissent sont importantes.
Dans cette logique et en fonction de la disponibilité des granulats sur le terrain, dans le cadre
de notre étude nous avons 5 combinaisons pour la réalisation de béton.Pour la confection de
nos bétons nous avons utilisé 5 combinaisons entre granulat, ce qui nous permettra par la suite
d’avoir le dosage en granulat, même en absence de certains granulats.
N°
Sable fin
Le ciment
- Mouiller la surface des granulats pour que la pâte de ciment puisse y adhérer ;
- Permettre l’hydratation de la poudre de ciment ;
- Favoriser la mise en œuvre du béton.
NB : Il faut environ 35 % d’eau pour que tout le ciment soit hydraté. L’éxcédentexcédent
contribue plus ou moins autant à la maniabilité qu’à la chute des résistancedes résistances ;
résistance et maniabilité evoluentévoluent de façon concomitante (plus la maniabilité
augmente, plus les résistances diminuent).[2] ). D’où l’inportanceimportance accordée d’un
bonà la quantité d’eau dosage en eau dans le bétonde gâchage. En effet, les quantités définitives
des bétons ne dépendent qu’indirectement du dosage en ciment. Elles dépendent, en revanche
𝐶
du rapport ciment/eau (𝐸) qui est un facteur essentiel pour obtenir un bon béton. [2]
II.1.1.1 - Ciment
Les liants hydrauliques sont des poudres finement broyées qui, mélangées à de l’eau
possèdent la propriété de durcir avec le temps. Les ciments sont des liants hydrauliques formés
de constituant anhydres, cristallisés ou vitreux, renfermant essentiellement de la silice, de
l’alumine et de la chaux.[2]
On appelle dosage la quantité de liant, exprimée en kg, qui entre dans 1 𝑚3 de béton Formatted: Font: Italic
mis en place. Les ciments CPA (Ciment Portland Artificiel) sont les plus employés dans la
construction.
La résistance du béton étant liée au dosage en ciment dans le béton nous distingue dans
le bâtiment en fonction du dosage en ciment :
faible résistance s’emploie pour réaliser des surfaces propres sous fondations (béton de Formatted: Font: Bold
Encore appelé béton maigre, c’est un béton faiblement dosé à 150 Kg/𝑚3 . Formatted: Indent: Left: 0.25", First line: 0.24"
Le béton pour dallage est un béton qui peut être armé ou non et qui est généralement
dosé à 300 kg/𝑚3 CPA.
Le béton pour les ouvrages de structure est armé et généralement fortement dosé de 300
𝐾𝑔/𝑚 à 400 𝐾𝑔/𝑚3 de CPA.
3
Les proportions des granulats ont étésont obtenues à partir des analyse
granulométriquedes analyses granulométriques en respectant la norme NFP 18-304.
Les hypothèses prissent en compte pour nmos dosages sont les suivantes : Formatted: Font color: Red
Formatted: Font color: Auto
Formatted: Font color: Auto
3
On effectue le dosage sur 1 𝑚 de mortier ou de béton
Formatted: Font color: Auto
D=25, béton plastique, vibration normale donc 𝛾 = 0,825. Formatted: Font color: Auto
Formatted: Font color: Auto
Densité du ciment =3,1
Formatted: Font color: Auto
Le dosage en ciment est donné.
Les granulats sont concassés
Le bBéton est coulé en vibration normale Formatted: Font color: Auto
Les densités absolues sont les suivantes : gravier 2,62 ; Sable 2,54 Formatted: Font color: Auto
b) Principe
La détermination des dosages en matériaux onse fait en suivante les étapes [2] : Formatted: Font color: Auto
Formatted: Font color: Auto
ii) Etape N°2 : Détermination du volume absolu du ciment Formatted: Font color: Auto
Formatted: Font color: Auto
𝑉𝐶 = 𝐶/3,1 Formatted: Font: 5 pt, Font color: Auto
Formatted: Normal
iii) Etape N°3 : Détermination du volume des granulats
Formatted: Font color: Auto
Le volume absolu des granulats est donné par la relation : Formatted: Font color: Auto
Formatted: Font color: Auto
𝑉𝐺 = 𝑉 − 𝑉𝐶
Mémoire de fin d’étude d’ingénieur de conception de génie civil 54
Présenté par : TUENO KEMNGNE Ivan DariosMémoire de fin d’étude en vue de l’obtention du
diplôme d’ingénieur de conception de génie civil Présenté par : TUENO KEMNGNE
Le volume de chaque granulat est donné par la relation :
𝑉𝑔 = %𝑔 ∗ 𝑉𝐺
iv) Etape N°4 : Déduction de la masse des matériaux par m3 de mortier ou de béton Formatted: Superscript
Formatted: Font color: Auto
La masse des granulats est données par la relation :
𝑚𝑔 = 𝑑𝑔 ∗ 𝑉𝑔
Formatted: Normal
Ratios (kg/m3)
OUVRAGES ELEMENTAIRES
Minimum Moyen Maximum
Semelles isolées 30 40 50
Semelles filantes 20 30 40
Longrines 40 60 80
Radiers 45 60 80
Tirants 35 100 140
Poteaux 50 80 150
Poutres isostatiques 80 130 180
Chaînages (horiz. et vert.) 50 55 60
Chaînages horiz. pour plancher terrasse 60 65 70
L’évaluation du coffrage des ouvrages élémentaires se fera tout d’aborsabord par une
estimation de la surface à coffrer en fonction du volume ou la surface de l’ouvrage, en fin
nous évaluons les éléments de coffrage en fonction des ouvrages.
Ratios de coffrage
Ouvrage Ratios
Semelle Quantité Coffrage = Quantité Béton x 3 m 2/ m3
Poteau Quantité Coffrage = Quantité Béton x 15 m 2/ m3
Poutre Quantité Coffrage = Quantité Béton x 10 à 12 m 2/ m3
Voile Quantité Coffrage = Quantité Béton x 15 à 20 m 2/ m3
Il est à noter ici que les ratios donnés dans le tableau précédent ne sont que des valeurs
indicatives, toute fois l’utilisateur de notre logiciel pourra les modifier en fonction de ses
donnéees élémentaires de coffrage.
Le coffrage des poteaux varies du fait qu’ils soient coffrés de manière isolée ou pas,
dans le cadre de notre étude nous travaillerons dans le cas du coffrage des poteaux isolés.
Figure 1.
- (1) planches de 27 ou 35 mm ou CP ;
- (2) latte 80x40 mm ;
Tableau 2. 666 : Qquantité de matériaux à utiliser pour d’un mètre carré de coffrage de
poteau
3 3 1.5
Figure 2.Figure 1.
Il est à noter ici que les matériaux utilisés ont les mêmes caractéristiques que celle du
coffrage de poteaux. On déduit alors à partir du schéma précédent que pour 1 m² de coffrage
de poutre, on aura :
Tableau 2. 777 : quantité de matériaux à utiliser pour d’un mètre carré de coffrage des
poutres
3 3 3
Un mortier est un mélange de sable, de liant hydraulique, chaux ou ciment, et d’eau pour
former une pâte plastique. Son utilisation est fonction de sa composition et de proportions
proportion des différents constituants.
Ici, on utilise exclusivement le sable, qui doit être propre et dur. Choisir de préférence
des grains ronds donnant un mortier plus facile à travailler et nécessitant moins d’eau et moins
de liants. En fonction de son utilisation la composition en granulat peut varier.
Tableau 2. 888 : combinaison des granulats pour les mortiers Formatted: Font: 12 pt, Font color: Auto
Formatted: Caption, Centered
N°
Sable
Carrière
L’eau de gâchage doit être propre (eau potable ou rivière). Ne pas employer d’eau pure, Formatted: Indent: First line: 0.49"
boueuse, acide ou contenant du gypse. Lors du gâchage, le mortier ne devra pas être inondé. La
quantité d’eau est fonction de l’usage, du dosage en liant, de la granulométrie et de la teneur en
humidité du sable.
- Pour lier entre eux les éléments de maçonnerie (parpaings) et assurer leur contact Formatted: List Paragraph,sous partie 1, Bulleted + Level: 1
+ Aligned at: 0.25" + Indent at: 0.5"
mutuel ;
- Pour réaliser à la surface des maçonneries des enduits de parement ;
- Pour réaliser des chapes sur planchers et dallages ;
- Pour fabriquer des pierres artificielles.
Les proportions des granulats sont obtenues à partir des analyses granulométriques en
respectant la norme NFP 18-304.
Le dosage des mortiers suit les mêmes étapes énumérées au II.1.3.1 - pour le dosage du Formatted: Indent: First line: 0.49"
béton.
Formatted: Font color: Auto
Formatted: Font color: Auto
Tableau 2. 10109 : dosage en granulats pour 𝟏 𝒎𝟑 de mortier normal et 𝑪 = 𝟑𝟎𝟎 𝒌𝒈/𝒎𝟑 Formatted: Font color: Auto
Formatted: Font color: Auto
DOSAGE POUR 1 M3 DE MORTIER NORMAL DOSE A 300 KG/M3 Formatted: Font color: Auto
Sable Sable Formatted: Font color: Auto
Combinaison Ciment Eau en Sable fin en
Granulats Sanaga en carrière en Formatted: Font color: Auto
N° en kg Litre kg
kg kg Formatted: Font color: Auto
Sable fin
Formatted: Font color: Auto
9 Sable Sanaga 300 162,86 1664,72 0,00 195,05
Formatted Table
Sable Carrière
Formatted: Font color: Auto
Formatted: Font color: Auto
Les agglomérés sont des éléments préfabriqués en mortier dosé à 300 𝑘𝑔/𝑚3 de CPA. Formatted: Indent: First line: 0.49"
II.3.1.1 - Caractéristique
Tableau 2. 111111 : caractéristique du parpaings de 10x40x20 Formatted: Font: 12 pt, Font color: Auto
Formatted: Caption, Centered
Longueur Larguer en Hauteur en Volume en Volume de vide Volume de mortier Formatted Table
en cm cm cm litre en litre en litre Formatted: Font: 14 pt, Bold
40 10 20 8 3,13 4,87 Formatted: Font: (Default) Times New Roman, 14 pt, Bold
Formatted: Font: (Default) Times New Roman, 12 pt
Formatted: Font: (Default) Times New Roman, 12 pt
Formatted: Font: (Default) Times New Roman, 12 pt
NB : pour la obtentionl’obtention du volume de vide dans les parpaings nous avons Formatted: Font: (Default) Times New Roman, 12 pt
effectué des essais au laboratoire en respectant les étapes suivantes : Formatted: Font: (Default) Times New Roman, 12 pt
Formatted: Font: (Default) Times New Roman, 12 pt
Formatted: Font: (Default) Times New Roman, 12 pt
- On trempe complètement le parpaing dans de l’eau pendant une durée de 24 h. Formatted: Font: (Default) Times New Roman, 12 pt
- On mesure la masse de parpaing vide Formatted: Font: (Default) Times New Roman, 12 pt
Formatted: Font: (Default) Times New Roman, 12 pt
On mesure la masse de parpaing rempli d’eau
Formatted: Font: (Default) Times New Roman, 12 pt
- Formatted: Font: (Default) Times New Roman, 12 pt
Formatted: Font: (Default) Times New Roman, 12 pt
Longueur Larguer en Hauteur en Volume en Volume de vide Volume de mortier Formatted Table
en cm cm cm litre en litre en litre Formatted: Font: 14 pt, Bold
40 15 20 12 5,54 6,41
II.3.3.1 - Caractéristique
Longueur Larguer en Hauteur en Volume en Volume de vide Volume de mortier Formatted Table
en cm cm cm litre en litre en litre Formatted: Font: 14 pt, Bold
40 20 20 16 8,25 7,75
Le volume total de d’un Hourdi est de 12 litre, le volume de vide de 5,59 litres et le
volume de mortier de 6,41 litres.
TOITURE
Toiture simple à deux Toiture à deux versants et Toiture courante à un Formatted: Justified, Space Before: 6 pt, After: 16 pt, Line
spacing: 1.5 lines
versant symétrique croupe versant Formatted: Font: Bold
Formatted: Font: Bold
Formatted: Font: (Default) Times New Roman, 12 pt, Bold
Formatted: Font: (Default) Times New Roman, 12 pt, Bold
Formatted: Font: Bold
Formatted: Justified, Space Before: 6 pt, After: 16 pt, Line
spacing: 1.5 lines
Formatted: Font: Bold
Formatted: Justified, Space Before: 6 pt, After: 16 pt, Line
spacing: 1.5 lines
Formatted: Font: (Default) Times New Roman, 12 pt, Bold
Formatted: Font: Bold
Formatted: Font: (Default) Times New Roman, 12 pt, Bold
Formatted: Font: Bold
Formatted: Font: (Default) Times New Roman, 12 pt, Bold
Formatted: Normal
II.4.1 - La charpente
Une charpente est un assemblage de pièces de bois et/ou de métal, servant à soutenir ou
couvrir une construction et faisant partie de la toiture. On utilise généralement le bois car il est
léger et permet de franchir de grandes distances, (ou portées) sans fléchir dangereusement. Pour
la réalisation des charpentes on a deux solutions : soit on pose des pannes de pignon à refend,
soit on pose des pannes sur ferme.
Elle consiste à donner aux murs la pente du toit (on appelle alors ce mur rampant) au Formatted: Indent: First line: 0.49"
niveau des pignons et des refends et à poser entre les murs une poutre assez fine qu’on appelle
panne. Les pannes sont scellées dans le chaîinage du rampant. Ces types de charpente sont
scellées dans le chaîinage du rampant.
- La portée des pannes : l’écartement entre pignon et refends ne doit pas dépasser 6m. Formatted: List Paragraph,sous partie 1, Bulleted + Level: 1
+ Aligned at: 0.29" + Indent at: 0.54"
Dd’autre part, au-dessus de 4,5m il faut des pannes de grandes sections.
Les pannes sont les éléments de liaison entre les fermes. Il existe 3 types de pannes : la
sablière, posée sur les murs ; les pannes ventrières positionnées en milieu de pan de toit et la
panne faîtière, en haut due toit appelé le faîtage. C'est par elles que transitent les charges des
chevrons vers les fermes. L'eEntraxe de panne dépend du type de conception de l'ouvrage, des
charges de toiture et de la section de bois ainsi que l'essence de celui-ci. Dans la plupart des
cas, il s’agit des lattes (4x8) ou des chevrons (6x6).
Le traitement du bois est nécessaire contre les moisissures, les champignons, les
termites, etc. Iil existe pour se faire des produits industriels très efficaces : carbonyl, Xylanon,
Bondex. Comptez environs 20 à 30 litres pour 100 m² de toiture en plan.
La tôle ondulée comme le nom l’indique présente des ondulations sur toute sa longueur
; elle est la plus utilisée à cause de son prix moins chère.
Plus résistante que les tôles ondulées, et d’un aspect plus esthétique, elles relèvent
encore du domaine du luxe car leur prix reste élevé.
Dans ce chapitre, nous vous avons présenté le rôle des matériaux et les dispositions
préliminaires à l’évaluation du coût du gros œuvre bâtiment, cette présentation s’est faite en
étudiant tout d’abord les ouvrages en béton, puis le mortier et ses types d’utilisations, par la
suite les agglos et en fin la charpente et la couverture. ceciCeci nous donne des hypothèses de
bases à utiliser lors de l’implémentation de notre logiciel.
Le gros œuvre bâtiment et les dispositions préliminaires étant présentés, il est question Formatted: Indent: First line: 0.49"
dans ce chapitre de mettre en sur pied le logiciel que nous avons appelé ECGO-Bat (Estimateur Formatted: Font: Bold
du Coût du Gros Œuvre Bâtiment).notre logiciel. Pour se faire nous présenterons tout d’abord
se l’on entend par logiciel, de cycle de vie d’un logiciel, puis présenterons la conception de
notre logiciel en passant par le choix du langage de programmation utilisé et d’un diagramme
d’activité de navigation et enfin nous passons à la phase d’implémentation.la conception
proprement dite de l’ECGO-Bat, en fin sont implémentation.
Un logiciel est un ensemble des programmes et des procédures nécessaires au Formatted: Indent: First line: 0.49"
On distingue principalement deux couches de logiciel : Formatted: Indent: First line: 0.29"
- Ils se placent entre le matériel et logiciel d’application Formatted: List Paragraph,sous partie 1, Bulleted + Level: 1
+ Aligned at: 0.29" + Indent at: 0.54"
- Ils permettent aux logiciels d’application une indépendance vis-à-vis du matériel
- Ils réalisent les fonctions de base du système (impression, visualisation, écriture et
lecture en mémoire)
- Ils traitent les demandes (d’accès au matériel) des logiciels d’application.
- Les systèmes d’exploitation : Windows toute version, Linus, Unix, Palm OS Formatted: List Paragraph,sous partie 1, Bulleted + Level: 1
+ Aligned at: 0.29" + Indent at: 0.54"
Le BIOS contrairement aux autres logiciels est stocké dans la mémoire morte, il est installé sur
la carte- mère et permet le démarrage de l’ordinateur.
LOGICIEL D’APPLICATIONS
SYSTEME D’EXPLOITATION
En dehors des logiciels systèmes qui constituent la première interface avec le matériel,
les utilisateurs sont amenés à utiliser différents types de logiciels parmi lesquels :
Ils permettent l’accès et la gestion des bases de données. On peut citer : Oracle, Access, SQL
Server, MySQL.
Il est à noter que le logiciel que nous allons mettre en œuvre est un logiciel d’application.
Le cycle de vie d’une application décrit les étapes de la construction logicielle, leur
organisation et leur succession dans le temps. [8]
Les premiers langages de programmation à mettre sur pied furent les suivants :
- Fortran (1956)
- Cobol (1959)
- Pascal (1972)
- C (1972)
Cependant l’algorithmique ne se suffisant plus elle seule à la fin des années (1970), le génie
logiciel est venue placer la méthodologie au cœur du développement des logiciels. Des
mé2thodes comme Merise se sont alors imposé. La taille des applications ne csessant de croîitre,
la programmation structurée a également rencontré ses limites. Faisant place à la
programmation orientée. Plusieurs langages de programmation objet virent alors le jour :
- Smalltalk (1976)
- C++ (1982)
- Visual Basic (1991)
- Java (1995)
Figure 3. 2 : les étapes du cycle de vie d’un logiciel Formatted: Font: Bold
Formatted: Font: Bold
III.2.2 - Explication des étapes du cycle de vie d’un logiciel : adapté à notre Formatted: Centered
Formatted: Font: Bold
cas
Formatted: Centered
a) Expression des besoins : Formatted: Font: Bold
Formatted: Centered
Les besoins s’exprimes’expriments ici par l’idée, la nécessité de mettre au point un Formatted: Heading 3
logiciel permettant d’évaluer le coût du gros œuvre bâtiment. Ce logiciel, nous lui avons donné
le nom : ECGO-Bat.
Cette phase consiste à s’accorder sur « ce que doit faire le logiciel » avant de s’accorder
sur « la manière dont on doit le faire ». Elle fait intervenir ici des experts du métier à savoir des
experts de la construction en bâtiments qui doivent de ce fait établir des hypothèses et des
théories qui seront utilisées à la phase de conception. Il s’agit ici de faire recourst aux formules
par la méthode de dosage des béton et mortier, des ratios d’acier et de coffrage.
Cette phase fait intervenir non plus les experts du métier, mais au contraire des experts
informatiques spécialisés. C’est une phase qui doit être réalisée par les spécialistes du langage
de programmation utilisé en collaboration avec les experts du système de gestion de bases de
donné choisiedonnées choisies. Elle consiste ici à présenter par des schémas, des
organigrammes et par des diagrammes d’activités de navigation des différents cas d’utilisation
du logiciel.
C’est la phase pendant laquelle les structures de données et les algorithmes décrits
pendant la conception sont traduit en langage de programmation utilisé et ce dans un
environnement de programmation adéquate. Nous avons choisi pour ECGO-Bat comme
langage de programmation, Visual Basic for Applications. Puis comme environnement de
programmation, le développer d’Excel (le Visual Basic d’Excel). Dans cette phase, il faut
concevoir des interfaces qui faciliteronts l’utilisation du logiciel.
Cette phase consiste à vérifier le bon fonctionnement de l’application sur des exemples précis.
Le logiciel est validé si les résultats produits sont exploitables. Dans notre cas il s’agit
de comparer les résultats fournis par ECGO-Bat à ceux produit par la méthode classique des
feuilles Excel des bureaux d’études.
La norme qualité impose que tout logiciel développé respecte certains critères. Les qualités
d’un bon logiciel sont [12][11] :
logiciels.
vi) Efficacité : utilisation optimale des ressources matérielles.
vii) Portabilité : facilité avec laquelle un logiciel peut être transféré sous différents Formatted: Font: Bold
ix) Intégrité : aptitude d’un logiciel à protéger son code et ses données contre des accès Formatted: Font: Bold
non autorisés.
x) Facilité d’emploi : facilité d’apprentissage, d’utilisation, de préparation des Formatted: Font: Bold
Ces facteurs sont parfois contradictoires, le choix des compromis doit s’effectuer en
fonction du contexte.
iii) Pourquoi utiliser le développeur (Visual Basic for Application) d’Excel comment Formatted: Heading 6
environnement de développement ?
C’est un diagramme présentant les fonctions et les différents cas d’utilisation du logiciel. La
figure suivante nous donne ce diagramme.
Hypothèses de calcul
Métré Résultats
Les hypothèses de base sont l’ensemble de paramètres de calcul prisents en compte pour Formatted: Indent: First line: 0.29"
- Choisir la combinaison de béton et de mortier qui correspond à sa composition sur le Formatted: List Paragraph,sous partie 1, Bulleted + Level: 1
+ Aligned at: 0.29" + Indent at: 0.54"
terrain ;.
- Choisir le dosage des différents bétons (bBéton de propreté, bBéton pour dallage,
bBéton pour ouvrage de structure) et mortier (mortier de joint, de chape, etc.) ;
- Valider ou modifier les rations d’aciers et de coffrage des ouvrages ;
- Valider ou modifier le prix unitaire des matériaux en fonction de ses prix d’achat.
- L’accès aux différents niveaux de notre bâtiment ; Formatted: List Paragraph,sous partie 1, Bulleted + Level: 1
+ Aligned at: 0.29" + Indent at: 0.54"
- L’accès aux résultats ;
- De retourner aux hHypothèses de base pour une éventuelle modification
Ici, on donne la possibilité à l’utilisateur d’entrer les caractéristiques des ouvrages de la Formatted: Indent: First line: 0.29"
fondation à savoir :
- Le volume total des semelles Formatted: List Paragraph,sous partie 1, Bulleted + Level: 1
+ Aligned at: 0.29" + Indent at: 0.54"
- Le volume total des amorces
- Le linéaire total du mur de soubassement (en précisant le type d’agglos utilisé).
Ici, l’utilisateur pourra entrer les caractéristiques des ouvrages du RDC à savoir :
- La hauteur et le linéaire total de mur en fonction type d’agglos Formatted: List Paragraph,sous partie 1, Bulleted + Level: 1
+ Aligned at: 0.29" + Indent at: 0.54"
- Le volume des ouvrages en béton armé (poutre, poteau, etc)
- La surface totale du dallage
- Le type et la surface totale de plancher haut
Ici l’utilisateur pourra entrer les caractéristiques des ouvrages du RDC à savoir :
Le logiciel nous donne les résultats sur des feuilles Excel imprimables directement sous
différentes formes :
L’implémentation est la phase au cours de laquelle les établis à la conception sont traduit
en programme. Puisqu’il est encombrant, voire même impossible de décrire brièvement les
classes d’objets, les méthodes et les constructeurs implémentés dans cette phase sur quelques
pages, nous ne présenterons ici que quelques organigrammes.
LEGENDE
matériaux
Toiture
Fondation Rez-de-chaussée Etage (s)
Résultats
Nous avons présenté dans ce chapitre, la conception et l’implémentation de notre logiciel Formatted: Indent: First line: 0.25"
que nous avons appelé ECGO-Bat. Par la suite il sera question de présenter notre logiciel avec Formatted: Font: Bold
une cas accompagné d’un cas pratique pratique à l’appui pour évaluer la fiabilité de notre
logiciel. Formatted: Font: Not Bold
Dans ce chapitre, nous présenterons le logiciel ECGO-Bat (l’Estimateur de Coût du Formatted: Indent: First line: 0.49"
Gros Œuvre Bâtiment) tout en donnant quelques règles d’utilisation. Ensuite nous l’utiliserons
pour l’évaluation du coût de l’extension du ministère de la Jjustice qui est un bâtiment R+4
avec une toiture- terrasse.
Au lancement du logiciel, une page d’accueil se présente et il faut juste cliquer sur le Formatted: Indent: First line: 0.49"
Cette page nous permet de choisir et d’entrer les paramètres de base d’évaluation aussi
bien quantitative qu’estimative du coût du bâtiment.
Cette page est divisée en, avant chacune un rôle bien précis :
Le métré est constitué de plusieurs pages permettant à l’utilisateur d’entrer les données
du bâtiment.
La page de transition est celle à partir de laquelle en plus des accès à ceux des différents
niveaux de notre bâtiment, elle permet l’accès aux résultats et permet également le retour aux
hypothèses de bases en cas de modification.
Ici, l’utilisateur choisit le type d’agglos à utiliser pour le mur de soubassement, il donne la
hauteur et le linéaire total du mur. Indiquer par la suite si les agglos sont bourrés ou pas.
La page qui permet l’entrer des données du RDC est constituée de trois ongles :
- La zone Poutre (s) : où il pourra entrer le volume total des poutres, le choix du dosage
en acier (minimum, moyen, maximum), choix au bout duquel le logiciel vous précisera
la quantité d’acier par 𝑚3 d’ouvrage.
- La zone Poteau (x) : où il pourra entrer le volume total des poteaux et le choix du
dosage en acier (minimum, moyen, maximum), choix au bout duquel le logiciel vous
précisera la quantité d’acier par 𝑚3 d’ouvrage.
- La zone Escalier : où il pourra entrer le volume total des escaliers du niveau et le choix
du dosage en acier (minimum, moyen, maximum), choix au bout duquel le logiciel vous
précisera la quantité d’acier par 𝑚3 d’ouvrage.
- La zone plancher : ici, l’utilisateur choisi tout d’abord le type de plancher, donne la
surface totale du plancher, son épaisseur et le choix du dosage en acier (minimum,
moyen, maximum), choix au bout duquel le logiciel vous précisera la quantité d’acier
par 𝑚3 d’ouvrage.
- La zone dallage : ici l’utilisateurici, l’utilisateur donne la surface totale du dallage, son
épaisseur et le choix du dosage en acier (minimum, moyen, maximum), choix au bout
duquel le logiciel vous précisera la quantité d’acier par 𝑚3 d’ouvrage.
La page de Etage N°1 (pareillement aux autres étages) est constituée de trois ongles
présentés de la manière suivante :
- La zone Poutre (s) : où il pourra entrer le volume total des poutres, le choix du dosage
en acier (minimum, moyen, maximum), choix au bout duquel le logiciel vous précisera
la quantité d’acier par 𝑚3 d’ouvrage.
Ici, l’utilisateur choisi tout d’abord le type de plancher, donne la surface totale du plancher,
son épaisseur et le choix du dosage en acier (minimum, moyen, maximum), choix au bout
duquel le logiciel vous précisera la quantité d’acier par 𝑚3 d’ouvrage.
La page de la toiture terrasse se présente comme cette des étages présentés au IV.1.3.4 - .
Les résultats sont des feuilles Excel qui permettent à l’utilisateur une impression rapide
ou un retour aux Hypothèses de base ou à la page des métrés.
iii) Feuille de présentation des matériaux à utiliser pour les ouvrages préfabriqués. Formatted: Heading 6
Cette page permet aux utilisateurs qui veulent fabriquerés directement sur le chantier les
ouvrages tels que les agglos et des poutrelles.
Remarque : il est à noter que les feuilles des résultats sont flexibles en fonction du
nombre d’étages du bâtiment, nous vous avons présenté avec le cas d’un bâtiment à 4 étages,
mais si les étages étaient plus ou moins ont retrouveraits le nombre exact d’étages du bâtiment
sur les feuilles des résultats.
Tableau 4. 2 : Devis quantitatif du gros oeuvre Formatted: Font: 12 pt, Font color: Auto
Formatted: Caption, Centered
Tableau 4. 3 : Quantitatif et Estimatif des matériaux constituant le gros œuvre bâtiment Formatted: Font: 12 pt, Font color: Auto
Formatted: Caption, Centered
Prix
Unit Quantit Prix
N° Désignation Unitair
é é total
e
1 LOT 1 : FONDATION
Béton de propreté dosé à 150
1.1 Kg/m3 m3 18,00 Formatted Table
Prix
Unit Quantit Prix
N° Désignation Unitair
é é total
e
1.3.2.3 Sable Sanaga tonne 0,00 8 000 0
1.3.2.4 Sable Carrière tonne 0,00 8 000 0
1.3.2.5 Eaux litre 0,00 0 0
1.3.3 Béton pour Bourrage m3 0,00
1.3.3.1 Ciment de 50 kg U 0,00 5 000 0
1.3.3.2 Sable fin tonne 0,00 8 000 0
1.3.3.3 Sable Sanaga tonne 0,00 8 000 0
1.3.3.4 Sable Carrière tonne 0,00 8 000 0
1.3.3.5 Gravier 05/15 tonne 0,00 13 500 0
1.3.3.6 Gravier 15/25 tonne 0,00 13 500 0
1.3.3.7 Eaux litre 0,00 0 0
Sous total mur de soubassement 0
1.4 Amorce m3 82,74
1.4.1 Béton armé m3 82,11
1.4.1.1 Ciment de 50 kg U 574,75 5 000 2 873 766
1.4.1.2 Sable fin tonne 0,00 8 000 0
1.4.1.3 Sable Sanaga tonne 53,88 8 000 431 003
1.4.1.4 Sable Carrière tonne 0,00 8 000 0
1.4.1.5 Gravier 05/15 tonne 12,26 13 500 165 443
1.4.1.6 Gravier 15/25 tonne 85,79 13 500 1 158 098
1.4.1.7 Eaux litre 15600,44 0 78
1.4.2 Acier kg 4964,40 450 2 233 980
1.4.3 Coffrage m² 246,32
1.4.3.1 Planche m² 246,32 500 123 161
1.4.3.2 Chevron ml 61,58 100 6 158
1.4.3.3 Latte ml 738,97 300 221 690
Sous total Amorce 7 213 378
1.5 Longrine m3 0,00
1.5.1 Béton armé m3 0,00
1.5.1.1 Ciment de 50 kg U 0,00 5 000 0
1.5.1.2 Sable fin tonne 0,00 8 000 0
1.5.1.3 Sable Sanaga tonne 0,00 8 000 0
1.5.1.4 Sable Carrière tonne 0,00 8 000 0
1.5.1.5 Gravier 05/15 tonne 0,00 13 500 0
1.5.1.6 Gravier 15/25 tonne 0,00 13 500 0
1.5.1.7 Eaux litre 0,00 0 0
1.5.2 Acier kg 0,00 450 0
1.5.3 Coffrage m2 0,00
Prix
Unit Quantit Prix
N° Désignation Unitair
é é total
e
1.5.3.1 Planche m² 0,00 500 0
1.5.3.2 Chevron ml 0,00 100 0
1.5.3.3 Latte ml 0,00 300 0
Sous total Longrine 0
38 506
Sous-total Lot 1: FONDATION 833
2 LOT 2 : RDC
2.1 Poutre (s) dosées à 350 kg/m3 m3 80,40 Formatted Table
Prix
Unit Quantit Prix
N° Désignation Unitair
é é total
e
2.3.1 Nombre d'agglos de 10 U 0,00 0 0
2.3.2 Nombre d'agglos de 15 U 0,00 0 0
2.3.3 Nombre d'agglos de 20 U 0,00 0 0
2.3.4 Mortier de pose m3 0,00
2.3.4.1 Ciment de 50 kg U 0,00 5 000 0
2.3.4.2 Sable fin tonne 0,00 8 000 0
2.3.4.3 Sable Sanaga tonne 0,00 8 000 0
2.3.4.4 Sable Carrière tonne 0,00 8 000 0
2.3.4.5 Eaux litre 0,00 0 0
2.3.5 Voile m3 46,50
2.3.5.1 Béton dosé à 350 Kg/m3 m3 46,26
2.3.5.1.1 Ciment de 50 kg U 323,84 5 000 1 619 207
2.3.5.1.2 Sable fin tonne 0,00 8 000 0
2.3.5.1.3 Sable Sanaga tonne 30,12 8 000 240 990
2.3.5.1.4 Sable Carrière tonne 0,00 8 000 0
2.3.5.1.5 Eaux litre 8789,98 0 44
2.3.5.1.6 Gravier 05/15 tonne 6,91 13 500 93 218
2.3.5.1.7 Gravier 15/25 tonne 48,34 13 500 652 524
2.3.5.2 Acier kg 1860,00 450 837 000
2.3.5.3 Coffrage m2 1860,00
2.4.5.3.1 Contreplaqué m2 2046,00 1 000 2 046 000
2.4.5.3.2 Chevron ml 3720,00 100 372 000
2.4.5.3.3 Latte ml 9300,00 300 2 790 000
Sous total Elévation 8 650 983
2.4 Escalier m3 8,28
2.4.1 Béton dosé à 350 Kg/m3 m3 8,24
2.4.1.1 Ciment de 50 kg U 57,70 5 000 288 508
2.4.1.2 Sable fin tonne 0,00 8 000 0
2.4.1.3 Sable Sanaga tonne 5,37 8 000 42 939
2.4.1.4 Sable Carrière tonne 0,00 8 000 0
2.4.1.5 Eaux litre 1566,19 0 8
2.4.1.6 Gravier 05/15 tonne 1,23 13 500 16 609
2.4.1.7 Gravier 15/25 tonne 8,61 13 500 116 266
2.4.2 Acier kg 289,80 450 130 410
2.4.3 Coffrage m2 33,12
2.4.3.1 Planche m² 49,68 500 24 840
2.4.3.2 Chevron ml 99,36 100 9 936
2.4.3.3 Latte ml 99,36 300 29 808
Prix
Unit Quantit Prix
N° Désignation Unitair
é é total
e
Sous total Escalier 659 324
2. Dallage m3 131,00
2.5.1 Béton dosé à 350 Kg/m3 m3 130,42
2.5.1.1 Ciment de 50 kg U 33,12 5 000 165 600
2.5.1.2 Sable fin tonne 0,00 8 000 0
2.5.1.3 Sable Sanaga tonne 152,85 8 000 1 222 836
2.5.1.4 Sable Carrière tonne 0,00 8 000 0
2.5.1.5 Gravier 05/15 tonne 19,47 13 500 262 781
2.5.1.6 Gravier 15/25 tonne 136,26 13 500 1 839 470
2.5.1.7 Eaux litre 24779,03 0 124
2.5.2 Acier kg 4585,00 450 2 063 250
Sous total Dallage 5 554 062
2.6 Dalle pleine m2 655,00
2.6.1 Hourdis U 0,00 0 0
2.6.2 Nervures ml 0,00 0 0
2.6.3 Béton m3 129,33 0
2.6.3.1 Ciment de 50 kg U 905,32 5 000 4 526 592
2.6.3.2 Sable fin tonne 0,00 8 000 0
2.6.3.3 Sable Sanaga tonne 84,21 8 000 673 703
2.6.3.4 Sable Carrière tonne 0,00 8 000 0
2.6.3.5 Gravier 05/15 tonne 19,30 13 500 260 596
2.6.3.6 Gravier 15/25 tonne 135,12 13 500 1 824 171
2.6.3.7 Eaux litre 24572,93 0 123
2.6.4 Acier kg 13100,00 450 5 895 000
2.6.5 Coffrage m2 146,72
2.6.5.1 Planche m² 220,08 500 110 040
2.6.5.2 Chevron ml 1760,64 100 176 064
2.6.5.3 Latte ml 2640,96 300 792 288
14 258
Sous total Plancher Haut du RDC 577
42 256
Sous-total Lot 2: REZ DE CHAUSSEE 981
3 LOT 3 : ETAGE N°1
3.1 Poutre (s) dosées à 350 kg/m3 m3 80,40 Formatted Table
Prix
Unit Quantit Prix
N° Désignation Unitair
é é total
e
3.1.1.4 Sable Carrière tonne 0,00 8 000 0
3.1.1.5 Gravier 05/15 tonne 11,88 13 500 160 351
3.1.1.6 Gravier 15/25 tonne 83,14 13 500 1 122 456
3.1.1.7 Eaux litre 15120,32 0 76
3.1.2 Acier kg 6432,00 450 2 894 400
3.1.3 Coffrage m2 192,96
3.1.3.1 Planche m² 192,96 500 96 480
3.1.3.2 Chevron ml 48,24 100 4 824
3.1.3.3 Latte ml 578,88 300 173 664
Sous total Poutre Etage 7 652 119
3.2 Escalier dosées à 350 kg/m3 m3 8,28
3.2.1 Béton armé m3 8,22
3.2.1.1 Ciment de 50 kg U 57,52 5 000 287 585
3.2.1.2 Sable fin tonne 0,00 8 000 0
3.2.1.3 Sable Sanaga tonne 5,35 8 000 42 802
3.2.1.4 Sable Carrière tonne 0,00 8 000 0
3.2.1.5 Gravier 05/15 tonne 1,23 13 500 16 556
3.2.1.6 Gravier 15/25 tonne 8,58 13 500 115 894
3.2.1.7 Eaux litre 1561,18 0 8
3.2.2 Acier kg 496,80 450 223 560
3.2.3 Coffrage m2 33,12
3.2.3.1 Planche m² 49,68 500 24 840
3.2.3.2 Chevron ml 99,36 100 9 936
3.2.3.3 Latte ml 132,48 300 39 744
Sous total Poutre Etage 721 181
3.3 Poteau (x) dosées à 350 kg/m3 m3 58,14
3.3.1 Béton armé m3 57,77
3.3.1.1 Ciment de 50 kg U 404,39 5 000 2 021 939
3.3.1.2 Sable fin tonne 0,00 8 000 0
3.3.1.3 Sable Sanaga tonne 37,62 8 000 300 930
3.3.1.4 Sable Carrière tonne 0,00 8 000 0
3.3.1.5 Gravier 05/15 tonne 8,62 13 500 116 403
3.3.1.6 Gravier 15/25 tonne 60,36 13 500 814 821
3.3.1.7 Eaux litre 10976,24 0 55
3.3.2 Acier kg 2907,00 450 1 308 150
3.3.3 Coffrage m2 174,42
3.3.3.1 Planche m² 209,30 500 104 652
3.3.3.2 Chevron ml 523,26 100 52 326
Prix
Unit Quantit Prix
N° Désignation Unitair
é é total
e
3.3.3.3 Latte ml 232,56 300 69 768
Sous total Poutre Poteau (x) 4 719 275
3.4 Elévation m2 474,00
3.4.1 Nombre d'agglos de 10 U 468,00 218 102 166
3.4.2 Nombre d'agglos de 15 U 5220,00 287 1 499 389
3.4.3 Nombre d'agglos de 20 U 0,00 0 0
3.4.4 Mortier de pose m3 7,19
3.4.4.1 Ciment de 50 kg U 35,97 5 000 179 833
3.4.4.2 Sable fin tonne 2,20 8 000 17 626
3.4.4.3 Sable Sanaga tonne 10,04 8 000 80 295
3.4.4.4 Sable Carrière tonne 1,36 8 000 10 880
3.4.4.5 Eaux litre 976,24 0 5
3.4.5 Voile m3 46,50
3.4.5.1 Béton armé m3 45,61
3.4.5.1.1 Ciment de 50 kg U 319,28 5 000 1 596 401
3.4.5.1.2 Sable fin tonne 0,00 8 000 0
3.4.5.1.3 Sable Sanaga tonne 29,70 8 000 237 596
3.4.5.1.4 Sable Carrière tonne 0,00 8 000 0
3.4.5.1.5 Gravier 05/15 tonne 6,81 13 500 91 905
3.4.5.1.6 Gravier 15/25 tonne 47,65 13 500 643 333
3.4.5.1.7 Eaux litre 8666,18 0 43
3.4.5.2 Acier kg 6975,00 450 3 138 750
3.4.5.3 Coffrage m2 4650,00
3.4.5.3.1 Contreplaqué m2 5580,00 1 000 5 580 000
3.4.5.3.2 Chevron ml 4650,00 100 465 000
3.4.5.3.3 Latte ml 13950,00 300 4 185 000
13 643
Sous total Elévation 224
3.5 Dalle pleine m2 68,12
3.5.1 Hourdis U 0,00 0 0
3.5.2 Nervures ml 0,00 0 0
3.5.3 Béton m3 3,36 0
3.5.3.1 Ciment de 50 kg U 23,54 5 000 117 691
3.5.3.2 Sable fin tonne 0,00 8 000 0
3.5.3.3 Sable Sanaga tonne 2,19 8 000 17 516
3.5.3.4 Sable Carrière tonne 0,00 8 000 0
3.5.3.5 Gravier 05/15 tonne 0,50 13 500 6 775
3.5.3.6 Gravier 15/25 tonne 3,51 13 500 47 428
3.5.3.7 Eaux litre 638,90 0 3
Prix
Unit Quantit Prix
N° Désignation Unitair
é é total
e
3.6.4 Acier kg 340,60 450 153 270
3.6.5 Coffrage m2 15,26
3.6.5.1 Planche m² 43,60 500 21 798
3.6.5.2 Chevron ml 38,15 100 3 815
3.6.5.3 Latte ml 274,66 300 82 398
Sous total Elévation 368 298
27 104
Sous-total Lot 3 : ETAGE N°1 097
4 LOT 4 : ETAGE N°2
4.1 Poutre (s) dosées à 350 kg/m3 m3 58,14 Formatted Table
Prix
Unit Quantit Prix
N° Désignation Unitair
é é total
e
Sous total Poutre Etage 674 228
4.3 Poteau (x) dosées à 350 kg/m3 m3 58,14
4.3.1 Béton armé m3 57,55
4.3.1.1 Ciment de 50 kg U 402,83 5 000 2 014 162
4.3.1.2 Sable fin tonne 0,00 8 000 0
4.3.1.3 Sable Sanaga tonne 37,47 8 000 299 772
4.3.1.4 Sable Carrière tonne 0,00 8 000 0
4.3.1.5 Gravier 05/15 tonne 8,59 13 500 115 955
4.3.1.6 Gravier 15/25 tonne 60,12 13 500 811 687
4.3.1.7 Eaux litre 10934,02 0 55
4.3.2 Acier kg 4651,20 450 2 093 040
4.3.3 Coffrage m2 174,42
4.3.3.1 Planche m² 261,63 500 130 815
4.3.3.2 Chevron ml 174,42 100 17 442
4.3.3.3 Latte ml 523,26 300 156 978
Sous total Poutre Poteau (x) 5 482 928
4.4 Elévation m2 784,00
4.4.1 Nombre d'agglos de 10 U 468,00 218 102 166
4.4.2 Nombre d'agglos de 15 U 5220,00 287 1 499 389
4.4.3 Nombre d'agglos de 20 U 0,00 0 0
4.4.4 Mortier de pose m3 7,19
4.4.4.1 Ciment de 50 kg U 35,97 5 000 179 833
4.4.4.2 Sable fin tonne 2,20 8 000 17 626
4.4.4.3 Sable Sanaga tonne 10,04 8 000 80 295
4.4.4.4 Sable Carrière tonne 1,36 8 000 10 880
4.4.4.5 Eaux litre 976,24 0 5
4.4.5 Voile m3 46,50
4.4.5.1 Béton armé m3 45,61
4.4.5.1.1 Ciment de 50 kg U 319,28 5 000 1 596 401
4.4.5.1.2 Sable fin tonne 0,00 8 000 0
4.4.5.1.3 Sable Sanaga tonne 29,70 8 000 237 596
4.4.5.1.4 Sable Carrière tonne 0,00 8 000 0
4.4.5.1.5 Gravier 05/15 tonne 6,81 13 500 91 905
4.4.5.1.6 Gravier 15/25 tonne 47,65 13 500 643 333
4.4.5.1.7 Eaux litre 8666,18 0 43
4.4.5.2 Acier kg 6975,00 450 3 138 750
4.4.5.3 Coffrage m2 186,00
4.4.5.3.1 Contreplaqué m2 223,20 1 000 223 200
Prix
Unit Quantit Prix
N° Désignation Unitair
é é total
e
4.4.5.3.2 Chevron ml 186,00 100 18 600
4.4.5.3.3 Latte ml 558,00 300 167 400
Sous total Elévation 7 840 024
4.5 Dalle pleine m2 572,00
4.5.1 Hourdis U 0,00 0 0
4.5.2 Nervures ml 0,00 0 0
4.5.3 Béton m3 84,71 0
4.5.3.1 Ciment de 50 kg U 592,95 5 000 2 964 745
4.5.3.2 Sable fin tonne 0,00 8 000 0
4.5.3.3 Sable Sanaga tonne 55,16 8 000 441 250
4.5.3.4 Sable Carrière tonne 0,00 8 000 0
4.5.3.5 Gravier 05/15 tonne 12,64 13 500 170 680
4.5.3.6 Gravier 15/25 tonne 88,50 13 500 1 194 762
4.5.3.7 Eaux litre 16094,33 0 80
4.6.4 Acier kg 8580,00 450 3 861 000
4.6.5 Coffrage m2 128,13
4.6.5.1 Planche m² 366,08 500 183 040
4.6.5.2 Chevron ml 320,32 100 32 032
4.6.5.3 Latte ml 0,00 300 0
Sous total Elévation 8 847 590
29 806
Sous-total Lot 4 : ETAGE N°2 851
5 LOT 5 : ETAGE N°3
5.1 Poutre (s) dosées à 350 kg/m3 m3 80,40 Formatted Table
Prix
Unit Quantit Prix
N° Désignation Unitair
é é total
e
5.2 Escalier dosées à 350 kg/m3 m3 8,28
5.2.1 Béton armé m3 8,24
5.2.1.1 Ciment de 50 kg U 57,70 5 000 288 508
5.2.1.2 Sable fin tonne 0,00 8 000 0
5.2.1.3 Sable Sanaga tonne 5,37 8 000 42 939
5.2.1.4 Sable Carrière tonne 0,00 8 000 0
5.2.1.5 Gravier 05/15 tonne 1,23 13 500 16 609
5.2.1.6 Gravier 15/25 tonne 8,61 13 500 116 266
5.2.1.7 Eaux litre 1566,19 0 8
5.2.2 Acier kg 289,80 450 130 410
5.2.3 Coffrage m2 33,12
5.2.3.1 Planche m² 39,74 500 19 872
5.2.3.2 Chevron ml 728,64 100 72 864
5.2.3.3 Latte ml 132,48 300 39 744
Sous total Poutre Etage 687 476
5.3 Poteau (x) dosées à 350 kg/m3 m3 58,14
5.3.1 Béton armé m3 57,55
5.3.1.1 Ciment de 50 kg U 402,83 5 000 2 014 162
5.3.1.2 Sable fin tonne 0,00 8 000 0
5.3.1.3 Sable Sanaga tonne 37,47 8 000 299 772
5.3.1.4 Sable Carrière tonne 0,00 8 000 0
5.3.1.5 Gravier 05/15 tonne 8,59 13 500 115 955
5.3.1.6 Gravier 15/25 tonne 60,12 13 500 811 687
5.3.1.7 Eaux litre 10934,02 0 55
5.3.2 Acier kg 4651,20 450 2 093 040
5.3.3 Coffrage m2 174,42
5.3.3.1 Planche m² 209,30 500 104 652
5.3.3.2 Chevron ml 348,84 100 34 884
5.3.3.3 Latte ml 697,68 300 209 304
Sous total Poutre Poteau (x) 5 474 207
5.4 Elévation m2 784,00
5.4.1 Nombre d'agglos de 10 U 468,00 218 102 166
5.4.2 Nombre d'agglos de 15 U 5220,00 287 1 499 389
5.4.3 Nombre d'agglos de 20 U 0,00 0 0
5.4.4 Mortier de pose m3 7,19
5.4.4.1 Ciment de 50 kg U 35,97 5 000 179 833
5.4.4.2 Sable fin tonne 2,20 8 000 17 626
5.4.4.3 Sable Sanaga tonne 10,04 8 000 80 295
Prix
Unit Quantit Prix
N° Désignation Unitair
é é total
e
5.4.4.4 Sable Carrière tonne 1,36 8 000 10 880
5.4.4.5 Eaux litre 976,24 0 5
5.4.5 Voile m3 46,50
5.4.5.1 Béton armé m3 46,03
5.4.5.1.1 Ciment de 50 kg U 322,18 5 000 1 610 914
5.4.5.1.2 Sable fin tonne 0,00 8 000 0
5.4.5.1.3 Sable Sanaga tonne 29,97 8 000 239 756
5.4.5.1.4 Sable Carrière tonne 0,00 8 000 0
5.4.5.1.5 Gravier 05/15 tonne 6,87 13 500 92 740
5.4.5.1.6 Gravier 15/25 tonne 48,09 13 500 649 182
5.4.5.1.7 Eaux litre 8744,96 0 44
5.4.5.2 Acier kg 3720,00 450 1 674 000
5.4.5.3 Coffrage m2 186,00
5.4.5.3.1 Contreplaqué m2 223,20 1 000 223 200
5.4.5.3.2 Chevron ml 186,00 100 18 600
5.4.5.3.3 Latte ml 558,00 300 167 400
Sous total Elévation 6 398 631
5.5 Dalle pleine m2 455,00
5.5.1 Hourdis U 0,00 0 0
5.5.2 Nervures ml 0,00 0 0
5.5.3 Béton m3 67,82 0
5.5.3.1 Ciment de 50 kg U 474,71 5 000 2 373 535
5.5.3.2 Sable fin tonne 0,00 8 000 0
5.5.3.3 Sable Sanaga tonne 44,16 8 000 353 259
5.5.3.4 Sable Carrière tonne 0,00 8 000 0
5.5.3.5 Gravier 05/15 tonne 10,12 13 500 136 644
5.5.3.6 Gravier 15/25 tonne 70,85 13 500 956 510
5.5.3.7 Eaux litre 12884,90 0 64
5.6.4 Acier kg 3412,50 450 1 535 625
5.6.5 Coffrage m2 101,92
5.6.5.1 Planche m² 291,20 500 145 600
5.6.5.2 Chevron ml 254,80 100 25 480
5.6.5.3 Latte ml 407,68 300 122 304
Sous total Elévation 5 526 718
27 659
Sous-total Lot 5 : ETAGE N°3 201
6 LOT 6 : ETAGE N°4
6.1 Poutre (s) dosées à 350 kg/m3 m3 80,40 Formatted Table
Prix
Unit Quantit Prix
N° Désignation Unitair
é é total
e
6.1.1 Béton armé m3 79,58
6.1.1.1 Ciment de 50 kg U 557,06 5 000 2 785 322
6.1.1.2 Sable fin tonne 0,00 8 000 0
6.1.1.3 Sable Sanaga tonne 51,82 8 000 414 546
6.1.1.4 Sable Carrière tonne 0,00 8 000 0
6.1.1.5 Gravier 05/15 tonne 11,88 13 500 160 351
6.1.1.6 Gravier 15/25 tonne 83,14 13 500 1 122 456
6.1.1.7 Eaux litre 15120,32 0 76
6.1.2 Acier kg 6432,00 450 2 894 400
6.1.3 Coffrage m2 192,96
6.1.3.1 Planche m² 289,44 500 144 720
6.1.3.2 Chevron ml 578,88 100 57 888
6.1.3.3 Latte ml 771,84 300 231 552
Sous total Poutre Etage 7 811 311
6.2 Escalier dosées à 350 kg/m3 m3 8,28
6.2.1 Béton armé m3 8,22
6.2.1.1 Ciment de 50 kg U 57,52 5 000 287 585
6.2.1.2 Sable fin tonne 0,00 8 000 0
6.2.1.3 Sable Sanaga tonne 5,35 8 000 42 802
6.2.1.4 Sable Carrière tonne 0,00 8 000 0
6.2.1.5 Gravier 05/15 tonne 1,23 13 500 16 556
6.2.1.6 Gravier 15/25 tonne 8,58 13 500 115 894
6.2.1.7 Eaux litre 1561,18 0 8
6.2.2 Acier kg 496,80 450 223 560
6.2.3 Coffrage m2 33,12
6.2.3.1 Planche m² 49,68 500 24 840
6.2.3.2 Chevron ml 99,36 100 9 936
6.2.3.3 Latte ml 132,48 300 39 744
Sous total Poutre Etage 721 181
6.3 Poteau (x) dosées à 350 kg/m3 m3 58,14
6.3.1 Béton armé m3 57,03
6.3.1.1 Ciment de 50 kg U 399,20 5 000 1 996 017
6.3.1.2 Sable fin tonne 0,00 8 000 0
6.3.1.3 Sable Sanaga tonne 37,13 8 000 297 072
6.3.1.4 Sable Carrière tonne 0,00 8 000 0
6.3.1.5 Gravier 05/15 tonne 8,51 13 500 114 911
6.3.1.6 Gravier 15/25 tonne 59,58 13 500 804 374
6.3.1.7 Eaux litre 10835,52 0 54
Prix
Unit Quantit Prix
N° Désignation Unitair
é é total
e
6.3.2 Acier kg 8721,00 450 3 924 450
6.3.3 Coffrage m2 174,42
6.3.3.1 Planche m² 209,30 500 104 652
6.3.3.2 Chevron ml 523,26 100 52 326
6.3.3.3 Latte ml 697,68 300 209 304
Sous total Poutre Poteau (x) 7 293 855
6.4 Elévation m2 749,00
6.4.1 Nombre d'agglos de 10 U 468,00 218 102 166
6.4.2 Nombre d'agglos de 15 U 5220,00 287 1 499 389
6.4.3 Nombre d'agglos de 20 U 0,00 0 0
6.4.4 Mortier de pose m3 7,19
6.4.4.1 Ciment de 50 kg U 35,97 5 000 179 833
6.4.4.2 Sable fin tonne 2,20 8 000 17 626
6.4.4.3 Sable Sanaga tonne 10,04 8 000 80 295
6.4.4.4 Sable Carrière tonne 1,36 8 000 10 880
6.4.4.5 Eaux litre 976,24 0 5
6.4.5 Voile m3 41,25
6.4.5.1 Béton armé m3 40,46
6.4.5.1.1 Ciment de 50 kg U 283,23 5 000 1 416 162
6.4.5.1.2 Sable fin tonne 0,00 8 000 0
6.4.5.1.3 Sable Sanaga tonne 26,35 8 000 210 771
6.4.5.1.4 Sable Carrière tonne 0,00 8 000 0
6.4.5.1.5 Gravier 05/15 tonne 6,04 13 500 81 528
6.4.5.1.6 Gravier 15/25 tonne 42,27 13 500 570 699
6.4.5.1.7 Eaux litre 7687,74 0 38
6.4.5.2 Acier kg 6187,50 450 2 784 375
6.4.5.3 Coffrage m2 165,00
6.4.5.3.1 Contreplaqué m2 198,00 1 000 198 000
6.4.5.3.2 Chevron ml 165,00 100 16 500
6.4.5.3.3 Latte ml 495,00 300 148 500
Sous total Elévation 7 168 269
6.5 Dalle pleine m2 346,00
6.5.1 Hourdis U 0,00 0 0
6.5.2 Nervures ml 0,00 0 0
6.5.3 Béton m3 51,57 0
6.5.3.1 Ciment de 50 kg U 360,99 5 000 1 804 930
6.5.3.2 Sable fin tonne 0,00 8 000 0
6.5.3.3 Sable Sanaga tonne 33,58 8 000 268 632
Prix
Unit Quantit Prix
N° Désignation Unitair
é é total
e
6.5.3.4 Sable Carrière tonne 0,00 8 000 0
6.5.3.5 Gravier 05/15 tonne 7,70 13 500 103 910
6.5.3.6 Gravier 15/25 tonne 53,88 13 500 727 368
6.5.3.7 Eaux litre 9798,19 0 49
6.6.4 Acier kg 2595,00 450 1 167 750
6.6.5 Coffrage m2 77,50
6.6.5.1 Planche m² 221,44 500 110 720
6.6.5.2 Chevron ml 193,76 100 19 376
6.6.5.3 Latte ml 310,02 300 93 005
Sous total Elévation 4 202 735
27 197
Sous-total Lot 6 : ETAGE N°4 351
7 LOT 6 : TOITURE TERRASSE
7.1 Poutre (s) dosées à 350 kg/m3 m3 17,05 Formatted Table
Prix
Unit Quantit Prix
N° Désignation Unitair
é é total
e
7.2.3 Coffrage m2 0,00
7.2.3.1 Planche m² 0,00 500 0
7.2.3.2 Chevron ml 0,00 100 0
7.2.3.3 Latte ml 0,00 300 0
Sous total Poutre Toiture 0
7.3 Poteau (x) dosées à 350 kg/m3 m3 44,63
7.3.1 Béton armé m3 44,61
7.3.1.1 Ciment de 50 kg U 312,28 5 000 1 561 381
7.3.1.2 Sable fin tonne 0,00 8 000 0
7.3.1.3 Sable Sanaga tonne 29,05 8 000 232 384
7.3.1.4 Sable Carrière tonne 0,00 8 000 0
7.3.1.5 Gravier 05/15 tonne 6,66 13 500 89 889
7.3.1.6 Gravier 15/25 tonne 46,61 13 500 629 221
7.3.1.7 Eaux litre 8476,07 0 42
7.3.2 Acier kg 150,00 450 67 500
7.3.3 Coffrage m2 133,89
7.3.3.1 Planche m² 200,84 500 100 418
7.3.3.2 Chevron ml 401,67 100 40 167
7.3.3.3 Latte ml 535,56 300 160 668
Sous total Poutre Poteau (x) 2 721 001
7.4 Elévation m2 96,00
7.4.1 Nombre d'agglos de 10 U 0,00 0 0
7.4.2 Nombre d'agglos de 15 U 1152,00 287 330 900
7.4.3 Nombre d'agglos de 20 U 0,00 0 0
7.4.4 Mortier de pose m3 1,50
7.4.4.1 Ciment de 50 kg U 7,49 5 000 37 449
7.4.4.2 Sable fin tonne 0,46 8 000 3 670
7.4.4.3 Sable Sanaga tonne 2,09 8 000 16 721
7.4.4.4 Sable Carrière tonne 0,28 8 000 2 266
7.4.4.5 Eaux litre 203,29 0 1
7.4.5 Voile m3 0,00
7.4.5.1 Béton armé m3 0,00
7.4.5.1.1 Ciment de 50 kg U 0,00 5 000 0
7.4.5.1.2 Sable fin tonne 0,00 8 000 0
7.4.5.1.3 Sable Sanaga tonne 0,00 8 000 0
7.4.5.1.4 Sable Carrière tonne 0,00 8 000 0
7.4.5.1.5 Gravier 05/15 tonne 0,00 13 500 0
7.4.5.1.6 Gravier 15/25 tonne 0,00 13 500 0
Prix
Unit Quantit Prix
N° Désignation Unitair
é é total
e
7.4.5.1.7 Eaux litre 0,00 0 0
7.4.5.2 Acier kg 0,00 450 0
7.4.5.3 Coffrage m2 0,00
7.4.5.3.1 Contreplaqué m2 0,00 1 000 0
7.4.5.3.2 Chevron ml 0,00 100 0
7.4.5.3.3 Latte ml 0,00 300 0
Sous total Elévation 391 007
Sous-total Lot 6 : TOITURE TERRASSE 4 768 511
Tableau 4. 4 : Synthèse des matériaux par niveau Formatted: Font: 12 pt, Font color: Auto
Formatted: Caption, Centered
Tableau 4. 5 : Quantité et estimation des matériaux pour les ouvrages préfabriqués Formatted: Font: 12 pt, Font color: Auto
Formatted: Caption, Centered
Tableau 4. 6 : Récapitulatif par niveau Formatted: Font: 12 pt, Font color: Auto
Formatted: Caption, Centered
4 Total Lot N°4 : ETAGE N°2 30 170 727 Formatted: English (United Kingdom)
5 Total Lot N°5 : ETAGE N°3 28 197 702 Formatted: English (United Kingdom)
6 Total Lot N°6 : ETAGE N°4 27 687 674 Formatted: English (United Kingdom)
CONCLUSION ET PERSPECTIVES
Le présent travail avait pour objet la mise au point d’un logiciel d’estimation du coût du Formatted: Normal, Indent: First line: 0.49"
gros œuvre bâtiment, basé sur des hypothèses de granulométrie, de dosage de béton et de
mortier, de ratios d’acier et de coffrage par 𝑚3 d’ouvrage et aussi des différents prix des
matériaux. En se servant des analyses granulométriques, nous avons pu avoir les proportions
de granulat à utiliser dans chaque type de béton, en fin de pouvoir déduire à partir du dosage en
ciment les quantités effectives des matériaux à utiliser pour chaque ouvrage qui entre dans un
niveau du bâtiment.
Après avoir présenté le gros œuvre bâtiment en précisant sa méthodologie d’exécution, Formatted: Normal, Indent: First line: 0.49"
nous avons donné les rôles des matériaux et les dispositions préliminaires à l’élaboration de
notre logiciel. La démarche proposée a permis de concevoir et d’implémenter à l’aide du Visual
Base for Applications de l’ongle développeur d’Excel notre logiciel qui prend en entrer sur des
interfaces les quantitatifs des ouvrages à chaque niveau du bâtiment et renvoie comme résultat
sur feuilles Excel imprimables, tels que surprésenté de manière à ce que sur la première des
feuilles nous avons pour chaque ouvrage la quantité des matériaux à utiliser accompagnée des
prix et le coût de l’ouvrage en question, sur la deuxième la synthèse des matériaux par niveau,
sur la troisième la prise en compte des ouvrages préfabriquéses en quantifiant les matériaux à
utiliser en cas de fabrication in-situ et la quatrième feuille qui fait un récapitulatif des coûts en
matériaux des niveaux et du coût total.
L’application de notre logiciel à l’estimation du coût du gros œuvre d’un bâtiment R+4
(l’extension du ministère de la Jjustice) nous a permis d’avoir à partir du quantitatif des
ouvrages ou un coût détaillé en matériaux de chaque ouvrage, la quantité et le coût des
matériaux à chaque niveau du bâtiment. Il en ressort que le coût en matériaux du gros œuvre
est de 202 897 896 FCFA.
Dans l’optique d’assurer une continuité objective à notre logiciel des études complémentaires
à ce travail s’avèrent nécessaires, notamment :
REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES
[1] Programmes d’Infrastructures à Haute Intensité de Main-d’œuvre (HIMO), (2002) Formatted: Numbered + Level: 1 + Numbering Style: 1, 2,
3, … + Start at: 1 + Alignment: Left + Aligned at: 0.25" +
cours de formation à l’usage des PME, des bureaux d’étude et des ingénieurs de l’état Indent at: 0.5"
[1][2] Dr MBESSA M. (2005) Les bétons Dans : Matériaux, Vol 1, 170 P Formatted: Numbered + Level: 1 + Numbering Style: 1, 2,
3, … + Start at: 1 + Alignment: Left + Aligned at: 0.25" +
Indent at: 0.5"
[2][3] ABANDA M.D. (2013) élaboration d’un cahier de sous-détails de prix unitaires Formatted: Numbered + Level: 1 + Numbering Style: 1, 2,
3, … + Start at: 1 + Alignment: Left + Aligned at: 0.25" +
pour le gros œuvre bâtiment. Mémoire de fin d’études, Ecole National Supérieur Indent at: 0.5"
[3][4] D. didier et al (1999) Le précis de chantier matériel et matériaux, mise en œuvre, Formatted: Numbered + Level: 1 + Numbering Style: 1, 2,
3, … + Start at: 1 + Alignment: Left + Aligned at: 0.25" +
normalisation, Edition NATHAN, 245 pages. Indent at: 0.5"
ANNEXES