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MYUE.–CMOXtQUB. /HU'"
de la. pa'.LI:I,
une pr~cise
momentsontloind' Iri'ir mesu[ la Carolinedurorceu,es
nord le goucerneur
la /IIajiJrilé
naines démocratesont
mourront ûn
x.
d~sla)egis)aturedet6tat.eu) ~sducon. du con-
~urhûit membres
~.pinionau~~de~hu~~ chaconpeut s'allribl1ér
sontdémocrate~,dosorte due
grès,cinqdes élus s dans Ie Alaina, dans la Virginieoc- y
la victoire.II va y aVoirdes électio Toutesces élec-'
ans la ,pc,ns)'lvanic.
ciùentale,dansl'état de New-York et laisseront sans doute
e bataille
tions soront le préludede la gra c. “
restera
~revoir~q. iavi~oire~nitive.
ESSAIS NOTICES.
ET
On!))Md<r~tftmn{))M<(d<rfm~r<~manf~,ptrM.'JutMZtU<r;
l.Yoi.m-S'.Puis.Mdier.
riensn'avalnt ,“
é populationgauloi"" ~ùe
pOlirles que s~ylpafllie_
~rll1pJihi(!
~<L. Germâins.La G~uleétal,
pour1¢~ la corruDlion'l'I1:11I,I.n',( ¡,
KMECt.–itj~.
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2A2 SI 3
~OE~M
'i~ MCXMOK~K.
~an)eë!aH!a~hL~ chaste, te desinteressemMt
t.f~ )
t e oge des ~S~'
sont dit de t~ns G~a.~ e~os yeux re~ à voirce
vices. Q~d Hërodi~~ Atn~
torien de leur Marcellin nous
partait sourde r~ nous~~ion. p~y ycroire.Lorsque
br~tfedeTo~noQSd6cn~ttesmœsMërovingiensetdeteurs
gnernera. nous ncus obstMo&s parter'dd l'a chMteM.ger~ine.Parce
que nous rcneontMns'queîquM actes d.'in~sop~a. nous vantionsra-
ntour de ces hom~ts pourtttib~; MMattionsjusqu'àsupposerque
h- r~ime partem~)t~i)'6nou~ venait d'eux, que c'étaienteuxqui nous
.n<-tU ctre tibres. L'invasionnous apparaissaitcommeune
coseiguÉ
rc:,cm!rationde r~p~co hunfaine.U.noussembtuitqu'its n'étaientvenus
eu Gaule que po~r châtier !e vice et faire régnerta vertu.Un artiste
ff.u~ais~'outait-H peindre empire et la Germanieen para)te)eà la
~eit!ed~ t'invasiop? AitHeude reprësentet')~ race gatto-romaine autra-
~t). occupée à ta~ourer,à ti~er; à bàtir des~iHes,à eieverdes temples,
étudier le droite mener d~ front les tab~rs et les jouissances de la
auxtëvresdansune nuit
pam. it imaginaitUeuous taMontrer la coupe
de débauche. En face d'd!e,< plaçaitaux coins du tableau ta race ger-
visageaustère, un cœur pur. une con-
ntaniqnc. a taquetteit pretai~un et de stoïciens.
race d~ ptMtoMptte~
~ience dcda~neuiM- on di~ nna
S, Couture avait tu lesdolmens dece temps-tà,
iln'eut pa~nnsdans
les traits de ses Germainsta~aine dutuxe t'honeur desjpu.ssances;
bi~n.tet~M les'écrits
il eut mis t'envie et la con~~itîse.Keg~dez~ or, ces
ce.~n
du t ..npsnou. te<represen~ntr i)s ae de~e~ cet
i)aseront
tout ce!a à eM; qu.nd
~nesns songent a moyendevoir a partir
P'r~~t et.. disputâten !tatië.m(~ c~. de tr~a~
les Sueront H y~~ en Gâutë et
de déhaaçhéet'pltts deverimèg:
m trwins d'intelligerice,mats~~lu~
et'Cet :engouement
vous portions c~stné'mestÏluSiotis it~éfléchi~dan~
de l'hi9totrg: Partou-t nos;eux prévenosné savaiept
toutes le.c.parties
.ouïes
!e.<part.esde!h. legpliigbelles côuieutg.Nousrp-pro~
voir la race S~man.que qu~oustespus fa bar,
,t.ions presque
P~ longuetutt. ~tr.
bari. saxonne et ~'8' ~i pi~icnt Ht~ et
le ~rdoceetre~re. et
queChartesVit!
.raient qUeCharlesVlliet
r~
François Sren~u~e~desAp~ d'tmanf
tous te te cindsièClég:
que ~P~~ S,~ longet-fécondlàrenais- 1.du
avecl'essorde la
~gS~~= la lauerté de`laiconsciencc
e ~i'oit~devai'tsorUt'
sct~ n~ réactioncoutrecette
tTe~àit'pour.tant qu
~~?~== ~,tlaand~qui
.hr<formoattc..nnde.qu~~p
\J~O!<~
"VImy
1 tto nrU\a:1f
renaissence,qui n'était~qu'unel
Les
~s~ o'eogeod~a qu~.l'iotolé, nca et.la haine. ér'éneniens..de
~uveot
p~
~~J~
De !i nom <st~M m M S ? *°~°"M.
~.6.. Etre patriote, pour
C.r. P"i.r
ttf3~ge"
de )-KiMo. ~.p~ be' coup,d'èntre-nous,c'est
°'"
F,.M.. ?" particulieret
K.~ S~
nos mst.tunons. Cette sorte de patriotismen'e~ ~nf~le, plusSouvent
de tout
francs. U~ méfianceetindisci-
pline; au~st
lieu de nous unir co tre
l'ét
~to~ fJ(IUeÆ~;fiancetoutdcoit
Le ~htab)e patr!otisme n'es pas l'amour.<iu
so!. c'est t'amourdu
passe, c'est le respect pour tes, enerationsqutinousont précédés.Nos
h~tor!ens ne nons apprennent( ~à tes
maudit, et ne nousrecomman.
dent que de ne. pis teur ressemt
er. Usbrisent;!atraditionfrançaise,et
}ts s'imaginent qu'i) restera un: (atriotisme français. ])s vont
répétant
que t'étr~ngcr vaut tnieux que h France, et i)s;Sefigurentq~'onaimera
la France. Depuiscinquante an c'est i'Ang)eterreque nousaimons,
c'e~t t'A!!emagneque nous touo~s, c'est t'Amenqueque nousadmirons.
Chacun se fait son ideat hors France. Nous Muscroyonslibérauxet
de
patriotes quand nous avons n~dit de la patrie. !nvo)ontairement,~t
sans nous en apercevoir,nous tjpus accoutumons rougir d'e))eet à!a
renier. Kous nourrissons au fond do notre ân)~ une sortede hainein-
consc!entc à t'cgard de nous-mêmes.C'est t'opposede cet amourde soi
te renoncementà nous-mêmes.
qu'on dit être naturel à t'homme;c'est
C'est une sorte de fureur de nobs calomnier et de nous détruire,sem-
b!ab!e cette monomaniedus~cide dont vous voyezcertainsindividus
tourmentes. Kosptus crue)s ennemis n'ont pas;besoind'inventerles ca-
de ce nousdisons
tomnies et les injures; ils n'ont q~e la peine répéter que
host;tësT)'ontqu'a.tradu~es
de nous-mêmes. Leurs historiennes plus
nûtres Quand t'un d'eux ecri~que
« la race.gaubise était une race
d'autrestermes
pcume..n nefa!tquerepëterc6:quenousavonsditen
<. incuraMe de l'ancienne
de corrupHon
O~nd de S~t parle
atfaibUde;h plupart de nosh.sto.
S francai~ Hn'est que t'echo était une,nationor-
la
riens. 11.de BisÓlarckdisait naj.ùère que Frâncé nos
ambitieuse,. ennéna'i~du repos de,1'Eûrope;c'est chez
récemment
gueilleuse,
ces ac~usations.Nous;avonsappris
historiens qu'il' asait pris
h~tonensquit ~cinquante ans que
que nousnous
P~ nousnous
que l'étranger haIssables.L'histoire
à 'onsha~ que nous étious
appliquions con\ioçre l'Euro~ cont~ France. E)te
énervait
appHquions
française comba.tai
a P~ S
elle centre
chez noos !e pa.riot.smp; ~~es a se réunir réunir~,ntre
prenait n.us
leurs en en.
senten-
nous, et elle semblait J'u:;tiOerùAvancc âUaql(e~urs,codnvoltlt5eS'
l' Alleman
I~s Allemanàs
rendant cette même pél'lo:j~¡d.ul1deml-sleC c,
24&
.pE9UB.
~~J-~MW.!-i-+
1 ~UxIQUE~
peuple a aans.
-t~ mêinesqual tés que ans lu ~cs
l ér uditionlés ee ie vraip;ilrjoti~lIIe~'
guerré.
t Lfl Isclplrne 1 r -t les
s~=~~ formentune
historiens trè disciple:Tout I:ouwa~'
n ysa. obe.r ar~
soldats.Oformé~t
so)dats. une, o y Ysait ~n,, hl!, et reste !ong.
pour
~t ta suite d-.n capitaine,et
te so'iat. i,~us~a j
temp~anopymecomme Itü. Avecde telles ha'hitlldcs,et
dett~Iles
\l0~'t anopyme comme.~ 1ascicnce allemàade:
on cônprend.l puissance-de
méménation;
ce des efforts collectifs, le parfait
Elle
:r~~procèdecomme les
P~ an). e
a'ccns~~ c~ cn-ct. et q.. c))e
rudu.t~or.
ses jgra..ds
concernentde ses rnasses.qa'eXe [ On marche en
t merveiik-use.
g~neses bataiHes.Ladisc!p)iney es r~.
par rcgimenset par comptes: Ci.aquc petite trouped'cn.semb)c n son d~r.
c.st
sonmotd'ordre, sa mission,son obj -ctif.Un grand plan
mot
tracé,
trace, en exécutes:s part. 0L'
d, oren
ch.cnn Le travailleur ne salt.
J petit travaiOexr sait paspastou.
t«u.
on)e mené,it n'en suit pas oins la route indiquée. Hy a tr~s
jonrsoù
n'est perdu.
peud'initiative et de m6fitepersonne),maisaucunenbrt
Unevotontëcommuneet unique'circ)ta dans ce grand corpssavant qui
n'a qu'unevie et qu'une
Si vouscherchezquelâme. est te princpe qui donne cette unité et cette
vieà t'eruditionauemand',vousremarquerezque c'cstt'amour de t'At-
lemagne.Nousprofessonsen Francfque la science n'a pas de patrie;
les Atfemands soutiennentsansdetotr tathèseopposée,u tt estfaux, ccn-
vait naguèreun de !eurs esterions M. de Gipsebrccht,que la science
n'ait pointde patrieet qu'aie planeau-dessusdes frontières la science
ne doitpas être cosmnpotie, ef)e do t être nationate. f))e doit etrea))e-
mande.oLesA!!em:tnds on tous)e C!))to de ta patrie, et ils cntf'ndent !e
motpatriedanssonsensviai; c'est )f t~Wn~. la ~T~/M~-HM),).i (erfcw
des ancêtres,c'esttepays~
quêtes ancêtresront eu et t'ont f:.iHtsai.
mentce passé,surtout ilsle
respectât. i)sn'en parlent qnc commeen
par chosesainte. Al'opposéde nous
epa
d un~ qui -rendons votontiors
se d una. hamux, ils ch. rident et .enerent tout
allemand.Le hvre de Ta<iteest ce q.n fut
po~reux comme un )iv~
commenteet qu'on ~r~u'6n
nedi~cutel)as; Is-adnpirentjll1'qu'àla barharie do
leursancêtres. d.~aÎ1tIes légendes ~auvageset gros·
1Iss'alten~riR$e~t
sièresdesNlcbeJ¡~~gen. Toute',cette antiq¡;héest pour éux un objét dç
M"e,eMt.m!~ eet ~E;' ° '°" qui P"
auP.in..).oitnous~.1 en ~.r.
point étiôns e, ~'ranceq and nous
âu re,~pect condamnionsFréretpOur,
en dùau~i~rovingiens.
L'érudition
n'estpas que Franceett libé~ale;en Allenrafine;ello est patriote.
oe Cé~
les hlSlO1'leq,
allètnan s n'âppartieùnent Ce
;?~ pour Ia pl yrt t':
!~0
MYUED~DEM MONDES.
w r°~u ,,18 nt presqueatias la 6ainedes
institntionsdefancien
~x~
contr. étranger. t'anci
~tM'eurs ~~ent-t~ 18 ils
aontre leurs matedictions
maléJi~tionsc()nt~
contre 'la r ¥ ,ré~lm~,féodat, portent
h fe~ati~S-w~~
la Ve,ulent-ilspo'ur
l' princemonar~hie absolue, ils s'en prénnetità LouisXIV,çommesi
~ue.
aUem~nds. grandset petits. n'avS
~t6t que ~.ner Fin~ce ils condamnent la
Nantes~s ne peuvent pardonn'~
~uond.
peupks d .vo.rredire
quelquefois a;~ ta guerre!ih ont do e~r<~ S
~~<0n.re ~conqu~u~ f.. que i~Lq~r~~
dM rangers, toab; tts adm!ren<qaM leM propro-h;stoiretousceux
om covahi. conqu!~ pin6. M. do qui
Giesebrechtdcdare sansaucunscru.
pu!o que h pënod~ qu'i) a!me mieuxdtns rhutoire d'Attemagne est
« ceUe ou te peupte oHemand~fort de son unité sous tes
empereurs,
était arriva a ~nptua hau.tde~ de puissance, où t< commandât; a
d'ot~r~ peop~ ou t'homme d&race allemandevalait le plus dansle
monde, o Ainsi t'admiration de M.de Giesebrechtest pour cessiècles
odieux du nMyenago
moyen:\¡r ou ~ùlestea arin6es~
arméesallomandesenvahiasaient
aHûmandesenvahissaientpériodi- périodi.
quement la Franco et t'!tatio, et it ne trouve rien de plus beaudans
t'histoire que cet empereur aHemandqui campe sur tes hauteursde
Montmartre ou cet autre empereurqui vaenleverdans Rome lacouronne
imperM!e on passant sur te corps do &.000'Romains massacrés sur te
poot Saint-Ange. !uais que ta~ance mette cnun un terme ces perpe-
tueUes invasions, que HenrtH. Richetion. L ouisXtV. e n fortinant Metz
et Stfaaboufg, sativent !a Fr~ce et t'ftatie etfe-m'!me de cesdéborde.
n~ns de la face ~rman!q~oita1cs historipnsatfemands qui s'indi-
contrel'ambitionfrançaise. Ils
gnent et qui vertueusement~acharnent a~ ~trM
do
ne pèsent pardo~er ~on Jeur interdise amande.-
de se défendre contreeux; c'est
p<M~. C'est maniebettiqueuseque
ëtreMnQuérantquedetese~cherdoconquënr. de travad
L'St aHe,nanda une ardeur de recherche,une puissance ardeur
ma~ n'attoz pas croire que tou;e cette
qui ~onnô nos Français; science Ici n'est pas le but;
et~ut ce travail ~ent pourta scioncc. la cessa-
,eUeest \e~P1o~eJ'l, il'aNle\àl~¡cience,AnemaO(l voit patrie; est
vans sont rcc L'in~érôtde
ql1',it:f~"n 'pc)1ercheurs,
akrioles, On ne;peut pas dire quo
l'Alle,ma?oe
de
sava,ns
la,fin deroière e~ illMiga~le9 mais il )' est
aéraüt eo ¡\\1tÚnagl1e;,
lo dritab\e esprit scie~\ti~qi fasse
qu'on La
bea~oup plus et n'est que gou~. goûtée,
désinLéress~.} e k 1!IW .~f~ë~ti?p bQmn\O ~1éjlOc!'ement son
pratlquei il.veutque
L'AUe~nJ~tc. a aik un~
érudition serve d, àv~c
v~ies ambIUODs,na-
losambitionna-
au
,u uroin~
'Cout ~in.i'
T~t faltt-il Si Ié
~d .F P~~
Wpa!~ ~cc ~~0!t~ W h~
2)7
.4~Q~'
r~!nn ttfautqt'e'asc"
ce, d~p~
~M~. an. ~.nM -)M
d'.v.n~
t,mtq.'orJM~p.r<M~° ,M~h~
EIe prouveraaussi bien
sont.dèsAllomanclS~. la Lom-
les Hollandais
!.M. alletnande;et
et
que
q,
ltotut3
hardie commesonnom))' terfe
~ermanique.
est lacommeson Il de l'empir "1 6-
~p. d.
ercxqui
rité vous'ue Lelll'1 mpu,terqu'ily~ a itsutrsoul partniVOIOIlIÓ consente.
Is()lit la meillettra d étre\é-
nier, NOlIsnepenso~s~asqu
S== ~~=~
à étro iUlp~r-,
l'idiquesct fotItde,sériCU,K:dTort,s,PtOlll,'rUCI'pOl;rs'obliger,
Al emands. lls ne peuvuutfaire que
dit avec
)eurp~otismo ne soit p.s le p.~ fort. On <)ue)<,u<.
r~n
au-de)adn Rhinque )~conceptiondt)av<!nt~est toujours .subjcct.W,
des ~tstunena a).
L'espritnevoiteneffet quec~.qu'i)p.:at voir. Les yeux
]eman.)ssontfaits teUefa<;on qu' ts n'aper<;oivent que ce qurest favo-
raMe:t rihtoôt,deleurpays<c'est h!U'manièrede comprt-odret'histotrc.
ils ne ~uratenth comprendreaument. AusstrhiRtoirod'AttenMRne
est eUedevenuetout natutenonMnt <tansteurs mainsun\eritat)te p.)t)&.
gyrique;jamais nationne s'est t~n. vantée. !)s ont prontë tr~shahi)c-
ment.dduu reproche
ment reprochédo
dovantardiRe oits:nonsadressions
t[' o lousjnoua
vantardiFeqt aùr<'sslonspourso
l'our 50vanter
vanter
toutà leur.aise.Nouanous prodatuionsvantards; i)8se vantn~nt avec
candeur.No[~&-&ision& croire au ncndpentiûr que nous nousvantions,
ators mëme'que nos propres ))!6h)ienasen)b)aient s'app!iquer à nous
rabaisser;ils sovantaientsans aMrtirpersonne,modestctno))~)t)nnb!o<
ment,scicntiuquement,. comme!a gre-eux et par pur devoir. Ce!aa
durecinquanteans..
Quandons'admiratant,.on n&])eut. guère admirer JM'autrcs. Aussi
tes historiens aHemanda sentess~vMespour!'ëtranger.)i faut )a vd.
rite leurrendre
cette~ustice.qu'ih~avéntdistinguer entre tes peuptea
Leur critiquehistorique est.assez cai~oyanta pour ne s'acharner
sur ceux.quLont été tes ennemisce (lue
t'A!temagnu.Dans t'antiquHë ,ts
louentvohmtiers Grece.en,faisantcette s~
resen'e.. que.)e. Grecs
n'eurent
jamaisd~entimentpo~ti~e~~ mêmedegré que la raM
sontmoins;bienveills. ponr Rottto;,
l'antiquitéde,rgtardér les' qui eut 10 tort dans
gerntaniqutzs,et ail mnsen lige de
poserunelimite:aux co'nvoitise9
invasio
i périale9;,Pal1mileSi
ils apprécient nations tnodernea,.
IJrAngleterreet la,li 1 aoel,o,:dans lctsquelli3s ils croieut se
an~j.que ceux. qui on E de.la~T
i tlliés il1aD'Oe~
ils sont;moins in..
Mgenspour.anussie.su~ is quij ce c essé
par los C'èst 'pa}'6;a d'~tre e~xpl0ild
Allcman~ls¡ snrtout pria Polognooi
poucia France qaa
2~3
~UEMSDEM MONDES.
'eur érudition
est impitoyabte.Us d~~ntr..
vent étrt'
être détestées.
détestées, que urcaractère qne, deuxnationsdoi-
eu~a a~~ n'a
reté. mauves mo~rs. lamaisét8 qu'ambition,01-
in~~ "M~
de
un 1"
=~x~E.ys.~ rvpos d~i1'Eurùpeet su~tout1
dangèrpôurla mo-
de l'itre, toutes Jo.qdeux que l'autre mérite
~=.s~.=:= a&p'profitde'lre~~ppnmée,
~quaH~d.rërudhio~))e,nanden'ontp.~tëassM
Oa admiréeschez
n a ~s assezcalculécombienet.es ont été utileset
n~.
L
L't~istoire
tns~re a.n~
ain.i pratiquéa
pratiqua 6Îâitétait àa hla un
fois un moyende gouveruemént
une .r.ne de guerre. Au mo}eQ gouverner ett
d~ans. cUefaisait taire'Je.par.is.elle n~ta
t's opposions, dtc pliait
t~peupte à robëissanceetifondaitunecentra-
ttsanon ntorate p)us vigou~useque ne t'est notn centralisationadmi-
nistrative. Au dehors, eneoovratttes routes;dela c<
nquete,et énefaisait
a ennemi une guerre imptacaMeen p!eine
paix, En vain aurions-nous
eu !cs ptus habiles diptomates; les historiens attemandsécartaientde
nous toutes les atiianccs. t~ vain avions-nouste droit de notre côte;
~'s hti-tonensattemands prouvaientdepuis cinquante a'hsque )e droit
serait toojtfurscontre nous. Onpréparaitta guerredepuisun demi-siècle,
et c'était MOth!, quoi qu'it arrivât, qui devionspasserpourles agresseurs.
D'aittcurs la guerre des soMats devait avoirles mêmescaractèreset la
m~me i~sne que la guerre ~deserudits d'un coté, la discip!ine,le bon
ordre, le courage cottectif; deTautre,!c couragepersonnel,la mënance,
n~dtaciptinp. la division. L'histoireattemandeavait, depuiscinquante
ans. uni et aguerri t'Attemagnejj'histoirefrançaise, œuvredes partis,
avait divisé nos cceurs. avait.enseigneà sergarderdu Françaisplusque
à son à la
del'étranger, avait accoutumechacunde nou~ préférer par~
armé i'Attemague pourta conquête;
patrie L'érudition allemandeavait
rérud.uon franca~e. non entente de nous interdire toute cona~te
nos vo!ontes.p~!ysë
avait désorganisenotre défense ette avait ënervé
t'ennemi.
nos bras; ette nous avait à t'avanceiivres
nous entrionsdansune
Avecrouvrage de M. Zett~. it semble .que
les a disparu;nous
voie ~u~ J~ banat.engouement pour étrangers leurs
leurs ~éf~uts,c()nt~ôler
osuns ouvrir1os',)'eu:<,t<egâriler à
préten-
vohime(les autres suivrpnt desintervallesde quel-
prcH:niJr les origines
,ions, Le la race allemandé depuis
qu~ .") f:xpoge'l'hbtoirti'de de dix siècles se résume
3 l'an 800 ~le notre è Cette existénce
jusclti
m un Mt. hm~oa.. ~est ~m, elle est
M
JI. hiat'ius;pa~ Drusus,,adJarc-Aurèle,
lonetnps; par b. e.
P' S
Eprise 4 d..qm s.'M.hMt. e l'èmpireet s. co-'nra
se couvriradu
ut "1' mpir9: ë se era oP
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REVUE.Q~.
est une institutron,
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CORRESPONDANCE.
i M. LE DIRECTEUR DE tÀ
Mt~M DES M(/.T .VOA~
S'di)t-P&trtce,8MùH8Tt.
Monsieur,
La~M~D~Mapnb)ië)el''aoùtunar~~ de Fn~,
Hauranrieitïtitulé a épyGliqucet les
D~~ conse~~cnteurs.
Jytrouvetepassagesuivant
tent Parti consorcaçeur,
jcertainsd'entro eux 'Is es Sôluttons heut-t?trc
préfèrent~ violéutes; parce, qû'ils~
-T~ de réâctiôn
qu'ils,
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