l’ère du numérique on utilise de plus en plus le livre électronique.

En fait, il a
beaucoup d’avantages et c’est pourquoi son marché est en expansion. Veut cela dire que
le livre traditionnel va disparaître ?

J’espère non. Le livre électronique aussi appelé « livre numérique » ou « livrel » s’est
popularisé surtout à partir de 2004 quand la compagnie Sony a produit sa propre tablette
liseuse. La même année, Google lance Google Books, qui permet de lire des livres en
ligne, de consulter des métadonnées et d'effectuer des recherches dans le corps du texte.
À partir de 2008 la lumière des écrans s’améliore et se généralise l’accès à l’internet.
Ces facteurs vont contribuer à la hausse de vente des tablettes. De plus, à partir de 2013
Amazon Royaume Uni (connu comme Amazon UK) vendait plus de livres numériques
qu’en papier. Pourquoi ? Il faut souligner les avantages que ces livres possèdent.
D’abord le prix. Un livre numérique est moins cher qu’un livre traditionnel, même un
25% moins. Donc, c’est une différence assez grande. Ensuite, les liseuses dernière
génération s’allument dans le noir, tiennent dans une poche et peuvent contenir des
milliers d’ouvrages, dont certains sont gratuits dû au fait qu’ils sont libres des droits. De
plus, beaucoup d’entre elles pèsent moins de 300 grammes. Cela est très pratique quand
on voyage ou l’on va dans les transports en commun. C’est aussi un grand atout pour les
personnes qui souffrent de problèmes de dos ou de problèmes de vision car on peut
changer la taille de l’écriture pour voir mieux. Par ailleurs, on peut chercher directement
sur un dictionnaire au moment où l’on se trouve devant un mot dont on ne sait pas la
signification.

Qu’est-ce qui se passe alors avec les livres traditionnels ? Faut-il les oublier ? C’est vrai
qu’avec le livre numérique on peut dire adieu, par exemple, au manque d’espace.
Pourtant, les livres en papiers ont une fonction sociale. On les passe de main en main,
on les prête, on les donne ; On trouve des clubs de lecture, etc. Eu égard à cela, il faut se
souvenir des artistes qui se réunissaient aux cafés pour parler des livres. Peut-on
imaginer ces réunions avec un livre numérique sur la table au lieu d’un vieux livre
jaunâtre ?

D’autre côté il est important d’avoir connaissance d’une mode que je trouve très jolie.
C’est le fait de trouver, chaque fois plus, dans les villes des lieux où il y a des livres et
où c’est écrit « prenez un livre, laissez un livre ». Je trouve qu’il s’agit d’une très bonne
initiative car tout le monde peut avoir accès à la lecture d’une façon gratuite, et l’on
apprend l’importance de partager. Toutefois avec le livre numérique on ne peut pas
avoir ce genre d’échanges.

En outre, le « ebook » est cher et il faut avoir un minimum de connaissances en

informatique pour son usage, ce qui peut repousser aux personnes plus âgées à l’acheter.

Le piratage est un autre facteur auquel le « livrel » doit faire face. Il est important de
faire respecter les droits d’auteur.

Je veux remarquer aussi le fait que le « livrel », même si nous sert à économiser le
papier et c’est accessible en un clic, on n’a pas la possibilité de le feuilleter pour se faire
une idée du contenu.

En guise de conclusion, je veux dire que ce soit le livre traditionnel ou le livre

numérique, chacun des deux ont leurs avantages et leurs inconvénients. Quelques-uns
comme moi préférons passer les pages, sentir l’odeur des livres en papier et d’autres
choisissent la fonctionnalité des numériques.

Le livre numérique a révolutionné le monde de l’édition, néanmoins, selon moi, le livre

en papier ne disparaîtra pas. D’après moi, on peut s’adapter aux deux formats. Par
exemple, si l’on reste à la maison au chaud on pourra lire au format papier tandis que si
l’on voyage ce sera plus commode de porter le livre numérique. En tout cas, quoi qu’il
arrive, « que le papier parle, et que la langue se taise » comme nous a dit Cervantes.