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1-Ecoulement laminaire et turbulent :

écoulement laminaire :
mouvement d'un fluide dont la vitesse réelle est suffisamment faible pour que
le phénomène de turbulence soit négligeable.
La perte de charge hydraulique est directement proportionnelle au débit

écoulement turbulent :

mouvement d'un fluide dont la vitesse réelle est supérieure à la vitesse limite
pour des conditions déterminées.
La perte de charge hydraulique n'est pas directement proportionnelle au
débit.
« Écoulement turbulent » est l'antonyme d' « écoulement laminaire ».

 Un écoulement est dit permanent lorsque les caractéristiques du flux,


vitesse et direction, demeurent constantes en fonction du temps au long
du chenal, ce qui conserve une profondeur aussi constante. Dans le
milieu naturel, ce type d’écoulement n’existe vraiment qu’en conditions
moyennes. Les fluctuations du flux, qui varie en grandeur et en direction
à chaque instant et en chaque point dans le chenal, font que ce type
d’écoulement n’est possible seulement qu’en moyenne de sorte que ce
concept est bien accepté quand le cours d’eau a de faibles fluctuations
du flux en temps et en direction. Quand la vitesse est constante vers
l’aval on dit que l’écoulement est uniforme, si les fluctuations du flux
sont bien marquées on dit que l’écoulement est non uniforme ou
variable (Chorley, 1969 ; Bravard et Petit, 2002).

 L’écoulement laminaire se produit quand l’eau dans un chenal rectiligne


a une faible vitesse ; il est régulier et bien souvent stationnaire. La
turbulence est un écoulement dominé par des remous, et possède un
aspect aléatoire apparent. Les paramètres qui définissent si le flux est
laminaire ou turbulent sont : la vitesse, la profondeur, la largeur du
chenal, ainsi que les propriétés du fluide (densité et viscosité de l’eau).
D’ailleurs la distinction entre l’écoulement laminaire et la turbulence est
donnée pour le nombre de Reynolds. Ce nombre représente le rapport
entre les forces d’inertie et les forces de friction (Chorley, 1969 ; Petts et
Amoros, 1996 ; Bravard et Petit, 2002).

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Où V représente la vitesse du fluide (m/s), L la longueur de référence. La
longueur de référence peut être le diamètre dans le cas des conduits, la
profondeur ou rayon hydraulique dans le cas des cours d’eau. νest la viscosité
cinématique du fluide, lequel est donné en fonction de la température (m²/s).

Il s’établit la correspondance suivante entre le nombre de Reynolds et le type


de flux :

Rey < 500 écoulement laminaire


500 < Rey < 2000 de transition
Rey > 2000 écoulement turbulent

 La turbulence et la vitesse de l’écoulement ont une forte liaison avec le


travail exécuté par le cours d’eau, soit l’érosion, le transport et le dépôt.
Au cours de l’exécution de ce travail le chenal dépense une certaine
quantité d’énergie. Selon le théorème de Bernoulli, qui définit la
conservation de l’énergie au long du chenal, dans un écoulement
permanent et uniforme, l’énergie totale du fluide se conserve au cours
de son déplacement le long d’une ligne de courant. L’énergie perdue à
cause de la friction est compensée par l’énergie libérée à cause de la
réduction de la pente au long du chenal

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2- liquide parfait :
un fluide est dit parfait s'il est possible de décrire son mouvement sans prendre
en compte les effets de viscosité et de la conductivité thermique. Avec en sus
l'hypothèse, de validité très générale, de conservation de la masse le
mouvement du fluide est donc isentropique.
Mathématiquement cela revient à annuler les termes correspondants dans
l'équation de Navier-Stokes, on obtient ainsi l'équation d'Eulerdes fluides. Ce
sont le produit des coefficients de viscosité et de conductivité thermique (et
pas seulement ces coefficients) avec respectivement les cisaillements de
vitesse et les gradients thermiques, qui doivent être négligeables.
Tous les fluides ayant une viscosité (sauf un superfluide, ce qui en pratique ne
concerne guère que l'hélium à très basse température et l'intérieur d'une étoile
à neutrons), le fluide parfait ne peut être qu'une approximation pour une
viscosité tendant vers zéro. Cela revient à faire tendre le nombre de
Reynolds vers l'infini. Ce type de situation est cependant très courant, par
exemple en aérodynamique (où des nombres de Reynolds très grands sont en
jeu). Dans ces conditions, les zones de cisaillement important (où la viscosité et
la turbulence sont influentes) sont concentrées dans des espaces restreints,
appelés couches limites, et la description globale de l'écoulement par un fluide
parfait peut être adéquate.
En cosmologie, les différentes formes de matière qui emplissent l'univers
peuvent être considérées, du moins aux échelles où l'univers
est homogène comme des fluides parfaits. Comme l'écoulement d'un fluide
parfait est isentropique, l'expansion de l'univers est parfois décrite comme
étant adiabatique, s'identifiant sous certains aspects à la détente d'un gaz sans
échange de chaleur avec l'extérieur
2- liquide réel :

*Un liquide réel (en canal quelconque) considéré comme incompressible, a un


écoulement laminaire, régulier, sans dislocation intime, mais avec frottements
Laminaire signifie que les couches du fluide se déplacent (se superposent)
parallèlement entre elles, sans se mélanger
L'écoulement dans les canaux (comme dans les tuyauteries) est laminaire dès
lors que le nombre de Reynolds est inférieur à 2100
*Un fluide est dit réel si, pendant son mouvement, les forces de contact ne
sont pas perpendiculaires aux éléments de surface sur lesquelles elles
s’exercent (elles possèdent donc des composantes tangentielles qui s’opposent
au glissement des couches fluides les unes sur les autres). Cette résistance est
caractérisée par la viscosité.

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