Scope of Work Hse

Benjamin BATIOT Anthony COLLIN
Post-doctorant Maître de conférences

Institut P’ – Poitiers LEMTA – Nancy 1
2
Différentes études menées en parallèle

 Étude des contraintes subies par les personnels engagés lors des entrainements
 Étude de l’influence des techniques de lance sur la dynamique de l’incendie
 Étude du niveau de protection thermique des Equipements de Protection
Individuelle.
Les résultats attendus

 Mesure des champs de températures dans le caisson et rencontrés par les
personnels engagés
 Mesure des flux de chaleur dans le caisson et reçus par les personnels
 Mesure de l’humidité à l’extérieur et à l’intérieur des équipements de
protection.
Colloque national : Contraintes thermiques et performance des EPI des sapeurs-

Niort - 12 novembre 2014 pompiers en Caisson d’Observation et d’Entrainement aux Phénomènes Thermiques
3
Objectifs : être capable d’analyser les résultats obtenus en

caisson en analysant l’influence sur les biens et les personnes
des :
 Niveaux de température
 Valeurs de flux de chaleurs
 Valeurs d’humidité relative

4
Grandeurs traduisant l’état d’agitation thermique d’un milieu

Type et durée
Température Effet
d’exposition
Rayonnement 185°C Brulure sévère
Conduction
60°C Brulure de la peau
(métal 1 s)
Convection
100°C Hyperthermie
(30 minutes)
Convection
120°C Brulure peau et poumon
(< 5 minutes)
Convection
190°C Brulure peau et poumon
(< 1 minute)

5
Grandeurs traduisant l’échange d’énergie thermique

Flux de
chaleur Effets sur l’homme Effets sur les biens
[kW/m2 ]
• Seuil des effets irréversibles
3 • Correspondant à la zone des dangers -
significatifs pour la vie humaine
• Seuil des premiers effets létaux
5 • Seuil de destruction de vitres
• Zone des dangers graves pour la vie humaine
• Seuil des effets létaux significatifs
• Seuil des effets domino
8 • Correspondant à la zone des dangers très
• Seuil des dégâts graves sur les structures
graves pour la vie humaine
• Seuil d’exposition prolongée des structures
16 • Seuil des dégâts très graves sur les
structures, hors béton
• Seuil de tenue du béton pendant plusieurs
heures
20
• Seuil des dégâts très graves sur les
structures béton
200 • Seuil de ruine du béton en quelques minutes

6
L'humidité relative est le rapport entre la pression de vapeur

d'eau vraiment présente dans l'air ( Pvap ) et la valeur de
pression saturante ( Psat ) théorique
Pvap
Elle est exprimée le plus souvent en % : HR  100 
Psat
Comme la pression de vapeur saturante augmente avec la
température, pour une même quantité absolue d'eau dans
l'air, de l'air chaud aura une humidité relative plus basse
que de l'air froid
Risques : un taux d'humidité inférieur à 20 % peut

occasionner un inconfort en desséchant les membranes
muqueuses et contribuer à des éruptions cutanées.

7
Déroulement des essais en deux phases successives :

 Phase d’observation : 12 – 13 minutes
 Phase d’attaque (6 à 7 attaques) : 9 – 11 minutes
Dans un premier temps, les résultats d’ensemble et le détail de la phase

d’observation sont présentés
Les résultats de la phase d’attaque sont présentés dans la présentation

suivante, dédiée aux techniques de lance
La répétabilité des essais sur les 4 journées d’essais est bonne
Présentation des résultats obtenus sur le jour #2 de 2014 (données

représentatives de l’ensemble des essais).

8
Les résultats de cette étude portent sur :

Les champs de températures
Les valeurs de flux de chaleur
Les niveaux d’humidité relative
Dans un deuxième temps, nous verrons l’analyse des résultats

associés à la phase d’attaque du foyer par différentes
techniques de lance.

9
L’ensemble des résultats sur les acquisitions de température

10
L’ensemble des résultats sur les acquisitions de flux

thermiques

11
Dans la suite de cette présentation, seules les conclusions des analyses

réalisées sur l’ensemble des données sont présentées.

12
Un très grand nombre de résultats sur :

 Les flux thermiques
 Différents champs de température
 Différents champs d’humidité
Auxquels s’ajoutent des données sur

 Les flux thermiques reçus par les personnels engagés
 Les températures sur les EPI
 Les températures à l’intérieur des EPI
 Les influences physiologiques des contraintes thermiques sur les
pompiers

13
A l’intérieur du caisson d’entrainement

Sous le casque de protection
A l’extérieur de la veste d’intervention
A l’intérieur de la veste d’intervention
Sur la veste portée par le mannequin

14
Différentes phases : Observation Attaque

1. Ouverture exutoire
2. Fermeture exutoire
3. Fermeture porte arrière
5. Ouverture porte arrière
(flammes dans l’exutoire)
9. Fermeture porte arrière
Températures atteintes lors du premier pic :

 Au niveau du plafond : ≈ 450 – 500°C
 Au niveau des pompiers : ≈ 250°C
Températures atteintes lors du second pic :
 Au niveau du plafond : ≈ 700 – 800°C
 Au niveau des pompiers : ≈ 500°C
Apparition de roll-overs sur le second pic à 10 min
15
Température
Observation Attaque
6
9
8
7
5
3
4
2
1
Temps
1 Phase d’allumage (feu pleinement ventilé) 6 Feu limité par le combustible, phase de
2 Phase de développement (exutoire fermé – porte décroissance
arrière ouverte) 7 Phase de décroissance (fermeture porte arrière)
3 Fermeture de la porte arrière 8 Pic de température (ouverture du volet de
4 Ouverture de l’exutoire cantonnement)
5 Phase de croissance apparition de roll-overs (porte 9 Phase d’attaque (action du binôme – action sur
ouverte et exutoire fermé) l’exutoire)

16
Des niveaux de température élevés dans le caisson

 Maximum atteint à 1,2 m de hauteur
• Proche du foyer : ≈ 930°C
• Au niveau des pompiers : ≈ 450 - 500°C
Feu piloté par la ventilation (action sur la porte avant)

 Apport d’oxygène
Feu piloté par le combustible gazeux (action sur l’exutoire)

 Destratification des fumées
 Diminution de la concentration en combustible
Quelles influences sur les personnels engagés ?

17
La dynamique du feu :
 Chute des températures
• Ouverture de l’exutoire : évacuation des fumées chaudes et
diminution du volume de combustible gazeux
• Fermeture de la porte : feu limité par la ventilation
 Augmentation des températures
• Fermeture de l’exutoire : stratification des fumées chaudes et
augmentation du volume de combustible gazeux
• Ouverture de la porte : apport d’oxygène
 Au moment du flash-over
• Combustible gazeux de la couche en contact avec l’oxygène
consommé : chute de la température

18
Animation des champs de température dans le caisson en

phase d’observation

19
 Etat : Exutoire fermé et porte ouverte

 Observation : Les fumées gagnent le plafond
 Champs de température :
 ≈ 400°C au plafond en partie haute

 ≈ 30°C à hauteur de casque
20
 Etat identique : Exutoire fermé et porte ouverte

 Observation : Le foyer gagne en puissance

(+ 300°C en 2 minutes)
 ≈ 160°C à hauteur de casque (+ 130°C en 2 minutes)
21
 Etat : Porte fermée

 Observation : Affaiblissement du foyer

(-500°C en - de 2 minutes)
(-100°C en - de 2 minutes)
22
 Etat : Exutoire fermé et porte ouverte

 Observations : « mer » de roll-overs au plafond

(+ 600°C en 1 minute)
(+ 320°C en 1 minute)
23
 Conditions extérieures :
T = 32°C, HR = 37%
 Augmentation de 4°C sous
le casque par le port de

l’équipement (hors exercice)
 Conditions extérieures ont

une influence directe sur la
température sous le casque
(flux de chaleur incident)
 Température max. : 53°C

lors de la présence des roll-
overs au plafond
 Température atteinte en fin d’exercice : ≈ 45°C (effet de décharge thermique)

24
T = 27°C, HR = 44%
 Augmentation de 5°C sous
le casque par le port de

l’équipement (hors exercice)
 Comportement identique
des champs de température
avec la présence des
capuches
 Température max : 47°C

lors de la présence des roll-
overs au plafond
 Température atteinte en fin de la période d’obs. ≈ à celle avec capuche !

25
MAIS… en phase d’attaque :

 Sans capuche – Température maximale : 68°C… voir plus si l’exercice continue
 Avec capuche – Température maximale : 59°C… vers une valeur stable (- 9 °C)
… un écart de 15°C constaté en 2013 !!

Rôle bénéfique de la capuche sur le niveau de protection thermique du casque
26
T = 32°C, HR = 37%
 Niveaux homogènes de
température entre chaque
membre d’un même
binôme
 Environnement thermique
à l’intérieur du caisson peut
atteindre 100°C en phase
d’observation (à hauteur
d’homme à genou)
Diminution importante de la contrainte thermique lors de la fermeture

de la porte arrière (ΔT ≈ - 35°C)
27
T = 32°C, HR = 37%
 Température de la couche
#1 > 200°C à la fin de l’obs.

Température de la couche
#3 > 100°C à la fin de l’obs.
 Phénomène d’inertie
thermique (retard) entre les
évolutions des températures
des couches
 Température de la couche
#3 ne baisse pas en dépit
d’une diminution de la
contrainte thermique
extérieure
 Accumulation de chaleur au sein de la veste
28
T = 32°C, HR = 37%
 Les écarts de
température peuvent
atteindre 110°C
 Au démarrage de l’essai,
les niveaux de
température sont
équivalents
Echauffement par
convection d’air chaud
Par la suite, la couche #1 est plus chaude que l’air extérieur qui environne le
mannequin Echauffement de la veste essentiellement par rayonnement

29
T = 32°C, HR = 37%
 Niveaux de température
quasi - homogènes entre
chaque membre d’un même
binôme
 En fin de phase
d’observation, la
température sous la veste
peut atteindre 45°C
Pas d’effet de décharge thermique importante associé à la diminution de la

puissance du foyer d’incendie : effet d’inertie thermique
30
Flux dans l’enceinte du caisson d’entrainement

(foyer, plafond et paroi)
Flux atteignant le binôme d’attaque
Flux de chaleur reçus sur le mannequin
Images de la caméra Infra-Rouge focalisées sur le
mannequin

31
Les trois orientations des fluxmètres

 Les valeurs des pics de flux
thermique émit au niveau des
pompiers :
• Foyer : 12 kW/m2
• Plafond : 38 kW/m2
• Paroi : 48 kW/m2
 A l’arrière du caisson, au niveau des pompiers, les flux thermiques

reçus viennent principalement de la paroi et du plafond de fumées

32
Capteurs orientés vers le foyer
 Les valeurs proches du foyer

saturent à 110 kW/m2
 Les valeurs proches des pompiers

(position B) sont de 4 à 5 kW/m2 au
premier pic et de 15kW/m2 pour le
second pic
 L’énergie reçue provenant du foyer diminue fortement avec la distance

d’éloignement
 Les valeurs mesurées proches du binôme d’attaque (position B) sont de l’ordre de
4 à 5 kW/m2 au premier pic et de 15 kW/m2 pour le second pic.

33
Capteurs orientés vers le

plafond
 Les valeurs de flux thermiques en
position A et B sont très proches
 Flux au premier pic à ≈ 21 kW/m2
 Flux au second pic à ≈ 35 – 50 kW/m2
 A la position du binôme d’attaque, les valeurs de flux thermiques sont beaucoup

plus importantes que celles provenant directement du foyer

34
Capteurs orientés vers la paroi,

position B
 Flux au premier pic à ≈ 21 kW/m2
 Flux au second pic à ≈35 - 45 kW/m2
 Les valeurs de flux thermiques provenant des parois sont encore beaucoup
plus importantes que celles mesurées en direction du foyer

35
Les courbes de flux de chaleur présentent les mêmes

évolutions que les courbes de température
Le flux radiatif reçu au niveau des pompiers provient

principalement du plafond et des parois
La densité de flux radiatif reçue au niveau des pompiers est

de l’ordre de 45 à 50 kW/m2
L’ouverture de l’exutoire et la fermeture de la porte font

chuter brutalement le flux thermique

36
 Densité de flux radiatif

moyenne à 7,5 kW/m²
quand le feu est pleinement
établi
 Obtention de roll-overs au
plafond à 15h32m30s où la
densité de flux radiatif > 10
kW/m²

37
1000
Flux radiatif mannequin [W/m²] 4500
900 4000
50 800 50
3500
700
3000
100 600 100
2500
500
2000
150 150
400
1500
300
200 200 1000
200
100 500
250 250
0 0
50 100 150 200 250 300 50 100 150 200 250 300
15 h 26 min 15 s  Signal inhomogène sur la 15 h 28 min 18 s

15 h 29 min 49 s veste 15 h 32 min 38 s
1500 16000
 Apparition de la strate de
14000
50 fumées lien avec les 50
fortes valeurs de flux de 12000
1000
100 chaleur reçus 100 10000
8000
150  Périodes de strates de 150

6000
500 fumées ou de roll-overs :
200 fortes contributions sur la 200
4000
partie haute de la veste 2000
250
0
(épaules) 250
0
50 100 150 200 250 300 50 100 150 200 250 300

38
Densités de flux radiatif

homogènes sur les deux
équipiers
 Densité de flux radiatif

maximale à 5 kW/m² pour
la phase d’observation
(apparition de roll-overs)
 Les valeurs obtenues

sont plus faibles que celles
mesurées sur le
mannequin :
Les capteurs de flux radiatifs n’étaient pas orientés « directement » vers le

foyer (contrairement au mannequin)
39
Humidité à l’extérieure de la veste

Humidité à l’intérieur de la veste
Humidité sous le casque

40
T = 32°C, HR = 37%
 Pour le binôme de
sécurité, conditions
extérieures stables
 Pour le binôme d’attaque,

l’humidité relative baisse
pour atteindre jusqu’à 10%
Mesures très sensibles,

non adaptées en cas de
mouvement des équipiers

41
T = 32°C, HR = 37%
 Augmentation de
l’humidité relative par
transpiration avant le
début de l’exercice : valeurs
pouvant atteindre 70%
 Elévation de l’humidité
relative pour le binôme
d’attaque relative à la
présence de roll-overs.
 Lors de forts flux de chaleur : limitation de la régulation thermique par

transpiration – milieu à quasi saturation mais effet de décharge constaté
42
T = 32°C, HR = 37%
 Augmentation en
continu de l’humidité
relative (comparée à
l’humidité sous la veste)
 Le taux d’humidité sous

le casque dépend du taux
de transpiration de chaque
personne
 Contrairement aux vestes d’intervention, pas d’effet de décharge du taux

d’humidité sous le casque
43
Les objectifs des essais réalisés en caisson visaient à étudier :

 Les contraintes thermiques et physiologiques subies par les personnels lors des
essais
 L’influence des techniques de lance sur la dynamique du feu
 La performance thermique des équipements de protection
Les résultats obtenus montrent que :

 Les personnels sont soumis à de fortes contraintes thermiques (≈ 50°C sous la
veste, ≈ 70°C sous le casque) ;
 Les flux radiatifs reçus par les personnels engagés peuvent varier de 4 à 15
kW/m²
 Les capuches portées sur les casques permettent de contenir l’élévation de
température sous le casque (≈ 10 – 15°C)
 La veste permet de limiter l’élévation de température entre la surface de la
veste et l’intérieur (≈ 50°C d’écart)


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Benjamin BATIOT Anthony COLLIN

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Différentes études menées en parallèle

Les résultats attendus

Colloque national : Contraintes thermiques et performance des EPI des sapeurs-

Objectifs : être capable d’analyser les résultats obtenus en

 Valeurs de flux de chaleurs

 Valeurs d’humidité relative

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Grandeurs traduisant l’état d’agitation thermique d’un milieu

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Grandeurs traduisant l’échange d’énergie thermique

200 • Seuil de ruine du béton en quelques minutes

L'humidité relative est le rapport entre la pression de vapeur

Risques : un taux d'humidité inférieur à 20 % peut

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Déroulement des essais en deux phases successives :

Dans un premier temps, les résultats d’ensemble et le détail de la phase

Les résultats de la phase d’attaque sont présentés dans la présentation

La répétabilité des essais sur les 4 journées d’essais est bonne

Présentation des résultats obtenus sur le jour #2 de 2014 (données

Colloque national : Contraintes thermiques et performance des EPI des sapeurs-

Les résultats de cette étude portent sur :

Dans un deuxième temps, nous verrons l’analyse des résultats

Colloque national : Contraintes thermiques et performance des EPI des sapeurs-

L’ensemble des résultats sur les acquisitions de température

Colloque national : Contraintes thermiques et performance des EPI des sapeurs-

L’ensemble des résultats sur les acquisitions de flux

Colloque national : Contraintes thermiques et performance des EPI des sapeurs-

Dans la suite de cette présentation, seules les conclusions des analyses

Colloque national : Contraintes thermiques et performance des EPI des sapeurs-

Un très grand nombre de résultats sur :

Auxquels s’ajoutent des données sur

Colloque national : Contraintes thermiques et performance des EPI des sapeurs-

A l’intérieur du caisson d’entrainement

Colloque national : Contraintes thermiques et performance des EPI des sapeurs-

Différentes phases : Observation Attaque

Températures atteintes lors du premier pic :

Colloque national : Contraintes thermiques et performance des EPI des sapeurs-

Des niveaux de température élevés dans le caisson

Feu piloté par la ventilation (action sur la porte avant)

Feu piloté par le combustible gazeux (action sur l’exutoire)

Quelles influences sur les personnels engagés ?

Colloque national : Contraintes thermiques et performance des EPI des sapeurs-

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Animation des champs de température dans le caisson en

Colloque national : Contraintes thermiques et performance des EPI des sapeurs-

 Etat : Exutoire fermé et porte ouverte

 ≈ 400°C au plafond en partie haute

 Etat identique : Exutoire fermé et porte ouverte

 ≈ 720°C au plafond en partie haute

 Etat : Porte fermée

 ≈ 200°C au plafond en partie haute

 Etat : Exutoire fermé et porte ouverte

 ≈ 800°C au plafond en partie haute

le casque par le port de

 Conditions extérieures ont

 Température max. : 53°C

 Température atteinte en fin d’exercice : ≈ 45°C (effet de décharge thermique)

le casque par le port de

 Température max : 47°C

 Température atteinte en fin de la période d’obs. ≈ à celle avec capuche !

MAIS… en phase d’attaque :

… un écart de 15°C constaté en 2013 !!