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Galop et partiel 3H = sujet au choix cas pratique ou commentaire d’arrêt

Libéralisme régulé => le ppe c’est la liberté dans l’économie libéral mais l’Etat peut intervenir pr
empêché les abus

La législation est au service de l’éco libéral mais l’intervention de l’état est possible lorsque la liberté
conduit à des abus.

Tout les pro avec une activité vont progressivement être soumis à la législation commercial

Le code de commerce=> 9 livre ( livre 1 : du commerce en général ; livre 2 : des sociétés commercial ;
livre 4 : le droit de la concurrence, livre 6 : le droit des entreprises en difficulté)

Section 2 : les sources du droits des affaires

§. Les sources nationales

A. Les lois et les règlements nationaux

Depuis 1958, on observe qu’un nmb croissant de la législation commerciale dont prise par
ordonnance et par la voie des règlements admin avec la monté en puissance des autorité de
régulation.

Il y a bien sur un certain nmb de loi, souvent à l’initiative du gvt mais discuté au parlement (ex : la loi
NRE 2001 ; la loi de modernisation de l’économie en 2008, la loi Hamon en 2014, loi macron 6 aout
2015, la loi Sapin II nov 2016). On note un mouvement de libération de l’économie.

« les prix sont librement déterminé par le jeux de la concurrence »

B. La jurisprudence

D’autre par il y a la jurisprudence qui émane en grande partie de la ch commerciale de la cass.


Lorsque le législateur n’effectue pas un changement nécessaire la jurisprudence crée le droit. Par ex
le dt de la concurrence déloyale à été créé par la juris sous la base de l’art 1240 du code civil.

C. L’usage et la coutume

dans le cadre de la matière commerciale , l’usage et la coutume joue un rôle prépondérant. L’usage
se définit d’abord par la régularité d’une habitude dans un domaine donnée qui fait que l’on peut
s’attendre à ce qu’elle soit appliqué.[on sait que ca marche comme ca].

Les usages peuvent être contra legem ou praeter legem

Il y a un débat doctrinal sur la distinction entre usage et coutume. Pour certain auteur cette
distinction existe en tant que pr eux l’usage (usage de droit ou usage conventionnel) peut avoir une
porter supplétive cad qu’elle s’applique lorsqu’il y a un vide juridique (silence de la loi ou silence du
contrat). Tandis que pour ces auteurs la coutume est une véritable règle juridique qui est impérative
contraignante qui s’impose au commerçant. Elle se distingue de la loi par sa source en tant qu’elle
est professionnelle. Par ex la coutume peut être tiré d’un charte de bonne conduite.

Dans tt les cas les usages et la coutume sont confirmé par la jurisprudence, pr leur donner une
portée juridique.

§2. Les sources supranationale


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A. Les traités internationaux

Il existe des traités internationaux qui régissent la vie du dt des affaires, qui sont en général négocié
par les Etat souvent dans le cadre de l’ONU. Par ex :la convention de Vienne qui s’applique pr les
ventes internationales (en dehors de l’UE) lorsqu’il n’y a pas de loi choisit par les parties.

B. Le droit Européen

Le dt européen n’est pas que du traité internationale. On a notamment le droit de l’UE (le droit
primaire {traité fondateur} et le droit dérivé{les règlements, les directives, la jurisprudence de la
CJCE, et la jurisprudence du conseil de l’Europe prise sur le fondement de la CEDH}).

C. Les usages du commerce internationales

Ces usages sont assez varié. Leurs finalité est souvent d’éviter de passer par le juge étatique. C’est
une tendance dans le droit du commerce internationale, pr éviter les faveurs qu’un juge pourrait
accordé à une partie qui serait compatriote. On a aussi le recours à l’arbitrage, qui permet d’éviter
le juge étatique ; ou encore plus généralement la lex mecatoria = la loi des marchands qui serait un
certains nmb d’usage et de ppe que les agent de commerce internationaux doivent respecté. Il reste
tt de même un débat théorique sur l’existence de ces lois des marchands.

§ le contentieux devant les juridiction étatique

Les tribunaux de commerce connaissent des contestations relatives au soc commerciales, les litiges
relatives au fond de commerce et du droit des entreprises en difficultés. La procédure devant les trib
de commerce est plus rapide et plus souple qu’en procédure civile. Il y a une procédure dite
d’urgence qui s’appelle le référé. Cette procédure permet un jt provisoire dans des délais plus rapide
qu’une procédure au fond. Dans la jtc commerciale le référé est une voie habituel et même si en ppe
le jt est provisoire en pratique il n’y a pas vraiment lieu à une procédure au fond.

En appel, ce sont des magistrat professionnel qui statue.

§2.le contentieux devant les AAI

Le législateur a institué des AAI afin de traité des question technique du dt commerciales. Elles ont
une forte autorité juridictionnel, un pvr de répression et para législatif.

§3. Le contentieux devant les juridictions arbitrales

Souvent choisi pr les gros contrat d’affaire internationaux

La force des juridiction arbitral c’est d’être plus discrète et privée, raison pr laquelle les entreprises
préfère recourir à ces juridictions. Elles peuvent le faire par deux moyen : la clause compromissoire,
qui est une clause de contrat qui dit que si il y a litige, ce sera tranché devant un arbitre et les parties
s’engage à ne pas remettre en cause la sentence. Il y a aussi le compromis, ou après la naissance du
litige les parties s’engage à trouver un compromis devant le juge arbitrale. Cela permet aussi au
parties d’éviter les juge étatique qui peut parfois être partial.

CF : affaire crédit lyonnais contre Bernard Tapis. => met en évidence les enjeux de la jtc étatique.

Section 4 : la notion de droit des affaires

§le droit des affaires et le droit civil

Le droit des affaires est vu comme étant le dt de l’entreprise. Le droit qui s’applique plutôt aux
entreprises. Mais souvent des règles du droit commun/civil s’applique bien au entreprise (dt des
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contrats) et son compris dans le droit des affaires. Le droit commun s’applique sauf dérogation par
une règle spéciale.

Le droit civil des affaires est imp surtout pr des profession qui ne sont pas commerçant, bien qu’il y
est des activité économique (les agriculteur, les profession libéral, les artisans).

Il y a une convergence de plus en plus imp entre le droit civil et le droit commercial. Le dt civil
applique de plus en plus des solutions du droits commercial.

§2. Le droit des affaires et le droit commercial

A. La notion de commercialité

Sont qualifié de commerçant les prs physique ou morale qui applique la commercialité à titre de
profession habituel. => droit commercial stricto sensu. Livre 1 du code du commerce

I. Approche objective et subjective de la commercialité

La commercialité peut être définit par une approche objectif ou subjective. Objectif : En fonction de
l’acte accomplit à titre de profession habituel, art L110-1 C.com => liste des actes de commerce.
Subjective : le statut des sujet de droit. Si ces prs son commerçante dans leurs statut alors tt leurs
opérations seront des acte de commerce.

Au M.age on est dans la conception subjective mais la révol.FR opère un basculement en passant à la
conception objective. Le code de 2000 définit les acte de commerce et en déduit la qualité de
commerçant, c’est une approche objective. Mais des résidus de conception subjective.

Les activité commerciaux

-les activités de distribution

-les activités de production (sauf l’artisanat)

-les activités de service (sauf activité libérale)

Le commerçant est celui qui exerce des acte de commerce et en fait sa profession habituel.

Lorsque l’on applique la conception objective => commercialité par l’activité

La conception subjective => commercialité par la forme.

Les acte de commerce par nature ( art L110-1) => preuve par tt moyen

Lorsque les commerçant font des actes qui ne sont pas des acte de commerce par nature, il
deviennent des acte de commerce par accessoire => preuve par tt moyen.

Il y a eu des prop alternative pr dire que le dt commerciale était obsolète, car l’économie ne se
résume plus par le dt commerciale. La plupart des règles s’applique au-delà des bornes de la
commercialité. On a proposé des critère alternative pr définir la commercialité, on a eu comme
proposition une distinction fondée sur l’activité commerciale, sur la notion de marché, de
professionnel. Et de plus en plus dans la doctrine s’impose la distinction fondée sur la notion
d’entreprise. On cherche à fondé un droit commun pr tt les entreprise.
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Le droit commercial est une composante du droit des affaires.

§ le droit des affaire et le droit économique.

Le droit des affaires et une composante du droit économique

Le dt économique est le dt qui s’applique au marché. Il va au de la des acteurs du marché, il


s’intéresse à la structure du marché, sa construction et son organisation.

Il y a pas seulement les entreprises qui agissent dans le marché, il y a aussi les pouvoirs publics ; qui
cherchent à construire un marché concurrentiel. Le droit économique s’intéresse à cette régulation
du marché. Les acteurs publics qui sont des AAI, doivent négocié avec les entreprise pour permettre
cette concurrence, il veillent à la régulation.

Ex : l’entrée de Free sur le marché du forfaits téléphonique

Partie 1. Les acteurs de l’entreprise


Titre 1. la distinction entre commerçant et non commençant

Malgré les débats doctrinaux cette distinction est imp à trois égard, l’accès à la profession, les outils
de protection et les obligation juridique. Toutefois le développement des autres secteurs d’activité
oblige à une convergence entre le domaine commerçant et civile.

Chapitre 1. Les explications de la distinction


 La notion de commercialité

Permet fixer les bornes du droit commerciale stricto sensu, par la forme et par l’activité.

En complément de la loi, la jurisprudence a isolé des critères positif et négatif qui permettent de
qualifié un commerçant

§. Les conditions positive

Art L122-1 « sont commerçant ceux qui exerce des actes de commerce et en font meur activité
professionnel habituel ». la jurisprudence à ajouté des critères :

A. L’exercice des actes de commerce

Les acte de commerce par nature sont défini au art L110-1 et L110-2 C.com.

Mais d’autres actes de commerce sont ajouté par le législateur dans d’autre code comme l’art L931
du code rural et de la pêche maritime, qui permet de protégé le pêcheur professionnel, des pêcheurs
de loisirs. Et la jurisprudence applique ce critère pour transformé des acte non commerçant en acte
commerçant.

Cass.com 6 fev 1979 => si un commissaire priseur achète des œuvre lui même des œuvre pr les
revendre, achat pr revente est un acte commerciale par nature, donc même si il exerce une
profession libéral, le fait d’agir ainsi lui confie la qualité de commerçant pr ses actes.

B. L’exercice des actes de commerce à titre de profession habituelle

Profession def : « une occupation sérieuse de nature à produire des bénéfice et à subvenir aux
besoins de l’existence »

1. Le sous critère de l’habitude


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L’habitude n’exige pas l’exclusivité, donc certain professionnel peuvent avoir une partie de leurs
activité commerçante et d’autre non (ex : un médecin libéral qui gère aussi une clinique privé).

Il n’y a pas non plus d’exigence que ce soit une activité principal, à condition qu’il y est une forme
d’habitude, si une partie de la même activité qui est commerçante, l’activité est commerçante. Com
2fev 1970 => le notaire qui fait des prêt habituelle, verra cette partie de son activité qualifié de
commerciale.

Ce sont les juges du fonds qui détermine s’il y a une activité commercial ou non.

Le législateur est plutôt favorable acte commerciale accessoire =les autos entrepreneurs -> dynamise
l’éco

2. Le sous critère du profit

Lorsque l’on exerce une activité commerciale à titre professionnel on recherche du profit à la
différence des association. Le pro recherche du profit pr subvenir à son existence. Civ 30 juillet 1912
-> le particulier qui spécule peut être considéré comme un pro commerçant (un trader) à partir d’une
certaine somme

C. L’exercice d’actes de commerce à titre indépendant


1. La notion d’indépendance

Cette notion s’analyse par rapport au risque. Est indépendant celui qui supporte le risque de
l’activité personnellement. Ce qui permet d’exclure les prs qui effectue des acte de commerce à titre
professionnel pr autrui (les salarié, les gérant de magasin, les mandataire sociaux, administrateurs,
PDG et membres du directoire et du conseil de surveillance des SA, les gérant de SARL), car ils ne
supporte par les risques. Ce qui supporte les risque ce sont les propriétaire de fond de commerce.

Il y a des hypothèse moins nette, on hésite à qualifié ou non de commercant certains acteur.

§2. Les condition négative

La capacité commercial : au sens civil (les mineurs non émancipé, prs non protégé par une mesure
de protection, les prs dont l’activité commercial serait indésirable pr l’économie => les fonctionnaire
et les incapable juridique et prs vulnérable protégé ou prs frappé d’une mesure d’interdiction)
PS attention: depuis la loi Hamon il n’ y a plus de restriction pr les étrangers.

1. Les mineurs non émancipé

Soit on annule l’acte, soit on peut réduire le prix pr un contrat de vente et le mettre au niveau du
marché)

La loi du 15 juin 2010 relative à EIRL . l’ EIRL permet de divisé son patrimoine en deux et dérogé au
ppe d’unicité du patrimoine et ainsi d’affecté seulement une partie du patrimoine à son activité.
Ainsi les créancier en cas de défaut de paiement ne pourront agir que sur le patrimoine affecté à
l’activité. La loi de 2010 permet au mineur avec une autorisation spécial de recourir à l’EIRL.

2. Les majeur aux capacités altérés

La conception civiliste veut que les majeurs protégés ne puissent pas passer des actes sous peines de
nullité.

La conception commercial implique que par ppe les majeurs protégés ne puissent pas passer d’actes.
Mais si l’acte est toutefois passé, pr protégé le créancier, on applique le statut de commerçant de
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fait. Cela consiste à appliqué au prs qui n’ont pas le droit d’exercer des actes de commerce,
seulement les obligation du droit commercial.

B. Les limites pour cause d’interdiction et d’incompatibilités


1. Les interdiction

Les prs frappé par les mesure d’interdiction de géré, par ex=> art 1750 CGI et L653-2 C.com

2. Les incompatibilités

La profession d’un individu est jugé incompatible avec l’esprit de spéculation et de recherche de
profit des activités commerciale : fonction public, officiers ministériels, profession libéraux,
parlementaires.

Section 2 les différences entres commerçants et autres professions.

Cette distinction tient à l’histoire et aux héritages mais on note une convergence du régime juridique
des artisans et des commerçant. Néanmoins les artisans et les agriculteurs ont un régime dérogatoire
mais favorable. Cela tient à des considération politique, car les exploitations agricole en France sont
en général de petites structure qui supporte mal la concurrence étrangère. De plus les agriculteur
traite avec la grande distribution en position de force qui est capable d’établir des contrats très
déséquilibré.

§. l’artisan

A. L’insuffisance de la définition légale

Loi du 5 juillet 1996 « activité professionnel de production de transformation de réparation ou de


prestation à l’exclusion de l’agriculture et de la pêche et qui ont moins de dix salariés »

4 grands secteur

Service, fabrication, bâtiment, alimentation.

Le seuil de 10 salariés est un indice qui connaît des exeptions

B. Les précision de la jurisprudence

Il faut réunir un certain nmb d’indice qui tienne à la nature de l’activité, à sa dimensione t à
l’économie, pr qualifié un artisan.

=pr la nature

Les revenus du professionnels doit provenir essentiellemnt du travail manuel. De plus l’artisan ne
doit pas spéculé sur les matières première, ni le travail d’autrui (CIV 22 avril 1909). Toutefois les
artisans peuvent passer des acte de commerce civil par accessoire. C’est le juge du fond qui procède
à l’analyse de la nature de l’activité

Com 9juin 1987 => le couturier qui compte sur un nmb imp de machine, donc qui ne compte pas
essentiellement sur le travail manuel pr ses revenu, c’est une activité commercial et non artisanal.

Com 12 mai 1969 -> le juge a analyser des indice très concret du travail de la professionnel pr
qualifier au activité artisanal ?

§2. L’agriculteur

A. L’insuffisance de la jurisprudence jurisprudentiel


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On a commencé par définir l’agriculteur par le biais de la jurisprudence mais elle était insuffisante et
compliqué à applique , par ex la jurisprudence des « bon grains ». donc le législateur à ajouté l’art
L310- al 1 code rural et de la pêche maritime « celui qui maitrise et exploite un cycle biologique
de caractère végétal ou animal ». cet article vise trois type de production qui ont support
d’exploitation : culture marine, préparation et entrainement des équidés en vues de leur
exploitation, production de biogaz etc. => activité agricole

§3. Le professionnel libéral

Il y a 3 caractère traditionnel : la recherche du profit est secondaire, l’activité à un caractère


intellectuel, et le rapport personnel de la clientèle avec le personnel.

La loi du 22 mars 2012 a définit de façon plus contemporaine les profession libérales en tant que un
exercice habituel de manière indépendantes, l’exercice pr la clientèle de prestation intellectuel et
technique mise en œuvre au moyen de qualification professionnel appropriés, le respect de principes
éthiques ou déontologique professionnel.

Le JP hésite pr certain métiers tel que les diagnostiqueur immobilier auquel on applique parfois du
droit commercial alors que il apparaît plutôt comme une profession libérale.

CA paris 27 mai 1992 => le marabout qui fournit des conseil et directive qui n’ont pas de caractère
commercial = profession libéral.

Les professionnel peuvent passer des actes de commerce par accessoire mais seulement si ce sont
des actes accessoires.

[…]

Section 2 : les convergences significatives

§l’extension des formes commerciales aux non commerçants

A. L’exercice de l’activité par des personne physique

La convergence concerne l’organisation de l’activité de son principale titulaire et celles des prs
l’accompagnant.

1. Les formes d’exercice concernant le titulaire principale

L’EIRL => loi du 15 juin 2010

Cette loi est faite pr encouragé les prs a avoir une act et le statut est le même pr les artisan et les
commerçant.

L’auto-entreprenariat => fonctionne comme une petite structure économique mais avec un régime
allégé, et les obligations fiscale sont plus souples. Néanmoins il y a une limite de chiffre d’affaire.
L’auto entreprenariat est ouvert au commerçant, artisan et profession libéral. Mais reste fermé pr les
act agriculteur. Cad que si un agriculteur décide de devenir auto entrepreneur mais avec une activité
non agricole.

Le mécanisme de location gérance = contrat qui permet à une prs d’exploité pr son compte le fond
de commerce d’un propriétaire tierce.

Le mécanisme de location de gérance à été élargit au fond artisanal alors même que ce mécanisme
vient directement du dt commerciale
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2. Concernant les professionnels auxiliaire

Extension du statut au conjoint du commerçant et pr le gérant mandataire qui a un régime identique


qu’il gère un fond de commerce ou un fond artisanal

B. l’exercice de l’activité économique pour les personnes morales

Ils avaient la possibilité de créer des soc civil = soc de prs. Mais pas suffisamment souple et pose de
pb quant à la resp. car chaque associé est responsable intégralement des dette de la société et de
plus chaque associé finance à auteur de ce qu’il peut la soc mais cela ne fait pas entre du capital dans
la soc contrairement à la soc de capitaux. Depuis 1990 les profession libéral peuvent créer des soc de
capitaux = SEL (soc d’exercice libéral). Ces SEL emprunte leur statu à d’autre type de société
commerciales.

La loi Macron accentue le phénomène d’emprunt des formes du dt commerciale par les soc
d’exercice libéral, en créant la possibilité d’avoir un associé majoritaire qui n’est pas un pro de
l’exercice. La possibilité de créer un soc commerciale sans passer par la forme de la SEL et la
possibilité de créé des soc pluri professionnel, ce qui permet d’avoir plzr compétence dans la même
société.

En matière agricole, même mouv. Avec la possibilité de créer des soc, principalement dessoc de prs,
par la SCEA (socité civile d’exploitation agricole). En tant que prs les agriculteur peuvent engager leur
patrimoine personnel. Mais leur resp est limité à deux fois le capital investi. EARL ( exploitation
agricole à responsabilité limité).

§2. L’extension des formes non commerciales aux commerçants : le cas des entreprise d’économie
sociale et solidaire

EESS a fait l’objet d’une réforme.

En 2013 l’EESS présente 10% des emplois salariale en FR et 8% des salaire versé. L’EESS est apparu au
XIXème siècle en tant que regroupement de particulier qui crée des structure pour faire face à la
misère ouvrière. Ajd ce secteur se développe en tant qu’une intermédiaire entre l’action publique et
l’initiative privé. C’est un système entrepreneurial (initiative privé) mais la finalité n’es pas
l’enrichissement personnel mais le service d’un objectif social. Il y a des racine avec le XIXème siecle
mais ajd on est plus proche d’un modèle américain, notamment quant au mode de financement avec
de véritable fond d’investissement du secteur social qui mette bcp d’argent dans ces entreprises.

L’EESS def « entreprise dont le principal objectif est d’avoir une incidence social plutôt qu ede
générer du profit pr se propriétaire ou ses actionnaires »

Les changement de la loi de Juillet 2014 :

Le statut unique en droit FR quelque soit la forme sociale choisi, l’idée est de mettre sur un pied
d’égalité les EESS quelle soit commercial ou artisanal . en notamment pr le financement, car ce label
permet un soutient de la banque public d’investissement (BPI).

Def art 1 loi juillet 2014 « mode d’entreprendre et de développement économique adapté à ts les
domaine de l’activité humaine auquel adhère de prs morale de dt privée »

Les condition pr devenir une EESS :

-une gouvernance démocratique


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-un but autre que l’enrichissement personnel

-une gestion conforme au ppe selon lesquels, les bénéfices sont consacré à l’avancé de la cause et les
réserve obligatoire cad que l’argent de la soc ne peut pas être partagé.

Lorsque c’est une soc commerciales qui devient une EESS, elle fait l’objet de dispo plus
contraignante.

Une autre condition législative= la recherche d’utilité sociale

§3. L’application de certaine règle du droit des entreprises en difficulté

C’est une branche du dt privé qui permet d’aidé les entreprise qui ne peuvent plus payer le dette : le
redressement, la liquidation et la sauvegarde. C’est le trib de commerce qui es ici compétent.

On étend ce régime à tt les activité économique.

Titre II. Les commerçants par l’activité

En tant qu’ils exercent une activité commerciales

Les commerçant de drt se verront appliqué pleinement les règles du dt commerciale car ils exercent
le commerce de façon régulière. Les commerçant de fait n’ont pas remplit tt les obligation du dt
commerciale et ont ne leur applique qu’une partie du dt de commerce. Art L123-8 C. com.

C’est une protection des créancier du commerçant de fait qui pourrait se soustraire à ses dettes en
invoquant le fait qu’il n’ont pas remplit tt les conditions de commerçant.

Section 1. les personnes physique commerçante de droit

C’est les prs qui exerce régulièrement une activité commerciale. Ils sont enregistré au registre et
exerce une activité commerciale.

Une évolution récente tend à une diversification des statuts de commerçant de droit. Il y a un
certains nmb de statut intermédiaire notamment les auto entrepreneur et les EIRL.

Les auto entrepreneur existe depuis la loi de modernisation de l’économie de 2008. Les auto
entrepreneur sont des prs physique qui exerce à titre principale ou complémentaire une activité
commerciale et remplissent trois conditions :

- le chiffre d’affaire annuel limité (82 000 € pr act d’achat et de revente et 32 900 € pr une cat
de prestations de service).
- Régime sociale particulier (cotisent peu) et un régime fiscal particulier (paie peut d’impôt)

Depuis 2014 il y a enregistrement au RCS avec la loi Pinel. Mais il n’ont pas d’obligation d’établir des
comptes annuels et il peuvent créer des fonds de commerce.

Certains élément de protection ne sont pas ouvert aux auto entrepreneurs (notamment les beaux
commerciaux) et ne sont pas rpz lors des élection consulaire des commerçants.

Le but est d’encourager les naissance d’entreprise en allégeant les charges administratives et fiscal.
Cela conduit tt de même à certaine critique notamment quant à une sorte de dérégulation du travail
et certain commerçant qui on une activité et paie plus d’impôts y voit une concurrence déloyale. On
parle aussi d’un appauvrissement des auto entrepreneur qui ne dégage pas un salaire élevé alors que
cela remplace de plus en plus le salariat.
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L’EIRL existe depuis 2010 et permet de séparé son patrimoine pr affecté qu’une partie à son activité
sans créer une prs morale. Le pb c’est qu’en pratique les créancier qui s’aperçoivent que le
patrimoine affecté n’est pas significatif peut déclarer que ce patrimoine affecté n’est pas suffisant au
regard des engagement qui peuvent dépassé ce patrimoine affecté. Dans ce cas les créancier vont
exiger des garantie sur le patrimoine personnel qui n’est pas affecté => contrat de cautionnement. La
constitution de ces sureté permettent de contourner la loi sur l’EIRL pr le créancier.

La loi Macron modifie l’art L526-1 C. com, permettant de faire une déclaration d’insaisissement.

Section 2 : les personnes physique commerçant de fait

Commercialité par activité

Lorsqu’une association passent des actes commerciales qui permettent atteindre son objet social, se
sont des actes de commerce par accessoire, soumis au droit civil, lorsque se sont des activité
inhabituelle et non lucratives.

Com 17 mars 1981 => une association cultuelle avait un magasin avec une boucherie dedans. La
question est de savoir si le fait de vendre de la viande de façon occasionnel constitue une activité
commerciale. La question est de la lib de la preuve, car pr justifié l’impaiement de dette, les créancier
avait fournit comme preuve au civil des livre de compte. Pas valable en droit civil. Mais possible en
droit commercial. La cass a considéré que l’assoc avait une activité habituelle d’achat pr revente, qui
lui donne la qualification de commerçant de fait. Donc on peut lui appliquer le droit commerciale et
non le droit civil.

Le commerçant de fait ne peut pas se prévaloir des protection appliqué au commerçant de droit

Titre III. Les sociétés commerciales

Une soc est un groupe d’être vivant réunis en communauté par le nature, la loi ou un contrat.

Art 1832 CC « la société est institué par deux ou plusieurs personnes qui conviennent par un contrat
d’affecter à une entreprise commune, des biens ou leurs industrie en vue de partager les bénéfices
ou de profiter de l’économie qui pourra en résulter »

La société, est ,contrairement à l’association, un groupement intéressé.

La question est de savoir si la société est un objet ou un sujet de droit ?

La société est le fruit d’un contrat qui lie les associé et de plus elle peut être cédé, sous ce pdv c’est
un objet de droit en tant que c’est un bien qui peut circuler.

Mais la société est aussi une entité juridique qui peut passer des contrat (ex : passer un contrat avec
une soc téléphonique), une prs morale avec capacité juridique qui peut passer des actes juridique et
en ce sens c’est un sujet de droit.

L’acte de naissance est un contrat, donc la soc est un objet de droit mais dès qu’il accède à la vie
juridique, elle possède un statut juridique et devient un sujet de droit.

Depuis 1966 il faut inscrire les soc dans le RCS. Et depuis 1985 il y a la possibilité de créer une soc ts
seul , des soc unipersonnel qui naissent par un acte juridique unilatéral.

La finalité des soc commerciales est d’avoir une activité économique, il sont régis par des disposition
propre du code de commerce (Livre II). On a aussi un droit commun des société dans le CC (Livre 3
titre 9). Au sens du droit civil, les soc commerciales sont des contrat spéciaux qui se retrouve en dtoit
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commun. Donc quand il y a pas de réponse légal dans le code de commerce on peut se référer au
droit commun du CC.

La soc commerciale a pr but de réunir des capitaux, et des apports. Elle a assi une technique de
limitation des risque économique surtout dans une soc commerciale de capital. Cad que les associé
mettent engage leur resp de patrimoine que à hauteur de ce qu’ils ont investit dans la soc. Dons si la
soc entre en faillite les associés ne perdrons que ce qu’ils ont investi. Lorsqu’elle ont été créé en Italie
(Florence) le but d’une société était de permettre au bourgeois de mettre un investissement dans le
commerce maritime et si le bateau coulait il ne perdait que ce qu’ils ont investit.

Art L210-1 « le caractère commerciale d’une société est déterminé par leur forme ou leur objet »

Art L210-1 al 2 « Sont commerciale par la forme quelque soit leur objet les société en non
collectif…. »

Les groupement d’intérêt économique (GIE)=> on la personnalité morale comme une soc, elle
permettent de regrouper les activité de différente société pr organiser et promouvoir un service
commun. Leurs finalité première est organisationnelle.

Ex : les GIE en matière de carte bancaire, tt les banques qui proposent des service de paiement
décide de se regrouper au sein de ces GIE pr optimiser leurs services de paiement. La coopération
des banques au sein de ses GIE permet de faire fonctionner ce système de façon optimal. Le GIE
permet d’organiser ce service commun.

Ex : GIE pr les laboratoires de recherche.

Les soc commerciale sont régis par une loi de 1966 (Livre 2 c.com), elle suppose la réunion de 3
conditions :

-apport effectué par des associé (=propriétaire de la société qui ont des parts sociale) => l’apport en
capital, en nature (bien).

-vocation de chaque associé à participer aux pertes et aux profits

-affectio societatis => la volonté de s’impliquer dans la société, la faire vivre et participer à l’aventure.
*.*

Chaque soc a un certains nmb de carctère qui la singularise par rapport aux autres (les soc de prs, les
soc de capitaux ou par action et la SARL)

Chapitre 1. Les société de personnes

Il y a des liens très étroits entre les associé et il y a pas de détachement total ente la personne morale
et la personne physique que sont les associé. En csquences le ppe veut que les associé sont
solidairement et indéfiniment responsable, il y a absence de bénéfice de division et de discussion pr
les dettes des codébiteurs à l’égard des créanciers. La resp solidaire est un régime rigoureux pr les
codébiteur. la resp indéfini suppose que les associé engage tt leurs patrimoine et non seulement ses
investissements.

Section 1 la société en nom collectif (SNC)

Fonctionnement => régis par les art l221-1 et suivant. Cette société en nom collectif, c’ets le modèle
même de la soc de personnes. Elle fonctionne avec des associés peu nmb, qui se connaissent et qui
on intérêt à se faire confiance. Cette société est fondé sur l’intuitu personae. Tt les associé ont
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exactement le même statut et se sont ts des commerçant qui engage leur resp solidaire et indéfini.
C’est la réunion de plzr commerçant pr une activité.

Avantages => les prs qui la composent étant au premier plan, cela facilite les rapport avec les tiers,
puisqu’il y a une relation direct de confiance, imp en relation d’affaires. Les charge pesant sut les
membre son compensé par ces avantages. De plus il y a pas de minimum pr l’apport initial. Et enfin la
cession des parts de la société est soumise à l’agrément de tt les associés. Ce qui permet de
contrôler l’entrée d’une nvlle prs dans la soc. Cela permet de ne pas perdre le contrôle de la société.
Le gérant ne peut être révocable que à l’unanimité. La plupart du temps la SNC est une exploitation
familiale (pendant longtemps le tissu économique fr était basé sur les exploitations familiale).
Lorsque l’on se trouve dans des exploitation plus imp, on peut avoir des entreprise qui crée une
filiale commune, le régime de la SNC permet de garder le contrôle .

Inconvénients => la resp indéfinie et solidaire des associé.

En 2013 INSEE compte 28000 SNC en FR.

Section 2. la société en commandite simple (SCS)

Fonctionnement => art L222-1 et suivant du C.com. on a deux catégories d’associés : les commandité
et les commanditaire. Les commandité sont des commerçant qui engage leurs resp solidaire t illimité
(comme les associé de la SNC). Les commanditaire quant à eux ne sont pas commerçant et n’engage
leurs patrimoine qu’à concurrence de leur apport initial(PECAI). La cession des part des
commanditaire en ppe se fait à l’unanimité, mais on peut dérogé à cet règle par convention. Cet
modalité de cession permet tjr de garder le contrôle (ou pas ) de la société.

Avantages => souplesse des statut qui peuvent être aménagé et adapté aux besoins. On n’as pas de
capital social minimal. Et il y a une dualité de statut entre le commandité et le commanditaire, ce qui
permet d’associé à la société des prs qui ne peuvent pas ou qui ne veulent pas prendre le risque
d’être commerçant (le mineur et le majeurs incapable par ex). c’est adapté aux entreprises avec un
petit nmb d’associé et qui ne veulent pas engagé leurs patrimoine à la même hauteur. Svnt les
commandité prennent les risque mais ont une part plus imp des bénéfices sociaux. Les
commanditaire peuvent s’investir tt en ayant un droit de regard sur la société, tt en limitant le risque
patrimonial.

Inconvénient => les risque assumé par le commandité, et la complexité du fonctionnement, plus un
régime fiscal pas avantageux.

On a à peine 1000 SCS en FR

Chapitre 2. Les sociétés de capitaux ou par action

Contrairement au société de prs , la personnalité des associé s’efface derrière la prs morale => SA
(société anonyme). L’identité des actionnaire est indiferente

Section 1. la société anonyme

Art L225-1 à L225-270

Société dont le capital est divisé en action, et qui est constitué par des associé qui ne supporte les
pertes qu’a concurrence de leurs apports.

Fonctionement => il y a un minimum de 7 actionnaires et un capital d’aport initial de 37 000€. Les


actionnaires ne sont pas commerçant, et ne supporte les pertes qu’a concurrence de leurs apports.
13

C’est une société hiérarchisé dans leur fonctionnement. La valeurs des actions est mobilières, et
peuvent être coté en bourse, il y a un marché ouvert ou l’entrée se fait librement. La cession des
action est donc libre, il n’y a pas d’agrément des autres actionnaire. Groupement ouvert, mais on
peut déroger par convention à l’ouverture des statut. Les compte de la SA est ctrl par un ou plzr
contrôleur au comptes, c’est une procédure rigide qui permet de vérifier la sincérité des compte de
la SA. Car le maquillage des comptes peut porter préjudice à plusieurs actionnaire. Les actionnaires
sont les propriétaires, qui peut décider des orientation (approbation des comptes sociaux,
affectation des résultats, modification des statut, augmentation ou réduction du capital social,
dissolution…) de la soc à l’assemblé général. La mise en œuvre des décision se fait conseil d’admin ou
le PDG l’assemblé général se fait dans la vie quotidienne de la soc sans tjr redemandé l’avis de la
l’assemblé général. Depuis 2001 on peut aussi décidé de séparé la prs du DG qui rpz la soc vis-à-vis
des tires, du président du conseil d’admin qui donne les orientation stratégique pr la mise en œuvre
des décision prises par l’assemblé général. Depuis 1966 il existe le modèle des directoire avec conseil
de surveillance. Le directoire est un organe colégiale composé de prs physique qui agit au nom de la
soc° à l’égard des tiers. Le directoire à plus de pvr que le PDG et le conseil de surveillance à un rôle
de contrôle pas de surveillance. Cette formule permet de mettre de la collégialité dans la direction
des SA.

Avantages => la SA permet de réunir bcp de capitaux, notamment via les marchés boursier. De plus
les actionnaires, ne répondent des dettes que à concurrence de leurs apports initial. Les dirigeant de
la société peuvent aussi avoir le statut de salarié et avoir tt les protections qui vont avce un contrat
de travail.

Inconvénient => la SA suppose un capital initial imp et les frais de constitution sont imp. De plus la
procédure est rigide et lourdes. C’est plutôt adapté au très grandes entreprise qui veullent faire
appel public à l’épargne sur les marché boursier.

En 2015 il y avait plus de 40000 SA, mais ce nmb est en réduction.

Section 2. la société en commandite par action

Le capital est divisé entre les commandité, qui on la qualité de commerçant et répondent
indéfiniment et solidairement des dettes sociales. Et les commanditaire qui ont la qualité
d’actionnaire, et ne supportent les pertes qu’à concurrence de leurs apports. => art L226-1

Les commanditaire en tant qu’actionnaire, peuvent entrée et sortir librement dans la société. Cela
permet de faire venir des investisseur.

Le commandité maitrise la gestion de la société, ce sont les commerçant qui maitrise la gestion de la
société et non pas les investisseur qui ne font qu’apporter de l’argent dans la société.

Il y a que 330 société en commandite par action à cause de la complexité des démarches et le risque
pr les commandité

Section 3. la société par action simplifié (SAS)

Le but était de dotée le droit fr d’une forme de soc attractive. Pr faire face à la concurrence d’autre
droit européen.

Avantages => il y a une extrême souplesse et une grande lib dans les statuts. Le fonctionnement est
moins formel que la SA. Les droits de votes sont très maniable, ce qui permet de moduler le contrôle
de la société. On peut avoir des SAS avec un seul associé = SASU (société par action simplifié
unipersonnel). Le régime fiscal est aussi plus avantageux (on paie moins d’impôts).
14

Inconvénients => contrairement à la SA on peutpas quotter la soc en bourse et faire des appels public
aux investisseur.

Section 4. la société européenne

C’est un type de soc de capitaux du droit européen et qui fonctionne comme une SA. Ce type est
régis à la fois par le droit européen (règlement 2157/2001) et le droit interne (pr les questions n’ont
traité dans le règlement).

Les salarié ont un droit de gouvernance dans la société, ils on un droit d’info (le droit euro prévoit un
dialogue)de consultation et de participation (les salarié peuvent déterminer certains dirigeant de la
société)

Cette société n’a pas de nationalité d’un Etat de l’UE, elle est de droit européen.

Avantages => l’absence de nationalité permet de favorisé les regroupement entre entrepreneurs
européen. Cela permet de développer le marché intérieur. Cela permet aussi de facilité l’organisation
des grp de soc européen. Cela facilite aussi le transfert siège social d’un Etat vers un autre.

Chapitre 3 les sociétés à responsabilité limité

Art L223 et suivant

La SARL est constituent par une ou plusieurs personne qui ne supportent les pertes qu’a concurrence
de leurs apports.

Les associé ne sont pas commerçants et ne sont tenu qu’à concurrence de leurs apports. Toutefois
leurs personnalité reste imp dans la gestion de la société. Le nmb d’associé est limité à cents. On
peut aussi faire des société à resp limité unipersonnel = EURL.

Les parts sociale ne peuvent être cédé qu’avec le consentement de la majorité des associés.

Les associé ont un dt d’info dans la gestion de l’entreprises.

Avantages : la SARL et adapté à tt type d’activité économique pr les PME. Il y a pas de capital sociale
minimum. La responsabilité des associés est limité. L’autre intérêt c’est la pluralité des types
d’apports : en numéraire, en nature ou en industrie. Le régime d’imposition de la SARL est assez
flexible.

Partie 2. L’activité de l’entreprise


Titre I. Les activités commerciales stricto sensu

Chapitre 1. Les obligations du commerçants

Ces obligations découle du statut du commerçant, composé d’obligation et droits adapté à la vie
commerciales. Ces obligations s’applique au commerçant prs physique et commerçants personne
morales.

le statut de commerçant offre la possibilité d’être propriétaire d’un fond de commerce. Qui est
accompagné d’un bail commerciale dont le régime est très protecteur de commerçant puisqu’il leurs
permet de se maintenir dans un lieu. Il y a un droit au renouvellement du bail commerciales ou le
droit à une indemnité d’éviction.

Trois type d’obligation, qui œuvre à une transparence de la vie commerçante, pr protéger les tiers et
facilité le travail des services fiscaux
15

Section 1. l’obligation d’immatriculation au registre du commerce et des société (RCS)

§. Le registre du commerce et des sociétés

Le RCS a été créé en 1919 pr centralisé tt les info juridique sur les commerçants. Les pvr public,
voulait contrôler et protéger les entreprise fr contre l’emprise étrangère. Au début le registre n’avait
pas de porter normative, il était un registre indicatif pr les prs physique.

Ajd tt les commerçants sont obligé de s’immatriculer au registre et ensuite de faire des déclaration pr
informer les tiers de sa situation juridique. Depuis 1978 c’est aussi le registre pr les soc
commerciales. Le registre est constitué d’un registre nationale, qui concentre tt les registre locaux
tenu par le trib de commerce FR. pr chaque immatriculation il y a un certain nmb de rubrique dans
lesquelles ont retrouve celle dédié à certains contrats, au privilège/les suretés. Il y a un registre
spéciale pr les EIRL.

§2. Les immatriculations et les déclarations

 La demande d’immatriculation

Les prs tenues d’être immatriculées au RCS sont énuméré à l’article L123-1 C.Com. La demande doit
être fait au moins un mois avant le début de l’act. Pr les prs morales, c’est l’immatriculation qui
confère la personnalité juridique. En cas de cessation d’act le commerçant doit aussi sollicité sa
radiation. Pr les autoentrepreneur et les micro entreprise le régime est plus souples.

 Les conséquence de l’immatriculation

L’immatriculation permet d’avoir un num INSEE et SIREN, qui permettent d’identifier le commerçant.
Pr les prs physique l’immatriculation au RCS emporte une présomption de commercialité, cad que si
le commerçant est immatriculé, aux yeux des tiers elles est considéré comme commerçants, et devra
démontré qu’elle ne l’est pas. C’est une présomption irréfragable, mais la jp est assez rigide.Com 6
janv 1987

COM 27 sept 2016 => si le tiers n’est pas au courant du fait que la prs physique n’exerce pas une act
commerçante ; la présomption devient irréfragable.

L’immatriculation permet au commerçant de se prévaloir de se statut à l’égard des tiers.

Pr les prs morales l’immatriculation permet d’acquérir le perso juridique.

Section 2 la tenue d’une comptabilité

§3. la notion de comptabilité

C’est à pratir du M.âge que la comptabilité va se fixer sur la forme d’ajd. Def : La comptabilité est une
technique de tenue des compte qui consiste au jour le jour à enregistré les recettes et les dépenses,
et en fin d’exercice à établir, l’inventaire, le bilan et les comptes de résultat. La finalité de la
comptabilité est de pvr faire des comparaisons pr apprécier l’évolution de la vie de l’entreprise, c’est
un instrument de prédiction de la vie de l’entreprise.

>le bilan

C’est le passif et l’actif de l’entreprises. Le passif, on le comprend en gnral comme les dette de
l’entreprise, mais il faut aussi le comprendre comme les ressources mise à la dispo de l’entreprise par
16

les tiers ou les associés, pr financer les moyens de prod. En cas de liquidation ces différentes
ressources doivent être rendues au propriétaire.

>l’actif

C’est la manière dont le commerçant emploi les ressources mis à sa disposition. on retrouve les
créance et les biens acquis grâce au ressource mis à sa disposition.

L’équilibre entre l’emploi et les ressource, entre le passif et l’actif ; c’est le bilan de l’entreprise. Le
bilan permet de faire apparaître le résultat de l’entreprise. Mais il ne permet pas d’avoir une bonne
visibilité des différentes opération qui on donné leu à ce bilan.

Pr avoir une visibilité précise de l’activité de l’entreprise, il y a besoin d compte de résultat. C’est un
historique des opérations formé par l’entreprise.

Pr les auto entrepreneur et les micro entreprises, la loi Macron a allégé les procédure et les
obligation, même au plan comptable. Le but est d’alléger le régime des auto entrepreneur pr
encourager ce régime commerciales.

§2. Les documents comptables

Il y a deux types des docs comptables

>les livres comptables (art R. 123-173 C.com)

Le livre journal enregistre chronologiquement les opérations qui affecte le patrimoine du


commerçant.

Le grand livre, dans lequel on trouve l’ensemble des comptes du commerçants. C’est une sorte de
classification des écritures du livre journal, ordonné selon le plan comptable du commerçant.

Le livre d’inventaire où l’on trouve une situation descriptive et estimative des éléments de l’actif et
du passif du commerçant. Que qui permet de vérifier les valeur des actifs du commerçant, et prévoir
les pertes.

Les livres comptable son un outil de gestion de l’entreprise. les livres ont force probante qui permet
de les produire en jtc en cas de litiges. Mais seulement pr les litiges soumis au dt commerciales.

Les écritures comptables forme un tout, lorsque l’on les invoquent, on les invoquent dans leurs
globalitée.

> les comptes

C’est une obligations des commerçant, c’est un enregistrement des opération comptable de l’année.
On y trouve le bilan et le compte de résultat et l’annexe. Ces comptes doivent être déposé au trib où
la soc est enregistré

§3. Les principes de tenu comptable

Art L123 C.com

La régularité des comptes => conformité aux normes

La sincérité des comptes => reflète précisément la situation de l’entreprise


17

La fidélité des comptes => exigence supérieur de sincérité

§4. Les sanctions des irrégularité

Il y a un ensemble de Sanctions pénales qui permet d’assurer l’effectivité des comptes. peut s’ajouter
à cela des sanction prévu dans le code de commerce tel que l’interdiction de géré art L653-8 C.com.

S’ajoute à cela la resp du fait personnel qui implique une sanction civil

Section 3 les autres obligations du commerçants

§.l’obligation d’établir des factures

C’est un écrit par lequel un commerçant rappelle à son client l’opération qui vient d’être réalisé.
Cette exigence se fonde sur au moins cinq raison :

C’est un justificatif de l’exécution d’une obligation par le commerçant pr lui c’est un mode de preuve

C’est aussi un doc qui sera versé à la comptabilité

La facture à une fonction imp dans le droit de la concurrence, permet d’assurer une sorte de
transparence dans les relations d’affaire et de contrôler les abus.

Cela permet le recouvrement de la TVA par l’admin fiscale

La facture permet des opération de crédit, tel que l’affacturage. Lorsque un créancier décide de
céder sa créance à un tiers qui sera chargé de recouvrir cette créance, via soit le mécanisme de la
créance ou de la subrogation (le tiers se paie sur un pourcentage qu’il prend dans la créance) =>
affacturage

Le profésionnel à une obligation d’établir la facture en langue fr, en double exemplaire avec mention
de notion imp. Cette obligation est sanctionné par 75 000€ d’amende ou 50% de la somme = l’art
L441-3 et R441-3 C. com.

§2. L’obligation d’être titulaire d’un compte en Banque

ART L 123-24 C. com

Cette obligation vaut pr les EIRL, il faut un compte en banque spécial pr le patrimoine d’affectation.

Chapitre 2. Le régime des actes de commerce

Pr les actes de commerce entre les commerçant de fait et de droit, on applique un régime de plénier,
cad un régime de dt commerciale pur.

Pr les actes mixte cad des actes entre un commerçant et un non commerçant. C’est un acte de
commerce coté commerçant et un acte de dt civil coté nn commerçant. Le régime de ces actes
mixtes est parfois qualifié de composite par la doctrine , car il emprunte du droit commerciale et du
droit civil.

Section 1. les règles de compétence

Il y a bcp de litige entre commerçant. Il y a une compétence d’attribution des trib de commerce pr les
litige entre commerçants. Il est possible de déroger à ses règles de compétence par contrat ; car les
commerçants ont un besoin de lib dans leurs activité quotidienne
18

§.la compétence d’attribution des tribunaux de commerce

Fixé à l’art L721-3 C.com

Il y a trois chef de compétence

Les engagements être les commerçant ou entre établissement de crédit (contrat) ou des fait
juridique (concurrence déloyale)

Les contestation relatives aux société commerciales à l’exception des sociétés libérale

Les contestation relatives au acte de commerce.

La jp ajoute d’autre chef de compétence, notamment en cas d’apparence de commercialité (Com.3


mai 1994). Pr les futures commerçant, dès lors qu’ils accomplissent des actes pr leurs futurs
commerce (achat d’un fond de commerce). Les actes de commerce par accessoire.

Les trib de commerce ont une compétence spéciale et exclusive pr le dt de la concurrence

 Les compétences du président du tribunal de commerce

Il a une compétence spécial pr les ordonnance de référé (en urgence). Il peut aussi des ordonnance
sur requête ou des ordonnance d’injonction de payer. L’ordonnance sur requête n’est pas
contradictoire, l’adversaire n’est pas appelé à se défendre. L’injonction de payer, permet au trib
d’enjoindre un débiteur de payer une créance qui n’est pas contestable.

 Exclusion de compétence

Les baux commerciaux = compétence du TGI

Propriété industrielle => compétence TGI spécialisé

accident de la circulation entre commerçant dans l’exercice de leurs act commerciale = TGI

contentieux de l’immobilier entre commerçant = Compétence du TGI

 L’acte mixte

Lie un commerçant et un non commerçant. Le non commerçant à une option de compétence, il peut
choisir lorsqu’il est demandeur entre le TGI ou le trib de commerce. Cette option est à sens unique,
le commerçant demandeur va forcément au TGI, au TI ou au trib de prox.

§2. L’aménagement conventionnel de la compétence d’attribution des tribunaux de commerce

L’aménagement conventionnel de la compétence n’est pas possible pr les matière pr lesquelles le


trib de com a une compétence exclusive .

A. Les clauses attributives de compétences territoriales

Est territorialement compétente, la juridiction du lieu de domicile du défendeur. Ou au lieu de


survenance du domage, au lieu de livraison de la chose, au lieu de prestation de service.

Art 48 CC impossibilité de dérogé au règles de compétence territoriale, sauf pr les commerçants par
contrat.
19

En matière de contrat inter, on est plus souples, et même les nn commerçants peuvent déroger aux
règles de compétence.

Pr les contrat de conso, d’assurance et de travail, il est plus difficile de déroger au règle de
compétence même en cas de droit inter, car l’une des parties au contrat est faible.

B. Les clauses attributives de compétences matérielles

La loi est silencieuse quant à la possibilité de déroger par convention aux compétence matérielle du
trib de commerce.

Pr les acte des commerce pur, la jp reconnaît ces clauses valable, dès lors qu’elle a permet de se
diriger vers les juridiction de droit commun.

pr les actede commerce mixte, la jp a eu pr ppe de considéré que c’est clauses étaient valables, mais
l’arrêt Com. 10 juin 1997 considère que ces clauses sont non opposable au non commerçant.

La multiplication de ces clauses est du au fait qu’il y a une méfiance envers les trib de com qui sont
composé de juge non professionnel.

Lorsque on est dans un cas de compétence exclusive, les dérogation sont interdite.

C. Les clauses compromissoires

ce sont des clauses qui permettent de soumettre un litige au trib arbitral

art 2061 CC => les Cl.compromissoire sont valables dans les contrat conclut à raison d’une act pro.

La clause doit être stipuler par écrit, elle doit désigner l’arbitre ou prévoir des modalités de
désignation. Cette clause est obligatoire.

Les arbitre peuvent juger en amiable compositeur, trouver une décision qui convient à tt le monde.
Ensuite il rend une sentence arbitral mettant fin au litige et qui a force de chose jugée, mais elle n’a
pas force exécutoire. Il faut passer par une procédure spécial qui s’appelle l’exéquatur pr obtenir la
force exécutoire.

Il peut y avoir des recours en annulation ttfois en cas de faute grave de l’arbitrage ou en cas de
violation d’une règle public, ou de partialité des parties. Sanctionné par l’annulation.

Section 2. les règles de preuve

En dt commerciale on applique le ppe de la liberté de la preuve.

§. Le principe de la liberté de la preuve

Art L110-3 C.com => pose le ppe de lib de la preuve à l’égard de commerçant

La but c’est de permettre un dénouement rapide des actes de commerce

La preuve libre n’est pas exclusive d’autres mode de preuve. Il n’y a pas de hiérarchie des modes de
preuve, il est possible de combattre l’écrit par une autre preuve.

Autres conséquences de la lib de la preuve, il n’y a pas d’obligation du double écrit ni de la mention
manuscrite .
20

Il y a un allègement du formalisme pr les actes conclut par les commerçants.

§2. Le domaine du principe de la liberté de la preuve

Art 1378 CC => les registres et documents que les professionnels doivent tenir ou établir ont la même
force probante que les écrits sous signature privée. Sauf si il est prouvé que ces docs sont falsifié.
Cette article consacre la valeur probante des livres de comptes

La lib de la preuves est une règle de droit spécial

La preuve n’est libre qu’a l’égard du commerçant contre qui l’on veut prouver => ratione personae

Le commerçant qui prouve contre un nom commerçant, doit prouver selon le ppe du droit commun.

Pour le domaine ratione materiae => le ppe est d’application générale, l’application ne dépend pas
de la juridiction saisit, puisque c’est à l’égard de la personne.

Le ppe s’applique à tt les actes juridique soumis au droit commerciale, sauf limite expresse prévue
par le législateur. Par ex : la vente et le nantissement de fond de commerce pour ces opérations il
faut un écrit = dérogation au ppe de lib de la preuve.

Ces dérogations existe en raison des enjeu de ces opérations juridique, le but est de donné de la
sécurité juridique au parties, avec des preuves difficile à contester et contrôler le consentement.

Section 3. les règles du droit des obligation

Ce sont des dérogations au droit civil, souvent plus rigoureuse pr le débiteur. Le but est de donné de
la sécurité juridique au créancier et rendre plus rapide/ efficace les preuves et dans l’exécution des
obligations commerciales.

§.l’obligation aux dettes commerciales

A. La présomption de solidarité

Art 1310 CC pose le ppe en droit civil que la solidarité ne se présume pas en dehors de tt stipulation
des parties. En dt civil le débiteur peut opposer les régimes de division et de discussion. Alors que en
cas de solidarité se régime n’existe plus.

En droit commerciale, la solidarité est présumé entre codébiteur commerçants, tt les commerçants
sont tenus de façon solidaire et indéfini. C’est un usage commerciale conforté par la jp qui est
contraire au droit commun. On peut renversé la présomption de solidarité, notamment en ayant
recours aux stipulations du contrats.

B. La pratique de l’anatocisme

L’anatocisme permet la capitalisation des intérêt avant la première année. Cad que l’on ajoute à la
créance les intérêt des l’année en cours.

Ex : une créance de 1000€ qui en un an de non paiement produit 10% d’intérêt, ces intérêt s’ajoute à
la créance. Donc mnt la créance est 1100 et l’année d’après les intérêt son calculé sur 1100€.

La capitalisation des intérêt est interdit par l’art 1343-2 CC en deca d’une année.

Alors que en droit commerciale il est possible de capitaliser les intérêt immédiatement. Depuis 2016
quant le créancier est un particulier est des 4,16 % et quand il est un pro ou particulier agissant pr
des besoins pro l’intérêt est de 0,9%.
21

En droit commerciale, l’anatocisme se calcule au bout de 3 mois.

§2. Les conséquences de l’inexécution des obligations commerciales

Avant l’exécution des obligations commerciale devait se faire dans un délais de 10 ans avant d’être
prescrit. Aujourd’hui le délais se calque sur le délais civil, la prescription est de 5 ans.

A. L’assouplissement des règles de mise en demeure

Permet de constater l’inexécution de l’obligation = la mise en demeure, nécessaire avant d’engager


des voies d’exécution, notamment l’exécution forcée. Art 1231 CC

Dès lors que la mise en demeure est notifié au débiteur, les intérêt auto légale peuvent commencer à
courir de plus elle met la chose au risque du débiteur même si elle ne lui est pas encore livré.

En droit commerciale, les usages, n’exigent pas la mise en demeure.

B. L’absence de délais de grâce

En droit civil l’art 1345-5 CC permet au juge d’accordé un délais de grâce au débiteur, sans frais, au
regard des circonstance de l’espèce.

En dt commercial, les délais de grâce sont très rares. Et dans le code monétaire et financier des
articles vont préciser que les délais de grâce ne vont pas exister.

Ttfois des report d’échéance sont possible souvent pr les entreprises en difficulté, ce sont des règles
dérogatoires au profit des entreprise en difficulté.

C. Les sanctions de l’inexécution

En cas d’inexécution, plzr spécificité en droit commerciale. Il y a notamment réfaction du contrat, on


refait le contrat encas de mauvaise exécution du contrat, ex : l’objet livré ne correspond pas aux
qualité prévus, le juge ou les parties peuvent convenir à la baisse du prix. Le but est de maintenir les
contrats commerciaux qui s’engage en gnral dans la durée.

On peut aussi remplacer les choses de genre (les biens qui peuvent être remplacé par des choses
équivalente). On peut remplacer une chose de genre qui n’est pas de la bonne qualité. Ex : des
pommes livré en mauvaise état, peuvent être à nouveau livré en bonne état pr éviter la résolution du
contrat.

Chapitre 3. Les structures encadrant les activités commerciale

Section 1. les structures professionnelles

§. Les syndicats

Les syndicats patronaux regroupent les entrepreneurs selon leurs régions et leurs professions, ils ont
divers mission (défendre les intérêts des patrons, participer aux négociations politique, fournir des
études et des rapports, délivrer des parères, proposer à leurs adhérant, des contrats ou des formule
type pour faciliter leurs exercice). Tt les mesures d’ordre professionnels doivent respecter par le droit
des entente.

§2. Les organismes professionnels et interprofessionnel

Il réunissent des professions et ont des missions et prérogatives de puissance publique. Ils gèrent des
services et intérêt commun à plzr profession
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Ex : les ordres de métiers

§3. Les chambres de commerce et d’industries (CCI)

Art L710-1 C.com

Ils ont une fonction d’abord représentatives des professions commerciales

Elles ont un rôles consultatif, elles donnent des avis qui sont communiqué au pvr public. Elles ont un
rôle administratif, elles ont un rôle dans la formation professionnel. Elles ont aussi un rôle
d’assistance professionnel. Il y a une chambre de commerce et d’industrie par département ; mais ils
peut y avoir des aménagements dans les circonscriptions. Il y a aussi des chambres des métiers pr les
artisans qui ont des attributions comparables au CCI

Section 2. les structures administratives

Le PM = oriente la pol économique de la FR. le PM est rattaché au conseil d’analyse stratégique,


France stratégie qui orient les stratégies économique du GVT.

Le ministère des finance et de l’économie et se nombreuses directions qui ont un rôle de de


surveillance, de recommandations et d’enquête => ex : la DGCCRF, direction général du trésor, les
AAI.

Le conseil économique sociale et commerciale => régule la collaboration dans le monde commerçant.

Titre II. Les activités économiques lato sensu

Chapitre 1. Les règles de la concurrence

Définition : on a pas de déf juridique précise de la notion de concurrence, de ce fait e droit de la


concurrence lui-même est difficile à définir et à borner. Etymologiquement, l’idée de concurrence
vient du latin concurrere cad concourir, il y a un l’idée d’un rapport de rivalité qui va s’appliquer au
acteur économique. Toutefois la doctrine distingue concurrence et compétitivité. La concurrence est
l’état d’un marché sur lequel les acteurs peuvent s’il le veulent se faire de la concurrence, c’est le cas
des anciens marché qui faisait l’objet d’un monopole public. La compétition c’est lorsque les
opérateurs du marché se font effectivement concurrence, lorsqu’ils essaient de prendre des parts de
marché au autres opérateurs du secteur. La compétition c’est la concurrence en action.

Le fait qu’un marché soit ouvert à la concurrence ne veut pas dire qu’il y a compétition et le dt de la
concurrence vise à pousser les acteurs vers cette compétition.

Le dt de la concurrence est aussi politique et économique, il véhicule des idéologies, ce qui permet à
ce droit d’être en constante évolution sous tt les majorités politique. L’aspect économique implique
la nécessité de recourir parfois au spécialiste de l’économie pr appliquer le droit de la concurrence.

Section 1. les origines du droit de la concurrence

§. Les premières approche des bienfaits de la concurrence

La notion de concurrence est ancienne dont on a cerné les bienfaits il y a déjà longtemps. Jared
Diamond (anthropologue) théorise le fait que les civilisations progresse plus vite et plus efficacement
dans la concurrence ; que les civilisations en autarcie qui progresse plus vite dès qu’il s’ouvre. Dès
l’antiquité on remarque que la fermeture à la concurrence , l’accaparement , est néfaste au plus
grand nmb. Car on crée la rareté de façon artificielle ce qui demande notamment une augmentation
23

des prix. Dès le XVIème siècle on note des lois anti-accaparement comme les lois pour cassé le
monopole « statutes of monopolies ».

A partir du XVIIIème siècle on invente l’économie politique, cad les moyens que le politique peut
mettre en place pr l’allocation optimale des ressources. Et on remarque vite notamment avec
A.Smith et la doctrine des physiocrate que la concurrence permet d’arriver à une régulation [cf : la
fable des abeilles de Mantville] bénéfique pr le bien commun.

Chez Dupont de Nemours il ya l’idée que lorsque l’on entreprend, on entreprend faire fortune et que
la concurrence permet de sélectionné les entreprises profitables. Et la concurrence permet au
producteur de mettre en place un produit de qualité et au consommateur d’avoir le choix des prix et
du rapport qualité prix.

En résumé la concurrence permet que l’activité des entreprises bénéficie au plus grand nmb

§2. L’histoire contemporaine du droit de la concurrence

Cette histoire commence après la rev fR avec deux ensemble deux règles. Premièrement les règles
qui réprime les coalition, l’action pr des acteur de se regrouper pr créer une rareté artificielle de
produit pr augmenter les prix (ancien art 419 CP). Ces coalitions ressemble à notre droit des
ententes. Deuxièmement la jp crée des règles pr lutter contre la concurrence déloyale, sur le
fondement du nvlle art 1240. Ce droit de la concurrence permet de réguler la lib des opérateur pr ne
pas qu’elle dégénère en abus de droit. Ce droit existe encore.

Au EU va naitre un autre droit de la concurrence à la fin du XIXème siècle qui va influencer le dt FR. à
la fin du XIXème siècle au EU on est dans une période de progrès économique rapide, si bien que
c’est uen période de sur capacité, ils produisent trop et trop vite, il y a bcp d’offre et pas assez de
demande. Le prix des produit diminue et les marges des produit aussi. Certaine entreprise
américaine se regroupe via le Trust (la fiducie), pr limiter la production. Ces entreprises vont cédé
leurs part sociale pr créé une administration commune, le conseil du trust présidé par les chef
d’entreprise, les entreprises agissent de concert. Les prix vont finalement augmenté au détriment du
plus grand nmb et le pvr de ses trust est si fort que ils peuvent faire pression sur les autorités
politique. On prend cse qu’un pvr économique trop puissant déstabilise les démocratie

Le Sherman act => première loi anti trust de 1890 en réaction.

Idéologiquement la doctrine de l’ordo libéralisme, est fondateur du droit de la concurrence en


europe. Cette doctrine nait dans les années 20 en Allemagne. L’économie allemande est alors
libérale, si bien que il y a aucune régulation. Et comme aux E.U les entreprises se regroupent dans
des cartels= comme les Trust. Lorsque Hitler arrive au pvr, il est soutenu par les PME allemande, mais
il se rend compte que il faut pr contrôler l’économie allemande qu’il mette la main sur les cartels. Les
économiste de l’école de Fribourg se rendent compte de la dangerosité des économie non régulé, en
tant que lorsque il y a des coalition et que se coalition s’allie avec des force politique, ils faussent le
jeux de la démocratie. L’ordo libéralisme, c’est l’intervention de l’Etat pr bâtir un ordre libéral qui
fonctionne.

Le gouvernement provisoire de GDG prend des décision au lendemain de la IIGM pr reconstruire


l’économie française. Ces ordonnances mettent en place un système d’économie administré, une
autorité admin qui contrôle que les prix ne sont pas trop élevé, les prix ne sont pas libre. On trouve
des traces de ses pratique dans e droit ajd des pratique restrictives de la concurrence et de la
transparence. Ce dt est utilisé pr contrôler les relation entre les acteur de distribution agro-
alimentaire et leurs fournisseur.
24

Les origine du droit de la concurrence sont varié, et en raison de cette variété, la doctrine a des
difficultés à définir le droit de la concurrence.

§3. Les différentes branches du droit de la concurrence

On peut classer le droit de la concurrence en fonction qu’elle soit d’origine européenne ou FR. le
droit européen vise au bon fonctionnement du marché, il protège le mécanisme de concurrence et
non pas les concurrent eux même. Dans ce droit on trouve : les aide d’Etat (contrôle de l’intervention
de l’état, pr que l’état n’interviennent pas dans l’économie et avantage des économies par rapport à
d’autres), le contrôle des concentrations (impose au entreprise qui veulent qe rapproché
économique à partir d’un certain niv de concentration de demandé au autorité de régulation de la
concurrence), et la répression des pratiques anti concurrentielles (les ententes, les abus de position
dominante, et l’abus de dépendance économique). => art L420-1 et suivant C.com. de droit
d’origine FR à pr finalité de protéger les concurrent les plus vulnérable, pr installé une relation de
loyauté et d’équilibre dans l’économie, on y trouve le droit de la concurrence déloyale, le droit de la
transparence et les pratiques restrictives de concurrence ( à ne pas confondre avec a répression des
pratiques anticoncurrentielle)=> art L441-1 et L442-1 et suivant .

Section 2. les notions du droit de la concurrence

§. Les notions du droits des pratique anticoncurrentielles

A. L’entreprise

Elle comprend le commerçant, prs physique ou morale et tt type d’opérateur économique. Il


s’applique aux entreprise, selon une notion très élargit.

La notion d’entreprise délimite le champs d’application du droit des pratiques anti concurrentielles

L’entreprise c’est « tt entité exerçant une activité économique indépendamment de sa nature


juridique de son mode de financement et de sa nationalité » CJCE 12 juillet 1984 « hydroterm c/
compact »

De plus l’entreprise doit être indépendante. C’est-à-dire agir d’une seule volonté. (ex : des filiale qui
agissent de concert avec une société mères est considéré comme une seule entreprise).

Le droit de la concurrence est applicable très largement et dépasse le domaine stricte de la


commercialité.

Ttfois certaine activité correspondent à cette déf ne sont pas soumis au droit de la concurrence,
comme les activité typiquement de puissance publique . ces activité ne sont pas économique. Il y a
aussi les activité dit exclusivement sociale, CJCE 17 fev 1993 « poucet et pistre » par ex l’activité de
couverture du risque maladie est une activité exclusivement sociale notamment par le fait que la
sécu repose sur la solidarité nationale et de plus on reçoit que selon ses besoins.

B. La restriction de concurrence

Cette notion est imp mais difficile à définir. Les pratique anticoncurrentielles sont interdite du fait
qu’elle restreignent la concurrence. Cad que lorsqu’une pratique restreint la concurrence elle et
illicite. Est une restriction de concurrence ce sui porte atteint à l’objectif de protection du
consommateur. Donc pr qualifier la restriction de concurrence il faut regarder l’objectif de la
pratique en cause. Pr ce faire on pratique à une analyse économique des pratiques en causes et
tente de voir si la pratique a eu un impact sur la pratique en cause, ils mettent en place un scénario
contrefactuel qui établit les conditions du marché cad que on compare la situation réel du marché
25

avec la situation du marché sans la pratique supposé anticoncurrentielle. Le pb c’est que en fonction
du scénario que l’on prend on arrive pas au même résultat, du coup il y a des désaccord entre les
économiste. La complexité de ce droit c’est que l’on dépend des économiste pr savoir ce qui est
licite ou pas

Pr prouver la pratique anticoncurrentielle on effectue une démarche en deux temps d’abord l’objet
anticoncurrentielle et en l’absence d’objet on s’intéresse au effets concurrentielle.

 Objet concurrentielle : il suffit que cet objet soit présent pr pouvoir présumé qu’elle
aura un effet nocif. C’est une présomption empirique de nocivité. C’est une règle de
preuve.

Ex : affaire diddl -> entente verticale par objet (il y a un rapport hiérarchique), la société imposait au
revendeur un prix minimum (objet concurrentielle) , il y a pas de possibilité de baisser les prix néfaste
pr les consommateurs. Com 7 oct 2014

L’effet concurrentielle constitue à démontrer par analyse économique de l’effet que dans le cas
d’espèce il y a eu un effet néfaste concrètement dans la pratique. L’effet doit être suffisamment
sérieux pr intéressé les autorité de concurrence.

Ces notions son commune aux ententes et aux abus de position dominante

C. Le marché pertinent

Cette notion permet de délimité le pouvoir de marché d’une entreprise sur le marché en question. (
si l’entreprise agit sur un grand marché, son pouvoir même fort ne pourra pas déstabiliser le marché,
alors que si le marché est petit une entreprise forte peut déstabiliser facilement un marché) .

On est sur un marché pertinent quand les produit et les services sont substituables les unes au autres
parce qu’ils répondent aux même besoin.

Pr savoir si un produit ou un service est substituable, d’abord en délimitant le marché du produit (les
prod substituables) ou du service puis en délimitent le marché géographiquement pertinent.

Pr délimiter le marché du produit, on cherche les caractéristiques technique et les conditions


d’utilisations. Et parfois les stratégies de commercialisations. Pr prouver que le produit n’est pas
substituable à un notre.

D. Les ententes

La répression des ententes est une préoccupation centrale dans tt économie libérale, il y a eu un
quasi consensus mondiale pr réprimé les ententes = 169 pays. Le droit fr et le droit européen réprime
les ententes.

Le droit des ententes repose sur trois pilliers :

 Le ppe d’interdiction
 Les accord anticoncurrentielles sont absolument nulle
 Exemptions quant les accords ont un effet positif pr l’économie.

L’entente est une infraction, consistant à une coordination entre entreprise, qui fait que l’entreprise
ne détermine plus indépendamment leurs politique, dès lors il y a pas vraiment d’indépendance, les
politiques commerciales sont déterminé en fonction des autres entreprise du marché, ce qui a pr
conséquence une restriction de la concurrence.
26

Il y a trois type de manifestation de l’entente :

-l’accord , en tant que contrat , c’est-à-dire une manifestation univoque de volonté. Ou un gentleman
agreement, c’est un accord moral, tacite, qui se prouve par dénonciation.

-la décision d’association d’entreprises : un regroupement d’entreprise, ce sont des regroupement de


professionnel (comme les ordres de métier). Le pb c’est lorsque c’est association d’entreprises
prennent des décisions qui uniformise les pratique sur un marché ; quand cette décision représente
pr le droit de la concurrence une coordination de la volonté de tt les membres.

-la pratique concerté : « vise une forme de coordination entre entreprises qui, sans avoir été poussé
jusqu’à la réalisation d’une convention proprement dite , substitue sciemment une opération
pratique entre elles au risque de la concurrence » CJCE 16 dec 1975 « suiker unie ». => c’est une
forme d’accord allégé , quand on ne peut pas prouver l’accord maison remarque un parallélisme de
comportement pr nier la concurrence.

Il y a différend type d’entente possible, il y a les ententes horizontales (ex : cf : « cartel du club
lombard » CJCE 24 sept 2009), ententes vertical (cf : affaire des cuves du 1992)

-l’exemption, possible si l’opérateur montre que l’entente à une conséquence positif pr l’économie.
On a les exemptions par catégorie (exemptions général pr une catégorie d’accord) et les exemption
individuelle (exemption au cour d’un procès au cas par cas)

E. Les abus de position dominante

L’abus de position dominante est l’un des deux abus de domination, il est prévu art 402-2 al 1 C.com
et 102 TFUE.

C’est lorsqu’une entreprises puissante domine un marché. Il faut la distinguer de l’abus de


dépendance économique cad que l’entreprise abuse de sa position dominante dans ses relation
d’affaire.

C’est une entreprises puissante qui va abuser de son fort pouvoir de marché, soit pr son propre
avantage, soit pr évincé les concurrent. Il faut pr qualifier cette infraction, il faut établir l’existence de
trois éléments, une position dominante, un abus, un objet ou effet anti concurrentiel.

La position dominante est établit par un faisceau d’indice qui permettent de voir le très fort pouvoir
de marché.

Depuis plusieurs décennie on observe un durcissement dans la politique de repression de la position


dominante, surtout en dt euro. Cela tient à plzr évolution. D’abord depuis la IIGM on observe, avec
les trentes glorieuse et la mondialisation, une concentration progressive du pvr économique. Ensuite
dans les années 90 bcp de secteur ont été ouvert à la concurrence et les opérateurs traditionnel et
public ont été privatisé. Le monopole public avec un opérateur unique a pris fin avec l’ouverture à la
concurrence. Mais tjr ces opérateur ouvert à la concurrence reste puissant et dominant sur le
marché. Et enfin, la croissance de l’économie numérique, avec des marché très dynamique sur
lesquelles on observe souvent des phénomène de concentration très rapide du pvr économique du
marché (ex : UBER, entreprise destructive en tant qu’il a cassé le marché par l’innovation = la
puissance de l’innovation maggle).

§. Les notions du droit des pratiques anticoncurrentielles

La position dominante signifie que l’entreprise n’est pas astreinte par la concurrence, son
comportement n’a pas à prendre en compte la pression concurrentielle.
27

Il y a une présomption de position dominante en cas de monopole. Si il y a pas de monopole on peut


regardé l’importance des part de marché, si la part de marché est très importante même par rapport
aux autres entreprise du marché on peut qualifier la position dominante ; ou encore la notoriété de
la marque, les moyens financier nécessaire pr l’entrée sur le marché qui protège l’entrée à la
concurrence, l’avance technologique => faisceau d’indice pr qualifier la position dominante. Via des
indication économique.

Le fait d’être en position dominante n’est pas problématique. Le pb c’est l’abus.

Il y a pas de def légale de l’abus ; elle va en fait se constituer par un certain nmb de pratique : ex le
refus de vente, les conditions de vente discriminatoire, rupture de relations commerciales établies
ect…

Ces pratique ne sont pas réprimé lorsqu’il y a pas de position dominante mais on considère que
l’entreprise en position dominante à une resp particulière de ne pas heurté les mécanisme de
concurrence.

On trouve deux type principale de d’abus de position dominante : l’abus d’éviction et l’abus
d’exploitation.

L’abus sur un marchée connexe, c’est lorsqu’une entreprise est dominante sur un marché mais utilise
cette domination sur un marchée connexe à ce marché principal, notamment en utilisant la notoriété
et la puissance économique de l’entreprise mère.

Cf : EDF et l’affaire de l’électricité photovoltaïque.

§2. Les notions de droit des pratiques restrictive de concurrence et de la transparence

Titre IV, livre IV C.com

A l’origine se droit a été fait pr s’appliquer à la grande distribution et favoriser, encadrer leur relation
de négocier vis-à-vis de leur fournisseur.

Ce droit essaie de donner au parties faibles une certaine visibilité du marché. En favorisant autant
que faire se peut les négociation. Le pbut c’est d’anticiper le déséquilibre de la négociation, d’une
part en redonnant du pvr de négociation au parties faible, et d’autre part pr permettre à l’admin de
contrôler l’équlibre de négociation.

C’est un droit moins économique que le droit des pratique anticoncurrentielle, on a pas à prouver
l’effet ou l’objet anticoncurrentielle sur le marché

A. Les conditions générale de vente

La négociation doit se faire à partir de ses conditions et seulement à partir de ses conditions. C’est les
socle unique de la négociation commerciale. On ne peut pas ajouter d’autre doc à se conditions, mais
on peut en négocier les clauses.

Ces conditions contiennent en gnral le prix, les conditions de vente, les réductions… se sont des
mentions obligatoires

B. La rupture brutal d’une relation commerciale

Art L442-6,1, 5° => interdit la rupture brutal. C’est-à-dire une rupture qui ne prend pas en compte un
préavis suffisant en fonction de la durée de la relation.
28

En théorie cette article s’applique très largement. A l’exception des médecins et des notaire : Com.23
oct 2007 et Com 20 janv 2009.

Pr les conditions d’application :

- Il faut une relation commerciale, qui au sens du dt de la concurrence est bcp plus souple que
la relation contractuelle.
- rupture totales ou partielle
- Rupture brutale : non respect d’un délais de préavis

C. Le déséquilibre significative

Interdit de soumettre ou de tenter e soumettre un partenaire commercial à des dt et obligations qui


créent un déséquilibre significatif. A la base cette disposition est fait pr limiter les abus de la grande
distribution, mais le texte lorsqu’il est libellé ne s’applique pas que au contrat de grande distribution ;
il connaît une application bcp plus large.

En théorie le juge peut remettre en cause tt les contrats entre pro sur le fondement de se texte ;
mais en pratique l’application est plus prudente , le juge va recherché une infraction manifeste. En
même si ce n’est pas une condition théorique en pratique l’application se fait en gnral pr les contrat
de distribution.

§3. Les notions de droit de la concurrence déloyale

Ce droit résulteen grande partie de la JP mais c’est largement appliqué. Le ppe c’est la liberté
concurrence mais c’est un ppe aménagé que l’on nomme de licéité de la concurrence. L’illécéité de la
concurrence, c’et l’abus, c’est la concurrence déloyale.

C’est un droit extrêmement appliqué qui est invoqué à titre subsidiaire pr conforter une argument
principale du droit spécial (ex : un concurrent qui copie ; à titre principale on invoque le droit de la
propriété intellectuelle et à titre subsidiaire on invoque le droit de la concurrence déloyale pr
parasitisme) .

Ce droit s’applique aussi entre non concurrence, car sa finalité est la protection des mécanisme de
marché. Il a des fonction large de régulation du marché.

A. Le dénigrement

Les agissement qui tendent à jetter le discrédit sur un concurrent ou sur les produit fabriqué.

Le fait de porte atteintes à l’image de marque afin de détourner la clientèle de manière à touché les
client de l’entreprise visée concurrente ou non => CA Versailles 9 sept 1999.

Le dénigrement peut s’appliquer à des non concurrent (ex : assoc de consommateur)

Toutefois le dénigrement doit s’articuler avec la liberté d’expression. L’appréciation se fait au cas par
cas.

CA Paris 9 dec 1992 => « excède les limites de la libre critique » le propos ou la critique
excessivement général. Qui dépasse le caractère circonstancier.

CF : affaire du Beaujolais de 2005 => dans un contexte de débat public qui fait vivre le débat
démocratique, la critique n’est pas disproportionné car le débat public peut supposer un peu
d’exagération.
29

B. La désorganisation

C’est une catégorie très large, qui recouvre tt les agissements qui vont perturber soit le
fonctionnement d’une entreprise, soit le fonctionnement du marché. Ce sont des pratiques qui ont
pr objet ou pr effet de désorganiser le fonctionnement de l’entreprise ou du marché.

Il s’agit de perturber l’organisation ou le processus de production de l’entreprise.

Ex : le concurrent qui débauche tt les salariés les plus expérimentés d’une entreprise/ le fait qu’un
salarié mène une cat concurrente à son ancien employeur et prend sa clientèle/ la divulgation de
secret de fabrication

Quant à la désorganisation du marché cela se manifeste par la violation d’une réglementation légale.

C. Le parasitisme

Le parasitisme c’est le fait pr un tiers de vivre en parasite dans le « sillage » d’un autre en profitant
des efforts qu’il a réalisée et de la réputation de son nom et de ses produites.

On distingue la concurrence parasitaire, cad un concurrent qui en imite une autre pr profitée de sa
renommé ; et l’agissement parasitaire qui est le fait de parasité une entreprise qui n’est pas son
concurrent.

Cf : CA paris 15 décembre 1993 « Champagne Yves Saint Laurent ».

Cette distinction est purement doctrinal, elle n’a pas d’influence en pratique. La jp ne s’encombre
pas de cette classification doctrinal.

Cette action est svnt invoqué de façon supplétif ou complétif.

Cf : CA Paris, 9 octobre 2012 (litige entre Dior et la société Feragamo)

En fait le parasitisme dépend du critère d’originalité, dès lors que le produit est assez original pr que
le client moyen puisse reconnaître l’opérateur. Il faut que l’originalité exclue le risque de confusion

Section 3. les contentieux du droit de la concurrence

§.les procédures administratives

I. Pouvoirs de l’autorité de la concurrence et de la commission européenne


a. La procédure de régulation

Avant le pb de concurrence l’entreprise doit demander l’autorisation pr les aides d’Etat et les
concentrations

b. Le contentieux répressif

L’autorité de la concurrence et la commission européenne ont de larges pvr de répression : mesures


de conservations, amendes et injonctions.

Cf : Aut.conc 30 juillet 2014 (droit de diffusion du Top 14).

TPICE 17 sept 2007 aff Microsoft

Comm.UE 19 juillet 2016 (cartel de camion) => amende records 2 ,9 milliard€


30

3. Le ministère chargé de l’économie et ses agents


a. Pratique anti concurrentielle locales

Il a une compétence pr les petites pratiques anticoncurrentielle. Cela évite de passer par une longue
procédure et de bénéficier de transaction.

b. Les infractions aux titre IV

La DGCCRF bénéficie de nv pvr depuis les lois Macron et les lois Hamon ; ils diposnsent notament de

Moyen de contrôle

§2. Les contentieux privés

C’est un contentieux donnant lieu à réparation, nullité ou en urgence.

Le contentieux en nullité se retrouve souvent dans la grande distribution. Alors que le contentieux en
réparation est plus rare mais plus médiatique car donne lieu à de grosse condamnation. Le
contentieux d’urgence, se déroule devant le juge des référés.

Le contentieux des pratique restrictives et de la transparence que l’çn peut qualifier ‘hybride. C’est à
la fois un contentieux de la réparation et de la nullité mais aussi un contentieux répressif en tant que
les pratiques restrictives de concurrence sont sanctionnés par des amendes devant le juge civil et
non le jge pénal.

Le contentieux de la concurrence déloyale est aussi un contentieux hybride, mais ici la fonction
répressive est souterraine ; mais une forte propension indemnitaire.

§3. Les contentieux pénaux

Ce sont des contentieux assez rare, ce n‘est pas un risque élevé pr les entreprises. On retrouve bcp
de mesure pénaux notamment dans le titre II et titre IV du code de com.

Chapitre 2. Les règles de la consommation

C’est droit incontournable dans la matière des affaires. Dans son objectif le droit de la consommation
protège le consommateur. Et en ce sens participe à la régulation du marché.

Le droit de la consommation veut appréhender les contrats déséquilibré entre consommateur et


professionnel.

Section 1. les origine du droit de la consommation

§. L’histoire du droit de la consommation

Historiquement le dt de la conso à pr but d’appréhender l’asymétrie contractuelle. Le contrat


d’adhésion est l’exemple type du contrat de consommation. C’est dans les années 60 avec l’essor de
la soc de consommation que le contrat de consommation sera régit par des règles propre.
L’émergence des grands grp de la distribution, incontournable mais plus fort que les consommateur,
naissent alors des contrats d’adhésion presque obligatoire et on a besoin de protéger les
consommateur de ces asymétries.

Les premières lois de consommation en FR ont lieu dans les années 70 et 80

§2. Les source du droit de la consommation


31

Les sources sont en grande parties européenne. Dans les années 50 à la formation des communauté
européenne, il y a pas de disposition concernant les consommateurs. L’impératif de protection de
consommateur donne naissance au programme de protection des consommateurs en droit de l’UE
fondée sur cinq piliers

 Santé sécurité
 Intérêt économique
 Réparation des dommages
 Information et éducation
 Droit à la représentation

Ces sources elles mêmes sont précisé par des textes de droits dérivé ; ce sont principalement des
directives, mais aussi des règlements.

Si l’UE a mis au cœur de sa politique la protection des consommateurs, ce n’est pas exclusif de la
compétence du législateur national. On a donc des sources interne du droit de la consommation. Les
premières lois datent des 1970 à 1980 ainsi que des ordonnance, comme celle de 2001 sur la
publicité comparative ; et la réforme du 1er Juillet 2016.

Le droit de la consommation depuis la réforme de 2016 se retrouve dans le code de la


consommation.

Le droit de la consommation est varié, il est jalonné par ex d’infraction pénale, des règles de
procédure de droit judiciaire et aussi des règles de droit admin. De plus on a des règles qui sont en
dehors du code de la consommation.

§3. Les objectif du droit de la consommation

L’objectif premier du droit e la consommation est de protéger les consommateur, avec derrière des
intérêt politique, économique et sociaux. Notamment une meilleur répartition des ressources. Le but
est aussi d’améliorer la représentation des consommateur, au biais des associations de
consommateurs. L’objectif secondaire est fondée sur la mérite de l’entreprise, c’est seulement
l’entreprise la plus méritante qui reste sur le marché . il y a un lien entre la politique de
consommation et l’idée d’un marché européen plus performant.

Section 2. les domaine du droit de la consommation

Sont couvert par le droit de la consommation quasiment tt les acteurs possible.

L’ordonnance de 2016 fait une distinction tripartite entre le consommateur (peut se prévaloir de tt
les dispo protectrice du code de la consommation), le professionnel (est obligé par le droit e la
consommation)et le non professionnel (bénéficie d’une protection limité, ne peut se prévaloir des
dispo du code que si la disposition le précise)

Au sens du droit de la consommation, le consommateur est une personne physique alors que le non
professionnel est une personne morale.

§. Le consommateur

Le droit de la conso protège les personne physique


32

Est une prs privée qui n’agit pas à des fins économique=> depuis la directive 2011/83. L’article
liminaire du code de la consommation reprend en substance la définition du consommateur en y
excluent les activité commerciale industrielle artisanale, libérale et agricole.

L’action du consommateur consiste à se procurer un bien ou un service par une autre personne en
gnral professionnel. => cette action donne lieu à des contrats de consommation. L’action doit être
effectué dans le cadre de l’activité privée du consommateur. La qualité de consommateur dépend de
la finalité de cette action.

Une ancienne JP autorisait le professionnel profane (le pro qui agit en dehors de sa consommation,
genre l’agriculteur qui souscrit à une assurance) qui contracte pr son activité pro, à se prévaloir des
règles protectrice du droit de la consommation. Ttfois ils ne pouvait pas s’en prévaloir si le bien ou
service qu’il se procure avait un lien direcet avec leurs activité (un medecin qui achète du matériel
médical). L’idée est que le pro profane est dans la même situation que le consommateur, une
situation d’assymétrie, puisqu’il ne s’y connaît pas dans le domaine. Cette Jp n’est plus valable d’un
pdv doctrinal depuis l’ordo2016

§2. Le professionnel

Prs physique ou morale, publique ou privée qui agit au fins entrant dans le cadre de son activité
économique, y compris lorsqu’il agit au nom et pr le compte d’un autre professionnel.

Concernant le caractère lucratif de l’activité, avant ce n’était pas un critère. Donc une coopérative ou
une association qui n’ont pas d’objectif lucratif était considéré comme des professionnel ; parce
qu’elle remplissait le critère de l’asymétrie avec le client. Mais doctrinalement il y a une incertitude
sur la maintient de ce critère.

Certains SP sont soumis au droit de la consommation tel que les EPIC, mais ce n’est pas le cas pr les
SP qui n’exercent pas leurs missions dans un cadre commercial.

§3 le non professionnel

Ce sont des prs morales. Il sont destinataire des règles d protection du code de la consommation
seulement si le législateur le prévoit car ils ne se trouvent pas la même situation de faiblesse que le
consommateur.

La jp interprète la loi strictement à ce sujet en tant qu’elle considère que si les texte s’adressent
uniquement au consommateur, le texte sera inapplicable au non professionnel.

On abandonne le critère du rapport direct à l’activité.

Le nom professionnel

Section 3. les méthodes du droit de la consommation

§. L’omniprésence de l’ordre public

Le droit de la consommation repose bcp sur l’ordre public et bcp de règle de se droit ne sont pas
supplétif, c’est-à-dire que l’on ne peut pas y déroger par contrat. Le juge a de large pouvoir dans
l’exercice de cette mission, il manie très largement la « sanction du réputée non écrit », le contrat est
maintenu au bénéfice du consommateur mais il est expurgé de la clause illicite. Le juge est obligé de
relevé d’office une clause abusive en droit de la consommation (pas en droit civil).

De plus la lourdeur du formalisme obligatoire permet de contrôler que le consommateur est au


courant de ce à quoi il s’engage (différent du consensualisme en droit commun).
33

Les mesures curatives permet de remédier à l’abus du professionnel une fois survenu

§2. La combinaisons de mesures préventives, curatives et répressives

CF :slide du prof.

§3. L’essor d’une approche collective de la défense des consommateurs

A cotée de la défense individuel, le législateur essaie de favorisé une défense collective via
notamment les association de consommateur qui a des moyens plus efficace que le consommateur
seul. De plus le légis essaie d’opter pr une meilleurs appréhension du préjudice de masse.

On relève trois type d’action pr l’intérêt collectif :

 L’action en cessation et en défense d’intérêt collectif

Permet aux associations de consommateur de demander au juge de faire cesser la mesure qui porte
préjudice à l’intérêt collectif (suppression de la clause abusive)

Cette action peut aussi permettre à l’association de demander la réparation du préjudice collectif.

 L’action en représentation conjointe

Permet de défendre l’intérêt indiv d’un consommateur. Un consommateur peut donner un mandat à
une association pr défendre ses intérêts, l’association collecte des mandats pr défendre en une
action l’intérêt de chacun.

On ne peut pas demander des mandats par publicité => pas très efficace du coup

 L’action de groupe

Art L623-1

Permet de réparer les conséquences des infraction prévu dans le code de la consommation ou du
code de …

Permet de pallier les insuffisance de l’action en représentation conjointe. Elle permet de regrouper
des consommateur mais on peut faire de la publicité.

Les dommages et intérêts son versé directement au consommateur.

Depuis deux an et demi qu’elle est en vigueur 9 action ont été engagée mais aucune n’a pour
l’instant aboutit.

Chapitre 3. Les règles du commerce électronique

… (pas traité en cours)….

Partie 3. Les biens de l’entreprise


34

Ce sont les biens nécessaire à l’activité quotidienne de l’entreprises. En tant que prs juridique
derrière l’entreprise il y a un patrimoine composé de bien immeuble et de biens meuble (corporel et
incorporel). Le commerçant de droit dispose de deux mécanisme protecteur, ce sont deux biens de
l’entreprises essentiel à son activité, le fond de commerce et le droit au bail (propriété commerciale).

Le droit au bail permet à commerçant de maintenir son commerce dans un lieu auquel ces client son
attaché.

On note un phénomène d’extension des protection du commerçant aux autres profession


économique.

Titre I. les fonds

Chapitre 1. Le fonds de commerce

C’est un avantage du commerçant de droit que de ce prévaloir du statut de protection du fonds de


commerce. C’est un bien meubles incorporé mais qui a une valeur. C’est un élément si important
dans l’activité commerciale qu’il existe dans la pratique, depuis le XVIIIème siècle, avant même d’être
consacré par le législateur par la loi du 17 mars 1909 dite « loi Cordolet ». modifié à plzr reprise par la
loi de 1956 sur le mécanisme de location gérance et la loi de 1991 sur le nantissement du fond de
commerce.

Comme il s’agit de règle de droit spécial, lorsqu’il y a un vide juridique on se réfère au droit commun
du code civil, soit au droit commun des contrat ou des contrat spéciaux.

Section 1. la notion de fonds de commerce

Il y a une difficulté à définir le fonds de commerce, il y a pas de définition légale. Mais dans la loi de
1909 on a des indices (art L141 et suivant C.com) sous forme de liste d’élément du fonds de
commerce distinguant les éléments incorporel et corporel.

§. L’utilité du fond de commerce

Def : « la réunion de bien nécessaire à la mené de l’activité commerciale »

C’est un élément de valorisation de l’activité et de protection du commerçant.

En tant qu’élément dévalorisation, le fond de commerce permet de tiré du crédit ou un prix en cas
de vente.

En tant qu’élément de protection, notamment vis-à-vis du droit de la concurrence déloyale. En


établissant la valeur du fonds de commerce on peut le protéger par une action en concurrence
déloyale.

Le fonds de commerce permet une forme de stabilité de l’activité. Cette stabilité permet quant à elle
de transmettre le fond de commerce aux héritiers.

Pr le créancier c’est aussi un bien intéressant car on peut y constitué des sureté. De plus les
opérations autours du fonds de commerce sont soumis à des règles de formalisme qui protège le
créanciers en assurant sa bonne information. C’est un bien saisissable même en dehors de tt
opération de sureté, pr le créancier chirographaires, car c’est leurs droit de gage générale.

Pr l’admin fiscale, le fond de commerce permet de prélever des droits de mutation en cas de
cession.
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§2. Les éléments constitutifs du fonds de commerce« le fonds de commerce est constitué par des
biens mobiliers affecté à l’exercice des activité commerciales. Il comprend obligatoirement une
clientèle. »

La doctrine voit le fonds de commerce comme le pilier du fond de commerce.

« les fonds de commerce apparaît finalement comme u bien composé de divers éléments unis par
une même affection qui est le développement d’une activité commerciale » .

Le fonds de commerce ne se confond pas avec l’entreprise commerciale, mais ils en fait parties. Ce
n’est pas non plus le patrimoine de l’entre prise car ce n’est pas le seul élement necessaire à son
fonctionnement.

Il faut voir l e fonds de commerce comme un bien de l’entreprise, cad un obbjet de droit et pas un
sujet de droit.

A. Les éléments incorporels

Ces éléments détermine la valeurs du fonds de commerce (C.com art L142-2 liste des éléments
incorporel)

La jp ajoute d’autre éléments incorporel à cette liste tel que les médailles, les récompense, les
secrète de fabriques et autre savoir faire, les certificats d’utilité, le contrat d’hébergement ….

1. La clientèle

C’est un éléments essentiel puisque le fond de commerce n’existe pas sans clientèle . c’est de
l’existence de la clientèle que se déduit l’existence du fonds (Req. 15 fev 1937). De plus s’il y a
cession du fond de commerce la cession de la clientèle est indispensable (Com. 13 fev 1988).

La clientèle donne sa valeurs au fond, d’une part quant à l’attachement de la clientèle du fonds et à
la perspective de chiffre d’affaire qui nait de cette attachement. Cette attachement est en lien avec
la perspective de chiffre d’affaire. C’est le pvr attractif exercé sur le client qui fait la valeurs du fonds
de commerce.

S’il y a une pluralité de clientèle attaché à un lieu distinct alors il y a pluralité de fonds de commerce.

On distingue la clientèle de l’achalandage. Il y a un débat doctrinal sur cette distinction. Il y a une


proposition en doctrine qui consiste à dire que c’st notion sont pareille. Mais un autre pdv présente
au moins deux distinction possible. En tant que la clientèle serait un regroupement de client
habituelle ; et l’achalandage serait les clients de passage. Cette distinction n’est pas reçu par la Jp.
L’autre distinction consiste à voir la clientèle comme les client actuelle et effectif, tandis que
l’achalandage serait les clients potentiel, dont la venu est anticipé par analyse d’éléments objectif.

« il y a pas de différence de nature entre la clientèle et l’achalandage, la différence est d’ordre


temporel »

La JP attache une imp à cette distinction notamment quant à la notion de clientèle potentielle. En
apparence la JP est confuse.

Com 31 mai 1988 => une boutique de livre et d’album pr grossiste. Fait une cession de fonds de
commerce comprenant le droit au bail, le nom commercial et l’chalandage mais pas la clientèle déjà
cédée par la vente du fichier client dans une précédente opération. Est-ce que la cession est valide la
seconde fois ? non, en dépit de la présence d’une zone de foret achalande, la cession est invalide
parce que le fond a déjà été cédé, « il n’y a pas de fonds de commerce lorsqu’il n’ y a pas ou lorsqu’il
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n’y a plus de clientèle qui se trouve attaché. ». imposibilité de céddé distinctement la cleintèle et
l’achalandage.

Civ 3ème 15 sept 2010 => commerce de vente d’article et de souvenirs religieux à Lourdes pr les
pèlerins. Le commerçant décède donc son activité est resté sans exploitation. Mais le propriétaire du
local commercial veut récupéré son local. Normalement le propriétaire qui résilie le contrat de bail
commercial, doit versé une indemnité. La cass considère que l’interruption temporaire de l’activité
n’affecte pas l’achalande attaché au fonds lorsque l’activité concerne en quasi-totalité une clientèle
de passage. La Cour reconnaît l’existence de l’achalandage quand on est dans une zone de passage et
il y a pas besoin de clientèle effectif.

La notion d’achalandage est reconnu par la JP pr attesté de l’existence du fonds lorsqu’il est situé
dans une zone de fort passage.

Com, 27 fev 1973 => une station service avait été mise en location gérance, et l’exploitant contestait
l’existence d’un fond de commerce en tant qu’aucune clientèle était attaché à la station lorsqu’il a
commencé à exploité la station. La cass répond que le local commercial se trouve dans une zone de
fort achalandage où les client ne sont pas attaché à la prs du commerçant . l’existence du fonds
conforte la réalité de la clientèle.

2. Le nom commerciale et l’enseigne

Appellation sous laquelle le commerçant exerce son activité.

Lorsque l’on affecte un nom à une activité commerciale cela contribue à sa patrimonialisation,
protégé par le droit de la propriété intellectuelle et le droit de la concurrence déloyale. Un ecation
peut être intenté dès lors qu’il existe un risque de confusion des noms. Le juge du fond utilise une
analyse concrète du risque de capter la clientèle. Cela renvoi à l’idée de l’attachement de la clientèle
au fond de commerce

CA paris 2 juin 2010 => société titulaire de plzr marques de champagne sous le nom de famille
« Henriot ». des deux cotée le nom de famille est « Henriot ». dans ce cas d’espèce, la CA décidé qu’il
n’ y a pas de détournement de la clientèle donc pas de réjudice . il y a pas de risques de confusion
dans l’esprit de la clientèle qui est normalement avisée

= l’enseigne

C’est le signe extérieur, l’emblème que le commerçant utilise pr que ses clients identifie son produit.
C’est protégé par le droit de la protection intellectuelle et le droit de la concurrence déloyale. Pas le
droit de reproduire l’enseigne d’une marque. Il faut un critère d’originalité (genre si un restaurant de
Pizza s’appelle juste pizza il y a pas d’originalité donc l’enseigne de sera pas protégé).

3. Le droit au bail

Il y a pas tjr un droit au bail dans le fonds de commerce, car un bail n’est pas tjr nécessaire pr exploité
un fonds de commerce (ex : commerce en ligne ou alors quand le commerçant est propriétaire du
local).

La plupart du temps toutefois on trouve le droit au bail, dès lors qu’un bail est nécessaire.

Le droit au bail est créé par une loi de 1926 qui a donné au bail commerciale un régime spécial, pr
protégé le commerçant notamment du refus de renouvèlement du bail. Le droit au renouvellement à
une valeur intégré au fond de commerce.
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Le droit au bail => art L145 et suivant du C.com

4. Les droits de propriété industrielles et intellectuelle


 Les brevets

Dans le code de la propriété intellectuelle, les brevets protègent les inventions. Le propriétaire est e
seul à pvr l’utilisé, si d’autre prs veulent utiliser l’utilisation il concède des licence d’exploitation
contre des redevance.

 Les marques

Ce sont des signe susceptible de représentations graphique qui distinguent le produits et services
d’une personne physique ou morale : logos, dessins, cachets, image de synthèse, droit d’auteurs…

5. Les autres éléments incorporel

 Médailes et récompenses

« les distinctions honorifique »

Il font parties du fonds de commerce car il participent à attirer une clientèle.

 Les secrets de fabrique et les savoir-faire

Ils ne sont pas brevetable mais leurs valeurs peuvent assurer la clientèle. Ce n’est pas protégé par le
droit de la propriété intellectuelle ; mais on peut faire une action en parasitisme (droit de la
concurrence déloyale)

 Nom de domaine de site internet

C’est un élément du fonds de commerce, car des clients s’y rattache. Donc doit être cédé. Utilisé le
nom de domaine du site internet d’autrui « cyber squating » peut être punit par le droit de la
concurrence déloyale.

« typo squating » => reprendre le nom d’un site internet avec une faute de frappe = capte une partie
de la clientèle, porte atteint à la valeurs du fonds de commerce -> illicite

 Licence et autorisations administratives

Licences de débit de boissons ou les autorisations accordé au salles de cinéma … = fait parties du fons
de commerce

En principe aucun contrat ne se transmet avec le fond sauf exception (voir le diapo) et on peut
déroger à ce ppe par contrat (lib contractuelle)

[…]

Le matériel et l’outillage sont des ensembles d’objets utilisé à fin d’exploiter le fond. C’est un bien
affecté à l’exploitation. Le commerçant s’il en est propriétaire peut le céder, mais on peut décider
d’exclure par contrat la cession du matériel et de l’outillage.

2. Les marchandises

Ce sont les stock de l’entreprise qui sont appelé à être vendues au client (contrairement au matériel
et l’outillage), c’est un bien affecté au client.
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§3. La nature juridique du fonds de commerce

La nature du fond détermine le régime qui lui est applicable. Il y a trois approche possible : une
universalité de droit comme un patrimoine d’affectation, mais cette théorie a été abandonné ; en jp
on retient la théorie de l’universalité de fait, c’est un bien qui découle de la collection d’autre bien
varié. Enfin en doctrine l’idée d’un patrimoine incorporel mais abandonné.

A. Un bien unitaire

Une fiction juridique veut que le fond de commerce soit un bien différent de l’ensemble des biens
qui le compose, c’est un actif du commerçant qui est dans le patrimoine du commerçant (ce n’est pas
un patrimoine d’affectation).

Les opérations faites sur le fond de commerce est différent des opérations faites sur les biens qui le
compose. Mais avec une seule opération juridique on peut agir sur le fond de commerce et les
élément qui le compose, car c’est un bien unitaire.

Le fond de commerce a une valeur supérieur à la somme des différents éléments qui le composent.
Du fait de la réunion des différents biens, le fond de commerce est exploitable donc sa valeur est
supérieur.

Le fond continue d’exister même si c’est composant évolué, seulement sa valeur changera. Le
changement de la valeur du fond mais ce n’est pas le cas pr les droits du fond.

B. Un bien meuble

Le fond de commerce est un bien meuble, il n’y a pas d’élément immobilier dans le fond de
commerce. Donc si le commerçant est propriétaire du local et du fond de commerce, s’il veut céder
les deux il faudra faire deux actes séparé.

L’usucapion n’est pas applicable au fond

Comme c’est un bien meuble la propriété du fond se prouve par tt moyen.

C. Un bien incorporel

Cela ressort d’un jp constante.

Les règles applicable en matières corporel ne sont pas applicable pr le fond de commerce

Section 2. les opérations sur fonds de commerce

Comme c’est un bien on peut réaliser sur le fond de commerce des opérations juridique pour en tire
de la valeur. C’est un bien exploitable, que l’on peut céder ou transmettre. C’est un bien qui a aussi
une utilité dans les opérations de crédit et agit en tant que sureté

§. L’exploitation du fond de commerce

A. L’exploitation par le propriétaire

C’est l’hypothèse la plus courante dans laquelle le propriétaire est aussi le commerçant qui exploite
le fond.

Cela ne veut pas dire que c’est lui qui est physiquement dans le local. il supporte les risques de
l’activité mais il peut faire appel à un gérant qui gère le fond de commerce pr le propriétaire. Le
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gérant est soit un salarié, donc il n’est pas lui-même commerçant et c’est le propriétaire commerçant
qui subit les risques affecté à l’exploitation du fond. Le gérant peut aussi être liée au propriétaire par
un contrat de mandat ( le succursaliste non salarié), il a plus de liberté dans l’exploitation de
commerce, mais aussi plus de resp notamment en matière de violation du droit du travail ou des
règles d’hygiène. Mais en pratique sa situation est proche de celui du gérant salarié.

B. L’exploitation par le locataire-gérant

C’est un tiers qui passe une convention de location du fond, qu’il va ensuite exploiter pr son compte
à ses risques et périls. Le gérant devient commerçant et le loueur n’est plus commerçant.

Ce contrat est aussi applicable au fond artisanal.

A l’origine se contrat avait été créé pr pallier à l’incapacité momentané du commerçant (mobilisé en
guerre ou jt momentanément altéré)

1. Les avantages et les inconvénients de ce contrat

C’est pratique pr les prs qui ne peuvent plus exploité le fond. Le propriétaire peut le garder dans son
patrimoine mais de le faire exploité s’il est en situation d’incapacité ou encore le propriétaire qui par
à la retraite mais qui souhaite garder son fond dans son patrimoine momentanément ou tjr pr un
acquéreur potentiel qui teste ^.^.

En terme de solvabilité c’est un inconvénient car le locataire n’a pas le fond de commerce dans son
patrimoine du coup les créancier ne peuvent pas saisir le fond. Donc le gérant n’est pas aussi solvable
que le propriétaire. De plus cette opération est un facteur de hausse des prix comme dans
l’immobilier ce contrat est source de spéculation, si le prix des fond de commerce augmente, le loyer
augmente du coup le commerçant augmente ses prix au consommateur. Donc les prix rpz le loyer à
versée et le bénéfice pr le gérant = deux prélèvement auprès des consommateur.

2. La formation du contrat de location gérance

Les dispositions du code de commerce (chap 4 livre 4) sont des règles d’ordre public = pas de
dérogations par contrat.

En cas de silence du code de commerce on est renvoyé au dt commun des obligations (en cas de
silence du dt spéciale, on recours au dt commun)

a. L’objet du contrat

L’objet du contrat sera la mise en location du fond de commerce ou du fond artisanal.

b. Les parties au contrat

le locataire gérant est un commerçant, il doit avoir la capacité commerciale. Le commerçant devra
être immatriculé au RCS ou au répertoire des métiers si c’est un artisan. Mais cette exigence
d’immatriculation ne s’applique pas au bailleur.

C. Les mesures de publicité

Pr que le contrat soit opposable au tiers , les formalité de publicité sont ad probationem =>
l’immatriculation/ la publicité du contrat dans un journal habilité à recevoir des annonces légales
idem au moment de l’extinction du contrat .

Si les formalités ne sont pas respecté, le tiers en vertus de la théorie de l’apparence peuvent voir le
gérant comme le propriétaire du fond.
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3. Les effets du contrat de location gérance

Le locataire devient commerçant et exploite pr son propre compte et le loueur perd sa qualité de
commerçant

a.Les effets entre les parties

1. Les obligations du locataire gérant

On peut les classer en 5 catégorie

- Exploiter le fond en prs raisonnable : contient entre autre une obligation général de loyauté
dégagé par le jp (com.4 dec 2012).
- Payer une redevance : ex : clause d’échelle mobile qui peut être prévu par contrat, permet
de faire varier la redevance.
- A l’expiration du contrat, il y a restitution du fond et possible resp du gréant en cas de perte
de valeur. Le locataire gérant n’a pas le droit à une indemnisation compensatrice pr quitter le
fond de commerce, contrairement au propriétaire du fond de commerce qui peut être
indemnisé si son bail commercial n’est pas renouvelé. Le gérant qui avec autorisation du
louer a développé une activité annexe avec sa clientèle propre, cette clientèle lui appartient,
il a un fond de commerce à lui.
- Aucun acte de disposition du fond de commerce ne peut être fait par le locataire (ex : cession
ou nantissement).
- Les obligations autre que celle d’ordre public peuvent être prévu pat contrat

2. Les obligations du loueur

- obligations de délivrance de la chose louée art 1719 CC


- obligation de garantir la jouissance paisible de la chose pendant le contrat ( le prop du bien
ne doit pas perturber l’utilisation qu’en fait le locataire)le loueur doit s’abstenir de porter
atteinte aux éléments du fond de commerce par exemple en captant la clientèle du fond. Il y
a aussi l’obligation légale de non rétablissement , dont il le propriétaire ne peut pas
concurrencé le locataire pdnt le temps du contrat, on peut ttfois y déroger par contrat . le
loueur doit garantir contre l’éviction du locataire, et contre les vices cachés.

b.Les effets à l’égard des tiers


1. les effets à l’égard des cocontractant du loueur

l’article L144-6 permet l’exigibilité immédiate des dette du loueur car le fond peut perdre de sa
valeurs et il ne faut pas risquer une diminution des dt de gage du créancier.

3. les effets à l’égard des cocontractant du locataire gérant

Certaine dette sont soumis à la resp solidaire du locataire et dugérant, soit car elle sont relatif à des
fournitures qui auguement la valeurs du fond, soit pr protéger les créancier en cas de manquement
aux formalités de publicité

4. l’extinction du fond de commerce

on a la nullité ou la résolution du contrat qui peut intervenir suite à la disparition du fond, l’échéance
d’un terme fixe ou un évènement touchant la capacité du commerçant
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En conséquences le locataire doit restituer le fond au loueur en l’état où il a trouvé le fond à bail. Si le
locataire se maintien sans droit dans le fond de commerce il doit versée une indemnisation au loueur
pr la période concernée.

Dès lors qu’il ne commet pas d’acte de concurrence déloyale et sauf clause contraire (ex. clause de
non rétablissement),le locataire peut faire concurrence à son ancien loueur.

A l’égard des tiers, les dettes du locataire gérant sont immédiatement exigibles à l’extinction du fond
de commerce pr éviter que le locataire gérant perde en solvabilité.

Les contrats conclut par le locataire gérant ne sont en ppe pas transmis au loueur sauf aménagement
par convention. Cette aménagement ne peut pas toucher les contrats de travaille qui sont attaché au
fond.

§2. La cession du fond de commerce

La cession du fond de commerce permet de tirer les fruits de son activité pendant plzr années.

A. les enjeux de la cession du fond de commerce

Pr le propriétaire, vendeur du fond de commerce, ce fond représente une grande part de son
activité.

Pr les créancier du vendeur le fond est la principale assiette de leurs droit de gage général.

Pr l’acheteur c’est un investissement considérable qui nécessite que l’on protège son consentement.

Pr les pvr public c’est l’occasion de prélevé des droit de mutation, faire des prélèvements fiscaux.

Le droit commun de la vente ne s’applique que très partiellement à la vente du fond, svnt en cas de
silence du code de commerce.

Le code de commerce à pr objectif de protéger le vendeur notamment contre une potentiel


insolvabilité de l’acheteur. On trouve dans les règle sur la vente du fond de commerce un certain
nmb d’obligation protectrice du vendeur. Tel que le privilège du vendeur. Qui permet au vendeur de
demander en priorité le paiement de la vente du fond de commerce avent une nvlle cession du fond.
Ce privilège est souvent utilise en cas de redressement de l’acheteur.

Il y a aussi des règles de publicité et de formalisme pr protéger les deux parties quant au tiers, à leurs
consentement et à la véritable valeur du fond.

B. Les conditions de cession du fond de commerce

L’EIRL fait l’objet d’un reglement spécifique qui fait echapper sa cession au règles concernant le fond
de commerce. L’idée est de facilité sa cession.

I. Les conditions de fond


a. Les conditions relatives aux parties

Les parties doivent en ppe avoir la capacité commerciales, sauf dans les cas où le cédant n’est pas un
commerçant.

Le consentement doit être intègre sous peine d’annulation du contrat

b. Les conditions relatives au fond


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Il faut un objet certain du contrat : un prix déterminé qui ne doit pas être dérisoire. en fait
l’obligation d’un objet certain est une obligation de sincérité, l’acte doit représenté « l’intégralité du
prix ».

II. Les conditions de forme

Ce n’est pas un contrat solennel.

a. Les finalité aux fins de préemption

Dans certaine zone, notamment les zone où il existe un plan de sauvegarde des commerce, le
vendeur doit adresser à la commune une déclaration préalable indiquant les conditions et le prix de
cession. La commune peut acheter puis revendre le fond.

b. Les formalités aux fins d’information

Le but est de protéger et d’informer les tiers et doit comporter des mentions obligatoires, qui sont
pas exiger ad validitatem mais qui peut être invoquer lors de la nullité du contrat pr vice de
consentement.

Les créanciers du vendeur peuvent demander le paiement de leurs dette à l’acheteur lorsque les
mesure de publicité n’ont pas été remplit. Ils peuvent aussi faire mettre en place une saisit
d’attribution, c’est un voie d’exécution qui permet de saisir un bien meuble de le faire vendre et
d’obtenir en priorité le paiement de sa créance sur le prix de la vente.

Le droit de surenchère n’existe plus depuis la loi Macron

c. Les effets de la cession du fond de commerce


1. Les obligations du vendeur

La cession du fond de commerce implique le transfert de la propriété

Ces obligations sont principalement des obligations du droit commun de la vent cad l’obligation de
délivrance, de garantie et de jouissance paisible.

Dans l’obligation de jouissance paisible on prend en compte une obligation contre les troubles qui
peuvent émaner des tiers ainsi qu’une obligation de non concurrence. Cette obligation de non
concurrence découle du contrat qui précise son domaine. Cette stipulation contractuelle ne se
substitue pas à l’obligation légale, notamment dans le cas ou le contrat le protège pas assez
l’acheteur. L’obligation de légale est d’ordre public on ne peut pas y déroger par contrat.

2. Les obligations de l’acheteur

L’acheteur doit payer le prix et prendre possession du fond . pr garantir le vendeur contre
l’insolvabilité du vendeur, il y a le privilège du vendeur qui est une mesure de sureté réel (porte sur la
chose donc suit la chose et non pas les prs). La sureté qui permet au vendeur du fond qui n’aurait pas
perçu l’intégralité du prix de vente d’obtenir en priorité le prix que percevrait son acheteur s’il venait
à revendre ce fonds. Le vendeur à un droit de préférence sur le paiement de sa créance.

En cas de cession du fond de commerce l’acheteur n’est pas liée au tiers et inversement.

Art L142 6 1 5°=> la non rupture brutal d’une relation contractuelle de longue durée

La cession du fond de commerce entraine rupture de la relation contractuelle et e entraine la


naissance d’une nvlle relation commerciale entre l’acheteur et le cocontractant du vendeur
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§3. Le nantissement du fond de commerce

C’est une sureté réel qui protégé le créancier nanti

A. Les condition du nantissement de fond de commerce

les sources du nantissement peuvent être soit conventionnel soit judiciaire.

Pr que le nantissement soit valable il faut un acte écrit ou un acte notarié qui est inscrit dans un
registre spécial au greffe du tribunal de commerce du lieu d’exploitation du fond. Permet à
l’acheteur potentiel de vérifier l’existence ou non de sureté donc de dette qui concernent le fond de
commerce.

L’assiette de cette sureté c’est le fond de commerce.

B. Les effets du nantissement

Ces effets intéressent :

le constituant cad le débiteur donc qui constitue la sureté au bénéfice de son créancier , en l’espèce
le propriétaire du fond. Le constituant n’est pas destituer de la chose, il n’est pas obligé de quitter le
fond. Le nantissement c’est une sureté réel sans dépossession.

Le créancier nanti qui a le droit d’effectuer une vente forcé en cas d’inexécution. Il a un droit de
préférence qui lui permet de passer en premier par rapport au créancier chirographaire pr obtenir le
paiement de sa créance. Le créancier nanti peut aussi en vertu d’un droit d’opposition, s’opposer à tt
opération qui résulterait à une dépréciation du fond. Enfin la sureté réel implique un droit de suite, le
nantissement suit le fond même.

Le créancier chirographaire dispose d’une mesure destiné à le protégé qu’est l’exigibilité immédiate
des créance, pr obtenir le paiement tout de suite de se créance en cas de concours avec un créancier
nanti, il ne passe pas après ce dernier.

Chapitre 2. Les autres fonds

Titre II. Les baux

Titre III. Les propriété intellectuelles et industrielles

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