LA NOTE DE SYNTHESE
DOCUMENT DE PREPARATION AU CONCOURS D’ENTREE A L’ENA
DOCUMENT OFFICIEL
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Ont apporté leur contribution à l’élaboration de ce document, les personnes dont les
noms suivent :
1 - M. COULIBALY AROUNA
2 - M. DAKOURY KOUDOU DAVID
3 - M. DJESSAN BI WIN
4 - Mme KAKOU EPSE ASSI ADJA ABOMAN BEATRICE
5 - M. KOUADIO MANZAN ANDRIEN
6 - M. TRAORE FRANCOIS BRUNO
7 - M. YAO DJETH LUC-ARSENE
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AVANT-PROPOS
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SOMMAIRE
AVANT-PROPOS
SOMMAIRE
PREMIERE PARTIE : PRESENTATION DE L’EPREUVE
INTRODUCTION
BIBLIOGRAPHIE
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PREMIERE PARTIE :
PRESENTATION DE L’EPREUVE
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INTRODUCTION
La note de synthèse est à la fois une pratique professionnelle et une épreuve ; on la
retrouve au programme de formation de certaines grandes écoles, en milieu professionnel et
aux concours administratifs. Dans ces différentes situations, elle permet d’étudier un dossier
constitué de plusieurs documents ou textes, adossés à un thème ou sujet d’ordre général1. On
la retrouve sous différentes appellations, parmi lesquelles, d’une part, la note ou synthèse
administrative et, d’autre part, aux concours, la synthèse de documents ou synthèse de
dossier.
Quelle que soit la circonstance, la note de synthèse vise à produire un document
synthétique qui restitue de manière organisée, méthodique, cohérente et pertinente, les idées
essentielles des documents d’un dossier. Le produit de cet exercice est un élément qui permet
de prendre rapidement une décision. La note de synthèse fait appel à diverses qualités dont
celles d’observation, de lecture, de compréhension, d’analyse, de clarté, d’organisation, de
rigueur, de sélection, de concision, de fidélité à des idées relevées et de rédaction dans une
langue française claire.
Pour Armogathe2, « la note de synthèse, qui consiste à analyser un dossier et à en
présenter de manière synthétique le contenu, est une épreuve de concours qui fait une
sélection importante parmi les candidats. L’épreuve de la note de synthèse nécessite du
candidat, des qualités de rigueur. En effet, il doit respecter scrupuleusement des contraintes
de forme très strictes et faire preuve d’une grande objectivité dans la restitution des idées du
dossier. Son avis sur le dossier ne doit jamais apparaître. Le candidat doit, dans un premier
temps, décortiquer le dossier et, dans un second temps, établir un plan et rédiger une note de
synthèse très structurée. »
Mais, quelle définition doit-on retenir de la note de synthèse ?
1 - Les dossiers comportent des textes portant sur des sujets de société, d’économie, d’environnement, de
politique, d’éducation, de développement durable, de Tic, culturels, etc.
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- Armogathe, La synthèse de documents, Paris, Dunod, 1988, p. 12.
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CHAPITRE I : LA NATURE DE LA NOTE DE SYNTHESE
SECTION 1 - APPROCHE DÉFINITIONNELLE
Le dictionnaire Robert présente la « synthèse » comme une opération mentale par
laquelle l’on construit un système. Il nous paraît essentiel de rappeler que, de même que
l’Analyse et le Résumé de texte, la note de synthèse est une épreuve de contraction de textes
réunis en un dossier. Il s’agit de réduire le volume quantitatif - nombre de pages, de textes, de
parties, de paragraphes, de lignes - et qualitatif - choix des idées principales ou essentielles, au
détriment des idées secondaires et des exemples - de plusieurs textes.
Mais il faut avoir à l’esprit, à l’entame de ce travail, que la synthèse est une opération
intellectuelle par laquelle l’on réunit en peu de mots et en un tout cohérent et structuré, divers
éléments de connaissance en rapport avec un domaine particulier. La culture générale à
laquelle se réfère la note de synthèse est constituée par une connaissance vaste et précise de
sujets multidisciplinaires, dont tous ont une relation avec la vie de la société.
I - L’objectif général
La note de synthèse vise à développer chez l’apprenant en particulier et, chez toute
personne qui s’y exerce, l’aptitude à la reformulation synthétique d’idées initialement
nombreuses.
II - Les objectifs spécifiques
Prise sous l’angle d’une épreuve inscrite à un concours administratif, la note de
synthèse sollicite chez le candidat, l’aptitude à :
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- lire activement les documents constituant le dossier ;
- analyser avec circonspection les documents concernés ;
- sélectionner les idées essentielles des documents d’un dossier ;
- organiser ces idées et à bâtir un plan cohérent ;
- rédiger la note de synthèse dans une langue française correcte.
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CHAPITRE II : LE DOSSIER
La note de synthèse a pour support un dossier. Ainsi, il est nécessaire de :
- rappeler les caractéristiques du dossier ;
- avoir une vue précise sur le travail demandé ;
- donner les éléments justificatifs de l’exercice.
SECTION 1 - GÉNÉRALITÉS
- Le dossier est bâti principalement autour d’un ensemble de documents, notamment des
textes.
- Les autres documents peuvent être des photos, des images, des tableaux et graphiques.
- Les documents formant le dossier se rejoignent par leur thématique qui est commune : le
réchauffement climatique, la pollution, le tourisme, les problèmes de santé, l’éducation,
l’économie…
- En situation professionnelle, le dossier peut porter sur des thèmes qui sont en prise directe
sur l’administration, notamment des textes juridiques.
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I. La commande
La commande de la note de synthèse se réfère généralement à l’intégralité du dossier,
sans autre indication précise, autrement dit, en ne faisant allusion ni à un thème, ni à un
problème.
Exemple : Vous rédigerez, à partir du dossier ci-joint, une note de synthèse. C’est le cas le
plus fréquent lors des concours d’entrée à l’ENA.
Toutefois, certaines commandes suggèrent un thème de réflexion plus vaste :
Exemple : Vous élaborerez une note de synthèse ordonnée des documents suivants sur le
racisme.
D’autres commandes encore indiquent clairement le problème à examiner.
Exemple : À partir des textes et du dessin humoristique, vous élaborerez une note de synthèse
sur le problème de l’immigration des Africains en France.
II. Que signifie faire la synthèse d’un dossier ?
Faire la synthèse d’un dossier, c’est :
- réduire le volume du dossier (nombre de pages, de lignes, nombre d’idées de mots) :
réduction quantitative et qualitative ;
- réunir les éléments constitutifs pour en faire un tout (≠ Analyse = décomposer un tout en
ses éléments, en ses détails).
L’hypertexte ainsi construit représente la note synthétique de l’hypotexte volumineux.
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CHAPITRE III : LA METHODOLOGIE DE L’EPREUVE
SECTION 1 - L’APPROCHE OU LE DECORTICAGE DU DOSSIER
Cette opération consiste en deux étapes : l’étude du dossier et le relevé des idées.
I - L’ETUDE DU DOSSIER
A - L’analyse du sujet
Elle commence avec la lecture et l’appréciation du libellé, qui indique la consigne à
suivre. Si l’on demande de rédiger une note qui tiendra sur quatre pages, il faut s’en tenir à
cette prescription. C’est cette analyse du sujet qui permet de circonscrire le travail à effectuer
et déterminer le type de note.
B - La lecture des documents
1 - Les types de documents
Il existe différentes appréciations de l’ordre dans lequel les documents sont présentés :
les uns estiment qu’ils sont dans le désordre et, pour les autres, ils sont plutôt ordonnés.
Généralement, les documents sont directement tirés d’une revue qui a pris le temps de les
ordonner. Il est donc inutile de les recomposer. Mais dans d’autres cas, les documents, pris
individuellement, voire empruntés à différentes revues, sont organisés ou présentés dans un
désordre ordonné.
Le conseil qui vaille est qu’il faut prendre en compte tous les documents du dossier.
Mais, pour une appréciation objective desdits documents, si l’on en a le temps, il faut les
classer en quatre catégories :
* Les documents pivots
Ils sont censés être les plus importants parce que comportant l’essentiel des
informations ; leur nature (constats ou causes ou conséquences ou solutions) serait également
explicite. En outre, considérons un dossier sur le thème du Sida et constitué de quatre
documents : le premier a pour auteur un médecin, le second, un enseignant, le troisième, un
journaliste et le quatrième, un sociologue. On appellerait, à tort, document pivot, celui produit
par le médecin, au jugement qu’il est le plus savant en la matière. Faux ! Le journaliste, qui
investigue avant d’écrire ou le sociologue, qui impose à ses écrits, des exigences
d’exhaustivité et d’informations pertinentes, peuvent être plus éclairés que le médecin. Le
texte pivot peut donc ne pas être celui que l’on croit ; d’où, la vacuité de cette thèse.
* Les documents complémentaires
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Les documents dits complémentaires sont censés n’apporter qu’une information
périphérique par rapport au thème central du dossier ou, n’en évoquer qu’un aspect - par
exemple les causes. Il serait dangereux de ne pas les considérer.
* Les documents redondants
Ils reprennent des informations certes importantes, mais déjà contenues et relevées par
le candidat dans des textes précédents. L’on conseillerait de les négliger. A notre sens, il ne
faut pas les tenir hors d’analyse, car ils peuvent apparaître à travers une reformulation qui
comporte des nuances que les précédents documents n’ont pas relevées.
* Les documents parasites
Il s’agit de documents introduits dans le dossier pour induire le candidat en erreur. Ils
ne présenteraient aucun intérêt pour l’étude, vu que la question qu’ils abordent n’a pas de
rapport avec le sujet. Peut être que c’est le cas ; mais, pourquoi « glisser » subrepticement un
document « hors sujet » dans un dossier pour égarer les candidats3, alors qu’il existe des
critères objectifs d’évaluation et d’élimination ? Un conseil : sur un ensemble de 5 textes, si le
thème ou la problématique correspond à 4 textes et qu’un seul détonne, il faut revoir ledit
thème ou ladite problématique en l’élargissant au cinquième texte apparemment sans lien
avec les autres.
Au regard de ce qui précède et qui présente une série de types de documents, il
apparaît, si l’on veut être objectif, qu’il faut « se méfier » de tous les textes du dossier. Si l’on
aborde la note de synthèse avec ces a priori, en quoi consistera le travail à faire ?
Une seule solution : aborder les documents en toute décontraction intellectuelle, en les
exploitant tous, sans exception et en trouvant le lien thématique et problématique qui les unit.
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- Généralement, l’on met le recours à des documents parasites sur le compte du nombre pléthorique de
candidats ou sur le niveau du concours qu’il faut élever, pour éliminer ceux qui ne sont pas à la hauteur.
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Il faut retenir qu’en tout état de cause, il faut toujours commencer par une rapide prise
de connaissance des documents. Cette approche permet de prendre connaissance du dossier en
portant son intérêt sur son objet, sa date de publication, la rubrique, l’introduction, le nom de
l’auteur, sa profession, les titre, sous-titre et inter-titres, les images, les encadrés, tableaux,
graphiques et autres éléments de visualisation, etc.
* La lecture rapide
Il s’agit d’un survol du dossier au cours duquel sont considérés, l’ensemble de la
titraison, les chapeaux, les passages mis en relief, le nombre de pages et de paragraphes par
document, etc. A ce niveau, le candidat doit fixer le thème, le sens général de chaque
document, établir un lien de pertinence entre le document et le thème du dossier, la nature et
l’importance des documents et enfin, leur ordre de lecture. Cette étape rend service à la
compréhension du texte
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bien maîtriser l’ensemble du sujet ; il valide ces informations par les documents officiels et il
les concrétise avec des exemples tirés de la jurisprudence. »4
Toute lecture doit permettre de dégager :
- le thème ;
- l’idée générale du dossier ;
- la problématique. Celle-ci, contrairement à celle de la dissertation de culture
générale, est une question relative au thème du dossier et dont chaque document ou thème
majeur (constats - causes - conséquences - solutions) est une réponse.
Que retenir de ces modes de lectures ? D’une part, que la lecture doit être appliquée,
car c’est par son truchement que le candidat accède à la délimitation des idées principales
dans chaque paragraphe et à leur relevé. D’autre part, la lecture doit pouvoir être sélective et
porter sur les informations strictement nécessaires à la rédaction de la note.
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- Armogathe, op. cit., p. 19.
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exclusif de l’expression d’une idée, d’une seule idée. Mais le plus important est de savoir que
le texte argumentatif comporte une succession de paragraphes inductifs et déductifs.
Le paragraphe inductif adopte une démarche ternaire claire : un exemple - ou une
anecdote - est exposé, suivi d’une explication qui, à son tour, induit un fait ou une idée. Quant
au paragraphe déductif, il s’énonce suivant une logique ternaire également claire : un fait ou
une idée est présenté ; suivent immédiatement son explication et son exemplification.
Il faut retenir que le paragraphe qui nous intéresse et qui est celui des textes du dossier
de note de synthèse est le paragraphe déductif. Le paragraphe déductif est organisé à son tour
de la manière suivante :
1 - idée principale + explication (par des idées secondaires) + exemple ;
2 - idée principale + explication exemplifiée ;
3 - idée principale (tout le paragraphe se réduit à une seule phrase).
Cette structuration du paragraphe fait dire qu’il a une structure syntaxique - son
organisation interne) et sémantique (sa signification).
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5 - Attention ! Les idées principales relevées ne doivent pas se retrouver telles qu’elles
dans la note 5; elles ne doivent pas non plus être paraphrasées. Les idées principales relevées
sont transcrites - ou exprimées - dans un style personnel.
NB. Dans un plan « causes, conséquences, solutions », une fiche ou une colonne sera
réservée aux idées qui ne pourront pas s’inscrire dans l’une de ces rubriques, par exemple, les
avantages et les inconvénients.
La confrontation des documents et des idées relevées permet de former des blocs
d’idées qui nourriront le plan. Dans la partie et les sous-parties, les idées qui expriment une
même situation seront non seulement réunies, mais surtout hiérarchisées, de sorte à faire sens
lorsqu’elles seront rédigées.
NB. Il ne faut pas forcer une idée à entrer dans une colonne qui ne convient pas ni de
considérer qu’une idée qui est plutôt une cause d’entrer dans la colonne des solutions. En
outre, il ne faut pas être trop sélectif ou, également déconseillé, effectuer un relevé d’idées
trop inclusif - ou ouvert.
La lecture du sujet comprend la lecture de la consigne et la lecture par un balayage
rapide de l’ensemble des documents, afin de s’en imprégner et avoir une première bonne
impression qui aide à découvrir le thème et les aspérités des textes.
5 - Pour Armogathe, le candidat qui relève les idées principales doit les exprimer de manière personnelle ; il doit
veiller à tout instant à rester fidèle aux documents.
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base des idées relevées, car ce sont ces idées qui, dûment transcrites 6, figureront dans la note.
Le développement comportera 2 ou 3 parties ; chacune d’elles se subdivisera en deux sous-
parties en moyenne. Les parties et sous-parties sont et doivent être strictement équilibrées.
Chaque partie est introduite par un chapeau ou une phrase-annonce.
Il faut noter qu’il existe différents types de plans dont la liste ne peut être exhaustive.
Mais du fait que les auteurs des textes choisissent un type précis de démarche argumentative
propre à leur perception d’une question, nous estimons que seuls les plans sous-entendus par
les idées relevées sont rigoureux et de fait, à privilégier. C’est ce que l’on appelle le plan dicté
par les textes. A l’instar de ce plan, d’autres existent, qui peuvent être d’un usage pertinent :
- le plan analytique examine une notion ou un phénomène en établissant le fait
ou le problème, ses causes, ses conséquences et éventuellement ses solutions. C’est sans doute
le plus répandu dans les textes de la note de synthèse, car très souvent, les documents suivent
ce plan dans l’exposition de leur argumentaire. Deux des dérivés de ce plan sont la structure
problème + causes + conséquences ou causes + conséquences + solutions) ;
- le plan dialectique s’impose lorsque les documents exposent des points de vue
opposés relativement à une notion ou à un phénomène. Il prévoit 2 ou 3 parties ; l’une
« pour », l’autre « contre » et éventuellement une dernière partie pour la synthèse, un point de
vue « consensuel ». Attention, dans ce cas, tous les documents doivent comporter des
arguments « pour », « contre » et « consensus » ;
- le plan thématique, également appelé « plan par catégories, correspond à des
sujets où un problème est perçu sous plusieurs angles. Il peut s’agir d’un domaine social,
psychologique, économique, culturel, politique, etc. Il s’agit par exemple du plan aspects
techniques + aspects financiers + aspects sociaux ou aspects politiques + aspects juridiques +
aspects culturels, etc.
- le plan situation passée + situation présente + situation à venir ;
- le plan exposé d’une situation + débat en cours ;
- le plan avantages + inconvénients ;
- le plan exposé d’une problématique + thèse qui y répond ;
- etc.
Attention : il n’est pas acceptable de considérer comme pertinent, un plan où une
partie des documents est traitée dans la première partie, une autre dans la deuxième partie et
une troisième dans la troisième partie. Ce sont les axes qu’il faut privilégier ; c’est autour
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- La transcription a le sens de la restitution des idées principales relevées dans les documents, mais à partir du
style personnel du candidat.
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d’eux que le bon plan doit se construire. Le plan classe les idées en parties, sous-parties et
sous-sous-parties ; il ordonne les idées et les hiérarchise.
- Les qualités d’un plan :
complet, c’est-à-dire qu’il doit prendre en compte les idées utiles
équilibré
logique et chronologique (il respecte la hiérarchie entre les idées)
dynamique (avec une structure détaillée)
II - LE DEVELOPPEMENT
C’est la rédaction de la note qui expose les idées, les parties, suivant le plan annoncé
dans l’introduction. Cette rédaction doit respecter certaines règles :
la note est construite sous la forme de parties, de sous-parties et de sous-sous-
parties. A l’intérieur de ces séquences, les idées sont également ordonnées, hiérarchisées, de
manière logique et chronologique, pour qu’elles aient un sens.
Ne pas faire de référence aux auteurs, aux textes
Être neutre et objectif
Faire un effort de rédaction en évitant le style télégraphique
Ne pas ajouter des idées extérieures aux textes du dossier
Soigner les enchaînements d’idées avec des mots de liaison
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Après chaque partie, une transition s’impose, qui résume ce qui vient d’être fait
et annonce ce qui va l’être ; elle est toujours isolée entre deux sauts de lignes. A défaut, le
candidat recourra à une conclusion partielle accolée à la partie précédente
Ne pas émettre de sentiment ni d’opinion personnelle, encore moins un
jugement de valeur
III - LA CONCLUSION
Elle doit être brève. Elle consiste à :
dresser un bilan qui peut revêtir la forme d’un résumé des idées majeures du
dossier
proposer une réponse à la problématique
émettre un avis qui expose la position du candidat, après qu’il a fait le point du
problème
proposer une possible ouverture.
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- Ne pas négliger les accents
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DEUXIEME PARTIE :
EXERCICES D’APPLICATION
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BIBLIOGRAPHIE
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