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IMCAS 2010
8 – 9 – 10 11 janvier 2010
Palais des Congrès de Paris
TENDANCES
MONDIALES
ET
CHIFFRES
CLES
Premier
congrès
européen
dédié
aux
chirurgiens
plasticiens,
aux
dermatologues,
et
aux
différents
experts
du
monde
de
l’esthétique
médicale
et
chirurgicale,
l’IMCAS
(du
8
au
11
janvier
2010)
est
devenu
en
12
ans
l’un
des
plus
importants
rendez‐vous
mondiaux
de
la
profession
et
l’observatoire
économique
mondial
n°1
de
ces
spécialités
médicales.
Cette
manifestation
reçoit
chaque
année,
plus
de
4
000
participants
provenant
de
60
pays
différents.
Cet
échange
entre
les
plus
éminents
spécialistes
internationaux
est
devenu
la
véritable
signature
de
l’IMCAS.
Ses
principaux
objectifs
sont
:
la
mise
en
avant
des
standards
les
plus
élevés
dans
la
pratique
clinique
de
l’esthétique,
la
formation
et
la
recherche
en
chirurgie
plastique
et
dermatologie
cosmétique,
ainsi
que
dans
les
disciplines
associées
(chirurgie
maxillo‐faciale,
médecine
esthétique
et
anti‐âge,
recherche
et
développement,
etc.…).
L’IMCAS
s’exporte
à
international,
avec
deux
congrès
:
IMCAS
ASIA
depuis
4
ans
(Bangkok,
Singapore
&
Hongkong)
&
IMCAS
INDIA
depuis
2
ans
(Agra
&
New
Dehli).
L’IMCAS INDUSTRIE ‐ INNOVATION TRIBUNE
Pour
la
troisième
fois
en
Europe
cette
TRIBUNE
fait
parler
les
acteurs
clés
du
marché:
PDG,
analystes,
experts
financiers
et
marketing
indépendants
et
ceux
liés
aux
compagnies
majeures
de
l’esthétique
médicale
avec
,
• Une
analyse
fiable
et
réellement
chiffrée
du
marché
mondial,
européen
et
pour
la
première
fois
français
de
l’esthétique
médicale,
•
Une
estimation
de
ses
potentiels
et
de
ses
perspectives
à
l’horizon
2013.
Entre
croissance
et
récession,
quels
sont
les
secteurs
qui
stagnent
et
ceux
qui
rebondissent
:
Les
Infos
et
les
Intox
?
Informations complémentaires
www.imcas.com
1
Bureau de presse IMCAS : Patricia Bénitah - PB Communication
7 Villa des Sablons – 92200 Neuilly sur Seine – Tel : 01 47 31 11 06 – Mail : pbcom@wanadoo.fr
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DOSSIER DE PRESSE - IMCAS 2010
Pour
contribuer
à
faire
la
part
de
l’Info
et
de
l’Intox
!
Trop
d’info
tue
l’info
–
Aujourd’hui
nous
avons
accès
à
de
plus
en
plus
de
sources,
mais
qui
ne
sont
pas
toutes
de
la
même
valeur
(loin
de
là)
!...
‐
Comment
hiérarchiser
l’info,
et
faire
le
tri
entre
ce
qui
est
pertinent
et
ce
qui
relève
de
la
rumeur
ou
ce
qui
n’est
pas
totalement
validé
?
C’est
pour
relever
le
challenge
d’une
information
de
qualité,
crédible,
et
référencée
que
Benjamin
Ascher
et
le
Comité
Scientifique
organisent
depuis
12
ans
une
conférence
de
presse
destinée
aux
journalistes
spécialistes
du
domaine
et
reconnus
pour
leur
expertise.
Cet
événement
a
été
conçu
pour
transmettre
et
partager
des
données
indépendantes
de
tous
les
groupes
d’intérêts
(Laboratoires,
industriels)
et
son
essence
même
est
fondée
sur
l’expérience
de
praticiens
mondialement
connus
et
reconnus.
Le
congrès
annuel
de
l’IMCAS
réaffirme,
année
après
année,
cette
volonté
d’échange
au
plus
haut
niveau
entre
les
différents
experts
concernés,
qu’ils
s’agissent
d’idées
ou
de
techniques.
L’Esthétique Médicale et Chirurgicale en 2010 : INFO et INTOX
PROGRAMME
Accueil
:
Le
comité
scientifique
de
l’IMCAS
Les
cellules
souches,
et
les
autres
axes
de
recherche:
de
la
fiction
à
la
science
Gilbert
Zakine
‐
Chirurgien
Plasticien
‐
France
Lancement
de
l’ouvrage
«
Toxine
botulique
–
Info
ou
Intox
»
Benjamin
Ascher
‐
Chirurgien
Plasticien‐
France
Actualités et nouvelles tendances : Les infos/ les intox
EN
ESTHETIQUE
MEDICALE
Remodelage
médico‐chirurgical
orbitaire
et
du
visage
Benjamin
Ascher
‐
Chirurgien
Plasticien
‐
France
Cellulite
et
remodelage
de
la
silhouette
:
Lipolyse
non
invasive
Nathalie
Fournier
‐
Dermatologue‐
France
Mésothérapie
esthétique
:
mythes
et
réalités.
Ghislaine
Beilin
–
Médecin
–
France
EN
CHIRURGIE
ESTHETIQUE
Augmentation
mammaire
:
évaluations
et
controverses
:
Lipofilling,
et
acide
hyaluronique
:
info
ou
Intox
Nez
:
les
injections
remplacent
elles
la
chirurgie
?
Olivier
Gerbault
–
Chirurgien
Plasticien
–
France
Les
assistances
à
la
liposuccion
(ultrasons,
lipolaser,
waterjet,
etc)
‐
Lipofilling
:
où
en
sommes
nous
?
Carboxythérapie
(décolleté,
vergetures)
:
avantages
et
limites
Bernard
Môle
‐
Chirurgien
Plasticien
–
France
Lasers
et
Lumières
:
des
innovations
majeures
:
Info
ou
Intox
Anne
Le
Pillouer
Prost
–
Dermatologue
–
France
Les
fractionnels
en
resurfacing,
les
nouvelles
radio‐fréquences
et
lumières
IPL‐
LED
2
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DOSSIER DE PRESSE - IMCAS 2010
Les
données
mondiales,
européennes
et,
pour
la
première
fois,
françaises
du
marché
Esthétique
à
L’IMCAS
INDUSTRIE
‐
INNOVATION
TRIBUNE
Palais
des
Congrès
de
Paris
le
8
janvier
2010
‐
PDG
des
groupes
en
vue,
analystes,
décideurs,
experts
financiers
et
marketing
indépendants,
et
ceux
des
compagnies
leaders
de
l’esthétique
médicale,
pour
la
troisième
année,
cette
TRIBUNE
unique
au
monde
fait
parler
tous
les
acteurs
et
décideurs
du
marché.
L’IMCAS
INDUSTRIE
–
INNOVATION
TRIBUNE
se
positionne
désormais
en
observatoire
référent
en
effectuant
une
analyse
fiable
et
chiffrée
du
marché
mondial,
européen
et,
pour
la
première
fois,
français
de
l’esthétique
médicale
et
chirurgicale,
ainsi
qu’une
estimation
de
ses
perspectives
à
l’horizon
2013.
‐
Entre
croissance
et
récession
quels
sont
les
secteurs
qui
stagnent
et
ceux
qui
rebondissent
?
I
‐
Marché
esthétique
mondial
‐
Les
chiffres
clés
2009
Dans
un
contexte
marqué
par
l’arrêt
brutal
de
la
consommation,
le
marché
mondial
2009
reste
valorisé
à
3
Milliards
d’euros
(4,5
Milliards
de
dollars)
;
même
s’il
accuse
une
baisse
globale
d’environ
15%,
il
fait
mieux
que
résister,
il
continuera
de
progresser
légèrement
avec
un
taux
de
croissance
annuelle
prévue
entre
5
et
10%
jusqu’en
2013
(marché
incluant
les
Equipements
à
base
d’énergie,
les
produits
de
comblement,
la
Toxine
Botulique,
la
Cosmétique
active,
les
Prothèses
mammaires
et
tous
les
autres
dispositifs).
Les
chiffres
2009
confirment
la
tendance
actuelle
:
moins
de
chirurgical
plus
de
médical.
Le
marché
de
la
chirurgie
enregistre
une
baisse
de
15%
en
2009,
celui
de
la
médecine
esthétique
(hors
équipement)
de
0
à
5%.
Le
marché
de
la
médecine
esthétique
va
croître
en
Europe
comme
dans
le
reste
du
monde,
avec
un
taux
de
croissance
annuel
prévu
de
10%
jusqu’en
2013
et
de
plus
de
15
%
sur
le
marché
de
la
toxine
botulique,
la
plus
forte
croissance
estimée.
Analyse
détaillée
poste
par
poste
Toxine
botulique
• Le
Marché
mondial
en
2009
de
la
Toxine
Botulique
est
d’environ
US$800
M
à
US$900
M
(€550
M
à
€600
M)
il
est
resté
stable
en
2009
par
rapport
à
2008,
mais
sa
croissance
annuelle
à
l’horizon
2013
devrait
atteindre
les
15%.
• Le
Marché
Européen
2009
de
la
Toxine
Botulique
est
d’environ
€120
M
(US
$180
M),
il
est
resté
stable
en
2009.
De
nouveau
sa
croissance
est
évaluée
à
15%
par
an
jusqu’en
2013.
• Le
Marché
Français
2009
de
la
Toxine
botulique
est
d’environ
€16
M
Comme
pour
le
marché
européen,
le
marché
français
encore
émergent
a
un
fort
potentiel
de
croissance
de
15%
par
an
à
l’horizon
2013.
Ces
chiffres
proviennent
d’une
moyenne
pondérée
entre
les
3
sources
de
référence
suivantes
:
Selon
Innoviness
Solutions,
le
marché
mondial
en
2009
est
à
€620
M
(US
$
930
M)
Selon
Johnson
&Johnson,
le
marché
mondial
en
2009
est
à
€500
M
(US
$
750
M)
Selon
Medical
Insights,
le
marché
mondial
en
2009
est
à
€520
M
US
$780
M)
avec
une
croissance
moyenne
annuelle
de
16%
jusqu’en
2013.
Le
marché
Européen
à
€100
M
(US
$153
M)
avec
une
croissance
moyenne
annuelle
prévue
jusqu’en
2013
à
27%
soit
€270
M
d’euros
(US
$400
M)
3
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Produits
comblements
(Acide
Hyaluronique,
produits
Injectables
longue
durée…)
• Le
Marché
mondial
en
2009
des
produits
de
comblement
est
d’environ
€500
M
(US
$
750
M)
• Le
Marché
Européen
en
2009
des
produits
de
comblement
est
d’environ
€200
M
(US
$
300
M)
• Comme
le
marché
mondial,
le
marché
européen
est
en
baisse
de
5%
comparé
à
2008.
Mais
leur
croissance
annuelle
estimée
à
l’horizon
2013
est
de
5
à
10%.
• Le
Marché
Français,
il
est
aujourd’hui
estimé
à
€30
M
avec
une
diminution
de
5%
comparée
à
2008
Ces
produits
sont
emblématiques
de
la
tendance
lourde
qui
caractérise
le
marché
esthétique
mondial
actuel
«
moins
de
chirurgical
plus
de
médical
».
En
conséquence,
toutes
les
projections
à
l’horizon
2013
montrent
une
croissance
annuelle
de
10%.
Ces
chiffres
proviennent
d’une
moyenne
pondérée
entre
les
4
sources
de
référence
suivantes
:
Selon
Allergan
le
marché
mondial
en
2009
est
de
€420
M
(US
$630
M),
le
marché
US
de
€180
M
(US
$270
M)
Selon
Johnson&Johnson
le
marché
mondial
est
de
€500
M
(US
$750
M),
le
marché
US
de
€265
M
US
$400
Millions)
Selon
Millénium
Research
Group
la
croissance
annuelle
du
marché
US
2010
sera
de
1%
en
2010,
atteignant
14%
en
2013.
Selon
Medical
Insights
le
marché
mondial
en
2009
est
de
€500
M
(US
$746
M)
avec
une
croissance
annuelle
de
11%
prévue
jusqu’en
2013.
Le
marché
Européen
à
€200
M
(US
$305
M)
avec
une
croissance
moyenne
annuelle
prévue
jusqu’en
2013
à
11%
soit
€305
M
(
US
$460
M
)
Cosmétique
active
(incluant
les
Peeling)
• Le
Marché
mondial
2009
de
la
cosmétique
active
est
d’environ
€530M
à
€600
M
(800
à
US
$900
M)
en
baisse
de
5%
comparé
à
2008.
Sa
croissance
prévisionnelle
annuelle
dans
le
monde
est
de
10
à
15%
par
an
jusqu’en
2013.
• Le
Marché
Européen
en
2009
est
d’environ
€60
M
(US
$90
M),
• Le
Marché
Français
en
2009
est
d’environ
€9
M.
Comme
le
marché
européen,
le
marché
français
de
la
cosmétique
active
en
2009
est
en
baisse
de
5%
par
rapport
à
2008.
Mais
les
analystes
prévoient
une
croissance
annuelle
estimée
à
10%
à
l’horizon
2013.
Ces
chiffres
proviennent
d’une
moyenne
pondérée
entre
les
3
sources
de
référence
suivantes.
Selon
Nordicaesthetics
le
marché
en
2009
à
€600
M
(US
$
900
M)
passant
à
€1
Milliards
(US$
1,5
Milliards
)
en
2012.
Selon
Medical
Insights
le
marché
mondial
2009
à
€480
M
(US$716
M)
avec
une
croissance
annuelle
de
10%
prévue
jusqu’en
2013.
Marché
Européen
2009
€60
M
(US$
90
M
)
avec
une
croissance
de
10%
par
an
jusqu’en
2010
Selon
Millénium
Research
Group
marché
US
à
€265
M
(US$400
M)
en
2009
avec
croissance
moyenne
entre
5
et
10%
par
an
jusqu’en
2013.
Equipement
à
base
d’énergie
(lasers
et
lumières,
radio
fréquence,
ultrasons….)
• Le
Marché
mondial
2009
de
l’Equipement
à
base
d’énergie
est
d’environ
€670
Millions
(1
Milliards
de
dollars),
• Le
Marché
Européen
de
€200
M
(US$300
M),
• Le
Marché
Français
de
€30
M
en
2009.
Les
répercutions
de
la
crise
se
font
particulièrement
sentir
sur
ce
marché
qui
accuse
une
baisse
significative
de
40%
comparée
à
2008
(le
secteur
de
l’esthétique
le
plus
touché
par
la
crise).
Mais
les
analystes
estiment
qu’il
bénéficiera
de
l’effet
rebond
de
la
sortie
de
crise
d’où
une
croissance
mondiale
annuelle
jusqu’en
2013
de
10%.
Ces
chiffres
proviennent
d’une
moyenne
pondérée
entre
les
3
sources
de
référence
suivantes
:
Selon
Syneron
le
marché
mondial
des
lasers
est
passé
de
€250
M
(US$370M)
en
2004
à
€470
M
(US$702M)
en
2007
soit
une
croissance
de
90%
en
3
ans.
Selon
Sciton
le
marché
mondial
des
lasers
aura
baissé
de
€670
Millions
(1
Milliard
US
$)
à
€400
M
(US$600
M)
entre
2008
et
2009,
baisse
de
40%
entre
2008
et
2009.
Marché
estimé
à
€460
M
(US$690
M)
en
2010
soit
+15%
comparé
à
2009.
Selon
Medical
Insights,
le
marché
mondial
des
équipements
à
base
d’énergie
est
valorisé
à
€739
M
(US$
1
083
M)
en
2009
et
augmentera
de
10%
par
an
jusqu’en
2013.
Le
marché
Européen
est
valorisé
en
2009
à
€240
M
(US$
359
M)
et
augmentera
de
8,5%
par
an
jusqu’en
2013.
4
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Prothèses
mammaires
• Le
Marché
mondial
en
2009
des
prothèses
mammaires
est
d’environ
€500
M
(US$
750M)
• Le
Marché
Européen
en
2009
environ
€90
M
(US
$133
M)
• Le
Marché
Français
en
2009
environ
€14
M
Si
l’augmentation
mammaire
reste
la
première
intervention
chirurgicale,
il
n’en
reste
pas
moins
que
ce
marché
n’échappe
pas
à
la
crise
avec
une
baisse
de
15%
par
rapport
à
2008.
Mais
les
experts
sectoriels
tablent
sur
une
croissance
annuelle
de
5
à
10%
jusqu’en
2013.
Ces
chiffres
proviennent
d’une
moyenne
pondérée
entre
les
3
sources
de
référence
suivantes.
Selon
Allergan,
le
marché
mondial
est
de
€505
M
(US$
760
Millions)
Selon
Johnson&Johnson,
le
marché
mondial
est
de
€500
M
(US$
750
Millions),
marché
US
€265
M
(US$
400
M)
Selon
Medical
Insights,
le
marché
mondial
en
2009
est
à
€460
M
(US$
696
M)
avec
une
croissance
annuelle
de
8%
prévue
jusqu’en
2013.
Le
marché
Européen
à
€90
M
(US$
133
M)
avec
une
croissance
moyenne
annuelle
prévue
jusqu’en
2013
de
7%
EN
CONCLUSION
En
dépit
des
incertitudes
financières,
monétaires
et
économiques
actuelles,
il
est
néanmoins
possible
de
dégager
des
constantes.
D‘abord
le
marché
de
l’esthétique
médicale
est
non
seulement
celui
qui
a
le
mieux
résisté
au
plongeon
général
d’une
économie
mondialisée,
mais
surtout,
il
se
place
aujourd’hui
aux
avant
postes
de
la
reprise.
Ensuite,
en
période
de
crise,
c’est
le
rapport
efficacité/prix
qui
est
privilégié.
Résultat
:
on
diminue
le
nombre
de
traitements,
et
ce
sont
les
moins
onéreux
qui
sont
plébiscités
(toxine
botulique,
acide
Hyaluronique).
II
–
Les
Chiffres
ASAPS
(American
Society
of
Aesthetic
Plastic
Surgeons)
Depuis
2006,
82%
des
actes
pratiqués
par
les
chirurgiens
sont
non
invasifs
chirurgicaux
(dits
«
médicaux
»).
En
2007
ce
chiffre
passe
à
83,2%,
pour
revenir
à
82%
en
2008.
Entre
2000
et
2008,
la
croissance
de
ce
secteur
très
forte
de
63%
est
là
encore
inégale
:
‐12%
pour
la
chirurgie,
et
+90%
pour
les
actes
médicaux.
En
2008,
les
femmes
représentent
toujours
91%
des
demandes,
et
la
chirurgie
diminue
en
1
an
de
9%.
Le
top
5
des
actes
d’esthétique
médicale
(par
ordre
décroissant)
1
‐
Injections
de
Toxine
Botulique,
2
–
Traitements
non
invasifs
du
corps
(cellulite,
épilation
laser,
sclérothérapie)
3
‐
Injections
d’acide
hyaluronique,
4
–
Peeling
5
‐
Microabrasion
Le
top
5
des
interventions
chirurgicales
(par
ordre
décroissant)
1
‐
Augmentation
mammaire
2
–
Rhinoplastie
3
‐
Liposuccion
4
‐
Chirurgie
des
paupières,
5
‐
Lifting
du
ventre.
Ce
que
veulent
les
patients
Globalement
le
nombre
d’actes
a
augmenté
de
3%
en
2008
comparé
à
2007
avec
une
baisse
de
9%
de
la
chirurgie
et
une
hausse
de
5%
des
actes
médicaux.
Les
patients
recherchent
les
traitements
les
moins
invasifs,
les
plus
«
light
»,
les
plus
sûrs,
qui
les
immobilisent
le
moins
longtemps
possible.
La
chirurgie
recule
devant
les
traitements
«non
invasifs»
sur
le
visage
et
les
volumes
de
la
silhouette,
mais
reste
stable
concernant
les
seins.
5
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DOSSIER DE PRESSE - IMCAS 2010
Les
lieux
d’exercice
de
la
chirurgie
esthétique
- Dans
les
Cliniques
:
54%
(en
augmentation
par
rapport
au
46%
de
2007)
- Dans
les
hôpitaux
privés
ou
non
:
17%
(en
diminution
par
rapport
au
25%
de
2007
- Dans
les
Centres
de
chirurgie
:
29%
(idem
qu’en
2007)
Aux
USA
17%
des
chirurgiens
ont
créé
des
Spa
médicalisés,
ceux‐ci
arrivent
maintenant
en
France.
Cette
donnée
est
en
corrélation
avec
le
fait
que
80%
de
l’activité
des
chirurgiens
plasticiens
est
désormais
centrée
sur
les
traitements
médicaux
et
sur
l’association
chirurgie
et
médecine
esthétique.
III
‐
Les
nouveaux
axes
de
développement,
les
nouvelles
tendances
2009
1
‐
LA
CHIRURGIE
ESTHETIQUE
DEVIENT
MEDICO‐CHIRURGICALE
Le
Chirurgien
n’est
plus
seulement
un
expert
en
chirurgie,
mais
un
expert
en
esthétique
médicale
avec
des
techniques
particulièrement
efficaces,
mais
plus
douces,
plus
ciblées,
moins
invasives
:
toxines
botulique,
comblements,
volumétrie,
peelings,
lasers,...
La
French
Touch
‐
Du
figé
au
naturel
:
en
France,
en
Europe,
sur
la
côté
Est
des
Etats
‐
Unis
et
de
plus
en
plus
dans
le
monde,
la
tendance
qui
s’impose
est
de
restituer
et
maintenir
chez
les
patients
une
beauté
NATURELLE,
non
stéréotypée,
sans
vouloir
être
jeune
quel
qu’en
soit
le
prix.
Résultat
:
un
visage
moins
ridé,
mais
surtout
plus
détendu,
reposé,
épanoui
et
rafraichi
(Cf.
Ouvrage
«
Toxine
botulique
:
Info
ou
Intox
»
auteur
Dr
Benjamin
Ascher
–
Editions
Presses
du
Chatelet,
Jean
Daniel
Belfond
en
Librairie
le
12
janvier
2010)
2
‐
UN
PROGRAMME
SOFT
PAR
ETAPES
Lipofilling,
Injections
de
Toxine
Botulique,
Injections
d’acide
hyaluronique,
Laser,
Lumière,
puis
Lifting,
pour
le
visage
ou
Liposuccion,
remodelage
médical,
et
remise
en
tension
par
radio‐fréquence
pour
le
corps.
Aujourd’hui,
il
n’y
a
plus
d’actes
isolés,
mais
des
procédés
qui
s’inscrivent
dans
un
programme
intégré
pour
se
réapproprier
son
image,
la
maintenir
et
prévenir
le
vieillissement
qui
va
des
derniers
soins
dermo‐cosmétiques
en
date
à
une
chirurgie
de
plus
en
plus
douce.
Étapes
par
étapes
aujourd’hui
l’esthétique
médico
–chirurgicale
offre
de
vraies
possibilités
pour
bien
vieillir
en
beauté.
3‐
LE
BON
CHOIX
DANS
UN
ESPACE
APPROPRIÉ
Le
Medical
Spa
ou
Med
Spa
est
un
espace
autour
duquel
se
construit
un
centre
d’esthétique
médical.
Aujourd’hui,
l’esthétique
médicale
s’inscrit
dans
un
plan
raisonné
et
concerté
pour
faire
le
choix
des
bonnes
pratiques,
dans
un
espace
approprié.
Manquaient
à
ce
jour
des
lieux
offrant
le
panel
complet
de
toutes
les
techniques
d’esthétique
soft
mais
médicale
à
l’efficacité
avérée.
IV
‐
CONCLUSION
L’année
2009
permet
de
tirer
les
conclusions
suivantes
:
o Le
marché
de
l’esthétique,
s’il
n’est
pas
imperméable
à
la
crise,
reste
très
résistant
:
o la
vente
des
équipements
à
base
d’énergie
a
connu
la
plus
forte
baisse
(lumière
focalisé,
laser,
Ultrasons…)
au
niveau
des
laboratoires
(réduction
des
achats
d’équipements
par
les
cabinets,
crise
du
crédit...)
mais
l’utilisation
par
les
patients
est
restée
stable
.
o la
chirurgie
esthétique
a
connu
une
baisse
légère.
o Par
contre,
la
demande
de
médecine
esthétique
est
restée
quasiment
stable
dans
un
contexte
économique
dégradé.
o Les
données
marketing
mondiales
couvrent
des
différences
géographiques
fortes
et
requièrent
donc
une
analyse
fine
:
par
exemple
les
injections
de
toxines
botuliques
sont
5
fois
plus
importantes
que
les
injections
d’acide
hyaluronique
aux
USA,
mais
la
situation
en
Europe
est
très
différente
avec
2
fois
plus
d’injections
d’acide
hyaluronique
que
de
toxine
botulique.
o Ce
marché
de
l’esthétique
continue
à
enregistrer
l’arrivée
de
laboratoires
pharmaceutiques
qui
recherchent
de
nécessaires
relais
de
croissance.
o Cette
arrivée
des
laboratoires
pharmaceutiques
s’accompagne
de
consolidation
forte
des
acteurs
du
secteur
Tous
ces
éléments
permettent
d’envisager
une
année
2010
prometteuse.
Docteur
Benjamin
ASCHER
‐
Chirurgien
Plasticien.
Paris
‐
Fondateur
et
Directeur
scientifique
des
Congrès
IMCAS
Laurent
BRONES
‐
Business
Developement
manager
Symatese
Biomaterials
Thierry
CHIGNON
‐
Directeur
d’investissement,
MATIGNON
INVESTISSEMENT
&
GESTION,
France
6
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DOSSIER DE PRESSE - IMCAS 2010
Dr
Gilbert
ZAKINE
Chef
de
service
de
Chirurgie
plastique
Reconstructrice
et
Esthétique.
Centre
des
Brûlé
–
Paris
(Tours)
Les
cellules
souches,
et
autres
axes
de
recherche
de
la
fiction
à
la
science
En
chirurgie
plastique
reconstructrice
et
esthétique,
vaste
spécialité
qui
inclut
le
traitement
chirurgical
des
grands
brûlés,
plusieurs
axes
de
recherche
sont
particulièrement
porteurs
d’espoir.
CELLULES
SOUCHES
Les
cellules
souche
se
caractérisent
par
leur
capacité
à
se
renouveler,
se
différencier
en
plusieurs
types
cellulaires
et
à
réparer
les
tissus
lésés.
Notre
vie
commence
avec
une
première
cellule
souche
née
de
la
fécondation
d’un
ovule
par
un
spermatozoïde,
qui
se
divise
en
cellules
souches
dites
embryonnaires.
Après
plusieurs
divisions,
les
cellules
souches
se
différencient
et
se
spécialisent
en
une
multitude
de
types
cellulaires
différents.
Les
cellules
spécialisées
ne
pouvant
plus
se
multiplier,
certaines
cellules
restent
à
l’état
de
cellules
souches
dites
adultes
pour
permettre
de
servir
de
réservoir
remplaçant
les
cellules
spécialisées
lorsqu’elles
meurent.
Il
y
a
des
cellules
souches
sanguines
(appelées
hématopoïétiques)
qui
sont
retrouvées
dans
notre
moelle
osseuse
et
permettent
le
renouvellement
de
notre
sang,
des
cellules
souches
dans
notre
peau
à
la
jonction
entre
le
derme
et
l’épiderme
qui
permettent
son
renouvellement
permanent
et
la
réparation
d’une
destruction
ou
la
cicatrisation
d’une
plaie,
mais
aussi
des
cellules
souches
dans
notre
paroi
intestinale
ou
nos
muscles.
La
cellule
souche
peut
soit
se
renouveler
en
donnant
naissance
par
division
à
deux
cellules
souches
semblables,
soit
donner
naissance
à
un
type
cellulaire
spécialisé.
Ces
cellules
souches
adultes
sont
dites
multipotentes
tandis
que
les
cellules
souches
embryonnaires
sont
encore
toti
ou
pluripotentes.
Les
cellules
souches
apportent
de
grands
espoirs
en
médecine,
elles
ont
été
isolées,
cultivées
et
différenciées
pour
la
première
fois
en
1998
sur
l’embryon.
La
première
utilisation
a
probablement
été
la
culture
de
kératinocytes,
à
partir
de
cellules
souches
contenu
dans
1
cm²
de
peau
saine
prélevée
chez
un
grand
brûlé.
Ce
prélèvement,
après
séparation
des
cellules
et
mise
en
culture,
permet
la
couverture
cutanée
d’un
grand
brûlé.
Cette
technique,
certes
très
couteuse
est
utilisée
dans
les
cas
les
plus
graves
par
certains
centres
traitant
les
grands
brûlés.
Elle
permet
la
restitution
de
l’épiderme
mais
sans
la
couche
profonde
du
derme
et
donc
la
souplesse
de
la
peau,
et
sans
les
glandes
sudoripares
et
les
follicules
pilaires.
C’est
une
couverture
fragile,
imparfaite
mais
qui,
grâce
aux
cellules
souches
sauve
la
vie
de
certains
brûlés.
C’est
pour
cela
que
certain
laboratoire
travail
actuellement
sur
des
modèles
de
peau
artificielle
complète
et
que
d’autres
cherche
à
élaborer
des
substituts
cutanés
de
nouvelle
génération.
Récemment
des
cellules
souches
ont
été
découvertes
dans
la
graisse,
ce
sont
les
cellules
souches
adipocytaires.
La
réserve
de
cellules
graisseuses
étant
généralement
importante
et
le
prélèvement
simple
et
peu
douloureux,
des
expérimentations
ont
débutées
pour
évaluer
leurs
intérêts.
En
chirurgie
et
médecine
esthétique
ces
cellules
pourraient
jouer
un
rôle
important,
en
particulier
comme
tissu
de
comblement.
Des
études
sont
en
cours
pour
évaluer
leurs
effets
pour
combler
des
rides,
lutter
contre
l’atrophie
graisseuse
du
visage
due
au
vieillissement,
ou
encore
augmenter
le
volume
des
seins
par
injection
de
graisses
sans
avoir
recours
à
une
prothèse.
Les
cellules
souches
embryonnaires,
les
plus
pluripotentes,
mais
aussi
celles
dont
l’étude
est
la
plus
polémique.
ème
Elles
sont
prélevées
sur
un
blastocyste
jusqu’au
4
jour
après
la
fécondation
in
vitro,
qui
n’étant
pas
implanté
dans
l’utérus,
est
utilisé
pour
la
recherche.
L’embryon
n’est
alors
qu’une
boule
de
cellules
d’environ
un
centième
de
millimètre.
Ces
cellules
souches
embryonnaires,
que
l’on
prélève
alors,
peuvent
produire
n’importe
qu’elle
type
de
cellules,
donc
n’importe
quel
tissu.
Elles
peuvent
devenir
des
cellules
de
cœur,
sang,
peau
ou
de
cerveau,
en
fonction
des
signaux
internes
et
externes
qu’elles
recevront.
Ces
cellules
souches
humaines,
produisant
des
lignées
cellulaires
différenciées
pourraient
permettre
de
réaliser
de
nouveaux
tests
pour
l’industrie
pharmaceutiques
qui
pourraient
réduire
les
expérimentations
animales.
7
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DOSSIER DE PRESSE - IMCAS 2010
L’étude
de
ces
cellules
peut
aussi
nous
aider
à
mieux
comprendre
des
maladies
comme
le
Diabète,
la
maladie
d’Alzheimer,
ou
de
Parkinson,
et
surtout
de
traiter
ces
maladies
comme
en
implantant
des
cellules
beta
des
îlots
de
langerhans
du
pancréas,
celles
qui
sécrètent
de
l’insuline
et
font
défaut
dans
le
diabète.
Des
espoirs
sont
permis
également
pour
la
réparation
de
tissu
comme
la
moelle
épinière
après
lésion,
le
myocarde
après
un
infarctus.
Ainsi
l’étude
des
cellules
souches
adultes
et
celle
des
cellules
embryonnaires,
qui
sont
complémentaires
car
les
enjeux
d’applications
ne
sont
pas
exactement
les
mêmes,
sont
fondamentales
et
nous
permettra
de
mieux
comprendre
le
développement
embryonnaire
et
la
réparation
tissulaire.
FACTEURS
DE
CROISSANCE
Les
facteurs
de
croissance
stimulent
la
prolifération,
la
migration,
et
la
différentiation
cellulaire.
Leurs
rôles
sont
fondamentaux
dans
l’ontogenèse
(c'est‐à‐dire
la
formation
d’un
nouveau
né
à
partir
d’une
cellule
souche),
l'angiogénèse
(le
développement
des
vaisseaux
sanguins)
et
la
cicatrisation
tissulaire.
Les
récentes
avancées
de
la
recherche,
ont
permis
de
mieux
définir
l'intervention
des
facteurs
de
croissance
dans
la
régulation
de
la
cicatrisation
tissulaire
et
ouvrent
ainsi
des
perspectives
dans
leurs
applications
cliniques
potentielles.
Accélérer
et
améliorer
la
cicatrisation
cutanée
permettraient
de
diminuer
la
morbidité
et
la
mortalité,
d’écourter
les
douleurs
et
de
réduire
la
durée
d’hospitalisation.
Les
facteurs
de
croissance
interviennent
dans
tous
les
stades
de
la
cicatrisation
cutanée
après
une
brûlure
ou
une
plaie.
Dans
des
séries
cliniques
récentes,
des
facteurs
de
croissance
ont
été
appliqués
en
chirurgie
cardio‐vasculaire
et
en
Dermatologie.
Le
Fibroblast
Growth
Factor
2
(FGF2
ou
bFGF)
et
le
Vascular
Endothelial
Growth
Factor
(VEGF)
en
particulier
ont
été
administrés
chez
des
patients
artériopathiques
ou
ayant
présenté
une
ischémie
myocardique.
Le
FGF‐2
a
été
appliqué
chez
des
patients
brûlés
et
d’autres
facteurs
de
croissance
ont
été
déjà
testés
sur
des
plaies
chroniques.
Une
nouvelle
molécule,
un
biopolymère
de
synthèse,
agissant
sur
la
matrice
extracellulaire,
c'est‐à‐dire
la
substance
entourant
les
cellules
dans
l’organisme,
peut
moduler
l’action
d’un
certain
nombre
de
facteurs
de
croissance
endogènes.
Cette
molécule,
récemment
commercialisée
et
en
cours
d’évaluation
clinique
pourrait
accélérer
et
améliorer
la
cicatrisation
de
différents
types
de
tissus.
Les
facteurs
de
croissance
ont
donc
un
rôle
majeur
dans
tous
les
processus
de
cicatrisation
tissulaire.
Le
traitement
des
brûlés
ou
des
patients
présentant
des
pertes
de
substance
ou
une
cicatrisation
retardée
pourra
être
amélioré
par
l’utilisation
de
facteurs
de
croissance.
En
chirurgie
esthétique,
contrôler
le
processus
de
cicatrisation
et
l’améliorer
permettraient
de
rendre
les
cicatrices
moins
visibles
ou
moins
fibreuses.
En
médecine
esthétique,
l’injection
de
dérivé
sanguin
enrichi
en
facteurs
de
croissance
endogènes
est
en
cours
d’étude.
TISSU
ENGINEERING
Cet
axe
de
recherche
est
également
en
plein
développement.
En
chirurgie
réparatrice
ce
sont
surtout
les
substituts
dermiques
qui
permettent
de
couvrir
des
pertes
de
substance
ou
de
traiter
les
grands
brûlés.
De
nouvelles
matrices
dermiques
ont
récemment
été
commercialisées
et
permettent
d’élargir
les
indications
thérapeutiques.
Cellules
souches
et
facteurs
de
croissance
sont
à
l’origine
de
l’ontogenèse,
du
renouvellement
normal
ou
de
la
réparation
des
tissus
en
cas
de
lésion.
Ils
sont
indissociables
de
toute
vie
animale
ou
végétale.
Leurs
études
et
leurs
utilisations
en
thérapeutique
ouvrent,
dans
un
avenir
proche,
de
grands
espoirs.
Le
tissu
engineering
permet
de
nous
aider
à
réparer
une
perte
de
substance
ou
recouvrir
une
plaie.
Ce
sont
des
axes
essentiels
de
la
recherche
en
chirurgie
plastique
et
esthétique.
8
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DOSSIER DE PRESSE - IMCAS 2010
Toxine
botulique
INFO
ou
INTOX
?
Auteur : Docteur Benjamin Ascher
aux Editions Presses du Châtelet, Jean Daniel Belfond
Enfin
le
premier
ouvrage
qui
dit
STOP
aux
idées
reçues
et
qui,
en
50
questions/réponses
donne
toutes
les
clés
pour
passer
de
la
beauté
jadis
figée
à
la
beauté
actuelle,
au
naturel…
La
toxine
botulique,
des
chiffres
et
des
faits
fiables
et
précis
NON
à
l’intox,
OUI
à
l’info
:
10
millions
de
patients
traités
par
an,
depuis
les
années
2000,
et
plus
de
15
ans
de
recul.
Aujourd’hui
l’injection
de
toxine
botulique
«
Botox
»,
traitement
esthétique
le
plus
pratiqué
au
monde,
est
totalement
fiable
et
sécurisé.
Dans
le
premier
guide
pratique
accessible
à
tous,
médecins
et
patients,
le
Docteur
Benjamin
Ascher,
chirurgien
plasticien,
qui
a
introduit
la
toxine
botulique
en
France
il
y
a
16
ans
pour
ses
indications
esthétiques,
publie
pour
la
première
fois
tout
ce
qu’il
faut
savoir,
en
50
questions/réponses.
Qui
sait:
que
la
toxine
botulique
est
d’abord
et
depuis
30
ans
un
médicament
efficace
utilisé
couramment
dans
de
nombreux
domaines
médicaux,
notamment
en
neurologie
?
qu’à
ce
jour,
sans
intervention
chirurgicale,
c’est
le
meilleur
traitement
des
rides
dites
d’expression
du
visage
?
qu’il
n’existe
pas
un
mais
3
produits
disponibles
?
que
la
toxine
botulique
est
loin
d’avoir
révélé
tous
ses
secrets
?
La
«
French
Touch
»
:
La
toxine
botulique
incarne
parfaitement,
aujourd’hui,
l’évolution
radicale
de
la
chirurgie
esthétique
française
et
mondiale
qui
devient
médico‐chirurgicale,
avec
des
techniques
particulièrement
efficaces,
mais
plus
douces,
plus
ciblées,
moins
invasives.
Du
figé
au
naturel
:
en
France,
en
Europe,
sur
la
côté
Est
des
Etats‐Unis
et
de
plus
en
plus
dans
le
monde,
la
tendance
qui
s’impose
est
de
restituer
et
maintenir
chez
les
patients
une
beauté
NATURELLE,
non
stéréotypée,
sans
vouloir
être
jeune
quel
qu’en
soit
le
prix.
La
toxine
botulique
illustre
parfaitement
cette
tendance.
Résultat
:
un
visage
moins
ridé,
mais
surtout
plus
détendu,
reposé,
épanoui
et
rafraichi.
La
raison
d’être
de
ce
livre
est
de
montrer
en
50
questions/réponses,
d’abord
que
bien
qu’elle
soit
botulique,
cette
toxine
n’a
rien
de
toxique.
Cet
ouvrage
entend
aussi
présenter
les
nombreuses
indications
esthétiques
et
thérapeutiques.
S’adressant
à
un
large
public,
ainsi
qu’à
la
communauté
médicale,
ce
vade‐mecum
dresse
un
tableau
tant
pratique,
historique,
prospectif,
que
sociologique
et
économique,
de
toutes
les
questions
que
l¹on
peut
légitimement
se
poser.
Pratique
:
le
résultat
peut‐il
enfin
être
naturel
?
Est‐ce
dangereux,
douloureux,
combien
de
temps
durent
les
effets
;
à
partir
de
quel
âge
peut‐on
y
penser
;
à
qui
s’adresser
;
quelles
sont
les
contre‐indications
;
comment
se
passe
un
traitement
;
comment
ça
marche
?
etc.
Autant
de
questions
auxquelles
il
donne
une
réponse
simple
et
concise
dans
le
premier
ouvrage
européen
sur
ce
sujet
destiné
au
grand
public.
Historique
:
du
poison
au
médicament,
du
médicament
à
l’anti‐rides,
la
molécule
botulique
du
départ
n’a
plus
rien
à
voir
avec
celle
qui
soigne
et
traite
les
rides.
Sociologique
:
existe‐t‐il
une
norme
sociale
de
la
beauté
et
une
obligation
de
jeunesse
éternelle,
jusqu’à
quel
âge
doit‐on
paraître
jeune
?
Qu’est
ce
que
la
«
French
Touch
»,
le
traitement
au
naturel
?
Economique
:
le
«
Botox
»
business
est
un
vecteur
de
croissance
incroyable
pour
les
4
laboratoires
qui
produisent
actuellement
ces
produits.
Prospectif
:
cette
toxine
recèle
un
formidable
potentiel
qui
fait
d’elle
une
molécule
d’avenir.
Dans
les
laboratoires,
on
expérimente
aujourd’hui
les
applications
de
demain.
Totalement
en
phase
avec
l’actualité,
ce
livre
démonte
point
par
point
toutes
les
accusations
et
polémiques
infondées
suscitées
par
des
affaires
qui
ont
fait
la
une
et
prouve
que
l’INFO
de
qualité
peut
triompher
de
l’INTOX.
‐
Prix
public
conseillé
:
17,95
euros
TTC
‐200
pages
Pionnier
en
France
de
la
toxine
botulique,
le
Docteur
Benjamin
Ascher,
spécialiste
en
chirurgie
esthétique,
plastique
et
réparatrice,
a
traité
ses
premières
patientes
et
publié
dès
1993
sur
ses
indications
en
esthétique.
Il
a
conduit
de
nombreuses
études
ayant
fortement
contribué
aux
autorisations
d’utilisation
de
ces
produits,
il
est
aujourd’hui
l’un
des
seuls
investigateurs
à
diriger
les
travaux
sur
les
3
toxines
botuliques
disponibles
en
Europe.
En
25
ans,
Le
Docteur
Benjamin
Ascher
a
développé
de
nombreuses
techniques
performantes
tant
chirurgicales
que
médicales.
- Il
est
le
directeur
scientifique
des
Congrès
IMCAS,
l’un
des
leaders
mondiaux
de
l’enseignement
pour
les
chirurgiens
plasticiens
et
les
dermatologues
dans
le
domaine
esthétique.
- Il
est
le
Codirecteur
du
premier
diplôme
universitaire
sur
«
les
injectables
en
chirurgie
plastique
»,
à
l’université
de
Paris
V
–
Paris
XII,
et
à
l’Hôpital
Tarnier
où
il
enseigne
les
méthodes
d’injections
de
toxine
botulique
et
des
produits
de
comblement
des
rides,
tout
comme
celles
de
ré‐harmonisation
des
volumes.
9
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Remodelage
médico‐chirurgical
orbitaire
et
du
visage
Le
traitement
des
cernes
:
Il
se
fait
moins
par
chirurgie,
plus
par
injections
associées
à
d’autres
techniques
douces.
Comme
dans
le
cas
des
liftings
du
visage
au
niveau
du
regard,
il
s’agit
de
moins
en
moins
d’enlever
de
la
peau
et
du
muscle
que
de
remplir
les
creux
par
une
simple
injection.
L’acide
hyaluronique
est
le
produit
idéal.
L’injection
est
profonde
au
niveau
du
périoste.
Le
Juvederm
Ultra
3,
Le
Restylane
,l’Esthélis,…
sont
les
produits
adéquats.
En
surface
on
associe
volontiers
pour
les
ridules
restantes
un
laser
fractionnel
type
Mixto,
qui
semble
plus
efficace
qu’un
peeling
chimique,
avec
des
rougeurs
raisonnables
de
8‐12
jours.
Les
acides
hyaluroniques
qui
font
le
moins
d’appel
d’au
(hydrophobes)
sont
recherchés.
2
dispositifs
très
innovants
:
- les
aiguilles
mousses
atraumatiques
adaptées
à
la
paupière,
très
fine,
30G
- un
nouvel
injectable
à
base
d’alginate,
le
Novabel,
particulièrement
adapté
par
sa
fluidité.
Conséquences
:
Plus
d’anesthésie,
pas
de
bleus,
ni
de
nodules
visibles.
L’Association
:
aiguilles
mousses
et
système
d’injection
électronique.
HISTORIQUE:
Les
injections
de
comblements,
tant
pour
le
traitement
des
rides
que
celui
des
volumes,
ont
largement
bénéficié
ces
dernières
années,
parallèlement
à
la
nette
amélioration
des
produits,
d’avancées
importantes
dans
les
techniques
:
meilleures
connaissances
de
l’anatomie,
de
la
physiologie
du
vieillissement
permettant
l’optimisation
des
niveaux
d’injection,
gestes
techniques
plus
précis,
permettant
des
injections
un
peu
moins
douloureuses,
moins
traumatisantes,
meilleure
prise
en
charge
pré
et
post
traitement
….2
méthodes
récentes
que
nous
avons
développés
depuis
6
moins
permettent
à
leur
tour
des
avancées.
1)
l’Anteis
Injection
System,
est
un
équipement
électronique
d’injection
innovant,
dédié
en
particulier
aux
comblements
des
rides,
et
à
la
reconstruction
morphologique.
Grâce
à
une
maîtrise
remarquable
du
volume
injecté,
en
mode
de
papule
ou
de
flux
continu,
à
pression
constante,
et
à
une
libération
de
la
main
de
l’opérateur,
il
produit
une
précision
inégalée
dans
les
traitements.
Il
permet
d’injecter
avec
les
mêmes
performances
suivant
les
indications,
le
derme
superficiel,
moyen,
ou
l’hypoderme.
Cette
maîtrise
procure
au
patient
une
surprenante
réduction
ou
disparition
de
la
douleur
à
l’injection,
une
réduction
des
œdèmes,
et
des
autres
effets
secondaires
répertoriés
dans
ces
traitements.
2)
Une
gamme
originale
d’aiguilles
à
pointe
mousse,
fines,
souples,
et
relativement
longues,
les
aiguilles
SoftFil®,
a
été
conçue
pour
une
injection
optimale
et
sans
risque,
sans
traumatisme,
de
tous
les
types
de
produits
de
comblements
et
notamment
des
différents
acides
hyaluroniques.
Cette
gamme
est
basée
sur
une
méthode
d’injection
originale
standardisée.
Nous
avons
mis
au
point
cette
technique
qui
présente
de
multiples
avantages
par
rapport
à
la
technique
conventionnelle
d’injection
à
l’aiguille
pointue.
Elle
ne
nécessite
qu’un
nombre
très
limité
de
points
d’injection
(2
à
4
par
cotés),
ne
provoque
pas
de
douleurs
et
ne
présente
pratiquement
pas
de
risque
d’hématomes,
de
lésions
de
structures
fragiles
telles
que
vaisseaux
et
nerfs.
10
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Cinq
types
d’aiguilles
à
pointe
mousse
de
différents
diamètres
(22
à
30G),
et
différentes
longueurs,
ont
été
conçus,
permettant
une
adéquation
parfaite
entre
chaque
point
d’introduction,
chaque
site
injecté
,
chaque
profondeur
d’injection
souhaitée,
et
la
viscosité
et
les
autres
caractéristiques
physico‐chimiques
du
produit
correspondant.
Ces
aiguilles
ne
peuvent
pas
encore
nous
permettre
d’injecter
le
derme
superficiel.
RESULTATS
:
L’Anteis
Injection
System
et
les
aiguilles
Softfil
permettent
chacun
d’améliorer
la
précision
technique,
de
diminuer
l’épaisseur
des
aiguilles
nécessaires,
et
par
conséquent
l’ensemble
des
micro
traumatismes
liés
aux
injections.
Ces
dispositifs
ont
également
permis
de
trouver
de
nouvelles
techniques
pour
injecter.
Mais
leur
combinaison
a
optimisé
ces
différentes
capacités.
Les
résultats
ont
été
hautement
performants
dans
90%
des
cas.
La
méthode
aiguilles
soft‐
Injection
System
aboutit
également
à
utiliser
moins
de
produit.
Mais
la
véritable
innovation
se
trouve
dans
le
confort
et
le
vécu
des
patients,
car
dans
tous
ces
cas
aucune
douleur
vraie,
ni
à
l’injection
ni
dans
les
suites,
n’a
été
constatée,
alors
que
aucune
anesthésie
n’avait
été
effectuée
préalablement,
et
ce
tant
pour
les
injections
de
produits
de
comblement
que
pour
les
produits
volumateurs,
même
les
plus
hautement
réticulés.
Au
plus
les
patients
signalent
une
sensation
de
distension
ou
de
tension.
Les
oedèmes
immédiats
et
les
rougeurs,
les
ecchymoses
sont
de
inexistants
à
modérés.
Il
n’y
aucun
arrêt
des
activités.
Aucun
autre
effet
secondaire
n’a
té
rapportés
:
notamment
nodule
de
surcorection,
prurit,
ou
discoloration.
La
satisfaction
des
patients
a
été
évaluée
de
très
bonne
à
bonne
dans
98%
des
cas.
CONCLUSION
:
Utiliserons
nous
dans
le
futur
uniquement
des
aiguilles
pointues
donc
traumatisantes,
pas
toujours
de
longueur
adéquate,
et
les
seringues
actuelles
?
Nous
ne
le
pensons
pas.
L’Anteis
Injection
System
au
besoin
associé
aux
aiguilles
mousses
apportent
une
nette
amélioration
à
nos
injections
quotidiennes.
Leur
champ
d’application
devrait
également
se
développer
en
pathologie.
Mais
seules
des
études
approfondies
et
sur
une
plus
longue
durée
permettrons
de
conclure
sur
les
réelles
performances
de
cette
nouvelle
méthode
d’injection
qui
produit
une
injection
de
qualité
sans
traumatisme
réel.
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Dr
Nathalie
FOURNIER
Dermatologue
‐
France
Cellulite
et
remodelage
médical
de
la
silhouette
:
lipolyse
non
invasive
de
la
cellulite
85%
des
femmes
développent
de
la
cellulite
à
un
moment
donné
de
leur
vie,
et
celle
ci
ne
disparaitra
avec
aucun
régime
ou
exercice
physique.
Points
communs
de
tous
ces
traitements
externes
:
Ils
traitent
la
cellulite
sans
agressivité,
sans
anesthésie,
avec
peu
de
douleur
ressentie,
ou
d’effets
indésirables.
Plusieurs
séances
consécutives
sont
nécessaires.
Les
améliorations
mesurées
sont
nettement
visibles
mais
moindre
qu’avec
une
liposuccion
ou
une
lipolyse
par
laser
interne,
et
vont
consister
en
une
diminution
de
circonférence
et
une
amélioration
de
l’aspect
cutané
localement.
Celles‐ci
seront
variables
selon
les
appareils
utilisés
et
parfois
selon
les
personnes
traitées.
Ils
nécessitent
de
garder
une
alimentation
normale
sans
excès
et
un
exercice
physique
minimum,
sans
chercher
pour
autant
une
perte
de
poids.
Les
mesures
des
taux
de
lipides
dans
le
sang
restent
stables
pendant
et
après
les
traitements.
Des
séances
d’entretien
une
à
deux
fois
par
an
seront
nécessaires
pour
maintenir
le
résultat
final.
Ils
sont
indiqués
avant
ou
après
une
liposuccion,
ou
une
grossesse,
ou
pour
toute
personne
ne
désirant
pas
d’acte
invasif
sur
les
zones
habituellement
touchées
par
la
cellulite.
Les
Ultrasons
focalisés
:
(Contour
1‐Ultrashape)
Une
huile
appliquée
sur
la
zone
traitée
sert
d’agent
couplant
avec
l’appareil.
Les
ultrasons
fragmentent
les
membranes
cellulaires
des
adipocytes
par
un
effet
mécanique.
La
douleur
ressentie
est
faible
et
une
rougeur
légère
est
observée
plusieurs
dizaines
de
minutes.
Une
étude
sérieuse
(Chan
H.,
LSM
2009)
montre
une
satisfaction
plutôt
faible
en
général
et
particulièrement
chez
les
femmes
de
petite
corpulence,
ou
asiatiques
pour
lesquelles
l’amélioration
de
la
cellulite
est
absente
ou
minime
malgré
un
traitement
bien
conduit.
La
longueur
de
chaque
traitement
(2
à
3
heures
chacun),
le
risque
d’effets
indésirables
mal
contrôlables
dans
les
zones
des
hanches
(ulcérations),
le
prix
élevé
des
séances
soit
2000
à
3000
euro
par
séance
et
par
zone
en
font
un
traitement
peu
populaire
en
France.
La
radiofréquence
bipolaire
ou
monopolaire:
(VelaShape‐Deka,
Velasmooth‐Syneron,
Accent‐Alma)
La
radiofréquence
chaufferait
les
fibres
de
collagène
des
cloisons
fibreuses
profondes
qui
emprisonnent
les
lobules
graisseux
et
améliorerait
ainsi
la
tension
cutanée.
Elle
peut
être
associée
à
une
lumière
infrarouge
et
un
massage
type
palpé‐roulé
qui
améliorerait
le
drainage
lymphatique
et
la
microcirculation
locale
(Winter
2009).
Deux
traitements
par
semaine
de
20
à
45mn
chacun
sont
nécessaires
pendant
4
à
8
semaines.
Une
sensation
de
chaleur
et
des
rougeurs,
pendant
quelques
heures,
accompagnent
le
traitement
avec
rarement
des
petits
bleus
très
superficiels.
L’amélioration
de
la
tension
cutanée
quand
elle
est
visible
reste
très
modérée
et
de
courte
durée.
Le
prix
des
séances
varie
selon
la
zone
traitée
de
60
à
120
euro.
Le
laser
diode
basse
énergie
:
(Tri
Active‐Cynosure)
Elle
est
combinée
avec
refroidissement
de
contact
et
massage
type
palpé‐roulé.
Les
résultats
obtenus
seraient
similaires
à
ceux
de
la
radiofréquence
bipolaire
(Winter
M.L.
2009).
La
cryothérapie
ciblée
:
(Zeltiq‐Zeltiq
aesthetic)
Dernier
venu
sur
le
marché
et
en
cours
d’évaluation,
il
permet
de
programmer
la
mort
et
donc
la
destruction
des
cellules
graisseuses
par
une
application
de
froid
longue
et
constante
sans
endommager
les
tissus
environnants
(Avram
2009).
Un
applicateur
aspire
et
maintient
une
zone
de
peau
couverte
de
gel
entre
2
plaques
transmettant
du
froid
pendant
environ
une
heure.
Les
effets
secondaires
sont
minimes
à
type
de
rougeur,
de
diminution
de
la
sensibilité
temporaire.
La
diminution
de
la
couche
graisseuse
reste
perceptible
trois
mois
après
en
mesures
échographique.
La
satisfaction
des
patients
en
France
n’est
pas
encore
connue.
Le
prix
des
séances
en
France
n’est
pas
communiqué
et
est
d’environ
1000
à
1500
dollars
par
traitement
d’une
zone
aux
USA.
12
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La
Photomologie
:
(Smoothshapes‐Elémé)
C’est
la
combinaison
dans
un
applicateur
d’un
rayonnement
rouge,
d’un
laser
diode,
et
d’un
système
de
massage
‐
aspiration.
Le
laser
diode
(915nm)
chauffe
les
adipocytes
jusqu’à
déstabiliser
leurs
membranes
et
entraine
une
fonte
des
lipides
contenues
dans
ces
cellules
graisseuse.
L’émission
de
lumière
rouge
(650nm)
ouvrirait
en
même
temps
certains
canaux
de
la
membrane
cellulaire
des
cellules
graisseuses
(Neira
2002).
Le
massage
programmable
permet
d’évacuer
dans
la
circulation
lymphatique
ces
lipides
rejetés
par
les
adipocytes.
C’est
un
traitement
conservateur
et
non
destructeur
avec
un
respect
total
des
structures
et
des
cellules
de
la
peau
;
Il
se
produit
ensuite
pendant
plusieurs
mois
un
remodelage
du
collagène
qui
conduit
à
une
réorganisation
en
réseau
normal
des
septas
fibreux
observable
en
échographie
et
par
IRM
(Lach
E
2008).
L’efficacité
a
été
clairement
démontrée
par
une
étude
multicentrique
américano‐
française
(Gold
M.,
Weiss
R.,
Hails
J.,
Katri
K.,
Fournier
N.
2008)
et
a
permis
d’obtenir
l’homologation
par
la
FDA.
Une
moyenne
de
2,9cm
de
réduction
du
tour
de
cuisse
traitée
versus
la
cuisse
non
traitée
est
obtenu
et
un
aspect
de
la
peau
d’orange
nettement
amélioré.
Huit
séances
de
20
à
40mn,
2
fois
par
semaine
pendant
4
semaines
permettent
d’obtenir
cet
aspect
plus
lisse
et
une
réduction
de
circonférence
de
la
zone
traitée.
La
satisfaction
des
patientes
est
élevée
car
le
traitement
est
agréable,
les
résultats
persistent
et
s’améliorent
jusqu’à
3
mois
et
parfois
jusqu’à
6
mois
et
il
n’y
a
aucun
effet
indésirable.
Un
traitement
d’entretien
est
souhaitable
1
fois
par
an.
Le
prix
des
séances
varie
de
60
à
120euro.
Conclusion
:
L’examen
soigneux
et
la
bonne
sélection
du
patient
avant
d’inclure
le
patient
dans
une
de
ces
techniques
est
l’une
des
clés
pour
l’obtention
de
résultats
satisfaisants.
Le
respect
d’un
minimum
d’hygiène
de
vie
et
d’une
stabilité
de
poids
de
la
part
du
patient
est
nécessaire
aussi.
Références
:
Chan
H.
et
al,
«
the
use
of
focused
ultrasound
for
non‐invasive
body
contouring
in
Asians.
»,
Lasers
in
Surgery
and
Medecine
41:751‐759
(2009)
Winter
M.L.,
«
post
pregnancy
body
contouring
using
a
combined
radiofrequency,
infrared
light
and
tissue
manipulation
device.
»,
journal
of
cosmetic
and
laser
therapy,
11:229‐235
(2009)
Avram
M.M.
et
al,
«
Cryolipolysis
for
subcutaneous
fat
layer
reduction
»,
Lasers
in
Surgery
and
medecine
41
:703‐708
(2009)
Neira
et
al.
“Low‐Level
Laser‐Assisted
Lipoplasty”,
Plastic
Reconstructive
Surg,
110:
912‐22,
2002
Lach
E,
“reduction
of
subcutaneous
fat
and
improvement
in
cellulite
appearance
by
dual
wavelenght
low
level
laser
energy
combined
with
vacuul
and
massage”,
Journal
of
Cosmetic
and
laser
therapy,
10(4)
202‐9,
2008.
13
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DOSSIER DE PRESSE - IMCAS 2010
Dr
Olivier
Gerbault
Chirurgien
Plasticien
–
France
(
Vincennes)
AUGMENTATION
MAMMAIRE
:
Implants,
graisse
ou
acide
hyaluronique
?
Les
augmentations
mammaires
sont
une
des
deux
demandes
les
plus
fréquentes
en
chirurgie
esthétique,
et
cette
demande
reste
stable
en
2009
malgré
la
crise.
Ce
qui
change
est
le
souhait
exprimé
par
de
plus
en
plus
de
femmes
d’augmentation
mammaire
sans
les
inconvénients
d’un
corps
étranger.
Le
lipomodelage
(réinjection
de
sa
propre
graisse
dans
la
poitrine)
est
la
première
technique
d’augmentation
mammaire
sans
corps
étranger.
Il
s’est
développé
notablement
depuis
2
ans
en
France,
mais
reste
limité
dans
son
expansion
par
différents
aspects
techniques
et
surtout
par
une
mise
engarde
de
la
société
française
de
chirurgie
plastique
vis‐à‐vis
d’un
manque
de
données
concernant
les
interrelations
entre
lipomodelage
et
cancer
du
sein.
L’injection
d’acide
hyaluronique
est
une
alternative
à
l’injection
de
graisse,
mais
le
recul
est
encore
plus
faible
(moins
de
2
ans).
Il
s’agit
d’une
technique
qui
doit
être
répétée
annuellement
et
dont
le
cout
n’est
pas
très
éloigné
de
celui
d’une
intervention
chirurgicale
avec
implants.
Si
le
risque
de
carcinogénèse
n’a
pas
été
évoqué
pour
l’acide
hyaluronique,
celui
de
gêner
le
dépistage
mammographique
de
cancers
du
sein
est
loin
d’être
écarté.
Les
augmentations
mammaires
quant
à
elles
ont
atteint
un
niveau
de
maturité
avec
un
gamme
étendue
d’implants
qu’il
n’est
plus
nécessaire
de
changer
systématiquement,
et
qui
permet
d’atteindre
un
naturel
sans
précédent.
REMODELAGE
DU
NEZ
:
les
injections
vont‐elles
remplacer
les
rhinoplasties
?
Le
remodelage
du
nez
par
injection
de
produits
de
comblement
(Ac
hyaluronique,
Hydroxyapatite
de
calcium)
est
une
technique
très
en
vogue.
Elle
permet
de
corriger
certains
problèmes
de
reliefs
du
nez,
en
augmentant
le
volume
afin
d’atténuer
certains
creux.
Ainsi,
une
bosse
pourra
être
amoindrie
en
injectant
un
produit
à
son
pourtour,
un
dos
du
nez
trop
creux
pourra
être
augmenté.
Cette
technique
est
surtout
un
complément
très
utile
pour
corriger
des
défauts
à
la
suite
de
rhinoplasties
imparfaites.
Elle
n’est
pas
sans
risque
(infection,
nécrose,
déformations…),
et
doit
donc
être
pratiquée
par
des
praticiens
connaissant
bien
l’anatomie
du
nez.
Enfin,
elle
ne
permet
pas
de
corriger
un
grand
nombre
des
problèmes
qui
amènent
à
consulter
pour
une
rhinoplastie,
ni
bien
sûr
les
aspect
fonctionnels
(respiratoires)
qui
sont
corrigés
lors
des
rhinoplasties.
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Dr.
Bernard
Môle
Chirurgien
Plasticien
‐
France
(Paris)
Aucune
des
photographies
présentées
ci‐après
ne
saurait
être
utilisée
sans
l’autorisation
expresse
du
Dr
Môle
4
sujets
•Assistances
à
la
liposuccion
(ultrasons,
lipolaser,
waterjet,
etc)
:
les
mythes,
les
réalités
•
Lipofilling
:
où
en
sommes
nous
?
•
Le
lifting
cervical
antérieur
:
une
intervention
simple,
rapide,
très
efficace,
pas
seulement
réservée
aux
hommes
!
•
Une
nouvelle
alternative
aux
fils
crantés
?
Assistances
à
la
liposuccion
(ultrasons,
lipolaser,
waterjet,
etc)
:
les
mythes,
les
réalités
Successivement
considérées
comme
des
avancées
majeures
et
parfois
abandonnées
du
fait
de
résultats
décevants
et
de
promesses
non
tenues,
les
assistances
à
la
liposuccion
ont
tout
de
même
fini
par
faire
leur
place
dans
l'univers
de
la
liposuccion
qui
reste,
faut‐il
le
rappeler,
la
première
intervention
de
chirurgie
esthétique
dans
le
monde.
Ces
assistances
peuvent
être
scindées
en
deux
groupes
:
1°)
Assistances
purement
mécaniques
:
il
s'agit
de
provoquer
une
meilleure
fragmentation
de
la
graisse
par
des
micros
mouvements
de
la
canule
soit
de
manière
alternative
soit
de
manière
circulaire
;
les
pièces
à
main,
autrefois
lourdes
et
difficiles
à
manipuler
longtemps
sans
fatigue
se
sont
beaucoup
améliorées,
et
de
manière
indéniable
elles
favorisent
une
lipo‐aspiration
plus
fluide,
plus
régulière,
et
plus
complète
sinon
plus
rapide.
Un
autre
système
de
pulvérisation
de
la
graisse
par
une
projection
d'eau
sous
haute
pression
(effet
«
Karcher
»)
est
également
à
notre
disposition
depuis
deux
ans
;
la
graisse
ainsi
extraite
est
particulièrement
exsangue
et
presque
«
prête
à
l'emploi
»
pour
un
éventuel
lipofilling.
2°)
Les
assistances
physiques
:
si
les
ultrasons
n'ont
plus
la
cote,
on
entend
beaucoup
plus
parler
de
la
lipolyse
laser.
Il
s'agit
de
projeter
par
l'extrémité
d'une
petite
sonde
une
lumière
laser
qui
va
détruire
la
graisse
par
effet
thermique,
produisant
une
huile
et
des
débris
cellulaires
qui
devront
bien
être
éliminés
d'une
façon
ou
d'une
autre,
soit
de
manière
naturelle
ce
qui
prend
du
temps
(deux
à
trois
mois)
et
au
prix
d'une
réaction
inflammatoire
prolongée,
soit
par
une
lipo‐
aspiration
traditionnelle
complémentaire.
La
loi
Kouchner
qui
a
considérablement
restreint
aux
non
chirurgiens
l'accès
aux
techniques
chirurgicales
explique
à
la
fois
le
succès
rencontré
par
ce
type
de
lipolyse
en
médecine
esthétique
mais
également
ses
limites
puisque
le
patient
doit
invariablement
attendre
plusieurs
mois
pour
apprécier
le
résultat
éventuel
de
son
intervention...
En
revanche,
les
nouvelles
sondes
à
radiofréquence
interne
proposent
une
approche
plus
logique
de
l'élimination
des
excédents
graisseux
et
notamment
de
la
cellulite
:
l'appareillage
consiste
en
un
émetteur
externe
qui
dirige
une
onde
de
radiofréquence
entraînant
un
effet
thermique
élevé
à
l'extrémité
d'un
récepteur
sous‐cutané
situé
à
l'extrémité
d'une
sonde
creuse
elle‐même
reliée
à
un
dispositif
d'aspiration
;
en
balayant
doucement
la
peau
par
cette
sonde
introduite
par
une
petite
ouverture,
on
peut
effectivement
détruire
la
graisse
superficielle
et
l’éliminer
dans
le
même
temps
;
d'autre
part,
la
température
élevée
atteinte
à
l'extrémité
de
la
sonde
(80°)
permet
d'espérer
un
véritable
remodelage
du
collagène
et
donc
un
aspect
plus
lisse
de
la
peau.
Ce
procédé
est
relativement
long
et
il
doit
être
d'abord
considéré
comme
une
technique
complémentaire
à
une
lipoaspiration
traditionnelle
sur
des
peaux
à
infiltration
cellulitique
importante.
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Lipofilling
:
où
en
sommes
nous
?
Certes,
le
lipofilling
n'est
pas
une
nouveauté
mais
il
gagne
indéniablement
en
efficacité
à
grâce
deux
facteurs
:
•L'obtention
d'une
graisse
de
plus
en
plus
pure
d'emblée,
sans
obligatoirement
passer
par
des
procédés
de
purification
et
de
centrifugation
;
cette
graisse
est
recueillie
directement
au
sortir
de
la
canule
soit
par
filtration
directe,
soit
après
pulvérisation
mécanique
ou
aux
ultrasons.
•L'addition
de
facteurs
de
croissance
extraits
du
sang
même
du
patient
pendant
l'intervention
:
si
l'on
sait
déjà
extraire
de
la
graisse
des
cellules
souches
qui
pourront
se
différencier
en
différents
tissus
ultérieurement,
l'adjonction
de
facteurs
de
croissance
présents
dans
le
sang
est
une
nouveauté
qui
fait
l'objet
de
recherches
récemment
publiées
;
il
serait
ainsi
possible
d'accroître
la
survie
de
la
graisse
de
20
à
30
%
par
rapport
à
la
survie
spontanée
qui
est
de
l'ordre
de
40
à
60
%
suivant
les
séries.
Curieusement,
si
le
lipofilling
est
accepté
comme
une
technique
incontournable
dans
beaucoup
de
reconstruction
ou
de
perte
tissulaires,
son
utilisation
au
niveau
du
sein
fait
toujours
l'objet
de
vives
controverses
en
France
:
l'exceptionnelle
qualité
des
résultats
obtenus
grâce
aux
lipofillings
dans
la
reconstruction
mammaire
se
heurte
toujours
à
certaines
réticences
théoriques
concernant
le
devenir
des
cellules
souches
contenues
dans
la
graisse
injectée
et
des
calcifications
possibles
de
certains
îlots
de
graisse
n'ayant
pas
survécu
(et
pourtant
tous
les
radiologues
expérimentés
s'accordent
pour
dire
qu'il
est
parfaitement
possible
de
différencier
ces
calcifications
de
celles
qui
peuvent
signer
l'apparition
d'un
cancer
mammaire).
Si
la
Société
Française
de
chirurgie
plastique
reconstructrice
et
esthétique,
en
même
temps
qu'elle
émettait
un
avis
défavorable
au
lipofilling
dans
le
sein
(principe
de
précaution...)
met
en
place
une
étude
multicentrique
pour
authentifier
la
bonne
pratique
de
cette
technique
dans
la
reconstruction
mammaire,
peut‐on
raisonnablement
exiger
de
femmes
profondément
atteintes
dans
leur
corps
par
cette
mutilation
d'attendre
une
dizaine
d'années
la
certification
du
procédé
???
Le
lifting
cervical
antérieur
:
une
intervention
simple,
rapide,
très
efficace,
pas
seulement
réservée
aux
hommes
!
L'immense
majorité
des
hommes
d'âge
mûr
qui
se
présente
à
nos
consultations
ne
souhaite
pas
une
intervention
de
rajeunissement
mais
veut
d'abord
éliminer
les
excédents
cutanés
qui
abîment
leur
profil
(le
double
menton
qui
déborde
sur
le
col
de
chemise...)
:
au
lieu
de
leur
proposer
l'intervention
traditionnelle
du
lifting
dont
il
convient
de
souligner
les
inconvénients
chez
l'homme
(convalescence
relativement
longue
en
l'absence
de
maquillage,
cicatrices
parfois
difficiles
à
masquer
surtout
quand
il
n'y
a
plus
beaucoup
de
cheveux,
déplacement
de
la
patte
devant
et
derrière
l'oreille),
il
paraît
beaucoup
plus
simple
de
leur
donner
une
alternative
avec
la
cervicoplastie
antérieure
:
celle‐ci
consiste
à
exciser
la
peau
excédentaire
soit
de
manière
horizontale,
soit
de
manière
verticale,
d'éliminer
la
graisse
sous‐jacente
en
cas
d'excédent,
et
de
réparer
l'écartement
musculaire
des
muscles
peauciers
du
cou
par
un
haubanage
solide.
L'intervention
est
rapide,
se
fait
en
ambulatoire
sous
anesthésie
locale
potentialisée
et
permet
de
reprendre
ses
activités
professionnelles
dès
le
troisième
jour
;
en
revanche,
elle
se
traduit
par
une
cicatrice
antérieure
qui
peut
être
visible
quelque
mois
mais
s'efface
en
général
remarquablement
bien
et
reste
de
toute
façon
très
facile
à
masquer
sous
un
col
roulé
les
premières
semaines
Si
cette
intervention
est
à
privilégier
chez
l'homme,
il
ne
faut
pas
hésiter
à
la
proposer
dans
certaines
indications
chez
la
femme
âgée
fragile,
aux
cheveux
clairsemés
et
qui
se
plaint
d'abord
de
l'affaissement
du
cou.
Nous
restons
très
étonnés
de
la
réticence
de
beaucoup
de
chirurgiens
à
pratiquer
cette
intervention,
sans
doute
inquiets
à
l'idée
d'une
cicatrice
exposée
mais
dont
la
visibilité
paraît
tout
à
fait
superposable
à
celle
d'un
lifting
classique
ou
d'une
blépharoplastie.
De
plus,
la
connotation
sociale
de
cette
cicatrice
chez
l'homme
est
beaucoup
plus
évidente
à
gérer
que
celle
du
lifting
classique
(«
Oui,
j'avais
un
peu
de
peau
en
trop
qui
me
gênait
sur
le
cou
et
je
me
la
suis
fait
retirer
!
»
contre
«Tiens,
il
s'est
fait
faire
un
lifting
:
il
veut
jouer
les
vieux
beaux
et
encore
draguer
les
minettes
!
Ridicule…
».
16
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DOSSIER DE PRESSE - IMCAS 2010
Une
nouvelle
alternative
aux
fils
crantés
?
Depuis
qu'ils
sont
apparus
sur
le
marché
il
y
a
une
huitaine
d'années,
les
fils
crantés
ont
suscité
autant
d'espoirs
que
de
déceptions...
Certes,
le
procédé
est
simple,
se
fait
sous
anesthésie
locale
et
les
suites
se
limitent
généralement
à
quelques
hématomes
rapidement
résolutifs
;
mais
est‐il
pour
autant
efficace
?
Si
quelques
médecins
continuent
à
utiliser
isolément
les
fils
crantés,
l'immense
majorité
des
chirurgiens
les
a
abandonné
du
moins
dans
leur
utilisation
isolée
;
certains
confrères
continuent
à
les
utiliser
comme
moyen
de
contention
provisoire
au
cours
d'un
lifting
avec
plus
ou
moins
de
bonheur...
Car
ces
fils
peuvent
être
mal
tolérés,
apparaître
à
la
peau,
entraîner
une
inflammation
chronique
chère
payée
si
le
résultat
est
nul
!
Aussi
verrons‐nous
apparaître
dans
les
prochains
mois
un
autre
procédé
de
suspension
dont
il
est
trop
tôt
pour
affirmer
l’efficacité
(conceptuellement
celle‐ci
devrait
être
meilleure).
Nous
vous
promettons
d'en
dévoiler
les
premiers
résultats
à
la
conférence
de
presse
de
l'IMCAS
2011.
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Dr
LE
PILLOUER‐
PROST
A.
Dermatologue‐
France
(Marseilles)
Lasers
et
lumières
Innovations
majeure
«
Info
ou
intox
?
»
Epilation
laser
INFOS
INTOX
‐
Efficacité
certaine
et
fort
degré
de
satisfaction
:
‐
Pour
tous
les
patients
???
NON
75‐100%
•Hirsutisme
+++
(8‐10%
femmes),
pilule,
stérilet,
anneau…
(progestérone)
‐
Pour
tous
les
appareils
•Blancs,
blonds,
roux…
Alexandrite
‐
Un
appareil
supérieur
Nd‐YAG
Diodes
‐
Les
«
home
devices
»
Lumières
pulsées
•Dangers
(UV
carcinogènes)
RF
+
lumière
pulsée
•Inefficacité
Quelques
nuances
:
rapport
temps/efficacité
•Lenteur
(1
cm²)
‐
Sans
complication
•Protection
oculaire
+++
•Brûlures
(non‐médecins)
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INTOX
Ocular
complications
of
laser‐assisted
eyebrow
epilation.
Shulman
S,
Bichler
I.
Eye
(Lond).
2009
Apr;23(4):982‐3.
Uvéites
et
parfois
altérations
irréversibles
de
l’iris…
Complications
of
nonphysician‐supervised
laser
hair
removal:
case
report
and
literature
review.
Vano‐Galvan
S,
Jaen
P.
Can
Fam
Physician.
2009
Jan;55(1):50‐2
Couperose
/
Varices
INFOS
INTOX
Efficacité
lasers
vasculaires
/
rougeurs
et
vaisseaux
Pour
toujours
…
‐
laser
à
colorant
pulsé
(maladies
évolutives)
‐
laser
KTP
‐
lampes
flash
Pour
les
bouffées
de
rougeurs…
‐
Laser
Nd‐YAG
(plus
difficile)
Publications
objectives
:
Sans
effet
secondaire…
Amélioration
des
index
de
qualité
de
vie
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Taches
brunes
INFOS
INTOX
+++
/
mélasma
ou
masque
type
«
grossesse
»
‐
Efficacité
du
laser
seul
‐
Taches
(solaires,
«
de
vieillesse
»,
lentigos…)
‐
Pour
toujours
Lasers
pigmentaires
«
Q‐switch
»,
lampes
pulsées..
Cas
d’aggravation
(peaux
mates)
Maladie
chronique
«
d’hypersensibilité
»
aux
UV
Protection
solaire
draconienne
Traitements
associés
mise
au
repos
des
mélanocytes
CICATRICES
+++
INFOS
INTOX
‐
Amélioration
possible
par
photobiomodulation
‐
Disparition
des
cicatrices
ou
gommage…
Laser
diode
EKKYO
+++
‐
Pour
tous
(génétique)
Autres
lasers
Laser
à
colorant
pulsé
Mode
fractionné
des
lasers
Quantités
d’énergie
«
Timing
»
optimal
20
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CICATRICES
D’ACNE
+++
INFOS
INTOX
‐
Baguette
magique
‐
Amélioration
nette
du
ratio
bénéfices
/risques
/public
d’adolescents
ou
jeunes
adultes
/éviction
sociale
/coût
Avant
2006
/
Après
2006
Dermabrasions
(
lasers
CO2
ou
erbium,
phénol
ou
meule…)
Mode
fractionnés
non
ablatifs
1ère
génération…(Fraxel
ou
Affirm)
Mode
fractionnés
non
ablatifs
2ème
génération…(Fraxel
ou
Affirm
multiplex,
Mosaïc,
Matisse…)
Mode
fractionnés
ablatifs
…(CO2,
Erbium,
YSGG..)
Lasers
de
remodelage
(Infra‐rouges
:
smooothbeam,
aramis…)
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VIEILLISSEMENT
+++
INFOS
INTOX
Lasers
en
mode
fractionné
‐
Baguette
magique
‐
Amélioration
nette
du
ratio
bénéfices
‐
Coûts
+++
/risques
(Province
:
1
séance
CO2
fractionné
500
/éviction
sociale
euros)
/coût
‐
Appareils
:
très
divers
Mode
fractionné
Non
ablatif
?
ou
?
Ablatif
‐
EFFICACITE
?
‐
Efficacité
constante
reproductible
‐
Risque
déception
/
héliodermie
‐
Index
de
satisfaction
sup?
/
héliodermie
‐
Effet
lentigos,
teint,
rides,
laxité
(tenseur)
‐
Reproductible/
Cicatrices
d’acné,
zone
périorbitaire,
peau
fine
‐
Cicatrices
à
confirmer
‐
Cicatrices
excessives
(HTS,
K,
PBS)
‐
Littérature
«
en
retard
»
‐
Littérature
«
en
avance
»…
‐
Tout
phototype
(Tan
KL
JDD
2008)
‐
Tout
phototype
‐
Une
seule
séance
(ou
plusieurs…)
‐
Plusieurs
séances
‐
Suites
modulables
et
gérables
‐
Suites
minimisées
‐
Risques
minimisés
/
protocoles
‐
Risques
minimisés
:
HPPI
‐
Coût
:
modeste
‐
Coût
:
ELEVE
+++
(
absence
de
consommable
sauf…Reliant)
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VIEILLISSEMENT
+++
INFOS
INTOX
Radio‐fréquence
Preuves
scientifiques
?
‐
Illumination
du
teint
‐
Peu
articles
‐
Amélioration
texture
‐
1
fondamental
‐
Cas
cliniques,
courtes
séries
internes
‐
Promesses,
en
cours
d’évaluation
et
‐
Complications…
d’évolution
(Up‐grading)
VIEILLISSEMENT
+++
INFOS
INTOX
LEDs
/
photothérapie
dynamique
carcinologie
‐
Efficacité
sans
cible
(pas
de
précancers,
pas
d’altération
=
peu
multiples
études
randomisées
d’amélioration)
multicentriques…niveau
de
preuve
élevé+++
COÛT
+++
(cancers
et
précancers
cutanés
étendus,
multiples)
Seule
molécule
autorisée
en
France
:
Metvixia
(Galderma
International)
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VIEILLISSEMENT
+++
INFOS
INTOX
:
efficacité
visible
/
signes
de
vieillissement
LEDs
seules
‐
Action
organites
intracellulaires
(mitochondrial,
REDOX…)
‐
Preuves
scientifiques
?
‐
Action
anti‐inflammatoire
(coup
de
soleil…)
‐
Action
sur
la
cicatrisation
‐
Placebo
(ulcères)
ACNE
et
lasers
+++
INFOS
INTOX
‐ Alternatives
efficaces
et
sûres
‐ Oublier
:
Anciennes
alternatives
efficaces
et
sûres
moins
Niveau
de
preuves
scientifiques
élevé
coûteuses
•Rougeurs
et
infection
‐
Antibiotiques
(acné
inflammatoire)
‐
Soins
locaux
LEDs
seules
(bleues),
lampes
pulsées,
laser
à
‐
Isotrétinoïne
colorant
pulsé
ou
KTP…
‐
Peelings…
•Kystes
(acné
rétentionnelle)
‐
NICHE
:
désir
de
grossesse,
refus
des
Lasers
IR:
Smoothbeam,
Aramis
antibiotiques…
Photothérapie
dynamique
(LEDs,
LPP,
LCP)
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