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DOSSIER DE PRESSE - IMCAS 2010

IMCAS 2010
8 – 9 – 10 11 janvier 2010
Palais des Congrès de Paris

TENDANCES
MONDIALES
ET
CHIFFRES
CLES


Premier
congrès
européen
dédié
aux
chirurgiens
plasticiens,
aux
dermatologues,
et
aux
différents
experts
du
monde
de

l’esthétique
médicale
et
chirurgicale,
l’IMCAS
(du
8
au
11
janvier
2010)
est
devenu
en
12
ans
l’un
des
plus
importants

rendez‐vous
mondiaux
de
la
profession
et
l’observatoire
économique
mondial
n°1
de
ces
spécialités
médicales.
Cette

manifestation
reçoit
chaque
année,
plus
de
4
000
participants
provenant
de
60
pays
différents.
Cet
échange
entre
les

plus
éminents
spécialistes
internationaux
est
devenu
la
véritable
signature
de
l’IMCAS.
Ses
principaux
objectifs
sont
:
la

mise
 en
 avant
 des
 standards
 les
 plus
 élevés
 dans
 la
 pratique
 clinique
 de
 l’esthétique,
 la
 formation
 et
 la
 recherche
 en

chirurgie
 plastique
 et
 dermatologie
 cosmétique,
 ainsi
 que
 dans
 les
 disciplines
 associées
 (chirurgie
 maxillo‐faciale,

médecine
 esthétique
 et
 anti‐âge,
 recherche
 et
 développement,
 etc.…).
 L’IMCAS
 s’exporte
 à
 international,
 avec
 deux


congrès
:
IMCAS
ASIA
depuis
4
ans
(Bangkok,
Singapore
&
Hongkong)
&
IMCAS
INDIA

depuis
2
ans
(Agra
&
New
Dehli).



L’IMCAS
INDUSTRIE
‐
INNOVATION
TRIBUNE



Pour
 la
 troisième
 fois
 en
 Europe
 cette
 TRIBUNE
 fait
 parler
 les
 acteurs
 clés
 du
 marché:
 PDG,
 analystes,
 experts

financiers
et
marketing

indépendants
et
ceux
liés
aux
compagnies
majeures
de
l’esthétique
médicale
avec
,


• Une
analyse
fiable
et
réellement
chiffrée
du
marché
mondial,
européen
et
pour
la
première
fois
français
de

l’esthétique
médicale,

• 
Une
estimation
de
ses
potentiels
et
de
ses
perspectives
à
l’horizon
2013.


Entre
croissance
et
récession,
quels
sont
les
secteurs
qui
stagnent
et
ceux
qui
rebondissent
:


Les
Infos
et
les
Intox
?


Informations complémentaires
www.imcas.com

Directeur Scientifique Contact Presse


Benjamin ASCHER Patricia Bénitah - P.B Communication
11, rue Fresnel – 75116 Paris – France 7 Villa des Sablons - 92200 Neuilly – sur - Seine
Tel : +33.1.40.70.00.33 Tel : + 33.1.47.31.11.06
Fax : +33.1.40.70.92.40 Fax : + 33.1.47.22.80.19
e-mail : benjaminascher@wanadoo.fr e-mail : pbcom@wanadoo.fr

1
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7 Villa des Sablons – 92200 Neuilly sur Seine – Tel : 01 47 31 11 06 – Mail : pbcom@wanadoo.fr
http://www.imcas.com
DOSSIER DE PRESSE - IMCAS 2010

Pour
contribuer
à
faire
la
part
de
l’Info
et
de
l’Intox
!

Trop
d’info
tue
l’info
–
Aujourd’hui
nous
avons
accès
à
de
plus
en
plus
de
sources,
mais
qui
ne
sont
pas
toutes
de
la

même
valeur
(loin
de
là)
!...


‐
Comment
hiérarchiser
l’info,
et
faire
le
tri
entre
ce
qui
est
pertinent
et
ce
qui
relève
de
la
rumeur
ou
ce
qui
n’est
pas

totalement
validé
?


C’est
pour
relever
le
challenge
d’une
information
de
qualité,
crédible,
et
référencée
que
Benjamin
Ascher
et
le
Comité

Scientifique
 organisent
 depuis
 12
 ans
 une
 conférence
 de
 presse
 destinée
 aux
 journalistes
 spécialistes
 du
 domaine
 et

reconnus
pour
leur
expertise.

Cet
 événement
 a
 été
 conçu
 pour
 transmettre
 et
 partager
 des
 données
 indépendantes
 de
 tous
 les
 groupes
 d’intérêts

(Laboratoires,
 industriels)
 et
 son
 essence
 même
 est
 fondée
 sur
 l’expérience
 de
 praticiens
 mondialement
 connus
 et

reconnus.
 Le
 congrès
 annuel
 de
 l’IMCAS
 réaffirme,
 année
 après
 année,
 cette
 volonté
 
 d’échange
 au
 plus
 haut
 niveau

entre
les
différents
experts
concernés,
qu’ils
s’agissent
d’idées
ou
de
techniques.


L’Esthétique
Médicale
et
Chirurgicale
en
2010
:
INFO
et
INTOX

PROGRAMME



Accueil
:

Le
comité
scientifique
de
l’IMCAS

Les
cellules
souches,
et
les
autres
axes
de
recherche:
de
la
fiction
à
la
science

Gilbert

Zakine
‐
Chirurgien
Plasticien
‐
France

Lancement
de
l’ouvrage
«
Toxine
botulique
–
Info
ou
Intox
»
 




 
 






Benjamin
Ascher
‐
Chirurgien
Plasticien‐
France


Actualités et nouvelles tendances : Les infos/ les intox

EN
ESTHETIQUE
MEDICALE

Remodelage
médico‐chirurgical
orbitaire
et
du
visage
 
 
 
 
 

Benjamin
Ascher
‐
Chirurgien
Plasticien
‐
France

Cellulite
et
remodelage
de
la
silhouette
:
Lipolyse
non
invasive




 
 
 
 

Nathalie
Fournier
‐
Dermatologue‐
France

Mésothérapie
esthétique
:
mythes
et
réalités.






 
 
 
 
 
 
 
 
 
 Ghislaine
Beilin
–
Médecin
–
France



EN
CHIRURGIE
ESTHETIQUE


Augmentation
mammaire
:
évaluations
et
controverses
:
Lipofilling,
et
acide
hyaluronique
:
info
ou
Intox

Nez
:
les
injections
remplacent
elles
la
chirurgie
?









































Olivier
Gerbault
–
Chirurgien
Plasticien
–
France

Les
assistances
à
la
liposuccion
(ultrasons,
lipolaser,
waterjet,
etc)

‐
Lipofilling
:
où
en
sommes
nous
?

Carboxythérapie
(décolleté,
vergetures)
:
avantages
et
limites
 
 
 
 


Bernard
Môle
‐
Chirurgien
Plasticien
–
France

Lasers
et
Lumières
:
des
innovations
majeures
:
Info
ou
Intox
 
 
 




Anne
Le
Pillouer
Prost
–
Dermatologue
–
France


Les
fractionnels
en
resurfacing,
les
nouvelles
radio‐fréquences
et
lumières
IPL‐
LED
 



2
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DOSSIER DE PRESSE - IMCAS 2010

Les
données
mondiales,

européennes
et,
pour
la
première
fois,
françaises
du
marché
Esthétique


à
L’IMCAS
INDUSTRIE
‐
INNOVATION
TRIBUNE




Palais
des
Congrès
de
Paris
le
8
janvier
2010
‐
PDG
des
groupes
en
vue,
analystes,
décideurs,
experts
financiers
et

marketing
indépendants,
et
ceux
des
compagnies
leaders
de
l’esthétique
médicale,
pour
la
troisième
année,
cette

TRIBUNE
unique
au
monde
fait
parler
tous
les
acteurs
et
décideurs
du
marché.
L’IMCAS
INDUSTRIE
–
INNOVATION

TRIBUNE
se
positionne
désormais
en
observatoire
référent
en
effectuant
une
analyse
fiable
et
chiffrée
du
marché

mondial,
européen
et,
pour
la
première
fois,
français
de
l’esthétique
médicale
et
chirurgicale,
ainsi
qu’une
estimation

de
ses
perspectives
à
l’horizon
2013.

‐
Entre
croissance
et
récession
quels
sont
les
secteurs
qui
stagnent
et
ceux
qui
rebondissent
?



I

‐
Marché
esthétique
mondial
‐
Les
chiffres
clés
2009


Dans
 un
 contexte
 marqué
 par
 l’arrêt
 brutal
 de
 la
 consommation,
 le
 marché
 mondial
 2009
 reste
 valorisé
 à
 3
 Milliards

d’euros
 (4,5
 Milliards
 de
 dollars)
;
 même
 s’il
 accuse
 une
 baisse
 globale
 d’environ
 15%,
 il
 fait
 mieux
 que
 résister,
 il

continuera
 de
 progresser
 légèrement
 avec
 un
 taux
 de
 croissance
 annuelle
 prévue
 entre
 5
 et
 10%
 jusqu’en
 2013

(marché
 incluant
 les
 Equipements
 à
 base
 d’énergie,
 les
 produits
 de
 comblement,
 la
 Toxine
 Botulique,
 la
 Cosmétique

active,
les
Prothèses
mammaires
et
tous
les
autres
dispositifs).



Les
chiffres
2009
confirment
la
tendance
actuelle
:
moins
de
chirurgical
plus
de
médical.

Le
marché
de
la
chirurgie

enregistre
une
baisse
de
15%
en
2009,
celui
de
la
médecine
esthétique
(hors
équipement)
de
0

à
5%.



Le
marché
de
la
médecine
esthétique
va
croître
en
Europe
comme
dans
le
reste
du
monde,
avec
un
taux
de
croissance

annuel
prévu
de
10%
jusqu’en
2013
et
de
plus
de
15
%
sur
le
marché
de
la
toxine
botulique,
la
plus
forte
croissance

estimée.


Analyse
détaillée
poste
par
poste



Toxine
botulique


• Le
Marché
mondial
en
2009
de
la
Toxine
Botulique
est
d’environ
US$800
M
à
US$900
M
(€550
M

à
€600
M)
il

est
resté
stable
en
2009
par
rapport
à
2008,
mais
sa
croissance
annuelle
à
l’horizon
2013
devrait
atteindre
les

15%.


• Le
 Marché
 Européen
 2009
 de
 la
 Toxine
 Botulique
 est
 d’environ
 €120
 M
 
 (US
 $180
 M),
 il
 
 est
 resté
 stable
 en

2009.


De
nouveau
sa
croissance
est
évaluée
à
15%
par
an
jusqu’en
2013.

• Le
Marché
Français
2009
de
la
Toxine
botulique
est
d’environ
€16
M



Comme
pour
le
marché
européen,
le
marché
français
encore
émergent
a
un
fort
potentiel
de
croissance
de
15%

par
an
à
l’horizon
2013.


Ces
chiffres
proviennent
d’une
moyenne
pondérée
entre
les
3
sources
de
référence
suivantes
:


 Selon
Innoviness
Solutions,
le
marché
mondial
en
2009
est
à
€620

M

(US
$
930
M)

 Selon
Johnson
&Johnson,
le
marché
mondial
en
2009

est
à
€500
M
(US
$
750
M)

 Selon
Medical
Insights,
le
marché
mondial
en
2009
est
à
€520
M

US
$780
M)
avec
une
croissance
moyenne
annuelle
de
16%

jusqu’en
2013.
Le
marché
Européen
à
€100
M
(US
$153
M)
avec
une
croissance
moyenne
annuelle
prévue
jusqu’en
2013
à
27%

soit
€270
M
d’euros
(US
$400
M)



3
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Produits
comblements
(Acide
Hyaluronique,
produits
Injectables
longue
durée…)

• Le
Marché
mondial
en
2009
des
produits
de
comblement
est
d’environ
€500
M
(US
$
750
M)

• Le
Marché
Européen
en
2009
des
produits
de
comblement
est
d’environ
€200
M
(US
$
300
M)

• Comme
 le
 marché
 mondial,
 le
 marché
 européen
 est
 en
 baisse
 de
 5%
 comparé
 à
 2008.
 Mais
 leur
 croissance

annuelle
estimée
à
l’horizon
2013
est
de
5
à
10%.

• Le
Marché
Français,
il
est
aujourd’hui
estimé
à

€30
M
avec
une
diminution
de
5%
comparée
à
2008

Ces
 produits
 sont
 emblématiques
 de
 la
 tendance
 lourde
 qui
 caractérise
 le
 marché
 esthétique
 mondial
actuel

«
moins
de
chirurgical
plus
de
médical
».
En
conséquence,
toutes
les
projections
à
l’horizon
2013
montrent
une

croissance
annuelle
de
10%.


Ces
chiffres
proviennent
d’une
moyenne
pondérée
entre
les
4
sources
de
référence
suivantes
:


 Selon
Allergan
le
marché
mondial
en
2009
est
de
€420

M
(US
$630
M),
le
marché
US
de
€180

M
(US
$270
M)

 Selon
Johnson&Johnson
le
marché
mondial
est
de
€500
M
(US
$750
M),
le
marché
US
de
€265

M

US
$400
Millions)

 Selon
Millénium
Research
Group
la
croissance
annuelle
du
marché
US
2010
sera
de
1%
en
2010,
atteignant
14%
en
2013.

 Selon
 Medical
 Insights
 le
 marché
 mondial
 en
 2009
 
 est
 de
 €500
 M
 (US
 $746
 M)
 avec
 une
 croissance
 annuelle
 de
 11%
 prévue

jusqu’en
2013.
Le
marché
Européen
à
€200
M
(US
$305
M)
avec
une
croissance
moyenne
annuelle
prévue
jusqu’en
2013
à
11%

soit
€305

M
(
US
$460
M
)



Cosmétique
active
(incluant
les
Peeling)

• Le
Marché
mondial
2009
de
la
cosmétique
active
est
d’environ
€530M
à
€600
M
(800
à
US
$900
M)
en
baisse

de
5%
comparé
à
2008.
Sa
croissance
prévisionnelle
annuelle
dans
le
monde
est
de
10
à
15%
par
an
jusqu’en

2013.

• Le
Marché
Européen
en
2009
est
d’environ
€60
M
(US
$90
M),


• Le
Marché
Français
en
2009
est
d’environ
€9
M.

Comme
 le
 marché
 européen,
 le
 marché
 français
 de
 la
 cosmétique
 active
 en
 2009
 est
 
 en
 baisse
 de
 5%
 par

rapport
à
2008.


Mais
les
analystes
prévoient
une

croissance
annuelle
estimée
à
10%
à
l’horizon
2013.



Ces
chiffres
proviennent
d’une
moyenne
pondérée
entre
les
3
sources
de
référence
suivantes.

 Selon
Nordicaesthetics
le
marché
en
2009
à
€600

M
(US
$
900
M)
passant
à
€1

Milliards
(US$
1,5
Milliards
)
en
2012.

 Selon
 Medical
 Insights
 le
 marché
 mondial
 2009
 à
 €480
 
 M
 (US$716
 M)
 avec
 une
 croissance
 annuelle
 de
 10%
 prévue
 jusqu’en

2013.
Marché
Européen
2009
€60
M
(US$
90
M
)
avec
une
croissance
de
10%
par
an
jusqu’en
2010

 Selon
 Millénium
 Research
 Group
 marché
 US
 à
 €265
 
 M
 (US$400
 M)
 en
 2009
 avec
 croissance
 moyenne
 entre
 5
 et
 10%
 par
 an

jusqu’en
2013.



Equipement
à
base
d’énergie
(lasers
et
lumières,
radio
fréquence,
ultrasons….)

• Le
Marché
mondial
2009
de
l’Equipement
à
base
d’énergie
est
d’environ
€670
Millions
(1
Milliards
de
dollars),


• Le
Marché
Européen
de
€200
M
(US$300
M),


• Le
Marché
Français
de
€30
M
en
2009.

Les
 répercutions
 de
 la
 crise
 se
 font
 particulièrement
 sentir
 sur
 ce
 marché
 qui
 accuse
 une
 
 baisse
 significative
 de
 40%

comparée
à
2008
(le
secteur
de
l’esthétique
le
plus
touché
par
la
crise).
Mais
les
analystes
estiment
qu’il
bénéficiera
de

l’effet
rebond
de
la
sortie
de
crise
d’où
une
croissance
mondiale
annuelle
jusqu’en
2013
de
10%.


Ces
chiffres
proviennent
d’une
moyenne
pondérée
entre
les
3
sources
de
référence
suivantes
:

 Selon
Syneron

le
marché
mondial
des
lasers
est
passé
de
€250
M
(US$370M)
en
2004
à
€470
M
(US$702M)
en
2007
soit
une

croissance
de
90%
en
3
ans.

 Selon
Sciton
le
marché
mondial
des
lasers

aura
baissé
de
€670
Millions
(1
Milliard
US
$)
à
€400
M
(US$600
M)
entre
2008
et

2009,
baisse
de
40%
entre
2008
et
2009.
Marché
estimé
à
€460
M
(US$690
M)
en
2010
soit
+15%
comparé
à
2009.

 Selon
Medical
Insights,
le
marché
mondial
des
équipements
à
base
d’énergie
est
valorisé
à
€739

M
(US$
1
083
M)
en
2009
et

augmentera
de
10%
par
an
jusqu’en
2013.
Le
marché
Européen
est
valorisé
en
2009
à
€240
M
(US$
359
M)
et
augmentera
de

8,5%
par
an
jusqu’en
2013.


4
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Prothèses
mammaires

• Le
Marché
mondial
en
2009
des
prothèses
mammaires
est
d’environ
€500

M
(US$
750M)

• Le
Marché
Européen
en
2009
environ
€90

M
(US
$133
M)


• Le
Marché
Français
en
2009
environ
€14
M


Si
 l’augmentation
 mammaire
 reste
 la
 première
 intervention
 chirurgicale,
 il
 n’en
 reste
 pas
 moins
 que
 ce
 marché

n’échappe
pas
à
la
crise
avec
une
baisse
de
15%
par
rapport
à
2008.
Mais
les
experts
sectoriels
tablent
sur
une
croissance

annuelle
de
5
à
10%

jusqu’en

2013.


Ces
chiffres
proviennent
d’une
moyenne
pondérée
entre
les
3
sources
de
référence
suivantes.

 Selon
Allergan,
le

marché
mondial
est
de
€505

M
(US$
760
Millions)


 Selon
Johnson&Johnson,
le
marché
mondial
est
de
€500

M
(US$
750
Millions),
marché
US
€265

M
(US$
400
M)

 Selon
 Medical
 Insights,
 le
 marché
 mondial
 en
 2009
 est
 à
 €460
 
 M
 (US$
 696
 M)
 avec
 une
 croissance
 annuelle
 de
 8%
 prévue

jusqu’en
2013.
Le
marché
Européen
à
€90

M
(US$
133
M)
avec
une
croissance
moyenne
annuelle
prévue
jusqu’en
2013
de
7%


EN
CONCLUSION

En
dépit
des
incertitudes
financières,
monétaires
et
économiques
actuelles,

il
est
néanmoins
possible
de
dégager
des

constantes.
D‘abord
le
marché
de
l’esthétique
médicale
est
non
seulement
celui
qui
a
le
mieux
résisté
au
plongeon

général
d’une
économie
mondialisée,
mais
surtout,
il
se
place
aujourd’hui
aux
avant
postes
de
la
reprise.

Ensuite,
en


période
de
crise,

c’est
le
rapport
efficacité/prix
qui
est
privilégié.


Résultat
:
on
diminue
le
nombre
de
traitements,
et
ce

sont
les
moins
onéreux
qui
sont
plébiscités
(toxine
botulique,
acide
Hyaluronique).




II
–
Les
Chiffres
ASAPS

(American
Society
of
Aesthetic
Plastic
Surgeons)


Depuis
2006,
82%
des
actes
pratiqués
par
les
chirurgiens
sont
non
invasifs
chirurgicaux
(dits
«
médicaux
»).

En
2007
ce
chiffre
passe
à
83,2%,
pour
revenir
à
82%
en
2008.

Entre
2000
et
2008,
la
croissance
de
ce
secteur
très
forte
de
63%
est
là
encore
inégale
:
‐12%
pour
la
chirurgie,
et
+90%

pour
les
actes
médicaux.

En
2008,
les
femmes
représentent
toujours
91%
des
demandes,
et
la
chirurgie
diminue
en
1
an
de
9%.


Le
top
5
des
actes
d’esthétique
médicale
(par
ordre
décroissant)

1
‐
Injections
de
Toxine
Botulique,

2
–
Traitements
non
invasifs
du
corps
(cellulite,
épilation
laser,
sclérothérapie)

3
‐
Injections
d’acide
hyaluronique,

4
–
Peeling

5
‐
Microabrasion



Le
top
5
des
interventions
chirurgicales
(par
ordre
décroissant)

1
‐
Augmentation
mammaire

2
–
Rhinoplastie

3
‐
Liposuccion


4
‐
Chirurgie
des
paupières,

5
‐
Lifting
du
ventre.


Ce
que
veulent
les
patients

Globalement
le
nombre
d’actes
a
augmenté
de
3%
en
2008
comparé
à
2007
avec
une
baisse
de
9%
de
la
chirurgie
et
une

hausse
de
5%
des
actes
médicaux.

Les
patients
recherchent
les
traitements
les
moins
invasifs,
les
plus
«
light
»,
les
plus
sûrs,
qui
les
immobilisent
le
moins

longtemps
possible.
La
chirurgie
recule
devant
les
traitements
«non
invasifs»
sur
le
visage
et
les
volumes
de
la
silhouette,

mais
reste
stable
concernant
les
seins.


5
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Les
lieux
d’exercice
de
la
chirurgie
esthétique

- Dans
les
Cliniques
:
54%
(en
augmentation
par
rapport
au
46%
de
2007)

- Dans
les
hôpitaux
privés
ou
non
:
17%
(en
diminution
par
rapport
au
25%
de
2007

- Dans
les
Centres
de
chirurgie
:
29%
(idem
qu’en
2007)

Aux
USA
17%
des
chirurgiens
ont
créé
des
Spa
médicalisés,
ceux‐ci
arrivent
maintenant
en
France.
Cette
donnée
est
en

corrélation
avec
le
fait
que
80%
de
l’activité
des
chirurgiens
plasticiens
est
désormais
centrée
sur
les
traitements

médicaux
et
sur
l’association
chirurgie
et
médecine
esthétique.


III
‐

Les
nouveaux
axes
de
développement,
les
nouvelles
tendances
2009


1
‐
LA
CHIRURGIE
ESTHETIQUE
DEVIENT
MEDICO‐CHIRURGICALE

Le
 Chirurgien
 n’est
 plus
 seulement
 un
 expert
 en
 chirurgie,
 mais
 un
 expert
 en
 esthétique
 médicale
 avec
 des
 techniques

particulièrement
 efficaces,
 mais
 plus
 douces,
 plus
 ciblées,
 moins
 invasives
:
 toxines
 botulique,
 comblements,
 volumétrie,
 peelings,

lasers,...
La
French
Touch
‐
Du
figé
au
naturel
:
en
France,
en
Europe,
sur
la
côté
Est
des
Etats
‐
Unis
et
de
plus
en
plus
dans
le
monde,

la
tendance
qui
s’impose
est
de
restituer
et
maintenir
chez
les
patients
une
beauté
NATURELLE,
non
stéréotypée,
sans
vouloir
être

jeune
 quel
 qu’en
 soit
 le
 prix.
 Résultat
:
 un
 visage
 moins
 ridé,
 mais
 surtout
 plus
 détendu,
 reposé,
 épanoui
 et
 rafraichi
 (Cf.
 Ouvrage

«
Toxine
botulique
:
Info
ou
Intox
»
auteur
Dr
Benjamin
Ascher
–
Editions
Presses
du
Chatelet,
Jean
Daniel
Belfond
en
Librairie
le
12

janvier
2010)



2
‐
UN
PROGRAMME
SOFT
PAR
ETAPES


Lipofilling,
Injections
de
Toxine
Botulique,
Injections
d’acide
hyaluronique,
Laser,
Lumière,
puis
Lifting,
pour
le
visage
ou
Liposuccion,

remodelage
 médical,
 et
 remise
 en
 tension
 par
 radio‐fréquence
 pour
 le
 corps.
 
 Aujourd’hui,
 il
 n’y
 a
 plus
 d’actes
 isolés,
 mais
 des

procédés
qui
s’inscrivent
dans
un
programme
intégré
pour
se
réapproprier
son
image,
la
maintenir
et
prévenir
le
vieillissement
qui
va

des
 derniers
 soins
 dermo‐cosmétiques
 en
 date
 à
 une
 
chirurgie
 de
 plus
 en
 plus
 douce.
 Étapes
 par
 étapes
 aujourd’hui
 l’esthétique

médico
–chirurgicale
offre
de
vraies
possibilités
pour
bien
vieillir
en
beauté.




3‐

LE
BON
CHOIX
DANS
UN
ESPACE
APPROPRIÉ


Le
 Medical
 Spa
 ou
 Med
 Spa
 est
 un
 espace
 autour
 duquel
 se
 construit
 un
 centre
 d’esthétique
 médical.
 Aujourd’hui,
 l’esthétique

médicale
s’inscrit
dans
un
plan
raisonné
et
concerté
pour

faire
le
choix
des
bonnes
pratiques,
dans
un
espace
approprié.
Manquaient

à
ce
jour
des
lieux

offrant
le
panel
complet
de
toutes
les
techniques
d’esthétique
soft
mais
médicale
à
l’efficacité
avérée.



IV
‐
CONCLUSION

L’année
2009
permet
de
tirer
les
conclusions
suivantes
:

o Le
marché
de
l’esthétique,
s’il
n’est
pas
imperméable
à
la
crise,
reste
très
résistant
:


o la
vente
des
équipements

à
base
d’énergie

a
connu
la
plus
forte
baisse
(lumière
focalisé,
laser,

Ultrasons…)
au
niveau
des
laboratoires
(réduction
des
achats
d’équipements
par
les
cabinets,
crise
du

crédit...)
mais
l’utilisation
par
les
patients
est
restée
stable
.

o la
chirurgie
esthétique
a
connu
une
baisse
légère.

o Par
contre,
la
demande
de
médecine
esthétique

est
restée
quasiment
stable
dans
un
contexte

économique
dégradé.


o Les
données
marketing
mondiales
couvrent
des
différences
géographiques
fortes
et
requièrent
donc
une

analyse
fine
:
par
exemple
les
injections
de
toxines
botuliques
sont
5
fois
plus
importantes
que
les
injections

d’acide
hyaluronique
aux
USA,
mais
la
situation
en
Europe
est
très
différente
avec
2
fois
plus
d’injections
d’acide

hyaluronique
que
de
toxine
botulique.

o Ce
marché
de
l’esthétique
continue
à
enregistrer
l’arrivée
de
laboratoires
pharmaceutiques
qui
recherchent
de

nécessaires
relais
de
croissance.

o Cette
arrivée
des
laboratoires
pharmaceutiques
s’accompagne
de
consolidation
forte
des
acteurs
du
secteur


Tous
ces
éléments
permettent
d’envisager
une
année
2010
prometteuse.



Docteur
Benjamin
ASCHER
‐
Chirurgien
Plasticien.
Paris
‐

Fondateur
et
Directeur
scientifique
des
Congrès
IMCAS



Laurent
BRONES
‐
Business
Developement
manager
Symatese
Biomaterials

Thierry
CHIGNON
‐
Directeur
d’investissement,
MATIGNON
INVESTISSEMENT
&
GESTION,
France


6
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Dr
Gilbert
ZAKINE


Chef
de
service
de
Chirurgie
plastique
Reconstructrice
et
Esthétique.
Centre
des
Brûlé
–
Paris
(Tours)



Les
cellules
souches,
et
autres
axes
de
recherche
de
la
fiction
à
la
science


En
chirurgie
plastique
reconstructrice
et
esthétique,
vaste
spécialité
qui
inclut
le
traitement
chirurgical
des
grands

brûlés,
plusieurs
axes
de
recherche
sont
particulièrement
porteurs
d’espoir.



CELLULES
SOUCHES

Les
 cellules
 souche
 se
 caractérisent
 par
 leur
 capacité
 à
 se
 renouveler,
 se
 différencier
 en
 plusieurs
 types

cellulaires
et
à
réparer
les
tissus
lésés.



Notre
vie
commence
avec
une
première
cellule
souche
née
de
la
fécondation
d’un
ovule
par
un
spermatozoïde,

qui
se
divise
en
cellules
souches
dites
embryonnaires.
Après
plusieurs
divisions,
les
cellules
souches
se
différencient

et
 se
 spécialisent
 en
 une
 multitude
 de
 types
 cellulaires
 différents.
 Les
 cellules
 spécialisées
 ne
 pouvant
 plus
 se

multiplier,
certaines
cellules
restent
à
l’état
de
cellules
souches
dites
adultes
pour
permettre
de
servir
de
réservoir

remplaçant
 les
 cellules
 spécialisées
 lorsqu’elles
 meurent.
 Il
 y
 a
 des
 cellules
 souches
 sanguines
 (appelées

hématopoïétiques)
qui
sont
retrouvées
dans
notre
moelle
osseuse
et
permettent
le
renouvellement
de
notre
sang,

des
cellules
souches
dans
notre
peau
à
la
jonction
entre
le
derme
et
l’épiderme
qui
permettent
son
renouvellement

permanent
et
la
réparation
d’une
destruction
ou
la
cicatrisation
d’une
plaie,
mais
aussi
des
cellules
souches
dans

notre
paroi
intestinale
ou
nos
muscles.
La
cellule
souche
peut
soit
se
renouveler
en
donnant
naissance
par
division

à
 deux
 cellules
 souches
 semblables,
 soit
 donner
 naissance
 à
 un
 type
 cellulaire
 spécialisé.
 Ces
 cellules
 souches

adultes
sont
dites
multipotentes
tandis
que
les
cellules
souches
embryonnaires
sont
encore
toti
ou
pluripotentes.


Les
cellules
souches
apportent
de
grands
espoirs
en
médecine,
elles
ont
été
isolées,
cultivées
et
différenciées
pour

la
première
fois
en
1998
sur
l’embryon.



La
 première
 utilisation
 a
 probablement
 été
 la
 culture
 de
 kératinocytes,
 à
 partir
 de
 cellules
 souches
 contenu

dans
1
cm²
de
peau
saine
prélevée
chez
un
grand
brûlé.
Ce
prélèvement,
après
séparation
des
cellules
et
mise
en

culture,
permet
la
couverture
cutanée
d’un
grand
brûlé.
Cette
technique,
certes
très
couteuse
est
utilisée
dans
les

cas
les
plus
graves
par
certains
centres
traitant
les
grands
brûlés.
Elle
permet
la
restitution
de
l’épiderme
mais
sans

la
 couche
 profonde
 du
 derme
 et
 donc
 la
 souplesse
 de
 la
 peau,
 et
 sans
 les
 glandes
 sudoripares
 et
 les
 follicules

pilaires.
C’est
une
couverture
fragile,
imparfaite
mais
qui,
grâce
aux
cellules
souches
sauve
la
vie
de
certains
brûlés.

C’est
 pour
 cela
 que
 certain
 laboratoire
 travail
 actuellement
 sur
 des
 modèles
 de
 peau
 artificielle
 complète
 et
 que

d’autres
cherche
à
élaborer
des
substituts
cutanés
de
nouvelle
génération.


Récemment
des
cellules
souches
ont
été
découvertes
dans
la
graisse,
ce
sont
les
cellules
souches
adipocytaires.

La
réserve
de
cellules
graisseuses
étant
généralement
importante
et
le
prélèvement
simple
et
peu
douloureux,
des

expérimentations
 ont
 débutées
 pour
 évaluer
 leurs
 intérêts.
 En
 chirurgie
 et
 médecine
 esthétique
 ces
 cellules

pourraient
 jouer
 un
 rôle
 important,
 en
 particulier
 comme
 tissu
 de
 comblement.
 Des
 études
 sont
 en
 cours
 pour

évaluer
leurs
effets
pour
combler
des
rides,
lutter
contre
l’atrophie
graisseuse
du
visage
due
au
vieillissement,
ou

encore
augmenter
le
volume
des
seins
par
injection
de
graisses
sans
avoir
recours
à
une
prothèse.



Les
cellules
souches
embryonnaires,
les
plus
pluripotentes,
mais
aussi
celles
dont
l’étude
est
la
plus
polémique.

ème
Elles
 sont
 prélevées
 sur
 un
 
 blastocyste
 jusqu’au
 4 
 jour
 après
 la
 fécondation
 in
 vitro,
 qui
 n’étant
 pas
 implanté

dans
l’utérus,
est
utilisé
pour
la
recherche.
L’embryon
n’est
alors
qu’une
boule
de
cellules
d’environ
un
centième
de

millimètre.
Ces
cellules
souches
embryonnaires,
que
l’on
prélève
alors,
peuvent
produire
n’importe
qu’elle
type
de

cellules,
 donc
 n’importe
 quel
 tissu.
 Elles
 peuvent
 devenir
 des
 cellules
 de
 cœur,
 sang,
 peau
 ou
 de
 cerveau,
 en

fonction
des
signaux
internes
et
externes
qu’elles
recevront.
Ces
cellules
souches
humaines,
produisant
des
lignées

cellulaires
 différenciées
 pourraient
 permettre
 de
 réaliser
 de
 nouveaux
 tests
 pour
 l’industrie
 pharmaceutiques
 qui

pourraient
réduire
les
expérimentations
animales.



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L’étude
de
ces
cellules
peut
aussi
nous
aider
à
mieux
comprendre
des
maladies
comme
le
Diabète,
la
maladie

d’Alzheimer,
ou
de
Parkinson,
et
surtout
de
traiter
ces
maladies
comme
en
implantant
des
cellules
beta
des
îlots
de

langerhans
 du
 pancréas,
 celles
 qui
 sécrètent
 de
 l’insuline
 et
 font
 défaut
 dans
 le
 diabète.
 Des
 espoirs
 sont
 permis

également
pour
la
réparation
de
tissu
comme
la
moelle
épinière
après
lésion,
le
myocarde
après
un
infarctus.



Ainsi
l’étude
des
cellules
souches
adultes
et
celle
des
cellules
embryonnaires,
qui
sont
complémentaires
car
les

enjeux
 d’applications
 ne
 sont
 pas
 exactement
 les
 mêmes,
 sont
 fondamentales
 et
 nous
 permettra
 de
 mieux

comprendre
le
développement
embryonnaire
et
la
réparation
tissulaire.



FACTEURS
DE
CROISSANCE

Les
 facteurs
 de
 croissance
 stimulent
 la
 prolifération,
 la
 migration,
 et
 la
 différentiation
 cellulaire.
 Leurs
 rôles

sont
 fondamentaux
 dans
 l’ontogenèse
 (c'est‐à‐dire
 la
 formation
 d’un
 nouveau
 né
 à
 partir
 d’une
 cellule
 souche),

l'angiogénèse
(le
développement
des
vaisseaux
sanguins)
et
la
cicatrisation
tissulaire.
Les
récentes
avancées
de
la

recherche,
 ont
 permis
 de
 mieux
 définir
 l'intervention
 des
 facteurs
 de
 croissance
 dans
 la
 régulation
 de
 la

cicatrisation
tissulaire
et
ouvrent
ainsi
des
perspectives
dans
leurs
applications
cliniques
potentielles.



Accélérer
 et
 améliorer
 la
 cicatrisation
 cutanée
 permettraient
 de
 diminuer
 la
 morbidité
 et
 la
 mortalité,

d’écourter
les
douleurs
et
de
réduire
la
durée
d’hospitalisation.
Les
facteurs
de
croissance
interviennent
dans
tous

les
stades
de
la
cicatrisation
cutanée
après
une
brûlure
ou
une
plaie.

Dans
des
séries
cliniques
récentes,
des
facteurs
de
croissance
ont
été
appliqués
en
chirurgie
cardio‐vasculaire

et
en
Dermatologie.
Le
Fibroblast
Growth
Factor
2
(FGF2
ou
bFGF)
et
le
Vascular
Endothelial
Growth
Factor
(VEGF)

en
particulier
ont
été
administrés
chez
des
patients
artériopathiques
ou
ayant
présenté
une
ischémie
myocardique.

Le
FGF‐2
a
été
appliqué
chez
des
patients
brûlés
et
d’autres
facteurs
de
croissance
ont
été
déjà
testés
sur
des
plaies

chroniques.



Une
 nouvelle
 molécule,
 un
 biopolymère
 de
 synthèse,
 agissant
 sur
 la
 matrice
 extracellulaire,
 c'est‐à‐dire
 la

substance
 entourant
 les
 cellules
 dans
 l’organisme,
 peut
 moduler
 l’action
 d’un
 certain
 nombre
 de
 facteurs
 de

croissance
 endogènes.
 Cette
 molécule,
 
 récemment
 commercialisée
 et
 en
 cours
 d’évaluation
 clinique
 pourrait

accélérer
et
améliorer
la
cicatrisation
de
différents
types
de
tissus.


Les
 facteurs
 de
 croissance
 ont
 donc
 un
 rôle
 majeur
 dans
 tous
 les
 processus
 de
 cicatrisation
 tissulaire.
 Le

traitement
des
brûlés
ou
des
patients
présentant
des
pertes
de
substance
ou
une
cicatrisation
retardée
pourra
être

amélioré
par
l’utilisation
de
facteurs
de
croissance.



En
 chirurgie
 esthétique,
 contrôler
 le
 processus
 de
 cicatrisation
 et
 l’améliorer
 permettraient
 de
 rendre
 les

cicatrices
 moins
 visibles
 ou
 moins
 fibreuses.
 En
 médecine
 esthétique,
 l’injection
 de
 dérivé
 sanguin
 enrichi
 en

facteurs
de
croissance
endogènes
est
en
cours
d’étude.


TISSU
ENGINEERING

Cet
 axe
 de
 recherche
 est
 également
 en
 plein
 développement.
 En
 chirurgie
 réparatrice
 ce
 sont
 surtout
 les

substituts
 dermiques
 qui
 permettent
 de
 couvrir
 des
 pertes
 de
 substance
 ou
 de
 traiter
 les
 grands
 brûlés.
 De

nouvelles
 matrices
 dermiques
 ont
 récemment
 été
 commercialisées
 et
 permettent
 d’élargir
 les
 indications

thérapeutiques.



Cellules
souches
et
facteurs
de
croissance
sont
à
l’origine
de
l’ontogenèse,
du
renouvellement
normal
ou
de
la

réparation
des
tissus
en
cas
de
lésion.
Ils
sont
indissociables
de
toute
vie
animale
ou
végétale.
Leurs
études
et
leurs

utilisations
 en
 thérapeutique
 ouvrent,
 dans
 un
 avenir
 proche,
 de
 grands
 espoirs.
 Le
 tissu
 engineering
 permet
 de

nous
aider
à
réparer
une
perte
de
substance
ou
recouvrir
une
plaie.


Ce
sont
des
axes
essentiels
de
la
recherche
en
chirurgie
plastique
et
esthétique.



8
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DOSSIER DE PRESSE - IMCAS 2010

Toxine
botulique
INFO
ou
INTOX
?


Auteur : Docteur Benjamin Ascher
aux Editions Presses du Châtelet, Jean Daniel Belfond

Sortie en Librairie le 12 janvier 2010

Enfin
le
premier
ouvrage
qui
dit
STOP
aux
idées
reçues
et
qui,
en

50
 questions/réponses
 donne
 toutes
 les
 clés
 pour
 passer
 de
 la

beauté
jadis
figée
à
la
beauté
actuelle,
au
naturel…



La
toxine
botulique,
des
chiffres
et
des
faits
fiables
et
précis



NON
à
l’intox,
OUI
à
l’info
:
10
millions
de
patients
traités
par
an,
depuis
les
années
2000,
et
plus
de
15
ans
de

recul.
Aujourd’hui
l’injection
de
toxine
botulique
«
Botox
»,
traitement
esthétique
le
plus
pratiqué
au
monde,

est
totalement
fiable
et
sécurisé.
Dans
le
premier
guide
pratique
accessible
à
tous,
médecins
et
patients,
le

Docteur
Benjamin
Ascher,
chirurgien
plasticien,
qui
a
introduit
la
toxine
botulique
en
France
il
y
a
16
ans
pour

ses
indications
esthétiques,
publie
pour
la
première
fois
tout
ce
qu’il
faut
savoir,
en
50
questions/réponses.
Qui
sait:


 que
la
toxine
botulique
est
d’abord
et
depuis
30
ans
un
médicament
efficace
utilisé
couramment
dans
de
nombreux
domaines
médicaux,

notamment
en
neurologie
?


 qu’à
ce
jour,
sans
intervention
chirurgicale,
c’est
le
meilleur
traitement
des
rides
dites
d’expression
du
visage
?


 qu’il
n’existe
pas
un
mais
3
produits
disponibles
?


 que
la
toxine
botulique
est
loin
d’avoir
révélé
tous
ses
secrets
?



La
«
French
Touch
»
:
La
toxine
botulique
incarne
parfaitement,
aujourd’hui,
l’évolution
radicale
de
la
chirurgie
esthétique
française
et
mondiale
qui

devient
médico‐chirurgicale,
avec
des
techniques
particulièrement
efficaces,
mais
plus
douces,
plus
ciblées,
moins
invasives.



Du
figé
au
naturel
:
en
France,
en
Europe,
sur
la
côté
Est
des
Etats‐Unis
et
de
plus
en
plus
dans
le
monde,
la
tendance
qui
s’impose
est
de
restituer
et

maintenir
 chez
 les
 patients
 une
 beauté
 NATURELLE,
 non
 stéréotypée,
 sans
 vouloir
 être
 jeune
 quel
 qu’en
 soit
 le
 prix.
 La
 toxine
 botulique
 illustre

parfaitement
cette
tendance.
Résultat
:
un
visage
moins
ridé,
mais
surtout
plus
détendu,
reposé,
épanoui
et
rafraichi.



La
 raison
 d’être
 de
 ce
 livre
 est
 de
 montrer
 en
 50
 questions/réponses,
 d’abord
 que
 bien
 qu’elle
 soit
 botulique,
 cette
 toxine
 n’a
 rien
 de
 toxique.
 Cet

ouvrage
 entend
 aussi
 présenter
 les
 nombreuses
 indications
 esthétiques
 et
 thérapeutiques.
 S’adressant
 à
 un
 large
 public,
 ainsi
 qu’à
 la
 communauté

médicale,
ce
vade‐mecum
dresse
un
tableau
tant
pratique,
historique,
prospectif,
que
sociologique
et
économique,
de
toutes
les
questions
que
l¹on

peut
légitimement
se
poser.



Pratique
:
le
résultat
peut‐il
enfin
être
naturel
?
Est‐ce
dangereux,
douloureux,
combien
de
temps
durent
les
effets
;
à
partir
de
quel
âge
peut‐on
y

penser
 ;
 à
 qui
 s’adresser
 ;
 quelles
 sont
 les
 contre‐indications
 ;
 comment
 se
 passe
 un
 traitement
 ;
 comment
 ça
 marche
 ?
 etc.
 Autant
 de
 questions

auxquelles
il
donne
une
réponse
simple
et
concise
dans
le
premier
ouvrage
européen
sur
ce
sujet
destiné
au
grand
public.


Historique
:
du
poison
au
médicament,
du
médicament
à
l’anti‐rides,
la
molécule
botulique
du
départ
n’a
plus
rien
à
voir
avec
celle
qui
soigne
et
traite

les
rides.


Sociologique
:
existe‐t‐il
une
norme
sociale
de
la
beauté
et
une
obligation
de
jeunesse
éternelle,
jusqu’à
quel
âge
doit‐on
paraître
jeune
?
Qu’est
ce
que

la
«
French
Touch
»,
le
traitement
au
naturel
?


Economique
:
le
«
Botox
»
business
est
un
vecteur
de
croissance
incroyable
pour
les
4
laboratoires
qui
produisent
actuellement
ces
produits.


Prospectif
 :
 cette
 toxine
 recèle
 un
 formidable
 potentiel
 qui
 fait
 d’elle
 une
 molécule
 d’avenir.
 Dans
 les
 laboratoires,
 on
 expérimente
 aujourd’hui
 les

applications
de
demain.


Totalement
en
phase
avec
l’actualité,
ce
livre
démonte
point
par
point
toutes
les
accusations
et
polémiques
infondées
suscitées
par
des
affaires
qui
ont

fait
la
une
et
prouve
que
l’INFO
de
qualité
peut
triompher
de
l’INTOX.

‐
Prix
public
conseillé
:
17,95
euros
TTC
‐200
pages



Pionnier
 en
 France
 de
 la
 toxine
 botulique,
 le
 Docteur
 Benjamin
 Ascher,
 spécialiste
 en
 chirurgie
 esthétique,
 plastique
 et
 réparatrice,
 a
 traité
 ses

premières
 patientes
 et
 publié
 dès
 1993
 sur
 ses
 indications
 en
 esthétique.
 Il
 a
 conduit
 de
 nombreuses
 études
 ayant
 fortement
 contribué
 aux

autorisations
d’utilisation
de
ces
produits,
il
est
aujourd’hui
l’un
des
seuls
investigateurs
à
diriger
les
travaux
sur
les
3
toxines
botuliques
disponibles
en

Europe.


En
25
ans,
Le
Docteur
Benjamin
Ascher
a
développé
de
nombreuses
techniques
performantes
tant
chirurgicales
que
médicales.


- Il
est
le
directeur
scientifique
des
Congrès
IMCAS,
l’un
des
leaders
mondiaux
de
l’enseignement
pour
les
chirurgiens
plasticiens
et
les

dermatologues
dans
le
domaine
esthétique.

- Il
est
le
Codirecteur
du
premier
diplôme
universitaire
sur
«
les
injectables
en
chirurgie
plastique
»,
à
l’université
de
Paris
V
–
Paris
XII,
et
à

l’Hôpital
Tarnier
où
il
enseigne
les
méthodes
d’injections
de
toxine
botulique
et
des
produits
de
comblement
des
rides,
tout
comme
celles

de
ré‐harmonisation
des
volumes.

9
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Actualités et nouvelles tendances : Les infos/ les intox



Dr.Benjamin
Ascher

Chirurgien
Plasticien
–
France
(Paris)



Remodelage
médico‐chirurgical
orbitaire
et
du
visage
 

Le
traitement

des
cernes
:

Il
se
fait
moins
par
chirurgie,
plus
par
injections
associées
à
d’autres
techniques
douces.
Comme
dans
le
cas
des
liftings

du
visage
au
niveau
du
regard,
il
s’agit
de
moins
en
moins
d’enlever
de
la
peau
et
du
muscle
que
de
remplir
les
creux
par

une
simple
injection.

L’acide
hyaluronique
est
le
produit
idéal.
L’injection
est
profonde
au
niveau
du
périoste.
Le
Juvederm
Ultra
3,


Le
Restylane
,l’Esthélis,…
sont
les
produits
adéquats.



En
surface
on
associe
volontiers
pour
les
ridules
restantes
un
laser
fractionnel
type
Mixto,
qui
semble
plus
efficace

qu’un
peeling
chimique,
avec
des
rougeurs
raisonnables
de
8‐12
jours.


Les

acides
hyaluroniques
qui
font
le
moins
d’appel
d’au
(hydrophobes)
sont
recherchés.

2
dispositifs
très
innovants
:

- les
aiguilles
mousses
atraumatiques
adaptées
à
la
paupière,
très
fine,
30G

- un
nouvel
injectable
à
base
d’alginate,
le
Novabel,
particulièrement
adapté
par
sa
fluidité.

Conséquences
:
Plus
d’anesthésie,
pas
de
bleus,
ni
de
nodules
visibles.

L’Association
:
aiguilles
mousses
et
système
d’injection
électronique.

HISTORIQUE:
 Les
 injections
 de
 comblements,
 tant
 pour
 le
 traitement
 des
 rides
 que
 celui
 des
 volumes,
 ont
 
 largement

bénéficié
 ces
 dernières
 années,
 parallèlement
 à
 la
 nette
 amélioration
 des
 produits,
 
 d’avancées
 importantes
 dans
 les

techniques
:
 meilleures
 connaissances
 de
 l’anatomie,
 de
 la
 physiologie
 du
 vieillissement
 permettant
 l’optimisation
 des

niveaux
 d’injection,
 
 gestes
 techniques
 plus
 précis,
 permettant
 des
 injections
 un
 peu
 moins
 douloureuses,
 moins

traumatisantes,
 meilleure
 prise
 en
 charge
 pré
 et
 post
 traitement
 ….2
 méthodes
 récentes
 que
 nous
 avons
 développés

depuis
6
moins
permettent
à
leur
tour
des
avancées.


1)
 l’Anteis
 Injection
 System,
 est
 un
 équipement
 électronique
 d’injection
 innovant,
 dédié
 en
 particulier
 aux

comblements
des
rides,
et
à
la
reconstruction
morphologique.

Grâce
à
une
maîtrise
remarquable
du
volume
injecté,
en

mode
de
papule
ou

de
flux
continu,

à
pression
constante,
et
à
une

libération
de
la
main
de
l’opérateur,
il
produit
une

précision
 inégalée
 dans
 les
 traitements.
 Il
 permet
 d’injecter
 avec
 les
 mêmes
 performances
 suivant
 les
 indications,
 le

derme
superficiel,
moyen,
ou
l’hypoderme.
Cette
maîtrise
procure
au
patient
une
surprenante
réduction
ou
disparition

de
la
douleur
à
l’injection,
une
réduction
des
œdèmes,
et
des

autres
effets
secondaires
répertoriés
dans
ces
traitements.


2)
Une
gamme
originale
d’aiguilles
à
pointe
mousse,
fines,
souples,
et
relativement
longues,
les
aiguilles
SoftFil®,
a
été

conçue
pour
une
injection
optimale
et
sans
risque,
sans
traumatisme,
de
tous
les
types
de
produits
de
comblements
et

notamment
 des
 différents
 acides
 hyaluroniques.
 Cette
 gamme
 est
 basée
 sur
 une
 méthode
 d’injection
 originale

standardisée.

Nous
avons
mis
au
point
cette
technique
qui
présente
de
multiples
avantages
par
rapport
à
la
technique

conventionnelle
d’injection
à
l’aiguille
pointue.
Elle
ne
nécessite
qu’un
nombre

très
limité
de
points
d’injection
(2
à
4
par

cotés),
ne
provoque
pas
de
douleurs
et
ne
présente
pratiquement
pas
de
risque
d’hématomes,
de
lésions
de
structures

fragiles
telles
que
vaisseaux
et
nerfs.





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Cinq
 types
 d’aiguilles
 à
 pointe
 mousse
 de
 différents
 diamètres
 (22
 à
 30G),
 et
 différentes
 longueurs,
 ont
 été
 conçus,

permettant
 une
 adéquation
 parfaite
 entre
 chaque
 point
 d’introduction,
 chaque
 site
 injecté
 ,
 chaque
 profondeur

d’injection
 souhaitée,
 
 et
 la
 viscosité
 et
 les
 autres
 caractéristiques
 physico‐chimiques
 
 du
 produit
 correspondant.
 Ces

aiguilles
ne
peuvent
pas
encore
nous
permettre
d’injecter
le
derme
superficiel.


RESULTATS
:
L’Anteis
Injection
System
et
les
aiguilles
Softfil
permettent
chacun
d’améliorer
la
précision
technique,

de
 
 diminuer
 l’épaisseur
 des
 aiguilles
 nécessaires,
 
 et
 par
 conséquent
 l’ensemble
 des
 micro
 traumatismes
 liés
 aux

injections.
 Ces
 dispositifs
 ont
 
 également
 permis
 de
 trouver
 de
 nouvelles
 techniques
 pour
 injecter.
 Mais
 
 leur

combinaison
a
optimisé
ces

différentes
capacités.
Les
résultats
ont
été

hautement
performants
dans
90%
des
cas.
La

méthode
 aiguilles
 soft‐
 Injection
 System
 aboutit
 également
 à
 utiliser
 moins
 de
 produit.
 Mais
 la
 véritable
 innovation
 se

trouve
 dans
 le
 confort
 et
 le
 vécu
 des
 patients,
 car
 dans
 tous
 ces
 cas
 aucune
 douleur
 vraie,
 ni
 à
 l’injection
 ni
 dans
 les

suites,
n’a
été
constatée,
alors
que
aucune
anesthésie
n’avait
été
effectuée
préalablement,

et
ce
tant
pour
les
injections

de
produits
de
comblement
que
pour
les
produits
volumateurs,
même
les
plus
hautement
réticulés.


Au
plus
les
patients

signalent
une
sensation
de
distension
ou
de
tension.
Les
oedèmes
immédiats
et
les

rougeurs,
les
ecchymoses

sont
de

inexistants
 
 à
 modérés.
 Il
 n’y
 aucun
 arrêt
 des
 activités.
 Aucun
 autre
 effet
 secondaire
 n’a
 té
 rapportés
:
 notamment


nodule
de
surcorection,
prurit,
ou
discoloration.
La
satisfaction
des
patients
a
été
évaluée
de
très
bonne
à
bonne
dans

98%
des
cas.


CONCLUSION
:
 Utiliserons
 nous
 dans
 le
 futur
 uniquement
 des
 aiguilles
 pointues
 donc
 traumatisantes,
 pas
 toujours
 de

longueur
adéquate,
et
les
seringues
actuelles
?
Nous
ne
le
pensons
pas.
L’Anteis
Injection
System
au
besoin
associé

aux
aiguilles

mousses
apportent
une
nette
amélioration
à
nos
injections
quotidiennes.
Leur
champ
d’application
devrait

également
se
développer
en
pathologie.
Mais
seules
des
études
approfondies
et
sur
une
plus
longue
durée
permettrons

de
conclure

sur
les
réelles
performances
de
cette
nouvelle
méthode
d’injection
qui
produit
une
injection
de
qualité
sans

traumatisme
réel.




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Dr
Nathalie
FOURNIER

Dermatologue
‐
France



Cellulite
et
remodelage
médical
de
la
silhouette
:
lipolyse
non
invasive
de
la
cellulite


85%
des
femmes
développent
de
la
cellulite
à
un
moment
donné
de
leur
vie,
et
celle
ci
ne
disparaitra
avec
aucun
régime

ou
exercice
physique.


Points
communs
de
tous
ces
traitements
externes
:
Ils
traitent
la
cellulite
sans
agressivité,
sans
anesthésie,
avec
peu
de

douleur
ressentie,
ou
d’effets
indésirables.
Plusieurs
séances
consécutives
sont
nécessaires.

Les
améliorations
mesurées

sont
nettement
visibles
mais
moindre
qu’avec
une
liposuccion
ou
une
lipolyse
par
laser
interne,
et
vont
consister
en
une

diminution
 de
 circonférence
 et
 une
 amélioration
 de
 l’aspect
 cutané
 localement.
 Celles‐ci
 seront
 variables
 selon
 les

appareils
utilisés
et
parfois
selon
les
personnes
traitées.
Ils
nécessitent

de
garder
une
alimentation
normale
sans
excès

et
un
exercice
physique
minimum,
sans
chercher
pour
autant
une
perte
de
poids.
Les
mesures
des
taux
de
lipides
dans
le

sang
restent
stables
pendant
et
après
les
traitements.
Des
séances
d’entretien
une
à
deux
fois
par
an
seront
nécessaires

pour
 maintenir
 le
 résultat
 final.
 Ils
 sont
 indiqués
 avant
 ou
 après
 une
 liposuccion,
 ou
 une
 grossesse,
 ou
 pour
 toute

personne
ne
désirant
pas
d’acte
invasif
sur
les
zones
habituellement
touchées
par
la
cellulite.



Les
Ultrasons
focalisés
:
(Contour
1‐Ultrashape)


Une
huile
appliquée
sur
la
zone
traitée
sert
d’agent
couplant
avec
l’appareil.
Les
ultrasons
fragmentent

les
membranes

cellulaires
des
adipocytes

par
un
effet
mécanique.

La
douleur
ressentie
est
faible
et
une
rougeur
légère
est
observée

plusieurs
dizaines
de
minutes.
Une
étude
sérieuse
(Chan
H.,
LSM
2009)
montre

une
satisfaction
plutôt
faible
en
général

et
particulièrement
chez
les
femmes
de
petite
corpulence,
ou
asiatiques
pour
lesquelles
l’amélioration
de
la
cellulite
est

absente
 ou
 
 minime
 malgré
 un
 traitement
 bien
 conduit.
 
 La
 longueur
 de
 chaque
 traitement
 
 (2
 à
 3
 heures
 chacun),
 le

risque
 d’effets
 indésirables
 mal
 contrôlables
 dans
 les
 zones
 des
 hanches
 (ulcérations),
 
 le
 prix
 élevé
 des
 séances
 
 soit

2000
à
3000
euro
par
séance
et
par
zone
en
font
un
traitement
peu
populaire
en
France.


La
radiofréquence
bipolaire

ou
monopolaire:
(VelaShape‐Deka,
Velasmooth‐Syneron,
Accent‐Alma)

La
 radiofréquence
 
 chaufferait
 
 les
 fibres
 de
 collagène
 des
 cloisons
 fibreuses
 profondes
 qui
 emprisonnent
 les
 lobules

graisseux
et
améliorerait
ainsi
la
tension
cutanée.
Elle
peut
être
associée
à
une
lumière
infrarouge
et
un
massage

type

palpé‐roulé

qui
améliorerait
le
drainage
lymphatique
et
la
microcirculation
locale
(Winter
2009).
Deux
traitements
par

semaine
 
 de
 20
 à
 45mn
 chacun
 sont
 nécessaires
 
 pendant
 4
 à
 8
 semaines.
 Une
 sensation
 de
 chaleur
 et
 des
 rougeurs,


pendant
quelques
heures,
accompagnent

le
traitement
avec
rarement
des
petits
bleus
très
superficiels.
L’amélioration

de
la
tension
cutanée
quand
elle
est
visible
reste
très
modérée
et
de
courte
durée.

Le
prix
des
séances
varie
selon
la

zone
traitée
de
60
à
120
euro.


Le
laser
diode
basse
énergie
:
(Tri
Active‐Cynosure)


Elle
est
combinée
avec
refroidissement
de
contact
et
massage
type
palpé‐roulé.
Les
résultats
obtenus
seraient
similaires

à
ceux
de
la
radiofréquence
bipolaire
(Winter
M.L.
2009).


La
cryothérapie
ciblée
:
(Zeltiq‐Zeltiq
aesthetic)

Dernier
venu
sur
le
marché
et
en
cours
d’évaluation,
il
permet
de
programmer
la
mort
et
donc
la
destruction
des
cellules

graisseuses
 par
 une
 application
 de
 froid
 
 longue
 et
 constante
 sans
 endommager
 les
 tissus
 environnants
 (Avram
 2009).


Un
 applicateur
 aspire
 et
 maintient
 une
 zone
 de
 peau
 couverte
 de
 gel
 entre
 2
 plaques
 transmettant
 du
 froid
 pendant

environ
une
heure.
Les
effets
secondaires
sont
minimes
à
type
de
rougeur,
de
diminution
de
la
sensibilité
temporaire.
La

diminution
 de
 la
 couche
 graisseuse
 reste
 perceptible
 trois
 mois
 après
 en
 mesures
 échographique.
 La
 satisfaction
 des

patients
en
France
n’est
pas
encore
connue.

Le
prix
des
séances
en
France
n’est
pas
communiqué

et
est
d’environ
1000

à
1500
dollars
par
traitement
d’une
zone
aux
USA.




12
Bureau de presse IMCAS : Patricia Bénitah - PB Communication
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DOSSIER DE PRESSE - IMCAS 2010


La
Photomologie
:
(Smoothshapes‐Elémé)

C’est
 la
 combinaison
 dans
 un
 applicateur
 d’un
 rayonnement
 rouge,
 d’un
 laser
 diode,
 et
 d’un
 système
 de
 massage
 ‐

aspiration.
Le
laser
diode
(915nm)
chauffe
les
adipocytes
jusqu’à
déstabiliser
leurs
membranes
et
entraine
une
fonte
des

lipides
contenues
dans
ces
cellules
graisseuse.
L’émission
de
lumière
rouge
(650nm)
ouvrirait
en
même
temps
certains

canaux
 de
 la
 membrane
 cellulaire
 des
 cellules
 graisseuses
 (Neira
 2002).
 Le
 massage
 programmable
 permet
 d’évacuer

dans
 la
 circulation
 lymphatique
 ces
 lipides
 rejetés
 par
 les
 adipocytes.
 C’est
 un
 traitement
 conservateur
 et
 non

destructeur
avec
un
respect
total
des
structures
et
des
cellules
de
la
peau
;
Il
se
produit
ensuite
pendant
plusieurs
mois


un
 remodelage
 du
 collagène
 qui
 conduit
 à
 une
 
 réorganisation
 en
 réseau
 normal
 des
 septas
 fibreux
 observable
 en

échographie
et
par
IRM

(Lach
E
2008).
L’efficacité
a
été
clairement
démontrée
par
une
étude
multicentrique
américano‐
française
 (Gold
 M.,
 Weiss
 R.,
 Hails
 J.,
 Katri
 K.,
 Fournier
 N.
 2008)
 et
 a
 permis
 d’obtenir
 l’homologation
 par
 la
 FDA.
 Une

moyenne
de
2,9cm
de
réduction
du
tour
de
cuisse
traitée
versus
la
cuisse
non
traitée
est
obtenu
et
un
aspect
de
la
peau

d’orange
nettement
amélioré.
Huit
séances
de
20
à
40mn,
2
fois
par
semaine
pendant
4
semaines
permettent
d’obtenir

cet
aspect
plus
lisse
et
une
réduction
de
circonférence
de
la
zone
traitée.
La
satisfaction
des
patientes
est
élevée
car
le

traitement
est
agréable,
les

résultats
persistent

et
s’améliorent
jusqu’à
3
mois
et
parfois
jusqu’à
6
mois
et
il
n’y
a
aucun

effet
indésirable.

Un
traitement
d’entretien
est
souhaitable
1
fois
par
an.
Le
prix
des
séances
varie
de
60
à
120euro.


Conclusion
:
L’examen
soigneux
et
la
bonne
sélection
du
patient
avant
d’inclure
le
patient
dans
une
de
ces
techniques


est
l’une
des
clés
pour
l’obtention
de
résultats
satisfaisants.
Le
respect
d’un
minimum
d’hygiène
de
vie
et
d’une
stabilité

de
poids
de
la
part
du
patient
est
nécessaire
aussi.


Références
:

Chan
H.
et
al,
«
the
use
of
focused
ultrasound
for
non‐invasive
body
contouring
in
Asians.
»,
Lasers
in
Surgery
and

Medecine
41:751‐759
(2009)

Winter
M.L.,
«
post
pregnancy
body
contouring
using
a
combined
radiofrequency,
infrared
light
and
tissue
manipulation

device.
»,
journal
of
cosmetic
and
laser
therapy,
11:229‐235
(2009)

Avram
M.M.
et
al,
«
Cryolipolysis
for
subcutaneous
fat
layer
reduction
»,
Lasers
in
Surgery
and
medecine
41
:703‐708

(2009)

Neira
et
al.
“Low‐Level
Laser‐Assisted
Lipoplasty”,
Plastic
Reconstructive
Surg,
110:
912‐22,
2002

Lach
E,
“reduction
of
subcutaneous
fat
and
improvement
in
cellulite
appearance
by
dual
wavelenght
low
level
laser

energy
combined
with
vacuul
and
massage”,
Journal
of
Cosmetic
and
laser
therapy,
10(4)
202‐9,
2008.

























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Dr
Olivier
Gerbault

Chirurgien
Plasticien
–
France
(
Vincennes)



AUGMENTATION

MAMMAIRE
:
Implants,
graisse
ou
acide
hyaluronique
?


Les
 augmentations
 mammaires
 sont
 une
 des
 deux
 demandes
 les
 plus
 fréquentes
 en
 chirurgie
 esthétique,
 et
 cette

demande
 reste
 stable
 en
 2009
 malgré
 la
 crise.
 Ce
 qui
 change
 est
 le
 souhait
 exprimé
 par
 de
 plus
 en
 plus
 de
 femmes

d’augmentation
mammaire
sans
les
inconvénients
d’un
corps
étranger.



Le
lipomodelage
(réinjection
de
sa
propre
graisse
dans
la
poitrine)
est
la
première
technique
d’augmentation
mammaire

sans
 corps
 étranger.
 Il
 s’est
 développé
 notablement
 depuis
 2
 ans
 en
 France,
 mais
 reste
 limité
 dans
 son
 expansion
 par

différents
aspects
techniques
et
surtout
par
une
mise
engarde
de
la
société
française
de
chirurgie
plastique
vis‐à‐vis
d’un

manque
de
données
concernant
les
interrelations
entre
lipomodelage
et
cancer
du
sein.



L’injection
d’acide
hyaluronique
est
une
alternative
à
l’injection
de
graisse,
mais
le
recul
est
encore
plus
faible
(moins
de

2
ans).
Il
s’agit
d’une
technique
qui
doit
être
répétée
annuellement
et
dont
le
cout
n’est
pas
très
éloigné
de
celui
d’une

intervention
chirurgicale
avec
implants.
Si
le
risque
de
carcinogénèse
n’a
pas
été
évoqué
pour
l’acide
hyaluronique,
celui

de
gêner
le
dépistage
mammographique
de
cancers
du
sein
est
loin
d’être
écarté.


Les
augmentations
mammaires
quant
à
elles
ont
atteint
un
niveau
de
maturité
avec
un
gamme
étendue
d’implants
qu’il

n’est
plus
nécessaire
de
changer
systématiquement,
et
qui
permet
d’atteindre
un
naturel
sans
précédent.



REMODELAGE
DU
NEZ
:
les
injections
vont‐elles
remplacer
les
rhinoplasties
?



Le
remodelage
du
nez
par
injection
de
produits
de
comblement
(Ac
hyaluronique,
Hydroxyapatite
de
calcium)

est
une
technique
très
en
vogue.
Elle
permet
de
corriger
certains
problèmes
de
reliefs
du
nez,
en
augmentant

le
volume
afin
d’atténuer
certains
creux.



Ainsi,
une
bosse
pourra
être
amoindrie
en
injectant
un
produit
à
son
pourtour,
un
dos
du
nez
trop
creux

pourra
être
augmenté.
Cette
technique
est
surtout
un
complément
très
utile
pour
corriger
des
défauts
à
la

suite
de
rhinoplasties
imparfaites.



Elle
n’est
pas
sans
risque
(infection,
nécrose,
déformations…),
et
doit
donc
être
pratiquée
par
des
praticiens

connaissant
bien
l’anatomie
du
nez.
Enfin,
elle
ne
permet
pas
de
corriger
un
grand
nombre
des
problèmes
qui

amènent
à
consulter
pour
une
rhinoplastie,
ni
bien
sûr
les
aspect
fonctionnels
(respiratoires)
qui
sont
corrigés

lors
des
rhinoplasties.






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Dr.
Bernard
Môle


Chirurgien
Plasticien
‐
France
(Paris)


Aucune
des
photographies
présentées
ci‐après
ne
saurait
être
utilisée
sans
l’autorisation
expresse
du
Dr
Môle

4
sujets


•Assistances
à
la
liposuccion
(ultrasons,
lipolaser,
waterjet,
etc)
:
les
mythes,
les
réalités

•
Lipofilling
:
où
en
sommes
nous
?


•
Le
lifting
cervical
antérieur
:
une
intervention
simple,
rapide,
très
efficace,
pas
seulement
réservée
aux
hommes
!

•

Une
nouvelle
alternative
aux
fils
crantés
?

















Assistances
à
la
liposuccion
(ultrasons,
lipolaser,
waterjet,
etc)
:
les
mythes,
les
réalités


Successivement
considérées

comme
des
avancées
majeures
et
parfois
abandonnées
du
fait
de
résultats
décevants
et
de

promesses
 non
 tenues,
 les
 assistances
 à
 la
 liposuccion
 ont
 tout
 de
 même
 fini
 par
 faire
 leur
 place
 dans
 l'univers
 de
 la

liposuccion
qui
reste,
faut‐il
le
rappeler,
la
première
intervention
de
chirurgie
esthétique
dans
le
monde.
Ces
assistances

peuvent
être
scindées
en
deux
groupes
:


1°)
Assistances
purement
mécaniques
:
il
s'agit
de
provoquer
une
meilleure
fragmentation
de
la
graisse
par
des
micros

mouvements
de

la
canule
soit
de
manière
alternative
soit
de
manière
circulaire
;
les
pièces
à
main,
autrefois
lourdes
et

difficiles
à
manipuler
longtemps
sans
fatigue
se
sont
beaucoup
améliorées,
et
de
manière
indéniable
elles
favorisent
une

lipo‐aspiration
 plus
 fluide,
 plus
 régulière,
 et
 plus
 complète
 sinon
 plus
 rapide.
 Un
 autre
 système
 de
 pulvérisation
 de
 la

graisse
par
une
projection
d'eau
sous
haute
pression
(effet
«
Karcher
»)
est
également
à
notre
disposition
depuis
deux

ans
;
la
graisse
ainsi
extraite
est
particulièrement
exsangue
et
presque
«
prête
à
l'emploi
»
pour
un
éventuel
lipofilling.


2°)
Les
assistances
physiques
:
si
les
ultrasons
n'ont
plus
la
cote,
on
entend
beaucoup
plus
parler
de
la
lipolyse
laser.
Il

s'agit
 de
 projeter
 par
 l'extrémité
 d'une
 petite
 sonde
 une
 lumière
 laser
 qui
 va
 détruire
 la
 graisse
 par
 effet
 thermique,

produisant
une
huile
et
des
débris
cellulaires
qui
devront
bien
être
éliminés
d'une
façon
ou
d'une
autre,
soit
de
manière

naturelle
ce
qui
prend
du
temps
(deux
à
trois
mois)
et
au
prix
d'une
réaction
inflammatoire
prolongée,
soit
par
une
lipo‐
aspiration
 traditionnelle
 complémentaire.
 La
 loi
 Kouchner
 qui
 a
 considérablement
 restreint
 aux
 non
 chirurgiens
 l'accès

aux
techniques
chirurgicales
explique
à
la
fois
le
succès
rencontré
par
ce
type
de
lipolyse
en
médecine
esthétique
mais


également
ses
limites
puisque
le
patient
doit
invariablement
attendre
plusieurs
mois
pour
apprécier
le
résultat
éventuel

de
son
intervention...


En
 revanche,
 les
 nouvelles
 sondes
 à
 radiofréquence
 interne
 proposent
 une
 approche
 plus
 logique
 de
 l'élimination
 des

excédents

graisseux
et
notamment
de
la
cellulite
:
l'appareillage
consiste
en
un
émetteur
externe
qui
dirige
une
onde
de

radiofréquence
 entraînant
 un
 effet
 thermique
 élevé
 à
 l'extrémité
 d'un
 récepteur
 sous‐cutané
 situé
 à
 l'extrémité
 d'une

sonde
creuse
elle‐même
reliée
à
un
dispositif
d'aspiration
;
en
balayant
doucement
la
peau
par
cette
sonde
introduite

par
 une
 petite
 ouverture,
 on
 peut
 effectivement
 détruire
 la
 graisse
 superficielle
 et
 l’éliminer
 dans
 le
 même
 temps
 ;

d'autre
part,
la
température
élevée
atteinte
à
l'extrémité
de
la
sonde
(80°)
permet
d'espérer
un
véritable
remodelage
du

collagène
 et
 donc
 un
 aspect
 plus
 lisse
 de
 la
 peau.
 Ce
 procédé
 est
 relativement
 long
 et
 il
 doit
 être
 d'abord
 considéré

comme
 une
 technique
 complémentaire
 à
 une
 lipoaspiration
 traditionnelle
 sur
 des
 peaux
 à
 infiltration
 cellulitique

importante.


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Lipofilling
:
où
en
sommes
nous
?


Certes,
le
lipofilling
n'est
pas
une
nouveauté
mais
il
gagne
indéniablement
en
efficacité
à
grâce
deux
facteurs
:

•L'obtention
d'une
graisse
de
plus
en
plus
pure
d'emblée,
sans
obligatoirement
passer
par
des
procédés
de
purification

et
de
centrifugation
;
cette
graisse
est
recueillie
directement
au
sortir
de
la
canule
soit
par
filtration
directe,
soit
après

pulvérisation
mécanique
ou
aux
ultrasons.

•L'addition
de
facteurs
de
croissance
extraits
du
sang
même
du
patient
pendant
l'intervention
:
si
l'on
sait
déjà
extraire

de
la
graisse
des
cellules
souches
qui
pourront
se
différencier
en
différents
tissus
ultérieurement,
l'adjonction
de
facteurs

de
croissance
présents
dans
le
sang
est
une
nouveauté
qui
fait
l'objet
de
recherches
récemment
publiées
;
il
serait
ainsi

possible
d'accroître
la
survie
de
la
graisse
de
20
à
30
%
par
rapport
à
la
survie
spontanée
qui
est
de
l'ordre
de
40
à
60
%

suivant
les
séries.

Curieusement,
si
le
lipofilling
est
accepté
comme
une
technique
incontournable
dans
beaucoup
de
reconstruction
ou
de

perte
tissulaires,
son
utilisation
au
niveau
du
sein
fait
toujours
l'objet
de
vives
controverses
en
France
:
l'exceptionnelle

qualité
 des
 résultats
 obtenus
 grâce
 aux
 lipofillings
 dans
 la
 reconstruction
 mammaire
 se
 heurte
 toujours
 à
 certaines

réticences
théoriques
concernant
le
devenir
des
cellules
souches
contenues
dans
la
graisse
injectée
et
des
calcifications

possibles
de
certains
îlots
de
graisse
n'ayant
pas
survécu
(et
pourtant
tous
les
radiologues
expérimentés
s'accordent
pour

dire
qu'il
est
parfaitement
possible
de
différencier
ces
calcifications
de
celles
qui
peuvent
signer
l'apparition
d'un
cancer

mammaire).
Si
la
Société
Française
de
chirurgie
plastique
reconstructrice
et
esthétique,
en
même
temps
qu'elle
émettait

un
 avis
 défavorable
 au
 lipofilling
 dans
 le
 sein
 (principe
 de
 précaution...)
 met
 en
 place
 une
 étude
 multicentrique
 pour

authentifier
la
bonne
pratique
de
cette
technique
dans
la
reconstruction
mammaire,
peut‐on
raisonnablement
exiger
de

femmes
profondément
atteintes
dans
leur
corps
par
cette
mutilation
d'attendre
une
dizaine
d'années
la
certification
du

procédé
???


Le
lifting
cervical
antérieur
:
une
intervention
simple,
rapide,
très
efficace,


pas
seulement
réservée
aux
hommes
!


L'immense
 majorité
 des
 hommes
 d'âge
 mûr
 qui
 se
 présente
 à
 nos
 consultations
 ne
 souhaite
 pas
 une
 intervention
 de

rajeunissement
mais
veut
d'abord
éliminer
les
excédents
cutanés
qui
abîment
leur
profil
(le
double
menton
qui
déborde

sur
le
col
de
chemise...)
:
au
lieu
de
leur
proposer
l'intervention
traditionnelle
du
lifting
dont
il
convient
de
souligner
les

inconvénients
chez
l'homme
(convalescence
relativement
longue
en
l'absence
de
maquillage,
cicatrices
parfois
difficiles
à

masquer
surtout
quand
il
n'y
a
plus
beaucoup
de
cheveux,
déplacement
de
la
patte
devant
et
derrière
l'oreille),
il
paraît

beaucoup
plus
simple
de
leur
donner
une
alternative
avec
la
cervicoplastie
antérieure
:
celle‐ci
consiste
à
exciser
la
peau

excédentaire
soit
de
manière
horizontale,
soit
de
manière
verticale,
d'éliminer
la
graisse
sous‐jacente
en
cas
d'excédent,

et
de
réparer
l'écartement
musculaire
des
muscles
peauciers
du
cou
par
un
haubanage
solide.
L'intervention
est
rapide,

se
fait
en
ambulatoire
sous
anesthésie
locale
potentialisée
et
permet
de
reprendre
ses
activités
professionnelles
dès
le

troisième
jour
;
en
revanche,
elle
se
traduit
par
une
cicatrice
antérieure
qui
peut
être
visible
quelque
mois
mais

s'efface

en
général
remarquablement
bien
et
reste
de
toute
façon
très
facile
à
masquer
sous
un
col
roulé
les
premières
semaines

Si
cette
intervention
est
à
privilégier
chez
l'homme,
il
ne
faut
pas
hésiter
à
la
proposer
dans
certaines
indications
chez
la

femme
âgée
fragile,
aux
cheveux
clairsemés
et
qui
se
plaint
d'abord
de
l'affaissement
du
cou.
Nous
restons
très
étonnés

de
 la
 réticence
 de
 beaucoup
 de
 chirurgiens
 à
 pratiquer
 cette
 intervention,
 sans
 doute
 inquiets
 à
 l'idée
 d'une
 cicatrice

exposée
mais
dont
la
visibilité
paraît
tout
à
fait
superposable
à
celle
d'un
lifting
classique
ou
d'une
blépharoplastie.
De

plus,
 la
 connotation
 sociale
 de
 cette
 cicatrice
 chez
 l'homme
 est
 beaucoup
 plus
 évidente
 à
 gérer
 que
 celle
 du
 lifting

classique
(«
Oui,
j'avais
un
peu
de
peau
en
trop
qui
me
gênait
sur
le
cou
et
je
me
la
suis
fait
retirer
!
»
contre
«Tiens,
il

s'est
fait
faire
un
lifting
:
il
veut
jouer
les
vieux
beaux
et
encore
draguer
les
minettes
!
Ridicule…
».


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Une
nouvelle
alternative
aux
fils
crantés
?

Depuis
qu'ils
sont
apparus
sur
le
marché
il
y
a
une
huitaine
d'années,
les
fils
crantés
ont
suscité
autant
d'espoirs
que
de

déceptions...
 Certes,
 le
 procédé
 est
 simple,
 se
 fait
 sous
 anesthésie
 locale
 et
 les
 suites
 se
 limitent
 généralement
 à

quelques
hématomes
rapidement
résolutifs
;
mais
est‐il
pour
autant
efficace
?
Si
quelques
médecins
continuent
à
utiliser

isolément
 les
 fils
 crantés,
 l'immense
 majorité
 des
 chirurgiens
 les
 a
 abandonné
 du
 moins
 dans
 leur
 utilisation
 isolée
 ;

certains
 confrères
 continuent
 à
 les
 utiliser
 comme
 moyen
 de
 contention
 provisoire
 au
 cours
 d'un
 lifting
 avec
 plus
 ou

moins
 de
 bonheur...
 Car
 ces
 fils
 peuvent
 être
 mal
 tolérés,
 apparaître
 à
 la
 peau,
 entraîner
 une
 inflammation
 chronique

chère
payée
si
le
résultat
est
nul
!
Aussi
verrons‐nous
apparaître
dans
les
prochains
mois
un
autre
procédé
de
suspension

dont
 il
 est
 trop
 tôt
 pour
 affirmer
 l’efficacité
 (conceptuellement
 celle‐ci
 devrait
 être
 meilleure).
 Nous
 vous
 promettons

d'en
dévoiler
les
premiers
résultats
à
la
conférence
de
presse
de
l'IMCAS
2011.


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Dr
LE
PILLOUER‐
PROST
A.

Dermatologue‐
France

(Marseilles)





 Lasers
et
lumières


 Innovations
majeure


 





 «
Info
ou
intox
?
»



Epilation
laser


INFOS
 INTOX


 

‐
Efficacité
certaine
et
fort
degré
de
satisfaction
:

 ‐
Pour
tous
les
patients
???
NON

75‐100%
 •Hirsutisme
+++
(8‐10%
femmes),
pilule,
stérilet,


 anneau…
(progestérone)

‐
Pour
tous
les
appareils
 •Blancs,
blonds,
roux…


 

Alexandrite
 ‐
Un
appareil
supérieur

Nd‐YAG
 

Diodes
 ‐
Les
«
home
devices
»

Lumières
pulsées
 •Dangers
(UV
carcinogènes)

RF
+
lumière
pulsée
 •Inefficacité

Quelques
nuances
:
rapport
temps/efficacité
 •Lenteur
(1
cm²)


 

‐
Sans
complication

•Protection
oculaire
+++

•Brûlures
(non‐médecins)



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INTOX



 Ocular
complications
of
laser‐assisted
eyebrow
epilation.



 Shulman
S,
Bichler
I.


 Eye
(Lond).
2009
Apr;23(4):982‐3.


 Uvéites
et
parfois
altérations
irréversibles
de
l’iris…



Complications
of
nonphysician‐supervised
laser
hair
removal:
case
report
and
literature
review.


 


 Vano‐Galvan
S,
Jaen
P.


 Can
Fam
Physician.
2009
Jan;55(1):50‐2







Couperose
/
Varices



INFOS
 INTOX



 

Efficacité
lasers
vasculaires
/
rougeurs
et
vaisseaux
 
 Pour
toujours
…

‐
laser
à
colorant
pulsé
 
 (maladies
évolutives)

‐
laser
KTP
 
 


‐
lampes
flash
 Pour
les
bouffées
de
rougeurs…


‐
Laser
Nd‐YAG
 (plus
difficile)


 
 

Publications
objectives
:
 
 Sans
effet
secondaire…

Amélioration
des
index
de
qualité
de
vie
 
 


 






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Taches
brunes



INFOS
 
 INTOX
+++
/
mélasma
ou
masque
type


 «
grossesse
»


 




 ‐
Efficacité
du
laser
seul

‐
Taches
(solaires,
«
de
vieillesse
»,
lentigos…)
 
 ‐
Pour
toujours


 
 

Lasers
pigmentaires
«
Q‐switch
»,
lampes
pulsées..
 Cas
d’aggravation
(peaux
mates)


 Maladie
chronique
«
d’hypersensibilité
»
aux
UV


 


 Protection
solaire
draconienne

Traitements
associés
mise
au
repos
des
mélanocytes








CICATRICES
+++



INFOS


 
 INTOX



‐
Amélioration
possible
par
photobiomodulation


 


 
 ‐
Disparition
des
cicatrices
ou
gommage…

Laser
diode
EKKYO
+++
 


 ‐
Pour
tous
(génétique)

Autres
lasers

Laser
à
colorant
pulsé


Mode
fractionné
des
lasers
 


 

Quantités
d’énergie
 

«
Timing
»
optimal





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CICATRICES
D’ACNE
+++




INFOS
 
 INTOX


 


 ‐
Baguette
magique

‐
Amélioration
nette
du
ratio
bénéfices

/risques
 
 /public
d’adolescents
ou
jeunes
adultes
/éviction
sociale
 

/coût
 







Avant
2006

/
Après
2006



Dermabrasions


 


(
lasers
CO2
ou
erbium,
phénol
ou
meule…)
 
 


 
 Mode
fractionnés
non
ablatifs
1ère


 
 génération…(Fraxel
ou
Affirm)


 

Mode
fractionnés
non
ablatifs
2ème



 génération…(Fraxel
ou
Affirm
multiplex,


 Mosaïc,
Matisse…)


 


 

Mode
fractionnés
ablatifs
…(CO2,
Erbium,


 YSGG..)



 


 

Lasers
de
remodelage
 

(Infra‐rouges
:
smooothbeam,
aramis…)




 


 


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VIEILLISSEMENT
+++



INFOS
 
 INTOX


 
 

Lasers
en
mode
fractionné
 
 ‐
Baguette
magique


 
 

‐
Amélioration
nette
du
ratio
bénéfices
 ‐
Coûts
+++

/risques


(Province
:
1
séance
CO2
fractionné
500

/éviction
sociale
 
 euros)

/coût
 
 


 
 ‐
Appareils
:
très
divers







Mode
fractionné

Non
ablatif


 ?
ou
?
 
 Ablatif


‐
EFFICACITE
?


 ‐
Efficacité
constante
reproductible


 
 

‐

Risque
déception
/
héliodermie
 ‐
Index
de
satisfaction
sup?
/
héliodermie


 ‐
Effet
lentigos,
teint,
rides,
laxité
(tenseur)

‐
Reproductible/
Cicatrices
d’acné,
zone

périorbitaire,
peau
fine
 
 ‐
Cicatrices
à
confirmer

‐
Cicatrices
excessives
(HTS,
K,
PBS)
 
 ‐
Littérature
«
en
retard
»

‐
Littérature
«
en
avance
»…
 ‐
Tout
phototype
(Tan
KL
JDD
2008)


‐
Tout
phototype
 ‐
Une
seule
séance
(ou
plusieurs…)

‐
Plusieurs
séances


 ‐
Suites
modulables
et
gérables

‐
Suites
minimisées
 
 ‐
Risques
minimisés
/
protocoles

‐
Risques
minimisés
:
HPPI
 
 ‐
Coût
:
modeste

‐
Coût
:
ELEVE
+++
 (
absence
de
consommable
sauf…Reliant)






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VIEILLISSEMENT
+++




INFOS
 INTOX




Radio‐fréquence
 
 Preuves
scientifiques
?


 
 

‐
Illumination
du
teint
 
 ‐
Peu
articles

‐
Amélioration
texture
 ‐
1
fondamental


 

‐
Cas
cliniques,
courtes
séries
internes

‐
Promesses,
en
cours
d’évaluation
et
 
 ‐
Complications…

d’évolution
(Up‐grading)
 







VIEILLISSEMENT
+++



INFOS
 INTOX



 


LEDs
/
photothérapie
dynamique
carcinologie
 
 ‐
Efficacité
sans
cible


 
 (pas
de
précancers,
pas
d’altération
=
peu

multiples
études
randomisées
 
 d’amélioration)

multicentriques…niveau
de
preuve
élevé+++
 


 


 COÛT
+++


 (cancers
et
précancers
cutanés
étendus,

multiples)


Seule
molécule
autorisée
en
France
:
Metvixia


 (Galderma
International)






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VIEILLISSEMENT
+++



INFOS
 
 INTOX
:
efficacité
visible
/
signes
de


 
 vieillissement


 LEDs
seules
 
 


 

‐
Action
organites
intracellulaires
 


(mitochondrial,
REDOX…)
 
 ‐
Preuves
scientifiques
?

‐
Action
anti‐inflammatoire

 
 

(coup
de
soleil…)

‐
Action
sur
la
cicatrisation



 ‐
Placebo


(ulcères)
 









ACNE
et
lasers
+++



INFOS
 
 INTOX


 
 

‐ Alternatives
efficaces
et
sûres
 
 ‐ Oublier
:
Anciennes
alternatives


 efficaces
et
sûres
moins


 Niveau
de
preuves
scientifiques
élevé


 coûteuses


 
 

•Rougeurs
et
infection
 
 ‐
Antibiotiques

(acné
inflammatoire)
 
 ‐
Soins
locaux

LEDs
seules
(bleues),
lampes
pulsées,
laser
à
 ‐
Isotrétinoïne

colorant
pulsé
ou
KTP…
 
 ‐
Peelings…

•Kystes
 
 

(acné
rétentionnelle)
 
 ‐
NICHE
:
désir
de
grossesse,
refus
des

Lasers
IR:
Smoothbeam,
Aramis
 antibiotiques…


Photothérapie
dynamique

(LEDs,
LPP,
LCP)
 



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