Sunteți pe pagina 1din 9

INTOLERANCES ALIMENTAIRES

LE BILAN DES INTOLERANCES ALIMENTAIRES

Un bilan sanguin est réalisé qui vise à déterminer pour chaque personne les
aliments pour lesquels son système immunitaire de défense va réagir par la
sécrétion d'immunoglobulines de type IgG (immunoglobulines de type G).Ce
test est réalisé par un certain nombre de laboratoires (liste non exhaustive en fin
d’article), il n’est pas validé ni remboursé en France (il l’est partiellement en
Allemagne sur prescription) et son coût est fonction du nombre d’aliments testés
et des techniques utilisées. Certains laboratoires proposent des panels différents
de 10, 20, 50, 90,134, 180 et 270 aliments, additifs et conservateurs compris
pour les plus complets.

Le laboratoire ImuPro, hautement spécialisé et à la pointe de recherches


dans ce domaine, et qui pratique ce test à partir dela technique ELISA
(Enzyme Linked Immuno Absorbent Test) répond à nos questions. Des
réponses scientifiques et biologiques à nos interrogations. Environ 200
médecins en France utilisent leurs tests assez régulièrement, 1500 l'ont au
moins pratiqué une fois.

Est-ce que l’intolérance alimentaire touche beaucoup de monde ?

La prévalence de réactions immunologiques vis-à-vis des aliments n'est pas


connue. Il semble cependant qu'elle soitt très élevée et sans cesse croissante.
L'hypersensibilité a tendance à s'étendre à un nombre croissant d'aliments en
fonction de l'âge de l'individu. De nombreuses personnes ont une intolérance
alimentaire sans même le savoir… Selon la British Allergy Foundation, 45 % de
la population en Europe et aux Etats-Unis serait atteinte d'une intolérance ou
hypersensibilité alimentaire. Les allergies alimentaires classiques (IgE
spécifiques) seraient impliquées dans seulement 3 % de ces cas.

Qu’est-ce qu’une intolérance alimentaire, ou hypersensibilité ou allergie de


type 3 ?

Le terme scientifique qui devrait être utilisé est celui d'hypersensibilité


alimentaire, le terme intolérance devant être réservé, selon les spécialistes, à des
manifestations ne faisant pas intervenir le système immunitaire.C'est le cas en
particulier de l'intolérance au lactose qui est une intolérance enzymatique par
déficit d'une enzyme, la lactase.. Le terme intolérance alimentaire (
hypersensibilité ou allergie retardéede type 3) est tout de même utilisé car mieux
compris par le public et surtout ne doit pas être confondu avec l'allergie
classique ou allergie immédiate de type 1 ! L'allergie de type 1 constitue un
mécanisme de défense de l'organisme vis-à-vis d'une substance inoffensive. Des
réactions rapides (10 à 15 mn) qui se manifestent, parfois intensemment, telles
que des gonflements des lèvres, une éruption cutanée, des plaques rouges sur le
visage, des crises d'éternuement ou une sensation de suffocation de la gorge
(oedème de Quincke), jusqu'au risque de choc anaphylactique, sont des signes
typiques d’allergie immédiates de type 1 médiées par des anticorps IgE. Les
réactions surviennent, de façon générale, dans un laps de temps relativement
court après la consommation de l'aliment en cause. Ainsi, une allergie
alimentaire est facilement reconnaissable. Les allergies alimentaires classiques
(IgE spécifiques) sont peu fréquentes et ne concernent qu'un faible pourcentage
de la population. Le test des intolérances alimentaires ne met pas en évidence ce
type d'allergie mais les hypersensibilités ou intolérances alimentaires qui sont
des allergies retardées (de 3 heures à 4 jours après l'absorption de l'aliment) qui
se manifestent sournoisement, à bas-bruit et qui, selon la durée d'exposition, sont
à l'origine de certaines pathologies chroniques.

Que recherche le test ?

Dans le test d'intolérance alimentaire, ce qu’on recherche, ce sont des anticorps,


ici IgG et non plus IgE, et qui sont spécifiques à divers aliments. Ces
intolérances sont très fréquentes et se développent au fur et à mesure de la vie
d'un individu et souvent de façon spontanée. Les symptômes d'une intolérance
alimentaire sont, contrairement à l'allergie, extrêmement variés, tout en pouvant
également ressembler à ceux d'une allergie. Ils se manifestent plutôt plusieurs
heures ou jours après l'ingestion des aliments. Il est ainsi possible que vous
soyez intolérant, par exemple, à la laitue, aux tomates, aux pommes de terre, au
yaourt et lait de vache, etc., en réalité vous n’êtes pas intolérant à l’aliment
entier mais à une protéine spécifique de cet aliment. Si votre muqueuse
intestinale rentre en contact avec cet aliment, ce contact provoque une activation
de votre système immunitaire. S’ensuivent des changements métaboliques avec,
comme conséquence, l'apparition de problèmes de santé – sans que vous en ayez
conscience dans l'immédiat. Pour la plupart des gens, le lien entre maladies et
alimentation n'est pas perçu. Le but du test est d'établir ce lien.

Une allergie n’est pas une intolérance

Les allergies classiques sont caractérisées par la présence d’anticorps IgE qui
induisent la libération de facteurs de l’inflammation comme l’histamine et qui
déclenchent des pathologies aigües avec manifestation immédiate (quelques
minutes à quelques heures). Les intolérances, elles, sont caractérisées par la
présence d’anticorps IgG, elles sont à l’origine d’une porosité intestinale et sont
responsables de pathologies chroniques avec manifestations retardées.
Comment peut se manifester une intolérance alimentaire, sur l'évolution à
plus ou moins long terme et selon certaines prédispositions génétiques
? Possiblement sur les différents systèmes et métabolismes suivants:

 GASTRO-INTESTINAL : constipation, diarrhée, alternance


diarrhée/constipation, ballonnements, flatulences, colon irritable ou colopathie
fonctionnelle ( troubles fonctionnels intestinaux), reflux gastro-oesophagien,
nausées et vomissements, crampes abdominales et coliques, maladie de Crohn,
recto-colite hémorragique, maladie coeliaque (intolérance totale au gluten)
 PEAU et PHANERES : urticaire, eczéma, dermatite atopique et dermatite
herpétiforme, acné, psoriasis, rougeurs, peau sèche, démangeaisons
 SYSTEME NERVEUX CENTRAL : céphalées et migraine, vertiges et
pseudo-vertiges, troubles de la concentration, somnolence, dépression,
hyperactivité chez l'enfant, autisme, boulimie.
 APPAREIL RESPIRATOIRE: Troubles respiratoires, rhinite, sinusite,
asthme, otite, toux, enrouement, obstruction nasale par mucosités
 APPAREIL LOCOMOTEUR : douleurs articulaires, musculaires,
tendinites, fibromyalgie, crampes musculaires, pathologies auto-immunes à
expression articulaire et péri-articulaire (spondylarthrite ankylosante, PR).
 YEUX : Sécheresse des yeux, larmoyants, rougis, paupières enflées, collées
 SYSTEME ENDOCRINIEN : Diabète de type I, obésité et diabète de type II,
thyroïdite, maladie d'Hashimoto
 APPAREIL CARDIOVASCULAIRE : Hypertension artérielle, athérosclérose
 SURPOIDS et FATIGUE CHRONIQUE

Une association entre une réaction inflammatoire, une réponse IgG anti-
antigènes alimentaires et différentes maladies chroniques telles que l'arthrite
rhumatoïde, l'eczéma atopique, le diabète de type I, des troubles digestifs
chroniques ainsi que l'obésité et le diabète de type II, a été établie.

[youtube]https://youtu.be/-pu6gcS_m6Q[/youtube]

Comment et pourquoi apparaît une intolérance alimentaire ?

Ce que l’on sait aujourd’hui :

Une stimulation continue du système immunitaire suivie d’une réaction


inflammatoire engendrée par l'ingestion répétée et continue des aliments à risque
sont à l’origine d’une intolérance alimentaire. Ces intolérances perturbent le
microbiote( flore) intestinal et la fonction intestinale: la membrane intestinale
devient poreuse et hyperperméable : les aliments responsables ne sont pas
complètement assimilés et les résidus partiellement digérés, traversent la
membrane, qui a perdu son rôle de barrière filtrante, et mobilisent votre système
immunitaire. Ces résidus sont reconnus et attaqués en tant que corps étrangers.
Votre système immunitaire est fortement mis à contribution pour se défendre
contre ces intrus et votre organisme s’affaiblit par mobilisation excessive du
système immunitaire dans la sphère alimentaire. Ces attaques qui peuvent être
quotidiennes finissent par conduire à des lésions et des inflammations
chroniques dans certains tissus et à l'apparition de maladies inflammatoires,
voire auto-immunes et à des phénomènes d'allergie et d'hypersensibilité. Les
intolérances résultent souvent de l'interaction de différents éléments. Ceux-ci
comprennent :

– Les habitudes alimentaires souvent très monotones

– La production industrielle d'aliments

– L’alcool ou des expositions chroniques

– L’âge du premier contact avec l’antigène

– La nature et la dose de l’antigène

– La fréquence d’administration (chronicité)

– Le stress et les facteurs environnementaux

– Les agents infectieux pathogènes et les infections intestinales qui jouent un


rôle dans la dysbiose (pertubation du microbiote intestinal) et la perméabilité de
l’intestin grêle, notamment l'escherichia coli, le clostridium et le candida
albicans.

– Les médicaments notamment les antibiotiques, les anti-inflammatoires et la


cortisone.

– La prédisposition génétique

– Le statut immunitaire de l’hôte

– Les sports intensifs par phénomènes d'hypoxie/perfusion.

Quelles sont les caractéristiques et le principe du test ImuPro que vous êtes
seul à pratiquer ?
Le test ImuPro est le résultat d’études scientifiques qui mettent en évidence le
rôle de l’alimentation et du système digestif sur l’apparition de maladies
chroniques. Avec le test ImuPro300, il est possible d’établir un lien entre
certains aliments et certains problèmes de santé spécifiques*. Cette analyse est
basée sur un mécanisme naturel qui se déroule dans notre organisme. Le
système immunitaire a pour but de protéger l'organisme contre les maladies.
Pour assurer cette protection, le système immunitaire produit, entre autres, des
anticorps. Ces anticorps reconnaissent rapidement des agents pathogènes, les
fixent et signalent leur présence au système immunitaire. Le système
immunitaire possède la capacité remarquable de produire plusieurs centaines de
milliers d'anticorps différents les uns des autres, où chacun, de façon spécifique,
ne reconnaît qu'un seul organisme pathogène ou antigène. Cette reconnaissance
fonctionne selon le mécanisme de la clef sur la serrure. L'anticorps ne se fixe
qu'à l'antigène qui lui correspond et y reste attaché de façon durable.

C'est exactement ce principe qui est utilisé au laboratoire. Des constituants


alimentaires qui ont été purifiés par des procédés chimiques sont fixés à la
surface de petites cupules (microcupules). 270 cupules différentes sont
nécessaires pour la réalisation du test ImuPro 300 – chaque cupule est pourvue
de constituants alimentaires différents. Ces cupules sont chacune remplies avec
une faible quantité du sang préalablement traité. Si des anticorps spécifiques
contre des aliments sont présents, ceux-ci se fixent aux constituants alimentaires
concernés. Cette liaison est mise en évidence par l'intermédiaire de plusieurs
réactions successives. Des appareils de mesure très sensibles déterminent la
quantité des anticorps qui ont été fixés. Ce sont les anticorps de la famille des
IgG, présentes lors d'une intolérance alimentaire, qui sont recherchées dans le
sang. Comme une multitude d'aliments peut être impliquée dans une intolérance
alimentaire, il est important de doser des IgG spécifiques vis-à-vis d'un grand
nombre d'antigènes différents pour pouvoir établir un profil immunitaire
personnalisé et individuel.

* La méthode classique et de référence de diagnostic de l’hypersensibilité


alimentaire, très différente du test ImuPro consiste est un test de provocation
oral en double aveugle avec contrôle placebo (DBPCFC) (Pascual et al 2000 ;
Sullivan, 1999). Cette méthode présente deux grands inconvénients : elle ne peut
être effectuée que par du personnel spécialisé disposant d'un équipement
d'urgence pour traitement de choc anaphylactique, uniquement en milieu
hospitalier. Par ailleurs, les patients doivent présenter un bon état général.

Comment se présentent les résultats ?

Les résultats expriment l’intolérance sur une échelle de 0 à 4 :


LA CLASSE 0
signifie qu’il n’existe aucune intolérance contre l’aliment testé. Aucune
restriction de consommation n’est nécessaire.

LES CLASSES 1 – 2
signifient qu’il existe une intolérance alimentaire contre ces aliments, mais
encore à faible titre. Aliments à éviter pendant au moins 8 à 16 semaines.

LES CLASSES 3 – 4
indiquent une forte intolérance alimentaire contre les aliments testés. Aliments à
éviter impérativement pendant 32 à 52 semaines ou plus.

Liste des aliments testés : http://www.intolsante.com/documents/intolerance-


alimlentaire-aliments-testes.pdf

Comment le patient doit-il procéder ?

Votre sang constitue le point de départ. Pour effectuer le test ImuPro 100 (90
aliments, conservateurs, additifs), 200 (180 aliment, conservateurs, additifs) ou
300 (270 aliments conservateurs, additifs), il suffit d'une simple prise de sang en
laboratoire d'analyses. Le sang est ensuite acheminé vers le laboratoire qui prend
en charge l'analyse. Celle-ci est pratiquée pour définir votre profil
immunologique selon le nombre d'aliments choisi (90, 180 ou 270).

Comment se présentent les résultats pour le patient ?

Il recevra un profil personnalisé qui indiquera :

– La liste des aliments testés pour lesquels le sujet est tolérant

– La liste des aliments pour lesquels le sujet présente des intolérances,


répertoriées par degré croissant d’importance (de la classe 1 à la classe 4)

– Les recommandations générales concernant le principe immunitaire


d’intolérance et la présentation du principe de la rotation alimentaire. Ces
dernières recommandations sont associées à un tableau personnalisé
(répertoriant uniquement les aliments individuellement tolérés par l’organisme)
qui guide le sujet dans le choix des aliments.

– Une analyse détaillée des intolérances alimentaires décelées qui passe en revue
successivement les différentes familles alimentaires (viandes, produits de la
pêche, produits laitiers, céréales, fruits et légumes…) ; ainsi que les autres
aliments à éviter ou à surveiller (même famille ou aliments comprenant souvent
tel ou tel aliment).

– Des recommandations individuelles visant à expliquer et détailler les mesures


appropriées : selon le degré d’intolérance, le temps d’abstinence recommandé
pour chaque aliment…

– L’alimentation alternée selon le principe de la rotation avec des aliments


tolérés : cette partie du rapport précise les étapes utiles pour réorganiser
l’alimentation, précisant trucs et astuces pratiques au quotidien, délivrant des
conseils diététiques et nutritionnels simples et faciles à appliquer.

– Les questions-réponses d’ordre général : relation entre dépendance et


intolérance, validité dans le temps du test, problématique courante autour du lait,
avantages de la rotation… Le rapport est accompagné d’un livre de recettes
personnel (compte tenu des intolérances), source d’inspiration pour votre
cuisine.

Comment faire face à l’intolérance au quotidien ?

Ne vous laissez en aucun cas décourager par le résultat du test et par l'éviction
nécessaire de certains aliments pendant une période définie. Vous allez
rapidement prendre conscience des réactions positives et noterez rapidement une
amélioration de votre santé. De plus, les intolérances alimentaires ne persistent
pas nécessairement indéfiniment. Ainsi, vous pourrez recommencer à
consommer des aliments que vous avez dû éviter pendant une période plus ou
moins longue. Ainsi, le changement de régime alimentaire peut être facile,
cependant, dans des certains cas, il peut représenter un problème majeur, surtout
si un changement important des habitudes alimentaires favorites s'avère
nécessaire. Il faut être conscient de ces difficultés potentielles avant de prendre
la décision d'effectuer le test. Les améliorations rapides en termes de santé et en
termes de vitalité permettent souvent de percevoir les changements de façon
positive.

Comment faire en pratique ?

PHASE 1 : D’ÉLIMINATION DE L’INTOLÉRANCE (« DRAINAGE ») :

• Evitez tous les aliments qui présentent une intolérance (classification de 1 à 4)


pendant une période plus ou moins longue selon l’intensité de l’intolérance
• Respectez le principe de la rotation (cycle de 5 jours) pour éviter de nouvelles
intolérances et la consommation du même aliment sans le savoir

• Respectez une hygiène alimentaire : choisissez des aliments les plus naturels
possibles, à savoir pas de plats précuits, pas de sauces prêtes à l’emploi…

PHASE 2 : UNE ALIMENTATION QUOTIDIENNE SUR MESURE

• Suite à cette première phase, gardez une alimentation équilibrée. La rotation


garantit une alimentation variée. La rotation devient surtout intéressante après
10 semaines, puisque vous pourrez de nouveau consommer la plupart des
aliments. Après la phase d’élimination, la rotation devient nettement plus facile.

• Si vous maintenez le cap, vous éviterez des irritations de votre système


immunitaire et l’apparition de nouvelles intolérances, ceci vous garantira
probablement une bonne protection contre des maladies chroniques.

• La rotation devra devenir le fil rouge dans vos habitudes nutritionnelles. Ainsi,
vous réduirez le taux d’IgG anormalement élevés dans le sang, vous éviterez la
formation de nouvelles intolérances et de carences nutritionnelles.

IL EST IMPERATIF D' ASSOCIER DANS TOUS LES CAS ET


CONJOINTEMENT AUX EVICTIONS ALIMENTAIRES ET AUX
PRINCIPES ENONCES CI-DESSUS LE TRAITEMENT DE
L'HYPERPERMEABILITE DE LA MUQUEUSE INTESTINALE.

Quels sont les effets du test ?

Les résultats sont différents d'une personne à l'autre. Ne vous attendez pas à une
réponse universelle, mais à une solution personnelle. Le changement de vos
habitudes alimentaires est dépendant du nombre et de la nature des aliments
contre lesquels vous réagissez, ainsi que de l'intensité de votre réponse
individuelle. Le taux d’IgG anormalement élevé va diminuer et les effets sur
votre santé vont vite se faire ressentir.

EFFETS SUR LES PATHOLOGIES

Régularisation du poids (par normalisation de la muqueuse intestinale et des


échanges métaboliques).

Diminution voire disparition :


– des troubles fonctionnels intestinaux et circulatoires

– des céphalées et migraines

– des inflammations tendineuses, articulaires et ligamentaires

– des problèmes de peau (urticaire, eczéma, psoriasis)

– de la fatigue chronique et de la fibromyalgie

– des problèmes ORL (congestion nasale, rhinite etc.)

Autres :

– Prévention du diabète et de certaines maladies auto-immunes.

– Amélioration de l'état clinique notamment: chez les dépressifs, les enfants


autistes, les boulimiques

– Réduction ou arrêt de la thérapie médicamenteuse aux effets contraignants


dans certaines affections

– Amélioration des défenses immunitaires vis à vis de certaines maladies


infectieuses

– Bien-être général

– Récupération musculaire, amélioration des performances chez les sportifs

– Récupération intellectuelle et concentration

– Renforcement du psychisme

– Réduction des risques liés à l’environnement

– Prévention du vieillissement

S-ar putea să vă placă și