P.

C Chaîne d’information Information visuelle

Énerg.élec
Énerg.Pneu
Énerg.Hyd Ordre
s
Énergie
Matière Matière
Énergie ALIMENTER DISTRIBUER Énergie CONVERTIR mécanique TRANSMETTRE d’œuvre AGIR sur
d’œuvre
l’énergie l’énergie l’énergie la matière
d’entrée en énergie distribuée non entrante sortante
transmise (MOE) d’œuvre (MOS)

SOURCE D’ÉNERGIE PRÉACTIONNEUR ACTIONNEUR ADAPTATEUR EFFECTEUR

- Réseau ONE - Relais - Moteurs - Poulies courroies - Outils
- Compresseur - Contacteurs - Vérins - Pignons chaines - Convoyeurs
- Pompe - Distributeurs -... - Engrenages - Portes
-... -... -... -...

Sans modification Avec modification Avec transformation

de la vitesse de la vitesse du mouvement

Transmission Transmission Transmission Transmission Fonction non Fonction

En permanence Temporaire par adhérence par obstacle périodique périodique

Accouplement Embrayage À À À À
Arbres Arbres Arbres Arbres Linéaire Quelconque Sinusoïdale Quelconque
rapprochés éloignés éloignés rapprochés

Sans défaut Avec défaut Par Par

d’alignement d’alignement Autres obstacle adhérence Autres
- Vis - écrou
Accouplement
rigide
Accouplement
élastique
Joints :
Embrayage
Embrayage - Limiteur
progressif de couple *Roues *Poulies *
Pignons * *
- Poulie courroie Bielle
* *
- de Cardan Engrenages Levier-coulisse Came
instantané - Coupleur de friction courroies chaines - Pignon chaîne manivelle
- d’Oldham (à friction)
- Freins - Pignon crémaillère
* * * * * *
- Variateur de vitesse
- Réducteur de vitesse
- Multiplicateur de vitesse Translation Rotation
- Inverseur de marche vers vers
- Boite de vitesses Rotation Translation

* : Les leçons de la fonction transmettre pour la 2ème STE ; 2ème STM et 2ème SMB. 1
 La FONCTION des éléments de transmission de puissance La FONCTION des éléments de transmission de puissance
sans modification de la vitesse avec modification de la vitesse
LES ACCOUPLEMENTS TRANSMISSION PAR ADHÉRENCE
Les accouplements sont utilisés pour transmettre la puissance, entre Roue Transmettre par adhérence, un mouvement de rotation entre deux
Accouplement deux arbres en prolongement l’un de l’autre comportant éventuellement arbres parallèles ou concourants, avec modification du couple
de friction
des défauts d’alignements, sans modification du couple ni de la vitesse. transmis et de la vitesse de rotation.
Accouplement Appareils désignés à assurer, en permanence la liaison en rotation Transmettre par adhérence, à l’aide d’un lien flexible, la puissance
Poulie
permanent entre 2 arbres colinéaires, sans modification de la puissance. entre deux arbres éloignés généralement parallèles. La transmission
courroie
Transmettre la puissance, entre deux arbres en prolongement se fait, avec ou sans changement du sens et de la vitesse de rotation.
Accouplement l’un de l’autre et ne comportant aucun défaut d’alignement
rigide TRANSMISSION PAR OBSTACLE
(correctement alignés) (parfaitement coaxiaux), sans modification
Pignon Transmettre, par obstacle, à l’aide d’un lien articulé, un mouvement de
de la fréquence de rotation.
Effectuer une transmission de puissance entre deux arbres en chaine rotation continu entre deux arbres éloignés parallèles. La transmission
Accouplement prolongement, et sans modification du couple ni de la vitesse, de se fait, avec ou sans changement du sens et de la vitesse de rotation.
élastique remédier les inconvénients des accouplements rigides. Transmettre sans glissement un mouvement de rotation continu entre
Engrenage
deux arbres rapprochés, avec modification du couple transmis.
LES EMBRAYAGES
TRANSFORMATION DE MOUVEMENT
Accouplement Il permet à un opérateur (commande extérieure) d'accoupler ou de Pignon
séparer, progressivement ou non, les arbres respectivement solidaires Permet de transformer un mouvement circulaire alternatif en
temporaire crémaillère
du moteur et du récepteur. mouvement rectiligne alternatif (le système est réversible).
L’embrayage permet d’effectuer ou de supprimer à volonté la liaison - Réaliser l’assemblage entre les pièces.
Embrayage Vis-écrou
entre deux arbres en prolongement. - Transformer un mouvement de rotation en un mouvement de translation.
Transmettre des couples importants, entre deux arbres par obstacle; Bielle Transformer un mouvement circulaire continu en un mouvement rectiligne
Embrayage pendant la marche, sans changement de la vitesse, et la manœuvre ne manivelle alternatif et réciproquement, (C’est-à-dire, le système est réversible).
instantané peut pas être effectuée en marche. Transformer un mouvement circulaire continu en un mouvement
Came rectiligne (ou angulaire) alternatif. Le système n'est pas réversible.
Embrayage Transmettre la puissance, entre deux arbres par adhérence,
TRANSFORMATION DE MOUVEMENT
progressif sans changement de la puissance, et la manœuvre est effectuée
(à friction) en marche. - Appareils destinés à réduire la vitesse et d’augmenter le couple
Réducteur du récepteur.
LES LIMITEURS DE COUPLE de vitesse - Transmettre la puissance de l’arbre moteur à l’arbre récepteur, avec
Les limiteurs de couples (ou accouplements de sécurité) ont pour rôle changement de la vitesse et un rapport constant entre les vitesses < 1.
Limiteur de désolidariser l’arbre moteur et l’arbre récepteur automatiquement en
de couple - Appareils destinés à augmenter la vitesse et de diminuer le couple
cas d’augmentation anormale du couple résistant.
Multiplicateur du récepteur.
(Protéger les organes du mécanisme)
de vitesse - Transmettre la puissance de l’arbre moteur à l’arbre récepteur, avec
LES FREINS changement de la vitesse et un rapport constant entre les vitesses > 1.
Les freins sont des transformateurs d’énergie mécanique en chaleur, Variateur Appareils permettant une variation continue de la vitesse de l’arbre
Frein et destinés à ralentir ou à arrêter complètement le mouvement d’un de vitesse récepteur [𝜔mini , 𝜔maxi], pour une vitesse constante de l’arbre moteur.
mécanisme.
Inverseur Il s’agit d’inverser à volonté le sens de rotation de l’organe récepteur
de marche (𝜔e = - 𝜔s).

Boite Appareils destinés à transmettre un mouvement de rotation avec

de vitesses modification de vitesse. 2
 Transmission
En permanence Temporaire
Accouplements Embrayages
Types d’accouplements : Types d’embrayages :
Acc. rigide Acc. élastique Joint de Oldhame

Joint de
Cardan
simple

Joint de
Cardan
Rainure double
Critiques :
Permet un léger déplacement de la position relative des arbres
Acc.
Fatigue et usure rapide des paliers
rigide
Amortir les vibrations
Transmette instantanément et brutalement les à coups provenant
d’une variation brusque du couple résistant
N’accepte aucuns désalignements des arbres
Acc. Assurer la souplesse de la transmission
élastique Amplifier les vibrations de l’arbre moteur à l’arbre récepteur et Représentation :
réciproquement Embrayage instantané à griffe : Cadre 1
Défauts d’alignements :
Remarque :
-La manœuvre
ne se fait pas
Schéma technologique en marche.
-Embrayage
réversible.
Autre type d’accouplements : (Accouplements flexibles)
Joints de Oldham : Il supporte uniquement des désalignements radiaux.
Le joint de cardan simple : Permet d’avoir un défaut angulaire.
Le joint de cardan double : Il assure une transmission homocinétique.
Dessin d’ensemble et dessin en vue éclaté Schéma cinématique
3
Embrayage instantané à dents : Cadre 2 Embrayage progressif à surface plane : Cadre 5 ;6 ;7

-La manœuvre ne se +Embrayage réversible.

fait pas en marche. -La manœuvre ne se Critique : (Embrayage multidisques)
-Embrayage irréversible. fait pas en marche. +La manœuvre se fait en marche ;
+Embrayage réversible ;
Embrayage instantané à cliquet : Cadre 3 +Transmettre un grand couple sous un faible encombrement ;
+Entrainement du récepteur est progressif
(frottement puis adhérence), (Voir le graphe de fonctionnement);
+Transmettre intégralement le couple moteur par adhérence.
- Pendant l’entraînement par frottement (friction) un dégagement
Cannelures extérieurs sur l’arbre et d1 de chaleur apparaît.
Couple à transmettre : C  n  F  f  R
moy
Cannelures intérieurs sur la cloche et d2 Avec :
- C : couple transmis par adhérence (N.m) ;
Graphe de - n : nombre de surface de contact des disques ;
Critique : fonctionnement - F = N : effort presseur // à l’axe de rotation (N) ;
+Entraînement automatique ;
-Embrayage brusque ; - f = tg  : coefficient de frottement ( : Angle de frottement) ;
-Transmet le mouvement dans un seul sens ; 2 R3  r 3 Rr 1 r 1
- Rmoy = . ; ou (Rmoy =  
-Ne supporte pas de poussée axiale. 3 R2  r 2 2 si 4 R 3 )
Embrayage progressif à surface conique : Cadre 8
Embrayage instantané Cadre 4 N
à billes ou à rouleaux : β
F
N
sin  
F
F

N f
Couple à transmettre :C   Rmoy 4
sin 
Embrayage progressif à surface cylindrique : Couple à transmettre : C  N f R Cadre 9
Avec : T = N.tgφ.R = N.f
Fonctionnement et Critique :
Lorsque la vitesse est suffisante du plateau moteur, les
garnitures de friction entre en contact avec le tambour
récepteur par l’écartement des mâchoires articulés M1, M2 l’embrayage une pièce appelée ‘’ garniture
et M3 en . . . . . . ., sous l’effet de la force centrifuge, il y a, (ferodo) ‘’.
alors, la transmission du couple vers le tambour récepteur
par friction puis par adhérence.
Ces types d’embrayages sont à commandes automatique
et irréversibles.
 Limiteur de couple :
Garnitures et contre matériaux :
Puisque la transmission de puissance se fait
d’abord par frottement puis par adhérence, pour
cela, on rapporte sur la surface mobile de
Le matériau constituant l’autre surface de friction
sera désigné par ‘’ contre matériau ‘’.
La garniture est caractérisée par :
 Un grand coefficient de frottement ;
 Une bonne résistance à l’usure ;
 Une bonne résistance mécanique au choc.
Cadre 10 Principaux types de garnitures :
 Garniture *amiantée armé de fil de cuivre :
(résiste à l’action du feu)
 Garniture frittée ou céra-métallique : (utilisée
quand les conditions d’emploi sont sévères)
 À base de papier ou de liège pour
fonctionnement dans l’huile.
 Garniture métalliques (acier, fonte, bronze)
travaillant dans l’huile ou à sec.
Contre matériaux :
Ils sont choisis en fonction de la garniture, on
emploie généralement la fonte, pour résister à
l’écrasement, à l’érosion, à la déformation
permanente et à la formation de point chauds.
Fixation des garnitures :
 Fixation par rivetage ;
 Fixation par collage ;
 Fixation mixte.

1 : Arbre moteur 5 : Plateau mobile 9 : Rondelle

(ou récepteur). gauche récepteur Belleville Remarque :
2 : Clavette 6 : Vis H 10 : Rondelle plate Pour varier la valeur limite
3 : Plateau moteur 7 : Plateau mobile 11 : Arbre récepteur du couple à transmettre, il
faut manœuvrer l’écrou 8.
porte garniture droite récepteur (ou moteur)
4 : Garniture 8 : Écrou H
5
 Coupleurs :  Coupleur hydraulique : Sous l'effet de la rotation de l'arbre Cadre 11
Le couple transmis, très faible ou nul au démarrage, il augmente progressivement d'entrée 1 (roue pompe 6), le fluide intérieur 9 (huile spéciale)
avec la vitesse de rotation. En fonctionnement normal il y a toujours un léger est accéléré, l'énergie cinétique acquise est ensuite transmise
glissement entre les deux arbres (2 à 4 %). à l'arbre de sortie 12 par l’intermédiaire de la roue turbine 10.
Les coupleurs jouent le rôle d’un limiteur de couple. Le fluide, pouvant absorber les chocs, agit également en limiteur de couple.
 Coupleur électromagnétique à poudre : La progressivité de l’embrayage
lors des démarrages et à chaque engagement de vitesse, est dûe à
l’augmentation progressive du champ magnétique qui fait passer la poudre 5
de son état pulvérulent à celui d’un bloc compact entre 3’ et 7+8.
Quelques caractéristiques :
Sans courant, la poudre est maintenue par la force centrifuge.
3000 tr/min pour un couple inférieur à 50 Nm.
1500 tr/min pour un couple supérieur à 50 Nm.

Position Position
débrayée embrayée

6
Les Freins : Frein à sangle Ou à bande : Cadre 12
SADT :  Frein simple et réversible si AB = BC f
 Frein plus puissant si le rapport BC / AB, est supérieur à (e f∝)
 L’efficacité de ces freins dépend de l’angle d’enroulement ‘’∝ ‘’
et du dispositif de commande.
Frein à tambour Ou à mâchoire Ou à segment :
 Ils ont une grande puissance de freinage sous un faible effort de commande
 Les tambours sont en fonte, la commande de ce frein est mécanique par
Construction : Un frein comprend : came ou hydraulique par vérin g .
 Un organe solidaire de la masse en mouvement (Roue ; Poulie ; Tambour...)  Le couple de freinage : ; -R : rayon intérieur du tambour ;
 Un frotteur solidaire d’un organe fixe (Garniture...)
 Un mécanisme de commande de la force pressante (Levier ; pédale...)
C f  T  R -T : force de frottement.
 L’action de la mâchoire comprimée est deux fois supérieure à celle de la
 Un système de refroidissement, si possible.
mâchoire tendue, d’où l’usure non uniformément répartie sur les garnitures ;
Caractéristique : (Qualités recherchées) : Un frein est caractérisé par :
pour y remédier, on a réalisé le frein avec un dispositif de réglage manuel.
 Efficacité (puissant) : un frein est puissant si le couple de freinage est
 La chaleur due au frottement est difficile à évacuer, cet échauffement
important pour un faible effort de commande.
déforme le tambour et les segments ; le freinage devient mois efficace.
 Régularité (stabilité) : un frein est régulier si le couple de freinage est
Frein à disque :
proportionnel à l’effort de commande.
Ils ont une grande stabilité ; permettent une meilleure évacuation
 Réversibilité un frein est réversible si le couple de freinage est indépendant
de la chaleur que les freins à tambour, freinage plus progressif et sont plus
du sens de rotation.
facile à entretenir. On trouve :
 Matériaux : même et identique aux embrayages.
 Frein à disque à leviers ou à pincettes ;  Frein à disque à un piston h ;
 Dissipation de chaleur : - Contact directe au milieu extérieur ;
 Frein à disque à deux pistons i ;  Frein multidisques ;
- Par ailettes (ventilation) ou l’eau (circuit hyd).
 Frein avec surface de frottement conique.  Le couple identique à l’emb.
Classification et Critiques d’après l’organe de friction :
Frein à sabot Ou à patin Ou à mâchoire extérieur :
 Le frein a est irréversible ;
 Pour rendre le frein réversible il faut que ‘’h = 0’’ b ;
 La présence de l’effort normale F provoque la flexion du levier,
pour éviter ce problème, utiliser un frein à deux sabots c .
h

i
g
7
 Transmission par adhérence à arbres
Rapprochés Éloignés
Roues de friction Poulies courroies
Types de courroies :
Plate Rond
Critiques : 1 2
+ Marche silencieuse ;
+ Transmission sans choc ; Trapézoïdale Crantée
+ Réalisation simple et économique ;
+ Joue le rôle d’un limiteur de couple ; 3 4
+ Arbre pas forcement parallèle ;
+ Moins cher. Critiques ‘’Courroie plate’’ : Condition de transmission :
- Transmission de faible puissance ; + Marche silencieuse ; Même pas.
- Nécessite un effort presseur (usure) ; + Souple ; Vitesse linéaire (courroie 4) :
- Efforts importants sur les paliers (usure). + Entretien facile ; Nd.p.Zd ND.p.ZD
Vitesse linéaire : + Arbre pas forcement parallèle ; V  
60 60
V = ω1.r1 = ω2.r2 + Convient pour les grandes vitesses ; + Rapport de transmission (courroie 4):
Rapport de transmission : Bon rendement (98%) ;
D dp Zd Cd
2 r1 d1 Cm
+ Prix peu cher. k    
k     - Vitesse non régulier dû au glissement ; d Dp ZD CD
1 r2 d2 Cr - Durée de vie limitée ;
- Paliers chargés à cause des tensions ;
Exemple de réalisation :
- Transmettre de faibles puissances.
Variateur de vitesse mécanique :
2mini r1 Critiques ‘’Courroie trapézoïdale’’ :
k mini   Même critiques que courroie plate ;
1 r2max i + Bonne adhérence ;
A + Transmettre de fortes puissances ;
2max i r1 - Arbres //.
k max i   Vitesse linéaire des courroies 1-2-3 :
1 r2mini V = ωe.r = ωs.R
Exemple de réalisation : Rapport de transmission des courroies 1-2-3:
r r d C
Variateur de vitesse mécanique : k     m Exemple de réalisation :
2mini r1mini m R D Cr (Voir le cadre A) à gauche
k
Rapport 
de transmission : Critiques ‘’Courroie crantée’’ :
1
mini de la feuille.
r2max i + Pas de glissement (rapport constant) ;
 r + Supporte bien les basses vitesses ;
k max i  2max i  1max i + Tension initiale plus faible ;
1 r2mini - Durée de vie limitée
8
- Arbres //.

 Transmission par obstacle à arbres
Éloignés Rapprochés
Pignons chaînes Engrenages
Critiques : Types de roues dentées :
+ Rapport constant (pas de glissement) ; Cylindrique à Cylindrique à Conique à Vis sans fin à
+ Longues durées de vie ; denture droite denture hélicoïdale denture droite 1 filet
+ Possibilité d’entraîner plusieurs arbres
récepteurs en même ;
+ Montage et entretien plus simples
que celui des engrenages ; Crémaillère Nota :
+ Prix de revient moins élevé ; - Denture droiteDenture parallèle à l’axe de rotation ;
+ Bon rendement (97%) ; - Denture hélicoïdaleDenture inclinée par rapport à l’axe ;
+ Supportent des conditions de travail - Engrenage droitles axes se trouvent dans le même plan ;
plus rudes. - Engrenage gaucheles axes se trouvent dans des plans ≠ ;
- Sont plus bruyantes ; - Entraxedistance entre les axes de rotation des deux roues.
- Tournent moins vite (<20m/s) ;
- Nécessitent une lubrification ; Position relative des arbres (axes) :
- Supportent des forces de tension
plus élevées.
Condition de transmission :
Même pas.
Vitesse linéaire (courroie 4) :
ND.p.ZD Nd.p.Zd
V 
60 60
Rapport de transmission :
d Dp ZD C
k     D
D dp Zd Cd
 Diamètre primitif : ‘’ dp ‘’
pas pas
dp   Élévateur à chaîne
sin( / 2) sin(  / Zd )
Exemple de réalisation :
Tronçonneuse à chaîne

Paramètres caractéristiques des engrenages :

 Le diamètre primitif ‘’ d ’’ d’une roue ;
 Le nombre de dents ‘’ Z ‘’ d’une roue ; d = m.Z
 Le module réel ‘’m’’ (caractérise la dimension de la denture).
9
 Transmission par obstacle à arbres rapprochés engrenages (Suite) Remarque :
Principales caractéristiques et Représentation des engrenages ext. droits à denture droite La saillie (ha),
Pignon 1 - Roue 2 (engrenage ext.) le creux (hf) et
Caractéristique Formules la hauteur (h) de la
module m : Déterminé par dent sont les mêmes
la résistance des matériaux pour tous les autres
nombre de dents Z1 et Z2 types d’engrenages
pas (pas primitif) p = π.m  Pour la crémaillère
diamètre primitif d1 = m.Z1 ; d2 = m.Z2 voir transformation
diamètre de tête da = d + 2m = d + 2ha
diamètre de pied df = d - 2,5m = d - 2hf
saillie ha = m
creux hf = 1,25m
hauteur de dent h = 2,25m = ha + hf
Condition de transmission :
Même module. Schém
Entraxe : a  d1  d 2  m  Z1  Z 2  a
2 2 Dessin
Rapport de transmission :
N2  d Z C
rk   2  1  1   1
N1 1 d2 Z2 C2
Principales caractéristiques et Représentation des engrenages int. droits à denture droite
Pignon 1 - Couronne 2 (engrenage int.)
Caractéristique Formules
module m : Déterminé par
la résistance des matériaux
nombre de dents Z1 et Z2
pas (pas primitif) p = π.m
diamètre primitif d2 = m.Z2
diamètre de tête da = d2 - 2m = d2 - 2ha
diamètre de pied df = d2 + 2,5m = d2 + 2hf
Condition de transmission :
Même module.
m  Z1  Z 2 
Entraxe : a  d1  d 2 
2 2 Avantages(+) ; Inconvénient (-) Schém
Rapport de transmission : + Plus simples ; a
N2  d Z C + Plus économiques.
rk   2  1  1   1
N1 1 d2 Z2 C2 - Engendrent bruit et vibrations. 10
 Transmission par obstacle à arbres rapprochés engrenages (Suite)
Principales caractéristiques des engrenages droits à denture hélicoïdale Condition de transmission :
module réel (normal) mn = mt .cosβ mn1=mn2 ; mt1= mt2 ; 1 = -2
module apparent mt = mn/cosβ Entraxe :
pn = π.mn (remarque pn1 = pn2 = pn) d  d 2 mt  Z1  Z 2  mn  Z1  Z 2 
pas réel (ou normal) a 1  
pas apparent pt = pn/cosβ = π.mt 2 2 2 cos 
Rapport de transmission :
diamètre primitif d = mt. Z
N 2 2 d1 Z1 C
diamètre de tête da = d + 2mn = d + 2ha rk       1
diamètre de pied df = d - 2,5mn = d - 2hf N1 1 d 2 Z 2 C2

 À AXES PARALLÈLES (//) Avantages(+) ; Inconvénient (-)

+ Transmission plus souple ;
2 + Moins bruyante ;
+ Transmission d'efforts élevées;
+ Vitesses élevées ;
2 + Réalisation facile d'un
entraxe imposé (varier l'angle β).
+ 2, 3 ou 4 couples de dents en prise.
- Rendement un peu moins bon ;
- Engendre un effort axial ;
- Doivent toujours rester en prise ;
1 1 - Leur utilisation est impossible ;
sous forme de baladeur (dans BdV).

Dessin Schém
 À AXES PERPENDICULAIRES (⊥) a
Condition de transmission :
Même sens d’hélice ; mn1=mn2 ; 1+2=90°.
Entraxe :
d1  d 2 mt1  Z1  mt 2  Z 2 mn  Z1 Z 2 
a      
2 2 2  cos 1 cos 2 
Rapport de transmission :
N 2 2 d1  cos 1 Z C
rk     1   1
N1 1 d 2  cos 2 Z 2 C2
Avantages(+) ; Inconvénient (-)
Même que l’engrenage droit à denture hélicoïdale.

11
 Transmission par obstacle à arbres rapprochés engrenages (Suite)
 À AXES PERPENDICULAIRES (⊥) (Roue et vis sans fin)
Principales caractéristiques de la vis sans fin
La vis sans fin travail avec la roue à denture hélicoïdale. module axial vis mx = px/π = mn/cos βR = mn/sin βV
pas axial de la vis px = pt ; pas axial vis (Pxvis) = pas apparent roue (Ptroue)
pas de l'hélice pZ = ZV.px
diamètre primitif vis dV = pZ/π.tanβR
diamètre de tête vis daV = dV + 2mn
diamètre de pied vis dfV = dV - 2,5mn
Condition de transmission :
Même sens d’hélice ; mtR = mxV ; βR + βv = 90°.
Entraxe :

Rapport de transmission :

Avantages(+) ; Inconvénient (-)

+ Très grand rapport de réduction
sous un faible encombrement ;
+ Silencieux et sans chocs ;
Ex1 : - train à 4 engrenages (1-2 ; 3-4 ; 5-6 ; 6-7) droit à denture droite + Peut être irréversibles d’où sécurité.
- Fréquence de rotation d’entrée : Ne = 1400 tr/min ; - Usure dû au frottement ;
- L’entraxe entre 1 et 2 : a1 = 80 - Mauvais rendement ;
- L’entraxe entre 5 et 6 : a2 = 70 - Nécessitent une bonne lubrification ;
- Nombre de dent: Z1 = 20, Z3 = 15, Z4 = 46, Z5 = 33 - Un choix judicieux des matériaux
- Module: m1 = 1,5 ; m4 = 2, m5 = 1 et - d7 = 12. à faible frottement ;
1- Calculer les diamètres primitifs de toutes les roues ; (ex : vis acier avec roue en bronze) ;
2- Compléter le tableau ci-contre : - Engendre un effort axial important.
3- Calculer le rapport de transmission k = ωs / ωe ;
4- Calculer la vitesse angulaire de la sortie ;
5- Le mécanisme est-il réducteur ou multiplicateur ;
12
 Transmission par obstacle à arbres rapprochés engrenages (Suite)
Principales caractéristiques des engrenages coniques à denture droite
pas (pas primitif) p = π.m
tanδ1 = ω2/ω1 = Z1/Z2 ; tanδ2 =ω1/ω2 = Z2/Z1 ;
angle primitif
δ1(roue1), δ2(roue 2)
diamètre primitif d = m.Z
diamètre de tête da = d + 2m.cosδ
diamètre de pied df = d - 2,5m.cosδ
angle saillie tanθa = m/L = 2m.sinδ/d
angle de creux tanθf = 1,25 m/L = 2.5m.sin δ/d
angle de hauteur θ = θa + θ f
Condition de transmission :
Même module et même sommet des cônes primitif.
Rapport de transmission :
Si δ1 + δ2 = 90° (Cas recommandé dans le programme)
2 N2 Z d
  1  1  tan 1
1 N1 Z2 d2
1 N Z d
 1  2  2  tan 2
2 N2 Z1 d1
Avantages(+) ; Inconvénient (-)
+ Renvoi d’angle de la transmission.
- Nécessitent un réglage précis.

EX2 : Terminez les sens de rotation esquissés sur les dessins.

Complétez ensuite les conclusions en ajoutant soit : ‘’ne tourne pas’’, soit ‘’tourne’’.
 Deux roues en prise  Un nombre pair de roues  Un nombre impair de roues  Engrenage intérieur

Conclusion : La roue B . . . . . . . . . Conclusion : La roue B . . . . . . . . . Conclusion : La roue B . . . . . . . . . Conclusion : La roue B . . . . . . . . .

dans le même sens que la roue A. dans le même sens que la roue A. dans le même sens que la roue A. dans le même sens que la roue A. 13
 Transmission par obstacle à arbres rapprochés engrenages (Suite)
EX3 : Terminez les sens de rotation esquissés sur les dessins.
Indiquez l’axe de rotation de la roue.
Complétez ensuite les conclusions en ajoutant soit : ‘’ne tourne pas’’, soit ‘’tourne’’.
 Hélice . . . . . . . . . . . . . . . . . .  Hélice . . . . . . . . . . . . . . . . . .  Hélice . . . . . . . . . . . . . . . . . .  Hélice . . . . . . . . . . . . . . . . . .

La vis tourne suivant l’axe . . . . . La vis tourne suivant l’axe . . . . . . . . . La vis tourne suivant l’axe . . . . . . . .
La vis tourne suivant l’axe . . . . . . . .
La roue tourne suivant l’axe . . . La roue tourne suivant l’axe . . . . . . . La roue tourne suivant l’axe . . . . . . La roue tourne suivant l’axe . . . . . .
Conclusion : La roue . . . . . . . .dans Conclusion : La roue . . . . . . . . . .dans Conclusion : La roue . . . . . . .dans Conclusion : La roue . . . . . . .dans
le même sens que la vis sans fin. le même sens que la vis sans fin. le même sens que la vis sans fin. le même sens que la vis sans fin.
TRAINS ÉPICYCLOÏDAUX : Trains épicycloïdaux avec satellite simple Trains épicycloïdaux avec satellite double
Un train d'engrenages est dite épicycloïdal quand,
pendant le fonctionnement, une ou plusieurs roues
dentées tournent autour d'un axe mobile par rapport
au carter principal (bâti).
Ils permettent de grands rapports de réduction sous
un faible encombrement et des puissances transmises
sont en général modérées et le rendement est bon et
l'encombrement axial faible, et utilisés dans les boîtes
de vitesses automatiques.
Leur étude est plus complexe que les autres types
d’engrenages.
Une particularité permettant de les identifier : les axes
de rotation des roues appelés satellites ne sont pas fixes
dans le bâti mais tourbillonnent par rapport aux autres
Train épicycloïdal double, le satellite est
roues (analogie avec le soleil et les planètes du système
réalisé à partir de deux roues dentées 2 et 2’
solaire).
dont les nombres de dents Z2 et Z2’, sont
Le fonctionnement n'est possible que si l'un des trois Train épicycloïdal simple à trois satellites c'est différents.
éléments principaux (Planétaire 1, Planétaire 3 ou Porte la configuration la plus répandue. 3  ps N3  Nps n Z1.Z2
Satellite PS) est bloqué ou entraîné par un autre On peut avoir 1, 2, 3 ou 4 satellites, leur nombre Willis :      1 
dispositif. 1  ps N1  Nps Z2.Z3
est sans influence sur le rapport de la transmission.
La formule de Willis vu par la suite est adaptée à ce type 3  ps N  Nps n Z
  1 . 1
avec : - n : nombre de contact extérieur
de train pour déterminer les rapports de réduction. Willis :    3
1  ps N1  Nps Z3 -  : raison basique 14
 Transmission par obstacle à arbres rapprochés engrenages (Suite)
Trains épicycloïdaux avec satellite simple : Cas usuels de fonctionnement :(Calculer le rapport de chaque cas en fonction de Z1 et Z3)
Planétaire 3 bloqué Planétaire 1 bloqué Porte satellite bloqué
configuration la plus utilisée configuration moine utilisée train classique

ps ps 3
Remarque géométrique utile :   
d1 + 2d2 = d3 ; Autrement dit : Z1 + 2Z2 = Z3 1 3 1
Trains épicycloïdaux avec satellite double : Cas usuels de fonctionnement :Calculer le rapport de chaque cas en fonction de Z1, Z2, Z2’ et Z3
Planétaire 3 bloqué Planétaire 1 bloqué Porte satellite PS bloqué
Configuration la plus utilisé Configuration moine utilisée Train classique

1 : Planétaire
2 et 2’ : Satellites
3 : Couronne n= n= n=
PS : Porte Satellites

ps ps 3
  
1 3 1
Remarque géométrique utile :
Les deux couples de roues ont même entraxe ‘’ a ’’
d1  d2 d3  d2 m12.  Z1  Z2  m23 .  Z3  Z2 
a   
2 2 2 2 15
 Analyse fonctionnelle Vis-écrou
 Représentation
FAST des systèmes de transformation de mouvement
Photo Dessin 3D Schémas cinématique

Schéma 3D Schéma 2D
 Transformation de mouvement par système ’’ vis-écrou ‘’ cas possibles
Ou bien

A B
C D

Compléter les propositions suivantes par vis ou écrou des cadres :

(T : Translation ; R : Rotation ; T : non Translation ; R : non Rotation)

SADT des systèmes de transformation de mouvement

Caractéristiques cinématiques C = ntr . P
V=N.P
Réversible si
φ<∝<90°-φ

P = Pa .nfilet 16


 Représentation Pignon Crémaillère Bielle manivelle
 Représentation
 Photo Dessin d’ensemble Schémas cinématique Dessin en écorche Schémas 3D









 Le pignon Crémaillère permet de transformer un mouvement circulaire  Transformation de mouvement par système ’’ Bielle manivelle ‘’
 continu en mouvement rectiligne continu (le système est réversible). 1Cas- R : . . . . . . . . .  T : . . . . . . . .
 Rotation pignon un tour Une dent 2Cas- T : . . . . . . . . .  R : . . . . . . . .
Translation crémaillère
Mouvement plan de la bielle 2
 Transformation de mouvement par système ’’ Pignon Crémaillère ‘’
 1Cas- R : . . . . . . . . . . .  T : . . . . . . . . . Déterminer la course du piston 3 :
 2Cas- R : . . . . . . . . . . .  T : . . . . . . . . . C3 = . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
 3Cas- T : . . . . . . . . . . .  R : . . . . . . . . . Calculer le débit refoulé par le piston 3
 si son diamètre et de d3 :
Caractéristiques cinématiques QV3 = . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
 C = Rp .θ = ntr.π.dp ;
 V = Rp.ω = N.π.dp / 60 ; Excentrique
 Représentation
 Zc = ntr .Zp = C / (π.m)
- C : Course ou déplacement (mm).
- θ : Angle de rotation du pignon (rad).
- n : Nombre de tours.
- dp = m . Zp : diamètre du pignon = 2Rp.
- m : Module de la dent (mm).
- V : Vitesse de translation linéaire (m/s).
- ω : Vitesse angulaire du pignon (rad/s).
- N : Fréquence de rotation du pignon (tr/min).
- Zc : Nombre de dents de la crémaillère.
- Zp : Nombre de dents du pignon.
EX : On donne : - Module de denture du pignon m = 1,5 mm
 - Nombre de dents du pignon Zp = 20 dents  Transformation de mouvement par système ’’ Excentrique ‘’
Calculer : Un excentrique est utilisé lorsque la distance (O1O2) est faible.
a- L’angle de débattement du pignon pour une course de la crémaillère de 60. (O1 : Centre de l’excentrique ; O2 : Centre de rotation de l’excentrique)
b- Le nombre de dents minimal de la crémaillère pour assurer cette course. Course : C = 2 x e (e : l’excentricité). Le système est irréversible 17


Cames
 Différentes formes de cames
 CAMES DISQUES : La partie active est sur le pourtour.
0 : Bâti
1 : Tige
2 : Came disque
3 : Galet

Course : C = R - r
Courbe des espaces

 CAMES À RAINURES :
La partie active est une
rainure creusée sur
la surface latérale
Tracé du profil de la came : du cylindre.
1- Supposer que la came est fixe, et le galet tourne d’elle, en sens inverse.
2- Tracer le cercle minimal de levée nulle de rayon (R).
3- Tracer le cercle de rayon (R+r) (avec ‘’ r ‘’ : rayon du galet).
4- Diviser le cercle de rayon (R+r) en 12 parties égales sur les points  CAMES À TAMBOUR (Came cloche) :
(0 ; 1 ; 2 ; . . . ; 11 ; 12) (autant que d'espaces sur le graphe). La partie active est le rebord
5- Mesurer sur le graphe les variations de course (11’, 22’, cte…) de la base du cylindre creux.
et les reporter à l’extérieur du cercle de rayon (R+r).
6- La courbe qui passe par les extrémités du galet, c'est le profil pratique
de la came.
7- La courbe qui passe par les centres du galet, c’est le profile théorique
de la came.

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