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L: Angles & logarithmes

A: Angles & arcs


0: Introduction
On dit souvent que les angles ne constituent pas une grandeur fondamentale puisque, comme les
nombres, ils n'ont pas de dimension (Sec∙DN). Ceci est évidemment faux. En-effet, alors qu'on peut
comparer deux nombres (n = 2, n < 8 ∕ 3), et comparer deux angles (α = 30°, α >20°), on ne peut pas
comparer un angle avec un nombre. Par-exemple, peut-on dire qu'un angle α est égal à 5? ou inférieur à 38?
De-fait, même ceux qui soutiennent que les angles sont sans dimension les expriment en fonction d'une
unité (radian, degré), ce qu'on ne fait jamais pour un nombre.
π π
Il est vrai que l'on dit, par-exemple, ‘ α < ’, où π est un nombre, mais cela signifie en réalité α < rad
2 2
Π
ou ‘ α < ’ ─Sec∙1b1.
2

1: Constante angulaire Fig∙1


a: Définition y y
Considérons un cercle de centre O et de rayon R == OA,
Fig∙1. La longueur s d'un arc AM du cercle est N T
L
proportionnelle au rayon R et à l'angle au centre θ == AOM,
K M
on écrit

s = ηRθ :10,
θ A
O J x
en fonction de la constante angulaire η, dont la valeur est
déterminée comme suit:
 Si θ = r, M fait un tour complet, et on doit avoir s = τR
(circonférence du cercle; τ = 2π —Ref·ManifesTau);
donc, avec Rel∙10,
τR = ηR∙r, d'où η = τ ∕ r;
 Si θ = Π = r ∕ 2 = 180° (demi-tour, angle plat), l'arc AM est un demi-cercle:
s = πR =10 ηR∙Π, d'où η=π∕Π :12;
 Si θ = rad, on doit avoir, par-définition du radian: s = R =10 ηR∙rad, d'où η = 1 ∕ rad :14.
En résumé, on peut exprimer la constante angulaire de diverses façons, selon l'unité d'angle employée
(tour, degré, radian):
τ π π 1
η= = = = :16.
r Π 180° rad
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b: Remarques
□0: D'après Rel·10|16, η est, dimensionnellement, l'inverse d'un angle: [η] = A −1
.

□1: Le nombre π et l'angle Π sont liés mais distincts: Π = π∙rad = 180° ─Sec∙DM1c1.
□2: On ‘simplifie’ généralement Rel∙10 en l'écrivant sans la constante angulaire (comme si cette dernière
était unitaire, ce qui est faux ─Rel∙16). De-fait, on peut réécrire Rel∙10
s = R∙u :20 si on pose u == η∙θ =14 θ ∕ rad :21.
Rel∙20 exprime s en-fonction, non pas de l'angle θ, mais de sa mesure en radian (Rel∙21; Rel·DB26).
Rel∙10&20 sont équivalentes, mais Rel∙20 impose l'emploi du radian comme unité d'angle, alors que Rel∙10
ne ‘privilégie’ aucune unité.
On confond souvent Rel∙10&20 pour écrire s = R∙θ :22,
en spécifiant: il faut que l'angle θ soit en radian. Cette condition est anormale puisqu'une équation aux
grandeurs doit être indépendante de toute unité (Par-exemple, Rel∙10|20 n'implique pas que R soit exprimé
en mètres, en centimètres, ou en pieds.). De plus, même si on exprime θ en radian, Rel∙22 est incorrecte
─inhomogène, en fait, puisque la longueur s a la même dimension que R, mais n'a pas la dimension
angulaire du produit R∙θ.
Exemple: si R = 2 m et θ = 112°:
π π × 2 ×112
■Rel∙10⇒ s= ×2 m ×112 ° = m ≈ 3.91 m;
180 ° 180
(Remarquer la simplification par ‘°’.)
π
■Rel∙21⇒ u = × 2 m ×112 ° = 1.955, puis Rel∙20⇒ s ≈ 2 m×1.955 ≈ 3.91 m.
180 °
■Rel∙22⇒ s = 2 m ×1.955 rad ≈ 3.91 m∙rad; ce résultat en mètre∙radian (m∙rad) est évidemment incorrect
puisque s est une longueur, et non une longueur×angle. En praxie, les partisans de Rel∙22 ‘laissent tomber’
le radian dès qu'il gêne, mais sans justifier cette acrobatie douteuse…

□3: Rel∙10 est homogène, puisque s et R sont des longueurs, θ est un angle, et η a la dimension opposée
─Rel∙16. Rel∙20 est aussi correcte dimensionnellement, puisque la mesure u est un nombre ─Sec∙DB3a.

2: Fonctions trigonométriques
a: On définit le cosinus et le sinus de l'angle θ à-l'aide-des projections J, K de M sur les axes Ox et Oy,
Fig∙1. Par-hypothèse, le rayon du cercle trigonométrique est unitaire:
OM = R = 1 :23,
Cos θ == x == OJ :24, Sin θ == y == OK :25.
(Graphiquement, OM, OJ, OK sont des longueurs; par-exemple, OM = 32 mm. Ecrire ‘OM = 1’ signifie
que OM représente (à l'échelle utilisée pour tracer la figure) le nombres 1.)
Le théorème de Pythagore appliqué au triangle rectangle OJM ou OKM donne OJ2 + OK2 = OM2 =23 1,
soit, avec Rel∙24&25:
Sin2 θ + Cos2 θ = 1 :26.
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b: Pour exprimer les dérivées de ces fonctions, considérons une petite variation dθ == (OM, ON) de θ, et
le déplacement correspondant de M. Le petit segment MN est approximativement égal à l'arc MN; avec
Rel∙10&23,
dM == MN = η∙dθ :27.
Les déplacements dJ et dK de J et K étant les projections de dM sur les axes Ox et Oy; exprimons
leurs mesures algébriques sur ces axes:
 dOJ = dJ = dM∙Cos (Ox, dM) :30,
où (Ox, dM) = (Ox,OM) + (OM, dM) = θ + Π ∕ 2 :31.
Avec Rel∙27&31, Rel∙30⇒ dOJ = η∙Cos (θ + Π ∕ 2)∙dθ = −η∙Sin θ∙dθ
dx
ou, avec Rel∙24: = −η·Sin θ :34.

 De même, dOK = dK = dM∙Cos (Oy, dM),
dy
où (Oy,dM) = (Oy,Ox) + (Ox,dM) =31 θ, d'où = η·Cos θ :35.

c: D'après Rel∙34,35, la dérivée de Cos θ (Rel∙25) est −η∙Sin θ, et celle de Sin θ (Rel∙24) est η∙Cos θ. Le
facteur η découle de Rel∙10, et assure l'homogénéité des relations obtenues; en-effet, x, y, Sin θ et Cos θ
dx dy
étant des nombres sans dimension, et doivent avoir la dimension A−1 (Sec∙DK), qui est la
dθ dθ
dimension de η dans Rel∙34,35.
Pour éliminer le facteur η de Rel∙34,35, utilisons les fonctions trigonométriques traditionnelles sin et
cos, qui acceptent le nombre u (Rel∙21) comme argument: Rel∙24&25 deviennent
y = sin u == Sin θ :40, x = cos u == Cos θ :41.
(Ces définitions sont nécessaires. Mathématiquement, la fonction Sin θ réalise une application de
l'ensemble des angles sur le corps des réels, et n'accepte donc qu'un angle comme argument θ: ‘Sin u’ n'a
pas de sens; inversement, sin u réalise une application de l'ensemble des réels sur le corps des réels, et
n'accepte donc qu'un nombre réel comme argument u: ‘sin θ’ n'a pas de sens.)
du d x d x dθ 40
Avec (Rel∙21) = η , Rel∙40,41⇒ = · = −Sin θ = −sin u :44,
dθ d u dθ d u
d y d y dθ
et = · = Cos θ =41 cos u :45.
du dθ du
On retrouve ainsi les dérivées des fonctions trigonométriques traditionnelles.

d: Généralisons: Soit F (θ) une fonction trigonométrique et f (u) la fonction traditionnelle correspondante
(par-exemple, Sin θ et sin u):
dF d F du
= · :46.
dθ d u dθ
dF df
Or, = puisque, par-définition, F (θ) = f (u); par ailleurs, Rel∙21⇒ du ∕ dθ = η, de-sorte-que
du du
Rel∙46⇒
dF df
= η· :48.
dθ du
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Conclusion:
La dérivée d'une fonction trigonométrique angulaire est égale à celle de la fonction
traditionnelle (à argument numérique) multipliée par la constante angulaire.

e: Rel∙44,45 sont les formes habituelles (sans le facteur η) de Rel∙34,35. Ces relations sont formellement
plus simples mais, contrairement à Rel∙34,35, elles utilisent comme variable indépendante, non pas l'angle
θ lui-même, mais sa mesure en radian, u. Voir aussi Sec∙1b1@. Malgré cela, on utilise souvent (et incorrec-
tement) ces fonctions sin, cos avec des arguments angulaires. Par-exemple, on écrit ‘sin 30° = ½’; ou bien,
on écrit que la solution de l'équation ‘sin u = 0.6’ est u = 36.87° = 0.6435 rad, alors que l'on devrait écrire
u = 0.6435 puisque u est un nombre, sans unité. Le fait que l'on exprime u avec une unité d'angle indique
que, conceptuellement, u est un angle, et donc que l'équation à résoudre est, en fait, ‘Sin θ = 0.6’.

f: On définit aussi la tangente en fonction de l'intersection T de OM avec Ay (Fig∙1):


AT y Sin θ sin u
t == Tg θ == = = = == tgu :50.
R x Cos θ cos u
dt x ·d y /d θ − y ·d x /d θ 34,35 x 2  y 2 24,25,26 η
Sa dérivée est = 2
= η 2
= :52.
dθ x x Cos 2 θ
Comme Rel∙34,35, cette expression contient le facteur η ─Sec∙d.

3: Fonctions réciproques
a: Définitions
Les fonctions réciproques correspondant à Sin, Cos et Tg ont aussi des symboles et définitions proches
de celles des fonctions traditionnelles:
Sin y == Asin y == angle dont le sinus est y :55,
Cos y == Acos x == angle dont le cosinus est x :56,
et Tg y == Atg t == angle dont la tangente est t :57.
D'après Rel∙21, on a: u = sin y == arc sin y = η∙Sin y;
u = cos x == arc cos x = η∙Cos x; u = tan t == arc tan t = η∙Tg t :60.
Conclusion:
Si a (x) est une fonction réciproque traditionnelle (‘arc’), la fonction réciproque
angulaire correspondante (‘Ang’) est
A (x) = η−1 a (x) :61.
La dimension de η−1 étant A (angle) et a étant un nombre, A (x) est bien un angle.
τ π
Exemple: Cos (0.5) = Π ∕ 3 = 60° ≈ 1.047 rad, alors que cos (0.5) = = ≈ 1.047.
6 3
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b: Dérivées
D'après Rel∙61, la dérivée d'une fonction réciproque angulaire est égale à la dérivée de la fonction
traditionnelle correspondante divisée par la constante angulaire η (Comparer avec Sec∙2c.):
dA −1 d a dA
=η . Le facteur η−1 donne à sa dimension angulaire, héritée de A.
dx dx dx
d −1 d 1
Ainsi, Cos x = :64 Sin x = :65.
dx η  1− x 2 dx η  1− x 2

c: Notations
Les fonctions Sin, Cos et Tg sont étroitement liées aux fonctions sin, cos et tg ─Rel∙40,41,50. On les
distingue simplement pas la majuscule initiale. Cette distinction est légère (‘Cos’ ressemble assez à ‘cos’
pour ne pas dérouter le lecteur), mais suffisante pour assurer la précision des notations.

4: Développements en série
D'après Rel∙40,41, on obtient les développements en série de Cos θ et Sin θ en remplaçant u par ηθ
(Rel∙21) dans les formules
u2 u4 u6 u2n
Cos θ = cos u = 1 −  − … = ∑n = 0,1,2, … −1n :70;
2! 4! 6! 2 n!
u3 u5 u7 u2 n  1
Sin θ = sin u = u −  − … = ∑n = 0,1,2, … −1n :71.
3! 5! 7! 2 n  1 !
2
 η θ
En particulier, pour θ petit, Cos θ ≈ 1 − , et Sin θ ≈ ηθ.
2
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E: Exponentielles & logarithmes


0: Définitions
a: On définit le logarithme naturel, ou népérien, par l'intégrale
x
du
y == ln x == ∫ :0,
1 u

où u, x, y sont des nombres réels; x > 0. La base du logarithme naturel est le nombre ℮ tel que

ln ℮ == 1 :1.

(℮ = 2.718 281 828 459 045 235 360 287…)

b: Le logarithme de x par rapport à une base a quelconque est tel que Rel∙1 se généralise à
loga a = 1:
ln x
v == log a x == :2.
ln a

ln x
En particulier, le logarithme décimal est ld x == log10 x == :3,
ln 10

où ln 10 = 2.302 585…

c: La fonction réciproque du logarithme naturel est l'exponentielle:


Rel∙0 ⇔ x == exp (y) = ℮y :5;
Avec une base a, Rel∙2 ⇔ x == expa (v) = av :6.
Puisque Rel∙0&2 ⇒ y = ln x = v∙ln a, Rel∙5,6⇒ x = exp (v∙ln a) = ℮v∙ln a

d: On définit les fonctions hyperboliques:


exp  x   exp −x  exp  x  − exp −x
ch x == , et sh x == :7.
2 2

1: Propriétés fondamentales
ln (x∙y) ≡ ln x + ln y :9; loga (x∙y) ≡ loga x + loga y :10;
exp (x + y) ≡ exp (x)∙exp (y) :11; expa (x + y) ≡ expa (x)∙expa (y) :12.
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2: Exponentielle à argument complexe


La fonction de variable réelle définie par Rel∙5 admet comme développement en série

y2 y3 yn
exp  y = 1  y    … = ∑n = 0,1,2, … :20.
2 ! 3! n!
Ce développement fournit la définition de l'exponentielle à argument complexe.
En particulier, si y = i∙u, où i est l'unité imaginaire (i2 = −1) et u est un nombre réel, Rel∙20⇒
u2 u3 u4 u5 u6
exp i u = 1  i u − −i  i − −… :22.
2! 3! 4! 5! 6!
ou, avec Rel∙A70@,71@: exp (i∙u) = cos u + i∙sin u :24,
dont le module est unitaire puisque (Rel∙A:26,40,41@) |exp (i∙u)|2 = cos2u + sin2u = 1.
Puisque cos u et sin u ont pour période τ, il en est de même de exp (i∙u):
∀ k∈Z (entier), exp [i∙(u + k∙τ)] ≡ exp (i∙u) :28.
Plus généralement, si on considère un autre réel h et le nombre complexe
g == h + i∙u :30,
z == exp (g) =11 exp (h)∙exp (i∙u) =24 Z∙(cos u + i∙sin u) :32,
où Z == exp (h) = |z| :34.

3: Exponentielle angulaire
L'argument de la fonction exp est un nombre (Rel∙5,20,21,22,24). En particulier, la variable réelle u
dans Rel∙22,24,28 peut être considérée comme la mesure en radian d'un angle φ (Rel∙A21). De fait, u est
généralement considéré comme un angle dans Rel∙24 et, comme tel, exprimé en degré ou en radian. Cette
pratique traduit la confusion endémique entre les angles et leur mesures en radian ─Sec∙A.
Pour clarifier cette situation, définissons une fonction exponentielle angulaire Exp (Remarquer la
majuscule initiale ‘E’ ─Sec∙A3c@.) par
Exp (γ) == exp (ηγ) :36.
Comme l'argument de exp est un nombre (sans dimension), l'argument γ de Exp doit avoir la dimension
d'un angle (Rel∙A16,21). En particulier, considérons le cas γ = i∙θ, où θ est un angle (Comme l'unité
imaginaire i n'a pas de dimension, γ a bien la dimension d'un angle.); avec Rel∙24&A40,41@, Rel∙36⇒

Exp (i∙θ) == exp (i∙η θ) = Cos θ + i∙Sin θ :38.

Puisque Cos θ et Sin θ ont pour période r (2Π), il en est de même de Exp (i∙θ):
∀ k∈Z (entier), Exp [i∙(θ + k∙r)] ≡ Exp (i∙θ) :40.
Rel∙38 est la ‘version angulaire’ de Rel∙24.
Plus généralement, définissons γ, α, θ par
g == η∙γ :41, h == η∙α :42, u == η∙θ :43.
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Rel·30&41…43 ⇒ γ = α + iθ :44.
Rel·34,36,42 ⇒ Z == Exp (α) :45
Avec Rel·A40,41@, Rel∙32,36,45 ⇒ z = Exp (γ) = Z∙(Cos θ + i∙Sin θ) :46.
Rel·45,46 sont, respectivement, les ‘versions angulaires’ de Rel∙34,32.

4: Logarithmes complexes
a: Alors que l'exponentielle numérique réelle est définie à partir du logarithme (Sec∙0c@), le logarithme
complexe est, à l'inverse, défini comme la fonction réciproque de l'exponentielle: Le logarithme de z est
donc l'argument (numérique) g de exp dans Rel∙32@:
ln z == g =41 η∙γ :50.
Similairement, le logarithme intrinsèque, ou angulaire, de z est la fonction réciproque de
l'exponentielle angulaire:
z = Exp (γ) ⇔ Log z == Log (z) == γ =44 α + i∙θ :55.
D'après Rel∙40&55, Log z est défini à un multiple de i∙r (i·2Π) près, de-même-que ln z est défini à un
multiple de i∙τ près (Rel∙28).

b: Remarque: Le sens de l'adjectif ‘angulaire’ dépend du contexte; l'exponentielle angulaire a un


argument de dimension angulaire mais prend une valeur numérique, sans dimension; inversement, étant la
fonction réciproque, le logarithme angulaire a un argument numérique mais prend une valeur angulaire. En-
effet, θ étant un angle dans Rel∙55, α et γ doivent avoir aussi la dimension angulaire (puisque i est sans
dimension) même si ce ne sont pas, à-proprement-parler, des angles ─Sec∙5.

c: Eliminons γ entre Rel·50&55: Log z = η−1 ln z =A16 (ln z)·rad :58.

Or, traditionnellement, un logarithme calculé avec ln (logarithme népérien) s'exprime en néper, Np:
Log z = (ln z)·Np :60.

En particulier, si z = ℮, Rel·58,60 ⇒ Np = rad = Log ℮ :62.

Autrement-dit, ‘néper’ et ‘radian’ sont deux noms de la même unité.

d: Définissons l'unité associée à la base a: Ua == Log a =82 (ln a)·Np :64.

Le logarithme numérique de z par rapport à une base a est, par-définition


ln z 82,85,86 Log z Log z
log a z == = =
ln a Log a Ua

⇒ Log z = (loga z)·Ua :68.

Donc, loga z est la mesure de Log z par rapport à l'unité Ua associée à la base a —
Fig·8.

Rel·62 est l'application de Rel·68 au cas où a = ℮; alors, Rel·64 ⇒ U℮ = Np.


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Fig·8
Base a Unité associée Ua
nom symbole et valeur (Rel∙64)
2 unet (‘bit’), ou shannon u = (ln 2) Np ≈ 0.693 Np :80
℮ néper, ou radian (Rel∙62) Np = rad
 10 bel B = (ln  10 ) Np ≈ 1.151 Np :82
10 décade, ou ban, hartley déc = Hl = (ln 10) Np =82 2 B ≈ 2.30 Np :84
256 = 28 octet (‘byte’) o = (ln 256) Np =80 8 u ≈ 5.545 Np :86

References
0: Torrens A B: ‘On angles and angular quantities’, Metrologia 22, 1-7; 1986 Jan.
See also Metrologia 23, 155; Metrologia 23, 57; Metrologia 24, 155.
BIPM (Bureau international des Poids et Mesures): ‘The International System of Units (SI)’, 8th edition
(1998): www1.bipm.org/en/si/si_brochure/
http://en.wikipedia.org/wiki/Domain_%28mathematics%29.
1: Frank_Michael_P., ‘The Indefinite Logarithm, Logarithmic Units, and the Nature of Entropy’,
http://www.eng.fsu.edu/~mpf/IndefLog_paper/indef-log.pdf#search='logarithm%20units'
http://en.wikipedia.org/wiki/Neper
http://en.wikipedia.org/wiki/Ban_%28information%29
http://PlanetMath.org/encyclopedia/ShannonsTheoremEntropy.html
http://en.wikipedia.org/wiki/Entropy_%28statistical_views%29.
http://members.aol.com/jeff570/r.html
http://en.wikipedia.org/wiki/Absorbance
http://www.unc.edu/~rowlett/units/index.html
2: IUPAC: ‘Quantities, Units and Symbols in Physical Chemistry’ (‘Green Book’), Blackwell Science, 2nd
edition, 1993.
3: http://goldbook.iupac.org/A00028.html
4: http://en.wikipedia.org/wiki/Hyperbolic_function#Standard_algebraic_expressions
5: http://en.wikipedia.org/wiki/Hyperbolic_function#Inverse_functions_as_logarithms

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