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Le déclin des abeilles

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La plupart des aliments que les hommes consomment sont issus de la pollinisation des insectes et
surtout les abeilles nommées ‘ pollinisateurs’ qui contribuent aux divers phénomènes de cette
pollinisation dite “entomophile”.

Ces insectes jouent un rôle majeur dans la pollinisation des cultures destinées à notre alimentation,
et leur diminution aura un impact sur le rendement des cultures qui vont diminuer avec le temps et
surtout l’effet aura lieu sur la production d pommes, de fraises, de tomates et d’amandes. Dans ce
contexte on parle aussi d’un déséquilibre du service écosystémique qui touche les cultures
dépendant de la pollinisation.

Les abeilles et les autres agents pollinisateurs reconnaissent une forte diminution dans le monde
entier et surtout en Europe et en Amérique du nord et cela dû à cause des divers facteurs
environnementaux, la pénurie d’habitats, l’exposition aux produits chimique d’origine anthropique
et également l’absence des programmes régionaux et internationaux à but de surveiller ce
phénomène.

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Pour cela 3 constats ont été formé concernant l’état de santé des agents pollinisateurs :

Constat1 : absence des données sur la situation actuelle des pollinisateurs (quantité et diversité).

Constat 2 : la demande en pollinisateurs augmente par rapport à leurs disponibilités dans le monde
entier.

Constat 3 : la répartition inégale des pollinisateurs sur les divers points du monde, cette dernière
reconnait une augmentation dans les régions agricole grâce à leur production de miel et leur forte
production agricole (Eu, Ru, pays de l’Europe de l’Ouest).

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La baisse des populations de pollinisateurs est directement liée aux divers signes de risques qui
nécessitent une alerte vis-à-vis de ce phénomène, qui nécessite à son tour des préoccupations en
s’attaquant aux facteurs qui mettent sous pression les services de pollinisation, et surtout l’impact
sur les abeilles domestiques et les pollinisateurs sauvages. Dans ce contexte on peut énumérer
certains facteurs dont l’impact sur l’état sanitaire des pollinisateurs est majeur :

 Les maladies et les parasites : on peut citer dans ce contexte le varroa destructor, le nosema
ceranae qui à leur tour impactent les abeilles, ces dernières peuvent faire faces menaces ou
pas et cela dépend de leur état nutritionnel et leur exposition aux produits toxiques.
 Les pratiques agricoles industrielles : ces actes ont des impacts sur la population de
pollinisateurs, d’une part de la destruction des habitats naturels, d’autre part des pratiques
agricoles intensives qui ne respectent pas la biodiversité.
 Le dérèglement du climat : les conséquences climatiques comme les niveaux de
températures super élevées qui peuvent affecter d’abaord les pollinisateurs de façon
individuelles et puis toucher l’ensemble de la communauté.
 L'utilisation de certains pesticides dans les terres agricoles.
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Les insecticides
Des produits destinés à tuer les insectes, utilisés dans les régions agricoles et en grande
quantité dans l’environnement ; ces produits étant utilisés à des doses faibles et non létales
produisent des effets divers et variés sur les abeilles, néanmoins ces effets peuvent être
classés en fonction de quatre catégories :

 Effets physiologiques
 Perturbations du comportement de butinage
 Interférences avec le comportement alimentaires
 Impacts des pesticides neurotoxiques sur les processus d’apprentissage

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Les insecticides de la famille des néonicotinoïdes sont dites systémiques : ne restent pas à la
surface de la plante mais se propagent dans leur système vasculaire : une fois appliqués sur
la plante, cette dernière commence à germer et l’insecticide se propage pour se retrouver
dans la tige, les feuilles et l’eau de guttation puis dans le pollen et le nectar ; Ce qui explique
en gros l’exposition des abeilles qui utilisent le pollen comme principale source de protéines.
Dans ce contexte on peut établir une liste constituée de 7 pesticides qui représentent un
danger potentiel, ceux qui devraient en priorité subir un niveau de restriction énorme (limiter
leurs utilisations et pourquoi pas les éliminer) afin d’éviter l’exposition des abeilles et des
autres pollinisateurs, les sept pesticides sont les suivants :
3 néonicotinoïdes :
Imidaclopride, thiaméthoxame et clothianidine : ces 3 insecticides ont été confirmés par EFSA
(autorité européenne de sécurité des aliments) comme étant des pesticides à haute nocivité
étant supérieur à tous les avantages qu’ils pourraient apporter.
Le fipronil, le chlorpyriphos, la cyperméthrine et la deltaméthrine.

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Ces pesticides pourraient avoir plusieurs effets néfastes sur les populations, on peut citer
dessous quelques raisons pour lesquelles l’interdiction de ces groupes de pesticides
demeurent obligatoire pour la protection des populations des abeilles :
IMIDACLOPRIDE : pesticide néonicotinoïde, exposition des abeilles à partir de sa présence
dans l’eau de guttation des plantes, effets synergiques en cas de présence de certains
parasites ( nosema), effet répulsif.
Effets à concentration sublétale : perturbation de l’activité métaboliques des abeilles, effets
néfastes sur le développement des colonies des abeilles, affecte le développement neuronal
chez les espèces d’abeilles.
THIAMETHOXANE : pesticide néonicotinoïde ayant des effets toxiques à de faibles doses :
Retrouvé au niveau de l’eau de guttation et donc contamination des abeilles, affaiblissement
des colonies, risque d’effondrement, affection de la mémoire olfactive des abeilles, altération
des fonctions cérébrales et digestives, et enfin réduction de la durée de vie des abeilles.
CLOTHIANDININE : pesticide néonicotinoïdes avec effets toxiques et sublétaux à faibles doses
:
Également retrouvé au niveau de l’eau de guttation des plantes et exposition des populations
d’abeille, diminution des activités de butinage et ralentissement des activités de l’abeille.
FIBRONIL : effets synergiques négatifs en présence d’autres pesticides et avec certains
parasites comme nosema, les effets à des concentrations sublétales:
Problèmes chez la population des abeilles que ça soit au niveau de la consommation d’eau
qui augmente, altération de la reconnaissance des odeurs, ce pesticide est considéré comme
l’un des plus toxiques pour les capacités d’apprentissage.
CHLORPYRIPHOS : le pesticide le plus utilisé dans le monde avec une grande toxicité sur les
abeilles au niveau de la physiologie et réduction de l’activité motrice des abeilles.
CYPERMETHRINE : les effets à des concentration sublétales sont : effets sur la santé des
colonies d’abeilles domestiques.
DELTAMETHRINE: Effets à des concentrations sublétales : réducton de butinage, affectation
de la capacité d’apprentissage chez les abeilles, touche également la fécondité, la croissance
et le développement des abeilles.

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Quelles sont les solutions ?
Pour assurer un système agricole écologique deux types de programmes peuvent être menés
à court et à moyen terme qui consistent à :

 Éviter de nuire aux pollinisateurs en éliminant l’exposition aux substances


dangereuses.
 Préserver la santé des pollinisateurs en modifiant d’autres pratiques au sein de
l’écosystème agricole.
On pourra dire également que l’agriculture sans pesticides est possible, économiquement
rentable et sûre pour l’environnement.

L’agriculture écologique :
Suite à plusieurs études au-dessous, il a été démontré que l'agriculture écologiques,
exempte de pesticides et de produits chimique et qui respecte également la biodiversité
aura un effet agréable sur la pollinisation des cultures et sur les rendements agricoles.
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La politique agricole européenne :
La politique agricole européenne et en particulier la politique agricole commune devrait
protéger la population des abeilles polinisateurs en évaluant les menaces qui peuvent
toucher ces populations, et aussi l’adoption des réglementations stricte d’utilisation des
substances nocives aux abeilles, ces mesures doivent être appliqués vis-à-vis des abeilles
domestiques et des autres pollinisateurs sauvages afin de maintenir leurs services de
pollinisation dans le futur.

Les demandes des Greenpeace :


Pour mettre fin aux menaces des abeilles domestiques et des pollinisateurs suite à leur
exposition par différents pesticides, les dirigeants européens doivent :

 Interdire l’utilisation des pesticides nocifs pour les abeilles : surtout les 7 pesticides
identifiés par Greenpeace déjà évoqués précédemment dans le rapport.
 Soutenir les pratiques agricoles favorisants les services d pollinisation dans les
systèmes agricoles : par la mise en place des divers programmes dans ce contexte.
 Améliorer la protection des habitats naturels de ces population tout en renforçant
la biodiversité des populations des abeilles.
 Augmentation des crédits en faveur de la recherche d’application de pratiques
agricoles écologiques.

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