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la notion de libido se situe, qui n'est point autre chose que l'énergie psychique du désir,

…cette théorie analytique donc repose tout entière sur cette notion de libido, sur l'énergie du désir.

quoi de plus contraire à ce que nous appellerons l'expérience de la raison pratique, que cette prétendue convergence
du plaisir et du bien ?

les ἐπιθυμία [épithémia], les désirs se présentent très rapidement…

au-delà d'une certaine limite qui est précisément la limite de la maîtrise et du moi

…dans le domaine de ce qu'il appelle nommément la bestialité.

le fantasme pour autant qu'il introduit une articulation essentielle, ou plus exactement une espèce tout à fait
caractérisée à l'intérieur de cette vague détermination de la non opposition du sujet et de l'objet.

combien il semble difficile de situer le désir et de l'analyser en fonction de références purement objectales.

Mais la subjectivité dont il s'agit…

– en tant que l'homme est pris dans le langage,

– en tant qu'il y est pris, qu'il le veuille ou pas, et qu'il y est pris bien au-delà du savoir qu'il en a,

…c'est une subjectivité qui n'est pas immanente à une sensibilité…

en tant qu'ici le terme « sensibilité » veut dire le couple stimulus-réponse

…pour la raison suivante : c'est que le stimulus y est donné en fonction d'un code qui impose son ordre, au besoin qui
doit s'y traduire.

…mais pour autant que la subjectivité est prise par le langage, il y a émission, non pas d'un signe mais d'un signifiant

Cette structure basale, fondamentale, soumet toute manifestation de langage à cette condition d'être réglée

par une succession, autrement dit par une diachronie,

de l'implication du sujet dans le signifiant.


le signifiant se définit par son rapport à son sens, et prend sa valeur du rapport à un autre signifiant, d'un système
d'opposition signifiante

…ceci se développe dans une dimension qui implique du même coup et en même temps une certaine synchronie des
signifiants.

la ligne pointillée qui vient recouper d'avant en arrière en la coupant en deux points,

la ligne représentative de la chaîne signifiante, c'est à savoir la façon dont le sujet a à entrer dans le jeu de la chaîne
signifiante.

défilé par où essentiellement doivent s'abaisser les manifestations de ses besoins pour être satisfaits.

Quand je dis « sait parler » je veux dire qu'il s'agit,

au niveau de la deuxième étape du schéma, de quelque chose qui va au-delà de la prise dans le langage.

La question posée à l'Autre de ce qu'il veut, autrement dit : de là où le sujet fait la première rencontre avec le désir

Toma por el lenguaje – relación al otro – encuentro con el deseo

la substitution d'un signifiant à un autre signifiant sera comme telle l'origine de la multiplication de ces significations
qui caractérisent l'enrichissement du monde humain.
Ppio de elección

Ppio de simultaneidad

le sujet en tant qu'il est le support de la parole.

Je vous l'ai dit, c'est dans l'expérience de l'Autre, en tant qu'Autre ayant un désir, que se
produit cette deuxième étape de l'expérience. Le désir [d], dès son apparition, son origine,
se manifeste dans cet intervalle, cette béance qui sépare l'articulation pure et simple -
langagière - de la parole, de ceci qui marque que le sujet y réalise quelque chose de lui-
même qui n'a de portée, de sens, que par rapport à cette émission de la parole et qui est à
proprement parler ce que le langage appelle son être.

C'est entre :

– les avatars de sa demande et ce que ces avatars l'ont fait devenir,

– et d'autre part cette exigence de reconnaissance par l'Autre, qu'on peut appeler exigence d'amour à l'occasion, où
se situe un horizon d'être pour le sujet, dont il s'agit de savoir si le sujet, oui ou non, peut l'atteindre.
...c'est dans cet intervalle, dans cette béance, que se situe une expérience qui est celle du désir, qui est appréhendée
d'abord comme étant celle du désir de l'autre et à l'intérieur de laquelle le sujet a à situer son propre désir.

Son propre désir comme tel ne peut pas se situer ailleurs que dans cet espace.

Tercera etapa del esquema: dans la présence primitive du désir de l'autre comme opaque, comme obscure, le sujet
est sans recours.

l'usage du miroir concave qui nous permet de penser la fonction d'une image réelle elle-même réfléchie, et qui ne
peut être vue comme réfléchie qu'à partir d'une certaine position,

d'une position symbolique qui est celle de l'Idéal du moi.

l'homme pense avec son âme. Il faut dire que le sujet se défend avec son moi

DEF. FANTASMA: c'est lui-même comme sujet parlant, et c'est pourquoi ce que je vous désigne ici [S ◊ a] comme
étant ce lieu d'issue, ce lieu de référence par où le désir va apprendre à se situer, c'est le fantasme.

le sujet en tant que parlant, en tant qu'il se réfère à l'autre comme regard, à l'autre imaginaire

fantasme, vous verrez qu'il est articulable dans ces termes de référence du sujet comme parlant à l'autre imaginaire

le désir humain a cette propriété d'être fixé, d'être adapté, d'être coapté, non pas à un objet, mais toujours
essentiellement à un fantasme.

ce quelque chose qui met toujours le sujet à une certaine distance de son être et qui fait

que précisément cet être ne le rejoint jamais, et que c'est pour cela qu'il est nécessaire qu'il ne peut faire autrement
que d'atteindre son être dans cette métonymie de l'être dans le sujet qu'est le désir.
LEçON 2

quel est le but de ce graphe ?

C'est de montrer les rapports - pour nous essentiels en tant que nous sommes analystes - du sujet parlant avec le
signifiant.

acte de parole

Niveau 1 : D → A... et Δ → A → s(A) → I,

Niveau 2 : S(A) →(S◊D), et A → d → (S◊D) → S(A) → s(A)]

un sujet tant qu'il n'est pas devenu le sujet parlant, tant qu'il est le sujet dont on parle toujours, dont je dirais même,
on parle jusqu'ici, car je ne sache pas que personne n’en ait jamais vraiment bien fait la distinction comme j'essaie ici
de vous l'introduire,

– le sujet de la connaissance pour tout dire : le sujet corrélatif de l'objet, le sujet autour de quoi tourne l'éternelle
question de l'idéalisme, et qui est lui-même un sujet idéal,

…a toujours quelque chose de problématique, à savoir qu'après tout comme on l'a remarqué et comme son nom
l'indique [sub-jectum, sub-posé], il n'est que supposé.

Le sujet donc, dans le contexte de la demande, c'est le premier état si je puis dire informe de notre sujet

à nous, de celui dont nous essayons d'articuler par ce graphe les conditions d'existence.

Ce sujet n'est pas autre chose que le sujet du besoin, car c'est ce qu'il exprime dans la demande,

cette demande du sujet est du même coup, profondément modifiée par le fait que le besoin doit passer par les défilés
du signifiant.

A dont vous savez que c'est le lieu du code, le lieu où gît le trésor de la langue dans sa synchronie, je veux dire la
somme des éléments taxématiques

ce qui est communiqué n'est pas le signe d'autre chose, et c'est simplement le signe de ce que c'est la place où un
autre signifiant n'est pas
c'est en fonction de la solidité synchronique du code auquel ces éléments successifs sont empruntés que se conçoit
cette solidité de l'affirmation diachronique et la constitution de ce qu'on appelle dans l'articulation de la demande, le
temps de la formule

la forme fragmentée qui représente la première partie de la ligne Δ → I, ici jusqu'en ce A, c'est autre chose, c'est la
rétroaction sur cette mouvance à la fois continue et discontinue, assurément confuse, nous devons la supposer être
celle de la forme primitive de la manifestation primitive de la tendance.

c'est l’identification qui en résulte du sujet à l'Autre de la demande en tant que celui-ci est tout-puissant.

dans le développement, dans l'acquisition du langage, dans les rapports enfant-mère, pour le dire enfin :

c'est très précisément ceci que le quelque chose dont il s'agit et sur quoi repose cette identification primaire que je
désigne par le segment s(A), signifié de A, et qui aboutit au premier noyau de la formation du moi »

Il s'agit de ce qui se produit pour autant que la mère n'est pas simplement celle qui donne le sein, je vous l'ai dit, elle
est aussi celle qui donne le seing de l'articulation signifiante, pour autant que toutes sortes de jeux de la mère, sont
une action symbolique au cours de laquelle ce qu'elle lui révèle, c'est justement la fonction du symbole en tant que
révélateur

elle lui révèle la fonction révélatrice. C'est déjà une fonction au second degré dont il s'agit.

C'est à l'intérieur de ceci que se font ces premières identifications à ce qu'on appelle dans l'occasion la mère…

la mère comme toute-puissante

SECOND ÉTAGE

Ce second étage du graphe est autre chose que le sujet en tant qu'il passe sous les défilés de l'articulation signifiante.
C'est le sujet qui assume l'acte de parler : c'est le sujet en tant que « je », le « je » du « Je pense donc je suis ».

ceci n'avait aucune valeur probante puisque le « je » a déjà été mis dans le « Je pense » et qu'il n'y a après tout qu'un
cogitatum, ça pense, et pourquoi donc serait-ce « je » là-dedans ?

distinction des deux sujets, chacun est propre au etages

le philosophe, à la confrontation du sujet à un objet - par conséquent à un objet imaginaire - parmi lesquels il n'est
pas étonnant que le « je » ne s'avère être qu'un objet parmi les autres

ce « je » est essentiellement, donc, distinct à partir de ce moment là de ce qu'on peut appeler « le sujet véritable de
l'acte de parler
Et là où il est pleinement occulté c'est dans ces formes du discours qui réalisent ce que j'appellerai « la
fonction vocative » le je vocatif,

C'est le « je » du « lève-toi et marche », c'est ce même « je » fondamental c'est le « je » sous-jacent à ce «


tu es celui qui me suivras

le discours qui se formule au niveau du second étage est le discours de l'Autre , est fondamentalement à
son étage un appel de l'être.

…il contient toujours plus ou moins un « sois », en d'autres termes un « fiat », un fiat qui est la source et la
racine de ce qui de la tendance devient pour l'être parlant et s'inscrit dans le registre du « vouloir », ou
encore du « je » en tant qu'il se divise dans les deux termes étudiés de l'un à l'autre :

– de l'impératif du « lève-toi et marche » dont je parlais tout à l'heure,

– ou par rapport au sujet, de l'érection de son propre « je ».

Ce « Che vuoi ? » qui est, si l'on peut dire, la réponse de l'Autre à cet acte de parler du sujet

Est-ce que parlant, le sujet sait ce qu'il fait ? FREUD a dit non.

Et FREUD à ceci - « Sait–il ce qu'il fait ? » - répond non. Ce n'est rien d'autre que ce qu'exprime le second
étage de mon graphe, c'est à savoir que ce second étage ne vaut qu'à partir de la question de l'Autre… à
savoir « Che vuoi ? » : Qu'est–ce que tu veux ?

discours véritable qui est tenu par le sujet et ce qui se manifeste comme « vouloir » dans l'articulation de la
parole

Si ce discours qui se présente à ce niveau comme appel de l'être, n'est pas ce qu'il a l'air d'être,

au niveau de l'acte de la parole, le code est donné par quelque chose qui n'est pas la demande primitive,
qui est un certain rapport du sujet à cette demande en tant que le sujet est resté marqué par ses avatars.
C'est cela que nous appelons les formes orales, anales et autres, de l'articulation inconsciente,

La formule S◊a le sujet en tant que marqué par le signifiant en présence de sa demande comme donnant le
matériel, le code de ce discours véritable qui est le véritable discours de l'être à ce niveau.

…c'est qu'il ne sait pas avec quoi il parle, on a besoin de lui révéler les éléments proprement signifiants de
son discours, et qu'il ne sait pas non plus le message qui lui parvient réellement au niveau du discours de
l'être

il ne sait pas le message qui lui parvient de la réponse à sa demande dans le champ de ce qu'il veut
u champ de béance déterminé entre les deux discour

Le « Wunsch » n'est pas en lui-même, à soi tout seul, le désir, c'est un désir formulé, c'est un désir articulé.

, qu'il n'a jamais dit nulle part que le désir dont il s'agit dans le rêve soit toujours un désir sexuel.

« je vous désire - …c'est dire : « Je vous implique dans mon fantasme fondamental

ne sont jamais – ne peuvent être jamais – refoulés que les éléments signifiants.

Et alors vous voyez deux systèmes ici s'opposer :

– ce système ici pointillé : nous l'avons dit, c'est cela dont il s'agit, c'est le lieu de l'inconscient et le lieu où le
refoulé tourne en rond jusqu'au point où il se fait sentir, c'est-à-dire où quelque chose du message au niveau du
discours de l'être, vient déranger le message au niveau de la demande, ce qui est tout le problème du symptôme
analytique.

– Il y a un autre système, c'est celui qui prépare ce que j'appelle là le petit palier, à savoir la découverte de l'avatar,
découvert parce qu'on avait déjà eu tellement de peine à s'habituer au premier système, que comme FREUD vous
a fait le fatal bienfait de faire le pas suivant lui-même avant sa mort, c'est-à-dire que FREUD dans sa seconde
topique a découvert le registre de l'autre système pointillé : petit palier, c'est justement cela à quoi correspond sa
seconde topique

le moi, c'est-à-dire le moi en tant qu'il a à se repérer par rapport à la première formulation, la première prise dans
la demande du Ça

LEçON 3

« C’est pour des raisons de structure que le désir de l’homme est marqué d’aberration, qu’il a ce trait de mirage
qu’il doit à la forme du fantasme, (411)et plus radicalement à ce qu’il joue le rôle de la métonymie dans un rapport
à l’être qui ne peut s’achever qu’au point où le sujet y fait défaut. Tous les « ravalements de la vie amoureuse » ne
sont que le reflet lointain d’un manque dernier : d’une limite infranchissable que rencontre la créature quand elle
se voue dans la parole » http://ecole-lacanienne.net/wp-content/uploads/2016/04/1958-11-25.pdf

la structure du désir et de la demande : Ce qui caractérise la demande, ce n'est pas seulement que c'est un rapport
de sujet à un autre sujet, c'est que ce rapport se fait par l'intermédiaire du langage, c'est-à-dire par l'intermédiaire
du système des signifiants.
Donc quand je dis « le sujet du « Wunsch » se satisfait », je mets ce sujet entre parenthèses, et tout ce que nous dit
FREUD, c'est que c'est un Wunsch qui se satisfait. Il se satisfait de quoi ? Je dirais qu'il se satisfait de l'être…
entendez de l'être qui se satisfait …c'est tout ce que nous pouvons dire, car à la vérité il est bien clair que le rêve
n'apporte avec soi aucune autre satisfaction que la satisfaction au niveau du Wunsch, c'est-à-dire une satisfaction
si l'on peut dire verbale.

Le Wunsch se contente ici d'apparences, et c'est bien clair s'il s'agit d'un rêve et aussi bien d'ailleurs le caractère de
cette satisfaction est ici reflété dans le langage par où il nous l'a exprimé, par ce « satisfait de l'être » auquel je me
suis exprimé à l'instant, et où se trahit cette ambiguïté du mot « être » en tant qu'il est là, qu'il se glisse partout et
qu'aussi bien, à se formuler ainsi à cette forme grammaticale de renvoi de l'être, l'être satisfait, je veux dire : peut-
il être pris pour ce côté substantiel ?

Il n'y a rien d'autre de substantiel dans l'être que ce mot même, « il se satisfait de l'être », nous pouvons le prendre
pour ce qui est de l'être, si ce n'est au pied de la lettre. En fin de compte, c'est bien en effet comme quelque chose
de l'ordre de l'être qui satisfait le Wunsch. Il n'y a en somme que dans le rêve, tout au moins sur le plan de l'être,
que le Wunsch puisse se satisfaire.

comme ce graphe est un discours,

le but de ce graphe C'est de montrer les rapports - pour nous essentiels en tant que nous sommes analystes - du
sujet parlant avec le signifiant

peut-il se signifier efficacement son action de signification ?

c'est que les procès en question partent en même temps des quatre points : Δ, A, d, D

– l'intention du sujet [Δ],

– le sujet en tant que je parlant [A],

– l'acte de la demande [D],

– et ceci [d]

[Niveau 1 : D → A... et Δ → A → s(A) → I,

Niveau 2 : S(A) →(S◊D), et A → d → (S◊D) → S(A) → s(A)]

Il y a donc deux étages dans le fait que le sujet fait quelque chose qui est en rapport avec l'action prévalente, la
structure prévalente du signifiant . À l'étage inférieur il reçoit, il subit cette structure.
le contexte - je dis le contexte de la demande - c'est dans ce contexte que le sujet en tant qu'ici,

à ce niveau, à cet étage, la ligne de l'intentionnalité du sujet (…) un sujet tant qu'il n'est pas devenu le sujet parlant:

– le sujet de la connaissance pour tout dire : le sujet corrélatif de l'objet, le sujet autour de quoi tourne l'éternelle
question de l'idéalisme, et qui est lui-même un sujet idéal,

…a toujours quelque chose de problématique, à savoir qu'après tout comme on l'a remarqué et comme son nom
l'indique [sub-jectum, sub-posé], il n'est que supposé.

Le sujet donc, dans le contexte de la demande, c'est le premier état si je puis dire informe de notre sujet, Ce sujet
n'est pas autre chose que le sujet du besoin, car c'est ce qu'il exprime dans la demande, Tout mon point de départ
consiste à montrer comment cette demande du sujet est du même coup, profondément modifiée par le fait que le
besoin doit passer par les défilés du signifiant.

dans cet échange qui se produit entre la position primitive inconstituée du sujet du besoin et les conditions
structurales imposées par le signifiant,

point A dont vous savez que c'est le lieu du code, le lieu où gît le trésor de la langue dans sa synchronie, je veux dire
la somme des éléments taxématiques, Ce que représente la continuité de la ligne D→S jusqu'au point A est ceci :
c'est cette synchronie de l'organisation systématique de la langue

C'est ceci qui est toujours oublié dans les théories de la communication, c'est que ce qui est communiqué n'est pas
le signe d'autre chose, et c'est simplement le signe de ce que c'est la place où un autre signifiant n'est pas

d'une succession d'éléments discrets, donc séparés par des intervalles, c'est en fonction de la solidité synchronique
du code auquel ces éléments successifs sont empruntés que se conçoit cette solidité de l'affirmation diachronique et
la constitution de ce qu'on appelle dans l'articulation de la demande, le temps de la formule.

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