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ENE6510 Modélisation énergétique des Bâtiments

Modélisation et simulation des équipements CVAC (2)


2
Plan

 Climatiseurs et pompes à chaleur


 Régulation
 Modélisation
 PLF
 Chaudières
 Rejet Thermique
 Tour de refroidissement
 Tour de refroidissement
 Condenseur à air
 Références
 Annexes
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Climatiseurs et pompes à chaleur

 Typiquement, il s’agit ici d’unités de petite capacité (moins de 5


tonnes [17.5 kW]) possédant un circuit de réfrigération pour
refroidir ou chauffer un fluide.
Plusieurs combinaisons de fluides du Fluide chauffée dans le condenseur
côté condenseur et du côté évaporateur
sont possibles. Par exemple:

Dans le cas d’un climatiseur air-air


résidentiel, le fluide refroidi est l’air de
la résidence et le fluide chauffé est l’air
extérieur.

Pour une pompe à chaleur liquide-air


opérant en chauffage, le fluide refroidi à
l’évaporateur est un liquide (eau ou
mélange eau-glycol) et le fluide chauffé
est l’air. Fluide refroidi à l’évaporateur
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Climatiseurs et pompes à chaleur
 Pour les pompes à chaleur, le débit de réfrigérant peut être inversé au moyen d’un robinet inverseur (reversing
valve). Tel que montré sur la figure ci-dessous, les échangeurs peuvent agir soit comme évaporateur ou soit
comme condenseur en inversant le cycle. Ainsi, le réfrigérant peut circuler dans les deux sens (sauf dans le
compresseur).
5
Climatiseurs et pompes à chaleur

 Exemple de pompe à chaleur géothermique eau-air


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Régulation des climatiseurs et pompes à chaleur
La plupart de ces appareils fonctionnent en mode « tout ou rien » (discrete control on/off) au moyen d’un thermostat muni
d’une bande morte (ou hystérisis). Lorsque la température de la pièce est sous le point de consigne (Tpc) moins la moitié de la
bande morte (Point 1 sur la figure ci-dessous), l’appareil démarre (le signal de commande est égal à 1) et fonctionne à pleine
capacité jusqu’à ce que la température de la pièce dépasse le point de consigne plus la moitié de la bande morte (point 2). A
ce point, l’appareil arrête et le signal de commande passe de 1 à 0 (point 3).

Lorsque la température de la pièce est au-dessus du point de consigne plus la moitié de la bande morte (point a), l’appareil
est à l’arrêt (signal de commande est égal à 0). L’appareil ne redémarrera que lorsque la température de la pièce sera en-
dessous du point de consigne moins la moitié de la bande morte (point b). A ce point, le signal de commande bascule de 0 à
1 et l’appareil redémarre.

Tel que montré sur la figure de droite, ce type de régulation peut engendrer une température fluctuante dans la pièce. Si les
fluctuations sont trop importantes, il risque d’y avoir inconfort.
Signal de
commande

1 1 2
(ON) c

0 3
a
(OFF) b

Température dans la pièce suite


à une régulation “tout ou rien”
Tpc Température
dans la pièce

Bande morte
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Régulation des climatiseurs et pompes à chaleur
Le TYPE108 de TRNSYS (5-stage room thermostat) permet de faire une régulation du type
« tout ou rien » pour un maximum de 3 stages de chauffage et maximum de 2 stages de
refroidissement.

Voir annexe A pour


une explication sur
ce paramètre
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Régulation des climatiseurs et pompes à chaleur
Depuis l’arrivée des variateurs de vitesse (inverter) dans les petits appareils de réfrigération , il
est possible de varier la vitesse de rotation du moteur du compresseur et ainsi varier le débit de
réfrigérant comprimé. Ceci permet de varier la capacité à volonté (ou presque). Dans ce cas-ci,
le modélisation de l’appareil doit prendre en compte la variation de la capacité et la régulation
doit être de type proportionnelle (i.e. que le signal de commande varie de 0 à 1). Il en résulte un
meilleur contrôle de la température de la pièce tel que montré sur la figure ci-dessous.
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Modélisation – black box
Dans cette catégorie de modèles on retrouve le modèle du ASHRAE toolkit (Brandemuehl
et al.,1993) pour les pompes à chaleur air-air:
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Modélisation – black box
Exemple de coefficients “normalisés” obtenus pour une famille de pompes à chaleur (2 à 5 tonnes) (Nyika et
al., 2014)

Remarques:

1- En climatisation la capacité totale comprend le refroidissement sensible et latent (déshumidification). Le « NTU rated »
(dernière colonne du tableau 3) est utilisé pour déterminer le rapport en le refroidissement sensible et le refroidissement
total (SHR, Sensible Heat Ratio) . Pour plus de détails à ce sujet voir les publications de Brandemuehl et. al. (1993,2009).

2- Le COP est généralement défini par le rapport entre la capacité totale et la somme des trois puissances (Compresseur,
Ventilateur intérieur, ventilateur extérieur – Voir M1, M2, et M3 sur figure de la page précédente).

3- Les tableaux 3 et 4 indiquent que ce manufacturier proposent des appareils à deux vitesses (i.e. deux capacités). Le même
modèle s'applique mais avec coefficients différents.
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Modélisation – Modèle physique
Ndiaye (2007) a réalisé un modèle physique dynamique d’une pompe à chaleur géothermique.
Ce type de modèle est difficile à réaliser pour deux raisons: 1) les paramètres géométriques
(surface d’échange par exemple) ne sont pas connus précisément; 2) la prédiction des
coefficients d’échange dans l’évaporateur et le condenseur pour les écoulements diphasique
transitoire est incertaine. Malgré ces difficultés le modèle donne de bons résultats lorsqu’il est
comparé à des résultats expérimentaux (figure 2 ci-dessous).

(Ndiaye et Bernier, 2014)


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Modélisation – boite grise
Les résultats issus des travaux de Ndiaye et Bernier (2014) indiquent un comportement de
type exponentiel au démarrage et à l’arrêt de l’unité. Ceci permet de représenter la
variation de la capacité en utilisant le concept de constante de temps tel que montré à
l’équation 1.

Dans cette équation, la constante Démarrage Arrêt


de temps est déterminée de façon
empirique.

Tel que montré par Ndiaye et


Bernier (2014), il est également
possible d’introduire un modèle à
deux constantes de temps.
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Modélisation – Performance map
Le TYPE 919 de TRNSYS (pompe à chaleur eau-air)
constitue un bon exemple de ce type de modèle
qui fait appel à une « performance map ». En fait, Il
fait appel à 4 fichiers de performance normalisée
(refroidissement, chauffage, facteur de correction
pour le refroidissement, facteur de correction pour
le chauffage)

Exemple page suivante

Rated conditions
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Modélisation – Performance map
Pour les conditions suivantes:
Calculs réalisés par le TYPE 919
Débit d’air=
300*1.1011= 330.33 L/s
Exemple en refroidissement (en utilisant les Débit d’eau= 0.28*1.0=0.28 L/s
fichiers par défaut). Soit les conditions suivantes à EWT=21.11 C
un pas de temps donné: Dans le fichier de correction
(Sample_CT), il est possible de
constater que ces valeurs sont pour
Débit d’air: 283.1 L/s, les températures de l’air suivantes:

Température de l’air : DB= 26.67 C , WB=19.44 C DB=26.67 C


WB=19.44 C
Débit d’eau : 0.28 L/s
EWT : 10 C

Ceci correspond à:
Normalized Air flow = 283.1/300 = 0.9438
Normalized water flow= 0.28/0.28 = 1.0

Dans le performance map:


Normalized total cooling capacity = 1.016
Normalized sensible cooling capacity = 0.921
Normalized rated power = 0.8678

Capacité totale réelle = Rated total cooling capacity × Normalized total cooling capacity = 37980 × 1.016 = 38588 kJ/hr
Capacité sensible réelle = Rated sensible cooling capacity × Normalized sensible cooling capacity = 30384 × 0.921 = 27984 kJ/hr
Puissance consommée = Rated cooling power × Normalized rated power = 12660 × 0.8678 = 10986 kJ/hr
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Modélisation – Opération à charge partielle
Les données de performance sont généralement obtenues à partir de données mesurées en laboratoire
pour une opération en régime permanent à pleine capacité. Seule une opération en continu (100% du
temps) à pleine capacité correspond à ces valeurs. En pratique, la capacité réelle disponible dépasse les
besoins en chauffage (ou climatisation) et l’appareil opère à charge partielle (part-load). Ainsi, pour un
appareil à capacité fixe (i.e. sans variateur de vitesse), l’appareil doit cycler (on/off) pour que, en
moyenne, les besoins soient comblés par l’appareil.

Lorsqu’un appareil de réfrigération cycle, deux types de « pertes » surviennent:

1) Certains appareils continuent à consommer une certaine puissance (pour les contrôles par exemple)
même si l’appareil est à l’arrêt.

2) À l’arrêt, le réfrigérant migre du condenseur vers l’évaporateur. Une certaine quantité d’énergie est
alors perdue. Au redémarrage le réfrigérant est pompé de l’évaporateur vers le condenseur . Ceci
nécessite une certaine quantité d’énergie au compresseur sans qu’il y ait vraiment de
chauffage/refroidissement utile.

Sur une base annuelle, Henderson et al. (2000) rapportent des pertes de l’ordre de 5 à 10%
(qui se traduisent par une augmentation équivalente de la consommation).

Un facteur de correction doit être utilisé pour corriger la consommation d’énergie lorsque
l’appareil fonctionne à pleine charge. Cette correction se fait au moyen de courbes donnant
le 𝑃𝐿𝐹 (Part Load Factor) en fonction du 𝑃𝐿𝑅 (Part Load Ratio).
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Modélisation – PLF
COP à charge partielle
𝑃𝐿𝐹 =
COP à pleine capacité aux mêmes conditions d′opération
𝑄
𝑊
𝑃𝐿𝐹 = 𝑄𝐹𝐿
𝑜ù 𝑄 représente le besoin et 𝑄𝐹𝐿 est la capacité de l’appareil à
𝑊𝐹𝐿
pleine capacité pour des conditions d’opération données.
Le Part-Load-Ratio (PLR) est définit par :
𝑄
𝑃𝐿𝑅 =
𝑄𝐹𝐿

Donc la puissance consommée par l’appareil à charge partielle est donnée par:
𝑊𝐹𝐿
𝑊= 𝑃𝐿𝑅
𝑃𝐿𝐹

Par exemple, si le 𝑃𝐿𝑅 = 0.5 et le 𝑃𝐿𝐹 = 0.875 (voir page suivante) alors 𝑊 =
0.571 𝑊𝐹𝐿
Il est également courant d’utiliser le rapport suivant:
𝑃𝐿𝑅
𝐹𝐹𝐿𝑃 =
𝑃𝐿𝐹
où FFLP est le “Fraction of Full Load Power” (on utilise parfois le terme EIR_FFLP)
Les valeurs de FFLP sont données en fonction du PLR tel que montré à la figure ci-
contre.
17
Modélisation – PLF
Henderson et al. (2000) rapportent que la valeur du PLF est fonction de:

i) la constante de temps, τ , de l’appareil au démarrage (temps requis pour atteindre la pleine


capacité suite à un arrêt – environ 60 secondes).

ii) le taux de cyclage de l’appareil (nombre de cycles par heure). Ce taux est généralement
inférieur à 2.5 cycles par heure. Il est fonction du type de thermostat et de la masse thermique de la
maison.

La Figure ci-dessous (Henderson et al., 2000) présente la valeur du 𝑃𝐿𝐹 en fonction du 𝑃𝐿𝑅 pour deux cas. Le premier
cas présente un calcul « théorique » pour 3.125 cycles par heure et une constante de temps de 76 sec. Le deuxième
présente la courbe linéaire que l’on rencontre régulièrement dans la littérature et qui relie linéairement le PLF au PLR
de la façon suivante:

PLF = 1- Cd(1-PLR) où Cd = 0.25.


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Modélisation – PLF
Finalement, Henderson et al. (2000) présentent une série de courbes pour différentes « qualité » d’appareils. Un
nouveau paramètre , pr, est introduit. Il s’agit du rapport entre la puissance consommée lorsque l’appareil est à
l’arrêt et la puissance consommée lorsque l’appareil est en marche (une faible valeur de pr est souhaitée). La Figure
de gauche montre les valeurs du PLF lorsqu’il y a une puissance consommée à l’arrêt alors que la figure de droite
concerne des appareils qui ne consomme pas d’énergie lorsqu’ils sont à l’arrêt.

Sur la figure de gauche, il est à remarquer que le PLF chute rapidement lorsque le PLR est faible, ce qui n’est pas très
bon en terme d’efficacité énergétique. Sur ces deux figures, la courbe en trait plein représente la courbe du PLF
utilisée par le logiciel DOE-2.
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Modélisation – PLF
Les courbes de la page précédente peuvent être représentées par un polynôme du 3e degré (comme pour
les refroidisseurs dans DOE2) tel que montré au tableau suivant. A noter que la valeur de 𝐸𝐼𝑅_𝐹𝑃𝐿𝑅 est
reliée au 𝑃𝐿𝐹 de la façon suivante:
𝑃𝐿𝑅
𝐸𝐼𝑅_𝐹𝑃𝐿𝑅 =
𝑃𝐿𝐹

𝑊 = 𝑊𝐹𝐿 𝐸𝐼𝑅_𝐹𝑃𝐿𝑅
20
Chaudières

(Viessmann, 2014)
21
Chaudières
22
Chaudière

Le rendement thermique (Thermal efficiency) d’une chaudière est défini par:

Énergie utile 𝑚𝑒𝑎𝑢 𝐶𝑝𝑒𝑎𝑢 𝑇𝑜𝑢𝑡 −𝑇𝑖𝑛


𝜂= =
input en combustible 𝑚𝑐𝑜𝑚𝑏 × 𝑃.𝐶.𝑆

Eau “froide”
Eau chaude (return temperature)

Air
Condensation de la vapeur
d’eau contenue dans les P de C

Produits de
Conbustible
drain combustion vers la
cheminée

Typiquement, le rendement est de l’ordre de 80-90%. Si l’eau de retour est assez


froide pour condenser la vapeur d’eau contenue dans les produits de combustion
alors le rendement thermique peut dépasser 95%.
23
Modèle – Chaudière sans condensation
Le modèle de DOE2 donne le HIR (Heat input ratio) en fonction du PLR

Extrait de Henninger et Witte, 2013


24
Modèle – Chaudière sans condensation
Pour calculer la consommation de combustible d’une chaudière sans condensation, Henninger et
Witte (2013) recommandent:
𝐶𝑜𝑛𝑠𝑜𝑚𝑚𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑡ℎé𝑜𝑟𝑖𝑞𝑢𝑒 𝐶𝑎𝑝𝑎𝑐𝑖𝑡é 𝑟𝑒𝑞𝑢𝑖𝑠𝑒 à 𝑙𝑎 𝑐ℎ𝑎𝑢𝑑𝑖è𝑟𝑒
𝐶𝑜𝑛𝑠𝑜𝑚𝑚𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑑𝑒 𝑐𝑜𝑚𝑏𝑢𝑠𝑡𝑖𝑏𝑙𝑒 = avec (𝑃𝐿𝑅 = )
𝐻𝑊_𝐵𝑜𝑖𝑙𝑒𝑟_𝐻𝐼𝑅_𝐹𝑃𝐿𝑅 𝐶𝑎𝑝𝑎𝑐𝑖é à 𝑝𝑙𝑒𝑖𝑛𝑒 𝑐ℎ𝑎𝑟𝑔𝑒

𝐶𝑎𝑝𝑎𝑐𝑖𝑡é 𝑟𝑒𝑞𝑢𝑖𝑠𝑒 à 𝑙𝑎 𝑐ℎ𝑎𝑢𝑑𝑖è𝑟𝑒


𝐶𝑜𝑛𝑠𝑜𝑚𝑚𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑡ℎé𝑜𝑟𝑖𝑞𝑢𝑒 =
𝑟𝑒𝑛𝑑𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑡ℎ𝑒𝑟𝑚𝑖𝑞𝑢𝑒 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑐ℎ𝑎𝑢𝑑𝑖è𝑟𝑒

𝐶𝑎𝑝𝑎𝑐𝑖𝑡é 𝑟𝑒𝑞𝑢𝑖𝑠𝑒 à 𝑙𝑎 𝑐ℎ𝑎𝑢𝑑𝑖è𝑟𝑒


𝑟𝑒𝑛𝑑𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑡ℎ𝑒𝑟𝑚𝑖𝑞𝑢𝑒 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑐ℎ𝑎𝑢𝑑𝑖è𝑟𝑒
𝐶𝑜𝑛𝑠𝑜𝑚𝑚𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑑𝑒 𝑐𝑜𝑚𝑏𝑢𝑠𝑡𝑖𝑏𝑙𝑒 = 𝐻𝑊_𝐵𝑜𝑖𝑙𝑒𝑟_𝐻𝐼𝑅_𝐹𝑃𝐿𝑅

Exemple: Reproduction de la figure de la page précédente:


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Modèle – Chaudière avec condensation
 Dans le cas des chaudières à condensation, en plus du PLR, la température de l’eau de retour doit
être considérée. Dans la figure ci-dessous les valeurs de PLR ne sont pas fournies directement. Ce
sont plutôt les pourcentages de « fire rate » qui sont données.

 Le fire rate est le rapport entre le combustible brulé et le combustible brulé aux conditions
nominales.
Fire rate

BMK 1500

Consommation de
combustible à la
capacité nominale:

1,500,000 Btu/h

440 kW

http://www.aerco.com/getdoc/d71f7fcd-addd-4d4f-9d1a-768b917a5c88/default.aspx?disposition=attachment
26
Modèle – Chaudière avec condensation
Ci-dessous, les données du Benchmark 2.0 (Compagnie Aerco).
27
Modèle – Chaudière avec condensation
Il est possible de bâtir un modèle générique de chaudière à condensation à partir des données de la
page précédente. Le tableau ci-dessous présente les données de la page précédente mais présentées
sous le format de « lookup table » dans EES.

En effectuant une régression linéaire, le fire rate et le rendement peuvent être représentés par une
équation bi-quadratique (Note: dans ces 2 relations la température de retour, HWRT, est en oF):

Connaissant, l’output réel (i.e. la chaleur requise) et l’output de référence, il


est alors possible de retrouver la consommation (Fuel):

Par exemple, pour


Outputréférence = 1832 kBtu/h
Outputréel = 346 kBtu/h

Alors,
Outputnormalisé= 346/1832= 0.1858 , Firerate =0.2 , Efficiency = 0.8712 et

Consommation (Fuel) = 397.2 kBtu/h (ce qui correspond aux données de la page précédente)
28
Modèle – Chaudière avec condensation
Lorsque la température de retour est en oC, l’équation bi-quadratique devient:

Données brutes du manufacturier ayant Données obtenues avec les équations


servies à determiner les coefficients des bi-quadratique pésentées ci-dessus et
équations bi-quadratiques un Outputréference=545.7 kW
29
Rejet Thermique
Un rejet thermique à l’atmosphère est requis dans presque tous les systèmes CVAC.
Dans la figure de gauche, une tour de refroidissement est utilisée pour rejeter la chaleur
du condenseur du refroidisseur, chaleur qui provient du refroidissement de l’air.

Tours de refroidissement des pavillons Lassonde


30
Rejet Thermique
Condenseur refroidi à l’air Condenseur évaporatif Tour de refroidissement

Besana, 2009 et Hackell, 2008


31
Tour de refroidissement – Principe de base

Bernier, 1994
32
Tour de refroidissement – Principe de base
33
Modèle simple de tour de refroidissement
Lorsque la tour de refroidissement opère à des débits fixes, il est possible de bâtir une
modèle (courbe de régression) à partir de données de performance tel que montré dans
le texte ci-dessous (un autre exemple se trouve à l’annexe B).

Extrait de : Bahnfleth et Peyer, 2004


34
Modèle complexe de tour de refroidissement
La modélisation se complexifie lorsque le modèle doit tenir compte des variations de
débits (air et eau). On retrouve des modèles « boites grises » et « boites noires » et des
modèles basés sur des « performance map ». Dans ce dernier cas, la performance map
doit « au minimum » contenir des données pour cinq variables indépendantes soit : i)
débit d’eau, ii) débit d’air, iii) Température du bulbe humide, iv) Température de l’eau à
l’entrée; v) température de l’eau à la sortie
35
Modèle complexe de tour de refroidissement
Modèle « boites grises » - TYPE510 de TRNSYS:
36
Modèle complexe de tour de refroidissement
Modèle de type « boites noires » - Modèle de EnergyPLus connu sous le nom de
CoolTools correlation (EnergyPlus, 2013). Les coefficients sont données à l’annexe C.
37
Modélisation - Condenseur refroidi à l’air
38
Modélisation - Condenseur refroidi à l’air
39
Références
Bahnfleth, W.P. and E. Peyer. Variable primary flow chilled water systems: Potential benefits and application issues, Final Report – Volume 1, March 2004.

Blervaque, H. 2014. Règles de modélisation des systèmes énergétiques dans les bâtiments basse consommation. Thèse. Mines ParisTech.

Bernier, M. 1994. Cooling Tower Performance: Theory and experiments, ASHRAE Transactions, 100(2):114-121.

Besana, F. 2009. Heat Rejection Problematic in SolarCombi+ System. Ph.D. thesis. University of Bergamo.

Brandemuehl, M.J., S. Gabel, and I. Anresen. 1993. HVAC 2 Toolkit: A toolkit for Secondary HVAC System Energy Calculation. ASHRAE.

Brandemuehl, M.J., and M. Wassmer. 2009. Updatd Energy Calculation Models for Residential HVAC Equipment Report. ASHRAE 1197 RP. ASHRAE.

EnergyPLus. EnergyPlus – Engineering Reference. October, 2013. http://apps1.eere.energy.gov/buildings/energyplus/pdfs/engineeringreference.pdf

Hackel, S.P. 2008. Development of Design Guidelines for Hybrid Ground-Coupled Heat Pump Systems. ASHRAE TRP-1384.

Henderson, H., Parker, D., Huang, Y. 2000. Improving DOE-2's RESYS routine: User Defined Functions to Provide More Accurate Part Load Energy Use and Humidity
Predictions, Proceedings of 2000 Summer Study on Energy Efficiency in Buildings, American Council for an Energy-Efficient Economy, 1001 Connecticut Avenue,
Washington, DC., August 2000.

Henninger, R.H. , and M.J. Witte. 2013. EnergyPlus Testing with HVAC Equipment Component test.
http://apps1.eere.energy.gov/buildings/energyplus/pdfs/energyplus_hvac_component_tests.pdf

Ndiaye, D. and M. Bernier. 2014. One and Two Time Constant Models to Predict the Capacity of Geothermal Heat Pumps in Cycling Conditions, ASHRAE
Transactions, 120(2): 320-333.

Ndiaye, D. 2007. Étude numérique et expérimentale de la performance en régime transitoire de pompes à chaleur eau – air en cyclage. PhD Dissertation,
Département de génie mécanique, École Polytechnique de Montréal, Université de Montréal, Montreal, QC.

Nyika, S., S.O. Holloway, W.T. Hortonn, and J.E. Braun. 2014. Generalized Performance Maps for Single- and Dual-Speed Residential Heat Pumps. ASHRAE
Transactions, 120(2), SE-14-006.

Stoecker, W.F. 1989. Design of Thermal Systems. McGraw-Hill.

Viessmann, 2014. http://www.viessmann.ca/en/Residential/Products/gas/Vitodens_100.html (site consulté le 22 février 2014).


40
Annexe A
NSTK

first
41
Annexe B
Exemple de modèle simple pour tour de refroidissement (extrait de Stoecker, 1989).
42
Annexe C

Coefficients du modèle CoolTools pour


tour de refroidissement munie d’un ventilateur
à vitesse variable

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