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CHAPITRE 2: DIMENSIONNEMENT DES POTEAUX

PLAN

I. INTRODUCTION
II. RESISTANCE EN COMPRESSION SIMPLE D’UN
POTEAU

II.1 Poteaux Courts


II.2 Poteaux Elances
II.2.1 Elancement réduit 

III. RESISTANCE DES POUTRES-POTEAUX


II.1 Sections transversales de classes 1 et 2
II.2 Sections transversales de classe 3
II.3 sections transversales de classe 4

IV. COMPORTEMENT DES POUTRES-POTEAUX VIS-


A-VIS DU DEVERSEMENT
III.1 Sections transversales de classes 1 et 2
III.2 Sections transversales de classe 3
III.3 Sections transversales de classe 4

V. FLEXION BI AXIALE DES POUTRES-POTEAUX


IV.1 Sections transversales de classes 1 et 2
IV.2 Sections transversales de classe 3
IV.3 Sections transversales de classe 4

1
I. INTRODUCTION
On utilise en général le terme "élément comprimé" pour décrire les composants structuraux
soumis uniquement à des efforts normaux de compression; ceci peut décrire les poteaux (dans
des conditions de chargement particulières) mais fait référence en général aux barres
comprimées et à extrémités articulées que l'on trouve dans les fermes, les poutres à treillis ou
les éléments de contreventement. S'ils sont soumis à des moments fléchissants significatifs en
plus des charges axiales, ces éléments sont appelés poutres-poteaux.
Dans la pratique, on rencontre peu de cas de poteaux soumis uniquement à des sollicitations
en compression car les excentricités d'efforts normaux et les efforts transversaux ne sont en
général pas négligeables. Néanmoins, les éléments comprimés représentent un cas élémentaire
qui permet la compréhension des effets de la compression dans l'étude des poutres-poteaux.
La plupart des éléments comprimés en acier sont assez élancés ce qui fait que le phénomène
de flambement peut souvent se produire.
Dans ce chapitre, nous allons traiter les différentes sortes d'éléments comprimés et examiner
le comportement tant des poteaux trapus que des poteaux élancés.

II. RESISTANCE EN COMPRESSION SIMPLE D’UN POTEAU


La rupture d’un poteau peut être causée par deux phénomènes à savoir :
 Lorsque la contrainte appliquée est supérieure à la contrainte admissible et l’acier se
plastifie : c’est le mode de rupture des poteaux courts ou trapus. C’est le mode de
rupture le plus classique et la courbe contrainte-déformation de l’acier en est une
parfaite illustration ;
 La charge verticale provoque une instabilité latérale appelée flambement : c’est le
mode rupture des poteaux élancés.

II.1. Poteaux Courts


Les poteaux courts, donc trapus, ont un élancement faible (  20), de telle sorte qu'ils ne
sont pas affectés par un flambement global. Dans ce cas, la résistance à la compression de
l'élément est dictée par la résistance à la compression de la section transversale, qui est
fonction de la classification de la section. Les sections transversales de Classes 1, 2, 3 sont
toutes insensibles au voilement local à ce niveau de la charge axiale et donc la résistance à la
compression est égale à la résistance plastique de la section:
NR = Npl. = Afy / Mo
Le voilement est une déformation transversale qui se manifeste par des ondulations.
Pour les sections transversales de Classe 4, le voilement local dans une ou plusieurs parois de
la section transversale empêche d'atteindre la charge d'écoulement plastique, et donc la
résistance à la compression est limitée à la résistance au voilement local :
NR = Aeff fy /Mo
où Aeff représente l'aire de la section efficace

2
II.2 Poteaux Elances
Selon leur élancement, les poteaux montrent deux types de comportements différents:
 ceux qui sont très élancés (  100), présentent un comportement en flambement quasi
élastique,
 ceux qui sont moyennement élancés (20    100), sont très sensibles aux effets des
imperfections.
Si l cr représente la longueur critique de flambement, la charge critique d'Euler Ncr est égale à
:
 2EI
N cr 
cr
2

On peut définir la contrainte critique d'Euler  cr comme :


N cr  2 EI
 cr   2
A cr A

En introduisant le rayon de giration, i = I / A , et l'élancement,   l cr / i, pour le mode de


flambement approprié, l'équation précédente devient:
 2E
 cr  2

En traçant la courbe  cr en fonction de  sur un graphique (Figure 1), et en faisant apparaître
la ligne horizontale représentant la plasticité parfaite,   fy , il est intéressant de remarquer les
zones idéalisées représentant la ruine par flambement, la ruine par plastification et la zone de
sécurité.

Ruine par plastification

fy
P
Figure 1: Courbe de flambement
Ruine par d'Euler et modes de ruine
flambement

Courbe de
flambement d'Euler

1 

3
Le point d'intersection P entre la courbe de flambement d’Euler et la ligne horizontale
représentant la plasticité parfaite (   fy ) donne la valeur théorique maximale de l'élancement
d'un poteau comprimé jusqu'à la limite d'élasticité. Cet élancement limite, où  cr est égal à la
limite d'élasticité de l'acier, est donné par l'expression :
 1   [ E / f ]0,5  93,9   [235 / f y ]0,5
y

Donc 1 est égal à 93,9 pour la nuance d'acier S235, à 86,8 pour la nuance d’acier S275 et à
76,4 pour la nuance d'acier S355.
La Figure 1 peut être redessinée sous une forme adimensionnelle (cf figure 2) en divisant la
contrainte critique d'Euler par la limite d'élasticité ( cr / fy ) et l'élancement par l'élancement
limite (  / 1 ) . Ceci est utile car le même tracé peut alors être appliqué à des éléments
comprimés possédant différents élancements et différentes résistances de matériau.

 f y

P
1

1
 1

Figure 2: Courbe de flambement adimensionnelle

Le comportement réel des poteaux en acier est assez différent du comportement idéalisé décrit
ci-dessus. En général, les poteaux subissent une ruine par flambement inélastique avant
d'atteindre la charge de flambement d'Euler en raison de diverses imperfections de l'élément
"réel": défaut de rectitude initial, contraintes résiduelles, excentricité des efforts normaux
appliqués. Toutes ces imperfections affectent le flambement et, par conséquent, la résistance
ultime du poteau. Les études expérimentales de poteaux réels donnent les résultats illustrés
par la Figure 3.

Elancement moyen Elancement élevé

P
f
y

Figure 3: Résultats d'essais de poteaux


réels et courbes de flambement

Point
d'inflexion

1 

4
Comparé aux courbes théoriques, le comportement réel montre de plus grandes différences
dans le domaine d'élancement moyen que dans le domaine d'élancement élevé. Dans la zone
des valeurs moyennes de  (représentant les éléments comprimés les plus couramment
utilisés), l'effet des imperfections structurales est significatif et doit être soigneusement étudié.
La réduction la plus importante de la valeur théorique se situe dans la région de l'élancement
1. La courbe limite inférieure est obtenue par une analyse statistique de résultats
d'essais et représente la limite de sécurité pour le chargement.

Un poteau peut être considéré comme élancé si son élancement est supérieur à celui
correspondant au point d'inflexion de la courbe limite inférieure indiqué dans la Figure 3. La
charge de ruine ultime pour ces poteaux élancés est proche de la charge critique d'Euler (Ncr)
et elle est donc indépendante de la limite d'élasticité de l’acier.

Les poteaux moyennement élancés sont ceux dont le comportement s'écarte le plus de la
théorie d'Euler. Lorsque le flambement se produit, certaines fibres ont déjà atteint la limite
d’élasticité et la charge ultime n'est pas simplement fonction de l'élancement; plus les
imperfections sont nombreuses, plus grande est la différence entre le comportement réel et le
comportement théorique. Les défauts de rectitude et les contraintes résiduelles sont les
imperfections qui ont l'effet le plus significatif sur le comportement de cette sorte de poteau.
Les contraintes résiduelles peuvent être réparties de diverses façons dans la section comme
indiqué dans la Figure 4. La combinaison de contraintes résiduelles et de contraintes
normales produit finalement une plastification prématurée dans la section transversale, et
l'aire efficace capable de supporter l’effort normal est donc réduite.

5
 0,3 f y
compression

 0,2 f y
traction

 0,2 f y
compression

Exemple de contraintes résiduelles Exemple de contraintes


provoquées par le laminage à chaud résiduelles provoquées
(a) par le soudage

+ = ou

N= N/A R n < f y fy

Combinaison avec contraintes normales n atteignant f y


(b)

Figure 4: Schéma des contraintes résiduelles

Un défaut de rectitude initial eo, provoque un moment fléchissant donnant une contrainte de
flexion maximale  B (cf Figure 5a), qui, lorsqu'elle est ajoutée à la contrainte résiduelle,  R
donne la répartition élastique de contraintes indiquée dans la Figure 5b. Si  max est supérieure
à la contrainte limite d'élasticité, la répartition finale sera partiellement plastique et des zones
de certaines sections de l'élément subiront une plastification en compression, comme indiqué
dans la Figure 5c.

6
N

e0

B

(a)
N
N= N/A R B max

+ + =

(b)
P

Zones
plastifiées

P (c)

Figure 5: Elément comprimé partiellement plastifié

II.2.1 Elancement réduit 


La résistance en compression dépend de la classe de la section et du risque de flambement
Pour déterminer le risque de flambement, L'EC3 a défini l'élancement réduit (élancement
normalisé)  de la façon suivante :
0,5
 Af y 
   A 
 N cr 

Ce qui peut s'écrire aussi sous la forme plus pratique suivante :


    .  A    l K
0,5

 1  i
7
lK = longueur de flambement (voir tableau suivant)
A  1 pour les sections transversales de classes 1, 2, 3 et
A = Aeff / A pour la classe 4.

Si  ≥ 0,2, il y a risque de flambement et la résistance en compression est déterminée à partir


de la formule suivante :
Af y
N R   A
 M1

Où  est le coefficient de réduction pour le mode flambement à considérer.

1
 2 0, 5
1
  [   ]
2

2
  0,5[1   (   0,2)   ]

8
 est un facteur d’imperfection qui dépend de la courbe appropriée de flambement qui elle
dépend de la section et de l’axe de flambement.

 =    A 0,5
 1 

A = 1 pour les sections de classe 1, 2 et 3


A = A eff / A pour les sections de classe 4
1 = 93,9.
0,5
 235 
=   , fy exprimée en N / mm²
 f 
 y 
M1= 1,10

1.2

1

a
0.8 a b
0.6 c b c
d d
0.4

0.2

0
0,2 1 2  3

Figure 6 - Courbes de flambement européennes

Courbe de flambement a b c d
Facteur d'imperfection  0,21 0,34 0,49 0,76

9
Le tableau suivant permet le choix de la courbe de flambement
Type de section Limites Axe de Courbe de
flambement flambement
Sections en I laminées h / b  1,2
b tf mm y-y a
z-z b

40mm  tf 100mm y-y b


z-z c

h y y h / b  1,2
tf  100mm y-y b
z-z c
tf
tf  100mm y-y d
z-z z-z d

Sections en I soudées
tf mm y-y b
z-z c

tf mm y-y c
z-z d

Sections creuses laminées à chaud quel qu’il soit a


formées à froid quel qu’il soit b ou c
cf 5.5.1.4(4) et figure
5.5.2
pour obtenir fy et la
courbe à utiliser
Sections en U, L, T et sections
pleines

aucune quel qu’il soit c

Plus simplement,  peut être obtenu en fonction de l’élancement réduit , au moyen du


tableau suivant :

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III. RESISTANCE DES POUTRES-POTEAUX

Les éléments structuraux soumis à une flexion et à une compression axiale sont appelés
poutres-poteaux.
L'interaction de l'effort normal et de la flexion peut être traitée en mode élastique ou en
mode plastique en utilisant l'équilibre pour la classification des sections transversales.
Dans le cas de poutres-poteaux sensibles au déversement, le flambement par flexion hors du
plan du poteau doit être combiné avec le déversement de la poutre au moyen des formules
d'interaction appropriées.
Pour les poutres-poteaux soumis à une flexion biaxiale, la formule d'interaction est étendue
par l'ajout d'un terme supplémentaire.

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Nous allons d’abord examiner le cas des poteaux-poutres non soumises au déversement.

III.1 .Sections transversales de classes 1 et 2


Les sections transversales de classes 1 et 2 (supposant une flexion selon l'axe y), doivent
satisfaire la relation suivante:

N k M
 y y 1
 y Af y Wpl . y f y

y
où représente le facteur de réduction pour le flambement des poteaux, et

yN
ky  1 Mais k y  1,5
 y Af y

où ky représente un facteur de modification dont la valeur dépend de façon relativement


complexe des éléments suivants:
N
 Niveau de charge axiale mesuré par le rapport  y Af y
 Élancement y de l'élément
 marge entre les modules de résistance plastique et élastique de la section transversale Wpl
et Wel (pour les sections transversales de classe 1 et de classe 2 uniquement)
 Diagramme des moments principaux.
Lorsque tous ces éléments se combinent de la façon la plus sévère, la valeur sécuritaire de ky
est 1,5.

Wpl ,y
 y   y ( 2 My  4)  1 Mais  y  0,90
Wel,y
où My représente un facteur de moment uniforme équivalent prenant en compte la non
uniformité du diagramme des moments, cf tableau 2 (diagramme des moments selon l'axe y et
encastrements dans le sens z).
Si la flexion se fait suivant l’axe z, il suffit de remplacer dans les formules précédentes les
caractéristiques suivant l’axe y par celles suivant z.

III.2 .Sections transversales de classe 3


Les sections transversales de classe 3 soumises à une flexion et à une charge axiale doivent
satisfaire l'expression:

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N k yMy
 1 où ky et y sont tels que définis précédemment
 y Af y Wel. y f y

 y   y ( 2 My  4) Mais
 y  0,90
Diagramme des Facteur de moment uniforme équivalent  M
moments

Moments d'extrémité  M ,  1,8  0,7

Moments provoqués par


les
charges latérales dans le Pour une charge uniformément répartie:

 M ,Q  1,3
plan

Pour une charge concentrée:  M ,Q  1,4

MQ
Moments provoqués par  M   M ,  ( M ,Q   M , )
M
les charges latérales plus
les moments d'extrémité où:

M Q  max M provoqué par la charge latérale


seule

et

M  max M pour diagramme des moments sans


changement de signe
M  max M  min M où le signe du diagramme des
moments change

Tableau 2 – Facteurs de moment uniforme équivalent  M

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II.3 .Sections transversales de classe 4
Les éléments comportant des sections transversales de classe 4 soumis à une flexion et à une
charge axiale doivent satisfaire l'expression:

N k (M y  N.e N . y )
 y 1
 y A eff f y Weff . y f y

 ky , y et y sont tels que définis précédemment
 Aeff.y représente l'aire de section transversale efficace pour la compression pure
 Weff.y représente le module de résistance efficace pour la flexion pure
eNy. représente le décalage d'axe neutre en comparant la section transversale brute avec la
section transversale efficace (calculée en supposant une compression pure) utilisée pour
prendre en compte le voilement local.

IV. COMPORTEMENT DES POUTRES-POTEAUX VIS-A-VIS DU


DEVERSEMENT
Lorsqu'un élément poutre-poteau non encastré est fléchi selon son axe fort, il peut flamber en
fléchissant latéralement et en se gauchissant à un niveau de charge sensiblement moindre que
sa résistance.

IV.1 . Sections transversales de classes 1 et 2 :


L'Eurocode 3 utilise l'équation d'interaction suivante:

N k LT M y
  1
 z Af y  LT Wpl . y f y

où  z représente le facteur de réduction pour le flambement des poteaux selon l'axe faible,
 LT représente le facteur de réduction pour le déversement des poutres, et

 LT N
k LT  1  k LT  1,0
 z Af y Mais

 LT  0,15(  z 2 M ,LT  1) Mais  LT  0,90


où M,LT est un facteur prenant en compte la non uniformité du diagramme des moments, cf
Tableau 2 (diagramme des moments par rapport à l'axe y et maintiens dans la direction y).
La valeur de kLT dépend des éléments suivants:
N
 Niveau de charge axiale mesuré par le rapport
 z Af y
 Élancement de l'élément z
 Diagramme des moments principaux.

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Pour la combinaison la plus sévère kLT prend la valeur de l'unité, correspondant à une
combinaison linéaire des termes de compression et de flexion.

IVI.2.Sections transversales de classe 3 :


Les sections transversales de classe 3 doivent satisfaire le critère suivant:

N k LT M y
 1
 z Af y  LT Wel. y f y

III.3 Sections transversales de classe 4


Les sections transversales de classe 4 doivent satisfaire le critère suivant:

N k LT M y  Ne N ,z
 1
 z Af y  LT Weff . y f y

V. FLEXION BI AXIALE DES POUTRES-POTEAUX

V.1 Sections transversales de classes 1 et 2


Les sections transversales de classes 1 et 2 soumis à une combinaison de flexion bi axiale et
de compression axiale doivent satisfaire le critère suivant:

N k yMy k M
  z z 1
 min Af y Wpl ,y f y Wpl ,z f y
où kz est un facteur similaire à ky.
lorsqu'un déversement est possible, elles doivent satisfaire également le critère suivant:
N k LT M y k zM z
  1
 z Af y  LT Wpl ,y f y Wpl ,z f y
IV.2 Sections transversales de classe 3
Les sections transversales de classe 3 soumis à une combinaison de flexion bi axiale et de
compression axiale doivent satisfaire le critère suivant:

N k yMy k M
  z z 1
 min Af y Wel,y f y Wel,z f y

lorsqu'un déversement est possible,elles doivent satisfaire également le critère suivant:

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N k LT M y k M
  z z 1
 z Af y  LT Wel,y f y Wel,z f y
IV.3 Sections transversales de classe 4

Les sections transversales de classe 4 soumis à une combinaison de flexion bi axiale et de


compression axiale doivent satisfaire le critère suivant:

N k y (M y  Ne Ny ) k z (M z  Ne Nz )
  1
 min A eff f y Weff ,y f y Weff ,z f y

lorsqu'un déversement est possible, elles doivent satisfaire également le critère suivant:

N k LT M y  Ne Ny k z (M z  Ne Nz )
  1
 z A eff f y  LT Weff ,y f y Weff ,z f y

Il est important de noter à partir de la définition de Aeff et Weff ci-dessus qu'il convient que le
calcul des caractéristiques des sections transversales, et donc également la classification des
sections transversales, soient effectués sur une base distincte pour chacune des trois
composantes de charge N, My et Mz. Ceci signifie, bien sûr, qu'un même élément peut être
classifié comme (par exemple) classe 1 pour la flexion selon l'axe fort, classe 2 pour la flexion
selon l'axe faible, et classe 3 pour la compression. Dans ce cas, l'approche de calcul sécuritaire
consiste à effectuer toutes les vérifications des poutres-poteaux au moyen des procédures
correspondant à la classe la moins favorable.

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