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Master Droit des Contentieux

Matière : Contentieux Bancaire et Assurance

L’obligation d’information du banquier

Préparé par : ABBEY Faadil


KEITA Djenebou
CHOUGWE Moselle

Encadré par : Professeure OUALJI Imane

Année Universitaire : 2018/2019


PLAN:

Introduction

Partie 1 : Source et effectivité du système juridique de l’obligation d’information du banquier


Section 1 : Source de l’obligation d’information du banquier
Section 2 : Effectivité du système juridique de l’obligation d’information du banquier

Partie 2 : Limites et manquement a l’obligation d’information du banquier


Section 1 : Limites de l’obligation d’information du banquier
Section 2 : Sanctions au manquement de l’obligation d’information du banquier

Conclusion

Bibliographie
Introduction
Le terme obligation renvoie à un lien de droit d'aspect pécuniaire, rapport juridique unissant
deux personnes dont l'une d'elles (débiteur), est tenue à une prestation au profit de l'autre (le
créancier). Le mot « obligation » est souvent suivi d'un adjectif qui le caractérise ou qui
caractérise son contenu ou les modalités de son exécution. On trouve ainsi les obligations
légales, contractuelles, d'entretien, d’éducation, et dans notre thème l’obligation
d'information. L'information est un ensemble de données propres à revêtir un sens particulier
pour un utilisateur. Ainsi, L'obligation d'information a été définie comme le devoir en vertu
duquel le contractant professionnel ou simplement le contractant supposé le mieux informé
est tenu de communiquer à son partenaire les éléments d'information relatifs à son contrat.
En droit bancaire, L’obligation d'information est une obligation qui donne le droit au banquier
d’informer son client, de s'informer sur lui mais aussi de donner, suivant la nouvelle loi des
établissements de crédit, des informations dans certains cas, aux institutions de contrôle (Bank
Al Maghreb). C’est un devoir général qui pèse sur tout professionnel "Devoir imposé à certains
vendeurs professionnels ou à des sociétés, de fournir des indications sur l'objet du contrat ou
l'opération envisagée par les moyens adéquats". Certains auteurs ont rapproché l'obligation
d'information du devoir de renseignement. L'obligation de renseignement est un devoir
implicite, découvert par la jurisprudence, française notamment, dans certains contrats, en
vertu duquel la partie supposée la plus compétente ou la mieux informée est tenue de
communiquer à l'autre les informations qu'elle détient relativement à l'objet du contrat.
L'obligation de renseignement est une obligation précontractuelle. Le devoir d'information
couvre ce devoir de renseignement car ce dernier n’est qu’une réponse à la demande
d’information. En effet, le devoir d'information est plus étendu que le devoir de
renseignement. Il s'applique pendant l'exécution du contrat. Il peut indifféremment se
présenter au cours de la phase de formation du contrat pour éclairer le consentement du
cocontractant, ou lors de l'exécution du contrat pour permettre la bonne exécution d'une
obligation contractuelle autre que le conseil. Le législateur a prévu un arsenal juridique dans
le but d’encadrer l’exercice de l’obligation d’information du banquier. Dès lors une
question nous vient à l'esprit, l’arsenal juridique prévu par le législateur est-il suffisant à
assurer une véritable protection de la clientèle bancaire? Autrement dit, Quelle est le degré de
l'obligation d'information du banquier et quelles sont ses limites ?
Pour répondre à cette interrogation, nous allons aborder les sources et l’effectivité du système
juridique de l’obligation d’information du banquier (première partie) qui s’analyse à travers les
sources de l’obligation d’information (Section 1) et l’effectivité du système juridique de
l’obligation d’information (Section 2). Puis nous évoquerons ensuite les limites et le
manquement à l’obligation d’information du banquier (deuxième partie) à travers les limites
de cette obligation (Section 1) et les sanctions inhérentes du manquement de l’obligation
d’information du banquier (Section 2).
Partie 1 : Source et effectivité du système juridique de l’obligation d’information du banquier
Le législateur et la jurisprudence ont prévu certaines dispositions dans le but d’encadrer
l’exercice de l’obligation d’information du banquier. Toutefois avant de les exposer il convient
d’analyser les sources de ce devoir du banquier.

Section 1 : Source de l’obligation d’information du banquier


Il n'existe pas de loi ou de code qui reprendrait la liste de l'ensemble des obligations du
banquier à l'égard de ses clients, voire à l'égard des tiers. Ces obligations se sont forgées au fur
et à mesure, au berceau de la profession, de ses pratiques et de ses usages et au gré de
certaines interventions législatives ou évolutions doctrinales et jurisprudentielles, notamment
françaises. L’obligation d’information trouve son fondement aussi selon les cas, dans la loi,
dans l’objet du contrat ou dans les principes d’exécutions de bonnes foi et de comportement
prudent et raisonnable.
Le législateur a également prévu un arsenal juridique dans le but d’encadrer l’exercice de
l’obligation d’information du banquier. Elle trouve son fondement dans le droit de la
consommation qui est considéré comme la pierre angulaire servant de la loi 31-08 sur la
protection des consommateurs. Toutefois, on ne peut ignorer le fait qu’il existe plusieurs
domaines en relation avec l’information du client. Nous avons par exemple la loi 15-95 formant
code de commerce qui régit les relations entre les commerçants et la loi 103.12 relative aux
établissements de crédit et organismes assimilés qui demeure encore la référence en la
matière.

Section 2 : Effectivité du système juridique de l’obligation d’information


Le banquier a le devoir d’informer son client, toutefois il n'a pas à renseigner davantage son
client, car cette obligation d’information est souvent illustrée par des textes écrits tels que :
- le relevé de compte, dont une copie doit être est envoyée au client au moins tous les
trois mois conformément à l’article 491 de la loi 15-95 formant code de commerce ;
- l’information, deux mois à l’avance, du client sur la fermeture de l’agence bancaire et
sur l’agence où seront transférées les comptes de la clientèle. (Art : 155 de la loi 103.12 relative
aux établissements de crédit et organismes assimilés) ;
- l’ouverture d’un compte qui doit faire l’objet d’une convention écrite dont une copie est
remise en vertu de l’article 151 de la loi 103.12
- les taux d’intérêt débiteurs et créditeurs, de commission et de régime de dates de valeur,
qui doivent être portés à la connaissance du client et du public (Art : 154 de la loi 103-12) ;
- Les prospectus qui informent le client sur les produits et des services particuliers de la
banque tels que les cartes guichets, les prêts logements …etc.

On peut ajouter aussi à l’obligation d’information, les renseignements que recueille, au


préalable, le banquier avant de s’engager avec le client (le cas d’une demande de prêt par
exemple) ou encore les obligations d’informations propres a tous professionnels en vertu de
la loi 31-08 relative à la protection du consommateur.
L’obligation d'information est mise à la charge du banquier mais son existence et son étendue
seront déterminées en fonction de la qualité du client (professionnel ou consommateur), mais
également de la nature de l'opération et de l'information à fournir.
Concernant certaines opérations, une obligation spéciale d’information est imposée à la
Banque.
- Au sujet des opérations de banque : Les établissements de crédit sont tenus de porter
à la connaissance de leur clientèle et du public les conditions générales de banque qu'ils
pratiquent pour les opérations qu'ils effectuent. Lorsqu'ils ouvrent un compte, les
établissements de crédit doivent informer leurs clients sur les conditions d'utilisation du
compte, le prix des différents services auxquels il donne accès et les engagements réciproques
de l'établissement et du client.
- Au sujet des cautionnements : Une banque manque à son obligation de contracter de
bonne foi et commet un dol par réticence en omettant d'informer la caution de la situation
irrémédiablement compromise de son débiteur, afin d'inciter celle-ci à s'engager.
Par ailleurs, les établissements de crédit ayant accordé un concours financier à une entreprise,
sous la condition du cautionnement par une personne physique ou une personne morale, sont
tenus au plus tard avant le 31 mars de chaque année de faire connaître à la caution le montant
du principal et des intérêts, commissions, frais et accessoires restant à courir au 31 décembre
de l'année précédente au titre de l'obligation bénéficiant de la caution, ainsi que le terme de
cet engagement. Si l'engagement est à durée indéterminée, ils rappellent la faculté de
révocation à tout moment et les conditions dans lesquelles celle-ci est exercée. Le défaut
d'accomplissement de cette formalité emporte, dans les rapports entre la caution et
l'établissement tenu à cette formalité, déchéance des intérêts échus depuis la précédente
information jusqu'à la date de communication de la nouvelle information.
- L'obligation d'information en matière de services d'investissement : En matière de
services d'investissement, les banquiers doivent s'enquérir de la situation financière de leurs
clients, de leur expérience en matière d'investissement et de leurs objectifs concernant les
services demandés. Ils doivent communiquer, d'une manière appropriée, les informations
utiles dans le cadre des négociations avec leurs clients.

- L'obligation d'information relative aux opérations de crédit en général : La jurisprudence


a décidé que le banquier manque à son devoir de conseil s'il consent un prêt dont les charges
sont excessives au regard des ressources modestes de l'emprunteur, simple particulier, sans
l'avoir mis en garde sur l'importance de l'endettement résultant de ce prêt

La responsabilité de la banque n'a pas un caractère systématique. Elle peut être totalement
écartée si l'emprunteur connaissait parfaitement la situation, c’est le point de départ des
limites de cette obligation d’information.
Partie 2 : Limites et manquement a l’obligation d’information du banquier
La loi a été clair sur le devoir d’information du banquier, qui a défaut donne lieu à des sanctions
pénales ou à des dommages et intérêts, mais cette obligation d’information qui incombe au
banquier a des limites.

Section 1 : Limites de l’obligation d’information du banquier


Si le banquier a une obligation générale d'information et de conseil à l'égard de sa clientèle,
celle-ci cesse dès lors que le client était parfaitement au courant de sa situation. Il a ainsi été
jugé que la banque qui avait renseigné son client en lui précisant qu'il s'agissait des seules
informations en sa possession n'engage pas sa responsabilité.
L’obligation d’information peut prendre fin aussi avec le principe de non-ingérence, encore
appelé principe de non immixtion, qui impose aux établissements de crédit de ne pas intervenir
dans les affaires de leurs clients et les places en conséquence dans une position de neutralité
lorsque celui-ci lui a déjà fourni les informations dont il dispose. La première application
jurisprudentielle de ce principe semble être l'arrêt "Ducrocq" (C. cass. 28 janvier 1930). Cet
arrêt relève que "les banques n'ont pas à rechercher l'origine ou la cause des opérations
transitant par le compte de leur client. C'est le principe de non-ingérence". Ce principe ne
s'applique donc pas seulement à l'occasion du fonctionnement du compte des clients mais
s'applique aussi en matière de vente de titre au porteur par l'entremise de la banque. Ce qu'il
faut retenir, c'est que le banquier n'a pas, pour l'octroi de crédit, sauf exception, à apprécier
l'opportunité pour son client. Il n'est pas "le directeur de conscience économique de son client"
encore moins son "tuteur". L'obligation de conseil, faut-il le relever est d'intensité variable
selon qu'il s'agisse d'un profane ou d'un professionnel. Le client profane est celui qui est dans
une situation de déséquilibre de connaissance par rapport au banquier qui est un
professionnel. Dans ces conditions le banquier devra fournir au client profane toutes les
informations lui permettant de mesurer en toute connaissance de cause, la portée de ses
actes. Ce qui n'est pas forcément le cas lorsque les parties au contrat sont toutes des
professionnels. S'il est vrai que ce principe tant à protéger le client, il préserve également les
établissements de crédit des actions en responsabilité qui pourront être engagées contre eux.
Comme autre limite du secret bancaire on peut citer le secret bancaire qui est aussi une des
obligations du banquier mais limite de l’obligation d’information parce que celui-ci devrait
s’abstenir de divulguer toute sorte d’information sous peine de sanction pénale ou civile
l’article 79 de la loi bancaire stipule que « toutes les personnes qui participent à
l’administration, à la direction ou à la gestion d’un établissement de crédit, ou qui sont
employées par celui-ci,(…) sont strictement tenues au secret professionnel pour toutes les
affaires dont ils ont à connaitre, à quelque titre que ce soit, dans les termes et sous peine de
sanctions prévues à l’article 446 du code pénal. Le secret bancaire couvre uniquement les
informations confidentielles, à ce titre les juges de la Cour de cassation ont considéré, que les
coordonnées du bénéficiaire d’un virement (dénomination, immatriculation, lieu du siège
social), sont couvertes par le secret bancaire. Ainsi, ces informations ne peuvent pas être
communiquées à un tiers sans accord du client (Cass. Com. 21 février 2012, n°11-10.900). Les
personnes soumises au secret bancaire sont visées par les dispositions de l’article L511-33 du
code monétaire et financier. Il s’agit de toutes les personnes qui gèrent ou dirigent un
établissement de crédit ou qui sont préposées par celui-ci.

Section 2 : Sanctions en cas de manquement à l’obligation d’information du banquier


En cas de manquement à l’obligation d’information la responsabilité du banquier doit être
soulevée. On devra alors tout d’abord déterminer la nature de la responsabilité et ensuite les
sanctions qu’il peut recourir.
Donc en application du droit commun, la responsabilité du banquier en l’occurrence serait
contractuelle vu que d’après certains auteurs, la banque est liée par son client à travers une
convention qui peut-être le contrat. Nous ne trouvons pas la consécration d’une telle
responsabilité dans les textes de lois que de manière hétérogène. D’ailleurs, les différentes
obligations d’information et de conseil, de discrétion, de non-ingérence qui pèsent sur les
banquiers trouvent en effet différents fondements, que ce soit dans la loi, la jurisprudence ou
même la déontologie. Comme nous l’avons dit, il y a toute une controverse doctrinale quant à
la nature de la responsabilité du banquier pour manquement à son devoir d’information du
client. Nous estimons que cette responsabilité spécifique du banquier est une obligation ayant
un fondement contractuel. Obligation contractuelle, car le droit commun en l’occurrence le
droit de la consommation et la loi sur la liberté des prix et de la concurrence ont précisé la
charge d’une telle obligation non pas seulement pour le banquier mais pour tout professionnel.
Avec précision, l’article 3 de la loi 31-08 édictant des mesures de protection des
consommateurs, et l’article 47 de la loi 06-99 sur la liberté des prix et de la concurrence,
disposent que tout prestataire de services est obligé d’’informer le consommateur sur les
conditions générales et particulière de la réalisation de la prestation en cause ; donc le
banquier étant un prestataire de services, il est bel et bien soumis à cette obligation. D’ailleurs
la jurisprudence n’arrête pas de consacrer à son tour cette question de responsabilité
contractuelle du banquier au chef du manquement à son obligation d’information. Par
exemple veuillez consulter l’arrêt du 5 novembre 1991 dit « arrêt Buon »de la chambre
commerciale civile de la cour de cassation française. Pourtant ce qui est paradoxale, sur le plan
pratique cette responsabilité est perçue sous l’angle d’une responsabilité professionnelle. Ceci
s’explique à travers les sanctions prévues en application à de telle obligation du banquier. Ceci
dit, nous ne dévons pas nous attarder sur les controverses doctrinales quant à l’obligation
d’information qui s’impose au banquier. Essayons de voir la mise en œuvre de cette obligation
et les sanctions qui peuvent en résulter. Ainsi pour mettre en œuvre une telle responsabilité
du banquier, il faut un manquement au droit à l’information du client qui renvoie à la faute,
que ce manquement soit préjudiciable et qu’entre les deux, subsiste un lien de causalité. Quant
aux sanctions prévues en réaction à la responsabilité du banquier pour manquement à son
obligation d’information, on peut les résumer en deux. Tout d’abord il y a des sanctions qui
sont prévues par exemple ici au Maroc par l’autorité de contrôle des banques en l’occurrence
la banque AL-Maghreb. En effet l’article 119 de la loi 34-03 dispose que « toute personne
s’estimant lésée du fait d’un manquement par un établissement de crédit aux prescriptions de
la présente loi et textes d’application, peut saisir banque Al-Maghreb qui réservera à la
demande la suite qu’elle juge appropriée. A cette fin, Banque Al-Maghreb peut procéder à des
contrôles sur place ou demander à l’établissement concerné de lui fournir dans les délais fixés
par ses soins tous les documents et renseignements qu’elle estime nécessaires pour l’examen
de ces demandes ». Cette procédure est déclenchée notamment en cas de refus pour
l’ouverture d’un compte à vue à un client. Bien vrai qu’il ne résulte pas la loi 34-03 une
obligation sur le banquier d’informer le client pour un tel refus. Mais n’oublions pas que
l’article 3 de la loi 31-08 et l’article 47 de la loi 06-99 impose au banquier d’informer le client
sur les conditions générales et particulières d’une telle prestation. Donc l’ouverture d’un
compte bancaire rentre dans ce cadre. La seconde catégorie de sanction est celle prévue par
le régime de la responsabilité civile qui peut donner ouverture à des dommages et intérêts.
CONCLUSION

A la question de savoir quelle est l'attitude du banquier face aux informations qu'il possède,
nous avons pu démontrer que le banquier est tenu d'une obligation d'information. Ce dernier
regroupe, l'information, le renseignement, le conseil et la mise en garde. Cependant pour
montrer comment se manifeste cette obligation, il était opportun pour nous de préciser
d'abord ses contours. Ceux-ci ressortent mieux à travers l'objet même de l'information et les
destinataires de celle-ci. En d'autres termes, l'obligation d'information se module selon la
nature du contrat bancaire et de la qualité, de profane ou de professionnel averti, de l'autre
partie cocontractante. Mais cette obligation est limitée. Elle se doit d’être transmissible et
disponible. L'obligation d'information du banquier s'exécute suivant un certain nombre de
règles. Il peut s'agir d'une part des règles du droit de la consommation. Ces dernières mettent
l'accent sur les éléments déterminants sans lesquels le client cocontractant n'aurait pu
contracter. Le banquier doit donc informer son client sur le prix, les caractéristiques et les
délais de livraison des services et produits bancaires. D'autre part, s'appliquent aussi en
matière d'exécution de l'obligation d'information du banquier, les règles du droit civil. Celles-
ci prévoient des conditions essentielles qui doivent être respectées pour qu'existe une
obligation précontractuelle de renseignement à savoir : la pertinence de l'information et
l'ignorance par le client de l'information due. De plus, le consentement donné par le
cocontractant doit être un consentement intègre. L'exécution de l'obligation d'information du
banquier dans ce cas n'est que théorique, raison pour laquelle l'étude des contentieux en la
matière est bénéfique. La sanction du banquier en cas de manquement à l'obligation
d'information est la responsabilité. Celle-ci peut être civile ou pénale. La responsabilité civile
du banquier dans ce cas, obéit aux règles de droit commun. Elle peut alors être contractuelle
ou délictuelle. Quoiqu'il en soit il est tenu aux dommages et intérêts, soit envers le client, soit
les tiers, lorsque sa responsabilité est engagée. Quant à la responsabilité pénale du banquier
en cas de manquement à l'obligation d'information, elle est envisagée de la même manière
lorsque le banquier est l'auteur principal ou le complice des infractions sanctionnées
pénalement.
Bibliographie

- Dahir 1-00225 du 5 juin 2000. La loi 06-99 sur la liberté des prix et de la concurrence.
- La loi 15_95 formant le code de commerce.
- Projet de loi n) 31-08 édictant les mesures de protection des consommateurs au Maroc.
- Dahir du 12/09/1913 (12 septembre 1913)) formant code des obligations et des contrats.
- La loi 34-03 de 2006 relative aux établissements de crédit et organismes assimilés

- La loi 103.12 de 2014 relative aux établissements de crédit et organismes assimilés

-www.leconomistes.fr
-www.monjuriste.com
-www.easydroit.fr/jurisprudence/courdecassation.
-cabinet d’avocats Drai-Attal

-JurisMaroc.com

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