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Faculté de Pharmacie Abulcasis

COURS DE BOTANIQUE
Systématique et nomenclature botanique
1ière année de Pharmacie

Année universitaire 2018-2019


Pr .CHERGUI Abdelhak
Introduction

Animale (insuline, héparine, propolis,….)

Minérale Synthèse chimique


(Maalox: hydroxyde d'aluminium/hydroxyde de (Aspirine, Azidothymidine,…)
magnésium)

Végétale
Saule blanc: Aspirine =Acide acétylsalicylique (douleur et fièvre)

Quinquina: Quinine (antipaludique)

Pavot: Opium =Morphine et codéine (antalgique)

If : Taxol (anticancéreux)

Belladone: Atropine (Anticholinergique)

Botanique: d’origine grec « Botan » qui signifie herbe; c’est une science qui étudie les plantes
et d’une manière générale les végétaux. La botanique recouvre plusieurs disciplines comme la
biologie, la physiologie, la pharmacognosie et la systématique.
A-La notion d’espèce
I- L’espèce entre le vulgaire et le botaniste

La notion de l’espèce est un concept familier: le poirier, le pommier et le noyer constituent des
espèces que chacun connait.
Pour le vulgaire, sont des coquelicots toutes les plantes herbacées qui possèdent des fleurs à
quatre grands pétales rouges, d’abord chiffonnées puis largement étalées, et des fruits de forme
particulière, sensiblement identique chez tous les coquelicots.
Le botaniste précisera les caractères, qui réunis définissent les coquelicots, et remarquera que si
les fruits sont toujours construits de la même façons, ils peuvent être classés en quatre types bien
distincts selon qu’ils sont sphérique ou allongés-ovoïdes, glabres ou hispides. Ainsi dans
l’ensemble des coquelicots on peut distinguer quatre groupes (espèces) différents les uns des
autres par les caractères du fruit.

Quelles sont les caractères de l’espèce?


Comment peut-on définir l’espèce?
Quelles sont les principales unités systématiques et les règles de nomenclature?
Quelles sont les principales classifications botaniques? 4
II- Les caractères de l’espèce

1-Caractères spécifiques et caractères individuels


Le Populage des marais (Caltha palustris) est une plante qui habite les
marécages. Elle a des feuilles réniformes, crénelées, vert luisant, des sépales
jaunes d’or, au nombre de 5, ou rarement plus, ses pétales réduits à des
nectaires, ses étamines sont très nombreuses insérées en séries spiralées, ses
carpelles en petit nombre, pluri-ovulés, donnent chacun un follicule (Fig.1).
Tous ces caractères, qui se rencontrent chez tous les individus du groupe et
dont l’ensemble suffit à définir l’espèce Caltha palustris, sont des caractères
spécifiques.
A l’opposé le développement plus au moins grand de la plante, le nombre des
ramifications, des feuilles, la longueur des pétioles ou des pédoncules floraux
ne pourraient être retenus pour définir l’espèce. Ces caractères varient
énormément d’un individu à l’autre: ce sont des caractères individuels.
Ces derniers peuvent être héréditaires ou liés à l’influence du milieu. Figure 1: Caltha palustris
(Renonculacées)

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2-Caractères fluctuants

Certains caractères spécifiques varient d’un individu à un autre mais seulement entre une certaines limites et
indépendamment des conditions extérieures. Exp. le nombre de follicules ou d’étamines de la fleur de
Populage. Ces caractères sont appelés caractères fluctuants; leur étude par des méthodes statistiques
(biométrie: courbe de fréquence) , apporte une contribution importante à la définition de l’espèce.
Les caractères fluctuants peuvent varier de manière continue (poids de la graine, teneur en sucre d’un tubercule
de betterave) ou discontinue (nombre de pièces florales d’un verticille, nombre des nervures latérales d’une
feuille, nombre des fleurs d’un capitule de Composée). Exp. Nombre des pétales chez Ronunculus repens. Tabl.I
et Fig.2

Tableau I: Nombre de pétales de Ronunculus repens

Nombre de pétales 3 4 5 6 7 8

Fréquence observée dans 1000 1 20 959 18 2 0

fleurs de Ronunculus repens

Pourcentage (%) 0,1 2 95,9 1,8 0,2 0

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 Le nombre des pétales oscille entre 3 et 7 (Amplitude).
 Le chiffre 5 (mode de la courbe) peut donc, avec une approximation suffisante, être considéré comme
un caractère spécifique de Ronunculus repens: il se rencontre dans 96% des cas, alors que les valeurs
aberrantes ne s’observent que rarement.
 Il faut cependant signaler que la présence de 7 pétales chez un individu ne peut suffire à le faire rejeter
de l’espèce Ronunculus repens.

Figure 2: Courbe de fréquence; en abscisses nombre de pétales de


Ronunculus repens, en ordonnées les fréquences exprimées en
pourcentage.

Mode

Amplitude 7
III- Vers une définition de l’espèce

1-Le critère morphologique

 Les espèces ont été d’abord définies uniquement d’après les caractères morphologiques:
« Appartenant à la même espèce tous les individus qui se ressemblent entre eux plus qu’ils ne ressemblent à
tout individu appartenant à une autre espèce ».
 Les caractères morphologiques sont les seuls utilisés dans la pratique courante.
 L’anatomie microscopique a fourni des caractères spécifiques plus variés et plus stables que l’on tire de
la simple description des organes.
 Mais l’insuffisance de la définition a été mise en évidence:
 La ressemblance peut être plus ou moins exacte: un groupe d’individus considérés comme tous
semblable peut s’avérer former de plusieurs groupes.
 Les caractères retenus comme caractères spécifiques (en général fournis par la fleur et le fruit) devront
être nets, précis et héréditaires par graine. L’hérédité du caractère choisi n’est que rarement vérifié par
les botanistes descripteurs.
 Découverte d’espèces jumelles (Fig.3): des organismes apparemment semblables sont incapables
d’engendrer une descendance.
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Epithelantha greggi Epithelantha micromeris

Sorex araneus et Sorex coronatus

Figure 3: exemples d’espèces jumelles

Le critère morphologique est donc à lui seul insuffisant pour définir l’espèce!
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2- Le critère d’interfécondité

 Le critère d’interfécondité vient compléter la définition de l’espèce


«Appartenant à la même espèce les individus, morphologiquement identiques, qui par
fécondation réciproque, donnent des graines fertiles d’où naissent des individus féconds entre
eux et présentant les mêmes caractères morphologiques que les parents »
 Ainsi des barrières à la fécondation isolent quasi totalement chaque espèce des autres
même les plus similaires apparemment.

Remarque
 Le croisement entre deux espèces peut donner des graines fertiles mais dont les descendants
sont inféconds .
Exp. Mentha aquatica X Mentha viridis= Mentha piperita (espèce hybride avec graines
stériles, l’espèce se maintient par multiplication végétative).
 Exceptionnellement il peut y avoir formation de graines fertiles dont la descendance est
fertile et stable (hybrides fixées).
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3- Le critère physiologique

 Ce troisième critère est parfois utilisé pour donner plus de précision sur la définition de l’espèce.
 Il exprime les caractéristiques d’ordre écologiques et chimiques des plantes.
 Les caractéristiques écologiques: une définition complète d’une espèce devra mentionner:
 Son type biologique: plante vivace, annuelle ou bisannuelle
 La période habituelle de floraison
 Ses exigences écologiques vis-à-vis des facteurs écologiques: nature du sol et climat (température,
précipitation, lumière,…).
 Les caractéristiques chimiques:
 Définition d’une espèce en se basant sur les caractéristiques fondamentales de son métabolisme
(secondaire surtout): certaines plantes renferment des essences dont les unes ont pour principe dominant
le pinène, d’autres le menthol ou l’eucalyptol.
 Difficulté de l’usage de ce critère pour définir l’espèce:
 Certains principes actifs peuvent se retrouver chez des espèces très éloignées de point de vue
systématique.
 Beaucoup de plantes ne possèdent pas de principes chimiques caractéristiques.

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4- Le critère cytologique : le caryotype

 Une espèce est définie par ses caractéristiques chromosomiques:


 Le nombre de chromosome : il est fixe pour chaque espèce . Exp. 2n=14 (blé sauvage ,Triticum
monococcum), 2n=22 (Eucalyptus alba), 2n= 20 (Maïs, Zea mays), 4n=28 (blé dur, Triticum
turgidum)
 La dimension des chromosomes.
 La morphologie des chromosomes: position du centromère,…
 La structure du chromosome: nombre et position des bandes.
Tous les individus possédant un caryotype identique sont interféconds et leur phénotype correspond à
celui de l’espèce des systématiciens.
Chaque espèce présente une barrière génétique avec les espèces voisines et possède un caryotype
original.
 L’usage du critère cytologique est parfois difficile quand:
 Le nombre de chromosome est élevé
 Les chromosomes sont petit ou peu différents morphologiquement
Bien que l’usage du critère cytologique soit limité, les différences au niveau du caryotype (sauf
pathologie) sont le reflet direct des différences existantes dans l’équipement génétique des espèces.
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On peut selon Cuénot résumer les caractéristiques de l’espèce dans la
définition suivante:
« Une espèce est une réunion d’individus apparentés, ayant même
morphologie héréditaire, mêmes caractères physiologiques et un genre
de vie commun. Très généralement , ils ne peuvent donner de
descendants féconds avec les représentants des espèces voisines, ce qui
maintient l’autonomie du groupe »

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B- Les unités systématiques

I- L’espèce et le genre

 Avant Linné

 Pas de système de classification validé

 Pas de règles de nomenclature universelle, 2 sortes de noms :

 Noms vernaculaires ou vulgaires : noms régionaux

- Une même espèce peut avoir plusieurs noms vernaculaires

- Même nom pour plusieurs espèces. Exp. Les lauriers


 Noms latins polynômes : souvent 2-3 termes latins, parfois jusqu'à 10

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 A partir du 17ème siècle, nombreux essais de mise en place d'une classification et
d'une nomenclature universelle.

Charles Linné (18ème siècle), botaniste suédois

(1707-1778)

Mise au point de la nomenclature botanique binomiale ou binaire


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Toutes les espèces nommées par 2 termes
Genre + espèce : le binôme

* Binôme toujours latinisé

* Genre: première lettre avec une Majuscule

* Espèce toujours avec une minuscule

Exp: Geranium robertianum L.

* Les 2 termes sont écrit en italique (ou souligné si l’écriture est manuelle)
Exp. Geranium robertianum L. (écriture à la main)

* Binôme suivi du nom complet ou abrégé du 1er descripteur (en écriture


normale): L (ici Linné).

Species Plantarum 1753

Départ de la nomenclature botanique scientifique 1er mai 1753


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avant Linné depuis Linné
ex de polynôme binôme initiale descripteur
(ici Linné)

Bellis scapo nudo uniflora Bellis perennis L.

Genre espèce
(12-15 espèces)

nom vernaculaire

pâquerette

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Intérêt de la nomenclature scientifique
Dans un article scientifique, quelle que soit la langue utilisée,
les plantes doivent toujours être citées selon la nomenclature binomiale.

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 L’espèce est l’unité élémentaire de la systématique et sa définition reste essentiellement
basée sur les caractères morphologiques.
 Le genre groupe un certain nombre d’espèces qui se ressemblent: certains genres se
limitent à une seule espèce, alors que d’autres comprennent un très grand nombre.

 L’adjectif s’accordant avec le nom du genre fait le plus souvent allusion à un caractère
organographique de la plante et se rapportant:
 À la tige: Clematis recta
 À la feuille: Paris quandrifolia
 À l’inflorescence: Ornithogalum umbellatum
 À l’époque de la floraison: Colchicum autumnale
 À la corolle: Lamium album
 À l’androcée: Salix triandra

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 Subdivision de l’espèce
 La race ou sous-espèce

Les races ou sous-espèces désignent des plantes très voisines, isolées dans l’espace (isolement géographique)
ou dans le temps et se distinguent par un certain nombre de caractères. Exp. Chez Ammophila arenaria on
distingue deux sous espèces : subsp arenaria et subsp arundinacea (Fig.4)

Ammophila arenaria subsp arenaria


 Subsp Atlantique
 Caryopses (graines) peu fertiles
 Poils des caryopses courts
Ammophila arenaria subsp arundinacea
 Subs Méditerranéenne
 Caryopses (graines) fertiles
 Poils des caryopses longs
Maroc

Figure 4: caractères et distribution géographique de deux sous espèces d’Ammophila arenaria


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 La variété
 L’ensemble des individus d’une espèce qui occupent un territoire donné forme une population. À partir de
l’espèce type (espèce d’origine) apparaissent les variétés. La variété ne diffère de l’espèce type que par un
seul caractère ou par un petit nombre de caractères, d’importance minime, mais nettement tranchés.
Exp:
 La couleur: ainsi Viola odorata, à fleurs violettes, possèdent une variété à fleurs blanches.
 Présence ou absence d’épines sur le fruit.
 L’apparition de variétés nouvelles résulte de deux mécanismes principaux:
 La mutation brusque: le caractère qui distingue la variété apparait brusquement, sans intermédiaire, sans
passage progressif. Il est immédiatement fixé et héréditaire.
 L’hybridation: un hybride est issu du croissement de deux variétés. Ils peuvent reproduire le caractère de l’un
des parents ou leur être intermédiaire. Ce qui les distingue des variétés obtenues par mutation, c’est ce que
leur descendance est très hétérogène.
 Exp. Belle de nuit (Mirabilis jalapa). Fig.5

Figure 5: hybridation chez Mirabilis jalapa

(Hybride) 22
II- La famille
 La famille regroupe des genres voisins.
 Les familles ont une importance inégale: Composées (25000 espèces), Orchidées (20000 espèces), Graminées
(9000 espèces), Punicacées ( 1 seul genre: Punica avec 2 espèces).
 Certaines familles ont des caractères particuliers: inflorescence en ombelle (Ombellifères) ou en capitule
(Composées), Corolle à deux lèves et Androcée didyname (Labiées).
 Quand la famille comporte de très nombreuses espèces, surtout lorsqu’il s’y trouve des formes différentes, on
fait des découpures qui sont les sous- familles (exp. Famille des Légumineuses)
 Le nom de la famille est généralement composé avec celui d’un des genres principaux, le plus commun ou le
plus caractéristique, suivi du suffixe acées (en latin aceae). Exp. Renonculacées, Rosacées, Liliacées
 Certaines familles, connues depuis très longtemps, gardent cependant en général leur dénomination
primitive. Tabl. II

Tableau II: synonymes de quelques familles botaniques

Nom ancien (encore utilisé) Nom actuel

Crucifères Brassicacées

Ombellifères Apiacées

Composées Astéracées
Graminées Poacées
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III- L’ordre
 L’ordre est constitué par la réunion d’un certain nombre de familles.
 Les caractères qui les définissent sont souvent moins apparents que ceux qui définissent les familles.
 Certain ordre ne renferme qu’un petit nombre de famille: Ordre des Glumales, Ordre des Orchidales.
 D’autres renfermes un grand nombre de famille: Ordre des Pariétales.
 L’ordre est désigné par le suffixe ales, son nom est en principe formé à partir d’une des familles les plus
importantes. Exp. Ordre des Glumales
 Certain ordre conserve des noms anciens. Exp. Ordre des Liliiflores.

IV- Classe et embranchement

 Les ordres sont groupés en classes et les classes sont groupées en embranchements.
 On peut distinguer des sous-classes et des sous-embranchements.
 L’ensemble des embranchement constitue le règne végétal.
 Les classes et les embranchements sont définis en se basant sur des critères bien définis ( rapport entre
gamétophyte et sporophyte, mécanisme de fécondation, nombre de cotylédons, ovule nu ou caché,…)
 Souvent le nom de la classe se termine par inées (Filicinées) et de l’embranchement par Phyte
(Spermaphyte).

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Règles de nomenclature (à partir de l'Ordre)

Ordres Terminaison en –ALES (ex Polémoniales)

Familles Terminaison en –ACÉES (ACEAE): ex Solanacées, Solanaceae

Genres Première lettre en Majuscule: ex chez Solanacées 102 Genres : Nicotiana, Atropa,
Datura, Solanum, Lycopersicon....

Espèces Nom en minuscule: ex dans le genre Solanum, 1500 espèces dont : Solanum
tuberosum, Solanum melongena, Solanum nigrum,...

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C-Principales classifications botaniques

I-Classification artificielle de Linné

 Basée sur un seul caractère.


 Linée a classé les 8000 espèces décrites à son époque en
24 classes selon les caractéristiques de l’androcée
(Étamine):
* Le nombre

* La disposition

* La longueur

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II-Classification phylogénétique ancienne (Darwin et Lamarck)

 Classifications intégrant la notion d'évolution (du plus primitif au plus évolué).


 Classification qui établit l’enchainement et la succession des groupes dans le temps: arbres généalogiques
du monde végétal . Fig.6

Figure 6: Classification phyllogénétique (Darwin et Lamarck)


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Evolution du monde végétal
Spermatophytes
(plantes à ovule)

Gymnospermes Angiospermes

Ptéridophytes
ex fougères

Bryophytes
ex mousses

Algues vertes

Milieu aérien

Milieu marin originel 28


III-Classification naturelle: SYSTEMATIQUE "CLASSIQUE"

 Basée presque uniquement sur des caractères morphologiques visibles : très pratique sur le terrain. Fig.7

Sous embranchement Angiospermes

2 classes Monocotylédones Dicotylédones

Sous-classes Apétales Dialypétales Gamopétales

thalamiflores caliciflores
Séries supérovariées inférovariées
disciflores
unisexuées hermaphrodites supérovariées inférovariées
pentacycliques tétracycliques
Ordres
supérovariées
tétracycliques

Familles Figure 7: Classification naturelle 29


Exemple d'utilisation de cette classification

* Vraies fleurs, ovule caché dans un ovaire


* Plante herbacée

Angiospermes
* Tige ramifiée
* Nervation pennée
Dicotylédones Monocotylédones
* 5 sépales, 5 pétales

Apétales Dialypétales Gamopétales

Sous-Classe des Gamopétales

* Pétales soudés en tube


Supérovariées Inférovariées
pentacycliques tétracycliques

* Ovaire visible au fond du tube: donc ovaire supère Supérovariées


tétracycliques

* 5 étamines en un seul verticille: donc 4 verticilles de


pièces florales

Dicotylédone Gamopétale Supérovariée Tétracyclique 30


IV-Classification phyllogénétique moderne: Systématique moléculaire
d'après APG II, 2003 (Angiosperm Phylogeny Group)

 Systématique moderne basée essentiellement sur des comparaisons de fragments du génome


(ADN du chloroplaste et ADN nucléaire qui code pour l’ARN ribosomal). Donc souvent
manque de critères morphologiques communs pour un groupe.

 Certainement plus proche de la réalité de l'évolution.

 Ne se traduit pas forcément au niveau morphologique

 De plus en plus utilisée dans les ouvrages scientifiques.

 Les taxons supérieurs aux ordres n'ont pas forcément de titre précis

 En constante évolution… Fig.8

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APG II (2003)

Figure 8: Classification phyllogénétique moderne selon APG II (2003)


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Quelques abréviations

 C: Carpelle
 S: Sépale Tépales
(périgone)
 P: Pétale
 T: Tépale : sépales et les pétales qui ont les mêmes couleurs
 Pér: périanthe = Σ sépales + Σ pétales
 Périanthe simple: pas de distinction entre S et P =même
Périgone de la Tulipe
couleur (T), même taille et même forme= périgone
 Périanthe double: nette différence entre sépales et pétales calice
gamosépale
(aussi lorsque les T différent par la taille ou la forme)
pétaloïde très
 F: Feuille zygomorphe

 Fl: Fleur
 E: Étamine
Le terme périgone désigne aussi un calice gamosépale pétaloïde
très zygomorphe Périgone d’Aristololochia

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