Sunteți pe pagina 1din 5

EXTRAITS ET CITATIONS POUR LE DIMANCHE

Paix et joie

La charité a pour fruits la joie, la paix et la miséricorde ; elle exige la bienfaisance et la


correction fraternelle ; elle est bienveillance ; elle suscite la réciprocité, demeure désintéressée et
libérale ; elle est amitié et communion.

CATECHISME DE L’EGLISE CATHOLIQUE

L’homme a une belle fonction, celle de prier et d’aimer ... Vous priez, vous aimez : voilà le
bonheur de l’homme sur la terre !

SAINT JEAN-MARIE VIANNEY

Toujours l’Eglise aimera se replonger dans le souvenir de cette chrétienté naissante comme
dans un bain de fraîcheur ; elle y retrouve les traits de son enfance faite de gaieté, d’héroïsme et de
douceur intransigeante. Comme elle tranchait, la jeune communauté, sur les mœurs païennes, et
quelle gloire pour l’Eglise que la chasteté des vierges, la piété des assemblées liturgiques serrées
autour de la table du sacrifice, le courage tranquille des évêques tous désignés pour une mort
violente, et le martyre de ses trente premiers papes !

DOM GERARD
DEMAIN LA CHRETIENTE

Pour vous, il n’y aura jamais de paix que dans l’abandon complet de vous-même entre les
mains de votre Père céleste… Tenez-vous bien à la disposition de Dieu
(…)
Ce qui donne la simplicité et la paix à notre vie, c’est l’abandon sincère et complet de soi à
Dieu pour sa gloire
(…)
Rien n’est plus parfait ni plus agréable à Dieu que de s’abandonner sans réserve à son bon
plaisir, même et surtout quand ce bon plaisir place la croix sur nos épaules. Dieu aime à choisir ce
qui est faible et petit pour réaliser ses œuvres, afin que tout soit divin.

DOM MARMION
L’UNION A DIEU
- 201 -
Association Notre Dame de Chrétienté
EXTRAITS ET CITATIONS POUR LE DIMANCHE

Heureuses les âmes qui peuvent dire au bon Dieu : « Seigneur, je vous ai toujours
appartenu ! »… Ah ! qu’il est beau, qu’il est grand de donner à Dieu sa jeunesse ! Quelle source
de joie et de bonheur !
Il n’y a que le premier pas qui coûte dans la voie de l’abnégation. Quand une fois on y est
entré, ça va tout seul et quand on a cette vertu, on a tout.

SAINT JEAN-MARIE VIANNEY

Soyez au bon Jésus une enfant de joie. C’est ce que je trouve de plus beau à vous souhaiter.
Seulement vous ne lui serez une enfant de joie qu’en acceptant de beaucoup souffrir. Hélas, hélas,
toutes ces âmes qui vivent loin de lui, dans la laideur et dans l’horreur de leurs péchés ! Comme il
faut les aimer, et quelle blessure cela fait au cœur de les aimer.

ABBE BERTO
LE CENACLE ET LE JARDIN, ( A UNE ENFANT )

La joie est prière. La joie est force. La joie est amour. Elle est comme un filet d'amour qui
prend les âmes. Dieu aime le donateur joyeux. Qui donne joyeusement donne le plus. Il n'y a pas
de meilleure façon de manifester notre gratitude à Dieu et aux hommes que d'accepter tout avec
joie. Un cœur brûlant d'amour est nécessairement un cœur joyeux. Ne laisser jamais la tristesse
vous envahir au point de vous faire oublier la joie du Christ ressuscité.

BIENHEUREUSE MERE TERESA


LA JOIE DU DON

Notre Seigneur s’est plaint quelquefois : “Jérusalem, Jérusalem, combien de fois ai-Je voulu
réunir tes enfants ?” (1)... “A qui comparerais-Je cette génération ? Nous avons chanté une
complainte et vous n’avez pas pleuré. Nous avons chanté un chant joyeux et vous ne vous êtes pas
réjouis” (Matth. XI, 16). Il semble qu’à l’égard du Mystère de Dieu, nous tombions souvent dans
cette inertie que Notre-Seigneur reproche à ses contemporains. Dieu nous parle de son Mystère, Il
nous parle de sa Fête éternelle, Il dépose en nous les arrhes de cette Fête éternelle : et voici que
nous restons inertes et absorbés par nous-mêmes ou par les choses de la terre. Si nous étions
sensibles à la Voix de Dieu, ou même plus modestement aux impulsions qui nous préparent à
l’entendre, nous serions moins lents à nous réjouir : car Dieu, toujours nous invite à la joie. Ce
sont des béatitudes que Notre Seigneur a promulguées. Pensons que s’Il reproche, Il donne aussi la
grâce pour éviter la faute reprochée, et pour rester fidèles à ces impulsions intérieures qui doivent
nous remettre dans la Fête éternelle.

PERE GUERARD DES LAURIERS O.P.


O INEFFABILIS TRINITAS (FEUILLET POLYCOPIE) : [LA FETE DE DIEU]

- 202 -
Association Notre Dame de Chrétienté
EXTRAITS ET CITATIONS POUR LE DIMANCHE

La paix a pour fruit encore l’équilibre de l’âme, les âmes de paix ne sont pas pessimistes ni
neurasthéniques. Elles n’ont pas d’optimisme béat, mais un optimisme sage et légitime, basé sur le
cœur de Jésus, car elles savent qu’il n’arrive que ce que Dieu veut et que pour celui qui vit de foi,
tout est grâce, tout est amour. L’humeur égale, l’indulgence, la bonté, la sérénité ne s’épanouissent
que dans la paix.
(…)
Paix ne veut pas dire nécessairement joie sentie. Mais c’est le bonheur de l’âme qui sait là
où elle doit être et qui ne demande rien d’autre que ce qu’elle a, qui est toujours joyeuse parce que
Jésus, qui est toute sa joie, est toujours avec elle.
(…)
C’est dans la divine paix dont Jésus nous a fait le don que l’on commence son ciel ici-bas.
Sur la terre, l’unique bonheur est là. Le monde rétrécit le cœur sans le remplir jamais. Jésus
l’agrandit tous les jours et le comble sans cesse.
(…)
C’est un devoir pour vous de répandre autour de vous cette paix douce et joyeuse à la fois.
(…)
Le premier moyen de travailler pour la paix du monde, c’est de laisser Jésus l’établir dans
nos âmes.

PERE D’ELBEE
CROIRE A L’AMOUR

Ne laissons aucun accident de la vie nous détourner de la joie de cette fête intérieure. Quand
on désire se rendre à un endroit donné, la difficulté de la route, quelle qu’elle soit, n’altère pas ce
désir. Ne nous laissons pas non plus séduire par le charme des réussites [de ce monde], car le
voyageur qui, en voyant des pâturages agréables sur sa route, oublie d’aller où il voulait n’est
qu’un sot. Que notre âme aspire donc d’un grand désir à la patrie céleste, qu’elle ne désire rien en
ce monde, puisqu’elle devra l’abandonner bien vite. De sorte que si nous nous montrons en vérité
les brebis du céleste Pasteur, en ne nous arrêtant pas dans les plaisirs de la route, nous soyons
rassasiés par les célestes pâturages à notre arrivée au ciel.

S. GREGOIRE LE GRAND
E
14 HOMELIE SUR LES EVANGILES, N° 6 : LA JOIE DE DESIRER LE CIEL

Dites, comme cette maman que je connais, désolée par la conduite de ses enfants : « Jésus,
vous les aimez trop pour ne pas les sauver. ». Remerciez-le d’avance pour le ciel qu’il leur prépare
à cause de votre prière, mais, et ceci est très important, tout en souffrant, attendez en paix l’heure
de Jésus, l’heure choisie par lui pour vous exaucer. Il vous fera attendre peut-être longtemps pour
éprouver justement votre confiance. Ne le décevez pas, dites-lui, quelle que soit votre épreuve,
qu’avec sa grâce, rien ne vous fera perdre votre paix profonde, parce que vous êtes sûr de lui.

PERE D’ELBEE
CROIRE A L’AMOUR

- 203 -
Association Notre Dame de Chrétienté
EXTRAITS ET CITATIONS POUR LE DIMANCHE

Pour que la paix règne dans une communauté religieuse, que faut-il ? Il faut que la vie de
tous et de chacun soit dominée par un seul principe : la charité. Il faut que Dieu seul règne sur
chaque âme et sur toutes les âmes.

UN CHARTREUX
ECOLES DE SILENCE

Tache que les gens ne te voient qu’heureuse pour les rendre heureux.

CLAIRE DE CASTELBAJAC

L’Esprit-Saint est un esprit de joie, car on est heureux lorsqu’on voit tomber ses chaînes. La
grande tristesse de l’homme, c’est qu’il se sent en prison, et cette prison est difficile à ouvrir, car
c’est celle de l’égoïsme : c’est en lui-même que l’homme est enfermé. Mais chaque acte
d’obéissance, de charité, d’humilité vous ouvre le cœur, et nous sentons qu’il fait un bond dans le
ciel, comme un oiseau dont la cage vient d’être ouverte.

UN CHARTREUX
AMOUR ET SILENCE

En partageant les joies de nos amis, nous augmentons la douceur qu’ils en ressentent ; en
partageant leurs tristesses, nous leur en adoucissons l’amertume.

BIENHEUREUX DANIEL BROTTIER

Oui, je suis fatigué – et je m’en flatte -


J’ai tout de fatigué, la voix, le cœur, la rate.
Je m’endors épuisé, je me réveille las,
Mais grâce à Dieu, je ne m’en soucie pas !...
Se sentir plié sous le poids formidable
Des vies dont un beau jour on s’est fait responsable:
Savoir qu’on a des joies ou des pleurs dans ses mains
Savoir qu’on est l’outil, qu’on est le lendemain,
Savoir qu’on est le chef, qu’on est la source,
Aider une existence à continuer sa course,
Et pour cela se battre à s’en user le cœur...
Cette fatigue-là, Monsieur, c’est du bonheur

ANONYME
- 204 -
Association Notre Dame de Chrétienté
EXTRAITS ET CITATIONS POUR LE DIMANCHE

Le bonheur d’un homme ne lui vient ni de sa fortune ni de ses titres, mais de l’amour qui
imprègne toute sa vie.

MONSEIGNEUR FRANÇOIS-XAVIER NGUYEN VAN THUAN


SUR LE CHEMIN DE L’ESPERANCE - 1991

Ce qui caractérise la famille, c’est un certain enthousiasme, une certaine joie de vivre, la
volonté de se survivre dans les âges les plus lointains. La famille est le saint lieu où une génération
transmet à l’autre le flambeau de la vie que Dieu, lorsqu’il a créé le premier homme, a allumé à la
vie éternelle et que seul le vent de tempête du Jugement Dernier balaiera de la terre.

CARDINAL JOSEPH MINDSZENTY


« MA MERE, MIROIR DE DIEU », MAME 1953

Admire la bonté de Dieu notre Père : ce que tu aimes à la folie, ton foyer, ta famille, ton
pays, tout cela est matière de sainteté ; une telle certitude ne te remplit-elle pas de joie ?
(…)

Jour après jour, en âme généreuse, tu dois apprendre à renoncer à tes goûts, en restant joyeux
et discret, afin de servir les autres et de leur rendre la vie agréable.
Agir ainsi, telle est la vraie charité du Christ.

SAINT JOSEMARIA ESCRIVA DE BALAGUER


FORGE

La joie est un fruit que la charité produit dans l’âme. C’est un épanouissement intérieur, une
allégresse spirituelle bien plus fine et plus noble que le plaisir, qui naît en nous de la possession
d’un bien aimé, désiré et enfin atteint ; et comme par la charité le bien que nous voulons c’est celui
de Dieu et du prochain, c’est la conscience de leur bonheur qui crée en nous la joie…

…La charité est le principe de la paix véritable entre les hommes. Elle unifie en effets les
vouloirs, puisqu’elle a pour objet le bien d’autrui : elle nous fait désirer ce que le prochain lui-
même désire essentiellement. Si le règne de la charité était réalisé, nul doute que la paix serait
assurée entre les hommes, entre les peuples. »

PERE B. OLIVIER O.P.


INITIATION THEOLOGIQUE, LA CHARITE

- 205 -
Association Notre Dame de Chrétienté

S-ar putea să vă placă și