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Dans ce chapitre l'auteur attire notre attention sur l'existence d'une relation entre la culture et
les structures organisationnelles.
Les arguments :
L’auteur illustre l’exemple d’une structure différenciée d’une PME exportatrice par
la présentation de l ’entreprise Feyel-Artzner comme une PME familiale qui produit
des foies gras et des spécialités fines d’oie et de canard selon des méthodes de
fabrication artisanales.
L’auteur donne l’exemple d’une structure fonctionnelle avec une division
internationale en citant la société française de services informatiques Prodware a
choisi une structure fonctionnelle avec une division internationale afin de pouvoir
offrir ses prestations à travers des filiales ou des partenaires locaux.
L’auteur présente le digramme de chaque structure citée au sein de ce chapitre ainsi
qu’il définit le positionnement de la dimension interculturel dans chaque digramme.
L’auteur justifie la structure organisationnelle intégrée par l’exemple des courtiers
d’assurances qui mènent des activités importantes à l’étranger et qui optent souvent pour
une structure fonctionnelle intégrée.
L’auteur présente le groupe Bouygues a structuré ses activités en trois divisions : la
construction, la construction immobilière, les médias comme exemple de la structure
divisionnaire intégré.
L’auteur cite Le groupe SEB comme leader mondial du petit équipement domestique (articles
culinaires et petit électroménager), ce groupe qui gère un portefeuille de plusieurs marques
mondiales comme un exemple de la structure matricielle.
Idée 2 : l’auteur s’intéresse à l’étude de la dimension culturelle dans les relations siège-
filiales des entreprises multinationales, en plus il étudie le rôle des différences culturelles
dans les relations inter-organisationnelles.
Les arguments :
L’auteur explique le modèle EPRG en avançant des exemples des entreprise qui adoptent les
différentes conceptions de ce modèle : (ethnocentrisme, polycentrisme , régiocentrisme
,géocentrisme), en plus il montre que les enjeux culturels varient suivant l’orientation
choisie par l’entreprise.
L’auteur présente le groupe Hermès dont les valeurs sont fortement marquées par la culture
française comme exemple de la conception ethnocentrique.
L’auteur s’appuye sur l’exemple de la Compagnie des Alpes qui possède des parcs de loisirs
et des domaines skiables dans plusieurs pays européens pour argumenter l’orientation
polycentrique.
L’auteur illustre l’orientation régiocentrique par un exemple du siège européen de Ford,
localisé en Allemagne qui adopte sa propre culture organisationnelle et qui est marquée par
les caractéristiques des cultures allemande et européenne
L’auteur justifie l’orentation géocentrique en donnant l’exemple du groupe Danone, l’un des
leaders mondiaux de l’industrie agroalimentaire.
L’auteur repose sur la classification proposée par Harzing des outils utilisés par les
entreprises pour coordonner les activités de leurs filiales afin de développer La coordination
des relations siège-filiales.
L’auteur explique les formes des accords contractuels en donnant l’exemple des groupes
Benetton, Habitat et McDonald’s qui adoptent un accord de franchise, et l’exemple du
groupe Coca-Cola qui adopte un accord de licence.
L’auteur illustre la forme des accords capitalistiques par l’exemple de l’alliance Renault-
Nissan-Daimler et la société commune Danone-Unimilk.
L’auteur repose sur le modèle de « l’usine mondiale » (global factory) pour expliquer la
diversité des relations inter-organisationnelles qui sont mises en place par les entreprises
multinationales, et donne l’exemple de l’usine mondiale de Renault Trucks-Volvo pour
illustrer la diversité culturelle.
L’auteur cite le réseau Skyteam comme l’un des réseaux qui adoptent la structure souple
pour argumenter la conception d’un réseau doté d’une structure souple.