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Noms & prenoms :

Groupe : G1
 Generalite sur le cuivre :
Le cuivre est un élément chimique de symbole Cu et de numéro atomique 29.
Naturellement présent dans la croûte terrestre, il est essentiel au
développement de toute forme de vie. Il est majoritairement utilisé par l'homme
sous forme de métal. Le cuivre pur est un des seuls métaux colorés Il présente
sur ses surfaces fraîches une teinte rose saumon et est aussi appelé le « métal
rouge ». On le désigne parfois sous le nom de cuivre rouge par opposition aux
laitons (alliages de cuivre et de zinc) improprement nommés « cuivre jaune ».
Métal ductile, il possède des conductivités électrique et thermique
particulièrement élevées qui lui confèrent des usages variés. Il intervient
également comme matériau de construction et entre dans la composition de
nombreux alliages, les cupro-alliages. Le cuivre est le plus ancien métal utilisé
par l’homme. Les plus anciennes traces de fusion du cuivre dans des fours à
vent ayant été découvertes dans le plateau iranien sur le site archéologique de
Sialk III daté de la première moitié du Ve millénaire av. J.-C. — il y a donc près
de sept mille ans. Allié à l’étain, il donna lieu à une révolution technologique, «
l'âge du bronze », aux alentours de 2 300 ans avant notre ère.

 Extraction du cuivre :
La métallurgie extractive du cuivre est l’ensemble des opérations permettant la
fabrication de cuivre métallique à partir du minerai, ou plus rarement à partir
de déchets métallurgiques recyclés contenant du cuivre . Le cuivre n'est présent
dans l'écorce terrestre qu'à la concentration moyenne de 55 parties par million.
Il n'existe plus dans la nature à l'état natif, comme dans l'antiquité. II se
présente sous forme de sels contenant 30 à 90 % de cuivre, eux-mêmes mélangés
aux stériles et quelquefois à d'autres métaux, dont certains peuvent être plus
rares que le cuivre, comme l'or et l'argent. Un minerai est considéré comme
riche à partir de 1,8 % de cuivre pur. Selon la forme des gisements et leur
profondeur, il existe 2 types d'exploitation :

 Les mines à ciel ouvert


 Les mines souterraines

L'exploitation à ciel ouvert a lieu lorsque les gisements sont relativement


proches de la surface du sol, de façon à ce que les travaux d'excavation et de
terrassement puissent se faire dans des conditions économiquement rentables.
Lorsque le pourcentage de déchets est trop élevé ou lorsque la typologie du
terrain ou les conditions climatiques sont défavorables, il devient opportun de
creuser des mines souterraines.

A la surface du globe, les minerais de cuivre se présentent généralement sous 2


formes :

 Les minerais sulfurés


 Les minerais oxydés

Cette différenciation définit le processus à suivre pour l'obtention du cuivre


pur : pyrométallurgie pour les minerais sulfurés, hydrométallurgie pour les
minerais oxydés. Les minerais sulfurés ont une origine géologique profonde et
proviennent de la cristallisation à l'abri de l'air de composés sulfurés de cuivre
et d'autres métaux. Ils sont souvent appelés minerais primaires.

Les minerais sulfurés sont les plus répandus et représentent plus de 80 % de la


production mondiale. Ces minerais sont très nombreux. Les espèces
minéralogiques les plus courantes sont :

la chalchopyrite CuFeS2 qui représente plus de 50 %

la chalchosine Cu2S

la covelline CuS

la bornite Cu5FeS4

l'énargite Cu3AsS4

Ces différents minerais se trouvent assez souvent mélangés et leurs teneurs


moyennes en cuivre varient généralement de 0,7 à 2%. Les minerais oxydés sont
des carbonates complexes ayant subi une oxydation par l'eau et l'air au cours
des âges.

On rencontre les principales formes suivantes :

malachite Cu2CO3(OH)2

cuprite Cu2O

azurite Cu3(CO3)2(OH)2

dioptase CuO3H2O
dont les teneurs sont d'environ 1 à 2 %.

Il faut mentionner pour mémoire que les nodules polymétalliques présents sur
les fonds de certains océans contiennent du cuivre à côté de nickel, cobalt, et
manganèse. Mais de difficiles problèmes juridiques et techniques sont encore à
résoudre avant de pouvoir les exploiter.

 La production des concentrés :


Quels que soient son ampleur et le perfectionnement des moyens qu'elle emploie,
la mine elle-même n'extrait donc qu'un mélange de minéraux à faible teneur en
cuivre, qu'il faudra concentrer avant d'en envisager le transport hors de la
zone du complexe minier. Le processus suivant qui décrit la production des
concentrés par le procédé de flottation, ne concerne que les minerais sulfurés.

Les minerais oxydés donnent lieu, de leur côté, à un traitement particulier par
voie chimique, dit procédé de lixiviation. La première étape du traitement des
minerais sulfurés en vue de l'obtention de concentrés consiste en des opérations
successives de tamisage, concassage, broyage et triage, qui les transforment en
poudre grossière, sur laquelle on projette de l'eau.

Par un traitement de flottation dans l'eau puis de décantation, qui consistent à


faire remonter à la surface la partie la plus riche du minerai pour le séparer
des boues qui restent au fond du bain, on obtient un concentré contenant 25 à
40 % de cuivre.

 L'élaboration métallurgique : le blister :


Elle part de concentrés de cuivre pour aboutir aux blisters. C'est le premier
traitement à haute température.

Dans un premier temps, à l'état liquide en présence de fondants, on sépare par


gravité et par grillage les stériles plus légers des sels de cuivre plus lourds, pour
obtenir la matte fortement chargée en soufre, contenant 40 à 60 % de cuivre.

Dans un deuxième temps, un convertissage à environ 1 300° dans un four


rotatif permet de séparer le cuivre des autres constituants contenus dans la
matte. Cette opération aboutit à la production de blisters contenant 98 à 99,5 %
de cuivre, qui se présentent sous forme de plaques : blister
Les blisters (vocable anglais rappelant les cloques de leur surface oxydée) sont
encore impropres à une utilisation dans l'industrie, parce que leur pureté est
insuffisante, et doivent subir par conséquent une nouvelle opération
d'affinage.Ils peuvent être achetés tels quels par les pays consommateurs
équipés d'une industrie de raffinage. Le Japon et l'Allemagne Fédérale sont les
principaux acheteurs.

 L'affinage :
Le blister doit être affiné pour obtenir la pureté nominale de 99,90 % utilisable
dans la plupart des applications. II existe deux procédés d'affinage :

1)L'affinage thermique : qui consiste à refondre le blister en l'oxydant pour


éliminer les impuretés sous forme d'oxyde qui se volatilisent. Au cours de ce
traitement, le cuivre se charge de 0,6 à 0,9 % d'oxygène dont il faut éliminer
l'essentiel par une opération de perchage, qui consiste à introduire des troncs de
bois vert dans le bain de cuivre. On obtient alors un cuivre de qualité
thermique, qui contient encore de 0,02 à 0,04 % d'oxygène et un peu
d'hydrogène, et qui, de ce fait, n'a que peu d'applications dans l'industrie. Ce
procédé n'est presque plus utilisé aujourd'hui.

2)L'affinage électrolytique : qui transforme le blister, préalablement coulé sous


forme d'anode, en cathode par le procédé de l'anode soluble.

Le cuivre obtenu est pur mais il n'est pas encore utilisable en l'état à cause de sa
porosité et de la présence possible d'inclusions d'électrolyte.

Pour avoir à la fois le cuivre pur à 99,90 % ou davantage et les meilleures


caractéristiques de plasticité, on refond ultérieurement les cathodes suivant
plusieurs procédés, qui permettent d'obtenir les différentes qualités de cuivre
utilisées dans l'industrie et qui correspondent aux diverses catégories
d'applications.
 But de la manipulation :
Le but de ce travail pratique est d’étudier les propriétés physicochimiques
des complexes des métaux de transition Pour ce faire, on va reagir le cuivre
avec différents elements .

 Les principaux reactions de cuivre :


 Reaction 1 :
Par action des bases fortes comme NaOH ou bien KOH il ya formation d’un
precipite BLEU clair d’hydroxyde (A) :

_
Cu2+ + 2 OH [Cu(OH)2](s)

 Reaction 2 :
ce precipite est soluble dans les acides :

Cu(OH)2 + 2HCl CuCl2 + 2H2O


 Reaction 3 :
ce precipite se deshydrate a l’ebulition pour donner un oxyde noir (B) :

[Cu(OH)2](s) CuO(s) + H2O


 Reaction 4 :
en presence de l’acide tartrique C4H6O6 le precipite Adonne la liqueur de
FEHLING ( C )

[Cu(OH)2](s) + 2T 2-
(CuT2) 2- + 2OH -

T 2- : ion tertrate

 Reaction 5 :
par action de l’ammoniac en exces il ya formation d’un precipite bleu
clair (A) soluble pour donner un complexe la liqueur de Schweitzer (D) :

Cu2+ + 4NH3 [Cu(NH3)4]2+

 Reaction 6 :
par action des carbonate alcalins il ya formation d’un precipite vert clair
insoluble (E) il se decompose themiquement pour donner B

CuCO3 (s)
CuO (s)
+ CO2 (g)
.
 Reaction 7 :
par l’action des ions S2-en mileu faiblement acide on obtient le sulfure de cuivre
la Covllite (F) en presence de l’acide nitrique il se produit un degagement

gazeux et la formation de Cu(NO3) . ( F ) est soluble dans une solution de


2
KCN par suite de la formation d’un complexe (G)

 Cu2+ + S2- CuS

 Cu(s)+4HNO3 Cu(NO3)2+2NO2+2H2O
 Cu2+ + 2CN -
Cu(CN)2
2Cu(CN)2 2CuCN + CN2
CuCN + CN -
[CU(CN)2]-
[Cu(CN)2]- +CN -
[Cu(CN)3]2-
[Cu(CN)3]2- + CN -
[Cu(CN)4]3-
 Reaction 8 :
par l’action de l’hexacyanoferrate(II) de potassium on obtient un precipite
brun rouge d’hexacyanoferrate II de cuivre I en milieu legerement acide (I)

Cu2+ +[KFe(CN)6]4- Cu[Fe(CN)6]2-

 Reaction 9 :
Par l’action de NaCN on obtient un precipite BLANC (I) qui se dessout dans un
exces de NaCN pour donner un complexe INCOLORE (G)

 Cu2+ + 2CN -
Cu(CN)2
2Cu(CN)2 2CuCN + CN2
CuCN + CN -
[CU(CN)2]-
[Cu(CN)2]- +CN -
[Cu(CN)3]2-
[Cu(CN)3]2- + CN -
[Cu(CN)4]3-
 Reaction 10 :
par l’action de KI l’iodure cuivrique(K) ne peut se former mais on obtient un
précipité d’iodure cuivreux (L)

Cu2+ + 2 I– CuI2

 Reaction 11 :
une solution de sulfate de cuivre est mélange a une solution de sulfate de
sodium

CuSO4 + Na2SO3 CuSO3 + Na2SO4

 Reaction 12 :
En présence d ‘ions chlorures le produit de la réaction 11 on arrive a une
solution incolore contenant le complexe chlore de cuivre (I) .

CuSO3 +2Nacl Cucl2 + Na2SO4


L ’oxyde cuivreux precipite suite a la reaction du complexe chlore de cuivre
(I) avec une solution alcalin de borax

Cucl2 + Na2B4O7 CuO2

 QUESTIONS :
1) Les formules chimiques de A a L : ( voir les reactions )
2) Les noms des complexes :
D : [Cu(NH3)4]2+ : tetraamin cuivre (II)
G : [Cu(CN)4]3- : tetracyanocuivratte (III)
3) Les equations chimique eqilibrees des reactions de 1 a 12 ( voir les
reactions )
4) Calculons le rendement :
 La masse expérimentale : m ( exp ) = 0,22 g
 La masse théorique : m ( th ) = ???

Pour cela calculons le nombre de mole :

n ( CuSO4 , 5H2O ) = =

n ( Na2SO3 , 7H2O ) =

n (Na2B4O7 ,10 H2O ) =

n (Nacl ) =

D’où le réactif limitant est : sulfate de cuivre (II)


m (th ) = n ( CuSO4 ) M ( CUO2 ) = 0,71 g

 Le rendement :

R= × 100 = ×100 = 30,98 %

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