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La réflexion de Benedict Anderson sur le nationalisme commence par la nécessite de comprendre les guerres

entre Vietnam, Cambodge et Chine. Il donne beaucoup d’importance a ces guerres parce que elles sont les 
premières entre régimes qui soutient le marxisme et une organisation révolutionnaire. Pour lui, le caractère 
national de ces pays s’impose à une logique d’identification de classe (solidarité entre la prolétariat de 
chaque pays pour l’affirmation de la classe ouvrière international). Il ajoute que à partir de la 2ème guerre 
mondiale toute révolution réussie est définie à partir du concept de nation. La première définition est que tant
la nationalité comme le nationalisme sont artefacts culturels de type particulier. Il croit que la création de ces 
artefacts fut un phénomène spontané à partir de le entrecroisement de forces historiques ; mais un fois établis
furent transplantes à une variété de scénarios. 

Anderson localise le problème de la nation autour de trois paradoxes : 1. La modernité objective des nations 
au regard de l’historien vs la antiquité subjective au regard des nationalistes (problème de la tradition et 
l’héritage). 2. L’universalité de la nationalité comme concept socioculturel (tous les habitants du monde 
doivent avoir une nationalité et  tant un passeport comme une carte d’identité qui exprime ça) vs la 
particularité en chaque  manifestation de la nationalité (être français ou être grecque ont un différence 
inhérente à chaque condition). 3. Le pouvoir politique du nationalisme vs la pauvreté philosophique de sa 
conception et même son incohérence. Je appellerai le premier problème comme l’enjeu de la tradition et 
l’héritage ; le deuxième, l’enjeu du type et occurrence ; et finalement le troisième, l’espace vide du 
nationalisme. Il propose de relationner ‘nationalisme’ avec ‘parenté’ et ‘religion’ plus que ‘libéralisme’ ou 
‘fascisme’.

L’auteur définit la nation comme une communauté politique imaginée. Il dit qu’elle est imaginée tant comme
intrinsèquement limitée et souveraine. Elle est imaginée parce que même les membres de la nation plus petite
du monde jamais tous se connaîtront  mais en l’esprit de chacun vit l’image de son communion. 

Je pense que avant tout la nation se conçoit avant d’imaginer. La nation est une idée comme démocratie, 
socialisme ou patrie qu’a la besoin d’une concrétisation ou matérialisation pour avoir une présence réelle. 
Les faits nous montrent qu’il y a un pays défini par lignes imaginaires qui sont défendues militairement. 
Dans chaque pays il y a diverses collectivités différenciés par critères de classe, race, ethnicité, religion ou 
culture. Toutes ses collectivités se peuvent mélanger et former autres collectivités plus complexes. Toutes 
ces collectivités seront gouvernées par un état. Donc pour moi la nation est cette idée de regrouper les 
collectivités différentes qui appartient à un état dans un certain pays (bien sur il y a le problème tant des 
migrantes comme des étrangers mais je résoudrai ça avec l’identification individuel). La nation s’élabore ou 
développe parmi le nationalisme qui est imagination de certains individus sur les autres légitimé par le 
pouvoir.

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