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HENRI CHRÉTIEN
LE MONDE
Invisible et Mystérieux
DES ONDES
LIBRAIRIE HALOINE
PARIS
HENRI CHRÉTIEN
LE MONDE
Invisible et Mystérieux
DES ONDES
LIBRAIRIE MALOINE
PARIS
INTRODUCTION
CHAPITRE PREMIER
Généralités
II
Synthèse Historique
CHAPITRE II
RAYONNEMENT UNIVERSEL
Le Monde Matériel
N o u s diviserons dans ce chapitre le monde matériel en deux
parties :
les atomes, les molécules o u monde des infiniment petits,
microscopiques ;
les astres o u monde de grande dimension télescopique ; la
matière, toute la matière est composée d'atomes réunis en
molécules généralement instables (si ce n'est apparemment) qui
subissent l'influence des forces universelles, que nous examine-
rons partiellement au cours de. ce chapitre.
Les Atomes
A u cours des recherches des infiniment petits, la physique
s'était arrêtée à la molécule, mais vers la fin du 19° siècle, la
science de l ' E p o q u e abouti à un corps plus petit: l'atome déjà
envisagé par les Grecs.
Transformation - Instabilité
Equilibre et déséquilibre atomique
FRÉQUENCE
J
NATURE LONGUEUR DONDfl PAR SECONDE
CHIFFRE
DE DIRECTION
SÉRTE NOM RÉGLAGE MILLIMÉTRIQUE DU PENDULE
Onmpte DU RAYON
négati- FONDA- DES CORPS m m
DE 31 / , 5 DE DIAMÈTRE
vement
à gauche
positi- MENTAL SIMPLES ET D'UN POIDS DE 40 3R.
vement
à droit»;
a
l ' H y d r o g è n e des chimistes H
l'Hydrogène spectral H sp
l'Hydrogène ionisé H +
+ -
l'Hydrogène électrisé H ou H
l'Hydrogène atomique — H —
a
l'Hydrogène dissymétrique H — H
2 2
l'Hydrogène lourd ou isohydrogène H — H
l'Hydrogène triatomique g ^ jj
2
H
l'Hydrogène hyperlourd w ,
II
LES MOLECULES
Généralités
GROUPEMENTS ATOMIQUES. — Les atomes ne sont pas seule-
ment considérés isolément, réunis en corps simples de la série
atomique, mais au stade suivant, ils se réunissent pour former
un autre groupement, visible à l'ultra-microscope appelé :
molécule.
P a r définition on peut donc dire : la molécule est une
réunion de plusieurs mondes atomiques, alors qu'autrefois
il n ' y a pas un siècle on disait : la molécule est la plus
petite quantité d'un corps qui puisse exister à l'état libre,
sans être décomposée.
Nous ajouterons une autre définition pour le monde des
infiniment grands : la Molécule-Univers, est la réunion de
tous les astres qui font partie d'un Univers.
E n Chimie, c'est encore sur la molécule, plutôt que sur
l'atome, que sont basées les lois bien connues des ouvrages
classiques.
Groupement moléculaire
III
VI
e
5 Jour. — Les astres étant créés, ayant condensé suffi-
samment la lumière, possédant la lumière échangeant leur
courant E . M. de formation générale et des corps qui doivent
apparaître sous les trois dimensions : Dieu créa les noyaux des
espèces d'animaux qui vivent dans l'air et dans l'eau, en
rapport avec la matière formée, condensée progressivement.
Elohim dit : « Que les Eaux pullulent d'une multitude
d'êtres vivants, et que les volatiles volent au-dessus de la Terre,
et à la surface du Firmament des Cieux ».
e
6 Jour. — La Terre, les Terres (si on s'en rapporte à la loi,
que continue, à l'Esprit saint), étant suffisamment condensée,
préparée en état de recevoir la vie de certains animaux dont
les espèces apparaissent et se développent avec une certaine
température, Dieu créa les animaux terrestres et l ' H o m m e .
Elohim dit : « Que la Terre produise des êtres vivants
selon leur espèce, détail, êtres rampants et l>êtes de la terre
selon leur espèce.
« Faisons VHomme à Notre Image, conformément à Notre
Ressemblance, et qu'il domine sur les poissons de la mer, sur les
volatiles des deux, sur le bétail, sur toute la Terre et sur tout
être rampant.
« Soyez féconds, multipliez-vous, remplissez la Terre et
l'assujettissez.
a Voici, je vous donne toute herbe et graine qui est à la
surface dè toute la Terre, et tout arbre à fruits portant se-
mences, telle sera votre nourriture ».
e
Le G jour qui paraît compléter principalement le 2", ne
serait peut être pas le grand jour de la création de la plupart
des noyaux d'espèce de tout l'Univers autre que l ' H o m m e ;
autrement dit, les astres, leur terre, les espaces furent peu-
plés d'êtres vivants, se reproduisant par dédoublement de leur
noyau d'espèce rattaché au noyau originel.
L ' H o m m e devra régner sur toute la Terre, et très cer-
tainement sur tous les astres, travailler, utiliser tout ce qui
a été créé, et développer naturellement son espèce le plus
possible, jusqu'à l'épuisement de toutes les générations que
peuvent contenir les noyaux d'espèces humaines.
On peut objecter : que la pesanteur, l'attraction étant
plus importante dans la plupart des astres que sur Terre,
les Hommes peuvent être différents de nous — qu'il nous soit
permis de répondre : que si l'IIomme est proportionnellement
plus fluidique, moins dense sur ces astres, cet effet s'oppose
à celui de la pesanteur,
que l ' H o m m e des autres astres, même s'il est respecti-
vement dans un état plus fluidique, doit avoir les mêmes
formes que l ' H o m m e terrestre, car si à nouveau nous consi-
dérons l'Union dans son ensemble qui se tient, nous y retrouvons
tégeait.
« D e nouvelles expériences de vérification démontrèrent la
nocivité de l a radiation lunaire, sur les enduits et les matériaux
employés pour le revêtement extérieur des bâtiments. L e marbre
imitation, réalisé selon les techniques courantes, est attaqué
après huit mois d'exposition. L e mélange le plus sensible, est
celui formé de débris de marbre noyés dans du ciment, puis
vient celui formé de stuc mêlé à des colorants.
« L e s tissus végétaux exposés selon la même technique,
permettant d'éviter l'action d'autres agents, se décolorent
rapidement. E t par ordre de sensibilité décroissante: la soie,
la soie artificielle, la laine, e t c . .
« Si o n songe que des substances absolument identiques,
exposées dans le même temps, selon la même technique aux
radiations solaires, manifestent des effets considérablement plus
faibles, malgré l'énorme puissance du soleil, on se rend c o m p t e :
que seul, un rayonnement caractéristique émis par notre satel-
lite peut expliquer ces faits.
« Nous avons fait dit-il, diverses expériences, montrant
l'action de la radiation lunaire sur la cellule vivante, et
publié un exposé des premières recherches diverses, nous
réservant de présenter celles effectuées sur des colonies micro-
L A THRREj LES ASTRES, N'ONT PAS LEUR INTÉRIEUR «ts KDU BIAIS
SONT PLEINS. TEMPÉRATURE INTERNE. NOUS avons déjà TU,
que le Soleil ne serait pas un astre en feu ; or, si nous consi-
dérons :
que les astres comme tous les autres corps, et de même que
les atomes sont formés, condensés réellement autour d ' u n
noya.ii origine, constitué matériellement dans son ensemble et
d'après les données actuelles, par une proton (chargé positive-
ment),
que de ce fait, la surface de la Terre comme celle des corps,
doit être chargée négativement par une condensation d'élec-
t r o n s ; en effet, elle est chargé négativement en surface o ù les
électrons négatifs y sont très denses,
que la force attractive magnétique de c e noyau est cause
de l'attraction :
I l paraît nécessaire pour l a Terre, les astres, de même que -
pour les atomes, que c e noyau de formation subsiste à l'inté-
rieur, c'est-à-dire ne soit pas liquéfié, gazéifié même, c a r i l n ' y
aurait pas attraction au centre et pesanteur, mais l'inverse avec
une croûte de matière, une pellicule terrestre plus dense, tell*
QUELS SONT LES COUPS QUI EXISTENT DANS LES DIVERSES COUCHES
GÉOLOGIQUES DE LA SURFACE AU NOYAU DE LA TERRE. •— S I NOUS
nous reportons au tableau de la série de Mendeleef, nous cons-
tatons que jusqu'ici, le corps atomique le plus complètement
formé, ayant le n° et la masse atomique les plus complètement
élevés ; est l'uranium. Serait-ce l'uranium qui existerait comme
premier corps au centre de la Terre, avec décroissance pro-
gressive jusqu'à l'hydrogène, c'est ce que nous essayerons
de déceler un jour. Mais les couches successives en profondeur
CHAPITRE III
avec le bacille de K o c h ,
qu'un accord de 0/13/26 c m . nous met en résonance avec
l'encéphalite-léthargique. la polyomyélite, et le tréponème de
la syphilis,
qu'un accord de 0/5/10 c m . nous met en résonance avec
la rougeole, la scarlatine, la varicelle^ e t c . .
En somme, il nous apparaît de plus en plus certain: que
c'est la modification de notre état E . M . , de notre onde propre,
qui est la cause d'une contagion non pas générale mais indi-
viduelle ;
que les microbes ne résonnent pas avec un corps, ne se
développent pas dans un corps qui possède une grande résis-
tance E . M . , et conserve son onde de 0/20/40/60/80... cm., mais
si l'intensité, l'énergie, la vitalité décroit, et si l'onde se rac-
courcit, les microbes résonnent avec l'onde du moment et ses
harmoniques,
que le microbe n'est généralemente pas une cause première
de troubles pathologiques, mais une cause seconde en même
II
(1) Contre lesquels nous avons lutté, travaillé depuis des années,
p o u r éviter une telle situation.
III
IV
VI
(1) On se rend compte une fois de plus, que les Gouvernements qui
veulent durer, les Nations qui ne veulent pas sombrer, mais renaître,
en arrivent inévitablement à dissoudre les loges judéo-maçonniques, ou
cellules corruptrices et dissolvantes des Nations et des Sociétés (disso-
lutions généralement précipitées à la suite d'excès, de désordre, de-
ruine, de guerre ou de crime politique...).
L«»8 Gaz
Les gaz rayonnent comme tons les corps. Dans leurs rap-
ports avec la radio-physique et la Radiesthésie, il y a lieu de
les étudier avec les mêmes méthodes, les mêmes moyens de
synthonisation que ceux dont on se sert pour les autres c o r p s .
Les corps réduits à l'état gazeux, impondérables, aj'arit
leurs molécules plus espacées q u ' à l'état solide comme nous
l'avons exposé chap. I I , n'en conservent pas moins leurs pro-
priétés spécifiques auxquelles il y a lieu d'ajouter une plus
grande labilité, une vitesse plus grande des corpuscules, et un
plus grand dynamisme qui peut être utilisé avec les corps
gazeux détonant appelés généralement explosifs.
L'analyse des gaz, leur pureté ou leur composition peut
être faite dans un récipient hermétiquement clos, de verre par
exemple par les méthodes courantes de radiesthésie, par l'in-
termédiaire de corps témoins, ou d'après leur sens de rayon-
nement azhnutal.
L'agitation des corpuscules des corps gazeux est proportion-
nelle à la diminution de la dimension des corpuscules (d'après
Gouy et divers physiciens).
Le mouvement cinétique et le dynamisme des gaz, donnent
un autre aperçu de l'énergie atomique contenue dans la matière
à l'état liquide ou solide. P a r exemple, d'ai>rès G. L e B o n un
gramme d'hydrogène possède une charge électrique de 96.000
coulombs.
Les odeurs particulières, c'est-à-dire les ondes odoriféran-
tes, donnant la sensation physiologique olfactive provenant de
corps divers transformés en gaz, peuvent être synthonisés en
rapport avec telle ou telle personne de la même façe^n que tous
les autres corps.
LIVRE 1
T A B L E DES MATIERES
INTRODUCTION .- v à xx.
CHAPITRE PREMIER
CHAPITRE II
RAYONNEMENT UNIVERSEL
Les atomes
L'onde de tous les atomes, de tous les corps qu'ils composent est
universelle. — Rapport avec l'orientation de la physique, les effets
matériels et spirituels de l'homme. — Conclusion, p . 56 à p. 61.
Les molécules
III
La m a t i è r e e n général
CHAPITRE III
II
R a y o n n e m e n t d e s corps s e m b l a b l e s
et lois de qualité, de m a s s e et de forme
III
IV
S p e c t r e s et c h a m p s d e s corps
Champ radiesthésiqne. Rapport comparé avec les instruments d'autre-
fois. Inconvénients des radiesthésistes du type standart, p. 304. —
Spectre et image magnétique des corps. — Spectre radiesthésiqne,
- VI
VII
Les g a z