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Philo Politique

• Origène du vocabulaire
o Gender : Grammatical
o Sexe : Biologique
• Évolution en trois étapes
o Biologie : Étude des gens
§ Chromosomique
§ Gonadique
§ Organique (sexe) c´est la distinction sexuel ()
§ Morphologique qui est la puberté
o Dans les années 50 il ont fait une distinction juridique par le genre dans les cas des
hermaphrodites. Aujourd’hui on a introduit un sexe neutre. La nature produit des
intermédiaires.
o Psychologie : On constate qu´il y des ressentie divers selon le psychologique. Ou
on change de sexe ou on se comprend et s´accepte comme H ou F. Le genre devient
la différentiation du sexe psychologique.
o Sociologie
§ Représentation social et symbolique su sexe. Son objet c´est le sexe
biologique. Qui est lié au social et cultural.
o Le sexe et remplacé par le genre
o François héritier : Le genre préexiste au sexe et le façonne.
• La sexualité dans la société (genre et sexe)
o Les trois sens du mot genre qui viennent des études scientifiques, sociologiques et
médicaux.
§ Genre biologique (aujourd´hui le mot genre remplace le mot sexe)
• On remarque les cas de gens hermaphrodite que on une séparation
entre leur sexe biologique et l´intégration de cette sexe biologique
au genre psychologique. Il y cette double dimension de l´homme qui
doit être unie et intégrée)
§ Assignation social et juridique du genre (On pusse la question du genre dans
le débat politique pour que soit un droit de chaque individu de pouvoir
choisir son genre selon son désir)
§ Représentation symbolique du sexe biologique (Le genre préexiste au sexe
et il le façonne, c´est à dire que le genre est un produit de la volonté et de
mon choix)
• L´histoire du féminisme
o Première vague (1789)
§ Cette vague présente des caractéristiques comme :
• C´est une vague qu´existe encore mais qui est dans un certain sens
conservatrice.
• Elle considère que l´homme et la femme sont des êtres
complémentaires.
• Cette vague a gagné un terrain en relation a l´égalité homme-
femme dans le domaine de l´éducation, les métiers, le soufrage,
économique, etc.
• La femme et l´homme sont envisagé dans la formation de la famille.
• Égalité parental.
§ Comment intégrer la différence biologique entre h et f dans l´égalité ?
o Deuxième Vague (1940)
§ Elle apparaît dans le contexte des guerres ou les femmes par l´absence des
hommes ont dû prendre une place importante dans les affaires des usines
etc.
§ Au four et à mesure on commence à mettre en question le réel. Cette
remise en question de la réalité fait à l´homme entrer dans un
subjectivisme ou le désir de chacun prime sur la réalité. Donc on se plus si
ce qui définit le genre c´est le désir ou le sexe biologique. C´est à dire que
l´égalité se jeu maintenant au niveau du sexe.
• Elle s´inspire dans des idées Freud-marxiste de Hebert Marcuse. On
cherche une libération sexuel par le control de la nature.
• On utilise les avances scientifiques et technologiques pour contrôler
le natalité.
o Contraception
o Avortement
§ Evelyn cherche connaître la femme pour savoir en quoi la femme et égale
et différente à l´homme.
§ L´enfant est un risque pour la femme et le corps est un moyen de
domination pour l´homme.
§ La domination patriarcal est la lutte des femmes
§ Cette vague s´inspire dans les idées de Simone Weil qui insiste sur le fait
que la femme est une création de la société patriarcal et bourgeoise pour
la dominer.
• Cette féminisme s´appuie sur des développements scientifiques et
technologiques.
• Avant le 19 eme la femme comme celle qui mettait des enfants dans
le monde était une pièce clés dans la société. À partir du code
Napoléon s´introduit une brèche entre la sexualité et la grossesse
car l´enfant devient un danger pour la femme et pour
l´individualisme.
• Le plan de la limitation biologique qui suit le politique. Dans le plan
biologique on doit produire la parité entre homme et femme.
o Troisième vague (1980)
• C´est une réaction à la deuxième vague par l´utilisation du mot
QUEER et genre.
• Dans cette vague l`activité sexuel n´est pas entre homme et femme
mais entre tous les genres. Il faut élargir le mot sexe à tout individu.
• Il y a une élimination de la femme car le même fait de dire femme
on encadre dans un sexe. C´est un féminisme post féministe.
• On intègre des relations pédophilie car on pense le sexe par le pur
plaisir et sans son objet.
• Cette vague s´enracine dans la pensée existentialiste de Sartre.
• Avec le QUEER on cherche dépasser le genre pour qu´on puisse
avoir n´importe quelle identité. Voici que dans le plan politique on
cherche intégrer des lois qui puissent créer l´espace QUEER sans
discrimination. Que le politique soit le lieu de l´expression des
individus.
• Il y a une construction des genres (Post vérité). Elles ne se
conforment avec le binôme homme-femme, il faut change
l´humanité. Dés là on a un basculement vers le Trans humanisme.
Un changement et une augmentation de la liberté de l´individu par
le moyen des biotechnologies. Cette post vérité qui consiste en
déconstruire les archétypes de la société actuel pour reconstruire
une société nouvelle et ainsi une nouvelle vérité.
• Il faut donc déconstruire les archétypes H F que la société a créé.
• La pornographie dans la société QUEER est le vecteur de la
sexualité.
o Cela crée, selon études scientifiques et psychologiques, un
trouble dans ce qui la consume jusqu´à arriver à une
addiction.
o La personne qui s´enferme dans la fantaisie de la
pornographie a des difficultés réels d´établir une relation
avec une autre personne.
§ On reste dans le virtuel
§ On n´a pas la contrainte de l´autre
• Comme c´est le désir des individués qui prime, cette vague cherche
pousser tous les limites du ce désir. Dans le domaine politique on
cherche créer des lois pour que le lieu publique soit le lieu de la non-
discrimination. Il faut que les élites produisent cette société QUEER.
• Les paradoxes de la philosophie QUEER
o Certains courent ecologique cherchent retrouver une écologie de l´homme. Un
certains respect pour lui car ils considèrent que la nature fait les choses bien.
o Le QUEER engendre un dualisme âme-corps, car l´homme ne s´identifie avec le
corps mais seulement avec les désir. Cependant les désir ne sont-ils pas unies au
corps ? Quelle est la juste place du corps ?
o Le refus du corps engendre le refus de la filiation biologique. En effet avec les
nouvelles technologies on pourra engendrer hors du ventre maternelle. Cela fait
que le système de filiation c´est l´adoption. Cependant pour certains psychologues
comme Freud, pour la santé psychologique de l´enfant, il est nécessaire pour lui
savoir qui sont ses parents. L´enfant n´a qu´un développement horizontal mais
aussi vertical, c´est intergénérationnelle. Aujourd´hui, les enfants souffrent de plus
en plus violence familial car les parents les ont comme un objet de plaisir.
o ¨Agere sequitur esse¨ Pour agir il ne suffit pas le désir mais il faut se connaître,
savoir qui on est. Cependant pour se connaître il faut connaître ses parents. Et les
parents doivent connaître la nature humaine pour savoir comment éduquer leurs
enfants.
o ¨Le positionnement du discours¨ Il y a une dichotomie entre le sexe biologique et
le sexe psychologique. Butler analyse le discours sur le sexe, et la phrase et la
suivante ¨Je suis un homme xcq j´ai des organes masculins¨. Cependant dans la
philosophie QUEER on cherche déconstruire le langage, et ce qu´il faut dire c´est
¨Je suis un homme xcq je veux être un homme¨. C´est à dire que le discours produit
ce qu´on est, il est performatif. Dans ce mode de procéder c´est la volonté qui crée
la réalité et nos actes qui produisent ce qui nous sommes. Comme la volonté
général qui crée ce qu´elle dit, et son pouvoir ne se tient que de son propre
discours. On déconstruit le langage pour chercher derrière lui les forces de
domination qu´y se cachent. Mais si je déconstruit tout, qu´est-ce que reste ? Sur
quoi on s´appui pour construire ?
o Les rapports de domination sont des limites de la société. Peut-on dire que tous
les limites sont mauvais ?
o La différence sexuel est une évidence indémontrable. Pour cela le QUEER va vers
le langage car on peut pas prouver l´existence de l´homme et de la femme.
Comment démontrer l´existence de l´homme et de la femme ?
o Peut-on s´appuyer sur des cas particulier pour dégager des principes semper ?
Peut-on savoir qu´est-ce que arrive frequenter et rariter dans l´homme et la
femme ?
o La difficulté de définir homme et femme réside dans la négation de la réalité. Car
on peut pas définir ce qui n´existe pas. On retrouve le problème entre la nature et
la culture. Peut-on dire que le sexe est purement culturel ?
o Selon Judith Butler (trouble dans le genre) le genre est ce qui maintient
l´intelligibilité et continuité entre le sexe, le genre, la pratique sexuel et le désir.
C´est comme le dit Foucault, le langage peut se déconstruire. On attaque le
langage, ce que je dis quand je dis que je suis un homme. La société produit un
discours performatif qui cache un rapport de force. Elle crée des stéréotypes.
o Le queer va déstabiliser la relation entre sexe, genre, pratique et désir en vue de la
liberté individuel.
o Le genre est une construction qui façonne le sexe. C´est un discours performatif.
o Judith veut détruire le langage de genre pour libérer l´homme. C´est une méthode
de pensée qui passe dans le domaine scientifique.
o Judith Butler, 2004, Le pouvoir des mots. Politique du performatif : L´État ne doit dire ce qu´on
peut dire.
• Comment définir Homme et Femme
o Il n´y a pas de nature distincte entre H et F car il n´y a pas de différence spécifique
entre eux, les deux sont des êtres humains qui se ressemblent dans la même
définition de l´être humain. Homme et femme sont de la même espèce. La
différence se trouve où ? Dans le propre c´est impossible car le sexe n´est pas
propre à toute l´espèce.
o La différence H et F se trouve dans les individus, mais qu´est-ce que convient à
chaque individu ? Les différences singuliers s´enracinent dans une nécessité
naturelle. Le genre préexiste au sexe et le façonne. La différence entre H et F est
dans les organes sexuels. C´est à dire du côté du corps. Et pas dans les différences
entre actif et passif, intelligence et volonté. Etc.
o Quelle est la place de la fécondité sexuée dans la différence H, F. Avec les
techniques on change la manière de reproduction sexuée par la fécondation dans
les laboratoires.
o La différence entre H et F se fait du côté de la quantité.
o De la qualité
§ Selon qu´elle relève de la quantité : Paternité et maternité
§ Dispositions : La culture et la nature se mêlent car les actions sont
déterminés par la culture. La culture a le pouvoir de changer la nature.
o La femme est femme par l´identification symbolique de son corps.
o Il y a une différentiation psychologique entre homme et femme.
o Relation : Homme et femme entre dans une relation avec un enfant comme
troisième terme.
o Avoir : Les vêtements, etc.
o Psychiques
• Construction du genre par la société.

Le bien commun
1. Introduction
a. La problématique du bien commun se pose dans notre époque à cause de
l´individualisme qui règne et les divers problèmes par rapport au flux
migratoire et aux communautés que s´installent dans une autre culture.
Comme avoir un bien commun dans un état ? Quelle est le rôle de l´État pour
le garantir ? Comment définir le bien commun avec l´articulation d´État et
individu ? L´État démocratique peut-il devenir autoritaire ?
2. Le bien commun comme des valeurs commun
a. La tension entre le politique et l´économique (Paradoxe), on développe des
systèmes gouvernemental qui cherchent le bien économique et qui gouverne
à partir de là car il considère que le bien commun c´est l´émancipation des
individus par l´économique.
b. Comme le marché gagne force l´État perd sa force devant le capitalisme qui
impose des règles et son système.
c. L´intérêt général c´est le bien commun ?
3. Le bien commun c´est l´abstraction des biens individuels ?
a. C´est la logique du contrat
b. Le bien commun est le bien de tous ou le bien qui est partagés par tous ? C´est
une égalité économique ?
c. Le bien commun c´est le bien être promis par la société de consommation ?
d. Le bien commun c´est le bien de toute l´humanité. C'est le problème de la
mondialisation du marché. Qui fait abstraction des sociétés individuels. Et aussi
des individus pour les traiter comme des entités de raison.
e. Le bien commun se fait par la discussion et la mise en accord des points dont
on va respecter ? Par un consensus par exemple ?
f. Le souci du bien commun est par une cause réel ou par intérêt propre ? Win –
Win
g. Le problème du bien commun passe par les institutions, entre les individus et
l´État.
4. Le rôle de l´état pour le bien commun
a. Histoire du mot État
i. Le mot État apparaît au XVIIème siècle et il est définit par Hobbes dans
le Léviathan comme..
ii. Aujourd´hui on peut pas parler du bien sans intervenir la notion de
l´État. Car en effet ce qui unies les citoyens entre eux c´est cette
institutions qu´on appelle l´État.
iii. Les grec
1. Selon Aristote toute communauté cherche le bien souverain de
la communauté politique. Le bien qui est architectonique et
structure toute la société politique. Pour Aristote il y a des
sociétés qui ne sont pas politiques, comme la famille et les
villages.
2. Pour les grecs une communauté était politique lorsqu´elle est
autarcique, souveraine et autonome.
3. Le citoyen dan la cité était le hoplite, c'est à dire celui qui porte
les armes. Les autres qui étaient pas libres constituaient un 80
% de la population. Entre eux femmes, enfants, esclaves et
étrangères.
4. La cité est un tout dont les parties sont les familles et pas
l´individus. Il y avait des institutions intermédiaires.
5. Problème : Le bien commun est le bien du tout holistique ou de
chaque partie ?
iv. Les romains
1. La pensée politique grec influence celle des romains avec l´idée
d´empire. La conquête des romains et leur mode de gouverner
à partir d´une capital et un droit commun en respectant les
normes et cultures de peuples conquis.
2. L´autoritas est le fondement de la potestas. Tantôt les grecs
comme les romains cherchaient le bien commun et un lien
d´unification entre les citoyens.
v. La Chrétienté avec Saint Augustin
1. Avant de découverte d´Aristote par TA la pensée médiéval se
basait dans la pensée de Saint augustin. Une rupture radical
entre le paganisme et la religion. La cité doit chercher le
souverain bien qui est Dieu.
2. L´Église après la conversion de Constantin l´Église architecte la
vie politique. Le Pape devient l´autorité spiritual avec un pouvoir
symbolique car son autorité n´est valable que parce que le
citoyens ont la foi.
3. Le problème entre autoritas religieuse et autoritas politique. On
a eu toujours la tendance à les mélanger.
vi. Les trois fractures au moyen âge
1. La conquête musulmane
2. Césure entre le monde orthodoxe et catholique. (1054 et 1204)
3. L´empire Russe avec le Tzar.
4. La réforme protestante avec Luter et Henri VIII qui fait que le
Pape perd son pouvoir symbolique et politique.
5. Apparition des richesses, des bourgeois, la banque, on
commence à penser dans l´enrichissement. On cherche avec
Albert le Grand et TA de fonder le lien social sur la raison et le
droit.
6. Développement des sciences expérimentales et l´échec de la
philosophie ancienne.
7. La nouvelle autoritas devient le politique et on laisse tomber
l´Église car elle ne suffit plus comme moyen d´unification des
citoyens
8. Le concept d´État est forgé par Hobbes dans le Léviathan. L´État
désigne le peuple, les citoyens et l´autorité souveraine. Les
juristes posent une autorité souveraine. Hobbes : ¨à la manière
dont un géomètre produisent la définition de son objet¨ C´est un
corps politique institué, qui est juridique.
vii. Ici l´État ne symbolise que lui-même. Il n´y a pas de transcendance, il se
symbolise à lui-même.
viii. Définition de la république : La république est selon lui (Bodin) le droit
gouvernement de plusieurs ménages et de ce qui leur est commun avec
puissance souveraine. Il apparaît que la puissance souveraine est la
garante de la communauté politique et la souveraineté est le lien qui
cimente les familles entre elles pour former la république. C´est le
jurisme la science qui définit l´État. L´Était est ce qui le juristes disent
qu´il est, c´est une production de la raison de juristes. C´est une entité
de raison crée. C´est la règle qui produit la chose dans la réalité.
ix. Bourdieu : Le concept d´État est une création du langage, (Cf :
féminisme avec Butler) une représentation de la société et une
structure de domination qui cache un rapport des forces qui au même
temps est structurante. Bourdieu définit l´État comme «Le secteur et
champs du pouvoir» qu´on peut appeler «champs administratif ou
champs de la fonction publique ». Ce dans l´État qu´on a le «monopole
de la violence symbolique et physique ». Mais qui a la monopole du
monopole ? il y a la main invisible derrière l´État ? Quel est l´intérêt de
l´État ? Sert-il au bien commun ?
x. Il différencie l´État 1 (administrations, lois etc) et l`État 2 (territoire,
langue etc.). C´est le deuxième qui doit subordonner le première.
xi. Si le pouvoir de l´État vient de lui-même, on peut tomber dans une
dérive totalitaire. On utilise le pouvoir de l´État et par des moyens
administratifs on fait ce qu´on veut.
xii. Comment éviter une dérive totalitaire et que le pouvoir de l´État ne soit
au profit du plus fort ?
5. Analyse du bien commun : Comment l´articuler avec la notion d´État, personne,
individu ? Comment retrouver le sens de la communauté politique dans cette dérive
individualiste ? Comment faire le lien social sans la notion et conscience du bien
commun ? Comment alors définir le bien commun ?
a. Pour les grecs le bien commun est une évidence indémontrable. Chaque
société avait comme fin le bien suprême. Ce qui est contraire au bien commun
c´est le bien de la partie. Le bien commun est une réalité incarnée qui dépend
des contingences et du contexte politique. Le bien commun et la conservation
de la société, s´appuie sur la notion d´amitié et de justice.
b. Selon TA le bien commun c´est le bien du tout en opposition à la partie.
c. Selon les modernes il n´y a pas un bien objectif qui mesure les actions
humaines. Un bien comme telle est oppresseur et va contre la liberté humaine.
Peut- on avoir un bien commun qui ne soit en détriment de l´individu ? Selon
Kant les personnes sont fin et pas moyen or si le bien commun est le bien du
tout, les personnes qui sont des parties de ce tout ne sont que des moyens.
Pour cela Jacques Maritain soutient que si on considère le bien commun
comme fin sans instrumentaliser les personnes.
d. Qui a la primauté : L´individu ou l´État ?
i. Il y a une double primauté mais pas sur le même plain.
ii. Définition du bien commun : Moyens nécessaires pour garantir le bien
des personnes.
1. Les biens des personnes doivent être première et pas le bien de
l´État. L´État ne produit le bien commun mais il le conserve et le
garantie. Ex : la guerre civil. Les conditions sont des causes
dispositifs et instrumental.
2. Le bien commun c´est le bien des personnes en relation les uns
avec les autres dans l´unité d´une société politique
a. Le bien commun est le bien de toutes les personnes. Pas
en tant qu´individu mais en tant qu´elles sont parties de
la société. Il ne s´agit d´un bien parfait, mais le meilleur
bien possible. Le bien commun est le bien du tout et des
parties car il n´y a pas d´opération de la partie qui n´est
pas une opération du tout. Comme dans une réalité
continue une partie ne se meut si ce n´est pas par
rapport au tout. On est dans une société qui détruit les
institutions intermédiaires comme la famille. Comme le
bien de la partie est proportionné au bien du tout, un
homme n´est pas bon s´il n´est pas proportionné au bien
commun. On ne peut pas être bon si notre bien
particulier n´est pas orienté vers le bien commun.
b. C´est une relation, car c´est elle qui forme le commun
entre les parties du tout dans l´amitié, la bienveillance et
la justice. Ces parties sont constitutifs au tout et donc
inséparables de lui. Pour cela le bien du tout ne peut pas
être bien constitué si les parties ne sont bien constitué,
c´est à dire si les citoyens ne sont des gens vertueuses.
c. La première relation c´est la sexué, celle qui forme la
famille et donne des enfants à la république. Quand je
rentre en relation j´ai un bien propre à cette relation
(Cf. : amour et responsabilité)
d. Le bien commun est le bien des personnes ?
e. Le bien commun est premier dans l´ordre de perfection.
Il est un bien qu´on appelle architectonique. C´est le bien
premier en tant qu´il réalise le bien de la personne. Car
la personne réalise son bien en tant qu´elle est en
relation. En tant qu´on est en relation on est des moyens
pour le développement de l`autre et l´autre est un
moyen pour mon bien. Dans ce sens la personne est
moyen et fin pour le bien commun.
f. Le bien commun se fait dans une réalité concrète avec
des gens qui s´organisent librement pour créer un bien
commun. Pour cela l´abolition de frontières est un
attentat contre les communautés politiques. Jusqu´où
est légitime la conquête des peuples et l´abolition des
cultures comme les indiens d´Amérique ? L´État doit être
le garant et celui qui crée des conditions pour que se
développe un l´ordre publique et pas imposer un ordre
pour créer la paix. L´État ne détermine la vie privée des
individus. Ex : Irak
g. Pour cela le marché ne doit pas être le lien être les
individus mais l´amitié et la justice. Si on cherche le bien
commun de la totalité on cherche par conséquence le
bien propre.
3. La primauté du bien commun
a. Il y a une primauté de la personne qui relève de
l´ontologie même de la personne.
b. Certains courants chrétien posent la primauté de la
personne. Cela parce que il y a derrière l´idée de la
personne une relation personnelle et spirituel avec Dieu.
Il y a une fin individuel qui est le salut de l´âme. Donc
dans cette vision on voit qu´il y a une fin spirituel dans le
domaine politique. Le bien commun doit être le bien qui
garantit le salut de l´âme des citoyens.
c. Le bien commun n´est jamais au service de l´individu,
mais de la personne en tant qu´elle est en relation. Et
ainsi avec toute les institutions et structures de la
société.
e. Ce qui n´est pas le bien commun
i. Il ne se réduit à la somme de bien collectifs (eau, forets, nourriture). Les
biens communs constituent les moyens pour le bien commun.
ii. Il n´est pas le bien publique opposé au bien privée : on a la tendance à
croire que c´est l´État qui doit gérer les affaires privées et produire le
bien commun. Mais qu´est-ce que relève du privée et du publique ?
iii. Il n´est pas l´intérêt commun. Parce qu´il ne dit la vérité et de la
recherche de l´intérêt commun peut se cacher l´intérêt des individus
qu´utilisent le bien commun comme excuse et ainsi faire passer leur
désir.
iv. Il ne se réduit au valeurs commun. Dans une relation concrète on aime
et on vie avec des personnes concrètes et pas avec des valeurs. Avoir
du pain au chocolat à l´IPC.
f. Distinctions sur l´architectonie du bien
i. Dans la réalité concrète on n´est jamais dans le bien parfait. On est
entre le bien suprême et le pire. Dans la vie politique on peut pas faire
le parfait, on essaye de faire le meilleur et éviter le pire. (Ex : Irak)
1. Le bien commun est attendu par la vertu et les biens intérieurs
des citoyens et c´est cela que les gouvernant doivent
promouvoir.
2. Gens au fin des vies : Ce qui reste c´est l´amitié et la
bienveillance. (Ex : Ma grand-mère)
a. Vivre ma vie sans faire ce que les gens le veulent
b. Travail si dure (ce qui vont être avec toi sera ceux qui
t´aiment)
c. Capable de dire ce qu´on sent
d. Être en contact avec mes amies
e. Autorisé à être plus heureux
3. Les dérives sectaires et autoritaires viennent du bien commun
ii. Bien commun naturel et surnaturel
iii. Spirituel et temporel
iv. Bien commun transcendent et immanent
1. Deux sens au bien commun transcendent
a. Spirituel
i. Dieu
ii. Premier moteur
b. Humain (Mon bien qui se réalise dans les relations
vertueuses)
v. Bien intérieur et extérieurs
g. Le bien commun est-il utopique
i. C´est utopique (idéaliste) de penser que le bien commun c´est un état
de perfection de la société. Le bien commun existe toujours dans les
sociétés car il y a toujours une relation qui s´établi entre les individus
h. Quelle est le fondement de ce lien ? Amitié et justice
i. Par peur dans le cas d´une guerre civil.
ii. Boire dans le rond-point pour les gilets jeunes
iii. Dans les sociétés individualistes le lien c´est le plaisir. L´utilité etc.
i. Trois condition pour une guerre juste
i. Préserver le bien commun
ii. Inévitable pour éviter un mal pire
iii. En raison d´une légitime défense

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